En hommage à
Ovanek dit Max
1998 / 2012




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Ovanek dit Max
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En hommage à
Ovanek dit Max
LABRADOR
Il est né le:19/02/1998
Il nous a quittés le:06/01/2012
 


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En hommage à Ovanek dit Max

☆⭐´¨)
. ¸.•´ ¸.•*´¨)
(.¸.•´⭐ (¸.•⭐`...(◜◡‾)💦⭐💦 ‿ℒℴνℯ´⁀☆҉💞💕

Ma vie a été un vrai bonheur et je la remercie
Je repose à la campagne dans mon jardin dans un cadre champêtre au coeur des Monts du Lyonnais
Je sais que je vais beaucoup manquer à mes maîtres, ils m'ont donné beaucoup d'amour depuis que je suis bébé ... merci... merci... merci...
Ne soyez pas triste je vous ai aimé, je vous aime encore et je vous aimerai pour l'éternité

💕⁀⋱‿~❥✿❥✿ ๑⁀⋱‿⭐⁀⋱‿~❥✿❥✿ ๑⁀⋱‿💕⁀⋱‿~❥✿❥✿

Message d’Amour à mes Maîtres

Mon nom OVANEK écrit à l'envers «Kenavo» est un joli mot breton qui signifie "Au Revoir "
Pur hasard….. coïncidence… le destin qui sait !!!
Mais, je ne suis pas loin juste au-dessus de vous parmi les anges entre les nuages dissimulés dans les caresses du vent qui se lève et me promène avec mes compagnons
Je murmure dans vos pensées des chants d’amour que vous m’avez offerts
Je suis la fraîcheur des gouttes de pluie qui s’écoule sur vos visages pour ne pas voir vos larmes qui me rendraient triste
Je pénètre la douceur des flocons de neige qui se déposent sur vous avec pureté
Je suis dans chaque scintillement d’étoiles que vos yeux illuminent dans chaque éclat du soleil pour remplir de chaleur vos deux cœurs d’amour pour que vous m’aimiez encore et encore
Je suis devenu le complice de la lune pour éclairer vos pas qui mènent sur le bon chemin quand les nuits sont trop noires maintenant je veille sur vous comme vous l’avez fait par amour pour moi depuis mes premiers pas
Je sais qu’un jour je vous reverrais afin de vous serrer très fort dans mes pattes et vous faire mille papouilles d'amour mais je ne suis pas pressé !!! prenez votre temps
Ici, on prend soin de nous tous, on s’amuse sans compter et sans douleur dans le Jardin du Bonheur

Ovanek dit Max qui vous Aime, Très Fort et Tendrement...

(¯`´(¯`´.¸-________ღ☆ღ_________ ¸.´´¯)´´¯)
⭐💖PENSEE D'AMOUR POUR TOUJOURS💖⭐
(_¸.(ᵃˡᵖᶤ.´´ ¯¯¯¯¯¯¯¯ღ☆ღ¯¯¯¯¯¯¯¯¯ `´.¸ᵃˡᵖᶤ).¸ )




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Déposé par colombine67
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Je rêve d'un jour ou on ne fera plus de mal aux animaux
Déposé par goulou50
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Une ribambelle de bisous et de câlins pour toi.
Déposé par goulou50
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Une ribambelle de bisous et de câlins pour toi.
Déposé par goulou50
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Une ribambelle de bisous et de câlins pour toi.
Déposé par goulou50
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Une ribambelle de bisous et de câlins pour toi.
Déposé par Rafiarock
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Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
Déposé par Rafiarock
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Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
Déposé par Rafiarock
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Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
Déposé par Rafiarock
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Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
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Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
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Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
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Je passe te déposer ce bouquet il est rempli de bisous et de câlins
Déposé par rafia
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Une pluie de câlinous pour un si bel ange de douceur
Déposé par rafia
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Une pluie de câlinous pour un si bel ange de douceur
Déposé par rafia
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Une pluie de câlinous pour un si bel ange de douceur
Déposé par rafia
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Une pluie de câlinous pour un si bel ange de douceur
Déposé par rafia
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Une pluie de câlinous pour un si bel ange de douceur


7278 messages

Déposé par rafia le 31/03/2015  
Vie de chien
Toi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches,
Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ?
Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches,
Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas.
J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés,
J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés.
Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée,
Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer.
Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave,
Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler,
J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave,
Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler.
Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs,
Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal,
Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes,
J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal.
Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants,
Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour,
C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant,
J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour
Auteur inconnu

Déposé par poutounou le 30/03/2015  
Le papillon
*
J’aimerais, dans ma maison,
Avoir pour seul compagnon
Un très joli papillon
Qui de saison en saison
Changerait de couleur.
Il serait vert au printemps
Comme les feuilles mignonnes,
Bleu en été, couleur du temps,
Marron dès que viendrait l’automne
Et, dans les mois d’hiver, tout blanc.
Parfois, pour la fantaisie,
Rose, violet, mauve ou gris
Mais jamais le papillon noir
De l’ennui et du désespoir.
*
Jean Joubert

Déposé par rafia le 30/03/2015  
A mon chien
Lorsque je l'ai vu naître
Je l'ai pris pour enfant,
C'était un petit être,
Il était si charmant.
Quand je l'ai vu grandir
Ce fut mon compagnon,
J'aimais le voir courir
Dans toute la maison.
Quand je l'ai vu vieillir
Ce fut moi son enfant
Bien qu'il sut m'obéir
Toute sa vie durant.
Quand je l'ai vu mourir,
Je compris que ce jour
Venait de s'accomplir
La fin d'un bel amour
Car tu me fus fidèle,
Serviteur dévoué,
Ton amour fraternel
N'a pas démérité.
Je t'aimais bien mon chien
Ô, mon chien de berger,
Et, pour toi, mon chagrin
Ne saura s'effacer." Jack Harris

Déposé par choupinou le 30/03/2015  
Privé d'amour
comme un soleil sans flamme
privé d'amour
comme un bateau sans rame
je cherche ou je vais
après quoi je cours
privé d'amour privé d'amour
il y a beaucoup plus que sept merveilles au monde
quelque chose d'éternel qui vit à chaque seconde
mais trop vite ou trop loin
on se réveille un étrange matin
pour rester seul dans la bataille...
alors quand tu me manques
je t'invente des mots d'amour
sans toi ,je n'existe pas ,quel malheur
je te cherche souvent partout
alors que tu es tout près de moi dans mon coeur
et aujourd'hui le destin ma prit par la main....
et ma conduit dans un lieu
appelé.... chagrin....,

Déposé par colombine67 le 30/03/2015  
Toute sa vie durant, Margarita Suàrez, une femme originaire de Mérida, au Mexique, a pris soin des animaux errants. Cette femme a toujours distribué de la nourriture aux chiens et chats dans le besoin de son quartier. Chaque matin, une vingtaine de chats venaient à sa porte, puis lorsqu'elle sortait, elle n'oubliait jamais de prendre avec elle le repas quotidien des chiens errants qu'elle croisait dans la rue. Et quand Margarita devait manquer le rendez-vous, elle s'assurait toujours de laisser de quoi nourrir ses protégés.
"Chaque fois que nous croisions un chien dans la rue, cela voulait dire que nous devions rentrer à la maison pour aller chercher de quoi le nourrir" raconte à Norte Digital Patricia Urrutia, la fille de Margarita,
Les chiens sont-ils venus lui rendre un dernier hommage ?
Lorsque sa santé s'est dégradée, Margarita a déménagé à Cuernavaca et s'est rapprochée de sa fille. Mais sa dévotion envers les animaux est restée intacte. Elle a donc continué de donner nourriture et affection à d'autres chiens et chats sans maison. Malheureusement, l'état de santé de Margarita n'a fait que décliner, et est décédée au début du mois de mars.
Le jour de ses funérailles, le 15 mars dernier, quelque chose d'incroyable s'est produit. Tous ses proches se sont naturellement réunis, et parmi eux, des amis à 4 pattes, semblant être venus eux aussi lui rendre un dernier hommage.
Patricia a d'abord pensé qu'il s'agissait de chiens errants simplement venus chercher leur nourriture. Mais les chiens sont entrés dans la pièce où reposait le corps de sa mère. Quand tout le monde s'est mis en route pour l'église, les chiens ont suivi. Et quand ils sont rentrés chez Margarita, ils étaient encore là.
Pour Patricia, ces chiens sont venus saluer sa mère. Elle est certaine qu'ils font partie de ceux qu'elles nourrissaient et si elle ignore comment ils ont réussi à la retrouver, elle était très heureuse de voir ces animaux que sa mère aimait tant apporter leur joyeuse et chaleureuse présence en cette si triste journée.

Déposé par ovanek le 29/03/2015  

L'étoile que tu es
fait rêver mes pensées
chaque fois que je te pense.
Ta fidélité que tu me donne
me fera t’aimer pour toujours
doux câlin mon Chien


Déposé par Biscuit le 29/03/2015  

demain dès l'aube de victor hugo
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Déposé par colombine67 le 29/03/2015  
Cette info vient de tomber, partagez!
"Ma fiancée n'apprécie pas du tout ma chienne et c'est pour cette raison que je lance cet appel.
C'est une pure race, elle a partagé ma vie durant presque trois ans. Elle adore les jouets, même si elle n'a pas toutes les bases en éducation. Poils longs, nécessite de l'entretien. Tout spécialement les ongles, elle aime bien qu'on les lui fasse. Elle aboie souvent la nuit et a l'habitude de dormir lorsque je vais travailler. Elle est très délicate pour ce qui est de la nourriture, elle n'aime que la nourriture de marques, les chères.
Malheureusement, elle ne vous fait pas la fête lorsque vous rentrez à la maison. Elle n'est pas très câline, lorsque vous êtes un peu déprimé. Habituellement, elle ne mord pas, mais elle est souvent de mauvais poil et elle grogne facilement.
Voilà... Si tu connais quelqu'un qui serait intéressé par ma fiancée de 30 ans, égoïste, tordue et inhumaine, STP, qu'il vienne la prendre!!! Ma chienne et moi voulons lui trouver un nouveau foyer!!!

Déposé par rafia le 29/03/2015  
La bonne chienne.
Les deux petits jouaient au fond du grand pacage;
La nuit les a surpris, une nuit d’un tel noir
Qu’ils se tiennent tous deux par la main sans se voir :
L’opaque obscurité les enclot dans sa cage.
Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre,
Les chèvres, les cochons, la vache, la jument,
Sont égarés ou bien muets pour le moment,
Ils ne trahissent plus leur présence dans l’ombre.
Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes
Sourdement fait gronder l’écho.
Mais la bonne chienne Margot
A rassemblé toutes les têtes
Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes,
Chacun des deux petits lui tenant une oreille,
Tous les trois, à pas d’escargot,
Ils regagnent enfin, là-haut,
Le vieux seuil où la maman veille.
Maurice Rollinat.,

Déposé par rafia le 28/03/2015  
L'adieu à mon chien (auteur inconnu)
La neige tombait tout doucement ce matin-là,
Comme pour préparer ton lit de mort.
J’ai eu du mal à contenir mes larmes,
et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable…
Te rappelles-tu des belles journées d’été
où nous nous promenions dans les bois?
Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne?
Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux?
Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples?
Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main?
Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant?
De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue?
Nous revenions fatigués au soleil couchant,
Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive.
Ton souffle me détendait et me rassurait
Et ta présence m’était si précieuse,
Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin.
Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée
Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer.
Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours
Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su.
Tant d’années ont passé à tes côtés.
J’ai vu le temps te vieillir,
Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour.
Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai,
Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre.
Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé.
Ton corps sans vie et tes yeux voilés,
Cela avait marqué la fin.
Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle
Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir.
Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie,
Et ta perte me fait tant pleurer.
Tu étais comme une partie de moi,
Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent
Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur.
Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années
Repose en paix

Déposé par colombine67 le 28/03/2015  
A toutes celles et ceux qui n'ont plus leur compagnon.....
Dès lors qu'un chien s'en est allé, des lambeaux de notre peau s'en vont aussi et des poils restent agrippés à notre chandail.
On pourra lire, du matin au soir, l'empreinte laissée par sa tête et son museau au creux de notre main, l'aboiement et les mouvements frénétiques de son fouet retentiront dans le vide de notre retour, incroyablement silencieux, sans le cliquetis de ses ongles sur le sol ni les hululements de joie.
Et tout nous reviendra en mémoire, les vertes prairies des parcs, les empreintes sur la neige, les patounes qui, sous l'eau, nagent à nos côtés. Les bâtons lancés, le sable dans les oreilles et sur la truffe, les coquillages sur les coussins du divan.
Dès lors qu'un chien s'en est allé, la gamelle reste là et la laisse est accrochée, inerte.
On se regarde les pieds dans la cuisine, et il n'y a plus de couinements d'une queue, heurtée par mégarde.
On se sent volé, perdu et muet. Voilà pourquoi on parle à tort et à travers de ce qui n'a pas d'importance, pourvu qu'on nous enlève le poids de l'absence de ce corps chaud et poilu, étendu et endormi sur nos jambes ou sur nos chaussures pendant que nous regardions le téléjournal.
Dès lors qu'un chien s'en est allé, nous pleurons à chaudes larmes, sans retenue ni contrôle, sans l'ambivalence que nous éprouvons à la mort d'un humain, sans conflits et litiges, tourments et passion d'une vie entière.
Au contraire, avec lui, nous connaissons la pureté d'un amour, et lorsque le chien s'en va, cet amour reste en nous. Il nous l'a offert sans hésitation, nous en a fait cadeau sans défection dans son regard infini, doucement velouté, constamment vigilant, qui n'a jamais fléchi quand il croisait le nôtre.
Dès lors qu'un chien s'en va, c'est réellement un part de notre vie qui s'en va avec lui.

Déposé par lili2248 le 27/03/2015  
**** Pour Toi … Mon étoile ****
Le bonheur n’est pas une destination à atteindre
mais une façon de voyager dans les rêves
Un jour au détour d’un chemin de la Vie
au croisement d'un sentier du destin
il s’offre à nous et ce rêve devient la réalité
celle d’une belle rencontre
d'une extraordinaire amitié... avec nos compagnons ...
nous sommes heureux de croiser vos routes
et de partager vos existences
et si la vie est venue nous séparer....
ont sait que nos rêves et notre Amour
resteras gravés dans nos Cœurs à jamais
et continuerons de vous accompagner à vos côtés
pour voyager sur les mêmes chemins
on vous aimes pour toujours
nous resterons fidèles à nos pensées en vos mémoires...
Pour vous !!
Qui nous ont rempli nos Cœurs de bonheur et de joie
**** de la part de gipsy et xéres … mes pensées … lili2248 ****

Déposé par colombine67 le 27/03/2015  
*** Prie avec moi et diffuse cette oraison de par le monde, tu le feras n'est-ce pas?***
Heureux nous serions si le jour du Jugement Dernier nous pouvions affirmer : "J'ai aimé aussi sincèrement et j'ai vécu aussi honnêtement que mon chien". Et nous les considérons comme de simples animaux! Cette prière, composée par "liberation for our brother and sister animals" afin d'aider nos frères et soeurs animaux, est destinée à tous les fidèles animaux qui n'ont qu'un but, plaire à leur maître.
- Que tous les êtres sensibles du règne animal qui sont soumis à des douleurs insupportables dans les laboratoirs du monde entier ne souffrent plus. Q'une compassion aimante s'empare des coeurs de ceux qui les gardent en captivité.
- Que tous les êtres sensibles du règne animal qui pâtissent d'être enfermés des jours, des mois, des années durant dans de minuscules cages dans l'incapacité de se mouvoir soient emplis de paix et de sérénité.
- Que les millions d'animaux qui attendent en rang dans les abattoirs soient délivrés de leur peur.
- Qu'aucun animal ne continue de souffrir et d'être déprimé. Que leur corps soit délivré des blessures, du mal être et de la maladie.
- Que ceux qui ont besoin d'un foyer ou ont été chassés du leur trouvent un abri et la plénitude de l'amour, à manger et à boire.
- Que ceux qui sont torturés pour leur peau ou pour servir de divertissement soient libérés.
- Que ceux qui se croient supérieurs à leurs frères et soeurs animaux fassent preuve d'une honnêteté parfaite et qu'ils comprennent dans leur coeur que les animaux n'ont pas été mis sur cette terre pour être tués ou exploités.
- Que les millions d'êtres sensibles qui demeurent sur terre, dans les mers, qui sont abusés, exploités et assassinés à cause de l'avarice, de la haine et de l'ignorance soient délivrés de leurs souffrances.
- Que tous les êtres sensibles humains et non humains vivions ensemble, en harmonie, paix et justice et ainsi nous parviendrons à atteindre l'illumination parfaite.
- Que je sois la voix de ceux qui n'en ont pas, et que mes forces ne viennent pas à faiblir pour défendre les faibles, mes frères, les animaux.

Déposé par poutounou le 26/03/2015  
Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange…
*
Les trois noisettes
*
Trois noisettes dans le bois
Tout au bout d'une brindille
Dansaient la capucine vivement au vent
En virant ainsi que filles de roi.
*
Un escargot vint à passer :
«  Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse,
Je serai votre fiancée « 
Disaient-elles toutes trois.
*
Mais le vieux sire sourd et fatigué,
Le sire aux quatre cornes
Sous les feuilles
Ne s'est point arrêté,
*
Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois,
C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé,
Monseigneur l'écureuil,
Qui les a croquées
*
Tristan Klingsor

Déposé par rafia le 26/03/2015  
LES CHIENS PLEURENT AUSSI
Moi je sais que les chiens pleurent aussi
Quand ils ont du chagrin,
Que parfois ils se cachent
Pour souffrir à loisir
Sans que leur maître sache
Ni où ils sont,
Ni le grand mal qui les conduit.
J'en sais un qui partit au fond d'une forêt
Pour fuir les longs soupirs,
De cet enfant malade.
Cet enfant qui jouait avec lui
Ses chamades,
Et qu'il ne s'en revînt
Que lorsqu'il fut sauvé.
Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir,
De faim, de désespoir
Au départ de son maître
Pour les Terres d'Ailleurs,
Où seules ne pénètrent,
Que les ombres de ceux
Dont la vie va finir.
Mais moi je sais aussi
Que dans ces Pays Hauts,
Les hommes et les chiens,
Chaque fois se retrouvent,
Sur les vastes prairies
Quand les portes s'entrouvent
Parmi l'immensité des joies
Et des repos.
Louis AMADE

Déposé par colombine67 le 26/03/2015  
POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME
Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière.
Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous.
Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes.
Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. »
J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu…
Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité.
Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur.
Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne…
On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon.
Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !...
Tu n’es jamais venu !
Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI !
P’tit Loup
Il mourut un 24 décembre
Cause du décès :
Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé !
Sonia Lopez

Déposé par rafia le 25/03/2015  
CITATION DE BENJAMIN CONSTANT
La douleur réveille en nous,
tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage.
Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié.
Elle nous apprend à lutter pour nous
et pour les autres.

Déposé par myriam31 le 25/03/2015  
LE PRINTEMPS
Le soleil s'est réveillé,
Les nouvelles plantes ont poussé,
Les forêts sont à nouveau habitées,
Le printemps vient de commencer.
Le temps joyeux est présent, Les oiseaux échangent leurs chants,
Un moment d'enchantement, C'est le printemps.
Profitez-en!de se beau moment, Il est encore temps!
Ah!Quel beau temps! C'est le printemps!
(Théophile Gauthier)
Tendresse et papouille pour toi bel ange, amitiés à ta maman

Déposé par nounours le 25/03/2015  
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...........Un au revoir ne coute rien......
...........Un adieu augmente mon chagrin...........
...........Une larme coule sur ma joue............
...........Et une penser reste pour toujours.........
...........Tu me manque pour la vie.........
...........Cela a l'infinit............
...........Tu ne le sais pas mais.........
...........Je continuerais a penser a toi..............
...........Car tu a toujours été la pour moi.............
...........C'est vrais que tu n'est plus sur terre.......
...........Mais dans mon coeur tu demeureras.....
...........Sais ta maison ton univers..........
...........Je pense a toi et les autre aussi.........
...........C'est impossible de t'oublier..........
...........Même avec l'envie de crever...........
...........Je voudrais revenir en arrière...............
...........Pour t'empécher de mourir..........
...........Et mourir a ta place pour arrêter mes pleures............
...........Tu serais mieux a ma place.........
...........Pour toi je pourais me tuer.........
...........Enfin arrêter toute cette tristesse...........
...........Et retrouver le petit monde heureux............
...........Mais je le sais c'est impossible............
...........Je voudrais juste te retrouver...........
...........Et t'embrasser une derniere fois.........
...........Te serait contre moi..........
...........Pour sentire ton odeur........
...........Et la graver dans mon coeur........
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.................AMITIE A MAMAN...........
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Déposé par colombine67 le 25/03/2015  
GABRIEL, L’ANGE DECHU
Une vie de combats qui se termine à la fourrière. Humilié, cassé, sans foi en l’homme…
La faute à son maître.
Par cette triste journée, j’ai décidé de rester seule avec toi. Nous ne nous connaissons pas, jamais nos regards ne se sont croisés et pourtant, aujourd’hui, je sais que je dois m’asseoir en face de toi. Et c’est cette après-midi et pas une autre, parce que demain, demain…tu ne seras plus.
Ils vont t’ôter la vie, et en silence, tu hurles pour qu’ils le fassent.
Le soir est en train de tomber, l’horizon rougit, pareil au filet de sang qui coule le long de ta commissure.
C’est vrai, tu fais peur
Il te manque un œil et je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance que tu dus éprouver lorsque tu le perdis durant l’un de tes combats clandestins où tu t’étais retrouvé embarqué, bien malgré toi par ces sadiques. Contraint à te battre, contraint à tuer… Une lutte acharnée, une lutte à mort, coups de dents de toute part, la chair en lambeaux. Vous, pauvres malheureux, au service de démons travestis en idoles.
Je ne peux ni ne veux imaginer tous les moments qui ont jalonné ces treize années de ta sombre existence.
Trop d’amertume. Pourtant tu as dû être pour tes bourreaux un « champion », un grand et bel « exemplaire », tu l’es encore d’ailleurs. De bonne corpulence, doté « d’une belle mâchoire », c’est bien comme cela qu’ils te préfèrent ces sanguinaires, n’est-ce pas ?
Maintenant, derrière les barreaux de la fourrière, tu te tiens devant moi, vieux, malade, cassé. Tu me regardes fixement avec ton unique œil, impassible, hiératique, fatigué par une vie qui a été si injuste avec toi.
Parfois, je ne parviens plus à soutenir ton regard. Tu en imposes, je suis troublée et à la fois je suis empreinte d’une grande compassion à ton égard. Ils t’ont rendu malheureux…
Assise en face de toi, l’après-midi se meurt, triste et belle à la fois, teintée de sang avec une ligne blanche à l’horizon. Toi et moi, savons que cette ligne c’est celle du jour à venir. C’est la ligne de l’espoir, la fin de ta douleur, de ta souffrance.
Vieux, résigné, blessé et méfiant…. Tu as raison de ne plus faire confiance, personne ne t’a aidé. A part des coups, des insultes, qu’as-tu jamais reçu ?
Je n’ai même pas tenu à connaître ton nom, ce nom d’assassin dont tu as été affublé, avec lequel ils t’ont crié dessus et frappé.
Aujourd’hui, je t’ai appelé Gabriel
Ce sera notre secret. Rien que pour nous. Gabriel comme l’ange déchu que tu es.
Et tu continues à me regarder, c’est étrange, tu me regardes si profondément…. Je sais. Il n’est pas difficile de comprendre que pour toi, tout n’est plus qu’indifférence. Toi-même tu n’espères même plus que quelque chose de bon puisse t’arriver, que quelqu’un puisse te donner ne serait-ce qu’une caresse. Tu n’espères plus rien de personne et je sais que lorsqu’ils viendront te chercher demain pour t’endormir pour toujours, je sais que tu ne tenteras même pas d’échapper à la mort amie. Vous les chiens, qui flairez la mort à distance….
Tu sais, à présent, que ce sera le seul acte d’amour des Hommes à ton encontre.
L’après-midi s’achèvera dans la fourrière et toi et moi, nous continuerons à nous regarder, seuls. Les autres chiens se taisent, peut-être par respect pour ce moment d’adieux…
Je te regarde une dernière fois, totalement angoissée, défaite et dans un filet de voix, je t’appelle tendrement. Mais tu es dans l’incapacité de bouger ne serait-ce qu’un muscle de tout ce corps las. Rien en toi n’est plus capable de communiquer, aucun mouvement de la queue, aucun mouvement de tes oreilles mutilées. Je me relève et tu me suis du regard. Je place dans un coin de ta geôle, un petit matelas.
C’est l’unique cadeau que je peux encore te faire. Tu seras confortable pour ta dernière nuit. Tes os usés ne ressentiront pas le froid. Ton dernier regard me remercie. J’aurais tellement voulu t’aider davantage, mais je suis arrivée trop tard. J’espère que tu le comprendras. D’un pas lent, tu te diriges vers le matelas, tu te couches et tu t’endors. Peut-être tes rêves te conduiront-ils vers l’Arc-en-ciel ? Dors petit ange déchu. Repose-toi et demain, à ton réveil, ne vois, l’espace d’un instant, que la féerie des couleurs et quitte pour toujours ce monde de ténèbres dans lequel ils t’ont plongé.
La nuit est tombée. L’horizon rougeoyant s’en est allé, mais dans le ciel sombre la ligne blanche frémit encore : ta dernière espérance.
Nuria Martín




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