En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012


En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de PUNKY du Moulin de Labatut a été vue  922 790  fois.
922 790 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
 


18 personnes aiment cette page
 

Connectez vous pour poster un message, une fleur ou allumer une bougie
Votre pseudo        Mot de passe       


En hommage à PUNKY du Moulin de Labatut

Mon tendre chéri,

Il n'y aura pas eu le miracle tant espéré, tu viens de ns quitter ns laissant, Papa, les enfants, et moi, totalement anéantis par la douleur.
Ns sommes aussi inquiets pr ton copain de tjrs, le petit Rock, car il réagit très mal à ton départ.
Toi, qui n'était qu'Amour il a fallu que cette tumeur de l'aine énorme et hélas, cancéreuse, t'emporte. Sa progression a été fulgurante. Combien j'ai redouté son ablation en raison de ton âge...mais il était impossible de la laisser encore se développer, tu n'aurais pu plus marcher.(* plus tard, ns apprendrons qu'il ne fallait surtout pas faire l'ablation de cette tumeur !!!)


Le 5 juin, jour fatidique de l'opération..j'ai angoissé jusqu'à ton retour à la maison. Mais tu semblais avoir bien supporté l'opération et le Dr Jean Sacal avait dit à papa que ton comportement avait été exemplaire.
Le 11 juin, papa doit te ramener, en urgence, chez Jean car tu sembles souffrir, tu pleures.

Je ne suis pas présente, retenue, loin, à cause de ma santé.....plus tard papa me dira que ce jour là, le Dr Sacal, te fera le cocktail-miracle qu'il injectait à Rafia...ladite médication lui ayant permis de vivre 21 mois, avec un diabète très grave, résistant à l'Insuline.( * et là aussi...ns apprendrons, plus tard..que tout ce qui devait être mis en place pr la petite Rafia...ne l'avait pas été...par ignorance des vétos...Sacal et Maupommé.

Mais pr toi...c'est l'échec total et la consternation de Jean Sacal qui dira à papa "qu'il ne peut plus rien faire"...
Le 12, au matin, tu demanderas à manger à papa...Tu mangeras 1 steack hâché plus des haricots verts, car tu refuses tes croquettes; Le soir, tu remangeras un autre steack, tjrs hâché.

Le 13...tu n'as pas d'appétit...1/2 steack hâché pr la journée et tu vomis bcp à 23 h.
Le 14...ce n'est pas mieux : 1/2 steack hâché (soit 50g) et...20 g d'haricots verts..le tout pr la journée. Papa me dira qu'au jardin...tu as "coursé", le long de la clôture, comme à ton habitude, camions et tracteurs.

Le 15 papa te ramène chez le Sacal, qui lui dit, :que "tu es condamné".
Tu refuses toute nourriture même tes friandises que tu adores...
Papa réussit à te faire manger..3 bouchées de steack hâché que tu vomis.

tu voudrais bien manger, tu en as l'envie, mais tu ne le peux pas;..des ulcères ds la bouche ???

Le 16, papa a l'idée,approuvée par Sacal de te donner, à l'aide d'une seringue un petit pot "bébé" de pois/jambon...tu en mangeras 150g/pr la journée.

Le 17...tu mangeras 100 g de fromage blanc à 20 %...que tu adores...et que tu avais découvert avec Rafia qui en consommait 3 pots/jou !. Mais toi, c'est tjrs à la seringue. tu accepteras aussi, en plusieurs fois, de manger 150 g de petit pot "bébé".

C'est la fête des Pères, ns sommes ts réunis et toi, tu sembles content d'être avec ns....même si je te trouve faible. Mais ce jour-là, tu remues à nouveau ta queue et je prends cela pr une bonne nouvelle.

Mais le soir venu...rien ne va plus...vomissements itératifs + diarrhée.
Et là, mon Punky dit "Titi", il faut que je loue ta propreté exceptionnelle, tu demanderas tjrs à sortir. La nuit, tu veux aussi sortir et c'est moi qui m'occupe de toi; Je te prends ds mes bras, pr remonter les marches de la terrasse...

18 juin...c'est la catastrophe...tu vomis même le peu d'eau que tu bois..car Sacal dit : qu'il faut te restreindre en eau..que tu voudrais boire en grosse quantité à cause du taux d'urée si important.

La nuit du 18 au 19...ns la passons ensemble, isolés ds une autre chambre pr ne pas empêcher papa de dormir... Paramour s'invitera et demeurera avec ns jusqu'à 4 h....et Rock, qui est aussi là...lui, il restera jusqu'à 7 h, au lever de papa..
A partir de minuit, je te donne à boire, par très petites quantités et je "crie" à la victoire...car tu ne vomis plus...

Toute cette nuit, tu la passeras à naviguer; A plusieurs reprises, je te prends, avec moi, sur un canapé..je te caresse, je te dis combien je t'aime..et je retiens mes larmes...mais toi, tu refuses de rester et tu demandes très vite, à redescendre, alors je t'aide.

Tu sembles agité...je vois bien que tes pattes ont de la peine à te porter mais toi, tu restes debout, tu marches encore et encore...ce qui m'angoisse car cette attitude me rappelle avec frayeur...le départ de la petite Rafia.
A 10 heures...tes pattes se dérobent...tu tombes à terre.....mais tu pars, tout de même, en laisse, avec papa


Papa, qui t'amène, comme convenu... pr le retrait des points de suture...

Sacal tente de te faire un nouveau protocole qu'il t'injecte pr faire chuter l'urée...et tu reviens à la maison. (* ns ne saurons jamais la "recette" de ses cocktails..magiques"...OU maudits !!!)

Tu voudrais bien boire...tu ne le peux pas. Tu n'arrives même plus à tenir ta belle petite tête......Tu ne peux tjrs pas tenir sur tes pattes alors papa te met sur notre lit. Il est 11 heures...Je ne te quitterai plus...je te couvre de bisous..je te caresse...je te dis combien ns t'aimons, combien tu ns es précieux...combien ns te remercions de tout l'amour que tu ns a donné durant 12 ans et 6 mois...mais tu ne m'entends plus, tu es ds un état semi-comateux...Tes beaux yeux sont fixes...de temps en temps tes pattes s'agitent nerveusement...et tu respires vite.
Toi..qui étais tout en muscles...on aurait dit que tes muscles avaient fondu.
Sacal ( boucher plus que véto!) a prévenu, qu'au stade final, tu aurais des convulsions assorties de souffrances...alors, il est 15 h 30, ns prenons la décision qui s'impose, ...un dernier acte d'Amour...pr toi notre Punky adoré...celui de te faire aider à partir...et la tragique échéance intervient à 16 h...
Mon Punky ..notre Punky adoré...comme tu ns manques !!!

--------------------------

Mon Titi d'Amour

Je me dois, mais surtout je TE DOIS d'apporter les rectifications qui s'imposent. Lorsque confrontés à l'état alarmant de Rock, qui ne se nourrissait plus, qui avait cette "grosseur" impressionnante, au bas du dos..ns avons décidé de demander un autre avis ( et merci au véto de garde de Cavignac, qui sans que cela soit volontaire...ns a fait opter pr ce choix.

En effet, c'est son comportement qui ns a bcp surpris : il était de garde..mais n'étant pas au Cabinet...cela le dérangeait d'y venir et ensuite, papa a pu se rendre compte...combien vs le dérangiez, avec cette urgence, pourtant justifiée).
Puisqu'il a eu l'audace de refuser l'urgence...

Il fallait donc voir un autre véto....qui lui, daigne s'occuper de RocK.

Pr Rock...nouveau diagnostic, et une prise en charge remarquable du vétérinaire que ns avons choisi pr continuer de suivre Rock et Paramour.
Et une amélioration spectaculaire, en peu de temps de l'état de Rock..à qui, il a sauvé la vie.

A la suite de cette visite et de celles qui suivront, ns apprendrons, consternés, que ns avions voué une confiance AVEUGLE, à deux vétos, qui ne méritaient pas cette confiance....dont l'un se prétendait...être notre ami !!!
Mon Titi d'Amour, l'un et l'autre savaient pertinemment que l'on opère pas ce type de cancer chez un sujet de ton âge. Et surtout, on occulté l'ablation qu'il y avait à faire...-et qui n'a pas été faite, ce qui a généré ce maudit cancer- ...devait l'être avant tes 4 ans/...et là...tu en avais déjà 12 et demi !!!
Et puis...pas d'anesthésie au gaz...pourquoi ???

Tu ne souffrais pas, alors pourquoi cette décision infâme de vouloir t'opérer ???Pr ce qu'elle rapportait, financièrement !
Jean Sacal a sacrifié ta VIE...pr un profit financier , non négligeable !!!

Il aurait suffi de te laisser vivre, en PAIX, le temps qu'il te restait, avant que n'interviennent les souffrances...cela aurait pu encore durer des mois...

Puis, le moment venu...ns aurions pris la décision qui se serait imposée....mais ton départ n'aurait pas été aussi tragique !!!

Ns n'avons jamais su...quels produits contenaient les "cocktails magiques"...OU maudits" qui t'ont été injectés...les mêmes que la petite Rafia.

C'est comme toutes les injections qui étaient pratiquées....avec de la Cortisone pr petit Rock aussi....alors que la Cortisone avaient des effets secondaires néfastes sur son petit coeur. Cette Cortisone employée pr TOUT soigner...ou plutôt pr TOUT empirer.

Pr les dermatoses de Rock...ns en étions arrivés à le faire désensibiliser....tous les 15 jours, pr rien. C'est dramatique l'inconséquence de certains vétos !!!
Ils n'ont pas choisi la bonne voie professionnelle...ils auraient du être...bouchers!!!

Pourtant la pharmacopée vétérinaire ne contient pas que de la Cortisone...mais il faut se donner la peine de suivre l'évolution des produits...mais aussi de pratiquer les analyses nécessaires..;d'utiliser tout le matériel adéquat...Echographie...IRM..Doppler..etc.

Mais...lorsque l'on ne possède pas ce matériel d'investigation...et bien question "profit";..l'on rechigne à solliciter les confrères....ns l'avons appris, HELAS, trop tard pr toi...trop tard, pr la petite Rafia.

Mais ns....parfaits crétins...ns continuions à faire confiance...à "gober", le peu qui ns était expliqué. Pr ns...ces vétos étaient géniaux..avec un comportement des plus amicaux.

Et puis..j'ai aussi appris, incrédule......que Sacal avait eu un geste déplacé, lorsqu'une fois que tu gisais ...mort, sur sa table...il allait te saisir par le cou...pr te jeter ds un sac plastique....comme l'on jette une vulgaire poche à ordures !!!
C'est le regard désapprobateur de l'assistante, conjugué à celui de papa..tout aussi sidéré...qu'il s'est enfin repris...mais pr papa c'était trop tard...car cela laissait deviner la réelle personnalité de ce vétérinaire.

Voilà mon Titi chéri, il ne ns reste que les regrets, regrets éternels qui ns rongent; Pourtant ns avons tjrs TOUT fait, pr vs TOUS, nos petits trésors et peu importe les factures vétérinaires à payer. Ns n'avions qu'une seule demande...."faire tout ce qui était possible...afin de vs préserver la vie".

Et j'oubliais...il fallait être..crétin, pr nier que ce soit un cancer...n'est-ce pas Jean Sacal??? (que le diable l'emporte)!!! Alors que Stéphanie, une des assistantes....avait "vendu la mèche", involontairement......comme l'on dit, familièrement.

Tu ns manques tant mon Titi d'Amour !!!




50 bougies

77399 Fleurs
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je t'adresse petit ange mille caresses et de tendres pensées
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Aujourd'hui pour vous mes amis à 4 pattes je suis chef de gare... alors,je dispose de 3 Wagons:le 1er remplis d'Amour, le 2ème remplis de Câlins, et pour le dernier wagon des fleurs aux mille couleurs
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Je voudrais voir le monde dans un grain de sable, et le paradis dans une fleur sauvage. Tenir l'infini dans la paume de ma main et voir l'éternité durer éternellement avec vous à mes côtés... !!!
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Quand je regarde dans les yeux de mon chien... Je ne vois pas un animal. Je vois un être vivant... Je vois un ami... Je sens une âme
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral
Déposé par mistral


5640 messages

Déposé par colombine67 le 30/01/2015  
Même s'il me faut lâcher ta main
Sans pouvoir te dire "à demain"
Rien ne défera jamais nos liens.
Même s'il me faut aller plus loin
Couper les ponts, changer de train,
L'amour est plus fort que le chagrin.
L'amour qui fait battre nos cœurs
Va sublimer cette douleur,
Transformer le plomb en or !
Tu as tant de belles choses à vivre encore.
Tu verras au bout du tunnel
Se dessiner un arc-en-ciel
Et refleurir les lilas.
Tu as tant de belles choses devant toi.
Même si je veille d'une autre rive,
Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive,
Je serai avec toi comme autrefois.
Même si tu pars à la dérive,
L'état de grâce, les forces vives
Reviendront plus vite que tu ne crois.
Dans l'espace qui lie le ciel et la terre
Se cache le plus grand des mystères
Comme la brume voilant l'aurore.
Il y a tant de belles choses que tu ignores :
La foi qui abat les montagnes,
La source blanche dans ton âme,
Penses-y quand tu t'endors :
L'amour est plus fort que la mort.
Dans le temps qui lie ciel et terre
Se cache le plus beau des mystères.
Penses-y quand tu t'endors :
L'amour est plus fort que la mort.
(Françoise Hardy)

Déposé par spanky le 29/01/2015  
Lettre de nos anges.
Quand demain commencera sans moi,
que je ne serai pas là pour te voir.
Quand le soleil se lévera,
séche tes larmes.
J'aimerais tant que tu gardes
nos souvenirs joyeux.
Je sais combien tu m'aimes,
chaque fois que tu penses à moi,
je brille dans ton coeur.
Tu sais combien je t'aime,
tu brilleras toujours dans le mien
et je ne serai jamais bien loin.

Déposé par colombine67 le 29/01/2015  
Autrefois, enivré de ses membres robustes,
Il sautait dans la haie et griffait les arbustes,
Et ses bonds chaleureux nous fêtaient : aujourd'hui,
Son âme humble est déjà recouverte de nuit.
Il somnole ; le feu lui souffle sa fumée.
Mais quand nous approchons sa prunelle embrumée
S'ouvre, il lève vers nous la tête avec effort,
Et cherche dans nos yeux si nous l'aimons encore.
Abel Bonnard

Déposé par poutounou le 28/01/2015  
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
*
Paul Eluard

Déposé par mindy le 28/01/2015  
COMMENT EST-CE POSSIBLE ?
Par Jim Willis 2001 (Source « chez Maya »)
Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles et t'ai fait rire.
Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu ton meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais
" Comment est-ce possible ? ", mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que tu étais terriblement occupé,
mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture,
arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens, " comme tu disais),
et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière,
et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirements de cour et déceptions,
je ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer.
Et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une "personne chien ", mais je l'ai accueillie dans notre maison,
essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser,
et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour ".
Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes,
ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses - parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes
et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi dans ton portefeuille
et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais juste " oui " et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de " ton chien" à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville,
et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta " famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et as dit : " Je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle."
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers."
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il a crié
"Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !"
Et je me suis inquiété pour lui.
Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité,
et au sujet du respect pour toute vie ?
Tu m'as donné un " au revoir caresse" sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois
et que vous n'aviez rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué la tête et ont dit : " Comment est-ce possible ?".
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent.
Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve...
ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention,
je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon cœur battait d'appréhension à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le "prisonnier de l'amour" avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt inquiété pour elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connaissais votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre à travers mon corps,
je me suis assoupie, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : " Comment as-tu pu ?".
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée."
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'allais à une meilleure place
où je ne serais pas ignorée ou abusée ou abandonnée, où j'aurais à pourvoir moi-même à mes besoins,
une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit.
Et avec mes dernières forces, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue
que mon " Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.

Déposé par ovanek le 28/01/2015  

***** Parlé de Toi *****
Tu sais que j'ai du mal Encore à parler de toi car tu reste présent
je pense que c'est normal y'a pas de bon ou de mauvais moment.
La vie apporte l’Hier … le Jour … et le Demain
Tu sais j'ai la voix qui ce noue et les yeux qui ce flou d’un voile humide
Quand je te croise dans les photos de mon esprit
souvent j'ai le cœur qui se perd …Je crois qu'il te pense un peu trop
C'est comme ça J'aurais aimé tenir serré contre moi un peu plus longtemps
j’aurais aimé que mon chagrin ne dure qu'un instant
la faute à qui ? La faute à quoi ? La faute à Toi …la faute à Moi
certainement la faute à la Vie celle qui nous attendris. Nous meurtris. Nous endurcis
je sais que tu m'entends c'est dur de briser le silence
alors nos pensée sont la pour nous faire parlé de notre côté sombre
enfouit en nous. Ecrire nos bonheurs et nos colères
Même dans les cris même dans la joie c'est dur de combattre l'absence
Mais personne ne peut comprendre On a chacun sa propre histoire. Son fardeau
la Vie dit qu'il faut attendre que la peine devienne comme un espoir
Je peux te dire que je suis fier de notre rencontre
de notre vie ensemble que de chemin parcouru
Même si la vie A ses détours elle reste fidèle à elle-même
j’étais ton compagnon de route je reste ton compagnon de cœur
** Fidèle à Jamais … Mes Pensées Phil **


Déposé par colombine67 le 28/01/2015  
Salauds au coeur tendre
Écoutez. Le tuer, j’ai pas le cœur.
Alors, je vous l’amène.
Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge,
c’est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C’est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j’irai le perdre dans les bois. Je l’attacherai à un arbre, pour ne pas qu’il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu’il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l’attacher et puis se sauver, pas l’entendre crier, c’est trop triste, on n’est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j’ai pas que ça à faire, on n’a pas encore fini les bagages.
Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d’autre ? Le bon ****** le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c’est qu’on a le cœur tendre, qu’on ne peut absolument pas supporter l’idée qu’une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque “ces gentils compagnons” se mettent à être malades et coûtent “les yeux de la tête” en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n’ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents.
Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s’empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d’argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l’idée), mais c’est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu’une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l’indifférence générale devant l’omniprésence de la misère animale. C’est le fait d’âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s’agit de gens à faibles ressources qui s’épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles.
Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d’aliments ont stimulé une frénésie d’achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La “rentabilité” exige qu’une femelle d’une race “vendeuse” ponde et ponde jusqu’à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n’est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c’est le chantage cynique de tout à l’heure : “Vous le prenez ou je vais le perdre”. C’est exactement le coup de l’otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : “Vous me la donnez la caisse ou je l’égorge.”
On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l’animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n’aime pas dire “amis des bêtes”), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d’un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d’inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s’occuper d’animaux alors qu’il y a tant de détresses humaines... Et quand l’apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l’euthanasie en masse par les services de l’hygiène publique, pas fâchés d’être débarrassés.
Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait “refuge” et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S.V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d’usage concernant les règles d’hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie “normale” était l’euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé.
Il faut que l’animal cesse d’être considéré comme un objet, un bien “meuble” qu’on achète, qu’on vend, qu’on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les “mauvais traitements”, d’ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d’un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d’un enfant. C’est le formidable et trop prévu nombre d’abandons liés aux départs en vacances qui m’a mordu au cul. Savez-vous qu’ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d’aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? “Avec la planche à voile sur le toit de la voiture” m’a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-m****s, volent haut dans l’air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados !
PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage.
S'il vous plaît, ayez du coeur !

Déposé par mindy le 27/01/2015  
Ceux qui nous quittent nous font mal, le mystère de la mort est bien là... mais si on pense à eux avec beaucoup d'amour, ils restent vivants, en tout cas dans notre cœur

Déposé par choupinou le 27/01/2015  
PUNKY
j'ai beau courir,courir et courir
jamais je ne te rejoindrai...
mais je sais que je peux
suivre le chemin de l'envolé
pour y ramasser tes plumes,
les belles plumes de tes aile mon ange.
Tu sais un jour viendra ,un jour magnifique,
ou moi aussi,je prendrai mon envol,
je partirai pour te rejoindre pour aller vers toi
vers toi a tout jamais et nous seront toujours ensemble
pour l'éternité ,l'amour éternel : TOI ET MOI,

Déposé par colombine67 le 27/01/2015  
Comment est-ce possible ?
Quand j'étais un chiot,
je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire.
Vous m'avez appelé votre enfant,
et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés,
je suis devenu votre meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi
et me demandais "Comment peux-tu?"
mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu,
parce que vous étiez terriblement occupés,
mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit
et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades
et courses dans le parc,
promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée
(j'ai seulement eu le cornet parce que
"la glace est mauvaise pour les chiens" comme tu disais),
et je faisais de longues siestes au soleil
en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail
et tu t'es concentré sur ta carrière,
et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment,
t'ai consolé après chaque déchirement de cœur
et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions,
et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer,
et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne-chien »
mais je l'ai accueillie dans notre relation,
essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi.
J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés
et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur,
et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser,
et j'ai passé la plupart de mon temps banni
dans une autre pièce, ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer,
mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour".
Quand ils ont commencé à grandir,
je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés
sur leurs jambes branlantes,
ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles,
et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses
parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes
et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits
et écoutais leurs soucis et rêves secrets,
et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps,
quand les autres te demandaient si tu avais un chien
et qu'ils te demandaient une photo de moi
tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille
et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais "juste oui"
et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de "ton chien"
à "seulement un chien",
et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière
dans une autre ville,
et vous allez déménager dans un appartement
qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta "famille",
mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture
jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats,
la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et tu as dit:
"Je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui".
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face
à un chien entre deux âges,
même un avec "des papiers".
Tu as dû forcer les doigts de ton fils
pour les détacher de mon col et il criait
"Non, Papa! s'il te plaît,
ne les laisse pas prendre mon chien!"
Et je me suis inquiété pour lui,
quelles leçons lui avez-vous apprises
à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté,
au sujet de l'amour et de la responsabilité,
et au sujet du respect pour toute vie?
Tu m'as donné un « au revoir caresse » sur la tête,
tu as évité mes yeux, et tu as refusé
de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ,
les deux gentilles dames ont dit
que vous saviez probablement au sujet de votre départ
il y a de cela plusieurs mois,
et rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué leurs têtes et ont dit
"Comment est-ce possible?"
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge
que leurs programmes chargés ne le leur permettent.
Ils nous nourrissent, bien sûr,
mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage,
je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve.
ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un
qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte
que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots
qui folâtraient pour attirer l'attention,
je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas
quand elle s'approchait de moi en fin de journée,
et je piétinais le long de l'allée
jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille.
Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles,
et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était à venir,
mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le « prisonnier de l'amour »
avait survécu à travers les jours.
Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété qu'elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais,
de la même manière que je connais votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement
autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais
il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique
habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti le dard et les liquides
se répandre à travers mon corps,
je me suis assoupi,
l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré
"Comment as-tu pu?"
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage,
elle a dit "je suis si désolée".
Elle m'a étreint,
et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail
de s'assurer que j'aille à une meilleure place
où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné,
ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins,
une place remplie d'amour et de lumière
très différente de cet endroit.
Et avec mes dernières énergies,
j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle
et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue
que mon "Comment as-tu pu?"
n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie
continuer à te montrer autant de loyauté.
©Jim Willis 2001

Déposé par colombine67 le 26/01/2015  
voici un texte qui compte pour les hommes ainsi que pour les animaux
il faut toujours prendre le temps de dire ce qu'on ressent l'un pour l'autre
chez un animal tu le lis dans le regard
*****************************************
PRENDRE LE TEMPS DE DIRE
Un jour, un enseignant demanda à ses étudiants d'écrire les noms des autres étudiants dans la classe sur deux feuilles de papier et de laisser un espace entre chaque nom. Puis, il leur dit de penser à la chose la plus agréable qu'ils pourraient dire de chacun de leurs camarades et de le noter.
Cela a pris le reste du cours pour finir cette tâche, et chaque étudiant quitta la salle en remettant ses feuilles à l'enseignant.
Ce samedi-là, l'enseignant nota le nom de chaque étudiant sur une feuille individuelle pour chacun, et inscrivit ce que tout le monde avait dit de chacun.
Le lundi, il a donné à chaque étudiant sa liste respective.
Avant longtemps, la classe entière souriait. « Vraiment? » qu'il entendit chuchoté. « Je ne savais pas que j'avais autant d'importance pour qui que ce soit! » et, « Je ne savais pas que les autres m'aimaient autant.» fut la plupart des commentaires.
Personne n'a plus jamais parlé de ces papiers dans la classe à nouveau. Il n'a jamais su s'ils en avaient discutés après la classe ou avec leurs parents, mais peu importe. L'exercice était arrivé à son but. Les étudiants étaient contents l'un de l'autre.
Ce groupe d'étudiants termina finalement l'année.
Quelques années plus tard, un des étudiants fut tué au Viêt-nam et l'enseignant assista aux funérailles de cet étudiant spécial. Il n'avait jamais vu un homme dans un cercueil militaire avant. Il avait l'air si élégant, si mature.
L'église fut remplie par ses amis. Un à un, ceux qui l'avaient aimé sont allés pour une dernière fois voir le cercueil. L'enseignant fut le dernier à y aller.
Comme il se tenait là, un des soldats qui était porteur du cercueil, est venu vers lui. Il lui demanda : « Étiez-vous l'enseignant de math de Marc? »
Il hocha la tête en signe de « oui. »
Alors il lui dit: « Marc m'a beaucoup parlé de vous. »
Après les funérailles, la plupart des anciens camarades de classe de Marc sont allés déjeuner ensemble. Les parents de Marc étaient là , attendant de parler avec son enseignant de toute évidence. « Nous voulons vous montrer quelque chose, » dit son père en sortant un portefeuille de sa poche. « Ils ont trouvé ça sur Marc quand il a été tué. Nous avons pensé que vous pourriez le reconnaître ». En ouvrant le portefeuille, il a soigneusement enlevé deux morceaux de papier qui avaient évidemment été collés, pliés et repliés plusieurs fois.
L'enseignant a su sans même regarder que les papiers étaient ceux où il avait énuméré toutes les bonnes choses que chacun des camarades de Marc avait dit de lui.
« Merci beaucoup pour avoir fait cela, » dit la mère de Marc.« Comme vous pouvez le voir, Marc l'a gardé précieusement. »
Tous les anciens camarades de classe de Marc ont commencé à se rassembler autour de l'enseignant.
Charlie (l'enseignant) sourit d'une façon plutôt gênée et dit, « J'ai toujours ma liste dans le tiroir du haut de mon bureau à la maison. »
La femme de Chuck (un ancien étudiant) dit : « Chuck m'a demandé de mettre le sien dans notre album de mariage.
« J'ai le mien aussi, » dit Marilyne. « Il est dans mon journal intime. »
Alors Vicky, une autre camarade de classe, prit son livre de poche, en sortit son fragile morceau de papier contenant la liste et le montra au groupe. Puis elle dit : « Je porte ceci avec moi tout le temps » et sans battre de l'oeil, elle poursuivit: « Je pense que nous avons tous gardé notre liste. »
C'est à ce moment que l'enseignant s'est finalement assis et s'est mis à pleurer. Il a pleuré pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais.
La quantité de gens dans la société est si grande que nous oublions que cette vie se terminera un jour. Et nous ne savons pas quand le jour viendra. Alors, s'il vous plaît, dites aux gens que vous aimez et dont vous vous souciez, qu'ils sont spéciaux et importants. Dites-leur avant qu'il ne soit trop tard...
Souvenez-vous que vous récoltez ce que vous semez,
PUISSE CE JOUR ÊTRE AUSSI SPÉCIAL QUE VOUS L'ÊTES!

Déposé par poutounou le 25/01/2015  
Le printemps reviendra
*
Hé oui, je sais bien qu’il fait froid,
Que le ciel est tout de travers;
Je sais que ni la primevère
Ni l’agneau ne sont encor là.
La terre tourne ; il reviendra,
Le printemps, sur son cheval vert.
Que ferait le bois sans pivert,
Le petit jardin sans lilas ?
Oui, tout passe, même l’hiver,
Je le sais par mon petit doigt
Que je garde toujours en l’air…
*
Maurice Carême
*
Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid…

Déposé par mindy le 25/01/2015  
La vie c'est comme le soleil,
Parfois ça brille de mille feux,
Parfois ça ne brille pas du tout,
La vie est faite de joies et de peines,
De colères et de bonheurs,
La vie c'est aussi être malheureux et souffrir,
Et parfois être heureux,
La vie est un mystère,
Il faut tout accepter dans la vie

Déposé par colombine67 le 25/01/2015  
Tu m'as donné tant de bonheur
Sans rien vouloir en retour
Mais voila qu'est venu l'heure
Où tu nous quitte pour toujours
Tu m'as offert les plus beau moments de ma vie
Et maintenant te voila partie pour de bon
Dans mon coeur, tous nos bon souvenirs resterons
Ne l'oublie jamais à quel point je t'aime

Déposé par ovanek le 24/01/2015  


**** Sur ton chemin ****
un triste jour , tes yeux ce sont refermés et me plongent dans une nuit sans fin
Je n'imaginais pas que notre bonheur ce briserais telle une vague sur un rocher
ne laissant derrière elle que sont écumes
ont c’était rien promis mais on savait ce comprendre
J'entends ta présence, dans cette écume blanche celle d’un ange…te perçois vers moi
je sais que tu es là et peu importe la pensée des uns et des autres
Qui sont ces gens qui crient et parlent de malheur ?
On me donne des paroles, on me raconte un peu de toi
mais tu es bien trop grand pour tenir dans si peu de mots
C'est toi qui es ma force et m'empêches d'avoir peur …d’avoir pleurs
N'y va-t-il donc pas déjà eu assez de solitude dans la pensée des hommes !!!
d'avant quand tu n'étais pas là …je savais pas …je ne savais rien…
maintenant tout est clair dans des moments sombres
Jamais tu ne partirais de mon Cœur qui resteras près de toi
Mes êtres cher… au cieux qui sont partis
ne pense pas toujours la détresse qu'ils ont laissée en moi
Les hommes ne savent pas mais les chiens sentent cela
Ces fleurs sans Pleurs que je dépose sur une pierre à ton nom sans nom
je sais que tu les vois, les sens, je sais tes habitudes.
Je creuse comme toi la terre, un jour notre chemin va ce rejoindre à nouveau
….ensemble tu verras on va devenir vieux…
le temps usure tout sur son passage….
Mais je serais la-t-elle une montagne face aux quatre Vents
Je déteste les pleurs mais j'aime tes abois de joie ...
alors j'inventerai ce qui n'existe pas… penserai ce qui ai Toi
pour toi mon beau soleil, au milieu des étoiles magicien de ma vie dont tu chasses le gris.
Même si je hurle ton nom et que tu ne reviens pas je te chercherais partout
je sais, tu y serais déjà en ce jardin si loin d’où l'on n'en revient pas
un jour Je suivrais tes pas sur ton chemin, alors je serais la…
Tout près de Toi à Tes côtés. Mon Chien
**** Mes Pensées… Phil ****


Déposé par colombine67 le 24/01/2015  
J'ai fais une place pour Toi dans ma chambre
Pour que tu veilles sur moi la nuit
Que tu rayonne en mon coeur, mon âme
Et qu'à Tes côtés je grandisse.
J'ai fais une place pour Toi dans ma maison
Dans toutes les pièces, même le sous-sol
Pour que Tu inspires mes chansons
Et qu'à Ta vue je me console.
J'ai fais une place pour Toi dans ma vie
Pour m'aider à porter ma croix
Ainsi croire que le soleil luit
Et renforcer tous les jours ma foi.
J'ai fais une place pour Toi dans mon coeur
Pour apprendre de Ton vécu
Ne plus jamais connaître la peur
Car tu m'as toujours secouru.

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Il est temps
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.
J'écoute quelquefois le soir
Des nouvelles à la télévision.
On y voit haine et désespoir,
Détruire notre monde sans raison.
On nous annonce au fil des jours
Que femmes et enfants sont agressés
Et qu'aussi certains vautours,
Vont jusqu’à tuer pour dominer
On a beau se parler d'amour,
De partager son amitié.
Qu'aussitôt dans le détour,
La rose sort ses épines acérées.
Pourquoi sommes-nous si violents ?
Pourquoi sommes-nous insouciants ?
Pourquoi sommes-nous si impatients ?
Pourquoi sommes-nous intolérants ?
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.
Roger Kemp

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Sourions
On se retrouve seul, on a peur quelquefois et l'on regarde autour de soi, guettant sur un visage un soupçon de tendresse. Mais personne ne s'intéresse à personne, et ainsi tout va de mal en pis. Parfois le malheureux reste sur le tapis, comme à la vie plus rien ne le rattache, il crève dans son coin, sans que nul ne le sache.
Un sourire pourtant l'aurait tiré de là.
Sourions mes amis, quittons ces airs trop las, faisons-nous l'amitié, si rare à notre époque, de sourire pour rien, d'être aimable avec n'importe qui, pour n'importe quoi.
Gérard Sire

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Le manifeste de la gentillesse
Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur.
La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable.
Seules les personnes qui pratiquent un mauvais esprit récurrent vs diront "qu'être gentil/gentille..c'est être..servile"
Ces personnes se veulent..donneuses de leçons (oui !!! de mauvaises leçons !!!) et sont réfractaires à toute empathie sincère.
La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain.
POUR
En finir avec le chacun pour soi
Refuser le cynisme ambiant
Déjouer l'agressivité quotidienne
Dire non à l'indifférence
Choisir d'être plus attentif aux autres
Mettre de l'harmonie dans mes relations
Etre altruiste et bienveillant
JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR,
AVEC DES MILLIERS D'AUTRES,
UN MONDE PLUS HUMAIN

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Je m'efforcerai...
En toute humilité je m'efforcerai
D'être aimant, véridique, honnête et pur,
De ne rien posséder dont je n'aie pas besoin,
De mériter mon salaire par mon travail,
D'être perpétuellement vigilant
Sur ce que je bois et je mange,
De toujours être intrépide,
De respecter les autres religions autant que la mienne
Et de chercher à toujours voir le bien chez mon prochain,
De suivre fidèlement le svadeshi (*)
Et d'être un frère pour tous mes frères.
(*) devoir de service envers l'entourage immédiat
Mahatma K. Gandhi, Lettres à l'Âshram




L'Album photo contient 41 photos
Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella????.
je T'M ????{ton Maël)).
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
Je SAIS. Pourquoi Ma Maman. T'aimait autant !
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
Highslide JS

Highslide JS
Punky alias The Boss
Tendres MERCIS. MA Sorella ton Maël).
Highslide JS
The Family Westies
CREA de LEUR super Sorella. Un ANGE aussi !
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Retourner en haut