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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
71 bougies
76799 Fleurs
Déposé par poutounou Le bonheur parfait est quelque chose de très proche de la tristesse. Parce qu’on sait que cela ne durera pas éternellement, Comme avec vous, doux coeurs… !!! Déposé par colombine67 S'il arrive qu'un jour nous ne puissions être ensembles, garde-moi dans ton coeur, j'y resterai pour toujours |
5618 messages
Déposé par choupinou le 29/07/2015"La légende du pont de l’arc en ciel" "Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel" Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel. Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre. On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble. Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi. Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles. Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort. Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur. Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés. Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique. Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets. Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts. L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut. Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre. Vous souriez ! Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien. Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis. Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..." |
Déposé par colombine67 le 29/07/2015LE CONTE DE GRAND-PAPA QUI N'AIMAIT PAS LES GÂTEAUX Il était une fois un vieux grand-père qui assistait au repas de mariage de sa dernière petite-fille. Il était heureux, serein, apaisé devant le merveilleux spectacle de toute sa famille réunie. Leur joie, leur bonheur à tous l'entouraient d'une émotion tendre. Comme elle était belle, sa petite-fille dans une éblouissante robe blanche ! Elle riait de bon cœur en découpant avec son jeune époux la somptueuse pièce montée toute scintillante de caramel blond et de dragées roses. - Servez-vous tous et faites passer à vos voisins de table, disait-elle en déposant les choux tout rebondis de crème sur les assiettes chaudes. Quand la petite-fille passa l'assiette à son grand-père : - Tiens, Pépé Paco ! prends donc du gâteau ! - Mais non ! fais passer le plat, l'interrompit sa mère, toujours attentive, tu sais que Pépé n'aime pas les gâteaux. Il y eut un instant de silence et l'on entendit soudain la voix joyeuse du grand-père : - Mais oui ! j'aime les gâteaux. Tiens, je vais prendre ce beau chou-là. Regard stupéfait de sa fille. - Comment ça, tu aimes les gâteaux ? Mais tu n'as jamais aimé les gâteaux ! Moi ta fille, j'ai cinquante ans et je ne t'ai jamais vu manger un gâteau de toute ma vie... - De ta vie à toi, ma fille, oui…Mais pas de la mienne ! C'est que je les aime, les gâteaux ! J'ai toujours aimé les gâteaux… Seulement, nous étions si pauvres quand vous étiez petits avec tes sœurs et ton frère, tu le sais bien…Des gâteaux, votre mère ne pouvait en acheter qu'une fois de temps en temps, et encore seulement les dimanches de fête… Elle en prenait un pour chacun, c'est sûr, mais moi, quand je voyais tes yeux à toi, ma toute petite, quand tu venais t'asseoir sur mes genoux et que tu dévorais ton gâteau avec tant de plaisir, mon plaisir à moi, tu vois, c'était de te regarder manger mon gâteau que je te donnais si volontiers. Et j'ajoutais toujours pour que ton plaisir soit complet : " Mange ma petite petitounet, va !…moi je n'aime pas les gâteaux : " Le grand-père en disant cela souriait tendrement, dodelinant doucement de la tête. Il dit encore en riant franchement : - Tiens, ma fille, aujourd'hui c'est fête, donne-moi aussi celui qui reste sur le plat, là… D'ailleurs il va finir par tomber si tu continues à trembler comme ça ! Tu as froid ou c'est l'émotion de marier ta fille ? Il arrive quelquefois que les cadeaux d'amour mettent de longues années avant d'être reconnus comme tels. Il suffit parfois d'un moment de tendresse, qui vient se poser sur un souvenir avec la délicatesse d'un pétale de fleur pour qu'ils se révèlent au grand jour. |
Déposé par Biscuit le 28/07/2015Je ne peux pas encore te dire adieu Meme si tu es monté dans les cieux Je ne peux pas parler de toi au passé Ma douleur est non refermée Je regarde tes photos Ma vue embuée par tous ces maux Tous ses petits chiens qui jouent dans ce paradis Attendent la tombée de la nuit Pour nous voir prier Je t'aime si fort Je ne t'oublierai jamais Dans mon coeur tu es Un jour ,je te retrouverai Adieu mon petit ange |
Déposé par colombine67 le 28/07/2015Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage. - Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince. - Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi. Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire CHANGE LE MONDE « C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas» et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent. Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas. - C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise. Et il disparut. Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire CHANGE LES AUTRES « C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.» et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent. Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses. - Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir. Et le Vieil Homme disparut. Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots CHANGE-TOI TOI-MEME « Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire» se dit-il. Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser. - C'est bien, dit le Sage. - Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise. - C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. Et il disparut. Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait ACCEPTE-TOI TOI-MEME Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens. «Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.» Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer. Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement. - C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème porte. A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut ACCEPTE LES AUTRES Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu. Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. - Qu'as-tu appris sur le chemin demanda ce dernier. - J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. - C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte. Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut ACCEPTE LE MONDE « Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.» Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé ou son regard ? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda. - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement. - C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde. Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita. - Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence. Et le Vieil Homme disparut. Merci à Françoise Laurent pour ce texte |
Déposé par colombine67 le 27/07/2015CONSEILS POUR MENER VOTRE VIE : 1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques. 2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon. 3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes. 4. Souvenez vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance. 5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement. 6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié. 7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger. 8. Passez un peu de temps seul chaque jour. 9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs. 10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure des réponses. 11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois. 12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie. 13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé. 14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité. 15. Soyez tendre avec la terre. 16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant. 17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans Laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre. 18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir. 19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant. Source: attribué au Dalaï Lama....www.lespasseurs.com |
Déposé par Biscuit le 27/07/2015Parfois, deux personnes s'aperçoivent que même si elles sont très proches et même si elles s'aiment beaucoups, la vie les mènes dans des directions différentes au moins pendant quelque temps ... Tu me manques tellement. Il y'a des jours où je donnerais n'importe quoi pour te regarder dans les yeux et voir tous cet amour qui nous unissait, des jours où il me semble que cette séparation durera toujours. Mais je sais que cela n'arrivera pas, parce que les liens qui nous attachent sont trop forts. Quand viendra le jour où nous nous retrouverons, je sais que nous aurons l'impression que tout ce temps et toute cette distance n'avaient jamais existé entre nous. Jusqu'à ce moment-là, tu vis dans mon coeur. Ces moments sont inoubliables. Et ce bonheur inexplicable. Pensées pour Punky. |
Déposé par Galinette3 le 26/07/2015La Fleur 🌹 Quel plaisir de tomber Sous la beauté de ses charmes La fraîcheur de ses traits Et le parfum qui en émane Vous enivre. 🌹 Cette rose sur sa branche Qui s’élance vous attire Sa vue c’est un rêve Qui vous ébloui. 🌹 Peu importe l’âge de la branche Qui la supporte Seul l’effet qu’elle vous procure Et ce qu’elle représente Pour vous compte. 🌹 Peu importe les années Les sensations de nos sens Et de nos âmes ne s’attachent pas A l’effet du temps. 🌹 Eléna (27/12/1999)65: |
Déposé par bouffie le 26/07/2015Petits anges, nos amours à quatre pattes, Hélas votre vie est si courte, Cependant la trace d'amour que vous laissez derrière vous est infinie. Vos doux petits corps libérés de cette terre ont disparus, Nous laissant dans un désarroi, un manque et une peine immense. Mais vos tendres et lumineuses petites âmes si pures demeurent Et elle resteront avec nous à jamais. Tendres bisous pour toi tendre et adorable petit Punky Mille pardons ma chère Maryem pour mon absence mais le cœur et les pensées y étaient. Je vous adresse un grand merci pour votre fidélité et vos beaux messages et vous envoie mille bisous Avec toute mes amitiés votre amie Danièle |
Déposé par colombine67 le 26/07/2015L’arc-en-ciel de ma vie La vie m’a choyé dans un sens Jeune adolescente, le destin m’a donné De grandes responsabilités que j’ai acceptées C’était ma destinée… J’y ai mis tout mon cœur et mon amour, Cette grande expérience m’a permis de grandir Des bonheurs sous le soleil Des chagrins sous la pluie Des montagnes à gravir Non sans peines et difficultés Mais j’ai toujours réussi… Ça recommence toujours… Mais dans mon cœur j’ai une vision. C’est de voir la vie « belle et d’y croire » J’y mets toute mon énergie, je garde confiance. Avec les évènements de la vie, j’ai vu noir Et aussi toutes les couleurs de l’arc-en-ciel De beaux jardins remplis de fleurs Des gestes et paroles remplis d’amour Des montagnes qui me semblaient incontournables Des situations qui ont perturbées le courant de ma vie J’ai gardé confiance et le sourire. Pour traverser le chemin de ma vie… Je regarde toujours devant, mon vécu m’a permis De grandir, de m’épanouir et de sourire, J’ai aidé, j’ai donné et j’ai reçu et ça continue La vie est belle, il faut y croire Et ça recommence toujours… Des montagnes à gravir des chagrins sous la pluie Mais des bonheurs sous le soleil sont à l’horizon Remplis d’amour et de joies… Christine QC Canada |
Déposé par rafia le 26/07/2015« Arigato » Pascal Obispo Je t’ai vu me quitter des yeux Pour d’autres ailleurs, vers d’autres cieux On y parle d’endroits merveilleux Merveilleux Mais personne n’est revenu déjà Pour nous dire si c’est vrai ou pas Tu aurais pu me dire « Adieu » Tenir ma main encore un peu Même si là-bas on y est mieux On y est mieux Mais personne n’est revenu encore De cet autre côté du décor Arigato Mon amour…. A bientôt… Mon amour… Je t’ai vu t’en aller heureux Pour un voyage vers le grand bleu Qui ne se fait jamais à deux Jamais à deux Mais personne n’est revenu déjà Pour dire qu’on vous attend là-bas Arigato Mon amour…. A bientôt… Mon amour… S’il fallait entre nous un mot Qui soit comme un dernier cadeau Avant de fermer les rideaux Mon amour…. Mon amour…. Mon amour… Mon amour… A bientôt Arigato Mon amour…. Mon amour… A bientôt Arigato |
Déposé par colombine67 le 25/07/2015"Le Bonheur Le Bonheur ne se trouve pas avec effort et volonté, Mais réside là, tout proche, Dans la détente et l'abandon. Ne sois pas inquiet, il n'y a rien à faire. Tout ce qui s'élève dans l'esprit n'a aucune importance, Parce que dépourvu de toute réalité. Ne t'attache pas aux pensées, ne les juge pas. Laisse le jeu de l'esprit se faire tout seul, S'élever et retomber, sans intervenir. Tout s'évanouit et recommence à nouveau, sans cesse. Cette quête même du bonheur est ce qui t'empêche de le trouver. Comme un arc-en-ciel qu'on poursuit sans jamais le rattraper. Parce qu'il n'existe pas, parce qu'il a toujours été là, Et parce qu'il t'accompagne à chaque instant. Ne crois pas à la réalité des choses bonnes ou mauvaises, Elles sont semblables aux arcs-en-ciel. A vouloir saisir l'insaisissable, on s'épuise en vain. Dès lors qu'on relâche cette saisie, l'espace est là, Ouvert, hospitalier, et confortable. Alors jouis-en. Ne cherche plus. Tout est déjà tien. A quoi bon aller traquer dans la jungle inextricable, L'éléphant qui demeure tranquillement chez lui. Cesse de faire. Cesse de forcer. Cesse de vouloir. Et tout se trouvera accompli, Naturellement. Guendune Rinpoché, Maître de méditation" |
Déposé par BILLY2B le 25/07/2015Merci Maryem votre prose est tres belle elle me touche beaucoup et je me suis empressée de la valider je sais combien vous souffrez de la perte de vos petits amours canins et malgré tout vous vous efforcez de nous aider et nous consoler par vos gentilles paroles nous qui avons aussi tant de peine. Merci pour votre gentillesse je fais de gros calins a vos anges j espère qu ils ont rencontré mon gros Billy en effet je ne sais pas pourquoi mais il adorait les toutous de petite taille. Je vous embrasse et vous dis à demain. Votre amie Marie Catherine |
Déposé par colombine67 le 24/07/2015Une jeune dame attendait l’embarquement de son vol dans un grand aéroport. Puisqu’elle aurait à attendre plusieurs heures, elle décida de s’acheter un bon livre. Elle acheta aussi un paquet de biscuits. Elle s’est donc assise dans un bon fauteuil dans la salle VIP de l’aéroport pour se reposer et lire en paix. Le sac de biscuits se trouvait sur le bras du fauteuil ; un homme vint s’asseoir dans le fauteuil adjacent et il ouvrit son magazine et se mit à lire. Lorsqu’elle prit un premier biscuit, l’homme fit de même. Elle se sentait irritée par ce comportement mais elle ne dit rien, se contentant de penser: “Quel effronté, j’ai envie de lui sacrer une bonne claque sur la gueule. ” À chaque biscuit qu’elle prenait, l’homme en prenait un aussi. Ceci la mettait dans tout ses états mais elle ne voulait pas faire une scène. Lorsque qu’il ne resta qu’un seul biscuit elle pensa: “Et que va t’il faire maintenant cet abruti de profiteur?” L’homme prit le dernier biscuit, le brisa en deux et lui en remis la moitié. Ah! Mais là c’était trop! Elle était hors d’elle à ce moment! Dans un temps d’éclair, elle prit son livre et ses choses et sortit en trombe pour se rendre au guichet d’embarquement. Lorsqu’elle prit son siège dans l’avion, elle ouvrit son sac à main pour y prendre ses verres de lecture et à sa grande surprise, elle y découvrit son paquet de biscuits, intact et non-ouvert ! Elle se sentit tellement MAL!!! Elle réalisait comment elle s’était trompée... Elle avait oublié qu’elle avait mis son paquet de biscuits dans son sac à main. L’homme avait partagé ses biscuits avec elle sans rancune ni appréhension... pendant qu’elle s’était choquée, pensant qu’elle avait partagé ses biscuits avec lui...et maintenant elle n’aurait plus la chance de s’expliquer ou de s’excuser...” IL Y A 4 CHOSES QU’ELLE NE POURRAIT JAMAIS RATTRAPER... La Pierre.... Après le Lancement... Le mot.... ..Après l’avoir dit! L’Occasion... Après l’avoir perdu! Le temps... ...Lorsqu’il est passé! Un merveilleux texte partagé par Nadjet Tabouni D'Algérie |
Déposé par Galinette3 le 24/07/2015Quand tu n’es pas là … 💖 Le temps me semble triste Quand tu n’es pas là … Lorsque descend la nuit Je me fais des idées stupides Quand tu n’es pas là … 💖 En y pensant, je souris Car dans tes bras, serrée, je suis Mon cœur bat à l’unisson Pour toi et notre passion. 💖 Quand Tu n’es pas là Je ne t’en veux pas Mais comprends que Tu es tout pour Moi. 💖 Ce souci que l’on se fait Quand on est séparé Au moment où l’Etre aimé N’est pas à nos côtés. 💖 Maintenant, dans tes bras Tout est oublié Je regarde devant Je tourne le dos au passé Pour ne plus avoir de pensées A part, bien sûr, celle de t’aimer ... 💖 Eléna (10/06/2012) |
Déposé par ovanek le 23/07/2015💖 💖 💖 💖 ❤ ******* ******* Notre étoile ******* merci de scintiller pour nous les nuits venues tu éclaires les chemins sur lesquels on te regarde et nous sommes heureux quand on s'endort auprès de tes pensées si toi tu es sur les nuages des anges ton cœur lui. Est dans le nôtre pour toujours tu es notre passé… !! Mais nous restons présents et futur pour Toi. On t'aime .....Veilles sur nous .... Tu es gravé dans nos âmes ... ... Mes Pensées.…Phil ***** ❤❤ 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 23/07/2015Un jour, le père d’une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent. Ils passent quelques jours sur la ferme d’une famille qui n’a pas beaucoup à leur offrir. Au retour, le père demande à son fils: « As-tu aimé ton séjour? » « C’était fantastique papa! » « As-tu vu comment les gens pauvres vivent? » « Ah oui!, répond le fils. » Alors, « Qu’as-tu appris? » Le fils lui répond: J’ai vu que nous n’avions qu’un chien, alors qu’ils en ont quatre. Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande crique. Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux, ont des étoiles partout dans le ciel. Nous avons une immense galerie à l’avant et eux, ont l’horizon. Nous avons un domaine mais eux, ont des champs à perte de vue. Nous avons des serviteurs alors qu’eux servent les autres. Nous achetons nos denrées et eux, les cultivent. Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger, eux ont des amis qui les protègent. Le père en resta muet. Le fils rajouta: « Merci papa de m’avoir montrer tout ce que nous n’avions pas. » Trop souvent, nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n’avons pas. Ce qui est un objet sans valeur pour un, peut très bien être un trésor pour l’autre. Ce n’est qu’une question de perspective et c’est à se demander ce qui arriverait si on rendait grâce pour tout ce nous avons au lieu d’en vouloir toujours plus. Apprenez à apprécier ce que vous « avez ». Retrouvez vos yeux et votre cœur d’enfant et voyez combien il est important d’apprécier ce que vous avez plutôt que de se soucier de ce que vous ne possédez pas. Auteur inconnu |
Déposé par colombine67 le 22/07/2015Un jour ----------- Je lis davantage et j'époussette moins. Je m'assois dans la cour et j'admire le paysage sans me préoccuper des mauvaises herbes dans le jardin. Je consacre plus de temps à ma famille et à mes amis et moins de temps au travail. Le plus souvent possible, la vie devrait être composée d'expériences à savourer et non à endurer. J'essaie maintenant de reconnaître ces moments et de les apprécier. Je ne conserve rien: j'utilise la vaisselle de porcelaine et le cristal pour toutes les occasions spéciales je porte mon meilleur veston pour faire l'épicerie. J'ai comme théorie que si j'ai l'air prospère, je peux me permettre de payer 28,49$ pour un petit sac d'épiceries. Je n'économise pas mon bon parfum pour les grandes occasions; je le porte pour les commis de la quincaillerie et les caissiers et caissières de la banque. "Un jour" et "un de ces jours" sont des mots que j'ai bannis de mon vocabulaire. Si c'est quelque chose qu'il vaut la peine de voir, d'entendre ou de faire, je veux le voir, l'entendre ou le faire maintenant. Je ne sais pas ce que les gens auraient fait s'ils avaient su qu'ils ne seraient pas là pour le lendemain que nous tenons pour acquis. Je crois qu'ils auraient appelé des membres de leur famille et quelques bons amis. Peut-être aussi auraient-ils appelé d'anciens amis pour s'excuser et tenter de réparer les pots cassés à la suite de querelles. J'aime penser qu'ils seraient aller prendre un bon repas au restaurant. J'essaie juste de deviner, je ne saurai jamais. Ce sont toutes ces petites choses laissées de côté qui me fâcheraient si je savais que mes heures sont comptées. Je serais en colère parce que je n'ai pas écrit certaines lettres que je me proposais d'écrire un de ces jours. En colère et peinée de ne pas avoir dit assez souvent à mon mari et aux membres de ma famille que je les aime. J'essaie de toutes mes forces de ne pas remettre à plus tard ou me priver de faire des choses qui ajoutent de la gaieté et de l'éclat à nos vies. Et, chaque matin quand j'ouvre les yeux, je me dis que c'est un jour spécial. Chaque jour, chaque minute, chaque souffle est vraiment un don de Dieu. |
Déposé par bouffie le 21/07/2015Mon ami à quatre pattes Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas. C’était mon compagnon, mon ami de toujours Et comme les humains il connut le trépas. La maison désormais se retrouve sans lui. Il repose en forêt sous les feuilles jaunies. Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux Ses jappements de joie, son amour un peu fou ! Je garderai toujours le souvenir ému De cet ami charmant et à jamais perdu. Et je comprends très bien que l’on aime son chien Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien. de Christian Chabellard Tendresse et câlins pour tous nos petits ange chéris, avec l'espoir de les retrouver un jour dans les beaux jardins fleuris du paradis. Merci pour toutes vos fleurs et messages avec mes amitiés pour vous chère Maryem |
Déposé par colombine67 le 21/07/2015Un compagnon sur mesure -------------------------------- Un petit garçon apparut bientôt sous l'affiche «Jeunes chiens à vendre». «Combien vendez-vous ces jeunes chiens?» demanda-t-il au commerçant. Le marchand répondit: «Entre 30 et 50 dollars.» Le petit garçon fouilla dans ses poches et en tira de la petite monnaie. «J'ai deux dollars trente-sept, dit-il. Est-ce que je peux les regarder s'il vous plaît?» Le commerçant sourit et siffla; du chenail ils virent sortir Lady, qui accourut vers eux en passant par le couloir du magasin, suivie de cinq petites boules de poils. Un des jeunes chiens traînait derrière à une bonne distance. Aussitôt qu'il le vit, le petit garçon montra du doigt le petit chien qui boitait derrière les autres: «Qu'est-ce qu'il a celui-là?» Le commerçant lui expliqua que le vétérinaire avait examiné le petit chien et avait découvert une malformation de la hanche. Il boiterait touours. Il serait même infirme. le petit garçon devint tout excité. «C'est ce petit chien-là que je veux acheter.» «Non, dit le commerçant, tu ne veux pas acheter ce chien. Mais si tu le veux vraiment, alors je vais te le donner.» Le petit garçon devint plutôt irrité. Il regarda le commerçant droit dans les yeux et dit: «Je ne veux pas que vous me le donniez. Ce petit chien vaut aussi cher que les autres et je le paierai plein prix. En fait, je vais vous donner 2,37$ maintenant et 50¢ par mois jusqu'à ce qu'il soit bien à moi.» Le commerçant répliqua: «Tu ne veux pas vraiment acheter ce petit chien. Il ne sera jamais capable de courir, sauter et jouer avec toi comme les autres chiens.» Sur ce, le petit garçon se pencha, retroussa son pantalon et découvrit une jambe gauche affreusement tordue, soutenue par un appareil orthopédique. Il regarda le commerçant et dit doucement: «Eh bien, je ne cours pas très bien moi-même, et le petit chien aura besoin de quelqu'un qui puisse le comprendre!.» Don Clark |
Déposé par colombine67 le 20/07/2015Malaury et Balto « En 2007, mes parents sont venus habiter Beaumont la Ronce (37), dans une nouvelle maison adaptée à mon handicap, aussi, je souhaitais avoir un chien. Mon papa demanda à l’époux d’une collègue qui travaille à la SPA de Luynes, si on pouvait faire une bonne action en adoptant un chien abandonné. Cette dernière, nous répondit qu’avec mes mouvements et mon handicap, il valait mieux avoir un chien éduqué à cet effet et contacter l’association HANDI’CHIENS. En décembre 2007, je rencontrai Michel HEILIG, le Responsable du Centre d’éducation HANDI’CHIENS de Vineuil. En avril 2008, je fis le stage d’adaptation et de transmission à Vineuil avec mon Papa. Pendant 15 jours, tous les matins nous avons appris tout ce qu’était le chien en théorie, et les après-midi, nous avions la pratique. Au bout de 3 jours, il a fallu choisir entre 3 chiens : Brume, Aria, et Balto. Sur mon papier, Papa a écrit BALTO. A partir de ce jour, mon nouveau compagnon et copain, c’est BALTO. J’étais très ému quand on m’a dit que c’était lui, mon chien. Le soir, à l’hôtel, nous dormions avec BALTO, qui a trouvé sa place dans la chambre sans nous gêner. Le reste du stage, nous avons travaillé sur les commandes, BALTO : assis, BALTO : pas toucher, BALTO : c’est fini. Tout cela pour lui donner à manger, etc.…. Nous avons appris 50 commandes. J’ai participé à tout. Le matin, Papa m’aidait aux interrogations écrites. Ce que j’ai aimé, c’est surtout, les câlins sur les matelas avec BALTO. Maintenant, il vient dans mon lit, il se met sur le dos et se frotte contre moi. Cela me fait beaucoup rire. A la fin du stage, il y a eu une cérémonie de remise du chien. C’est papa BALTO et Hélène, la famille d’accueil (pendant 16 mois) qui m’ont remis BALTO. J’ai beaucoup pleuré, Papa, Maman et mes sœurs aussi. C’était beau. Maintenant, BALTO est à la maison. Papa et Maman, nous appelle « Le Clan des Roudoudoux ». Quand je suis à l’IEM, il m’attend le soir derrière la porte vitrée, il met ses pattes sur moi et me lèche le visage. Il est très content et moi aussi. Il adore les peluches, il accueille les gens avec un nounours dans sa gueule et fait le tour de la pièce pour leur dire bonjour. Cela me fait rire. Dans le canapé, il met sa tête sur mes jambes avec un air triste, pour que je lui fasse un câlin. Lorsque nous faisons des courses, il m’accompagne accroché à mon fauteuil côté gauche, et je suis fier de mon chien et surtout, le regard des gens se pose sur lui et par sur moi. Je fais beaucoup de ballades avec lui et des voyage pour rendre visite à ma famille : en juin à l’Eglise au baptême de mon cousin Nino et en décembre, BALTO et moi, sommes allés au Touquet au mariage d’Aurélie et Grégoire, mes cousins. J’étais bien avec lui, il m’aide à être patient quand les gens discutent longtemps. Il est très présent dans mon quotidien. Même quand je suis à l’école, j’aimerai qu’il soit avec moi. Papa et Maman, ont demandé au directeur si cela était possible. Il leur a dit qu’il lui fallait plus d’informations et d’en discuter avec les médecins de l’IEM et les autres jeunes. J’espère que ce sera OUI dans quelques temps. Mon BALTO c’est mon pote qui ne me juge pas et qui m’aide dans mon quotidien. C’est une belle aventure !... » Malaury, 15 ans (37 |
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