En hommage à

Rafia du Moulin de Labatut
2000 / 2011


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Rafia du Moulin de Labatut
2000 / 2011

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En hommage à
Rafia du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:24/10/2000
Il nous a quittés le:03/11/2011

Ma "Totote"....qu'est ce que tu ns manques....Le vide que tu as laissé ne sera jamais comblé. Tu es partie, bien malgré toi car tu n'avais qu'un désir : celui de vivre.
Tu t'es battue, 21 mois, avec une force extraordinaire, un courage incroyable contre ce maudit diabète qui, hélas, a bien réussi à t'emporter.
Toi...la toute petite...celle que l'on avait envie de protéger tu ns a donné une magnifique leçon de vie.
Là où tu es maintenant, j'espère que ce n'est pas le néant...là où tu dors maintenant...j'espère que c'est aussi confortable qu'à la maison...quoique ma t^^ete de lit doit bcp de manquer...car tu aimais tant dormir...au-dessus de ma t^^ete, lovée ds les coussins.
Toi...la reine de beauté..celle qui gagnait ts les concours...j'espère que tu es restée aussi belle. M^^eme la maladie...et ta cécité n'avaient m^^eme pas réussi à l'enlaidir, c'est dire !!!
Je te serre sur mon coeur ma toute petite, et je ne suis pas la seule.
Ah !!! j'ai oublié de te dire...depuis que tu es partie...Paramour se trouve très seule au jardin...et elle ne chasse plus.




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Déposé par mistral
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Déposé par goulou50
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Un petit bouquet pour toi petit cœur, nappé de tendres bisous.
Déposé par goulou50
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Un petit bouquet pour toi petit cœur, nappé de tendres bisous.
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Déposé par Rafiarock
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Un petit bisou tout doux qui va venir se poser sur ta petite frimousse bel ange
Déposé par Rafiarock
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Un petit bisou tout doux qui va venir se poser sur ta petite frimousse bel ange
Déposé par Rafiarock
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Un petit bisou tout doux qui va venir se poser sur ta petite frimousse bel ange
Déposé par Rafiarock
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Un petit bisou tout doux qui va venir se poser sur ta petite frimousse bel ange
Déposé par Rafiarock
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Déposé par ourson
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Déposé par mindy le 28/01/2015  
COMMENT EST-CE POSSIBLE ?
Par Jim Willis 2001 (Source « chez Maya »)
Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles et t'ai fait rire.
Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu ton meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais
" Comment est-ce possible ? ", mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que tu étais terriblement occupé,
mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture,
arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens, " comme tu disais),
et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière,
et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirements de cour et déceptions,
je ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer.
Et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une "personne chien ", mais je l'ai accueillie dans notre maison,
essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser,
et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour ".
Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes,
ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses - parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes
et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi dans ton portefeuille
et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais juste " oui " et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de " ton chien" à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville,
et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta " famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et as dit : " Je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle."
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers."
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il a crié
"Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !"
Et je me suis inquiété pour lui.
Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité,
et au sujet du respect pour toute vie ?
Tu m'as donné un " au revoir caresse" sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois
et que vous n'aviez rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué la tête et ont dit : " Comment est-ce possible ?".
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent.
Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve...
ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention,
je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon cœur battait d'appréhension à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le "prisonnier de l'amour" avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt inquiété pour elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connaissais votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre à travers mon corps,
je me suis assoupie, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : " Comment as-tu pu ?".
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée."
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'allais à une meilleure place
où je ne serais pas ignorée ou abusée ou abandonnée, où j'aurais à pourvoir moi-même à mes besoins,
une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit.
Et avec mes dernières forces, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue
que mon " Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.

Déposé par ovanek le 28/01/2015  

***** Parlé de Toi *****
Tu sais que j'ai du mal Encore à parler de toi car tu reste présent
je pense que c'est normal y'a pas de bon ou de mauvais moment.
La vie apporte l’Hier … le Jour … et le Demain
Tu sais j'ai la voix qui ce noue et les yeux qui ce flou d’un voile humide
Quand je te croise dans les photos de mon esprit
souvent j'ai le cœur qui se perd …Je crois qu'il te pense un peu trop
C'est comme ça J'aurais aimé tenir serré contre moi un peu plus longtemps
j’aurais aimé que mon chagrin ne dure qu'un instant
la faute à qui ? La faute à quoi ? La faute à Toi …la faute à Moi
certainement la faute à la Vie celle qui nous attendris. Nous meurtris. Nous endurcis
je sais que tu m'entends c'est dur de briser le silence
alors nos pensée sont la pour nous faire parlé de notre côté sombre
enfouit en nous. Ecrire nos bonheurs et nos colères
Même dans les cris même dans la joie c'est dur de combattre l'absence
Mais personne ne peut comprendre On a chacun sa propre histoire. Son fardeau
la Vie dit qu'il faut attendre que la peine devienne comme un espoir
Je peux te dire que je suis fier de notre rencontre
de notre vie ensemble que de chemin parcouru
Même si la vie A ses détours elle reste fidèle à elle-même
j’étais ton compagnon de route je reste ton compagnon de cœur
** Fidèle à Jamais … Mes Pensées Phil **


Déposé par Anne54 le 28/01/2015  
Sans toi
Ce soir, je suis seule pour la première fois
Ton absence, trop présente me ramène à toi
Quelle douleur que d’aimer quand l’autre a disparu
C’est la fin de l’histoire et le bonheur n’est plus
Tu restes sur les photos que j’avais encadrées
Mais déjà à mes yeux, tu deviens étranger
Le temps impitoyable continue sa besogne
Les moments partagés et les séjours passés
Comment ne pas pleurer, comment ne pas souffrir
Devant toutes ces années devant ces souvenirs
Mon cœur battait pour deux, aujourd’hui il s’endort
Mes aiguilles sont bloquées au cadran de ton départ
Le soleil peut briller mais ma vie reste sombre
Rescapée, malheureuse, tapie dans nos décombres
J’erre dans un royaume qui ne m’appartient plus
La bataille est finie, les armées sont vaincues
La reine n’a plus de roi, le jeu est terminé
Le duel est perdu, tu aurais dû m’emmener
On aurait pu ensemble s'engouffrer dans l’oubli
Et enfin pour toujours y sceller nos deux vies

Déposé par mindy le 27/01/2015  
Ceux qui nous quittent nous font mal, le mystère de la mort est bien là... mais si on pense à eux avec beaucoup d'amour, ils restent vivants, en tout cas dans notre cœur

Déposé par Ana le 27/01/2015  
"C'est parce qu'on imagine simultanément tous les pas qu'on devrait faire qu'on se décourage, alors qu'il s'agit de les aligner un à un". M.JOUHANDEAU
Malgré les épreuves il faut continuer d'avancer, et penser que le pessimisme prend souvent les proportions que nous lui donnons... Mille mercis pour tous vos gentils messages! amitiés

Déposé par choupinou le 27/01/2015  
RAFIA
j'ai beau courir,courir et courir
jamais je ne te rejoindrai...
mais je sais que je peux
suivre le chemin de l'envolé
pour y ramasser tes plumes,
les belles plumes de tes aile mon ange.
Tu sais un jour viendra ,un jour magnifique,
ou moi aussi,je prendrai mon envol,
je partirai pour te rejoindre pour aller vers toi
vers toi a tout jamais et nous seront toujours ensemble
pour l'éternité ,l'amour éternel : TOI ET MOI,

Déposé par poutounou le 25/01/2015  
Le printemps reviendra
*
Hé oui, je sais bien qu’il fait froid,
Que le ciel est tout de travers;
Je sais que ni la primevère
Ni l’agneau ne sont encor là.
La terre tourne ; il reviendra,
Le printemps, sur son cheval vert.
Que ferait le bois sans pivert,
Le petit jardin sans lilas ?
Oui, tout passe, même l’hiver,
Je le sais par mon petit doigt
Que je garde toujours en l’air…
*
Maurice Carême
*
Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid…

Déposé par mindy le 25/01/2015  
La vie c'est comme le soleil,
Parfois ça brille de mille feux,
Parfois ça ne brille pas du tout,
La vie est faite de joies et de peines,
De colères et de bonheurs,
La vie c'est aussi être malheureux et souffrir,
Et parfois être heureux,
La vie est un mystère,
Il faut tout accepter dans la vie

Déposé par tinou20042001 le 24/01/2015  
RIEN N'EST COMME AVANT
Ecouter le ciel
Sensible à ces âmes qui dansent
Qui font que nos vies avancent
Même si tout s'enfuit
Chercher l'essentiel
Voir l'ombre de ceux qui manquent
Continuer comme ça vous chante
Même si tout s'enfuit
Tournent les anges
Quand tout se mélange
Quand on ferme les yeux
{Refrain:}
Mais rien n'est comme avant
Toujours la vie reprend
Tout ce qu'elle a donné
Tout ce qu'on a aimé, tellement
Mais rien n'est comme avant
L'absence nous apprend
Tout ce qu'on a aimé
Continue d'exister
Mais pas comme avant
Espérer le sel
De la vie sur l'existence
Au-delà de nos souffrances
Même si tout s'enfuit
Tournent les anges
Quand tout se mélange
Quand on ferme les yeux
{Au Refrain}
Mon amour, on attend
Pour se retrouver là-bas
Pour un jour, un instant
Se retrouver dans leurs pas
Hélène SEGARA

Déposé par ovanek le 24/01/2015  


**** Sur ton chemin ****
un triste jour , tes yeux ce sont refermés et me plongent dans une nuit sans fin
Je n'imaginais pas que notre bonheur ce briserais telle une vague sur un rocher
ne laissant derrière elle que sont écumes
ont c’était rien promis mais on savait ce comprendre
J'entends ta présence, dans cette écume blanche celle d’un ange…te perçois vers moi
je sais que tu es là et peu importe la pensée des uns et des autres
Qui sont ces gens qui crient et parlent de malheur ?
On me donne des paroles, on me raconte un peu de toi
mais tu es bien trop grand pour tenir dans si peu de mots
C'est toi qui es ma force et m'empêches d'avoir peur …d’avoir pleurs
N'y va-t-il donc pas déjà eu assez de solitude dans la pensée des hommes !!!
d'avant quand tu n'étais pas là …je savais pas …je ne savais rien…
maintenant tout est clair dans des moments sombres
Jamais tu ne partirais de mon Cœur qui resteras près de toi
Mes êtres cher… au cieux qui sont partis
ne pense pas toujours la détresse qu'ils ont laissée en moi
Les hommes ne savent pas mais les chiens sentent cela
Ces fleurs sans Pleurs que je dépose sur une pierre à ton nom sans nom
je sais que tu les vois, les sens, je sais tes habitudes.
Je creuse comme toi la terre, un jour notre chemin va ce rejoindre à nouveau
….ensemble tu verras on va devenir vieux…
le temps usure tout sur son passage….
Mais je serais la-t-elle une montagne face aux quatre Vents
Je déteste les pleurs mais j'aime tes abois de joie ...
alors j'inventerai ce qui n'existe pas… penserai ce qui ai Toi
pour toi mon beau soleil, au milieu des étoiles magicien de ma vie dont tu chasses le gris.
Même si je hurle ton nom et que tu ne reviens pas je te chercherais partout
je sais, tu y serais déjà en ce jardin si loin d’où l'on n'en revient pas
un jour Je suivrais tes pas sur ton chemin, alors je serais la…
Tout près de Toi à Tes côtés. Mon Chien
**** Mes Pensées… Phil ****


Déposé par seensouaree le 23/01/2015  
La mort n'est rien
L'amour ne disparaît jamais.
La mort n’est rien.
Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté.
Je suis moi, tu es toi :
Ce que nous étions l’un pour l’autre,
Nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas un ton différent.
Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Prie, souris, pense à moi, prie pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
Comme il l’a toujours été,
Sans emphase d’aucune sorte,
Sans trace d’ombre.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié.
Elle est ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée
Parce que je suis hors de ta vue ?
Je t’attends, je ne suis pas loin,
Juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois tout est bien.
(Henry Scott Holland)
Bon week-end avec toute mon amitié et de gros bisous

Déposé par mindy le 23/01/2015  
A toi qui as perdu un être qui t'était cher,
Retiens les souvenirs qui t'ont tant fait frémir,
Tu déplores ta tristesse, tu maudis l'éphémère,
Tu rêves de sa main pour pouvoir la tenir,
Il entame une autre ère comme on joue un prélude,
Regarde autour de toi même si tu ne le vois pas,
Offre-lui quelques mots malgré les habitudes,
Ressens donc sa présence car son âme est vers toi,
Les ailes lui ont poussé, il est devenu ange,
Bien heureux et posé il guidera tes pas,
Il veut te sentir bien, que surtout rien ne change,
La mort des âmes n'est pas, écoute le tout bas,
Il viendra te trouver sous forme déguisée,
Et malgré son absence, il va te soutenir,
Il te lance un message, celui de continuer,
Sur le chemin de la vie il veut te voir sourire..

Déposé par choupinou le 23/01/2015  
Souvenir.
En vain le jour succède au jour,
Ils glissent sans laisser de trace ;
Dans mon âme rien ne t'efface,
Ô dernier songe de l'amour !
Je vois mes rapides années
S'accumuler derrière moi,
Comme le chêne autour de soi
Voit tomber ses feuilles fanées.
Mon front est blanchi par le temps ;
Mon sang refroidi coule à peine,
Semblable à cette onde qu'enchaîne
Le souffle glacé des autans.
Mais ta jeune et brillante image,
Que le regret vient embellir,
Dans mon sein ne saurait vieillir
Comme l'âme, elle n'a point d'âge.
Non, tu n'as pas quitté mes yeux ;
Et quand mon regard solitaire
Cessa de te voir sur la terre,
Soudain je te vis dans les cieux.
Là, tu m'apparais telle encore
Que tu fus à ce dernier jour,
Quand vers ton céleste séjour
Tu t'envolas avec l'aurore.
Ta pure et touchante beauté
Dans les cieux même t'a suivie ;
Tes yeux, où s'éteignait la vie,
Rayonnent d'immortalité !
L'ombre de ce voile incertain
Adoucit encor ton image,
Comme l'aube qui se dégage
Des derniers voiles du matin.
Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit ;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours sur mon âme.
C'est toi que j'entends, que je vois,
Dans le désert, dans le nuage ;
L'onde réfléchit ton image ;
Le zéphyr m'apporte ta voix.
Tandis que la terre sommeille,
Si j'entends le vent soupirer,
Je crois t'entendre murmurer
Des mots sacrés à mon oreille.
Si j'admire ces feux épars
Qui des nuits parsèment le voile,
Je crois te voir dans chaque étoile
Qui plaît le plus à mes regards.
Et si le souffle du zéphyr
M'enivre du parfum des fleurs.
Dans ses plus suaves odeurs
C'est ton souffle que je respire.
C'est ta patte qui sèche mes pleurs,
Quand je vais, triste et solitaire,
Répandre en secret ma prière
Près des autels consolateurs.
Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ;
Tes ailes reposent sur moi ;
Tous mes songes viennent de toi,
Doux comme le regard d'une ombre.
Comme deux rayons de l'aurore,
Comme deux soupirs confondus,
Nos deux âmes ne forment plus
Qu'une âme, et je soupire encore !
Alphonse de Lamartin

Déposé par mindy le 22/01/2015  
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
(La nuit n’est jamais complète - Paul Eluard)

Déposé par goulou50 le 22/01/2015  
Mon Ange,
Aujourd'hui j'aimerais tant que tu sois encore avec moi,
je sais que tu es parmi les étoiles
et que de là-haut tu brille pour nous protéger,
que tu es près de nous à chaque instant,
que tu me donnes la force de surmonter ton absence.
a chaque jour qui passe...
ton absence se fait sentir très fort,
quand j'ai le coeur lourd de tristesse,
quand mes larmes coulent,
je peux sentir tes baisers de papillon
qui par tes Ailes d'Ange,
tu viens me les sécher.
avec ta douceur qui est la tienne...
je sais que tu seras toujours là
jusqu'au jour ou l'on se retrouveras...
Je t'aime mon petit ange

Déposé par Anne54 le 20/01/2015  
Le chien
Tête de boule chaude qu’on nourrit, qu’on élève.
Petit animal qui cahote sur ses pattes, glisse sur les postérieurs, écroulé sur son ventre tendre et mou de bébé trop nourri.
Chien enfant que l’on aime, que l’on instruit du mieux qu’il peut.
Dont on a la fierté de la patte donnée.
Dont on a la tendresse, la chaleur, le silence qui parle, les yeux qui vous regardent. Chien compagnon, chien de la promenade qui gambade avec vous, s’en va pour revenir avec le plus beau des présents : un caillou, une branche, son amour qui rythme votre vie et vous force à la vie.
Chien qui donne : un regard, la poussée d’une tête, un œil doré d’amour, une patte. Chien qui accepte un soin, une caresse, une tape, un reproche.
Chien qui est votre enfant, mais qui devient le parent qui vieillit avant vous, que vous voyez marcher lorsqu’il aimait courir, se lever pesamment, venir vers vous
avec la lenteur de l’âge.
Chien qui s’abîme, s’use avec la vie, chien qui déroule en douze ans une vie, vieux chien qu’on aime, et qui s’éloigne, et qui s’en va, qui est parti et que l’on pleure.
Christian Chabellard,
Amitiés à vous Chère Maryem, des câlins à vos anges... Anne

Déposé par mindy le 20/01/2015  
Je marchais à l’épicerie,
pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture.
Je n’avais pas faim.
La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive.
Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs.
Il venait souvent avec moi et, presque à chaque fois,
il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose.
Je savais ce qu’il planifiait.
Tout à coup, je l’apercevais, marchant dans l’allée,
avec trois roses jaunes dans sa main.
Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes.
Subitement, le cœur rempli de chagrin,
je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir.
Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant.
Magasiner, pour un, prenait du temps…
Un peu plus de temps qu’il n’en prenait pour deux!
Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait
et me suis souvenue à quel point il aimait son steak.
Soudainement, une femme approcha tout près de moi.
Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte.
Je la regardais alors qu’elle prenait, dans ses mains,
un gros paquet de T-Bones. Elle le déposa dans son panier,
hésita, et le remit dans le comptoir.
Elle se tourna pour partir,
mais décida de reprendre le paquet de steaks.
Elle s’aperçut alors que je la regardais,
et, en souriant, elle me dit : mon mari adore les T-Bones,
mais, honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine!
Ravalant l’émotion,
je rejoignis ses yeux bleus et lui dit:
mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours.
Achetez-lui les steaks!
Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble!
Elle secoua la tête.
Lisant l’émotion dans ses yeux, elle reprit le paquet,
le déposa dans son panier, et partit.
Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers.
J’étais là me demandant quel format me procurer.
Je décidai pour le demi-litre et, ensuite, poussai le panier vers l’allée de la crème glacée.
S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée.
Je déposai la crème glacée dans mon panier, et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses.
J’ai vu la robe verte en premier, puis j'ai reconnu la jolie femme s’approchant vers moi.
Dans ses bras, elle portait un paquet.
Son visage affichait un sourire magnifique.
J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds.
Alors qu’elle s’approchait de moi,
j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains,
et mes yeux ne purent s’empêcher de s’emplir d’eau.
Ceci est pour vous, me dit-elle,
en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras.
Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées.
Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau.
J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire,
ce que les roses représentaient.
Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner,
les larmes brouillant ma vision…
J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert
les trouvant presque irréelles!
Comment pouvait-elle savoir?
Soudainement, la réponse m’apparut clairement.
Je n’étais pas seule.
Tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas? J'ai chuchoté ceci, les larmes aux yeux!
Il était encore ici, avec moi, et elle était son ange.
(source internet canadienne : « chez maya »)

Déposé par choupinou le 20/01/2015  
Je suis sortie ce soir,
seule, sous l'ombre troublée,
à travers la pluie du miroir,
aux larmes de mes pensées.
Pour attraper un peu de toi,
je n'avais plus qu'à me cacher,
sous ce parapluie noir d'émoi
et laisser les gouttes m'inonder.
C'était pas il y à demain...
C'était pas, il y des mois...
Le temps est une traine de toi,
qui oublie la pluie sans fin.
Il transporte les rivières.
Transforme les torrents d'hier.
Déverse ses larmes aux abois,
qui dégoulinent à soif de toi.
Sur l'horizon blême,
au ciel sans but même.
Cachée sous l'ombrelle,
j'écoute la pluie ruisselle.
C'était pas il y a des heures...
C'était pas il a des siècles...
Le temps de toi qui passe,
me traine tant qu'il me glace.
Sur mes joues de chagrin,
il pleut de toi sans fin.
J'entends pleurer la pluie,
en silence dans la nuit.
Je n'avais plus qu'à me fondre,
sous cette ondée de tristesse.
Me décomposer et me confondre,
en pluie de larmes caresse.
Myriam Ghibaudo
douces pensées

Déposé par sandra40 le 19/01/2015  
L 'enfant et le chien
Un enfant seul,
Tout seul avec en main
Une belle tranche de pain.
Un enfant seul,
Avec un chien
Qui le regarde comme un dieu
Qui tiendrait dans sa main,
La clé du paradis des chiens.
Un enfant seul
Qui mord dans sa tranche de pain,
Et que le monde entier
Observe pour le voir donner
Avec simplicité,
Alors qu'il a très faim,
La moitié de son pain
Bien beurré à son chien.
Maurice Carême.

Déposé par poutounou le 18/01/2015  
L'arbre de la tolérance
*
Pour toi, bel Ange…
*
Quels mots veux-tu que j'apprivoise pour toi aujourd'hui ?
Pendre, prendre, prétendre
Ils sont bien trop enferrés aux boulets de la vanité
*
Prévaloir, pouvoir, avoir
Ceux-ci vivent leur deuil
Au fond des prisons d'orgueil
*
Imposer, condamner, spéculer
Tous sont opprimés
Dans les étaux de la cupidité
*
Pour toi j'apprivoiserai plutôt les mots
Ecouter, respecter, partager
Et si c'est leur préférence
Je leur offrirai les fleurs de la tolérance
*
Pour toi, j'apprivoiserai plutôt les mots
Apprendre, comprendre, entendre
Et si c'est leur volonté
Je leur offrirai les branches de l'humilité
*
Pour toi, j'apprivoiserai surtout les mots
S'ouvrir, sourire, offrir
Et si c'est pour toujours
Je leur offrirai l'arbre d'amour




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IN FRANCE AT MY PLACE NOVEMBER 06
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Leur ????Battait. A l'unisson.
Ce fut une très belle rencontre. Celui de Maman. S'est arrêté???? MAIS. Les 2 Amies continuent. A la faire vivre! Je vous "M! Maël)..
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2 AMIES????. DU SITE
Maman???? les ADORAIT. Moi aussi! Maël) Comme 2 soeurs. Ke je n'avais pas eues.
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIII mA SORELLA????
MA Sorella????Je T'M.
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Je t'ai aimée. Je T'M. ET t'aimerai TOUJOURS.
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Ma fille Adorée
PARTAGE. Avec TOI. De ma Tristesse.
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Nan! Je ne cherche pas des truffes!
Nous nous étions "égarés"Dans le parc. Où CT interdit d'aller.
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