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En hommage à
LABRADOROvanek dit Max
Il est né le:19/02/1998
Il nous a quittés le:06/01/2012
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En hommage à
Ovanek dit Max
83 bougies
56375 Fleurs
Déposé par ovanek En ce 11 ème mois sans toi mon coeur,PensĂ©e d'Amour pour Toujours, je t'aime, je t'aime, je t'aime |
7184 messages
Déposé par spanky le 27/04/2015Mon esprit sait Que tu es dans un autre monde OĂą il n'y a aucune douleur. Tu y es en paix. Je le comprends, je regrette juste De ne pas pouvoir l'expliquer Ă mon coeur. Ce vide ne se remplira jamais. Mais je sais Que nous serons ensemble de nouveau rĂ©uni Et que jusque-lĂ , Mon amour sera pour toi. |
Déposé par choupinou le 27/04/2015Je suis assise ici,seule,si triste et solitaire je pense a toi si souvent,chaque minute du jour me demandant comment tu vas,ce que tu fais, souhaitant te serrer si fort dans mes bras. Je suis assise lĂ ,me souvenant de tout ce que nous avons partagĂ© rĂŞvant de toi, a tout,a qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi, parfois je crois a ma force et que le temps qui nous sĂ©pare, s'Ă©coulera vite,ce n'est qu'une petite trĂ©ve,mais qui fait mal. Et puis parfois,je m'assieds et de nouveau je pleure et me demande: Pourquoi faut t'il que l'amour fasse si souffrir.... Bien que parfois dans ma solitude,quelque part dans le vide, je me sent pourtant encore aimĂ©e,et je rĂ©alise : que ce n'est pas l'amour qui fait si mal .... C'est d'ĂŞtre sans toi,sans ta prĂ©sence a mes cĂ´tĂ©s...., |
Déposé par colombine67 le 27/04/2015Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrĂ©mitĂ©s d'une pièce de bois qui Ă©pousait la forme de ses Ă©paules. L'une des jarres avait un Ă©clat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'Ă la maison du maĂ®tre, l'autre jarre perdait presque la moitiĂ© de sa prĂ©cieuse cargaison en cours de route. Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau Ă chacun de ses voyages. Bien sĂ»r, la jarre parfaite Ă©tait fière d'elle, puisqu'elle parvenait Ă remplir sa fonction du dĂ©but Ă la fin sans faille. Mais la jarre abĂ®mĂ©e avait honte de son imperfection et se sentait dĂ©primĂ©e parce qu'elle ne parvenait Ă accomplir que la moitiĂ© de ce dont elle Ă©tait censĂ©e ĂŞtre capable. Au bout de 2 ans de ce qu'elle considĂ©rait comme un Ă©chec permanent, la jarre endommagĂ©e s'adressa au porteur d'eau, au moment oĂą celui-ci la remplissait Ă la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser." "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?" "Je n'ai rĂ©ussi qu'Ă porter la moitiĂ© de ma cargaison d'eau Ă notre maĂ®tre, pendant ces 2 ans, Ă cause de cet Ă©clat qui fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, Ă la fin, tu ne livres Ă notre maĂ®tre que la moitiĂ© de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abĂ®mĂ©e. Le porteur d'eau fut touchĂ© par cette confession, et, plein de compassion, rĂ©pondit: "Pemndant que nous retournons Ă la maison du maĂ®tre, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin". Au fur et Ă mesure de leur montĂ©e sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignĂ©es de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais Ă la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitiĂ© de son eau. Le porteur d'eau dit Ă la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON cĂ´tĂ©, et presque aucune du cĂ´tĂ© de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tirĂ© parti. J'ai plantĂ© des semences de fleurs de ton cotĂ© du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosĂ©es tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j'ai pu grâce Ă toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont dĂ©corĂ© la table du maĂ®tre. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraĂ®ches et gracieuses." Morale de l'histoire: Nous avons tous des Ă©clats, des blessures, des dĂ©fauts. Nous sommes tous des jarres abĂ®mĂ©es. Certains d'entre nous sont diminuĂ©s par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminuĂ©s physiquement, mais ce sont les Ă©clats, les dĂ©fauts en nous qui rendent nos vies intĂ©ressantes et exaltantes. Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous, Mady! Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir ĂŞtre dĂ©formĂ©s. Souvenez-vous d'apprĂ©cier tous les gens si diffĂ©rents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste. |
Déposé par rafia le 27/04/2015Je suis un chien errant Et je n'en sais pas plus, Mais voilĂ cette voix Qui me tombe dessus, Une voix de poète Qui voulut me choisir Pour me faire un peu fĂŞte, Moi qui ne puis rien dire, Et qui n'ai qu'un aboi Pour un peu m'Ă©claircir Les brumes et la voix. Je ne veux pas sortir De mon obscuritĂ©, Je ne veux rien savoir D'une tĂŞte habitĂ©e Par des mots descendus De quelque hors-venu. Je suis un chien errant N'en demandez pas plus." Auteur inconnu --------------------------------------------- Bonsoir Ă vs deux..amis d'exception. Ah !!! si mon Eric acceptait de s'exprimer, sur le site..comme vs le faites si bien bien cher Phil. Sami a bien de la chance d'avoir son Amour poète !!! Mille bisous Ă vs deux...car, pr l'instant, je n'ai reçu aucune objection de mon adorable amie Sami; et je n'oublie pas mes mercis. Maryem, votre amie. |
Déposé par larrydoudou le 26/04/2015Il est votre ami, votre associĂ©, votre dĂ©fenseur, Il est votre chien. Vous ĂŞtes sa vie, son amour, son leader, Il se fera fidèle et vrai, Jusqu'au dernier battement de son cĹ“ur. Vous lui devez d'ĂŞtre digne d'une telle dĂ©votion. |
Déposé par colombine67 le 26/04/2015La rĂ©alitĂ© de la vie est ce quelle est. Les hommes vivent en moyennes 75 ans et les chiens, un maximum de 20. Il est donc inĂ©vitable, que la sĂ©paration d'avec votre meilleur ami, se fera Ă votre dĂ©triment. Pour ceux qui croient, qu'un chien n'est rien qu'un chien ce texte n'est pas pour vous. Mais pour les autres qui ont eu la chance unique, d'avoir un vrai ami et compagnon canin, lisez ce petit testament canin, tirĂ© du Reader's Digest, il saura probablement vous aider, lorsque le moment de la sĂ©paration sera venu. Ă€ mon maĂ®tre, Ă ma maĂ®tresse: Le fardeau de mes ans et de mes infirmitĂ©s me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Tango Gagnon RattĂ©, (communĂ©ment appelĂ© Tango par mes parents amis et connaissances), dĂ©pose en secret dans l’âme de mes deux grands amis, mon maĂ®tre et ma maĂ®tresse, mon testament. J'ai peu de biens matĂ©riels Ă lĂ©guer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien prĂ©cieux Ă transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidĂ©litĂ©. Je les lègue Ă tous ceux qui m'ont aimĂ©; qui je le sais me regretteront le plus, Ă Daniel et Chantal qui ont Ă©tĂ© si bons pour moi. Peut ĂŞtre ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours Ă©tĂ© un chien extrĂŞmement affectueux. Je demande Ă Daniel et Chantal de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayĂ© de les rĂ©conforter dans la peine et de leur apporter un surcroĂ®t de joie dans le bonheur. Il m'est pĂ©nible de penser que, mĂŞme dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin. Je les prie de ne pas oublier qu'Ă leur tendresse et Ă leur sollicitude je dois d'avoir Ă©tĂ© le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empĂŞchant de manger; ainsi ma fiertĂ© a fait place Ă une humiliation qui me dĂ©route. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongĂ© la fĂŞte. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour ceux qui m'ont donnĂ© leur affection. Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe t-il après? Nul ne le sait. En tout cas je suis au moins sĂ»r de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tĂŞte, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil Ă©ternel dans cette terre que j'ai tant aimĂ©e. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincĂ©ritĂ©. J'ai entendu ma maĂ®tresse, dire: "Quand Tango mourra, nous n'aurons jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre". Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa dĂ©cision. Ce serait un bien piètre tribut Ă ma mĂ©moire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que maintenant que j'ai fait partie de la famille il lui est dĂ©sormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais Ă©tĂ© exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congĂ©nères sont bons (mĂŞme ma co-locataire, la chatte...) Gamine, Ă qui j'ai quelques fois autorisĂ© Ă partager mon lit avec moi. J'ai tolĂ©rĂ© son amitiĂ© dans un esprit de gĂ©nĂ©rositĂ© et, dans mes rares moments de sentimentalitĂ©, je lui ai mĂŞme rendu un peu la pareille. Aussi je conseille Ă ma maĂ®tresse de choisir un autre chien Ă son goĂ»t pour me succĂ©der. Il pourra difficilement ĂŞtre aussi bien Ă©levĂ©, aussi poli aussi distinguĂ© et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sĂ»r qu'il fera de son mieux et que ses dĂ©fauts inĂ©vitables contribueront, par contraste, Ă perpĂ©tuer mon souvenir. Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de NoĂ«l. Un dernier mot Ă Daniel, Chantal et Gamine la chatte qui vivrez sĂ»rement plus vieux que moi. Chaque fois que vous penserez Ă moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie Ă vos cotĂ©s: "Tango Ă©tait un ĂŞtre qui nous aimait et que nous aimions". Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empĂŞchera pas mon Ă‚me de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Tango Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous. La technologie a fait s'Ă©loignĂ© de l'homme certaines valeurs et Ă©motions telle amitiĂ©, fidĂ©litĂ© et tolĂ©rance. Si ces valeurs se sont Ă©loignĂ©es de vous, procurez vous un chien, il vous rĂ©-apprendra ce qu'elles sont, car la technologie lui il s'en fout! Tout ce qu'il veut lui, c'est d'ĂŞtre votre meilleur ami. Daniel RattĂ© |
Déposé par rafia le 26/04/2015A mon chien Lorsque je l'ai vu naĂ®tre Je l'ai pris pour enfant, C'Ă©tait un petit ĂŞtre, Il Ă©tait si charmant. Quand je l'ai vu grandir Ce fut mon compagnon, J'aimais le voir courir Dans toute la maison. Quand je l'ai vu vieillir Ce fut moi son enfant Bien qu'il sut m'obĂ©ir Toute sa vie durant. Quand je l'ai vu mourir, Je compris que ce jour Venait de s'accomplir La fin d'un bel amour Car tu me fus fidèle, Serviteur dĂ©vouĂ©, Ton amour fraternel N'a pas dĂ©mĂ©ritĂ©. Je t'aimais bien mon chien Ă”, mon chien de berger, Et, pour toi, mon chagrin Ne saura s'effacer." Jack Harris |
Déposé par colombine67 le 25/04/2015LE JOUR OU TU AS TRAHI MON COEUR (merci Ă Laura P.) C'Ă©tait un jour comme les autres car nous sommes partis en ballade Pour une belle promenade. Tu as ouvert le coffre de ta voiture Mais il n'y avait autour aucune nature, Pas une fleur, pas un oiseau chanteur. A un homme tu m'a confiĂ©, Sans mĂŞme te retourner, Qui en cage m'a enfermĂ©. Alors j'ai tellement attendu Qu'une idĂ©e m'est apparue : M'aurais tu oubliĂ© ou tout simplement abandonnĂ©? LĂ ou je suis, les jours comme les nuits sont semblables Et les minutes qui passent impitoyables. Mes rĂŞves se changent en cauchemars Et ton souvenir semble loin dans ma mĂ©moire. Mon regard s'est durci, et mon coeur s'est enlaidi. Dans le noir seul je garde espoir L'espoir de mon dĂ©part, celui de te revoir. Des gens sont venus et le chien dans la cage d'Ă cĂ´tĂ© leur a plu, Entre lui et moi ils ont hĂ©sitĂ©s mais c'est lui qu'ils ont emmenĂ©. L'homme qui m'avait enfermĂ© est revenu. Dans une pièce blanche il m'a emmenĂ©. A prĂ©sent, je sais. Je sais que cette odeur est celle de la peur Et que je ne vais plus jamais repartir, Car c'est ici que partira mon dernier soupir. Oui je vais mourrir. Ma dernière larme sera pour toi, toi que j'ai tant attendu, toi qui n'est jamais revenu. Sache que moi, je ne t'oublierais jamais car, mon Cher MaĂ®tre, moi de tout mon coeur je t'aimais. |
Déposé par rafia le 25/04/2015PubliĂ© dans Versatile Hunting Dog Magazine en fĂ©vrier 2006 (auteur inconnu) Juste un chien....C/C De temps en temps les gens me disent . voyons, c'est juste un chien ou tu en dĂ©penses de l'argent juste pour un chien . Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passĂ© ou les coĂ»ts que ça implique pour juste un chien . Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus Ă cause de juste un chien . J'ai passĂ© bien des heures avec, pour seul compagnon, juste un chien et je ne me suis jamais senti moindrement seul. Certains de mes moments les plus tristes sont survenus Ă cause de juste un chien et, dans ces jours sombres, le doux contact de juste un chien m'a donnĂ© du rĂ©confort et permis de traverser la journĂ©e. Si vous, aussi, pensez que c'est juste un chien alors vous comprendrez probablement des phrases comme juste un ami , juste un lever de soleil ou juste une promesse . Juste un chien apporte dans ma vie la vĂ©ritable essence de l' amitiĂ©, de la confiance et d'une joie passionnĂ©e. Juste un chien fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. A cause de juste un chien je me lèverai de bonne heure, prendrai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce n' est pas juste un chien mais l'incarnation de tous les espoirs et rĂŞves du futur, le doux souvenir du passĂ© et la pure joie du moment. Juste un chien fait sortir ce qu'il y a de bon en moi et me dĂ©tourne de mes pensĂ©es et des problèmes de la journĂ©e. J' espère qu' un jour ils pourront comprendre que ce n'est pas juste un chien mais l'ĂŞtre qui ma donnĂ© l'humanitĂ© et qui ma prĂ©servĂ© de n'ĂŞtre que juste un homme . Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase juste un chien souriez parce que c'est juste qu'ils n'ont pas compris . ********************************** Je cautionne ce très beau texte. Et que l'on ne m'agresse plus en Ă©crivant que les textes que je publie sur ce merveilleux site...n'y ont pas leur place...qu'ils saliraient la mĂ©moire de nos amours canins !!! j'hallucine !!! Idem pr les citations..qui pr la plupart Ă©manent d'auteurs reconnus...encore faut-il avoir un minimum de culture pr le comprendre. Je vise, pr ces propos...la personne auteure des agressions Ă mon encontre. Et qui m'Ă©crit..entre autres..."va te faire voire" (sic)...J'ai laissĂ© la faute Ă "voire". Elle verse mĂŞme ds les propos orduriers, ce que je ne fais jamais. Par contre, ladite personne, aurait pu ne pas valider...ni ces textes..ni les bouquets...mais uniquement pr profit...elle l'a fait...car il fut un temps, c'est moi qui dĂ©posais le + de fleurs sur sa page. Comme elle pourrait, très facilement, les retirer...mais elle refuse...les fleurs et textes lui manqueraient trop, elle en a si peu !!! Elle insulte...mais ferme sa messagerie...quelle lâchetĂ© immonde !!! C'est seulement l'EGOISME la JALOUSIE et la MECHANCETE TOTALEMENT GRATUITE de certaines personnes, (fort heureusement, une toute petite minoritĂ©)....qui n'ont pas leur place ici. Bien amicalement Mille bisous pr mes adorables Sami & Phil Votre amie Maryem...et pardon pr ce moment d'humeur. |
Déposé par poutounou le 24/04/2015Une toute mignonne poĂ©sie pour toi, bel Ange. Le printemps est une si belle saison….Cela mĂ©rite bien quelques poèmes jolis….. * Petit Ă©cho du matin * VoilĂ ce que m’a racontĂ© la brise ce matin, Alors qu’elle se reposait au banc du jardin. Figurez vous qu’il y a une vĂ©ritable rĂ©volution ! Que l’on parle, que l’on jase Ă travers les gazons ! N’a t’on point vu, quelle Ă©trange amourette, Sortir ensemble violette et pâquerette ! Il en est cependant que la nouvelle Ă©moustille, N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ? Je tiens la nouvelle toute fraĂ®che du papillon Qui comme chacun sait est un grand fripon . On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire DĂ©jĂ une jeune abeille vaquer Ă ses devoirs…. VoilĂ ce que me disait la brise il y a peu de temps… Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est ! C’est le printemps ! |
Déposé par colombine67 le 24/04/2015 JE SUIS MORT SANS NOM Je suis mort sans nom Sans une marque d’affection… Je ne connais la dĂ©finition Du mot humain Ă©motion Que par la douleur de l’abandon. J’ai attendu si longtemps, D’hivers glaciaux en printemps, Un rayon d’espoir, et souvent PĂ©trifiĂ© dans le silence et le temps, J’ai voulu fuir ce tourment. Seul et apeurĂ© dans ma cage, Je m’accrochais Ă ce mirage… De votre sourire, de votre visage Qui m’ont apportĂ© courage L’instant d’un ciel sans nuage… Je me suis habituĂ© Ă la faim, Au froid, Ă la peur du lendemain. Mais jamais, je le crains, De ne pas connaĂ®tre enfin Le plaisir de lĂ©cher votre main. Mon corps martyrisĂ© N’en pouvant plus de lutter, Ă€ bout de souffle et de fiertĂ©, C’est sans bruit et sans dignitĂ© Que je vous ai quittĂ©s. Une seule caresse aurait suffi Ă€ me permettre, sans bruit, De quitter mes amis. Qui encore aujourd’hui. Vous appellent dans la nuit. Je ne vous en veux pas De n’avoir entendu mon dĂ©sarroi. J’avais pourtant en moi, Au fil des jours et des mois, La confiance, l’espoir et la foi. MĂŞme si j’ai hurlĂ© dans la nuit, Tandis que mourraient mes petits, La souffrance et la maladie Ont eu raison aujourd’hui De mon instinct de survie. Ils ont tuĂ© mes espoirs De pouvoir un jour voir Le soleil et votre peignoir… De fuir mon dĂ©sespoir… Fuir ma cellule dans le noir. Je suis venu et passĂ©, Sans jamais ĂŞtre remarquĂ©. Pourtant, je vous ai toujours espĂ©ré… Je ne demandais qu’à vous aimer… Pourquoi m’avez-vous abandonnĂ©? J’ai eu faim, j’ai eu froid, J’ai eu peur et malgrĂ© moi, De ce qui me restait de voix, Votre nom j’ai appelĂ© mille fois… OĂą Ă©tiez-vous, dites-moi.. Ma carcasse incinĂ©rĂ©e Aura pour l’éternitĂ© Ce champ, ces fleurs et ce prĂ© Que j’ai longtemps espĂ©rĂ©, Et dont j’ai tellement rĂŞvĂ©. J’aurais aimĂ© avoir un jouet, Un seul s’il-vous plait… J’aurais voulu courir et qui sait, TrĂ©bucher dans le gazon tout frais Ă€ vos cĂ´tĂ©s, fier et coquet… J’aurais dormi Ă vos pieds, L’hiver vous aurais rĂ©chauffĂ©, La nuit vous aurais rassurĂ©, Et sans jamais rien demander, Vous aurais Ă©coutĂ© et aimé… Je suis mort triste et seul, Sans que l’on porte mon deuil. On m’a offert pour tout linceul, Un feu de paille et de feuilles, Je suis libre, dĂ©livrĂ© et encore seul… Ne m’offrez pas de fleurs… Retenez vos pleurs… Je ne veux plus que le bonheur, De ceux qui ont dans leur cĹ“ur D’encore espĂ©rer avec ferveur… De quoi donc ai-je Ă©tĂ© coupable Pour mĂ©riter une vie si misĂ©rable Un destin aussi pitoyable, Une mort cruelle et minable… De cela vous m’êtes redevable… Je vous aime encore Je vous aime si fort… Ă€ la vie et Ă la mort, Je vous aime encore, Bien au-delĂ de la mort… Dites-moi que vous voulez, Par amour et par pitiĂ©, Encore quelques-uns sauver… Ainsi ma cruelle destinĂ©e N’aura Ă©tĂ© ni vaine ni oubliĂ©e… Il est trop tard pour moi, Voyez, je suis mort et froid… Mais pour mes petits croyez-moi, Par vous, ils ne le seront pas. Sauvez-les en souvenir de moi… UN CHIEN PARMI TANT D’AUTRES |
Déposé par rafia le 24/04/2015Un vĂ©ritable ami. Recueil : D'ineffables fables affables (2006) Il est un sentiment bien plus beau que l'amour Un sentiment plus pur, sentiment plus honnĂŞte, Une source de joie que jamais rien n'arrĂŞte ; Un sentiment qui ne joue pas de mauvais tour. L'amitiĂ© est telle qu'un soleil des beaux jours, Gratuite et chaleureuse, elle apporte la fĂŞte ; Ce n'est pas un tissu Ă nombreuses facettes Cousu d'hypocrisie ; c'est un don sans retour. Un vĂ©ritable ami est toujours disponible Au cours des bons moments et au cours des pĂ©nibles ; C'est une mine d'or qui brille de bonheur. ĂŠtre avec mes amis est ma plus grande joie ; Et mĂŞme s'ils ne sont toujours auprès de moi, Ils sont tous Ă jamais bien gravĂ©s dans mon cĹ“ur. Alexandre Marrot. *************************** Mes très chers amis...Sami & Phil, SVP...dites-moi si je puis continuer Ă dĂ©poser des messages d'amitiĂ© d'auteurs ou personnels....et des citations, car pr deux fois, je viens de me faire violemment agressĂ©e, pr mails...les messages et citations Ă©tant jugĂ©s..inconvenants !!! J'avoue ne pas comprendre. Mille mercis. Mille bisous..Ă vs deux...si j'ai le consentement de Sami...J'ai celui de mon Eric (sourire). Maryem votre amie |
Déposé par colombine67 le 23/04/2015POURQUOI LES CHIENS SONT MIEUX QUE LES HOMMES - Les chiens ne se vantent pas quand ils dorment avec quelqu'un. - Vous n'avez pas de soupçons sur les rĂŞves de votre chien - Les chiens magnifiques ne savent pas qu'ils sont magnifiques - La seule chose que votre chien peut vous filer, c'est des puces (la rage, ça serait pas de chance) - Les chiens ne se gĂŞnent pas pour montrer leur affection en public - Les chiens vous manquent lorsque vous partez - Vous ne vous demandez jamais si votre chien est assez bon pour vous - Les chiens se sentent coupables quand ils ont fait quelque chose de mal - Les chiens sont contents quelle que soit la k7 vidĂ©o que vous avez choisi de louer, parce qu'ils savent que la chose la plus importante, c'est d'ĂŞtre ensemble. - Les chiens n'ont pas peur de votre intelligence - On peut apprendre Ă un chien - Les chiens savent ce que "NON" veut dire - Les chiens n'ont pas pour habitude de tuer ceux de leur propre espèce - Les chiens vous prennent pour un gĂ©nie culinaire - Vous pouvez apprendre un chien Ă ĂŞtre propre Ă la maison - Les chiens n'Ă©prouvent pas le besoin de vous abandonner pour quelqu'un de plus jeune au bout de quelques annĂ©es de vie commune - Les chiens plaisent toujours Ă votre famille - Les chiens s'en foutent si vous conduisez la voiture pendant tout le trajet - Les chiens n'appuient pas sur des freins imaginaires - Les chiens l'admettent lorsqu'ils sont perdus - Les chiens s'en foutent que vous vous rasiez les jambes - Les chiens ne sont pas embĂŞtĂ©s si vous gagnez plus qu'eux - On peut forcer un chien Ă prendre un bain |
Déposé par ritournel le 23/04/2015Le temps passe lentement, j'ai le regard triste, je regarde le ciel et les Ă©toiles, mes yeux de larmes,se voilent, tu as laisser un grand vide dans mon coeur, dehors,avec moi le ciel pleure, quand je te reverrai ,mon coeur ,Ă nouveau sera en joie. je pense Ă toi amĂ©rement, mon coeur se voile dans un brouillard Ă©pais, dehors,de la mĂ©lancolie naĂ®t... tu me manques petit Ange, mon coeur pleure depuis que tu n'es plus lĂ . Je t'aime |
Déposé par rafia le 23/04/2015L'amitiĂ© est une main qui vous soutient, Dans la douleur comme dans le dĂ©sarroi ; L'amitiĂ© est une oreille qui vous Ă©coute, Aussi bien dans la peine, que dans la joie. Sabine Dubreuil |
Déposé par colombine67 le 22/04/2015Un homme adopte un chien, ce qu’il dĂ©couvre ensuite est dĂ©chirant! Un homme qui se sentait triste a dĂ©cidĂ© d’adopter un chien au refuge pour animaux de la nouvelle ville dans quelle il venait d’amĂ©nager. Il ne se doutait pas que cette adoption allait complètement changer sa vie et que le chien qu’il venait d’adopter Ă©tait très spĂ©cial. Il a dĂ©cidĂ© de raconter l’histoire de son adoption, je vous la retranscris ci-bas. Mais avant de commencer Ă la lire, je vous suggère d’aller vous chercher quelques mouchoirs, je vous garantis que vous en aurez de besoin. Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongĂ© dans son enclos. Le refuge Ă©tait propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait Ă peine six mois que je venais d’emmĂ©nager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais dĂ©jĂ que les gens Ă©taient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue. Mais une chose manquait encore Ă ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui Ă©taient venues jusque-lĂ ne leur semblaient pas ĂŞtre des “personnes Ă Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dĂ» penser que j’étais la bonne personne. Mais au dĂ©but, je me suis vite rendu Ă l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugĂ© en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart Ă©taient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellĂ©e de la part de son ancien propriĂ©taire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accrochĂ©, une fois de retour Ă la maison. Ça a Ă©tĂ© la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandĂ© de lui donner pour qu’il s’habitue Ă sa nouvelle maison).Peut-ĂŞtre que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-ĂŞtre que lui et moi nous Ă©tions, au fond, un peu trop semblables… Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis Ă part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvĂ©es dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore dĂ©ballĂ©s. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas. J’ai d’abord essayĂ© de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là ” “viens ici” et il Ă©coutait – enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom – bien sĂ»r, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immĂ©diatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obĂ©isse enfin Ă contrecĹ“ur. Je savais que cela n’allait pas ĂŞtre possible. Il a mâchĂ© deux paires de chaussures et il a dĂ©truit l’un de mes cartons. J’étais peut-ĂŞtre un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frĂ©nĂ©tiquement mon tĂ©lĂ©phone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissĂ© sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”. Finalement, j’ai retrouvĂ© le tĂ©lĂ©phone mais avant d’avoir pu taper le numĂ©ro du refuge, j’ai trouvĂ© son panier et d’autres jouets. J’ai balancĂ© le panier dans la direction de Reggie, et c’est lĂ qu’il a commencĂ© Ă le renifler et Ă remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelĂ©, il m’a lancĂ© un regard vide et il s’est couchĂ© au sol. En me tournant le dos. Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensĂ©. Alors, j’ai composĂ© le numĂ©ro. Mais j’ai raccrochĂ© immĂ©diatement quand j’ai vu l’enveloppe scellĂ©e. Ça aussi, je l’avais complètement oubliĂ©. “Ok, Reggie,”ai-je dit Ă voix haute,” voyons si ton ancien maĂ®tre a des conseils Ă me donner.” J’ouvre alors l’enveloppe et tombe sur une lettre: Accueil > Best Of > Images > Un homme adopte un chien, ce qu’il dĂ©couvre ensuite est dĂ©chirant! Un homme adopte un chien, ce qu’il dĂ©couvre ensuite est dĂ©chirant! 20 novembre 2014 Un homme qui se sentait triste a dĂ©cidĂ© d’adopter un chien au refuge pour animaux de la nouvelle ville dans quelle il venait d’amĂ©nager. Il ne se doutait pas que cette adoption allait complètement changer sa vie et que le chien qu’il venait d’adopter Ă©tait très spĂ©cial. Il a dĂ©cidĂ© de raconter l’histoire de son adoption, je vous la retranscris ci-bas. Mais avant de commencer Ă la lire, je vous suggère d’aller vous chercher quelques mouchoirs, je vous garantis que vous en aurez de besoin. Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongĂ© dans son enclos. Le refuge Ă©tait propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait Ă peine six mois que je venais d’emmĂ©nager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais dĂ©jĂ que les gens Ă©taient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue. Mais une chose manquait encore Ă ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui Ă©taient venues jusque-lĂ ne leur semblaient pas ĂŞtre des “personnes Ă Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dĂ» penser que j’étais la bonne personne. Mais au dĂ©but, je me suis vite rendu Ă l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugĂ© en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart Ă©taient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellĂ©e de la part de son ancien propriĂ©taire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accrochĂ©, une fois de retour Ă la maison. Ça a Ă©tĂ© la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandĂ© de lui donner pour qu’il s’habitue Ă sa nouvelle maison).Peut-ĂŞtre que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-ĂŞtre que lui et moi nous Ă©tions, au fond, un peu trop semblables… Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis Ă part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvĂ©es dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore dĂ©ballĂ©s. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas. J’ai d’abord essayĂ© de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là ” “viens ici” et il Ă©coutait – enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom – bien sĂ»r, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immĂ©diatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obĂ©isse enfin Ă contrecĹ“ur. Je savais que cela n’allait pas ĂŞtre possible. Il a mâchĂ© deux paires de chaussures et il a dĂ©truit l’un de mes cartons. J’étais peut-ĂŞtre un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frĂ©nĂ©tiquement mon tĂ©lĂ©phone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissĂ© sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”. Finalement, j’ai retrouvĂ© le tĂ©lĂ©phone mais avant d’avoir pu taper le numĂ©ro du refuge, j’ai trouvĂ© son panier et d’autres jouets. J’ai balancĂ© le panier dans la direction de Reggie, et c’est lĂ qu’il a commencĂ© Ă le renifler et Ă remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelĂ©, il m’a lancĂ© un regard vide et il s’est couchĂ© au sol. En me tournant le dos. Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensĂ©. Alors, j’ai composĂ© le numĂ©ro. Mais j’ai raccrochĂ© immĂ©diatement quand j’ai vu l’enveloppe scellĂ©e. Ça aussi, je l’avais complètement oubliĂ©. “Ok, Reggie,”ai-je dit Ă voix haute,” voyons si ton ancien maĂ®tre a des conseils Ă me donner.” J’ouvre alors l’enveloppe et tombe sur une lettre: Ă€ celui qui adoptera mon chien : Bon, je ne peux pas vraiment dire que je sois heureux que tu lises cette lettre, que j’ai confiĂ©e au refuge en leur disant qu’elle ne pourrait ĂŞtre ouverte que par le nouveau maĂ®tre de Reggie. Je ne suis pas non plus heureux de devoir l’écrire. Si tu lis ceci, cela signifie que je viens de rentrer de mon dernier trajet en voiture avec mon chien, après l’avoir laissĂ© au refuge. Il savait que cette fois, quelque chose Ă©tait diffĂ©rent. J’ai dĂ©jĂ emballĂ© toutes ses affaires pour les mettre dans le coffre arrière de la voiture, mais cette fois-là … C’est comme si il savait que quelque chose n’allait pas. Et quelque chose ne va pas… c’est pourquoi je dois tout faire pour que tout aille bien. Alors, laisse-moi te parler un peu de mon Labrador, dans l’espoir que cela vous aide Ă vous lier d’amitiĂ© tous les deux. Tout d’abord, tu l’auras remarquĂ©, il adore les balles de tennis. Plus il en a, plus il est content. Parfois je me demande s-il n’est pas croisĂ© avec un Ă©cureuil, vu comme il aime les collectionner. D’habitude, il en a toujours deux fourrĂ©es dans sa bouche, et il essaye d’en faire rentrer une troisième. Jusqu’ici, il n’a jamais rĂ©ussi. Tu peux les lancer ou tu veux, il se mettra Ă courir après – alors attention Ă ne pas le faire près d’une route. J’ai fait cette erreur une fois, et il a bien failli se faire renverser. Ensuite, il y a les mots qu’il connaĂ®t. Les gens du refuge te l’ont peut-ĂŞtre dĂ©jĂ dit, mais il connaĂ®t les mots les plus courants— “assis”, “reste là ”, “viens ici.” Il sait aussi donner la patte et il est rĂ©actif aux signes de la main. Il fait “couché” quand il a envie – mais je suis sĂ»r que tu pourras travailler cela avec lui. Il connaĂ®t les mots “balle” “croquette” et “os”. Je l’ai dressĂ© en lui donnant des petites rĂ©compenses. Le mieux pour qu’il ouvre grand les oreilles, c’est des petits morceaux de saucisse. Il est Ă jour dans ses vaccins. Appelle le vĂ©tĂ©rinaire pour rĂ©cupĂ©rer le dossier, c’est un type bien et il te rappellera quand il faudra l’amener lĂ -bas. Mais sois prĂ©venu : Reggie dĂ©teste le vĂ©tĂ©rinaire. Bonne chance pour le faire monter dans la voiture (je ne sais pas comment il sait quand on l’y emmène, mais crois-moi, il sait !) Enfin, laisse-lui le temps de s’adapter. Je n’ai jamais Ă©tĂ© mariĂ©, alors ça a toujours Ă©tĂ© juste lui et moi, depuis qu’il est nĂ©. Il me suivait partout, alors si tu peux, amène-le en voiture avec toi quand c’est possible. Il a l’habitude, il est propre et n’aboie pas. Il adore sortir et passer du temps avec des gens, et avec moi tout particulièrement. Ce qui signifie que la transition sera très dure pour lui, puisqu’il n’a jamais vĂ©cu dans une autre maison que la mienne. Et c’est pourquoi il est temps que je te dise la vĂ©ritĂ© et que je te donne quelques informations supplĂ©mentaires… Son nom n’est pas Reggie. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela, mais quand je l’ai laissĂ© au refuge, je leur ai dit qu’il s’appelait Reggie. Je n’ai tout simplement pas pu leur dire son vrai nom. Si je l’avais fait, cela m’aurait paru si extrĂŞme que cela aurait Ă©tĂ© comme admettre le fait que je ne le reverrais plus jamais. Et si jamais je reviens, que je le rĂ©cupère et que je dĂ©chire cette lettre, cela voudra dire que tout va bien. Mais si tu es en train de lire ceci, alors… alors ça veut dire que son nouveau propriĂ©taire doit connaĂ®tre son vrai nom. Cela t’aidera Ă te lier d’amitiĂ© avec lui. Qui sait, peut-ĂŞtre mĂŞme que tu remarqueras quelques changements, s’il te pose des problèmes au dĂ©but. Son vrai nom est Tank. Parce que c’est ce que je conduis. Si tu lis ce message et que tu habites dans le coin, peut-ĂŞtre que tu auras lu mon nom dans les journaux. J’ai dit aux gars du refuge qu’ils ne proposent pas “Reggie” Ă l’adoption tant qu’ils n’auront pas reçu un appel de la part du commandant de ma compagnie. Tu comprends, mes parents sont partis, je n’ai pas de frère et sĹ“urs, personne Ă qui j’aurais pu confier Tank… Et la seule requĂŞte que j’ai fait Ă l’armĂ©e quand ils m’ont annoncĂ© mon dĂ©ploiement en Irak, c’était de prĂ©venir le refuge… en cas d’”accident”… pour leur dire que Tank Ă©tait prĂŞt Ă avoir un nouveau maĂ®tre. Heureusement, mon colonel adore lui aussi les chiens, et il savait bien vers oĂą ma division avait Ă©tĂ© envoyĂ©e. Il m’a donnĂ© sa parole qu’il s’en occuperait personnellement. Et si tu lis ceci, alors cela signifie qu’il a tenu sa parole. Bon, dĂ©solĂ©, cette lettre devient vraiment dĂ©primante mĂŞme si, franchement, je l’écris juste pour mon chien. Je n’imagine mĂŞme pas ce que cela aurait Ă©tĂ© si j’avais dĂ» le faire pour une femme et des enfants… mais quand mĂŞme, Tank a Ă©tĂ© ma seule famille au cours des six dernières annĂ©es. Et Ă prĂ©sent, j’espère que tu sauras lui faire une place au sein de ta famille Ă toi, qu’il s’habituera et qu’il finira par t’aimer tout comme il a pu m’ aimer. Cet amour inconditionnel, c’est ce que j’ai emportĂ© avec moi, comme une source d’inspiration pour faire don de moi-mĂŞme pour protĂ©ger les autres. Si je devais abandonner Tank pour le faire, alors je suis heureux de faire ce sacrifice. Il Ă©tait pour moi un exemple d’amour et de dĂ©vouement. J’espère l’avoir honorĂ© par mon dĂ©vouement envers mes camarades de front. C’est bon, c’en est assez. Ce soir, je serais envoyĂ© au front, et je dois encore dĂ©poser cette lettre au refuge. Je ne pense pas que j’irais dire au revoir Ă Tank une nouvelle fois. J’ai bien assez pleurĂ© la première fois. Peut-ĂŞtre que je glisserai juste un regard, pour voir s’il a finalement rĂ©ussi Ă mettre cette troisième balle de tennis dans sa bouche. Bonne chance avec Tank. Soigne-le bien, et donne-lui une caresse en plus de ma part, chaque soir, pour lui dire bonne nuit. Merci, Paul Mallory J’ai repliĂ© la lettre, et je l’ai replacĂ©e avec prĂ©caution dans l’enveloppe. Bien sĂ»r, j’avais entendu parler de Paul Mallory, tout le monde en ville le connaissait, mĂŞme les nouveaux habitants comme moi. Un gosse du coin, mort en Irak quelques mois auparavant et dĂ©corĂ© Ă titre posthume de la croix d’honneur, pour avoir sauvĂ© trois de ses compagnons avant de mourir. Les drapeaux avaient Ă©tĂ© en berne tout l’étĂ©. Je me suis penchĂ© en avant, les coudes posĂ©s sur les genoux, et j’ai regardĂ© le chien. “HĂ©, Tank,” ai-je murmurĂ©. La tĂŞte du chien s’est soudainement redressĂ©e, ses oreilles se sont dressĂ©es et son regard s’est illuminĂ©. “Viens par ici.” Il Ă©tait debout, ses ongles ont cliquetĂ© sur le parquet. Il s’est assis devant moi, la tĂŞte penchĂ©e, comme s’il cherchait ce nom qu’il n’avait pas entendu depuis des mois. “Tank,” ai-je murmurĂ©. Sa queue se mit Ă battre l’air. J’ai continuĂ© Ă murmurer ce nom, encore et encore, et chaque fois, ses oreilles se baissaient un peu plus, son regard d’adoucissait et son corps se dĂ©tendait tandis qu’une vague de bonheur semblait le traverser. J’ai frottĂ© ses oreilles, j’ai grattĂ© son dos, j’ai enfoui mon visage dans sa fourrure tout en le serrant contre moi. “C’est moi, Tank, juste toi et moi. Ton vieil ami t’a confiĂ© Ă moi.” Tank a tendu la tĂŞte et m’a lĂ©chĂ© la joue. “Alors, tu veux jouer Ă la balle?” Ses oreilles se sont alors dressĂ©es d’un coup. “Hein? La balle? T’aimes ça, hein ? La balle ?” Tank s’arracha de mes bras et disparut d’un bond dans l’autre pièce. Quand il est revenu, trois balles de tennis se tenaient dans sa bouche |
Déposé par Biscuit le 21/04/2015Oural Ouralou par Jean Ferrat Un superbe hommage de Jean Ferrat Ă sa chienne disparue C'est dans l'aube chère Ă Verlaine Que tu courais notre domaine, Humant l'air des quatre saisons. Odeurs de thym et de bruyère Sous tes pattes fraĂ®ches lĂ©gères S'Ă©levaient comme une oraison. Berger des landes familières, Tu vivais digne et solitaire. Animal douĂ© de raison J'Ă©cris ce jour anniversaire OĂą tu reposes sous la terre A deux pas de notre maison. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. On voit souvent des souveraines A la place des rois qui règnent Rien qu'en posant leurs yeux dessus. Il faut se mĂ©fier du paraĂ®tre. De nous deux qui Ă©tait le maĂ®tre ? Nous ne l'avons jamais bien su. Tu vĂ©cus la vie parisienne, La nuit sur les quais de la Seine Les music-halls et les tournĂ©es. Et cette vie qui fut la mienne Il me semble que tu l'entraĂ®nes A la semelle de tes souliers. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Jour après jour il faut l'admettre, Voir ceux qu'on aime disparaĂ®tre C'est ce qui fait vieillir trop tĂ´t. Au paradis des chiens, peut-ĂŞtre, Ton long museau Ă la fenĂŞtre, Tu nous accueilleras bientĂ´t. Au triple galop, caracole, Je vois tes pattes qui s'envolent, Chevauchant l'herbe et les nuĂ©es. Le vent siffle dans ton pelage, Vole, vole, mon loup sauvage, Comme au temps des vertes annĂ©es. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. |
Déposé par ritournel le 21/04/2015Un des plus grands bonheurs de cette vie : c'est l'AmitiĂ© ! Et l'un des bonheurs de l'amitiĂ© : c'est d'avoir quelqu'un Ă qui confier un secret.et surtout avoir un animal de compagnie car la vie serais triste sans eux .amitiĂ©s |
Déposé par colombine67 le 21/04/2015 Poème d'un chien Je suis celui qui t'attend ... Ta voiture fait un bruit spĂ©cial et je la reconnaĂ®trais entre mille. Tes pas rĂ©sonnent de manière magique, c'est une musique pour moi. Ta voie est le signe le plus Ă©vident de mon bonheur, il n'est pas nĂ©cessaire de parler : j'entends ta tristesse. Si je vois ton bonheur, je suis heureux! Je ne fais pas de diffĂ©rence entre une bonne et une mauvaise odeur, je sais uniquement que ton arĂ´me est le meilleur. Certaines prĂ©sences me plaisent, d'autres moins. Mais ta prĂ©sence est celle qui Ă©meut mes sens. Ton rĂ©veil, me rĂ©veille. Toi, qui dors Ă la maison, tu es mon Dieu et moi, je suis le gardien de tes rĂŞves. Ton regard est un rayon de soleil, lorsque je m'aperçois que tu te rĂ©veilles ... Ses mains sur moi ont la lĂ©gèretĂ© de la paix. Et lorsque tu pars, tout est vide Ă nouveau... Et moi, je continue Ă t'attendre, encore et encore ... J'attends le bruit de ta voiture Le son de tes pas De ta voix J'attends ton humeur toujours lunatique Ton odeur Ton repos sous ma vigilance J'attends tes yeux Tes mains Et moi, je suis content ainsi. Je suis celui qui t'attends Je suis ton chien Gabriel Makaya |
Déposé par rafia le 21/04/2015Conseil Ă l'ami. L'amitiĂ© ! quel nom ravissant ! Tout poète, depuis Homère, Chante l'amitiĂ©, la chimère La plus chère Ă l'esprit qui sent ! Que ton avis soit caressant, Ami ; jamais de voix amère : Sois semblable Ă la bonne mère, Grondant son fils et l'embrassant. Garde qu'un mot aigre, âme aimante, Ne tombe en l'amitiĂ© charmante, Breuvage dont la douceur plaĂ®t. Souviens-toi que la moindre goutte D'acide, quand elle y dĂ©goutte, Fait vite aigrir le plus doux lait ! Évariste Boulay-Paty |
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