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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
50 bougies
77399 Fleurs
Déposé par patetfripouille Je vous remercie de votre message et de tous vos bouquets. En pensées pour vous je vous souhaite un bon rétablissement. Amicales pensées. Amitiés. Je vous embrasse. Patricia. Déposé par nounours PLEIN DE PAPOUILLE SUR TON PETIT MUSEAU ET VEILLE BIEN SUR TA MAMAN QUI A TANT BESOIN DE VOIS TROIS .....AMITIE MA PTITE MARIE..... Déposé par Arlene Pour toi joli Punky douces caresses de notre part , Max, Dandy et les terriennes Fiona, Su-shy et maman Arlène |
5640 messages
Déposé par rafia le 23/01/2015Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons, au petit vent du soir, au coeur de l'été chaud. Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour, à la main qui serre votre main. Car demain, mais n'y pensez pas, demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours. Tenez-vous serrés, ne vous endormez pas sur un reproche non formulé, endormez-vous réconciliés. Vivez le peu que vous vivez dans la clarté. Julos Beaucarne |
Déposé par mindy le 23/01/2015A toi qui as perdu un être qui t'était cher, Retiens les souvenirs qui t'ont tant fait frémir, Tu déplores ta tristesse, tu maudis l'éphémère, Tu rêves de sa main pour pouvoir la tenir, Il entame une autre ère comme on joue un prélude, Regarde autour de toi même si tu ne le vois pas, Offre-lui quelques mots malgré les habitudes, Ressens donc sa présence car son âme est vers toi, Les ailes lui ont poussé, il est devenu ange, Bien heureux et posé il guidera tes pas, Il veut te sentir bien, que surtout rien ne change, La mort des âmes n'est pas, écoute le tout bas, Il viendra te trouver sous forme déguisée, Et malgré son absence, il va te soutenir, Il te lance un message, celui de continuer, Sur le chemin de la vie il veut te voir sourire.. |
Déposé par choupinou le 23/01/2015Souvenir. En vain le jour succède au jour, Ils glissent sans laisser de trace ; Dans mon âme rien ne t'efface, Ô dernier songe de l'amour ! Je vois mes rapides années S'accumuler derrière moi, Comme le chêne autour de soi Voit tomber ses feuilles fanées. Mon front est blanchi par le temps ; Mon sang refroidi coule à peine, Semblable à cette onde qu'enchaîne Le souffle glacé des autans. Mais ta jeune et brillante image, Que le regret vient embellir, Dans mon sein ne saurait vieillir Comme l'âme, elle n'a point d'âge. Non, tu n'as pas quitté mes yeux ; Et quand mon regard solitaire Cessa de te voir sur la terre, Soudain je te vis dans les cieux. Là, tu m'apparais telle encore Que tu fus à ce dernier jour, Quand vers ton céleste séjour Tu t'envolas avec l'aurore. Ta pure et touchante beauté Dans les cieux même t'a suivie ; Tes yeux, où s'éteignait la vie, Rayonnent d'immortalité ! L'ombre de ce voile incertain Adoucit encor ton image, Comme l'aube qui se dégage Des derniers voiles du matin. Du soleil la céleste flamme Avec les jours revient et fuit ; Mais mon amour n'a pas de nuit, Et tu luis toujours sur mon âme. C'est toi que j'entends, que je vois, Dans le désert, dans le nuage ; L'onde réfléchit ton image ; Le zéphyr m'apporte ta voix. Tandis que la terre sommeille, Si j'entends le vent soupirer, Je crois t'entendre murmurer Des mots sacrés à mon oreille. Si j'admire ces feux épars Qui des nuits parsèment le voile, Je crois te voir dans chaque étoile Qui plaît le plus à mes regards. Et si le souffle du zéphyr M'enivre du parfum des fleurs. Dans ses plus suaves odeurs C'est ton souffle que je respire. C'est ta patte qui sèche mes pleurs, Quand je vais, triste et solitaire, Répandre en secret ma prière Près des autels consolateurs. Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ; Tes ailes reposent sur moi ; Tous mes songes viennent de toi, Doux comme le regard d'une ombre. Comme deux rayons de l'aurore, Comme deux soupirs confondus, Nos deux âmes ne forment plus Qu'une âme, et je soupire encore ! Alphonse de Lamartin |
Déposé par colombine67 le 23/01/2015 L'AMI FIDÈLE Quand l'homme est seul, sur son chemin Et dans la vie, dans ce monde, seul, Pris de vertige, son cœur a faim, Alors il aime son épagneul Son chien fidèle, son "bon", "vieux", chien. Quand l'homme est sourd, s'il n'entend plus La vie, les cœurs, dans ce monde sourd, S'il n'entend plus l'écho des rues, Alors il aime son chien balourd, Qui vient lécher ses chants déchus. Si l'homme aveugle sentait les yeux Du chien qui guide ses pauvres pas Il y verrait un cœur joyeux Et deux soleils... Même sans cela, Ce chien, il l'aime, puisqu'ils sont "deux". Si l'homme muet pouvait châtier Sa déchirure et ses malheurs, Il chanterait son amitié A son chien vrai, son seul bonheur, Son grand ami plein de pitié. .... L'homme trop déchu, n'a pas crié ! ... Son chien, racé ou bien bâtard, Lèche son cœur, fruit oublié, Et ces caresses effacent le noir Qui tache l'âme de sa vie broyée. Par les lumières de ces yeux, bons, Levés vers lui, pleins d'amitié, Soumis, fidèles, l'homme vit les sons, La vie, la vue, pleins de pitié, De son " seul", mais... chaud compagnon. |
Déposé par mindy le 22/01/2015La nuit n’est jamais complète Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, Faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. (La nuit n’est jamais complète - Paul Eluard) |
Déposé par goulou50 le 22/01/2015Mon Ange, Aujourd'hui j'aimerais tant que tu sois encore avec moi, je sais que tu es parmi les étoiles et que de là-haut tu brille pour nous protéger, que tu es près de nous à chaque instant, que tu me donnes la force de surmonter ton absence. a chaque jour qui passe... ton absence se fait sentir très fort, quand j'ai le coeur lourd de tristesse, quand mes larmes coulent, je peux sentir tes baisers de papillon qui par tes Ailes d'Ange, tu viens me les sécher. avec ta douceur qui est la tienne... je sais que tu seras toujours là jusqu'au jour ou l'on se retrouveras... Je t'aime mon petit ange |
Déposé par colombine67 le 22/01/2015oi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches, Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ? Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches, Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas. J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés, J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés. Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée, Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer. Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave, Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler, J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave, Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler. Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs, Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal, Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes, J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal. Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants, Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour, C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant, J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour |
Déposé par colombine67 le 21/01/2015Donner c’est la plus belle des choses, donner ce qu’on a de meilleur en soi, donner son rire, sa joie de vivre, sa gaieté, son dynamisme, sa gentillesse, sa tendresse, sa douceur, son écoute, sa compréhension. On a tant de belles couleurs en soi qu’on peut offrir à l’autre, il suffit de tendre la main, de sourire, de dire un mot qui s’envole gracieusement vers l’autre et dépose sur son cœur un arc en ciel, une fleur, une petite lumière, un soleil, une étoile… Recevoir…. Quelle chose délicieuse ! Notre cœur se met à chanter, à danser et on est heureux. La vie devient belle et on se met à danser ! Donner et recevoir sont des mots inséparables, de vrais amis qui ne marchent pas l’un sans l’autre. Il faut le savoir et ne pas l’oublier…. |
Déposé par mindy le 20/01/2015Je marchais à l’épicerie, pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture. Je n’avais pas faim. La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive. Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs. Il venait souvent avec moi et, presque à chaque fois, il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose. Je savais ce qu’il planifiait. Tout à coup, je l’apercevais, marchant dans l’allée, avec trois roses jaunes dans sa main. Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes. Subitement, le cœur rempli de chagrin, je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir. Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant. Magasiner, pour un, prenait du temps… Un peu plus de temps qu’il n’en prenait pour deux! Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait et me suis souvenue à quel point il aimait son steak. Soudainement, une femme approcha tout près de moi. Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte. Je la regardais alors qu’elle prenait, dans ses mains, un gros paquet de T-Bones. Elle le déposa dans son panier, hésita, et le remit dans le comptoir. Elle se tourna pour partir, mais décida de reprendre le paquet de steaks. Elle s’aperçut alors que je la regardais, et, en souriant, elle me dit : mon mari adore les T-Bones, mais, honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine! Ravalant l’émotion, je rejoignis ses yeux bleus et lui dit: mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours. Achetez-lui les steaks! Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble! Elle secoua la tête. Lisant l’émotion dans ses yeux, elle reprit le paquet, le déposa dans son panier, et partit. Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers. J’étais là me demandant quel format me procurer. Je décidai pour le demi-litre et, ensuite, poussai le panier vers l’allée de la crème glacée. S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée. Je déposai la crème glacée dans mon panier, et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses. J’ai vu la robe verte en premier, puis j'ai reconnu la jolie femme s’approchant vers moi. Dans ses bras, elle portait un paquet. Son visage affichait un sourire magnifique. J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds. Alors qu’elle s’approchait de moi, j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains, et mes yeux ne purent s’empêcher de s’emplir d’eau. Ceci est pour vous, me dit-elle, en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras. Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées. Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau. J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire, ce que les roses représentaient. Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner, les larmes brouillant ma vision… J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert les trouvant presque irréelles! Comment pouvait-elle savoir? Soudainement, la réponse m’apparut clairement. Je n’étais pas seule. Tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas? J'ai chuchoté ceci, les larmes aux yeux! Il était encore ici, avec moi, et elle était son ange. (source internet canadienne : « chez maya ») |
Déposé par choupinou le 20/01/2015Je suis sortie ce soir, seule, sous l'ombre troublée, à travers la pluie du miroir, aux larmes de mes pensées. Pour attraper un peu de toi, je n'avais plus qu'à me cacher, sous ce parapluie noir d'émoi et laisser les gouttes m'inonder. C'était pas il y à demain... C'était pas, il y des mois... Le temps est une traine de toi, qui oublie la pluie sans fin. Il transporte les rivières. Transforme les torrents d'hier. Déverse ses larmes aux abois, qui dégoulinent à soif de toi. Sur l'horizon blême, au ciel sans but même. Cachée sous l'ombrelle, j'écoute la pluie ruisselle. C'était pas il y a des heures... C'était pas il a des siècles... Le temps de toi qui passe, me traine tant qu'il me glace. Sur mes joues de chagrin, il pleut de toi sans fin. J'entends pleurer la pluie, en silence dans la nuit. Je n'avais plus qu'à me fondre, sous cette ondée de tristesse. Me décomposer et me confondre, en pluie de larmes caresse. Myriam Ghibaudo douces pensées |
Déposé par colombine67 le 20/01/2015Crois-tu que le monde peut changer ? Un guide dit à son élève : Lorsque l’ombre du tournant, de la colère et de la révolte te recouvre l’esprit, avance vers elle, va dans son épicentre. Il l’invite à entrée dans un tunnel et à aller découvrir ce qu’il y a à l’autre extrémité. Dans ce tunnel, une paix intérieure et extérieure se fait ressentir. Ensemble, ils traversent un tunnel de couleur rouge, bleu et jaune où la joie d’un retour à la maison se fait ressentir dans l’âme de l’élève. Le guide demande à l’élève de s’asseoir sur un banc, et s’assit face à lui. Il attend un moment en silence. Et dit à l’élève : Crois-tu que le monde peut changer ? L’élève ne sachant pas quoi répondre reste silencieux. Il répète sans aucune émotion : Crois-tu que le monde peut changer ? En ayant envie de pleurer, l’élève lui fait non de la tête. Et lui répond qu’il ne peut pas savoir. Le guide reprend : Sais-tu que le monde peut changer ? Complètement déstabilisée, l’élève lui dit : cela me paraît impossible, A cet instant, il avait le sentiment de perdre son plus beau rêve. Aimerais-tu que le monde change ? L’élève ne sait et n’ose toujours pas lui répondre. Il est invité à se lever et à continuer le chemin. Le guide s’arrête et ramasse la graine d’un arbre, la met dans le creux de sa main de laquelle émane une lumière et demande à l’élève de regarder la graine. L’élève constate que la graine est lumineuse elle aussi, elle respire, un coeur bat en elle, elle est vivante. En même temps sur les murs apparaissent deux images en face à face. A gauche, l’image d’un très vieil arbre datant du début de la végétation terrestre à l’opposé un arbre minuscule et lumineux tous deux sont très beaux. Le guide me laisse contempler les deux images et dit à l’élève en montrant le plus vieil arbre : Cet arbre a changé. La graine que je tiens dans la main est la vie de chacun d’eux. Pour chacun, il s’agit de même graine. Ce qui était grand est devenu petit. Le monde peut changer, lorsque la source de son cœur ne sera plus tarie pas le désespoir, lorsque de son cœur ruissellera l’humilité. Comme cet arbre immense s’est transformé, et est devenu petit, l’homme devra se transformer et devenir petit, non pas petit de l’âme et du cœur, mais petit dans son orgueil et son égoïsme. De la graine qu’il tenait dans la main, sortit un bel arbre feuillu, il était petit mais ressemblait à un grand chêne vert, l’élève avait l’impression que l’arbre était très vieux et très grand, pourtant il le tenait dans la main. (L’élève était très grand par rapport au chêne, pourtant le chêne était plus grand que lui) Le guide lui dit alors : Rappelle-toi, de l’infiniment petit, naît l’infiniment grand, de l’atome est née la vie, de la poussière est née la matière. L’environnement s’illumina d’un soleil très doux. Il continua : sans la lumière, sans la foi, il n’y a pas de vie possible, il n’y a pas d’évolution possible. Crois-tu que le monde peut changer ? L’élève n’ose pas lui dire oui et je reste silencieux. Il lui montre un petit tas de cendre qu’il tient dans la main et lui dit : Cela était une forêt, et en silence, il souffle sur les cendres afin qu’elles se dispersent dans l’espace. Il montre sa main vide à l’élève et lui dit : Que vois-tu ? L’élève lui répond qu’il ne voit rien. Il lui montre alors un grain de poussière et lui dit : De cette poussière renaîtra l’arbre, de l’arbre renaîtra la forêt, de la forêt renaître la terre, de la terre renaîtra l’homme. Que chaque homme se place à l’état de poussière. Crois-tu que le monde va changer ? Si l’homme comprend que d’un grain de poussière peut renaître une forêt, il prendra soin de tout ce qui plus petit autour de lui. Face, au plus petit, il se fera encore plus petit, jusqu’à s’oublier lui-même. Le monde alors renaîtra. De l’infiniment grand, naîtra l’infiniment humble, de l’infiniment humble naîtra l’espoir de l’homme et la vie terrestre. Il reprend « Crois-tu que le monde peut changer ? » Il l’invite alors à repartir et lui demande de méditer sur tout ce qu’il a entendu. Et lui fait signe en lui disant de « toujours se placer dans une position d’humilité » De toujours rester petit. Pour devenir grand. |
Déposé par colombine67 le 19/01/2015Je suis mort sans nom Un long mais superbe texte, très émouvant.... Je suis mort sans nom Sans une marque d’affection… Je ne connais la définition Du mot humain émotion Que par la douleur de l’abandon. J’ai attendu si longtemps, D’hivers glaciaux en printemps, Un rayon d’espoir, et souvent Pétrifié dans le silence et le temps, J’ai voulu fuir ce tourment. Seul et apeuré dans ma cage, Je m’accrochais à ce mirage… De votre sourire, de votre visage Qui m’ont apporté courage L’instant d’un ciel sans nuage… Je me suis habitué à la faim, Au froid, à la peur du lendemain. Mais jamais, je le crains, De ne pas connaître enfin Le plaisir de lécher votre main. Mon corps martyrisé N’en pouvant plus de lutter, À bout de souffle et de fierté, C’est sans bruit et sans dignité Que je vous ai quittés. Une seule caresse aurait suffi À me permettre, sans bruit, De quitter mes amis. Qui encore aujourd’hui. Vous appellent dans la nuit. Je ne vous en veux pas De n’avoir entendu mon désarroi. J’avais pourtant en moi, Au fil des jours et des mois, La confiance, l’espoir et la foi. Même si j’ai hurlé dans la nuit, Tandis que mourraient mes petits, La souffrance et la maladie Ont eu raison aujourd’hui De mon instinct de survie. |
Déposé par poutounou le 18/01/2015L'arbre de la tolérance * Pour toi, bel Ange… * Quels mots veux-tu que j'apprivoise pour toi aujourd'hui ? Pendre, prendre, prétendre Ils sont bien trop enferrés aux boulets de la vanité * Prévaloir, pouvoir, avoir Ceux-ci vivent leur deuil Au fond des prisons d'orgueil * Imposer, condamner, spéculer Tous sont opprimés Dans les étaux de la cupidité * Pour toi j'apprivoiserai plutôt les mots Ecouter, respecter, partager Et si c'est leur préférence Je leur offrirai les fleurs de la tolérance * Pour toi, j'apprivoiserai plutôt les mots Apprendre, comprendre, entendre Et si c'est leur volonté Je leur offrirai les branches de l'humilité * Pour toi, j'apprivoiserai surtout les mots S'ouvrir, sourire, offrir Et si c'est pour toujours Je leur offrirai l'arbre d'amour |
Déposé par ovanek le 17/01/2015❤ ❤ ❤ L'Histoire! Cette compilation incertaine de notre fugitive apparition sur ce globe de sang et de boue! L'Histoire! que nous pouvons à peine écrire quand nous en sommes les contemporains; nous qui voulons citer les siècles dans nos pages mensongères; nous qui voulons deviner les mystères de la nature, et le dernier secret de Celui qui l'a créée!!! Et nous mettrions de l'importance à quelque chose, nous qui sommes nés d'hier, qui mourrons demain, nous qui foulons une terre qui périra comme nous? et qui écrivons quelques pages de notre histoire; tandis que toutes les pages de la vie sont déchirées, que le grand livre de l'univers sera lui-même effacé, et qu'il ne restera plus que l'immensité du néant! Comment expliquer l'attrait qui nous pousse à laisser un souvenir sur des débris et parmi des ruines? L'homme a donc un penchant à disputer quelques dépouilles à la mort, à déposer quelques traces de lui-même, à propager des pensées qui furent contemporaines de son passage dans la vie.. Il espère que ses écrits lui survivront de quelques jours: il aime à lutter avec le néant. ❤ ❤ ❤ |
Déposé par rafia le 17/01/2015A vs qui souffrez de la perte de votre Amour//canin A vs qui souffrez Qui êtes au bord du gouffre A vs qui ne voyez plus rien Si ce n'est ce vide ou ce trop plein. A vs qui êtes si seul//e Et que votre malheur Personne ne remarque Tandis que filent les heures. A vs qui voudriez hurler Afin que quelqu'un vs entende "Que l'on me rende mon Amour/canin Et sans remettre à demain." A vs qui pleurez Toutes les larmes de votre coeur Sans connaître le moindre répit En maudissant votre vie. A vs qui ne voudriez exister Que pr votre cher//e disparu//e retrouver. J'aimerais vs dire : Faites silence.....écartez votre raison....laissez galoper votre imagination...et écoutez votre coeur... Là, vs entendrez une petite flamme qui vit, palpite...vs habite. Une petite flamme qui ne demande qu'à vs rassurer....tendez bien l'oreille...laissez la place à la déraison... Ecoutez-La....elle vs dira combien elle vs aime, combien vs lui manquez... Laissez votre âme accueillir ce doux bonheur...savourez-le, sans modération... Car c'est votre Amour/Canin qui vit en vs, blotti ds votre coeur...et ne veut surtout pas vs voir malheureux//se. ********************* Avec toute ma bien sincère Amitié. Maryem, votre amie. |
Déposé par colombine67 le 16/01/2015Il était triste le petit chien Assis tout seul dans le chemin. Il regardait les gens passer Et ses yeux étaient mouillés. Oh, bien sûr on le caressait En passant...mais on repartait, Et jamais on ne demandait Au petit chien du chemin ... La cause de son chagrin. Il était triste le petit chien Abandonné dans ce chemin Par d'innommables vacanciers Partis Dieu sait vers quelle contrée ! Il était triste le petit chien. Alors, je me suis approchée, J'ai pris sa tête entre mes mains Et je l'ai consolé. On a parlé longtemps tous les deux : Lui, avec ses yeux, Moi, avec mes mains Qui le caressaient. Je lui ai demandé S'il voulait être mon petit chien. Il m'a léché la main, Il a remué la queue. Et on est repartis tous les deux, Par le grand chemin, Moi et mon petit chien. |
Déposé par poutounou le 15/01/2015Mon hiver * Mon hiver est parfumé De cendres, de feux de cheminées, D’encens et de lavande pour tous mes enrhumés... Mon hiver est beau, De blanc et de glace, De givre sur les arbres, De palais transparents. Mon hiver je l’entends Grincer dans les branches, Craquer sous mes pas, Souffler dans les ruelles... Je colle mon nez à la vitre Mon hiver est buée A nouveau il m’invite, à me recroqueviller. * Veronik Leray |
Déposé par ovanek le 15/01/2015❤ ***** L'étoile qu'incarne ton être fait briller mes yeux chaque fois que je te regarde L'amour que tu m'envoies me fera vivre une éternité *** Je t'aime *** ❤ |
Déposé par larrydoudou le 15/01/2015Il était notre ami , notre compagnon d'aventure Le confident de nos doutes , le copain qui rassure Il a traversé notre vie de sa gentillesse Se contentant d'un sourire , d'un mot doux , d'une caresse Tant de balades sous la pluie , dans le vent A l'abri du soleil sous les feuillages chantants Aujourd'hui notre cœur saigne de son départ Nous avions encore tant à faire nous , les inséparables Devant notre feuille , sous le poids de notre plume nous étouffons nos cris Nous trébuchons sur les lettres nos yeux remplis de pluie Dans un endroit charmant , entre deux arbres , à présent il dort Là où les oiseaux chantent et veillent sur sa mort Il était notre ami , notre chien , notre plus beau cadeau de NOËL Il nous plaît à penser , que maintenant , il gambade dans le ciel A un être d'exception avec tout notre amour |
Déposé par spanky le 15/01/2015Personne ne te remplacera... Dans mon coeur toujours tu seras... Je ne passe aucune journée Sans que tu ne sois dans mes pensées... Je n'aime que toi, J'ai besoin de toi... Personne ne peut m'apporter Ce que tu as su me donner... Plus que tu ne crois, Mon amour n'est désormais que pour toi... Je suis perdue, vois-tu, je suis noyée, inondée d'amour; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je respire, si je parle; Tout ce que je sais c'est que je t'aime. |
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