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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
61 bougies
74683 Fleurs
Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par rafia Un joli bouquet enrobé de câlins et de tendres caresses pour toi petite étoile d'amour. Déposé par spanky Puisque votre vie n'a plus beaucoup de sens, puisque vous ne pouvez plus le caressai, puisque vos yeux se ferment pour l'apercevoir, il sera là et guidera vos pas et vous réapprendrez à marcher. |
5549 messages
Déposé par rafia le 04/12/2014Les amis à deux pieds, Et les amis à quatre pattes. Fable XV, Livre V. « Je préfère un bon cœur à tout l'esprit du monde, Et d'amis à deux pieds je me passe fort bien, » Disait certain monsieur qui vit avec son chien Dans une retraite profonde. « Je n'ai pas d'autre ami que lui, Humains ; et s'il tient aujourd'hui La place qu'en mon cœur longtemps vous occupâtes C'est qu'il ne m'est pas démontré Que l'on ait aussi rencontré L'ingratitude à quatre pattes. » Antoine-Vincent Arnault., |
Déposé par rafia le 04/12/2014Je rêve parfois Je rêve parfois Que de jolies fées Me tendent les bras Mais quand je m'éveille Je sais que la plus jolie La plus jolie fée de la terre C'est ma maman à moi. , |
Déposé par rafia le 04/12/2014Opuscule, sans prétention, pr honorer la mémoire de mes trésors/westies : Niagara, Rafia, Punky et Rock. Au départ de mes amours westies De mon coeur la joie s'est enfuie Mais j'ai choisi de rester debout, La Mort ne m'a pas mise à genoux. Je me suis battue pr survivre, Rien que pr pouvoir sourire. Depuis je me laisse bercer, Bercer pr mes pensées En évoquant les jours heureux Ce qui me reste de plus précieux. J'ai chassé le désespoir J'ai décidé de ne pas broyer du noir Et de laisser mon coeur, Discrètement , vivre son malheur. Au départ de mes amours-canin, De la haine de l'injustice, s'est répandu le venin J'avais pr choix de mourir ou de souffrir, J'ai pris l'option de souffrir Sans pr cela être un martyr. Je ne voulais surtout pas me rendre Devant la Mort, déposer les armes Mais continuer à me battre Pr honorer leur mémoire Mes amours westies, c'est cela ma gloire. |
Déposé par poutounou le 03/12/2014Joli petit poème… Moi aussi j’adore mon lit quand dehors il fait gris… ============== L'automne ======== Quand s'annonce l'automne La marmotte marmonne, Rentre dans sa maison Et dit : "C'est la saison Où mon lit a du bon ; Dormons." Et elle attend le temps du soleil… Le printemps En dormant… ======== Georges Jean |
Déposé par ovanek le 03/12/2014J’ai frappé à ta porte J'ai frappé à ton cœur Pour avoir un bon lit Pour avoir un bon cœur Ne t’inquiète pas pour moi Là ou je suis, je me sens Roi Une étoile filante est passée, et je m’y suis accroché Et elle transporté dans ce paradis enchanté Cet être familier de tes tendres années sera toujours présent à chaque instant Je resterai avec toi par la pensée ***** Je t’aime ***** ******************** |
Déposé par colombine67 le 03/12/2014Un P'tit Clébard de Pierre Perret Quand toutes les richesses du monde ne peuvent remplacer l'amitié et la fidélité d'un chien... Il n'avait jamais rien eu, Rien possédé d' sa vie, Aussi nu à soixante piges, Que le jour où il naquit. L'avait jamais eu de frigo, Ni vaisselle, ni tableaux, Et même en guise d'Aubusson, L'avait qu'son paillasson. Lisant avec gratitude, Cent ans de solitude, Un chant d'oiseau dans le ciel Remplaçait son Pleyel. Mais un beau jour subito, Le gros lot du loto Fit que le monde vint lui dire : - Qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? " Moi j' veux un chien, un p'tit clébard, je m' fous de la marque, Disait le papy, soudain cossu comme un monarque. Un chien abandonné par des gens sans cervelle, Et que la S.P.A aurait pris sous son aile. Je veux un chien, un p'tit bâtard sans estampille, Qui s'rait en somme, comme qui dirait toute ma famille. Surtout ne pensez pas que je m' méfie des hommes, Mais d'amitié, les clébards sont moins économes. Les gérants de son empire Furent tous écroulés de rire. On lui ach'ta un kimono, Un château, des chevaux, Un beau perroquet malais Qui s'exprime en anglais, Un superbe chat de Perse Qui coûte la peau des fesses. On l'am'na à Marengo Y déguster du veau. Il acquit près de Cuzco, Les montagnes et l'écho. Quand son secrétaire habile, Front soucieux dit : " Monsieur Quel nouveau plaisir peut-il Trouver grâce à vos yeux ? " " Moi j' veux un chien, un p'tit clébard, je m' fous de la marque, Disait le papy soudain cossu comme un monarque. Un chien abandonné par des gens sans cervelle, Et que la S.P.A aurait pris sous son aile. Je veux un chien, un p'tit bâtard sans estampille, Qui s'rait en somme, comme qui dirait toute ma famille. Surtout ne pensez pas que je m' méfie des hommes, Mais d'amitié, les clébards sont moins économes. La la la la, la la la la ... |
Déposé par catherine37 le 02/12/2014petit chéri, je t'envoie mille calins a partager avec tous les anges de ta maman ...a qui je pense chaque jour... |
Déposé par colombine67 le 02/12/2014Pour la mort d'un chien de Félix Leclercq Un chien attend le retour de son maître pendant des mois et des mois, en vain, il ne reviendra jamais. Dès lors, pour le chien, la vie n'a plus de sens. Fidèle à son maître, il refusera les mains tendues. Jusque la mort.. S'il y a des cloches pour les chiens qui meurent, Que sonnent les cloches pendant une heure ! Il est mort de m'attendre au coin d'une rue, C'est tant pis pour moi, je n'suis pas venu. Pourtant, j'avais dit au printemps, Avec les fleurs, les vents d'avril, Les hirondelles ont fait des milles, Lui dire que j'étais au tournant. Il m'a attendu tout l'été, tout l'été, Pour qu'ensemble on aille courir dans les champs, Je lancerai dans la coulée Le bâton qu'il tient entre ses dents. Quand l'automne est venu, il a vu Que peut-être je ne reviendrais plus. Il a r'culé au fond d'la cour, A pleuré la chute des jours. Le postillon lui a dit : "T'en fais, Espère un peu, encore un mois" Un voisin lui a dit : "Viens chez moi, J'ai des enfants, on te guérira." Mais non, il a attendu la neige, Et elle l'a pris comme un sortilège. Il s'est dit : "Elle le ramènera" Mais j'ai failli encore une fois. Donc, il est allé à la ville Pour essayer de me r'tracer. Il a passé sous toutes les grilles Et mordu tous les policiers. Et puis, écœuré de l'amour, Des charités, des beaux discours, Il s'est roulé au coin d'la rue, Attendit qu'on lui passe dessus. S'il y a des cloches pour les chiens qui meurent, Que sonnent les cloches pendant une heure ! Il est mort de m'attendre et je l'ai déçu, Je mériterais qu'on ne m'aimât plus. Pourtant ... |
Déposé par choupinou le 01/12/2014q'elles sont cruelles et lentes les heures! et qu'il est lourd,l'ennui ,la mort! les heures silencieuses et froides, qui tombe dans l'éternité, comme des gouttes de pluie dans la mer. pattes contre pattes nous brave compagnons chiens, allons ensembles sous la lune calmante, parler de ceux que nous avons laissés seuls, quand nous sommes descendus dans la tombe un sommeil très lourd nous engourdis et nous faisons un rêves qui durera toujours; rendormons nous, nous braves compagnons chiens, nous avons mis nos coeur dans le coeur de nos mamans ,papas et nous serons a eux,près d'eux a travers la mort, ses murs sont hauts, et la terre des vivant est loin; rendormons nous,nous braves compagnons chiens, ô souvent nous entendons des sanglots lointain, c'est nos aimés qui gémissent,hanté par nos chers souvenirs... A NOS MAMANS ,A NOS PAPAS , |
Déposé par colombine67 le 01/12/2014Je guide tes pas de Jérémie Kisling Jérémie Kisling, par cette jolie chanson, rend hommage aux chiens-guides et chiens d'aveugle qui consacrent leur vie à guider et assister leur maître. C'est souvent aussi entre eux, une grande histoire d'amour, comme le montre fort justement la chanson. Ton aveugle confiance en moi, Je tends la laisse entre tes doigts. Je fais toutou pour toi, Je guide tes pas. J'frime devant mes congénères, J'm'arrêt' à aucun reverbère, Même pas les arbres en bois, Non, je guide tes pas. Sans la lumière, Est-ce qu'il fait plus froid ? Est-ce que l'hiver c'est tous les mois ? Oh oh ohhh. Moi je crois Que sous tes paupières, Y'a des millions d'étoiles, Qui s'éclairent quand j'aboie. Dans le train, ta main me gratouille, Mes babines sur tes genoux, Youpi , je fais ouah ouah. Je ne te quitterai pas. Mon museau qui renifle un peu, Oh Je me demande où sont tes yeux, Jamais je ne les vois, Tant pis je guide tes pas. Sans la lumière, Est-ce qu'il fait plus froid ? Est-ce que l'hiver c'est tous les mois ? Oh oh ohhh. Moi je crois Que sous tes paupières, Y'a des millions d'étoiles, Qui s'éclairent quand j'aboie. Moi je crois Que sous tes paupières, Ya des millions d'étoiles, Qui s'éclairent quand j'aboie. Flapi, mais content, je m'endors. Au royaume du labrador, Les aveugles sont rois. Moi, je roupille dans tes bras. |
Déposé par colombine67 le 30/11/2014Quand ça va bien, quand ça va mal de Pierre Perret Le chien est un fidèle compagnon, présent à nos côtés aussi bien dans les jours de joie que dans les jours de peine. Quand ça va bien, Je pars avec mon chien. On va faire des conquêtes, Il a la queue en trompette. Quand ça va mal, Mon fidèle animal A la queue entre les jambes, Et c'est normal. Ce cabot intelligent, c'est ma passion. Songez que pour un chien, il a fait des trucs cotons : Au carrefour, sa queue devient pour traverser, Rouge, orange, et verte on peut passer. Quand ça va mal, Je prends du gardénal, Je revends ma bicyclette, Et le soir je la rachète. Quand ça va bien, Je bois cinq litres de vin Et j'ai une belle crise de foie le lendemain. Aussitôt j'absorbe autant d'eau minérale. C'est à ce moment là que tout va vraiment mal. Je prends un cordial pour me remettre en train, Et c'est la jaunisse qui n'est pas loin. Quand ça va bien, Je donne à mon prochain Quelques bons coups de pied où je pense. S'il est furieux je recommence. Quand ça va mal, Je vais me foutre au canal, Mon chien qui sait que je vais me rater prépare le thé. Trois sucres pour lui, et seulement deux pour moi. On évite bien de prendre du thé chinois Car d'après lui le poil perd tout son reflet, C'est pour ça qu'on boit du thé anglais. Quand ça va bien, Je pars avec mon chien, On va faire des conquêtes, Il a la queue en trompette. Quand ça va mal, Mon fidèle animal A la queue entre les jambes, Et c'est normal. |
Déposé par ovanek le 29/11/2014***** Mon chien s’en est allé Reste ces mots sur le papier Reste des maux à aligner Mon chien s’en est allé Tellement de larmes ont coulé Tellement de nuits se sont écoulées Depuis que mon chien s’en est allé Comme un oiseau libre et heureux Je remplie les pages d’adieux Mon chien s’en allé Vieillissant mon cœur D’une amère douceur Depuis que mon chien s’en est allé Emportant avec lui tout mes vœux Je ne rêve que de ce ciel bleu Je t’aime ******************** |
Déposé par colombine67 le 29/11/2014Le petit garçon et le routier : interprétation de John Starr La chanson originelle est de Jacques Hourdeaux et date de1977. Vous écoutez la version reprise en 2000 par John Starr et les paroles diffèrent, mais très légèrement. Emotion garantie ! Je ne crois pas qu'on se connaisse, vous et moi. Mais je suis à peu près certains qu'on a bien dû se rencontrer. Quelque part sur la route, dans un pays quelconque, Vous au volant de votre voiture, Moi à la cabine de mon semi-remorque. Oui je suis routier, J'aime l'aventure et j'ai roulé ma bosse aux quatre coins du monde. J'en ai passé des frontières, Et bouffé des kilomètres de poussière, de boue ou de neige. À cette époque-là, je faisais la ligne sur l'autoroute de Californie. Et c'est là justement que m'est arrivée cette étrange histoire. J'venais de loin, j' conduisais depuis trop longtemps, Et la fatigue commençait à se faire sentir. J'hésitais à réveiller mon helper qui dormait dans la couchette. Pour me tenir compagnie, j'avais branché mon CB, Comme on dit par chez nous. C'est cet appareil qui nous permet, à nous, les routiers, De garder le contact et de nous entr'aider en cas de coup dur. Je venais à peine d'allumer canal 27 de mon CB, Lorsque j'entendis, à travers la friture, Une petite voix lointaine qui parlait. Une petite voix d'enfant qui appelait : Allô, Allô, les routiers, ici Teddy, Teddy Bear, m'entendez-vous ? Ici Teddy, répondez-moi. Je tournai mon bouton de CB sur émission, et questionnai à mon tour : - Allô, Allô Teddy, ici la route. D'où appelles-tu ? Que veux-tu ? La voix du gamin répondit, un peu plus proche. - Ici Teddy, j'appelle les routiers. - Je t'reçois Teddy. Que veux-tu ? - Je suis tout seul, je m'ennuie, Et je voudrais parler un peu avec vous. Je vous appelle avec le CB de mon papa. Cet été nous avons eu un très grave accident, Et je suis toujours dans mon lit. Le docteur dit que je pourrai remarcher un jour, Mais que ce sera sûrement très long. J'habite une petite maison tout près de l'autoroute. Je suis souvent seul le soir, Car maman est serveuse dans un snack, pour nous faire vivre. J'ai perdu mon papa dans l'accident qui a détruit son camion, Et qui m'a cloué au lit. Il m'emmenait de temps en temps pour les petites courses. Mais maintenant il ne vient plus jamais personne. Alors j'essaye de vous accrocher avec le CB qu'il nous reste, Pour vous parler un petit peu, quand vous passez sur l'autoroute. Je ne suis pas une fillette, mais il me sembla soudain Que mes yeux se brouillaient, que j'y voyais moins bien. A la première sortie venue, J'arrêtai l' moteur et je sortis ma carte... - Dis-moi, Teddy, où habites-tu exactement ? Le petit me situa sa maison. J'avais de l'avance sur l'horaire, je remis en marche Et je sortis de l'autoroute. Bien que j'aie foncé pour arriver chez lui, Je n'étais pourtant pas le premier. Bon sang, six énormes vans m'y attendaient. Six copains avaient entendu notre conversation Et m'avaient devancé, d'autres arrivaient encore. On est tous entrés, on a sorti Teddy de son petit lit, Et ce fut vraiment la fête ! Chacun voulait le porter, l'asseoir derrière son volant, le cajoler. Le gamin rayonnait. On lui donna un tas de petits gadgets qu'on avait dans nos cabines, Et puis il fallut bien penser à reprendre la route. Je le remis dans son lit, après l'avoir embrassé une dernière fois. Je grimpai sur mon siège et je tirai le démarreur. J'ai vu plus d'un dur qui détourna la tête. On lui promit que chaque fois que l'on passerait sur l'autoroute, On klaxonnerait d'une certaine manière pour qu'il nous entende. On se quitta enfin. Je n'avais pas fait trois kilomètres que mon CB crépitait à nouveau. Mais c'était une autre voix, une voix émue de femme et elle disait : - Allô les routiers, ici la maman de Teddy, Merci les gars, vous êtes, vous êtes de braves types. Bonne route et que Dieu vous protége. Je n'ai pas pu répondre un seul mot, J'ai coupé mon CB et alors seulement j'ai chialé, Oui. chialé comme un vrai môme. ********************************************************************* ********************************************************************* L'enfant, le routier et Patapoil le chien Paroles: G. Delfosse & Jacques Hourdeaux - Musique: J. Hourdeaux & A. Verchuren 1979 La suite de l'histoire de Ted et des routiers interprétée par John Starr. Encore une fois l'émotion est au rendez-vous et il n'est pas exclus que cette histoire ne vous arrache quelques larmes. Du temps a passé, depuis le jour où sur mon C.B., Le radio-téléphone de bord de mon camion, J'avais capté le message de Teddy Le petit garçon handicapé. Nous étions dev'nus de vrais amis, lui et moi. Sitôt qu'j'avais un peu de liberté, je m'arrangeais pour venir le voir Et lui apporter quelques douceurs. Il me parlait souvent d' la première visite qu'on lui avait faite, Et de mille petites choses qu'on lui avait données. Pourtant, je sentais bien que ces visites trop rares Ne suffisaient pas à lui redonner le moral nécessaire pour guérir. Il fallait pour Teddy un autre compagnon Qui soit près de lui plus souvent. Ce compagnon, le hasard allait le placer sur mon chemin. C'était l'époque où toute une population se jette Pêle-mêle sur les routes,ça s'appelle les vacances, Et ça ne souffre aucune entrave. On sacrifie tout à la folie du départ, On plaque tout, et on s'en va. Nous les routiers, pendant quarante-huit heures, On s'arrête et on laisse passer le flot. J'avais donc rejoint mon port d'attache En attendant la fin de cet exode Et pour tuer un peu le temps J'allai marcher dans la campagne. C'est là que j'ai trouvé Patapoil. C'était un pauvre petit chien tout affolé, Un corniaud que des ******* avaient attaché à un arbre Avec du fil de fer. On d'vinait l'histoire : La voiture bondée et le petit animal Qui avait voulu à tout prix Etre lui aussi d'la fête. On l'avait rejeté une fois, deux fois, Et puis devant son entêtement, On l'avait emmené pour l'abandonner Lâchement quelques kilomètres plus loin, Dans le premier bois venu. Il s'était débattu, s'entortillant dans le fil Au point de s'entamer profondément les pattes. Il avait crié, crié, appelant au secours Ceux qui déjà l'avaient oublié. Couché sur le flanc, Ce n'était plus qu'une pauvre petite boule de poils Sanglante et meurtrie. C'est pour ça que j'l'appelai Patapoil. Je m'approchai de la bête, Et lentement, avec précaution, J'arrivai à la délivrer de ses liens. D'abord elle me mordit, Et puis elle me lécha les mains avec reconnaissance. Je la ramenai au camion, La soignai de mon mieux. Et c'est là, en voyant ce petit chien boitiller sur trois pattes, Que j'associai Teddy à cet incident. Ce fut comme un déclic ! Il était là, le compagnon de tous les jours, de toutes les heures, Blessé comme lui, solitaire comme lui, Ils uniraient leurs deux malheurs, Et s'aideraient l'un et l'autre à guérir. J'enclenchai le radio-téléphone et j'appelai - Allô, allô Teddy Bear ? J'appelle Teddy Bear, Allo Teddy c'est toi ? ici ton ami le routier, Ecoute Teddy je viendrai te voir demain. Non non je n'peux rien t' dire, c'est une surprise. Bonsoir Teddy, à demain. Dans la soirée, je passai un appel général aux copains. J'en accrochai trois ou quatre, Je leur expliquai l'affaire, ils me promirent tous d'être là. J'installai le petit animal sur un tas de vieux chiffons, Je grimpai dans ma couchette et je m'endormis, heureux. Le lendemain, on a pris le bahut, Et on a filé chez Teddy, les copains et moi. Tous des gars supers. Ils s'étaient débrouillés dans la nuit Pour faire quelque chose pour le gosse : Sponky avait construit une niche avec des planches, Un autre avait tressé un collier et une laisse Pour que Teddy puisse emmener Patapoil en promenade Quand il remarcherait, Un autre qu'on appelle le "cochon à roulettes", Parce qu'il conduit le camion frigo d'une charcuterie industrielle, Avait voulu apporter de la viande pour toute une ménagerie. Quand on a poussé la porte de la petite maison, J'ai cru un instant que Teddy allait sauter de son lit Et marcher, il battait des mains. On l'a assis dans son fauteuil, Et on a posé Patapoil sur ses genoux inertes. Il l'a serré, serré contre son cœur Ils mêlaient leurs larmes de joie. J'ai vu tout de suite que c'était gagné, Que ça collerait bien tous les deux. On a passé une super journée ! Et quand il a fallu repartir, Tous, même le vieux Ben qui va bientôt lâcher le volant, On avait vraiment l'impression d'avoir sept ans. Comme la première fois, Le C.B. nous a rappelés quelques kilomètres plus loin. D'abord on n'a rien entendu ... Et puis, en prêtant bien l'oreille, On a perçu de petits aboiements Auxquels se mêlaient de gros sanglots d'enfant. C'était Teddy et il nous a dit : - Merci, merci à vous les copains Vous avez été formidables. Vous m'avez donné la plus grande joie de ma vie Même si je ne dois plus remarcher.. jamais. On n'a plus osé se regarder, nous autres. On s'est quittés bêtement sans savoir quoi dire... On venait de prendre vite fait .. un sacré coup de vieux. |
Déposé par colombine67 le 28/11/2014Ta vie de chien ( Sylvie Vartan ) Le chien est un précieux réconfort lors d'une séparation à condition qu'il soit bien tenu à l'écart des conflits entre les personnes, mais hélas, ce n'est pas toujours le cas, bien au contraire. On est tous les deux mon chien, Moi ma peine, toi ton coussin, C'est toujours la même scène Quand les gens que j'aime, Brillent par toute leur absence. Encore tous les deux mon chien, Tu somnoles dans ton coin, Tu me couves d'un regard Plein de tendresse en vigilance. Ton maître et moi, tu sais bien Qu'entre nous, c'est temps de chien. Tu ne peux pas savoir pourquoi, Tes balades au bois, Tu les dois à l'un comme à l'autre. Pour toi, les problèmes humains Se règlent en léchant les mains. Fidélité, tu connais ! T'es pas là pour compter les fautes. Et moi j'ai besoin de ta vie de chien. C'est un peu comme mon dernier refuge D'avoir ta bonne tête à portée de ma main, Et d'oublier ces gens qui me jugent. Et moi j'ai besoin de tes bons yeux de chien, Pour changer des regards qu'on me lance. J'ai besoin de ta vie de chien, Sitôt qu'elle revient s'installer, l'absence. Tu sens à des petits riens, Que je ne suis pas très bien, Tu sais que ma vie et moi Quand plus rien ne va, On se regarde en chiens de faïence. Mais si ton maître revient, Obéis à ton instinct, Montre lui toute ta joie, Faut pas compliquer l'existence. Et moi j'ai besoin de ta vie de chien. C'est un peu comme mon dernier refuge D'avoir ta bonne tête à portée de ma main, Et d'oublier ces gens qui me jugent. Et moi j'ai besoin de tes bons yeux de chien, Pour changer des regards qu'on me lance. J'ai besoin de ta vie de chien, Sitôt qu'elle revient s'installer, l'absence. |
Déposé par spanky le 27/11/2014Le ciel est rempli d'anges Cela fait un magnifique mélange Ils sont si beaux Ils sont si haut Le ciel en est envahi De la terre, ils sont partis Ils nous manquent tellement On les aime énormèment On les pleure trop souvent Sans eux, on vit terriblement Pourtant on doit poursuivre notre chemin On doit avancer jusqu'à la fin Parce qu'un énorme vide s'est installé Toutes ces larmes qu'on ne peut sécher C'est si dur de continuer sans leur présence Si dur d'accepter leur absence On se bat pour eux On veut les rendre heureux On fait en sorte qu'ils soient fiers de nous Pour eux, on ira jusqu'au bout |
Déposé par monkillou le 27/11/2014Punky, Rêver... C'est oublier la réalité... En se donnant, Un moment de liberté! *** Rêver; C'est aussi dire, non à l'impossible... Mais essayer de pouvoir atteindre, Ce qui est inaccessible, TOI, ma boule d'amour! *** Rêver, C'est se créer un monde à soi, Illuminé par un soleil de joie! Rêver, c'est toucher la beauté, Mais aussi émouvoir sa sensibilité! *** Rêver, C'est également, broder un poème, Avec la soie d'un "JE T'AIME"! Sur le ciel de ton coeur, Pour le donner à toutes les douleurs... *** Rêver, C'est pénétrer dans un autre univers, le tien, mon ange... Où l'on ne voit que le bonheur, celui d'être ensemble... Je t'aime, tu seras toujours dans mon coeur, TOI, mon tendre Punky! ==================== Contente que ta maman soit de retour près de ses proches, ses fidèles compagnons, de vos pages ainsi que de nous... Maintenant qu'elle se repose et même si ce n'est pas toujours facile "il faut essayer de vivre au jour, le jour...". Merci à nouveau pour tous ces beaux poèmes, citations, messages et bouquets... Un panier de tendresse pour TOI mon beau Punky avec toute mon amitié à ta fidèle maman! Bonne fin de semaine à tous accompagnée d'un agréable week-end! À bientôt! |
Déposé par colombine67 le 27/11/2014Le chien chanson interprétée par Bénabar Magnifique chanson de Bénabar qui montre qu'on trouve toujours les meilleurs prétextes pour se débarrasser de son chien devenu trop vieux et à qui on trouve tous les défauts ou travers, allant même jusqu'à en inventer. Une chanson très émouvante. Le chien s'est redressé, comme fou Quand l'homme a enfilé sa veste. Il a sauté, renversé presque tout, Quand l'homme a secoué la laisse. La femme est restée dans la cuisine, Faisant semblant de nourrir la gamine. L'homme a dit : "à ce soir"... Le chien pouvait pas savoir. Le chien s'est dit : " C'est bizarre, C'est pas le trajet ordinaire. C'est con, mais on pourrait croire Qu'on va chez le vétérinaire !". Il y a les bons et les méchants, qui se confondent un peu, de temps en temps Y'a les "nous", y'a les autres, y'a les chiens... L'homme regardait droit d'vant lui, Il repensait quand le chien était petit, Bien avant son mariage, Son enfant, tout le remue-ménage. Les banquettes de la voiture : bectées ! Les chaussures à 100 sacs : baisées ! Les dimanches en forêt, le freesbee, le chien qui s'barrait. Il passait sa journée à le chercher. Le chien était devenu vieux et méchant. Il boitait un p'tit peu et il grognait tout l'temps. "Mais pas question de s'en séparer ! disait l'homme fermement, C'est mon chien fidèle !" Seulement ... Il y a les bons et les méchants, qui se confondent un peu, de plus en plus souvent. Y'a les "nous" et y'a les autres, et y'a les chiens... "Qu'est-ce qu'il t'a pris pépère ? J'ai rien dit quand t'as mordu la voisine. Cette fois, j'ai rien pu faire, Fallait pas t'en prendre à la gamine. "Et me regarde pas comme ça !" Aboya l'homme. Les passants ne comprenaient pas. Le chien était surpris aussi, Il avait même pas fait de conneries, aujourd'hui. Le chien a compris, trop tard, En voyant la silhouette blanche du véto. Et, dans son regard, Il n'y avait que d'l'affection pour son bourreau. Car y'a les bons et les méchants, qui se confondent un peu... et un peu tout l'temps Y'a les "nous" et y'a les autres, et y'a les chiens... condamnés par nos soins. Il y a les bons et les méchants, qui se confondent un peu... et un peu tout l'temps Y'a les "nous" et y'a les autres, et y'a les chiens ... |
Déposé par nounours le 27/11/2014. ...............L'AMOUR BRILLER DANS TES YEUX...................... . ...............L'amour brillait dans tes yeux............... ...............L'amour brillait dans mon sourire............. ...............Il n'y avait plus rien à dire.............. ...............On se regardait,on était heureuses........... ...............L'amour brillait dans tes yeux............ ...............J'ai vu tout l'amour de la terre.................. ...............J'étais au paradis,je ne savais pas........ ...............Qu'un jour le ciel rejoint la terre............... ...............Quand soudain le bonheur............. ...............S'écroule et tu t'en vas............ ...............Je suis si seule............ ...............Je suis si triste......... ...............Je suis sans âme............. ...............Abandonnée.............. ...............Et dans ma vie.......... ...............Tout a changé............ ...............Oui tout l'amour du monde......... ...............Brillait dans tes yeux........ . . ..........Elle courrait vers moi pour m'offrir un festin de bisous........... ..........Mon absence de quelques heures lui semblait infinie............. ..........Mais un câlin suffisait à appaiser son courroux............ ..........Car mon chien est la plus fidèle des amies............... ..........Elle emplissait mes solitudes d'instants précieux........... ..........Elle aurait donné sa vie pour défendre la mienne............ ..........Elle n'avait que de l'amour au fond de ses yeux........... ..........Et quand rien n'allait ma tristesse était sa peine................. ..........A tous ceux qui pensent que tout ça est surfait............ ..........Qu'à une bête,on lui fait dire ce qu'on veut............... ..........Je répondrai que n'existe pas que la parole humaine.............. ..........Qu'un animal agit quand un homme se contente de parler............. ..........Que ce sont mes moments de bonheur qui rendaient mon chien heureuse............. ..........Que je l'aime comme ma fille,même si pour beaucoup "ce n'est qu'une chienne"............ . ................MON ANGE ADORER............ . .............Tu es mon oxygène................. .............Tu es la joie que je promène.............. .............La force qui brise mes chaînes.............. .............L'indispensable qui coule dans mes veines............... . .............Tu es l'objet de mon existence............ .............L'Ange pur de l'innocence............ .............Mon Etoile de bienveillance............ .............Plus qu'un espoir et plus qu'une chance............ . .............Tu es ma mélodie.............. .............La douceur de mes nuits........... .............Les couleurs de ma vie............ .............Le bonheur à l'infini............. . ...............Cédrine Le Doaré............. . ..............POUR MON TENDRE AMEL................ . |
Déposé par colombine67 le 26/11/2014Mon vieux Pataud chanté par Berthe Sylva Rouillé perclus courbé sur son bâton de chêne Quand Butaud l'braconnier dut r'noncer à l'affût, Bien qu'on ne l'aimât guère vu son âge et sa gêne Au bureau d'Bienfaisance tout d'même on l'secourut. Au cabaret, jamais on ne le voyait boire. Il passait fier avec son chien causant quéqu'fois Pour dire que l'assistance étant obligatoire, C'est sans honte qu'il touchait son s'cours au bout d'chaque mois. Puis il sifflait son chien "- Allons mon vieux Pataud" Et tous deux s'en allaient le vieux parlant tout haut. Mon vieux Pataud, toi qu'es qu'une bête, T'es bien meilleur que certaines gens, T'as pas deux sous d'malice en tête, Quand tu veux mordre on voit tes dents, Tandis qu'les hommes bêtes à deux pattes, Sous des sourires cachant leurs crocs A l'instant même où ça vous flatte, Ça vous mang'rait cœur et boyaux. Personne nous deux, Pataud, n'a pu nous humilier : Moi j'n'ai jamais eu d'maître et toi t'as pas d'collier. Un jour comme il sortait du bureau d'Bienfaisance, Il salua m'sieur l'maire qui dit : "- Bonjour Butaud, Tiens c'est à toi c'chien là ? - oui ! dit l'vieux sans méfiance, Un' brav' bête presqu'aussi vieille qu'moi, n'est ce pas Pataud ? - J'comprends, répondit l'maire, c'est un ancien complice, On s'aime pardi ! seul'ment Butaud moi j'te préviens, Entre tes s'scours et ton cabot faut qu'tu choisisses, L'argent des indigents n'est pas fait pour les chiens." Et comme le vieux n'voulait en faire qu'à sa tête, On résolut d'comprendre mieux qu'lui ses intérêts. Un soir donc lâchement on tira sur la bête Qui toute sanglante revint s'étendre auprès des chenets. Alors le vieux Butaud saisit sa cartouchière. Il arma son fusil en grondant "- Assassins !" Mais Pataud fit entendre une plainte légère, Et le vieux en pleurant se pencha sur son chien Et comme la bête semblait lui dire " - Achève-moi" Le bonhomme à genoux fit un signe de croix : Mon vieux Pataud nous sommes trop bêtes Pour comprendr' quéqu'chose à la loi. Finissons-en, la charge est prête : Un coup pour toi un coup pour moi. Pataud on va partir ensemble Au pays d'où qu'personn' ne r'vient. Mon Dieu, mon Dieu, tout d'même j'en tremble. Pardonn' moi Pataud tiens toi bien... Et c'est comme ça qu'l'on vit doucement dans les cieux Monter l'âme d'un chien avec l'âme d'un gueux. |
Déposé par ovanek le 25/11/2014** Ma douceur ** Toi mon être de douceur, qui m'a donné tant de bonheur, toi, qui réchauffais mon cœur dans mes moments de pleurs. toi mon être de douceur, tu as enrichis ma vie, de souvenirs tellement jolis, inscris dans le livre de ma vie. toi mon être de douceur, toi, l'ami fidèle pour toujours, celui qui ne trahi jamais, quelque soit le parcours. Après un dernier regard, qui m'enlevait mon dernier espoir, tu m'as donne un dernier baiser, comme pour me dire, je dois te laisser. Tu es parti doucement ,et j'ai revu tous nos moments, te voilà envolé, vers cette fameuse éternité. Va mon cœur mon bonheur, tu as gagné ta place au paradis, et si jamais tu croise un ange, laisse toi donc emporté, toi mon être de douceur, n'oublies jamais que je serais toujours la pour toi. un jour tu verras, je reviendrai auprès de toi. ** je t'aime ...Phil ** |
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