En hommage à
Ovanek dit Max
1998 / 2012




En hommage à
Ovanek dit Max
1998 / 2012


Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de Ovanek  dit  Max a été vue  829 719  fois.
829 719 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
En hommage à
Ovanek dit Max
LABRADOR
Il est né le:19/02/1998
Il nous a quittés le:06/01/2012
 


18 personnes aiment cette page
 

Connectez vous pour poster un message, une fleur ou allumer une bougie
Votre pseudo        Mot de passe       


En hommage à Ovanek dit Max

☆⭐´¨)
. ¸.•´ ¸.•*´¨)
(.¸.•´⭐ (¸.•⭐`...(◜◡‾)💦⭐💦 ‿ℒℴνℯ´⁀☆҉💞💕

Ma vie a été un vrai bonheur et je la remercie
Je repose à la campagne dans mon jardin dans un cadre champêtre au coeur des Monts du Lyonnais
Je sais que je vais beaucoup manquer à mes maîtres, ils m'ont donné beaucoup d'amour depuis que je suis bébé ... merci... merci... merci...
Ne soyez pas triste je vous ai aimé, je vous aime encore et je vous aimerai pour l'éternité

💕⁀⋱‿~❥✿❥✿ ๑⁀⋱‿⭐⁀⋱‿~❥✿❥✿ ๑⁀⋱‿💕⁀⋱‿~❥✿❥✿

Message d’Amour à mes Maîtres

Mon nom OVANEK écrit à l'envers «Kenavo» est un joli mot breton qui signifie "Au Revoir "
Pur hasard….. coïncidence… le destin qui sait !!!
Mais, je ne suis pas loin juste au-dessus de vous parmi les anges entre les nuages dissimulés dans les caresses du vent qui se lève et me promène avec mes compagnons
Je murmure dans vos pensées des chants d’amour que vous m’avez offerts
Je suis la fraîcheur des gouttes de pluie qui s’écoule sur vos visages pour ne pas voir vos larmes qui me rendraient triste
Je pénètre la douceur des flocons de neige qui se déposent sur vous avec pureté
Je suis dans chaque scintillement d’étoiles que vos yeux illuminent dans chaque éclat du soleil pour remplir de chaleur vos deux cœurs d’amour pour que vous m’aimiez encore et encore
Je suis devenu le complice de la lune pour éclairer vos pas qui mènent sur le bon chemin quand les nuits sont trop noires maintenant je veille sur vous comme vous l’avez fait par amour pour moi depuis mes premiers pas
Je sais qu’un jour je vous reverrais afin de vous serrer très fort dans mes pattes et vous faire mille papouilles d'amour mais je ne suis pas pressé !!! prenez votre temps
Ici, on prend soin de nous tous, on s’amuse sans compter et sans douleur dans le Jardin du Bonheur

Ovanek dit Max qui vous Aime, Très Fort et Tendrement...

(¯`´(¯`´.¸-________ღ☆ღ_________ ¸.´´¯)´´¯)
⭐💖PENSEE D'AMOUR POUR TOUJOURS💖⭐
(_¸.(ᵃˡᵖᶤ.´´ ¯¯¯¯¯¯¯¯ღ☆ღ¯¯¯¯¯¯¯¯¯ `´.¸ᵃˡᵖᶤ).¸ )




126 bougies

58029 Fleurs
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Les bonheurs que vous rappelez vous ne les avez pas poursuivis ni cherchés au loin, ils ont poussé et fleuri sous vos pieds, comme les pâquerettes de votre gazon.
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Je t’aime pour l’éternité et maintenant que tu n’es plus là, cette phrase prend enfin son sens. Merci pour ton soutien et ta patience, je ne pourrais jamais te rendre la pareille.
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Vous pouvez toujours trouver l'espoir dans le regard d'un chien
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
tendre et douce nuit, petit amour, que tes rêves soient doux et remplit de joie, qu'ils te ramène le temps d'une nuit dans ta maison auprès de ta maman et que dans le sien elle puisse t'apercevoir
Déposé par Jacky50
Déposé par Jacky50
Le week-end se termine et je passe te faire des gros bisous Max. Amitiés à ta famille
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Des caresses, des bisous et des papouilles pour un joli coeur
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Des caresses, des bisous et des papouilles pour un joli coeur
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Des caresses, des bisous et des papouilles pour un joli coeur
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Des caresses, des bisous et des papouilles pour un joli coeur
Déposé par marylindsay84
Déposé par marylindsay84
À travers les promenades dans les champs et les câlins serrés, Notre lien devient plus fort, jour et nuit. Dans chaque souvenir, l'amour l'emporte.
Déposé par marylindsay84
Déposé par marylindsay84
À travers les promenades dans les champs et les câlins serrés, Notre lien devient plus fort, jour et nuit. Dans chaque souvenir, l'amour l'emporte.
Déposé par prixy
Déposé par prixy
Des bisous tout doux dans ce bouquet. Nos Anges sont dans nos Coeurs à jamais. Merci. Bien à vous
Déposé par prixy
Déposé par prixy
Des bisous tout doux dans ce bouquet. Nos Anges sont dans nos Coeurs à jamais. Merci. Bien à vous
Déposé par prixy
Déposé par prixy
Des bisous tout doux dans ce bouquet. Nos Anges sont dans nos Coeurs à jamais. Merci. Bien à vous
Déposé par Christ
Déposé par Christ
Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Doux bisous sur ton joli museau 😘😘😘🧚‍♂️🧚‍♂️bel ange. Bien à vous 💫💫💫
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Une brassée de jolies fleurs avec des douces pensées
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Une brassée de jolies fleurs avec des douces pensées
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Une brassée de jolies fleurs avec des douces pensées
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Une brassée de jolies fleurs avec des douces pensées


7280 messages

Déposé par tinou20042001 le 31/03/2015  
MA PRIERE
Pour vous, ma prière d'amour
Monte vers le ciel lourd
Chaque nuit, chaque jour
Pour vous, ma prière du soir
Met sur un reposoir
Des lumières d'espoir
Pour vous, loin du monde et du bruit
Loin des jours d'ennui
Je prierai chaque nuit
Pour vous, chaque croix du chemin
N'entend qu'un chant divin
Ma prière sans fin
La prière éternelle
Des amours sans chagrin
Car, quand le jour pleure et s'en va
Dans mon cœur triste et las,
Semble tinter le glas
Et je m'en vais prier pour vous
Loin de tout
André DASSARY

Déposé par colombine67 le 31/03/2015  
Une vie de chien :
Je suis jeune et tout fou
J'regarde passer les gens
Jusqu'au fameux jour où
Un couple et un enfant
Se tiennent là devant moi
Et me font les yeux doux
Ils me prennent dans leurs bras
Ça sent l'amour c'est fou
Ils m'emmènent chez eux
Me font plein de câlins
C'est tellement chaleureux
Qu'enfin je me sens bien
Le temps s'est écoulé
Aujourd'hui je suis grand
Doux, sage, bien éduqué
Plein de bons sentiments
Un matin de soleil
On part se promener
La vie est une merveille
Quand on est tant aimé
Mais quel est cet endroit
Et d'où viennent ces cris ?
Comme est partie ma joie
Je veux le faire d'ici
Ma famille est partie
Et ils m'ont laissé là
J'ai peur alors je crie
Mais nul n'entend ma voix
Je vois passer des gens
Ils posent on oeil sur moi
Mais restent indifférents
Aucun ne tend ses bras
Quelques temps ont passé
Et j'ai un peu vieilli
Je suis un poil marqué
Mais toujours plein de vie
On me sort de cette cage
On va se promener
J'ai été tellement sage
Qu'on revient me chercher...Mais
Je freine des quatre pattes
Je n' veux pas rentrer là
Je n'veux pas qu'on m'abatte
Je n'ai rien fait pour ça
Ils me traînent et m'agrippent
Je tremble de peur, d'effroi
J'ai mal aux veines, aux tripes
Ça doit être ce froid
je n'vois presque plus rien
Je n'entends plus les cris
Voilà ma vie de chien
Qui se termine ainsi
Cette histoire si banale c'est l'histoire de Bo, s'il s'appelait ainsi, c'est parce que des gens lâches, le jour où ils l'achetèrent l'avait trouvé bien beau...

Déposé par rafia le 31/03/2015  
Vie de chien
Toi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches,
Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ?
Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches,
Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas.
J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés,
J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés.
Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée,
Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer.
Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave,
Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler,
J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave,
Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler.
Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs,
Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal,
Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes,
J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal.
Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants,
Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour,
C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant,
J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour
Auteur inconnu

Déposé par poutounou le 30/03/2015  
Le papillon
*
J’aimerais, dans ma maison,
Avoir pour seul compagnon
Un très joli papillon
Qui de saison en saison
Changerait de couleur.
Il serait vert au printemps
Comme les feuilles mignonnes,
Bleu en été, couleur du temps,
Marron dès que viendrait l’automne
Et, dans les mois d’hiver, tout blanc.
Parfois, pour la fantaisie,
Rose, violet, mauve ou gris
Mais jamais le papillon noir
De l’ennui et du désespoir.
*
Jean Joubert

Déposé par rafia le 30/03/2015  
A mon chien
Lorsque je l'ai vu naître
Je l'ai pris pour enfant,
C'était un petit être,
Il était si charmant.
Quand je l'ai vu grandir
Ce fut mon compagnon,
J'aimais le voir courir
Dans toute la maison.
Quand je l'ai vu vieillir
Ce fut moi son enfant
Bien qu'il sut m'obéir
Toute sa vie durant.
Quand je l'ai vu mourir,
Je compris que ce jour
Venait de s'accomplir
La fin d'un bel amour
Car tu me fus fidèle,
Serviteur dévoué,
Ton amour fraternel
N'a pas démérité.
Je t'aimais bien mon chien
Ô, mon chien de berger,
Et, pour toi, mon chagrin
Ne saura s'effacer." Jack Harris

Déposé par choupinou le 30/03/2015  
Privé d'amour
comme un soleil sans flamme
privé d'amour
comme un bateau sans rame
je cherche ou je vais
après quoi je cours
privé d'amour privé d'amour
il y a beaucoup plus que sept merveilles au monde
quelque chose d'éternel qui vit à chaque seconde
mais trop vite ou trop loin
on se réveille un étrange matin
pour rester seul dans la bataille...
alors quand tu me manques
je t'invente des mots d'amour
sans toi ,je n'existe pas ,quel malheur
je te cherche souvent partout
alors que tu es tout près de moi dans mon coeur
et aujourd'hui le destin ma prit par la main....
et ma conduit dans un lieu
appelé.... chagrin....,

Déposé par colombine67 le 30/03/2015  
Toute sa vie durant, Margarita Suàrez, une femme originaire de Mérida, au Mexique, a pris soin des animaux errants. Cette femme a toujours distribué de la nourriture aux chiens et chats dans le besoin de son quartier. Chaque matin, une vingtaine de chats venaient à sa porte, puis lorsqu'elle sortait, elle n'oubliait jamais de prendre avec elle le repas quotidien des chiens errants qu'elle croisait dans la rue. Et quand Margarita devait manquer le rendez-vous, elle s'assurait toujours de laisser de quoi nourrir ses protégés.
"Chaque fois que nous croisions un chien dans la rue, cela voulait dire que nous devions rentrer à la maison pour aller chercher de quoi le nourrir" raconte à Norte Digital Patricia Urrutia, la fille de Margarita,
Les chiens sont-ils venus lui rendre un dernier hommage ?
Lorsque sa santé s'est dégradée, Margarita a déménagé à Cuernavaca et s'est rapprochée de sa fille. Mais sa dévotion envers les animaux est restée intacte. Elle a donc continué de donner nourriture et affection à d'autres chiens et chats sans maison. Malheureusement, l'état de santé de Margarita n'a fait que décliner, et est décédée au début du mois de mars.
Le jour de ses funérailles, le 15 mars dernier, quelque chose d'incroyable s'est produit. Tous ses proches se sont naturellement réunis, et parmi eux, des amis à 4 pattes, semblant être venus eux aussi lui rendre un dernier hommage.
Patricia a d'abord pensé qu'il s'agissait de chiens errants simplement venus chercher leur nourriture. Mais les chiens sont entrés dans la pièce où reposait le corps de sa mère. Quand tout le monde s'est mis en route pour l'église, les chiens ont suivi. Et quand ils sont rentrés chez Margarita, ils étaient encore là.
Pour Patricia, ces chiens sont venus saluer sa mère. Elle est certaine qu'ils font partie de ceux qu'elles nourrissaient et si elle ignore comment ils ont réussi à la retrouver, elle était très heureuse de voir ces animaux que sa mère aimait tant apporter leur joyeuse et chaleureuse présence en cette si triste journée.

Déposé par ovanek le 29/03/2015  

L'étoile que tu es
fait rêver mes pensées
chaque fois que je te pense.
Ta fidélité que tu me donne
me fera t’aimer pour toujours
doux câlin mon Chien


Déposé par Biscuit le 29/03/2015  

demain dès l'aube de victor hugo
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Déposé par colombine67 le 29/03/2015  
Cette info vient de tomber, partagez!
"Ma fiancée n'apprécie pas du tout ma chienne et c'est pour cette raison que je lance cet appel.
C'est une pure race, elle a partagé ma vie durant presque trois ans. Elle adore les jouets, même si elle n'a pas toutes les bases en éducation. Poils longs, nécessite de l'entretien. Tout spécialement les ongles, elle aime bien qu'on les lui fasse. Elle aboie souvent la nuit et a l'habitude de dormir lorsque je vais travailler. Elle est très délicate pour ce qui est de la nourriture, elle n'aime que la nourriture de marques, les chères.
Malheureusement, elle ne vous fait pas la fête lorsque vous rentrez à la maison. Elle n'est pas très câline, lorsque vous êtes un peu déprimé. Habituellement, elle ne mord pas, mais elle est souvent de mauvais poil et elle grogne facilement.
Voilà... Si tu connais quelqu'un qui serait intéressé par ma fiancée de 30 ans, égoïste, tordue et inhumaine, STP, qu'il vienne la prendre!!! Ma chienne et moi voulons lui trouver un nouveau foyer!!!

Déposé par rafia le 29/03/2015  
La bonne chienne.
Les deux petits jouaient au fond du grand pacage;
La nuit les a surpris, une nuit d’un tel noir
Qu’ils se tiennent tous deux par la main sans se voir :
L’opaque obscurité les enclot dans sa cage.
Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre,
Les chèvres, les cochons, la vache, la jument,
Sont égarés ou bien muets pour le moment,
Ils ne trahissent plus leur présence dans l’ombre.
Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes
Sourdement fait gronder l’écho.
Mais la bonne chienne Margot
A rassemblé toutes les têtes
Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes,
Chacun des deux petits lui tenant une oreille,
Tous les trois, à pas d’escargot,
Ils regagnent enfin, là-haut,
Le vieux seuil où la maman veille.
Maurice Rollinat.,

Déposé par rafia le 28/03/2015  
L'adieu à mon chien (auteur inconnu)
La neige tombait tout doucement ce matin-là,
Comme pour préparer ton lit de mort.
J’ai eu du mal à contenir mes larmes,
et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable…
Te rappelles-tu des belles journées d’été
où nous nous promenions dans les bois?
Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne?
Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux?
Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples?
Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main?
Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant?
De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue?
Nous revenions fatigués au soleil couchant,
Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive.
Ton souffle me détendait et me rassurait
Et ta présence m’était si précieuse,
Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin.
Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée
Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer.
Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours
Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su.
Tant d’années ont passé à tes côtés.
J’ai vu le temps te vieillir,
Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour.
Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai,
Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre.
Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé.
Ton corps sans vie et tes yeux voilés,
Cela avait marqué la fin.
Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle
Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir.
Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie,
Et ta perte me fait tant pleurer.
Tu étais comme une partie de moi,
Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent
Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur.
Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années
Repose en paix

Déposé par colombine67 le 28/03/2015  
A toutes celles et ceux qui n'ont plus leur compagnon.....
Dès lors qu'un chien s'en est allé, des lambeaux de notre peau s'en vont aussi et des poils restent agrippés à notre chandail.
On pourra lire, du matin au soir, l'empreinte laissée par sa tête et son museau au creux de notre main, l'aboiement et les mouvements frénétiques de son fouet retentiront dans le vide de notre retour, incroyablement silencieux, sans le cliquetis de ses ongles sur le sol ni les hululements de joie.
Et tout nous reviendra en mémoire, les vertes prairies des parcs, les empreintes sur la neige, les patounes qui, sous l'eau, nagent à nos côtés. Les bâtons lancés, le sable dans les oreilles et sur la truffe, les coquillages sur les coussins du divan.
Dès lors qu'un chien s'en est allé, la gamelle reste là et la laisse est accrochée, inerte.
On se regarde les pieds dans la cuisine, et il n'y a plus de couinements d'une queue, heurtée par mégarde.
On se sent volé, perdu et muet. Voilà pourquoi on parle à tort et à travers de ce qui n'a pas d'importance, pourvu qu'on nous enlève le poids de l'absence de ce corps chaud et poilu, étendu et endormi sur nos jambes ou sur nos chaussures pendant que nous regardions le téléjournal.
Dès lors qu'un chien s'en est allé, nous pleurons à chaudes larmes, sans retenue ni contrôle, sans l'ambivalence que nous éprouvons à la mort d'un humain, sans conflits et litiges, tourments et passion d'une vie entière.
Au contraire, avec lui, nous connaissons la pureté d'un amour, et lorsque le chien s'en va, cet amour reste en nous. Il nous l'a offert sans hésitation, nous en a fait cadeau sans défection dans son regard infini, doucement velouté, constamment vigilant, qui n'a jamais fléchi quand il croisait le nôtre.
Dès lors qu'un chien s'en va, c'est réellement un part de notre vie qui s'en va avec lui.

Déposé par lili2248 le 27/03/2015  
**** Pour Toi … Mon étoile ****
Le bonheur n’est pas une destination à atteindre
mais une façon de voyager dans les rêves
Un jour au détour d’un chemin de la Vie
au croisement d'un sentier du destin
il s’offre à nous et ce rêve devient la réalité
celle d’une belle rencontre
d'une extraordinaire amitié... avec nos compagnons ...
nous sommes heureux de croiser vos routes
et de partager vos existences
et si la vie est venue nous séparer....
ont sait que nos rêves et notre Amour
resteras gravés dans nos Cœurs à jamais
et continuerons de vous accompagner à vos côtés
pour voyager sur les mêmes chemins
on vous aimes pour toujours
nous resterons fidèles à nos pensées en vos mémoires...
Pour vous !!
Qui nous ont rempli nos Cœurs de bonheur et de joie
**** de la part de gipsy et xéres … mes pensées … lili2248 ****

Déposé par colombine67 le 27/03/2015  
*** Prie avec moi et diffuse cette oraison de par le monde, tu le feras n'est-ce pas?***
Heureux nous serions si le jour du Jugement Dernier nous pouvions affirmer : "J'ai aimé aussi sincèrement et j'ai vécu aussi honnêtement que mon chien". Et nous les considérons comme de simples animaux! Cette prière, composée par "liberation for our brother and sister animals" afin d'aider nos frères et soeurs animaux, est destinée à tous les fidèles animaux qui n'ont qu'un but, plaire à leur maître.
- Que tous les êtres sensibles du règne animal qui sont soumis à des douleurs insupportables dans les laboratoirs du monde entier ne souffrent plus. Q'une compassion aimante s'empare des coeurs de ceux qui les gardent en captivité.
- Que tous les êtres sensibles du règne animal qui pâtissent d'être enfermés des jours, des mois, des années durant dans de minuscules cages dans l'incapacité de se mouvoir soient emplis de paix et de sérénité.
- Que les millions d'animaux qui attendent en rang dans les abattoirs soient délivrés de leur peur.
- Qu'aucun animal ne continue de souffrir et d'être déprimé. Que leur corps soit délivré des blessures, du mal être et de la maladie.
- Que ceux qui ont besoin d'un foyer ou ont été chassés du leur trouvent un abri et la plénitude de l'amour, à manger et à boire.
- Que ceux qui sont torturés pour leur peau ou pour servir de divertissement soient libérés.
- Que ceux qui se croient supérieurs à leurs frères et soeurs animaux fassent preuve d'une honnêteté parfaite et qu'ils comprennent dans leur coeur que les animaux n'ont pas été mis sur cette terre pour être tués ou exploités.
- Que les millions d'êtres sensibles qui demeurent sur terre, dans les mers, qui sont abusés, exploités et assassinés à cause de l'avarice, de la haine et de l'ignorance soient délivrés de leurs souffrances.
- Que tous les êtres sensibles humains et non humains vivions ensemble, en harmonie, paix et justice et ainsi nous parviendrons à atteindre l'illumination parfaite.
- Que je sois la voix de ceux qui n'en ont pas, et que mes forces ne viennent pas à faiblir pour défendre les faibles, mes frères, les animaux.

Déposé par poutounou le 26/03/2015  
Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange…
*
Les trois noisettes
*
Trois noisettes dans le bois
Tout au bout d'une brindille
Dansaient la capucine vivement au vent
En virant ainsi que filles de roi.
*
Un escargot vint à passer :
«  Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse,
Je serai votre fiancée « 
Disaient-elles toutes trois.
*
Mais le vieux sire sourd et fatigué,
Le sire aux quatre cornes
Sous les feuilles
Ne s'est point arrêté,
*
Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois,
C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé,
Monseigneur l'écureuil,
Qui les a croquées
*
Tristan Klingsor

Déposé par rafia le 26/03/2015  
LES CHIENS PLEURENT AUSSI
Moi je sais que les chiens pleurent aussi
Quand ils ont du chagrin,
Que parfois ils se cachent
Pour souffrir à loisir
Sans que leur maître sache
Ni où ils sont,
Ni le grand mal qui les conduit.
J'en sais un qui partit au fond d'une forêt
Pour fuir les longs soupirs,
De cet enfant malade.
Cet enfant qui jouait avec lui
Ses chamades,
Et qu'il ne s'en revînt
Que lorsqu'il fut sauvé.
Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir,
De faim, de désespoir
Au départ de son maître
Pour les Terres d'Ailleurs,
Où seules ne pénètrent,
Que les ombres de ceux
Dont la vie va finir.
Mais moi je sais aussi
Que dans ces Pays Hauts,
Les hommes et les chiens,
Chaque fois se retrouvent,
Sur les vastes prairies
Quand les portes s'entrouvent
Parmi l'immensité des joies
Et des repos.
Louis AMADE

Déposé par colombine67 le 26/03/2015  
POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME
Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière.
Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous.
Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes.
Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. »
J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu…
Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité.
Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur.
Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne…
On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon.
Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !...
Tu n’es jamais venu !
Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI !
P’tit Loup
Il mourut un 24 décembre
Cause du décès :
Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé !
Sonia Lopez

Déposé par rafia le 25/03/2015  
CITATION DE BENJAMIN CONSTANT
La douleur réveille en nous,
tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage.
Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié.
Elle nous apprend à lutter pour nous
et pour les autres.

Déposé par myriam31 le 25/03/2015  
LE PRINTEMPS
Le soleil s'est réveillé,
Les nouvelles plantes ont poussé,
Les forêts sont à nouveau habitées,
Le printemps vient de commencer.
Le temps joyeux est présent, Les oiseaux échangent leurs chants,
Un moment d'enchantement, C'est le printemps.
Profitez-en!de se beau moment, Il est encore temps!
Ah!Quel beau temps! C'est le printemps!
(Théophile Gauthier)
Tendresse et papouille pour toi bel ange, amitiés à ta maman




L'Album photo contient 101 photos
Highslide JS
gros plan
Coucou, je vous aimes
Retourner en haut