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En hommage à
LABRADOROvanek dit Max
Il est né le:19/02/1998
Il nous a quittés le:06/01/2012
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En hommage à
Ovanek dit Max
112 bougies
57449 Fleurs
Déposé par marylindsay84 "Même si tes petites pattes ne touchent plus le sol, ton esprit est libre et heureux. Déposé par spanky Rien n'est plus doux, et rien ne donne à la peau une sensation plus Délicate, plus Raffinée, plus Rare que la robe tiède et vibrante de nos amours les chiens qui nous manques énormément. Déposé par poutounou Je suis bluffée par le fait que tu aies eu autant d’influence sur la vie des gens qui t’entouraient. Comment une seule âme peut-elle être aussi généreuse et aimante ? |
7248 messages
Déposé par colombine67 le 28/05/2015A ceux que j’aime et ceux qui m’aiment, Quand je ne serais plus là, relâchez-moi, laissez moi partir, J’ai tellement de choses à faire et à voir. Ne pleurez pas en pensant à moi, soyez reconnaissants pour les belles années, je vous ai donné mon amitié, vous pouvez seulement deviner le bonheur que vous m’avez apporté. Je vous remercie de l’amour que chacun m’a démontré, maintenant il est temps de voyager seul. Pour un court moment, vous pouvez avoir de la peine. La foi vous apportera réconfort et consolation. Nous serons séparés pour quelques temps. Laissez les souvenirs apaiser votre douleur, je ne suis pas loin, et la Vie continue… Si vous en avez le besoin, appellez-moi, et je viendrai. Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là. Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement la douceur de l’amour que j’apporterai. Et quand il sera temps pour vous de partir, je serais là pour vous accueillir . Absent de mon corps, présent avec Dieu. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas. Je suis les mille vents qui soufflent. Je suis la lumière qui traverse les champs de blé. Je suis la douce pluie d’automne. Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin. Je suis celui qui brille dans la nuit. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne suis pas mort. Au revoir Charlotte Néwashish-Flamand |
Déposé par Galinette3 le 27/05/2015Le vieux et son chien S'il était le plus laid De tous les chiens du monde, Je l'aimerais encore A cause de ses yeux. Si j'étais le plus laid De tous les vieux du monde, L'amour luirait encore Dans le fond de ses yeux. Et nous serions tous deux, Lui si laid, moi si vieux, Un peu moins seuls au monde A cause de ses yeux. Pierre Menanteau ( Ce que m'a dit l'alouette ) |
Déposé par bouffie le 27/05/2015un petit poème en ton honneur jolie fleur Un jour le Grand Jardinier me confia Une plante d'une qualité très rare, et très belle ; « Je reviendrai la chercher », dit-il en souriant ; « Soigne-la bien, en la gardant pour moi. » J'en ai pris soin, et la plante a grandi, Elle a donné une fleur aux couleurs rayonnantes, Belle et fraîche, comme l'aurore au printemps. Mon âme était radieuse, mon bonheur sans égal. De toutes mes fleurs, elle était la plus glorieuse, Son parfum, son aspect étaient merveilleux ; J'aurais voulu la garder, tant mon cœur s'y était attaché Pourtant, je savais qu'Il reviendrait la chercher. Et voici, Il est venu un jour me demander La jolie plante qu'Il m'avait prêtée... Je tremblais ! Mais c'est vrai qu'Il m'avait dit Qu'un jour Il reviendrait pour me la réclamer. « C'est parfait », dit-Il en respirant son parfum alors, en se penchant, Il a parlé doucement : « Si elle reste dans ce sol, elle va perdre sa splendeur, Je veux la transplanter dans mon jardin Là-haut. » Avec tendresse, Il la prit et s'envola Pour la planter Là-haut où les fleurs ne se fanent pas. Et un jour futur, dans ce Jardin de Gloire, Je la retrouverai épanouie, et elle sera mienne. auteur inconnu tendres caresses pour toi petit cœur amitiés |
Déposé par colombine67 le 27/05/2015Confidentiel - Jean Jacques Goldman Je voulais simplement te dire Que ton visage et ton sourire Resteront prés de moi sur mon chemin Te dire que c'était pour de vrai Tout ce qu'on s'est dit, tout ce qu'on a fait Que c'était pas pour de faux, que c'était bien. Faut surtout jamais regretter Même si ça fait mal, c'est gagné Tous ces moments, tous ces mêmes matins Je vais pas te dire que faut pas pleurer Y a vraiment pas de quoi s'en priver Et tout ce qu'on a pas loupé, le valait bien Peut-être que l'on se retrouvera Peut-être que peut-être pas Mais sache qu'ici bas, je suis là Ça restera comme une lumière Qui me tiendra chaud dans mes hivers Un petit feu de toi qui s'éteint pas. |
Déposé par rafia le 27/05/2015Combien sont-ils ? Pour un beau combat Bien là. Pour une cause bien présente Bien existante. Ce poème ne va pas changer le monde, Mais peut-être réveiller quelques consciences ??? Sur cette planète ronde Pour les "animaux" trop candides Et ces gens qui font preuve d'inconscience. Dans une société en déliquescence. On parle souvent des humains, De leurs accidents de la route. On ne parle pas assez des animaux, De leurs accidents de parcours. "Le chien, le meilleur ami de l'Homme."??? C'est vrai. "L'Homme, le meilleur ami du chien." ??? C'est faux !!! C'est succinct Et cela m'effraie. Combien de chiens perdent la vie chaque année ??? Sue les aires d'autoroutes, ils sont abandonnés Chaque été. Des dizaines, voire des centaines.... Ds des chemins de traverse, Leur malheur se déverse. Ici, ce canin à qui l'on a coupé l'oreille Qui portait son tatouage. Crime sauvage d'un autre âge. Sans oublier Tous les maltraités, Les reproductions incohérentes, Qui finiront dans un refuge Tant de misère me hante. Les torturés... Il y a tant d'humains tarés !!! Combien de gens ont un coeur de pierre ??? Des dizaines, voire des centaines. Quand tout cela cessera-t-il ??? Quand n'y aura-t-il plus de bourreaux d'animaux ???? Mais pour cela les lois, il faudrait vraiment changer, Messieurs les députés, pitié....plus d'humanité. Quand ces nobles créatures Cesseront t-elles d'être affamées ??? De coups, infligés ??? Combien sont-elles ??? Des centaines, voire des milliers. Ce chien blanc, comme neige d'Alaska Attaché à ce poteau, en plein soleil, Ce pauvre chien gémit. Ici, pour lui, ce n'est pas le paradis. Il souffre de la chaleur, Sans haine, il attend son heure. Où est-ce qu'il finira ??? Ds une SPA, Qui est un bien triste endroit. Dans l'attente d'être placé Ou pire, euthanasié !!! Combien sont-ils là-bas ??? Des centaines, plusieurs milliers. Arrêtons ces abandons !!! Arrêtons ces sacrifices !!! Arrêtons ces meurtres d'animaux !!! Ravie de vs retrouver...mais bien moins de devoir repartir, fin août. Mais je ne vais pas me plaindre !!! Mille bisous et autant de mercis. Maryem votre amie |
Déposé par colombine67 le 26/05/2015 A mon maître: Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Brutus Thibault, (communément appelé La Brute par mon père, amis et connaissances), dépose en secret dans l'âme de mon grand ami, mon maître , mon testament. J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais, me regretteront le plus, à Michel, Nancy et Yann qui ont été si bons pour moi. Peut-être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Michel de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de le réconforter dans la peine et de lui apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais lui causer du chagrin. Je le prie de ne pas oublier qu'à sa tendresse et à sa sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour celui qui m'a donné son affection. Il me sera douloureux de le quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe-t-il après? Nul ne le sait. En tout cas, je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu mon maître, dire: "Quand Brutus mourra, je n'aurai jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre." Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que, maintenant que j'ai fait partie de la famille, il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même mon co-locataire, un chat... Miow-Miow, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille). Aussi je conseille à mon maître de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli, aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et aussi que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir. Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël. Un dernier mot à Michel, Nancy, et Yann, Chaque fois que vous penserez à moi : dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos côtés : "Brutus était un être qui nous aimait et que nous aimions. "Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Brutus Thibault Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous. |
Déposé par ovanek le 25/05/2015💖 💖 💖 Un compagnon est celui qui connaît tes sentiments Que tu as dans ton cœur et qui peut te les murmurer Quand tu en as oublié les paroles … Mon Chien…. les nôtres sont liés à jamais et ne s’effacerons jamais ** Pensée ** ❤ |
Déposé par poutounou le 25/05/2015L'écho * Rôdant, triste et solitaire Dans la forêt du mystère, J’ai crié le coeur très las : - « La vie est triste ici-bas ! » L’Écho m’a répondu : « Bah ! » – « Écho, la vie est méchante ! » Et, d’une voix bien touchante, L’Écho m’a répondu : « Chante ! » – « Écho, Écho des grands bois, Lourde, trop lourde est ma croix ! » L’Écho m’a répondu : « Crois ! » – « La haine en moi va germer, Dois-je rire ou blasphémer ? » Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! » Comme l’Écho des grands bois M’a conseillé de le faire : J’aime, je chante et je crois ! Et je suis heureux sur terre ! * Théodore Botrel (1868-1925) |
Déposé par rafia le 25/05/2015Poème pour chiens maltraités Dans la chaîne de l'horreur On ne fait que monter d'heure en heure Plus on veut sauver Plus on continue à martyriser Y a-t-il dans le ciel quelques anges sans occupations Car il serait plus que temps qu'ils fassent leurs bonnes actions Punir les mauvais, les envoyer au purgatoire Qu'ils se débarrassent de leurs âmes noires Redonner espoir et lumière à ces amours muets Pour qui l'homme reste encore un terrible sujet Que doivent-ils dire de nous humains Comment les comprendre ceux-là quand ils nous tendent la main ? Parfois c'est pour nous offrir l'harmonie Parfois c'est pour nous ôter la vie Comment leur faire confiance Il y a dans leurs sentiments trop d'alternance Alors les ailés où que vous soyez, agissez Nous allons finir par nous noyer Les quelques microbes que nous sommes ici-bas Devons faire face à nos semblables, enfin si peu dans ce cas Mais vous voyez nos coeurs sont en lambeaux et si las Nous aimerions ouvrir immensément nos bras Cette terre hélas aujourd’hui n’est gouvernée que par l’argent Elle ne connaît plus le sens de l’adverbe simplement Au nom de cette monnaie sale et trébuchante On abandonne, on torture, on supprime, c’est une déferlante Moi là, je vous parle, j’écris, j’étale des mots Je vide mon coeur au quotidien de tous ces maux Je ne peux faire beaucoup plus Dans mes poches l’argent n’est plus Mais pour vous sauver, je donnerais ma peau Pour ne plus voir tant de misères et de pas beau Non pas que je veuille disparaître de la planète Car pour être tout à fait honnête J’ai envie d’y faire encore quelques temps la fête Entourés de quelques jolies et si tendres bêtes Et tant qu’il y aura toutes ces galères Je ne pourrais poursuivre l’âme légère Tous petits chiens en souffrance Nous n’avons pas le droit de continuer dans l’ignorance Vous ne serez plus abandonnés Non nous ne sommes pas des fées Nous avons un seul mot d’ordre ici, c’est vouloir Notre volonté c’est votre espoir ! Auteur inconnu |
Déposé par colombine67 le 25/05/2015Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent... Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe... Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque... Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle... Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? Benoît Marchon |
Déposé par rafia le 24/05/2015Le chien abandonné Le chien abandonné Quand ils ont claqué la portière, Il n'a pas compris tout de suite. Il a couru longtemps derrière, Mais la voiture allait trop vite. Et pendant des journées entières, Il a vu les autos passer. Mais vous, auriez-vous fait marche arrière En voyant ce chien sans collier ? Car après les premières caresses, Puis quelques mois d'indifférence, Beaucoup de chiens perdent leur laisse Au début des grandes vacances. Comme un objet que l'on jette Quand il n'est plus au goût du jour, Il sera remplacé, peut-être, Par un chien plus jeune au retour. Le chien abandonné en été par ses maîtres Flaire toujours la route et fait des kilomètres. Il traverse les villages et s'approche des enfants Qui n'osent le caresser, de peur qu'il soit méchant, De peur qu'il soit méchant. Il n'a pas oublié ses maîtres Depuis le jour qu'il vagabonde, Et pour les retrouver peut-être, Il ira jusqu'au bout du monde. Il n'a plus d'âge et plus de race. Qu'importe comment il s'appelle ! Mais à le voir suivre leurs traces Moi, je vais l'appeler Fidèle. Le chien abandonné en été par ses maîtres Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais De chien abandonné. Jean Luc Morel Ce texte a été repris par Jean Rochefort, en 1984, au profit de la SPA. |
Déposé par ovanek le 24/05/2015💖 💖 💖 💖 ******* Notre étoile ******* merci de scintiller pour nous les nuits venues tu éclaires les chemins sur lesquels on te regarde et nous sommes heureux quand on s'endort auprès de tes pensées si toi tu es sur les nuages des anges ton cœur lui. Est dans le nôtre pour toujours tu es notre passé… !! Mais nous restons présents et futur pour Toi. On t'aime .....Veilles sur nous .... Tu es gravé dans nos âmes ... ... Mes Pensées.…Phil 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 24/05/2015Même s'il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "à demain" Rien ne défera jamais nos liens. Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train, L'amour est plus fort que le chagrin. L'amour qui fait battre nos cœurs Va sublimer cette douleur, Transformer le plomb en or ! Tu as tant de belles choses à vivre encore. Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas. Tu as tant de belles choses devant toi. Même si je veille d'une autre rive, Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive, Je serai avec toi comme autrefois. Même si tu pars à la dérive, L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois. Dans l'espace qui lie le ciel et la terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore. Il y a tant de belles choses que tu ignores : La foi qui abat les montagnes, La source blanche dans ton âme, Penses-y quand tu t'endors : L'amour est plus fort que la mort. Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache le plus beau des mystères. Penses-y quand tu t'endors : L'amour est plus fort que la mort. Françoise Hardy |
Déposé par tinou20042001 le 24/05/2015JOLI MOIS DE MAI Ô joli mois de mai, tu ouvres une à une De tes doigts délicats, les roses du jardin Et tu déposes en pluie la rosée du matin, Offerte par la nuit à un rayon de lune. Tu murmures aux buissons la chanson du Zéphyr Jetant à la volée des fleurs sur les chemins. Tu fais valser les cœurs, joyeux lutins Au rythme des passions et des éclats de rire. Sur les calendriers avec tes saints de glace, Des affres de l’hiver, il reste encore la trace Entre soleil et pluie, nuages et éclaircies. Les oisillons s’emplument et le vent les emporte, Adieu mauvais temps et les intempéries L’été s’annonce enfin, il tape à la porte. Alphonse BLAISE. |
Déposé par goulou50 le 23/05/2015A toi Toi qui es parti Dans un autre univers, Toi qui es parti, Au paradis Tu me manques tellement, J'aimerais te revoir, Tu es si loin à présent, Tu m'as donné tant de bonheur Tu es aujourd'hui au ciel, J'aimerais retrouver ton odeur, Je voudrais des ailes Pour retrouver mon bonheur. Tu me manques tellement, J'aimerais te revoir, Mais tu es si loin à présent,je voudrais être une petite coccinelle pour pouvoir voler tous là haut et me poser sur toi pour ne plus te quitter. Sache que je t'aime,rien ne changera Pour toi et ton petit papa |
Déposé par Galinette3 le 23/05/2015 L'homme et son chien Un homme et son chien marchaient le long d'une route. L'homme admirait le paysage, quand tout à coup il réalisa qu'il était mort. Il se rappela sa mort... et réalisa que son chien aussi, était mort depuis des années. Il se demandait où le chemin les amènerait. Après un moment, ils approchèrent d'une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille. En s'avançant, il s'aperçut qu'elle était fendue et une lumière en jaillit. Quand il s'approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée toute scintillante. L'homme et son chien marchèrent jusqu'à la porte, et comme ils approchaient, l'homme vit un autre homme assis à une table. Quand il fut assez proche, il demanda à l'homme : - Où sommes-nous ? - Vous êtes au Paradis, monsieur. - Est-ce que vous auriez de l'eau ? - Certainement, entrez, je vais vous faire venir de l'eau froide dans un instant. L'homme fit quelques gestes et la porte s'ouvrit. - Est-ce que mon chien peut entrer ? demandant l'homme en pointant le chien. - Désolé, monsieur, mais nous n'acceptons pas les animaux, L'homme réfléchit et décida de reprendre le chemin. Après une longue marche, au sommet d'une colline, il croisa une route de terre qui menait à une porte de grange. Il n'y avait pas de clôture. Alors qu'il s'approchait, il vit un homme adossé à un arbre qui lisait un livre : - Excusez-moi, monsieur, est-ce que vous avez de l'eau ? - Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin. Il fit un geste, mais on ne voyait rien. - Entrez dans la grange, vous la découvrirez facilement. - Est-ce que mon ami peut venir ? - Bien sûr, il y a même un bol pour lui près de la pompe. Ils traversèrent la porte et trouvèrent la vieille pompe avec un bol à côté. L'homme remplit le bol, prit une gorgée et donna le reste à son chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l'homme qui était toujours près de l'arbre. - Comment appelez-vous cet endroit ? - Mais c'est le ... Paradis ! - C'est troublant. L'homme que nous avons rencontré tout à l'heure, m'a dit la même chose . - Ah ... vous parlez du chemin en or et de la porte en perles ? Non, là-bas, c'est l'enfer. - Mais.. comment dire ? ça ne vous fâche pas qu'ils utilisent votre nom comme ça et qu'ils trompent les gens ? - Non, absolument pas ! mais je comprends que vous me posiez la question. À vrai dire, nous sommes contents qu'ils éliminent les gens qui laissent leurs amis derrière. L'auteur ne m'est pas connu |
Déposé par colombine67 le 23/05/2015La mort n’est qu’un passage. Je suis seulement passé dans la pièce à coté. Je suis moi, Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent. Ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez de rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez ou ne priez pas. Souriez, pensez à moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été. Sans emphase d’aucune sorte, sans aucune trace d’ombre. La vie signifie tout ce qu’elle toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos vues ? pourquoi serais-je hors de vos pensées. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre coté du chemin. Adapté de « The King of Terrors » d’Henry Scott-Holland, également parfois attribué à Charles Péguy, d’après un texte de Saint Augustin |
Déposé par rafia le 22/05/2015C’est juste un chien De temps en temps les gens me disent « voyons, c’est juste un chien » ou « tu en dépenses de l’argent juste pour un chien »… distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour « juste un chien ». Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de « juste un chien ». J’ai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, « juste un chien » et je ne me suis jamais senti moindrement seul. Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de « juste un chien » et, dans ces jours sombres, le doux contact de « juste un chien » m’a donné du réconfort et permis de traverser la journée. Si vous aussi pensez que c’est « juste un chien », alors vous comprendrez probablement des phrases comme « juste un ami », « juste un lever de soleil » ou « juste une promesse ». « Juste un chien » apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée. « Juste un chien » fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. A cause de «juste un chien » je me lèverai de bonne heure, prendrai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas « juste un chien » mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment. « Juste un chien » fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée. J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas « juste un chien » mais l’être qui m’a donné l’humanité et qui m’a préservé de n’être que… « juste un homme ou une femme ». Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase « juste un chien »… souriez, parce que c’est « juste qu’ils n’ont pas compris ». Texte de Richard Biby. |
Déposé par colombine67 le 22/05/2015A ceux que j’aime et ceux qui m’aiment, Quand je ne serais plus là, relâchez-moi, laissez moi partir, J’ai tellement de choses à faire et à voir. Ne pleurez pas en pensant à moi, soyez reconnaissants pour les belles années, je vous ai donné mon amitié, vous pouvez seulement deviner le bonheur que vous m’avez apporté. Je vous remercie de l’amour que chacun m’a démontré, maintenant il est temps de voyager seul. Pour un court moment, vous pouvez avoir de la peine. La foi vous apportera réconfort et consolation. Nous serons séparés pour quelques temps. Laissez les souvenirs apaiser votre douleur, je ne suis pas loin, et la Vie continue… Si vous en avez le besoin, appellez-moi, et je viendrai. Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là. Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement la douceur de l’amour que j’apporterai. Et quand il sera temps pour vous de partir, je serais là pour vous accueillir . Absent de mon corps, présent avec Dieu. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas. Je suis les mille vents qui soufflent. Je suis la lumière qui traverse les champs de blé. Je suis la douce pluie d’automne. Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin. Je suis celui qui brille dans la nuit. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne suis pas mort. Au revoir Charlotte Néwashish-Flamand |
Déposé par poutounou le 21/05/2015Une jolie petite histoire « vraie »… * Le petit garçon et les étoiles de mer * Pendant mes dernières vacances, au bord de la mer, un matin en arrivant sur la plage, j'ai découvert des milliers d'étoiles de mer qui s'étaient échouées dans la nuit. J'étais complètement estomaqué par ce spectacle quand je vois un petit garçon au bord de la mer qui prend une étoile de mer entre ses deux doigts et la rejette à la mer. Pendant que je m'approche, il continue sa tâche en essayant de lancer les étoiles de mer le plus loin possible dans la mer. Arrivé près de lui, je le félicite pour ce qu'il a entrepris, mais je lui fais remarquer que c'est une tâche impossible : * - Même si tu continues tout le temps à les rejeter, une par une, à la mer, compte tenu des milliers et des milliers d'étoiles de mer qui se sont échouées, à la fin de la journée, on ne verra pas beaucoup la différence sur la plage. * A ce moment là, le jeune garçon, qui venait de prendre délicatement une étoile de mer, s'est redressé, il m'a regardé droit dans les yeux et avec un grand sourire, il m'a dit : - D'accord, peut-être que ça ne changera pas beaucoup de choses sur la plage, mais, pour cette étoile de mer là, ça fait une sacrée différence. * C’est pareil pour un chien qu’on sort d’un refuge. Il y aura toujours plein de chiens dans les refuges, mais pour celui qu’on aura sorti de là, la vie ne sera plus la même ; pour lui ça fera une sacrée différence…. Si Dieu me prête vie, le prochain chien que je prendrai viendra d’un refuge. |
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