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En hommage à
LABRADOROvanek dit Max
Il est né le:19/02/1998
Il nous a quittés le:06/01/2012
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En hommage à
Ovanek dit Max
110 bougies
56990 Fleurs
7222 messages
Déposé par rafia le 12/05/2015Les chiens pleurent aussi Moi je sais que les chiens, Que les chiens pleurent aussi Quand ils ont du chagrin, Que parfois ils se cachent Pour souffrir à loisir, Sans que leur maître sache Ni où ils sont, Ni le grand mal qui les conduit. J'en sais un qui partit Au fond d'une forêt Pour fuir les longs soupirs, De cet enfant malade. Cet enfant qui jouait avec lui Ses chamades Et qui ne s'en revînt, Que lorsqu'il fut sauvé. Et j'en sais un aussi Qui se laissa mourir De faim, de désespoir, Au départ de son maître Pour les Terres d'Ailleurs Où seules ne pénètrent Que les ombres de ceux, Dont la vie va finir. Mais moi, je sais aussi Que ds ces Pays Hauts, Les hommes et les chiens, Chaque fois se retrouvent, Sur les vastes prairies, Quand les portes s'entrouvrent Parmi l'immensité Des joies et des repos. Louis AMADE |
Déposé par seensouaree le 11/05/2015Au bord du vide Nous voici aujourd'hui au bord du vide Puisque nous cherchons partout le visage que nous avons perdu. Il était notre avenir et nous avons perdu notre avenir. Il était des nôtres et nous avons perdu cette part de nous-mêmes. Il nous questionnait et nous avons perdu sa question. Nous voici seuls, nos lèvres serrées sur nos pourquoi. Nous sommes venus ici chercher, chercher quelque chose ou quelqu'un. Chercher cet amour plus fort que la mort. (Paul Eluard) |
Déposé par larrydoudou le 11/05/2015Mon chien! Mon chien est très malin Aux petites heures du matin Avant son grand festin Il se fait donner des câlins. Avec ses yeux pleins de tristesse Il me regarde manger mon pain Me rappelant ma promesse De lui donner le sien. Il est l'heure de sortir Mon chien montre un large sourire Et suivra mon chemin Jusqu'au coin. Là sur la butte de neige Qu'il utilise comme siège Il attend mon autobus Pour me saluer de sa truffe Voilà ce que mon chien fait. Voilà ce que mon chien est. Il est très malin Et on l'aime bien. |
Déposé par colombine67 le 11/05/2015Une amitié est comme une fleur. Elle naît et s’épanouit en douceur. Elle peut durer une vie, pour toujours. Où s'arrêter et se faner, en un jour. Une amitié c'est donner, beaucoup de soi. Ne jamais rien demander, en retour. C'est être toujours présent, toujours là. Le faire avec plaisir, beaucoup d'amour. |
Déposé par rafia le 11/05/2015Réflexions d'un canin...ds l'attente d'être euthanasié... Cher Maître, Si je pouvais t'écrire Je t'écrirais que tu me manques à en pleurer . Si je pouvais courir C'est vers toi que je courrais. Si je pouvais vivre , J'aurais la force de te chercher. Si je pouvais sourire , C'est a toi que je le ferais . Si je pouvais encore t'obéir , Je t'écouterais pour me faire pardonner . Si je pouvais m'enfuir , je fuirais pour te retrouver . Mais aujourd'hui je dois MOURIR Alors je veux juste encore te dire Combien je t'aimais et t'aime encore. Auteur inconnu ************* Mille excuses si j'ai omis des fautes, lors de la correction de ce C/C. Ce soir, je suis rentrée très tard, trop tard.du Pyla...et le temps me manque cruellement. Avec toute ma bien sincère Amitié. Mille bisous et autant de mercis Maryem vote amie |
Déposé par tinou20042001 le 10/05/2015MAI Depuis un mois, chère exilée, Loin de mes yeux tu t'en allas, Et j'ai vu fleurir les lilas Avec ma peine inconsolée. Seul, je fuis ce ciel clair et beau Dont l'ardente effluve me trouble, Car l'horreur de l'exil se double De la splendeur du renouveau. En vain j'entends contre les vitres, Dans la chambre où je m'enfermai, Les premiers insectes de Mai Heurter leurs maladroits élytres ; En vain le soleil a souri ; Au printemps je ferme ma porte Et veux seulement qu'on m'apporte Un rameau de lilas fleuri ; Car l'amour dont mon âme est pleine Retrouve, parmi ses douleurs, Ton regard dans ces chères fleurs Et dans leur parfum ton haleine. François COPPEE |
Déposé par colombine67 le 10/05/2015 L'amitié L’amitié est une valeur rare, tous en parlent beaucoup mais peu la créent, L’amitié est un refuge, elle ne te protége pas du mauvais sort mais te soigne, L’amitié est un soleil, elle brille dans ton coeur mais peut te brûler, L’amitié est une richesse, on ne l’a pas sans mériter la confiance que l’on gagne, L’amitié est un cours d’eau, elle commence ruisseau et enfle, enfle jusqu’à devenir fleuve, L’amitié est une herbe folle, elle surgit de nulle part et pousse même dans l’ombre, L’amitié est un gai pinson, elle te fait rire qu’il neige, vente ou qu’il pleuve, L’amitié est un océan, elle ne finit jamais même s’il existe des vagues au reflet sombre, L’amitié est un oiseau, elle a besoin d’air pur et de liberté pour s’exprimer, L’amitié est un nuage, elle change sans cesse de forme mais parfois suit le vent, L’amitié est mon monde, changeant, remuant, tendre, moqueur, entier, Mais il a besoin de vous mes ami(e)s pour être celle que je suis aujourd'hui ! |
Déposé par rafia le 10/05/2015"Mes chiens, une valeur sûre" En ces temps de crise, de morosité, d’individualité, Dans un monde lancé en une course folle à la matérialité, la productivité, A la suprême jeunesse, à l’éternelle beauté, Laissant les plus démunis, les plus faibles de côté, Mes chiens sont un havre de paix ! Ainsi, l’être humain qui n’a plus d’humain que son physique, Ne sait plus prendre le temps de se poser, Triste est le bipède, qui ne sait plus regarder, ne sait plus écouter, Un réel constat, mes chiens sont plus humains que les humains, Mes chiens sont mon refuge quotidien ! Mes chiens sont présents chaque jour à mes côtés, Ils m’accompagnent, du lever au coucher, Mes chiens me regardent et savent de suite si je vais bien, Entre nous, pas besoin de parler, Juste leur hypersensibilité, qui sait tout détecter, Avec eux, pas de faire semblant, Avec eux, pas de faux fuyants, Avec eux, c’est honnêteté et authenticité ! Mes chiens me fêtent à mon retour, Le sourire aux babines, Ils ne badinent pas avec l’amour, Leur fidélité, leur amitié, leur complicité, Me font oublier les tracas de la journée, Sans détour, ils sont à 100 % tous les jours, Une fiabilité sans défection à l’année, Avec eux, c’est 365 jours sur 365 jours, Avec eux, tristesse, tracas, s’envolent, Avec eux, je me poile, quelle hilarité ! Avec eux, c’est auto dérision à volonté ! D’eux, je m’amuse de leurs mimiques, de leurs postures, Il y a, l’ancêtre « PONY », une valeur inestimable, Un air de vieux Teddy mité, une vraie antiquité, Souffrant hyper attachement, auquel je suis hyper attachée, « BEN », la dignité au bout des coussinets, Ce seigneur trône en maître sur le canapé, Les pattes avant croisées, il ose la pièce toiser, Puis, « CARAMEL », petit bout de rien, prenant une place incommensurable, Tantôt chien tantôt chat, se jonchant en hauteur, pour prendre toute son ampleur, « RIMMELLE », un regard aimant et protecteur, Elle veille sur toute la maisonnée, Elle prendra le parti du plus petit, veillera sur le plus âgé, Puis « ZEUS », le dernier arrivé, Le premier à bêtiser ! Un vrai polisson à poils longs ! Mes chiens sont mes racines à la Réalité, Ils sont mon retour à la simplicité, Avec eux c’est adieu superficialité ! Mes chiens sont ma valeur sûre, Un placement à valeur constante, Je crois le meilleur car il vient du cœur ! Auteur inconnu |
Déposé par poutounou le 09/05/2015Mon Paradis * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue, D’une terre vierge, encore inexplorée et nue, D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué. Je voulais fuir les querelles et tout recommencer, Sur la terre originelle, renaître de l’oubli. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel. Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle, Vestige de beauté d’une nature si meurtrie. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance, Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence, D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard, Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard. C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris. * Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis. * Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique. Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique. Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie. * Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis. |
Déposé par colombine67 le 09/05/2015Chansons Puisque tu pars - Jean Jacques Goldman Puisque l'ombre gagne Puisqu'il n'est pas de montagne Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli Puisqu'il faut apprendre A défaut de le comprendre A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il" Et puisque tu penses Comme une intime évidence Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire Puisque c'est ailleurs Qu'ira mieux battre ton cœur Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir Puisque tu pars Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles Sauront t'aimer mieux que nous puisque L'on ne peut t'aimer plus Que la vie t'apprenne Mais que tu restes le même Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu Garde cette chance Que nous t'envions en silence Cette force de penser que le plus beau reste à venir Et loin de nos villes Comme octobre l'est d'avril Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile Sans drame, sans larme Pauvres et dérisoires armes Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur Puisque ta maison Aujourd'hui c'est l'horizon Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir Mais pas trop tard Dans ton histoire Garde en mémoire Notre au revoir Puisque tu pars Dans ton histoire Garde en mémoire Notre au revoir Puisque tu pars J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez Pas assez, pas assez, pas assez Dans ton histoire (dans ton histoire) Garde en mémoire (garde en mémoire) Notre au revoir (notre au revoir) Puisque tu pars (puisque tu pars)... |
Déposé par Galinette3 le 09/05/2015Plusieurs choses dans votre vie attireront votre regard mais seulement quelques unes votre coeur. Poursuivez plutôt celles-là. Merci mon ami fidèle de toujours mon ange |
Déposé par rafia le 09/05/2015Mes compagnons L'horloge fait tic tac et de même mon coeur Je suis seule ce soir, je suis triste et j'ai peur Ma chatte fait ronron et contre moi se presse Le regard de mon chien est tout plein de tendresse. Leurs pattes et museaux posés sur mes genoux Je perçois dans leurs yeux un sentiment si doux Vous, mes chers animaux sincères et fidèles Que ne puissent vos vies demeurer éternelles. A vous qui donnez tant, il suffit en retour Qu'une main sur vos fronts se pose avec amour Faut-il que mes idées vient parfois des absences Pour avoir un instant oublier vos présences ? A une grand-mère, n'ôtez point sa chatte Même si ailleurs on la choit, on la gâte Et surtout laissez lui son chien, même vieux Il demeure pour elle un ami précieux. Yolande SETTEMBRE, |
Déposé par monkillou le 08/05/2015Ovanek, * Bon week-end du 8 mai avec un grand merci pour le passage d'un de tes maîtres sur le profil de mes chiens adorés dont mon Nike d'amour parti, il y aura 3 ans demain... Avec eux, ils ne sont jamais oubliés et leurs poèmes sont toujours très jolis à lire! Mon beau Max, n'oublie pas que tu seras toujours aimé, TOI aussi... Pense bien à toi superbe labrador! Amitiés aux élus de ton coeur... |
Déposé par colombine67 le 08/05/2015En 1856, le chômage faisant rage en Écosse, un ancien jardinier, John Gray, partit de la campagne vers Édimbourg avec sa famille. Il obtint un emploi de policier et eut droit à un chien de garde. Il obtint ainsi de ses supérieurs un chiot Skye Terrier qu’il nomma « Bobby ». Tous les jours à treize heures pile, sonnées traditionnellement par un coup de canon depuis le Château d'Édimbourg, l’homme et le chien allaient dans un petit restaurant où Gray donnait à Bobby une brioche, puis un os. Deux ans plus tard, Gray mourut de tuberculose. Le jour des funérailles, plusieurs témoins reconnurent Bobby, en tête du cortège funèbre, qui suivait le cercueil. Puis, la cérémonie terminée, le chien disparut. Il ne revint jamais dans la famille de Gray. Le lendemain, le gardien du cimetière de l’église de Greyfriars, au sud du château d'Édimbourg, où était enterré John Gray, fut surpris de découvrir Bobby couché sur la tombe de son maître. Le lieu étant interdit aux animaux, Bobby en fut donc chassé. Mais le lendemain, puis encore le surlendemain, Bobby revint la nuit malgré le gardien qui le chassait à chaque fois. Finalement, voyant une telle fidélité, ce dernier eut pitié du petit chien et obtint une dérogation de la ville qui autorisait Bobby à rester. Ce ne fut qu’au bout de trois jours que Bobby, forcé par la faim, dut sortir du cimetière. Le restaurateur fut alors surpris de voir Bobby arriver tout seul à treize heures pile pour sa brioche et son os. Après avoir avalé son repas qui lui fut donné de bon cœur, Bobby revint se coucher sur la tombe de son maître. Dès lors, il ne la quitta que pour aller manger à son restaurant attitré. Plus tard, il se prit d’amitié pour un soldat d’Édimbourg et le suivait quand ce dernier allait au château sonner le coup de canon marquant treize heures. Puis ils allaient tous deux prendre leur repas au restaurant où allait déjeuner John Gray, puis ils se séparaient. Mais en dehors de ce moment, Bobby ne voulait accompagner personne. Bien des familles voulurent adopter le chien, mais lui se mettait à chaque nouveau foyer à hurler de manière si sinistre qu’il était toujours autorisé à repartir, et il revenait sans surprise au cimetière. Cependant, dans la seizième et dernière année de sa vie, il accepta, vieux et fatigué, de rester la nuit chez les Traill, la famille propriétaire du restaurant où il allait prendre son repas. C’est chez ces derniers que, par une froide matinée d’hiver 1872, Bobby fut trouvé mort. Il avait veillé sur la tombe de son maître pendant quatorze ans. La même année, la baronne Angela Burdett-Coutts fit construire près du cimetière une fontaine surmontée d’une statue de Bobby grandeur nature, œuvre du sculpteur William Brodie (en), toujours visible aujourd’hui. Le Huntly Museum d’Édimbourg expose aussi des photos et des objets de Greyfriars Bobby, comme son collier. Greyfriars Bobby reste depuis plus d’un siècle un symbole de fidélité pour les Écossais, et leur chien national. |
Déposé par rafia le 08/05/2015Le premier chien C'est un chien abrupt dans sa race, C'est le premier de tous les chiens, Première fois que dans l'espace chien Aboya ce qui n'était rien. Il est tous les chiens à venir Et les voudrait mener à bien, Il est l'angoisse qui soupire Tout en étant qu'un pauvre chien, Il cache en lui tant de miracles Qu'il pose un peu craintif les pattes Sur le sol qui le porte au loin Et si multiple qu'il en tremble, Si fou de tout ce qu'il contient Qu'on l'aperçoit sur une route De plaine comme un chien courant, Qu'on le retrouve saint-bernard Sur le versant d'une montagne, Près des moutons chien de berger Et près des hommes chien de garde, Il est toujours là qui regarde Pour ne pas être un étranger. Jules SUPERVIELLE, |
Déposé par Ana le 07/05/2015"Si vous êtes pauvre, souffrant à la fois de l'âge et du besoin, il se formera entre la bête et vous une amitié d'autant plus forte que sacrée. Vous réchauffant de sa jeunesse et de sa reconnaissance, ce chien tiendra votre cœur vivant jusqu'à votre dernier souffle". Lacordaire Avec toute mon amitié. |
Déposé par colombine67 le 07/05/2015Tu Manques - Jean Jacques Goldman Y a des qualités de silence Comme des étoffes ou le bois Des profonds, des courts, des immenses Des que l'on entend presque pas Coule la pluie, cheveux et veste Mouille ce qui ne pleure pas Marcher le long de rues désertes Où tu me manques pas à pas Tu manques, si tu savais Tu manques tant Plus que je ne l'aurai supposé Moi qui ne tient pas même au vent Prendre un taxi, tourner des pages Féliciter, battre des mains Faire et puis refaire ses bagages Comment allez-vous ?, à demain On apprend tout de ses souffrances Moi, j'ai su deux choses, après toi : Le pire est au bout de l'absence Je suis plus vivant que je crois Tu manques, si tu savais Infiniment, tout doucement Plus que je ne me manque jamais Quand je me perds de temps en temps Danger, dit-on, la lune est pleine Est-elle vide aussi parfois ? Invisible, à qui manquerait-elle ? Peut-être à d'autres, pas à moi Tu manques, si tu savais Tu manques drôlement Tu m'manques |
Déposé par rafia le 07/05/2015Le petit chien Ploton Ploton fut doux comme un agneau, Ploton fut gai comme un moineau, Simple comme une colombelle, Loyal comme une tourterelle, Friand comme un rat foleton, Mignard comme un petit chaton ; Bref Ploton fut plus agréable, Plus frétillant, plus amiable, Plus bénin, plus obéissant, Plus avisé, plus connaissant, Plus vigilant et plus habile Et de nature plus gentille Et plus digne d'en dire rien Que ne fut jamais petit chien. Olivier de MAGNY, |
Déposé par colombine67 le 06/05/2015SANS TOI Sans toi, la ville s'endort doucement, Sans toi, les arbres oublient le vent, Sans toi, la Garonne s'efface lentement, Sans toi, la nuit rappelle ses amants. Sans toi, ma musique manque de paroles, Sans toi, mes heures sont des jours, Sans toi, mon coeur s'invente une idole, Sans toi, mes pas sont devenus trop lourds. Sans toi, le soleil se couche autrement, Sans toi, je ne distingue pas l'horizon, Sans toi, la brume cache l'océan, Sans toi, le temps oublie ses raisons. Sans toi, j'ai peur du lendemain, Sans toi, les parfums sont différents, Sans toi, je ne sais plus tendre la main, Sans toi, difficile de dire que c'était avant. - Darry - |
Déposé par rafia le 06/05/2015Frère, (Message d'adieu d'un canin à son frère, lequel va être euthanasié...) Aujourd'hui est un jour triste et malheureux . Je te vois pleurer des larmes plus grosses que tes yeux. Nous nous sommes aimés l'un et l'autre d'une façon si liée que la cruauté , jalouse de nous voir ainsi heureux et enjoués, a finalement préféré nous voir victimes de ses caprices, que l'union de notre Fraternité ... J'ai appris que les plus belles choses avaient une fin . Avec beaucoup de regrets certes, mais le vent n'emporte jamais notre mémoire où s'y cachent les plus grands et les plus beaux souvenirs partagés . Le souvenir de ce jour où nous fûmes , ensemble , adoptés . A la grande fierté de notre maîtresse, qui tout comme moi aujourd'hui, se souvient de ce jour merveilleux . Elle aussi a peur que tu rejoignes les cieux ! mais tous deux , sommes réjouis à l'idée que tu sois délivré de tes souffrances , si affreuses et si intenses ... Promets- moi de m'attendre patiemment quand tu seras là-haut . Je te rejoindrai bientôt car nous sommes deux à être victimes d'un prédateur sans coeur et sans pitié, le cancer. Regarde- moi frère ... Pour la dernière fois ... et souviens-toi ... De ces fameux jours où nous étions deux ... Dis-toi qu'on le sera toujours , car La distance ne fait rien que de nous séparer de notre vue mais jamais de notre coeur qui lui reste aux cotés du tien Pour l'éternité ... Auteur inconnu ****************************** J'ai corrigé les fautes d'orthographe, conjugaison et ponctuation de ce C/C...mais j'ai pu en oublier. Mea culpa !!! Merci pr votre indulgence. Avec toute ma bien sincère Amitié. + 1000 bisous à mes amis Sami et Phil (hélas en français le masculin l'emporte tjrs sur le féminin...c'est trop injuste !!!)...si formidables. Maryem, votre amie. |
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