En hommage à

Niagara du Moulin de Labatut
1997 / 2007


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Niagara du Moulin de Labatut
1997 / 2007

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En hommage à
Niagara du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:16/01/1997
Il nous a quittés le:30/07/2007
 


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En hommage à Niagara du Moulin de Labatut

Niagara...ma belle Niagara, le 30 juillet 2007 tu ns as quittés. Toi, qui était en excellente santé malgré tes 10 ans 1/2.
Il a fallu une saleté de femme pr ns priver de toi. Comment peut-on empoisonner un chien ??? et ce, pr se venger de ses "ma^^itres". Parce que ns lui avions demandé de s'occuper de ses 3 gros chiens qui aboient toute la journée...et pr le plaisir d'aboyer !!! Sur les conseils de notre véto, ns voulions déposer une plainte contre elle mais, ns en avons été dissuadés car ns n'avions pas de preuves concrètes...alors qu'elle s'est "vantée" ..."d'en avoir une qu'une...alors qu'elle voulait empoisonner les 5" !!!
Je suis encore tjrs très en colère après le véto que ns avions consulté, car le tien était en vacances. C'était le jeudi qui a précédé ta mort. Ns trouvions que tu avais un gros ventre et tu ne mangeais pas avec ton bel appétit. Elle a dit...qu'elle ne trouvait pas ton ventre trop gros...que tu étais "dodue",..donc ton ventre aussi !!! en résumé...elle t'a trouvée en excellente santé !!! Le vendredi matin, tu t'es mise à vomir...très peu certes. L'après midi ns t'avions ramenée à son cabinet. Elle a dit que tu avais une gastro...tu avais mangé quelque chose qui ne t'avait pas convenu (et pr cause !!!)....alors que ton alimentation n'avait pas varié. Elle a prescrit des médicaments pr traiter cette prétendue gastro. Le vendredi soir, tu vomissais à nouveau...le samedi matin, à la première heure retour chez elle. Là, ns comprenions que ns commencions à l'énerver...Il fallait que les médicaments aient le temps d'agir...ns opposait-elle. Le samedi soir tu étais très fatiguée, ce qui ne te ressemblait pas...le dimanche idem...et pr rentrer de ta promenade quotidienne ds notre grand jardin...il a fallu que je te porte ds mes bras. Ton "papa" a dit que tu étais une grosse paresseuse...il l'a bcp regretté par la suite. Ds la nuit de dimanche à lundi tu t'es remise à vomir... A 6 heures, tu perdais du sang noir, par l'anus...A 8 heures, ns étions rendus chez ton véto,(impossible de le joindre avant, il était sur répondeur..et pourtant que des messages désespérés j'ai laissés !!!)... qui était rentré de ses vacances. Il t'a soigneusement examinée...et aussit^^ot son diagnostic a été "empoisonnement". Il t'a fait plusieurs injections...a tenté de ns rassurer. Plus tard je comprendrais qu'il n'avait pas voulu m'inquiéter (j'étais encore "fragile" suite à l'ablation de mon cancer et de la très grave infection nosocomiale qui a suivi ladite ablation).Un peu plus tard il a appelé la maison..c'est ton "papa" qui a répondu...En fait, le véto lui avait dit qu'il n'avait pas l'espoir de te sauver, mais qu'il avait fait le nécessaire pr que tu t'en ailles, sans souffrir...qu'il t'avait plongée ds un semi état comateux...Mais pr moi...ton papa avait travesti la vérité...et je le lui reproche encore !!!
L'après midi du lundi, tu as "navigué" ds la maison...mais tu refusais de manger...Tu voulais boire et le véto avait dit qu'il fallait t'emp^^echer de boire...Je me souviens encore de ton regard éploré...lorsque je ne répondais pas à ta demande. Toutes les 30' je te donnais très peu d'eau à l'aide d'une seringue..tu ne comprenais pas.Jusqu'à 22 heures, tu semblais pourtant mieux...et je commençais à reprendre espoir...Vers 2 heures, (ton panier était de mon c^^oté du lit)...j'ai senti une odeur nauséabonde...et j'ai aussit^^ot vu que tes coussins étaient remplis de sang épais et noir..J'ai réveillé ton papa...il fallait trouver un véto de garde....c'est là qu'il m'a avoué la vérité....tu allais t'en aller)..Avec ton papa, précautionneusement, ns sommes allés te nettoyer, ds la salle de bain...j'ai retiré ts les coussins de ton panier...et je les ai remplacés par des propres. Ns t'avons recouchée...tu respirais normalement, tu étais paisible. Mais l'hémorragie a repris...je ne cessais de mettre des serviettes afin d'éviter que ta robe soit souillée...Vers 7 heures, tu t'es mise à respirer plus fort...tu avais tjrs tes beaux yeux ouverts...mais il semblait que tu ne ns voyais plus...puis un voile s'est posé sur tes yeux...tu respirais de plus en plus difficilement. J'ai cru que tu souffrais...alors j'ai voulu que ns partions chez le véto. Toi qui avait été tjrs paisible...dès que ns sommes arrivés ds notre entrée...tu t'es mise à trembler...Pourtant j'avais pris la précaution de te couvrir. Ds la voiture, tes tremblements se sont accélérés...Ns sommes arrivés très vite chez le véto...il a dit "elle est en train de partir"...je vais l'aider. Il a pris une seringue, l'a remplie d'un liquide...Il a saisi un rasoir...l'a passé sur une de tes pattes....il a introduit l'aiguille ds ta chair...et là avant m^^eme qu'il ne pousse sur le piston de la seringue...tu es partie ds un grand soupir. Tu avais voulu mourir toute seule. Ns étions effondrés...Le véto a demandé si ns souhaitions une autopsie...j'ai crié "non" ...je ne voulais pas que l'on touche à ton intégrité. Il ns a aussi demandé si ns voulions une "crémation"...mais elle ne pouvait se faire aussit^^ot....alors ns avons décidé de te ramener chez toi. Notre véto a accepté...tout en soulignant que ce n'était pas légal...mais qu'est ce que l'on s'en moque de cette légalité !!! Car en fait il s'agit succinctement... d'une histoire de "pollution".
Ma Niagara adorée...tu es partie mais tu es tjrs ds notre coeur...et le chagrin est tjrs là.
Ds notre jardin...tu n'es pas loin de Rafia...mais ici, ici, tu la retrouves.
Plein de gros c^^alins et bisous ma "nénette adorée".




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3220 messages

Déposé par mindy le 03/02/2015  
Il n’y a pas de mort,
il n’y a que des métamorphoses.
Tu ne nous a pas quittés
Mais tu t’en es allé au pays de la Vie,
Là où les fleurs
Plus jamais ne se fanent,
Là où le temps
Ne sait plus rien de nous.
Ignorant les rides et les soirs,
Là où c’est toujours matin,
Là où c’est toujours serein.
Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.
Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.
Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…
Par Père André Marie

Déposé par choupinou le 02/02/2015  
une petite étoile luit dans la nuit
une petite étoile brille et me souris
une petite étoile qui me tend toujours la patte
une petite étoile qui m'aide à construire mon chemin
une petite étoile qui me rassure quand j'ai peur
une petite étoile qui me console quand je pleure
une petite étoile qui m'écoute quand je suis seule
une petite étoile en moi qui demeure
cette petite étoile ne s'éteindra jamais
cette petite étoile brillera toujours pour l'éternité
cette petite étoile c'est toi,mon doux,mon aimée
cette petite étoile qui resplendit dans mes moment sombre
cette petite étoile qui s'acharne pour que je sorte de l'ombre...
votre amie babeth

Déposé par ovanek le 02/02/2015  

*****
Ma journée a été maussade
Mon soleil a viré à la pluie.
Mon étoile c'était perdue dans le brouillard
Le monde entier sait mit à hurlé ....
Mais il a suffi d'une pensée de toi
et je vois la vie de mille lumières
*** Je t'aime .....Phil ***


Déposé par mindy le 31/01/2015  
Le bonheur, c’est notre vie à traverser
Sans jamais, jamais regretter le passé
Il arrive ce jour, ou encore ce temps
Ou l’on se voit obligé de faire un bilan
Ou nous arrêter, devient une nécessité
Ou, l’on vit des choses qui vont nous changer
Notre vie, ne sera plus pareille à celle d’hier
On rencontre tous un jour ce point de repère
Ou le avant et le après ne se ressembleront plus
Ou l’on voudra oublier tout c’qu’on a vécu
Et pourtant, que l’on soit ou non, croyant
Quelque chose nous poussera à aller de l’avant
On aura beau être fatigué, même découragé
Quelque chose nous poussera à continuer
Notre perception des choses changera totalement
La vie, nous semblera plus belle qu’avant
Au fond, c’est qu’on le voulait tellement
Qu’il ne peut pas, en être autrement
Tant mieux, qu’on ait cette tendance à oublier
Sur une médaille, il y a toujours deux cotés
Et si dans la vie on a choisi le mieux
C’était, qu’on voulait encore être heureux
Toutes ces leçons nous ont grandi, on a appris
Il en reste, que c’était le but de notre vie
On vit tous un jour, de la peur dans notre vie
Mais enfin, c’est notre histoire qui se construit
Texte Claude Marcel Breault

Déposé par rafia le 30/01/2015  
Comment être heureux
1. Décide d’être heureux. Apprends à trouver du plaisir dans les choses simples.
2. Tire le meilleur parti possible de tes situations. Nul ne possède tout et tout le monde a une certaine tristesse mêlée aux plaisirs de la vie. Le secret consiste à rire plus qu’on ne pleure.
3. Sois indulgent avec toi-même. Ne te prends pas trop au sérieux. Et ne crois pas que tu dois être protégé des malheurs qui frappent les autres.
4. Ne te soucie pas des critiques. Tu ne peux plaire à tout le monde.
5. Fixe tes propres normes et tes propres buts. Sois toi-même et explore tes propres limites.
6. Fais ce que tu aimes faire, mais sans t’endetter.
7. Ne cherche pas les ennuis. Les fardeaux imaginaires sont plus lourds à porter que les vrais.
8. Débarasse-toi de tes rancoeurs. La haine, l’envie et la colère te rongeront de l’intérieur.
9. Multiplie tes intérêts. Si tu ne peux voyager, parcours le monde par tes lectures.
10. Ne te laisse pas terrasser par les regrets. Surmonte tes tristesses et tes erreurs et ne conserve que les leçons utiles qu’elles t’ont apprises.
11. Fais ce que tu peux pour les gens moins fortunés que toi.
12. Tiens-toi occupé. Quiconque est très occupé n’a pas le temps d’être malheureux.
Robert Louis Stevenson,

Déposé par rafia le 30/01/2015  
La vie
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Mère Teresa

Déposé par spanky le 29/01/2015  
Lettre de nos anges.
Quand demain commencera sans moi,
que je ne serai pas là pour te voir.
Quand le soleil se lévera,
séche tes larmes.
J'aimerais tant que tu gardes
nos souvenirs joyeux.
Je sais combien tu m'aimes,
chaque fois que tu penses à moi,
je brille dans ton coeur.
Tu sais combien je t'aime,
tu brilleras toujours dans le mien
et je ne serai jamais bien loin.

Déposé par poutounou le 28/01/2015  
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
*
Paul Eluard

Déposé par mindy le 28/01/2015  
COMMENT EST-CE POSSIBLE ?
Par Jim Willis 2001 (Source « chez Maya »)
Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles et t'ai fait rire.
Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu ton meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais
" Comment est-ce possible ? ", mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que tu étais terriblement occupé,
mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture,
arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens, " comme tu disais),
et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière,
et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirements de cour et déceptions,
je ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer.
Et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une "personne chien ", mais je l'ai accueillie dans notre maison,
essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser,
et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour ".
Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes,
ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses - parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes
et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi dans ton portefeuille
et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais juste " oui " et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de " ton chien" à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville,
et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta " famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et as dit : " Je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle."
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers."
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il a crié
"Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !"
Et je me suis inquiété pour lui.
Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité,
et au sujet du respect pour toute vie ?
Tu m'as donné un " au revoir caresse" sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois
et que vous n'aviez rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué la tête et ont dit : " Comment est-ce possible ?".
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent.
Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve...
ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention,
je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon cœur battait d'appréhension à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le "prisonnier de l'amour" avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt inquiété pour elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connaissais votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre à travers mon corps,
je me suis assoupie, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : " Comment as-tu pu ?".
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée."
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'allais à une meilleure place
où je ne serais pas ignorée ou abusée ou abandonnée, où j'aurais à pourvoir moi-même à mes besoins,
une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit.
Et avec mes dernières forces, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue
que mon " Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.

Déposé par ovanek le 28/01/2015  

***** Parlé de Toi *****
Tu sais que j'ai du mal Encore à parler de toi car tu reste présent
je pense que c'est normal y'a pas de bon ou de mauvais moment.
La vie apporte l’Hier … le Jour … et le Demain
Tu sais j'ai la voix qui ce noue et les yeux qui ce flou d’un voile humide
Quand je te croise dans les photos de mon esprit
souvent j'ai le cœur qui se perd …Je crois qu'il te pense un peu trop
C'est comme ça J'aurais aimé tenir serré contre moi un peu plus longtemps
j’aurais aimé que mon chagrin ne dure qu'un instant
la faute à qui ? La faute à quoi ? La faute à Toi …la faute à Moi
certainement la faute à la Vie celle qui nous attendris. Nous meurtris. Nous endurcis
je sais que tu m'entends c'est dur de briser le silence
alors nos pensée sont la pour nous faire parlé de notre côté sombre
enfouit en nous. Ecrire nos bonheurs et nos colères
Même dans les cris même dans la joie c'est dur de combattre l'absence
Mais personne ne peut comprendre On a chacun sa propre histoire. Son fardeau
la Vie dit qu'il faut attendre que la peine devienne comme un espoir
Je peux te dire que je suis fier de notre rencontre
de notre vie ensemble que de chemin parcouru
Même si la vie A ses détours elle reste fidèle à elle-même
j’étais ton compagnon de route je reste ton compagnon de cœur
** Fidèle à Jamais … Mes Pensées Phil **


Déposé par mindy le 27/01/2015  
Ceux qui nous quittent nous font mal, le mystère de la mort est bien là... mais si on pense à eux avec beaucoup d'amour, ils restent vivants, en tout cas dans notre cœur

Déposé par choupinou le 27/01/2015  
NIAGARA
j'ai beau courir,courir et courir
jamais je ne te rejoindrai...
mais je sais que je peux
suivre le chemin de l'envolé
pour y ramasser tes plumes,
les belles plumes de tes aile mon ange.
Tu sais un jour viendra ,un jour magnifique,
ou moi aussi,je prendrai mon envol,
je partirai pour te rejoindre pour aller vers toi
vers toi a tout jamais et nous seront toujours ensemble
pour l'éternité ,l'amour éternel : TOI ET MOI,

Déposé par poutounou le 25/01/2015  
Le printemps reviendra
*
Hé oui, je sais bien qu’il fait froid,
Que le ciel est tout de travers;
Je sais que ni la primevère
Ni l’agneau ne sont encor là.
La terre tourne ; il reviendra,
Le printemps, sur son cheval vert.
Que ferait le bois sans pivert,
Le petit jardin sans lilas ?
Oui, tout passe, même l’hiver,
Je le sais par mon petit doigt
Que je garde toujours en l’air…
*
Maurice Carême
*
Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid…

Déposé par mindy le 25/01/2015  
La vie c'est comme le soleil,
Parfois ça brille de mille feux,
Parfois ça ne brille pas du tout,
La vie est faite de joies et de peines,
De colères et de bonheurs,
La vie c'est aussi être malheureux et souffrir,
Et parfois être heureux,
La vie est un mystère,
Il faut tout accepter dans la vie

Déposé par Ana le 24/01/2015  
"L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console" W. Shakespeare. Mille mercis et bisous pour votre soutien, votre amitié et tous les messages d'espoir, bon week-end à Essaouira! votre amie Ana.

Déposé par ovanek le 24/01/2015  


**** Sur ton chemin ****
un triste jour , tes yeux ce sont refermés et me plongent dans une nuit sans fin
Je n'imaginais pas que notre bonheur ce briserais telle une vague sur un rocher
ne laissant derrière elle que sont écumes
ont c’était rien promis mais on savait ce comprendre
J'entends ta présence, dans cette écume blanche celle d’un ange…te perçois vers moi
je sais que tu es là et peu importe la pensée des uns et des autres
Qui sont ces gens qui crient et parlent de malheur ?
On me donne des paroles, on me raconte un peu de toi
mais tu es bien trop grand pour tenir dans si peu de mots
C'est toi qui es ma force et m'empêches d'avoir peur …d’avoir pleurs
N'y va-t-il donc pas déjà eu assez de solitude dans la pensée des hommes !!!
d'avant quand tu n'étais pas là …je savais pas …je ne savais rien…
maintenant tout est clair dans des moments sombres
Jamais tu ne partirais de mon Cœur qui resteras près de toi
Mes êtres cher… au cieux qui sont partis
ne pense pas toujours la détresse qu'ils ont laissée en moi
Les hommes ne savent pas mais les chiens sentent cela
Ces fleurs sans Pleurs que je dépose sur une pierre à ton nom sans nom
je sais que tu les vois, les sens, je sais tes habitudes.
Je creuse comme toi la terre, un jour notre chemin va ce rejoindre à nouveau
….ensemble tu verras on va devenir vieux…
le temps usure tout sur son passage….
Mais je serais la-t-elle une montagne face aux quatre Vents
Je déteste les pleurs mais j'aime tes abois de joie ...
alors j'inventerai ce qui n'existe pas… penserai ce qui ai Toi
pour toi mon beau soleil, au milieu des étoiles magicien de ma vie dont tu chasses le gris.
Même si je hurle ton nom et que tu ne reviens pas je te chercherais partout
je sais, tu y serais déjà en ce jardin si loin d’où l'on n'en revient pas
un jour Je suivrais tes pas sur ton chemin, alors je serais la…
Tout près de Toi à Tes côtés. Mon Chien
**** Mes Pensées… Phil ****


Déposé par mindy le 23/01/2015  
A toi qui as perdu un être qui t'était cher,
Retiens les souvenirs qui t'ont tant fait frémir,
Tu déplores ta tristesse, tu maudis l'éphémère,
Tu rêves de sa main pour pouvoir la tenir,
Il entame une autre ère comme on joue un prélude,
Regarde autour de toi même si tu ne le vois pas,
Offre-lui quelques mots malgré les habitudes,
Ressens donc sa présence car son âme est vers toi,
Les ailes lui ont poussé, il est devenu ange,
Bien heureux et posé il guidera tes pas,
Il veut te sentir bien, que surtout rien ne change,
La mort des âmes n'est pas, écoute le tout bas,
Il viendra te trouver sous forme déguisée,
Et malgré son absence, il va te soutenir,
Il te lance un message, celui de continuer,
Sur le chemin de la vie il veut te voir sourire..

Déposé par choupinou le 23/01/2015  
Souvenir.
En vain le jour succède au jour,
Ils glissent sans laisser de trace ;
Dans mon âme rien ne t'efface,
Ô dernier songe de l'amour !
Je vois mes rapides années
S'accumuler derrière moi,
Comme le chêne autour de soi
Voit tomber ses feuilles fanées.
Mon front est blanchi par le temps ;
Mon sang refroidi coule à peine,
Semblable à cette onde qu'enchaîne
Le souffle glacé des autans.
Mais ta jeune et brillante image,
Que le regret vient embellir,
Dans mon sein ne saurait vieillir
Comme l'âme, elle n'a point d'âge.
Non, tu n'as pas quitté mes yeux ;
Et quand mon regard solitaire
Cessa de te voir sur la terre,
Soudain je te vis dans les cieux.
Là, tu m'apparais telle encore
Que tu fus à ce dernier jour,
Quand vers ton céleste séjour
Tu t'envolas avec l'aurore.
Ta pure et touchante beauté
Dans les cieux même t'a suivie ;
Tes yeux, où s'éteignait la vie,
Rayonnent d'immortalité !
L'ombre de ce voile incertain
Adoucit encor ton image,
Comme l'aube qui se dégage
Des derniers voiles du matin.
Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit ;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours sur mon âme.
C'est toi que j'entends, que je vois,
Dans le désert, dans le nuage ;
L'onde réfléchit ton image ;
Le zéphyr m'apporte ta voix.
Tandis que la terre sommeille,
Si j'entends le vent soupirer,
Je crois t'entendre murmurer
Des mots sacrés à mon oreille.
Si j'admire ces feux épars
Qui des nuits parsèment le voile,
Je crois te voir dans chaque étoile
Qui plaît le plus à mes regards.
Et si le souffle du zéphyr
M'enivre du parfum des fleurs.
Dans ses plus suaves odeurs
C'est ton souffle que je respire.
C'est ta patte qui sèche mes pleurs,
Quand je vais, triste et solitaire,
Répandre en secret ma prière
Près des autels consolateurs.
Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ;
Tes ailes reposent sur moi ;
Tous mes songes viennent de toi,
Doux comme le regard d'une ombre.
Comme deux rayons de l'aurore,
Comme deux soupirs confondus,
Nos deux âmes ne forment plus
Qu'une âme, et je soupire encore !
Alphonse de Lamartin

Déposé par goulou50 le 22/01/2015  
Mon Ange,
Aujourd'hui j'aimerais tant que tu sois encore avec moi,
je sais que tu es parmi les étoiles
et que de là-haut tu brille pour nous protéger,
que tu es près de nous à chaque instant,
que tu me donnes la force de surmonter ton absence.
a chaque jour qui passe...
ton absence se fait sentir très fort,
quand j'ai le coeur lourd de tristesse,
quand mes larmes coulent,
je peux sentir tes baisers de papillon
qui par tes Ailes d'Ange,
tu viens me les sécher.
avec ta douceur qui est la tienne...
je sais que tu seras toujours là
jusqu'au jour ou l'on se retrouveras...
Je t'aime mon petit ange

Déposé par mindy le 20/01/2015  
Je marchais à l’épicerie,
pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture.
Je n’avais pas faim.
La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive.
Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs.
Il venait souvent avec moi et, presque à chaque fois,
il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose.
Je savais ce qu’il planifiait.
Tout à coup, je l’apercevais, marchant dans l’allée,
avec trois roses jaunes dans sa main.
Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes.
Subitement, le cœur rempli de chagrin,
je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir.
Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant.
Magasiner, pour un, prenait du temps…
Un peu plus de temps qu’il n’en prenait pour deux!
Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait
et me suis souvenue à quel point il aimait son steak.
Soudainement, une femme approcha tout près de moi.
Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte.
Je la regardais alors qu’elle prenait, dans ses mains,
un gros paquet de T-Bones. Elle le déposa dans son panier,
hésita, et le remit dans le comptoir.
Elle se tourna pour partir,
mais décida de reprendre le paquet de steaks.
Elle s’aperçut alors que je la regardais,
et, en souriant, elle me dit : mon mari adore les T-Bones,
mais, honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine!
Ravalant l’émotion,
je rejoignis ses yeux bleus et lui dit:
mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours.
Achetez-lui les steaks!
Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble!
Elle secoua la tête.
Lisant l’émotion dans ses yeux, elle reprit le paquet,
le déposa dans son panier, et partit.
Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers.
J’étais là me demandant quel format me procurer.
Je décidai pour le demi-litre et, ensuite, poussai le panier vers l’allée de la crème glacée.
S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée.
Je déposai la crème glacée dans mon panier, et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses.
J’ai vu la robe verte en premier, puis j'ai reconnu la jolie femme s’approchant vers moi.
Dans ses bras, elle portait un paquet.
Son visage affichait un sourire magnifique.
J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds.
Alors qu’elle s’approchait de moi,
j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains,
et mes yeux ne purent s’empêcher de s’emplir d’eau.
Ceci est pour vous, me dit-elle,
en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras.
Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées.
Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau.
J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire,
ce que les roses représentaient.
Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner,
les larmes brouillant ma vision…
J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert
les trouvant presque irréelles!
Comment pouvait-elle savoir?
Soudainement, la réponse m’apparut clairement.
Je n’étais pas seule.
Tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas? J'ai chuchoté ceci, les larmes aux yeux!
Il était encore ici, avec moi, et elle était son ange.
(source internet canadienne : « chez maya »)




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Niagara au destin tragique.
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Niagara dite Nénette ET la Cheftaine
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BIZZZZZZZ. Ma SORELLA????.
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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Maman Adorée. J'ai mal.
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
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BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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