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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERpapyrus
Il est né le:02/07/1999
Il nous a quittés le:10/03/2012
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En hommage à
papyrus
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295 Fleurs
111 messages
Déposé par poutounou le 23/12/2015A toi, bel Ange, je souhaite de Joyeuses FĂŞtes de NoĂ«l avec plein de douceurs et de beaux cadeaux. Ton plus beau cadeau, c’est ce magnifique Paradis Blanc dans lequel tu vis Ă prĂ©sent. Je souhaite Ă©galement un magnifique NoĂ«l, tout en joie, amour et paix, Ă ta famille de cĹ“ur….. * Martine, Rubens et Iron…. ********* NoĂ«l d’espĂ©rance * Le ciel a recouvert la terre d’un blanc manteau. La nuit est Ă©toilĂ©e ; le souffle de la bise, qui donne le frisson, agite le hameau. * En beaux habits, les familles se pressent vers l’église. Car c’est la fĂŞte la plus belle, le soir le plus beau, La fĂŞte de NoĂ«l que ma plume poĂ©tise. * Des voix d’airain s’élèveront avec puissance. Cloches, carillonnez et remplissez l’univers, Pour que, dans tous les cĹ“urs, renaisse l’espĂ©rance. |
Déposé par poutounou le 19/12/2015Pauvre mouche ! Mais c’est tellement bon la crème….. * La mouche et la crème * Une mouche voyant une jatte de crème S'Ă©cria: "Quelle chance ! Ah ! que cela me plait ! Ă” dĂ©lice ! Ă” bonheur extrĂŞme ! Des oeufs frais, du sucre et du lait, Un tendre arĂ´me de vanille ; Rien ne met plus de douceur en mon coeur." Elle volette, elle frĂ©tille, Elle s'approche, elle gambille, Sur le rebord Et c'est alors que sur la faĂŻence trop lisse, La mouche glisse Et succombe dans les dĂ©lices De cette crème couleur d'or. Parfois, les choses que l'on aime Sont des dangers. Il n'est pas toujours sĂ»r que l'on puisse nager Dans la meilleure des crèmes. * Pierre Gamarra |
Déposé par poutounou le 15/12/2015Dans la vie il y a plein de « petits riens » qui nous font tant de bien….. * DES PETITS RIENS * Les petits riens qui font les grands moments Qui vont qui viennent, quand ils ont le temps Les atomes de vie qu'on attrape en rĂŞvant * Ces petits riens ont tous quelque chose Quelque chose en commun qui nous mĂ©tamorphose Ces Ă©clairs de vie qui courent entre les choses * Saurions-nous les retrouver ? Voudrais-tu les partager ? Ces moments de vĂ©ritĂ© * Les petits dĂ©tails qui ne paient pas de mine Les petits bouts de gestes qui soudain illuminent Un souffle entre les mots, un rire qui culmine * Ces petits riens qui font nos grands moments Ils vont ils viennent ils prennent tout leur temps Et plus on les dĂ©sire, plus on les attend. * Boris |
Déposé par poutounou le 11/12/2015Nos Anges nous donnent tout au long de leur vie, et mĂŞme après, plein de sous d’Amour, de vrai Amour.…et ça fait du bien d’être aimĂ© ainsi… * La prière aux Ă©toiles * Et on s’embrasse, et on se dit « Je t’aime », Et on se fait du charme Et tout le reste, et ça va très bien… Et tout d’un coup, il y en a un qui donne Ă l’autre… Un sou d’amour. Mais de vrai Amour, tu comprends ! Un sou, pas plus. Oh… ce n’est presque rien, C’est peut-ĂŞtre une nouvelle robe de la couleur de sa cravate, C’est peut-ĂŞtre de rĂ©pĂ©ter une phrase qu’il a dite la veille… C’est une façon de tenir une main, Un regard plus bleu, Un petit tremblement dans la voix… Alors il faut que l’autre le comprenne… IL faut que, tout Ă coup, Il sente que ce n’est pas trois mille francs de coquetterie, Ou dix mille francs de flirt, Mais que c’est beaucoup plus que ça, Parce que c’est un sou d’Amour. Et alors, tout de suite, Il faut que, pour un sou, Il rende tout Ă coup… deux sous d’Amour. * Marcel Pagnol |
Déposé par poutounou le 07/12/2015On les trouve oĂą ces « grands chevaux » ? * La chevauchĂ©e * Certains, quand ils sont en colère, Crient, trĂ©pignent, cassent des verres... Moi, je n'ai pas tous ces dĂ©fauts : Je monte sur mes grands chevaux. * Et je galope, et je voltige, Bride abattue, jusqu'au vertige Des Ă©tincelles sous leurs fers, Mes chevaux vont un train d'enfer. * Je parcours ainsi l'univers, Monts, forĂŞts, campagnes, dĂ©serts... Quand mes chevaux sont fatiguĂ©s, Je rentre Ă l'Ă©curie - calmĂ©. * Jacques CHARPENTREAU |
Déposé par poutounou le 02/12/2015Connaissez-vous Grognongnon ? * Grosgnongnon le cochon * Grosgnongnon le cochon Rouspète en toute saison Pour un oui, pour un non Au printemps quand il fait doux Il dit qu'il se sent tout mou En Ă©tĂ©, quand il fait chaud Et qu'il se met en maillot Il se trouve un peu trop gros Lorsque s'approche l'automne, Grosgnongnon baille et frissonne. Et, quand arrive l'hiver Grosgnongnon est en colère : Il n'aime pas son bonnet Qui lui tombe sur le nez! C'est ainsi toute l'annĂ©e Ce qu'il aime, c'est rouspĂ©ter. * Claude ClĂ©ment |
Déposé par poutounou le 28/11/2015Et si on se prĂ©parait une Ă©norme salade de baisers !!! * Ce matin * Ce matin, j'ai mangĂ© de la colère Ă la petite cuillère. J'ai mis plein de mauvaise humeur sur ma tartine de beurre. Toute la journĂ©e, je l'ai passĂ©e Ă grogner, Ă donner des coups de pieds, et Ă dire "C'est bien fait !". Mais maintenant, ça suffit, j'ai envie que ce soit fini. Et avant d'aller me coucher, je voudrais vous apporter une salade de baisers bien frais, bien doux, bien sucrĂ©s. C'est très facile Ă prĂ©parer. Qui veut la goĂ»ter ? * Monique MĂĽller |
Déposé par poutounou le 24/11/2015Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus lĂ©gère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec prĂ©caution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, lĂ©gère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pĂ©nètre de sa paix. * MĂŞme fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le rĂ©el, Alors que la pensĂ©e remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La dĂ©couverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'ĂŞtre aimĂ©. * Et malgrĂ© la nuit du monde, MalgrĂ© les destructions, Tenons notre lampe allumĂ©e, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * HĂ©lène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
Déposé par poutounou le 20/11/2015C’est toujours l’automne mais nous nous rapprochons Ă grands pas de l’hiver et du froid. L’important c’est d’avoir chaud au cĹ“ur, le reste n’est que dĂ©tail…. * Un village * Des murs crĂ©pis, de pauvres toits, Un pont, un chemin de halage, Et le moulin qui fait sa croix De haut en bas, sur le village. Les appentis et les maisons S'Ă©chouent ainsi que des choses mortes ; Le filet dort : et les poissons sèchent, Pendus au seuil des portes. Un chien sursaute en longs abois ; Des cris passent, lourds et funèbres ; Le menuisier coupe son bois, Presque Ă tâtons, dans les tĂ©nèbres. Une pauvresse aux longues mains Du bout de son bâton tâtonne De seuil en seuil, par les chemins ; Le soir se fait, et c'est l'automne. * Emile Verhaeren |
Déposé par poutounou le 16/11/2015En ces temps si « durs », si « sombres », il est bon de garder au fond de soi, une petite lumière qu’on appelle « EspĂ©rance ». * La petite espĂ©rance * C’est la petite lumière qui brille au fond de son coeur Et que nul au monde ne saurait Ă©teindre. Si ton coeur est brisĂ©, malheureux, Ă©perdu Si ta vie est triste, monotone, sans saveur Si l’angoisse parfois et souvent te saisit La petite espĂ©rance est lĂ , au fond de ton coeur Qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver Elle est ta bonne Ă©toile qui scintille dans le ciel Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idĂ©e, sans espoir, Tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel Si tu n’as plus le goĂ»t Ă rien, ni mĂŞme celui de vivre… La petite espĂ©rance est encore lĂ , au fond de ton coeur Qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source Le jeune bourgeon qui permet Ă l’arbre de reverdir La clartĂ© du jour, lĂ -bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours lĂ , ma petite espĂ©rance, tout au fond de mon coeur Ma merveilleuse lampe magique oĂą je puise tous mes rĂŞves Toi qui ne connais pas le mot « Fin« . * Auteur inconnu |
Déposé par poutounou le 12/11/2015Poème de notre ou nos anges pour nous… * J’aimerais ĂŞtre l’ange de ton sommeil, Te protĂ©ger jusqu’au rĂ©veil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cĹ“ur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rĂŞves les plus enfouis. Je garderai prĂ©cieusement la clĂ© Des plus profondes de tes pensĂ©es. Je dissiperai le brouillard Qui dĂ©truit tous les espoirs. Et lorsque tu te rĂ©veilleras Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi. |
Déposé par ovanek le 11/11/2015đź’– đź’– đź’– 13 đź’– đź’– **** Mon Chien **** Complice de tous mes instants Boule de polis au regard si parlant Gardien silencieux de mes peines TĂ©moin affectueux de mes joies humaines Mon chien, que certains nomment clĂ©bard N’est certes pas dĂ©pourvu de certaines tares Et si nos malheureux chaussons en firent les frais parfois Ta loyale compagnie vaut bien ces quelques dĂ©bordements de joies Mon chien, ami du 1er moment A la fois si discret et si imposant Tu donnes un amour inconditionnel A tes maĂ®tres souvent indignes d’un honneur pareil Mon chien, fidèle Ă la main qui te gourmande et te flatte Tu es sans nul doute le plus aimant de mes amis Ă 4 pattes Et quand ta truffe me presse doucement d’une caresse Je te dois alors d’y mettre la plus grande des tendresses **** PensĂ©e **** ***** đź’– |
Déposé par poutounou le 08/11/2015Le plus beau cadeau * Faire le plus beau cadeau Ă quelqu'un : Ce n'est pas l'aider, Ce n'est pas combler ses dĂ©sirs, Ce n'est pas lui apporter la sĂ©curitĂ©, Ce n'est pas l'Aimer. NON. * C'est lui donner sa libertĂ©, C'est l'accompagner QUELS QUE SOIENT ses choix, C'est lui montrer sa propre lumière, C'est croire en lui, C’est toujours rester dans la vĂ©ritĂ©, ET SURTOUT, C'est ĂŞtre Ă son Ă©coute et lui donner l'occasion de s'Aimer... |
Déposé par poutounou le 04/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagĂ© pour donner une formation sur la planification efficace de son temps Ă un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-amĂ©ricaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journĂ©e de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'Ă©lite (qui Ă©tait prĂŞt Ă noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons rĂ©aliser une expĂ©rience". De dessous la table qui le sĂ©parait de ses Ă©lèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa dĂ©licatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux Ă peu près gros comme des balles de tennis et les plaça dĂ©licatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses Ă©lèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous rĂ©pondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un rĂ©cipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa lĂ©gèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva Ă nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants Ă©lèves commençaient Ă comprendre son manège. L'un d'eux rĂ©pondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " rĂ©pondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hĂ©siter et en choeur, les brillants Ă©lèves rĂ©pondirent : "Non !". "Bien !" rĂ©pondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux Ă©lèves, il prit le pichet d'eau qui Ă©tait sur la table et remplit le pot jusqu'Ă ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vĂ©ritĂ© nous dĂ©montre cette expĂ©rience ?". Pas fou, le plus audacieux des Ă©lèves, songeant au sujet de ce cours, rĂ©pondit : "Cela dĂ©montre que mĂŞme lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses Ă faire". "Non" rĂ©pondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vĂ©ritĂ© que nous dĂ©montre cette expĂ©rience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'Ă©vidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santĂ© ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "RĂ©aliser vos rĂŞves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "DĂ©fendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas rĂ©ussir... sa vie. Si l'on donne prioritĂ© aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps prĂ©cieux Ă consacrer aux Ă©lĂ©ments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser Ă vous-mĂŞme la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
Déposé par poutounou le 31/10/2015Pour la Toussaint et la fĂŞte des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle Ă son amour comme nous le sommes Ă nos anges…. * Une ombre qui passe… * Toute de noir vĂŞtue et sa canne Ă la main, Elle avance Ă pas lents dans la petite allĂ©e En serrant sur son coeur cette fleur d'azalĂ©e Qu'elle va dĂ©poser juste au bout du chemin. * Qui pourrait maintenant dire quel est son âge? Elle vient chaque jour retrouver un moment Celui dont le dĂ©part a causĂ© son tourment. La douleur a creusĂ© les traits de son visage. * Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas, dans le calme apaisant du petit cimetière, Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière Pour aller au plus tĂ´t le rejoindre lĂ -bas. * Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite : C'est le jour de l'annĂ©e oĂą chacun se souvient Qu'un ĂŞtre cher repose en la tombe qu'il vient Couvrir de belles fleurs, comme pour une fĂŞte. * PrĂ©sence inopportune oĂą sombre sa douleur, Elle ne peut ce soir, comme Ă son habitude, partager un instant de tendre solitude Avec celui qui fut sa source de bonheur. * Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe, En essuyant un pleur du revers de la main. Elle sera fidèle au rendez-vous demain, Lorsque les visiteurs auront quittĂ© la place. |
Déposé par poutounou le 28/10/2015Lorsque je raconte autour de moi que je vais tous les jours sur le cimetière pour chiens, les rĂ©actions sont quelquefois bizarres… Beaucoup de « gens » ont du mal Ă accepter la diffĂ©rence…. Vive la tolĂ©rance ! * Nous autres les rĂŞveurs aux idĂ©es un peu folles Sommes interpellĂ©s par les intolĂ©rances Qui pullulent en nos mondes envers les diffĂ©rences Dans la vie de chacun et elles nous affolent * Heureux est lors celui dont l’esprit batifole Seraient ternes les jours sans quelques dissemblances Et vivre sous le joug de lois sans tolĂ©rance Venues de temps anciens ne peut point faire Ă©cole * La vie en harmonie apporte maints plaisirs La nature nous guide en des choix Ă loisir Elle a fait des unions sous nombres de symbioses * L’homme pourtant dotĂ© de multiples cultures Serait bien inspirĂ© s’il suivait la nature Et gagnerait en sus un statut grandiose |
Déposé par poutounou le 23/10/2015Jolie petite histoire… * Les deux scarabĂ©es * Un scarabĂ©e montait la rue, Un scarabĂ©e la descendait. -Passez donc, monsieur, s’il vous plait, Puisque vous descendez la rue. -Après vous, monsieur, s’il vous plait, La remonter est plus ardu. Chacun tenant son chapeau gris Dans une main gantĂ©e de gris Voulait ĂŞtre le plus poli Des scarabĂ©es nĂ©s dans la dune. Ils s’étaient croisĂ©s Ă midi. A minuit, madame la lune Les vit encore se souriant, Se parlant et se saluant, Chacun tenant son chapeau gris Dans une main gantĂ©e de gris. * Maurice CarĂŞme |
Déposé par poutounou le 19/10/2015Un des plus beaux mĂ©tiers du monde… * Le bâtisseur de ponts * Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour oĂą un conflit Ă©clata entre eux. Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et rĂ©coltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu Ă peu, le fossĂ© se creusa jusqu'au jour oĂą il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines. * Un jour quelqu'un frappa Ă la porte du frère aĂ®nĂ©. C'Ă©tait un homme Ă tout faire qui cherchait du travail. Quelques rĂ©parations Ă faire... * - Oui, lui rĂ©pondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre cĂ´tĂ© du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensĂ© gravement et nos rapports se sont brisĂ©s. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres Ă cĂ´tĂ© de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir. * L'homme rĂ©pondit : - Je crois que je comprends la situation. * L'homme aida son visiteur Ă rĂ©unir tout le matĂ©riel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine. * Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme Ă tout faire avait dĂ©jĂ terminĂ© son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. PrĂ©cisĂ©ment Ă ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aĂ®nĂ© en s'exclamant : - Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous Ă©tions si fâchĂ©s ! Je suis fier de toi ! * Pendant que les deux frères fĂŞtaient leur rĂ©conciliation, l'homme Ă tout faire ramassa ses outils pour partir. * - Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi. * Mais il rĂ©pondit : - Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts Ă construire... |
Déposé par poutounou le 15/10/2015Il dit vraiment n’importe quoi, le petit doigt ! * Un petit doigt bavard * C’est mon p’tit doigt qui m’ l’a dit Au jardin des deux chats gris Une fourmi en bigoudis Est sortie d’un trou de souris Mon petit doigt affabule Au jardin des campanules Libellule et tarentule Tricotent des mandibules Mon petit doigt a raison Au jardin des hĂ©rissons Moi j’ai vu deux limaçons FicelĂ©s comme des saucissons Qui enfilaient leurs caleçons * Chantal Abraham |
Déposé par poutounou le 11/10/2015A vos aiguilles et pelotes…..Je vais demander Ă Monsieur l’écureuil de me tricoter un joli bonnet pour l’hiver qui ne va pas tarder…. * L’écureuil * Dans le tronc d'un platane Se cache une cabane. Un petit Ă©cureuil Est assis sur le seuil. Il mange des cerises, Tricote une chemise; Recrache les noyaux, Se tricote un maillot; Attaque les noisettes, Fait des gants, des chaussettes... Qu'importe s'il fait froid ! Tant pis si vient l'hiver ! Une maille Ă l'endroit, Une maille Ă l'envers : L'Ă©cureuil, fort adroit, Se fait des pull-overs. * Jean-Luc Moreau |
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