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En hommage à
LABRADOROvanek dit Max
Il est né le:19/02/1998
Il nous a quittés le:06/01/2012
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En hommage à
Ovanek dit Max
120 bougies
56904 Fleurs
7218 messages
Déposé par Biscuit le 01/05/2015C'est le premier mai Cherchons, cherchons... Les brins de muguet. Dans les bois, sur les talus, Sentez, sentez... Ces belles clochettes parfumées. Regardez ce massif de fleurs : Cueillons, cueillons.. Ce porte-bonheur. amitiés |
Déposé par rafia le 01/05/2015Repose en paix Un beau matin je t'es rencontré . Que j'étais heureux ce matin la Content d'avoir avec toi partagé , mes secrets , mes bonheur , mes tracas ... Heureux de t'avoir comme ami . Tous les deux, on était inséparables Si joyeux d'avoir pu oublier mes soucis , Et de dormir dans les endroits les plus confortables. Moi qui pleurais derrière ma cage , J'ai finalement eu beaucoup de chance , D'avoir été accepté dans un nouveau foyer entouré de beaux pâturages, Enfin , j'ai retrouvé l'amour de mon enfance... Mon ami , Tu m'as tout appris . Appris que l'on peut être heureux En vivant gaiement sa vie ! En partageant chaque instant à deux ... Et quoi qu'il arrive , Tu resteras a jamais , La perle d'or unique , Le rayon de soleil Qui m'a guéri.. Mais seul a présent , Je vais la continuer ... dans quelques moments Je devrai te quitter Et de toi , me séparer . Je ne sais pas là ou je vais , Mais je sais qu'importe Où j'irais , Même si je ne suis plus à tes cotés ... On se retrouvera Comme ce beau matin ou je t'es Rencontré ... Auteur inconnu |
Déposé par myriam31 le 30/04/2015Joli mois de Mai… Quelques brins de douceur Quelques brins de bonheur Pour apporter la chance Et la joie à ceux qui t’aiment. Je vous offre ce poème, C’est bien peu Mais c'est avec mon coeur Que je vous souhaite Toute une année de bonheur De milliers de brins de muguet, je recouvre ta jolie frimousse Que ces clochettes t’apportent Douceur, bonheur au paradis. .Bien amicalement la maman de BB Lucky |
Déposé par colombine67 le 30/04/2015Les chiens seniors Je ne suis qu’un chien sénior et bientôt au crépuscule de ma vie Cette vie qui n’a été que souffrance, que maltraitance et oubli Je ne cherche rien d’autre qu’un peu de chaleur pour mes vieux os qui craquent de douleurs Un peu d’amour dans une main pour une caresse sans fin Demain déjà la nuit éternelle descendra sur moi qui n’aurait jamais connu la moindre joie En ce bas monde pourtant il y a certainement une famille qui me remarquera Je ne cherche rien d’autre qu’un peu de respect un lit douillet pour me reposer je ne prends pas de place, je sais me faire discret et ce serait pourtant pour moi si parfait Même si le temps m’est compté je saurais tellement vous apporter car j’ai tellement d’amour à donner.. si seulement les yeux sur moi vous pouviez poser |
Déposé par rafia le 30/04/2015La prière d'un chien Ce matin -là , cher maître ... Restera ancré en moi . Je me souviens d'avoir versé toutes mes larmes sur toi... Près de toi , je me suis blotti. Je sentais que ton âme était déjà partie ... Mais la mienne est restée rejoignant la tienne par mes pensées . Mais tout cela , ne suffit pas . J'aurais tout essayé pour te rendre la vie ... Il pleut sur ta tombe mon Maître ... Moi qui t'aimait de tout mon être... Tu es parti sans pouvoir me dire au- revoir , sans avoir posé sur moi un dernier regard ... La douleur t'en a empêché. Je me souviens de toi maître ... D'un si beau passé , de notre bonheur partagé , et de cette grande amitié qui , en nous , S'était créee Mais peut-être que de tout là- haut , toi tu me vois. Mais malheureusement Qui me le prouvera ? Comme tous les jours , J'attends ton retour , même si je sais Que tu ne reviendras jamais. Quand ces hommes sont venus , J'ai eu si peur que je suis parti. Quand je suis revenu , je les ai revus et j'ai compris qu'ils t'emmenaient, loin de notre demeure , de notre havre de paix . Que tu étais beau maître , avec ton sourire qui cachait tes peines malgré que j'arrivais toujours à les deviner. Ta tendresse valait plus d'or que n'importe quel amour, que quelqu'un pouvait donner . Maintenant je ne demande qu'une chose . Te rejoindre là où tu es . Je sais que c'est la mort qui nous a séparés . Mais elle a oublié que rien ne peut séparer l'amour . Alors pourquoi ne pas l'affronter à mon tour ? C'est sur ta tombe que je finirai mes jours .... C'est sur ta tombe que j'attendrai cette heure Où je te retrouverai pour Toujours . Auteur inconnu, |
Déposé par ovanek le 29/04/2015❤ **** Pas Loin **** Nous sommes séparés pour l'instant mais pas distants pour autant... Je sais que notre amour sortira grandi de cette épreuve de l'éloignement. En attendant de te retrouver, je me remémore tous nos merveilleux moments, Je puise sans cesse dans la richesse de ce passé qui nous lie. Je m'ennuie de ton regard posé sur moi, du charme de ta jolie frimousse, de ton doux poil soyeux, Toutes ces manifestations de toi devenues synonymes de bonheur. Mais je m'encourage jour et nuit en anticipant le moment où nous serons enfin réunis, Et notre amour sera encore plus fort. Tous ces instants sont le bonheur. Notre bonheur Je t'aime mon chien ❤ |
Déposé par colombine67 le 29/04/2015 S’il y avait quelque part un être assez bon pour pouvoir juger toute la bonté du monde, et qu’il mît d’un coté de la balance le cœur des Chiens, et de l’autre celui de toutes les créatures de Dieu, Nos cœurs de Chiens seraient si lourds que le Juge se voilerait la face, car le Chien est plus près du Christ que l’homme. Je n’ai jamais vu d’ange, et je ne sais pas ce qui se passe au ciel ; mais, sur la terre, nul n’est meilleur que Nous (les Chiens) Paul Achard |
Déposé par rafia le 29/04/2015Mon fidèle ami Hélas ! rentrer tout seul en sa demeure déserte, Sans voir à son approche une fenêtre ouverte, Sans qu'un seul être vous accueille à l'horizon, Et qu'on se dise :Mon retour réjouit ma maison ! Une sœur, un ami, une épouse, un père, une mère, Compteraient de loin les pas qui me restent à faire, Et dans quelques moments, émus de mon retour, Tous unis, en cette maison, m'abriteront d'amour ! Mais, rentrer, seul, dans la cour se glisser en silence, Sans qu'au-devant de vôtre pas un pas connu s'avance, Rien ne fait plus mal que l'absence d'un doux regard. Mon chien ! lui connaît la distance qui nous sépare, Seul mon chien sait à quel point je lui ai manqué ; Comptant les pas entre moi et lui, lui seul m'accueillait ! Maxalexis. |
Déposé par poutounou le 28/04/2015A vos plumes ! * A ceux qui n'osent point ou qui ont peur, Ceux pour qui écrire semble paralysie, Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur. Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis. Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur... Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs. Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits, Humectez les un peu de votre coeur Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit. Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur, Rêvez d'être publiés sans être érudits... Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie... |
Déposé par nounours le 28/04/2015. ..................LE TEMPS............. . .............Je sais qu'une année......... .............C'est 12 mois...... .............Je sais qu'un mois.......... .............C'est 4 semaines............ .............Je sais qu'une semaine............ .............C'est 7 jours.......... .............Je sais qu'une journée....... .............C'est 24 heures.......... .............Je sais qu'une heure.............. .............C'est 60 minutes............ .............Je sais qu'une minute.......... .............C'est 60 secondes............ .............Je sais qu'une seconde............... .............C'est l'éternité sans toi.......... . ......AMITIE FIDELES A MAMAN QUE J'AIME BEAUCOUP................ . |
Déposé par colombine67 le 28/04/2015 Toute la presse a répondu dernièrement à l'appel de la Société protectrice des animaux, qui veut fonder un asile pour les bêtes. Ce serait là une espèce d'hospice, et un refuge où les pauvres chiens sans maître trouveraient la nourriture et l'abri, au lieu du noeud coulant que leur réserve l'administration. Les journaux, à ce propos, ont rappelé la fidélité des bêtes, leur intelligence, leur dévouement. Ils ont cité des traits de sagacité étonnante. Je veux à mon tour raconter l'histoire d'un chien perdu, mais d'un chien du commun, laid, d'allure vulgaire. Cette histoire, toute simple, est vraie de tout point. Dans la banlieue de Paris, sur les bords de la Seine, vit une famille de bourgeois riches. Ils ont un hôtel élégant, grand jardin, chevaux et voitures, et de nombreux domestiques. Le cocher s'appelle François. C'est un gars de la campagne, à moitié dégourdi seulement, un peu lourdaud, épais, obtus, et bon garçon. Comme il rentrait un soir chez ses maîtres, un chien se mit à le suivre. Il n'y prit point garde d'abord ; mais l'obstination de la bête à marcher sur ses talons le fit bientôt se retourner. Il regarda s'il connaissait ce chien : mais non, il ne l'avait jamais vu. C'était une chienne d'une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derrière l'homme d'un air lamentable et affamé, la queue serrée entre les pattes, les oreilles collées contre la tête ; et, quand il s'arrêtait, elle s'arrêtait, repartant quand il repartait. Il voulut chasser ce squelette de bête ; et cria : "Va-t'en, veux-tu te sauver, houe ! houe !" Elle s'éloigna de deux ou trois pas, et se planta sur son derrière, attendant ; puis, dès que le cocher se remit en marche, elle repartit derrière lui. Il fit semblant de ramasser des pierres. L'animal s'enfuit un peu plus loin, avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitôt que l'homme eut le dos tourné. Alors le cocher François l'appela. La chienne s'approcha timidement, l'échine pliée comme un cercle et toutes les côtes soulevant la peau. Il caressa ces os saillants, et, pris de pitié pour cette misère de bête : "Allons, viens !" dit-il. Aussitôt elle remua la queue, se sentant accueillie, adoptée, et au lieu de rester dans les mollets du maître qu'elle avait choisi, elle commença à courir devant lui. Il l'installa sur la paille de l'écurie, puis courut à la cuisine chercher du pain. Quand elle eut mangé tout son soûl, elle s'endormit, couchée en rond. Le lendemain, les maîtres, avertis par le cocher, permirent qu'il gardât l'animal. Cependant la présence de cette bête dans la maison devint bientôt une cause d'ennuis incessants. Elle était assurément la plus dévergondée des chiennes ; et, d'un bout à l'autre de l'année, les prétendants à quatre pattes firent le siège de sa demeure. Ils rôdaient sur la route, devant la porte, se faufilaient par toutes les issues de la haie vive qui clôturait le jardin, dévastaient les plates-bandes, arrachant les fleurs, faisant des trous dans les corbeilles, exaspéraient le jardinier. Jour et nuit c'était un concert de hurlements et des batailles sans fin. Les maîtres trouvaient jusque dans l'escalier, tantôt de petits roquets à queue empanachée, des chiens jaunes, rôdeurs de bornes, vivant d'o*****s, tantôt des terre-neuve énormes à poils frisés, des caniches moustachus, tous les échantillons de la race aboyante. La chienne, que François avait, sans malice, appelée "Cocote" (et elle méritait son nom), recevait tous ces hommages ; et elle produisait, avec une fécondité vraiment phénoménale, des multitudes de petits chiens de toutes les espèces connues. Tous les quatre mois, le cocher allait à la rivière noyer une demi-douzaine d'êtres grouillants, qui piaulaient déjà et ressemblaient à des crapauds. Cocote était maintenant devenue énorme. Autant elle avait été maigre, autant elle était obèse, avec un ventre gonflé sous lequel traînaient toujours ses longues mamelles ballottantes. Elle avait engraissé tout d'un coup, en quelques jours ; et elle marchait avec peine, les pattes écartées à la façon des gens trop gros, la gueule ouverte pour souffler, et exténuée aussitôt qu'elle s'était promenée dix minutes. Le cocher François disait d'elle : "C'est une bonne bête pour sûr, mais qu'est, ma foi, bien déréglée." Le jardinier se plaignait tous les jours. La cuisinière en fit autant. Elle trouvait des chiens sous son fourneau, sous les chaises, dans la soupente au charbon ; et ils volaient tout ce qui traînait. Le maître ordonna à François de se débarrasser de Cocote. Le domestique désespéré pleura, mais il dut obéir. Il offrit la chienne à tout le monde. Personne n'en voulut. Il essaya de la perdre ; elle revint. Un voyageur de commerce la mit dans le coffre de sa voiture pour la lâcher dans une ville éloignée. La chienne retrouva sa route, et, malgré sa bedaine tombante, sans manger sans doute, en un jour, elle fut de retour ; et elle rentra tranquillement se coucher dans son écurie. Cette fois, le maître se fâcha et, ayant appelé François, lui dit avec colère : "Si vous ne me flanquez pas cette bête à l'eau avant demain, je vous fiche à la porte, entendez-vous !" L'homme fut atterré, il adorait Cocote. Il remonta dans sa chambre, s'assit sur son lit, puis fit sa malle pour partir. Mais il réfléchit qu'une place nouvelle serait impossible à trouver, car personne ne voudrait de lui tant qu'il traînerait sur ses talons cette chienne, toujours suivie d'un régiment de chiens. Donc il fallait s'en défaire. Il ne pouvait la placer ; il ne pouvait la perdre ; la rivière était le seul moyen. Alors il pensa à donner vingt sous à quelqu'un pour accomplir l'exécution. Mais, à cette pensée, un chagrin aigu lui vint ; il réfléchit qu'un autre peut-être la ferait souffrir, la battrait en route, lui rendrait durs les derniers moments, lui laisserait comprendre qu'on voulait la tuer, car elle comprenait tout, cette bête ! Et il se décida à faire la chose lui-même. Il ne dormit pas. Dès l'aube, il fut debout, et, s'emparant d'une forte corde, il alla chercher Cocote. Elle se leva lentement, se secoua, étira ses membres et vint fêter son maître. Alors il s'assit et, la prenant sur ses genoux, la caressa longtemps, l'embrassa sur le museau ; puis, se levant, il dit : "Viens." Et elle remua la queue, comprenant qu'on allait sortir. Ils gagnèrent la berge, et il choisit une place où l'eau semblait profonde. Alors il noua un bout de la corde au cou de la bête, et, ramassant une grosse pierre, l'attacha à l'autre bout. Après quoi, il saisit la chienne en ses bras et la baisa furieusement, comme une personne qu'on va quitter. Il la tenait serrée sur sa poitrine, la berçait ; et elle se laissait faire, en grognant de satisfaction. Dix fois, il la voulut jeter ; chaque fois, la force lui manqua. Mais tout à coup il se décida et, de toute sa force, il la lança le plus loin possible. Elle flotta une seconde, se débattant, essayant de nager comme lorsqu'on la baignait : mais la pierre l'entraînait au fond ; elle eut un regard d'angoisse ; et sa tête disparut la première, pendant que ses pattes de derrière, sortant de l'eau, s'agitaient encore. Puis quelques bulles d'air apparurent à la surface. François croyait voir sa chienne se tordant dans la vase du fleuve. Il faillit devenir idiot, et pendant un mois il fut malade, hanté par le souvenir de Cocote qu'il entendait aboyer sans cesse. Il l'avait noyée vers la fin d'avril. Il ne reprit sa tranquillité que longtemps après. Enfin il n'y pensait plus guère, quand, vers le milieu de juin, ses maîtres partirent et l'emmenèrent aux environs de Rouen où ils allaient passer l'été. Un matin, comme il faisait très chaud, François sortit pour se baigner dans la Seine. Au moment d'entrer dans l'eau, une odeur nauséabonde le fit regarder autour de lui, et il aperçut dans les roseaux une charogne, un corps de chien en putréfaction. Il s'approcha, surpris par la couleur du poil. Une corde pourrie serrait encore son cou. C'était sa chienne, Cocote, portée par le courant à soixante lieues de Paris. Il restait debout avec de l'eau jusqu'aux genoux, effaré, bouleverse comme devant un miracle, en face d'une apparition vengeresse. Il se rhabilla tout de suite et, pris d'une peur folle, se mit à marcher au hasard devant lui, la tête perdue. Il erra tout le jour ainsi et, le soir venu, demanda sa route, qu'il ne retrouvait pas. Jamais depuis il n'a osé toucher un chien. Cette histoire n'a qu'un mérite : elle est vraie, entièrement vraie. Sans la rencontre étrange du chien mort, au bout de six semaines et à soixante lieues plus loin, je ne l'eusse point remarquée, sans doute ; car combien en voit-on, tous les jours, de ces pauvres bêtes sans abri ! Si le projet de la Société protectrice des animaux réussit, nous rencontrerons peut-être moins de ces cadavres à quatre pattes échoués sur les berges du fleuve. 2 juin 1881 |
Déposé par Biscuit le 28/04/2015Mon ami à quatre pattes Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas. C’était mon compagnon, mon ami de toujours Et comme les humains il connut le trépas. La maison désormais se retrouve sans lui. Il repose en forêt sous les feuilles jaunies. Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux Ses jappements de joie, son amour un peu fou ! Je garderai toujours le souvenir ému De cet ami charmant et à jamais perdu. Et je comprends très bien que l’on aime son chien Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien. de Christian Chabellard |
Déposé par rafia le 28/04/2015Hommage aux chiens abandonnés.... Quand ils ont claqué la portière Il n'a pas compris tout de suite Il a couru longtemps derrière Mais la voiture allait trop vite Et pendant des journées entières Il a vu les autos passer Mais vous, auriez-vous fait marche arrière En voyant ce chien sans collier ? Car après les premières caresses Puis quelques mois d'indifférence Beaucoup de chiens perdent leur laisse Au début des grandes vacances… Comme un objet que l'on jette Quand il n'est plus au goût du jour Il sera remplacé peut-être Par un chien plus jeune au retour… Le chien abandonné en été par ses maîtres Flaire toujours la route et fait des kilomètres Il traverse les villages et s'approche des enfants Qui n'osent le caresser de peur qu'il soit méchant, De peur qu'il soit méchant Il n'a pas oublié ses maîtres Depuis le jour qu'il vagabonde Et pour les retrouver peut-être Il ira jusqu'au bout du monde Il n'a plus d'âge et plus de race Qu'importe comment il s'appelle Mais à le voir suivre leurs traces Moi, je vais l'appeler Fidèle Le chien abandonné en été par ses maîtres Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais De chien abandonné. Avec toute ma bien sincère Amitié + 1000 bisous pr mes adorables Sami & Phil..(.avec l'autorisation...de mon adorable Sami). Votre amie Maryem. |
Déposé par canajolie le 27/04/2015merci pour votre poème et bouquet de fleur pour mon petit ange en ce triste jour . |
Déposé par spanky le 27/04/2015Mon esprit sait Que tu es dans un autre monde Où il n'y a aucune douleur. Tu y es en paix. Je le comprends, je regrette juste De ne pas pouvoir l'expliquer à mon coeur. Ce vide ne se remplira jamais. Mais je sais Que nous serons ensemble de nouveau réuni Et que jusque-là, Mon amour sera pour toi. |
Déposé par choupinou le 27/04/2015Je suis assise ici,seule,si triste et solitaire je pense a toi si souvent,chaque minute du jour me demandant comment tu vas,ce que tu fais, souhaitant te serrer si fort dans mes bras. Je suis assise là,me souvenant de tout ce que nous avons partagé rêvant de toi, a tout,a qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi, parfois je crois a ma force et que le temps qui nous sépare, s'écoulera vite,ce n'est qu'une petite tréve,mais qui fait mal. Et puis parfois,je m'assieds et de nouveau je pleure et me demande: Pourquoi faut t'il que l'amour fasse si souffrir.... Bien que parfois dans ma solitude,quelque part dans le vide, je me sent pourtant encore aimée,et je réalise : que ce n'est pas l'amour qui fait si mal .... C'est d'être sans toi,sans ta présence a mes côtés...., |
Déposé par colombine67 le 27/04/2015Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable. Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser." "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?" "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée. Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: "Pemndant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin". Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau. Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses." Morale de l'histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes. Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous, Mady! Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste. |
Déposé par rafia le 27/04/2015Je suis un chien errant Et je n'en sais pas plus, Mais voilà cette voix Qui me tombe dessus, Une voix de poète Qui voulut me choisir Pour me faire un peu fête, Moi qui ne puis rien dire, Et qui n'ai qu'un aboi Pour un peu m'éclaircir Les brumes et la voix. Je ne veux pas sortir De mon obscurité, Je ne veux rien savoir D'une tête habitée Par des mots descendus De quelque hors-venu. Je suis un chien errant N'en demandez pas plus." Auteur inconnu --------------------------------------------- Bonsoir à vs deux..amis d'exception. Ah !!! si mon Eric acceptait de s'exprimer, sur le site..comme vs le faites si bien bien cher Phil. Sami a bien de la chance d'avoir son Amour poète !!! Mille bisous à vs deux...car, pr l'instant, je n'ai reçu aucune objection de mon adorable amie Sami; et je n'oublie pas mes mercis. Maryem, votre amie. |
Déposé par larrydoudou le 26/04/2015Il est votre ami, votre associé, votre défenseur, Il est votre chien. Vous êtes sa vie, son amour, son leader, Il se fera fidèle et vrai, Jusqu'au dernier battement de son cœur. Vous lui devez d'être digne d'une telle dévotion. |
Déposé par colombine67 le 26/04/2015La réalité de la vie est ce quelle est. Les hommes vivent en moyennes 75 ans et les chiens, un maximum de 20. Il est donc inévitable, que la séparation d'avec votre meilleur ami, se fera à votre détriment. Pour ceux qui croient, qu'un chien n'est rien qu'un chien ce texte n'est pas pour vous. Mais pour les autres qui ont eu la chance unique, d'avoir un vrai ami et compagnon canin, lisez ce petit testament canin, tiré du Reader's Digest, il saura probablement vous aider, lorsque le moment de la séparation sera venu. À mon maître, à ma maîtresse: Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Tango Gagnon Ratté, (communément appelé Tango par mes parents amis et connaissances), dépose en secret dans l’âme de mes deux grands amis, mon maître et ma maîtresse, mon testament. J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais me regretteront le plus, à Daniel et Chantal qui ont été si bons pour moi. Peut être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Daniel et Chantal de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de les réconforter dans la peine et de leur apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin. Je les prie de ne pas oublier qu'à leur tendresse et à leur sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour ceux qui m'ont donné leur affection. Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe t-il après? Nul ne le sait. En tout cas je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu ma maîtresse, dire: "Quand Tango mourra, nous n'aurons jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre". Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que maintenant que j'ai fait partie de la famille il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même ma co-locataire, la chatte...) Gamine, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille. Aussi je conseille à ma maîtresse de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir. Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël. Un dernier mot à Daniel, Chantal et Gamine la chatte qui vivrez sûrement plus vieux que moi. Chaque fois que vous penserez à moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos cotés: "Tango était un être qui nous aimait et que nous aimions". Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon Âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Tango Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous. La technologie a fait s'éloigné de l'homme certaines valeurs et émotions telle amitié, fidélité et tolérance. Si ces valeurs se sont éloignées de vous, procurez vous un chien, il vous ré-apprendra ce qu'elles sont, car la technologie lui il s'en fout! Tout ce qu'il veut lui, c'est d'être votre meilleur ami. Daniel Ratté |
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