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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
61 bougies
76566 Fleurs
Déposé par rafia Hier au soir, je n'ai même pas pu vs fleurir...alors ce soir j'espère que vs aurez mes bouquets Déposé par rafia Hier au soir, je n'ai même pas pu vs fleurir...alors ce soir j'espère que vs aurez mes bouquets Déposé par rafia Bien involontairement..je recommence à effectuer des expéditions en double exemplaire |
5609 messages
Déposé par nounours le 31/12/2014. ........................ADIEUX 2014................ . Là ou l'année se termine commence une Nouvelle Année avec de nouveaux rêve et espérance les plus audacieux que cette Années nous garde en bonne santé et nous permet de réaliser un avenir meilleur..... Je te souhaite une Année pleine de bonheur et de belles surprises sans oublier plein de Nonosse pour toi sans oublier des jours ensoleillés si ce n’est pas dans le ciel cela sera dans ton cœur et aussi dans celui de ceux qui ton aimés................. . ......................BONNE ANNEE 2015.................. . ........................AMITIE A MAMAN........................ . |
Déposé par mindy le 31/12/2014Un petit ange part, Un petit ange vient, Et pour un ange qui part, Une étoile devient. Là-haut, bercé par les nuages, Sa maison n’est maintenant Plus qu‘une fleur en voyage, C’est une rose évidemment. |
Déposé par colombine67 le 31/12/2014Le 31 décembre sonne l’heure où douze mois se meurent. Le 1er janvier et une renaissance pour chacun et chacune. Le 1er janvier est le printemps de la vie… espérons que l'année 2015 soit meilleur et qu'elle nous réserve du bonheur, de la chance et surtout une bonne santé |
Déposé par lili2248 le 30/12/2014Il était une fois….. * Il était une fois un chien Qui cherchait une main. Une main chaude et douce, Qui le caresserait de la tête aux reins. * Partout il chercha cette main. De l’aube à l’aurore, du soir au matin, Sur tous les chemins ; Mais nulle part de douce main. * Il tomba dans le chagrin. Mille larmes coulaient de ses yeux de chien. Il pleura et pleura longtemps, Mais rien, toujours pas de douce main. * « Médor, Médor »… Réveille-toi mon chien ! Un frisson le parcourut de la tête aux reins… La voilà la douce main qui fait tant de bien. * Plus de larmes, plus de chagrin. Ce n’était qu’un mauvais rêve ; Un vilain rêve de chien… Tout est bien qui finit bien. |
Déposé par colombine67 le 30/12/2014 Ami Au combien sur le chemin, l'Ami est un bien précieux. Dans la douceur et la chaleur de sa présence nous trouvons vraiment la force de Vivre notre chemin. Mais une véritable Amitié n'est pas facile à trouver, car elle doit se vivre dans la plus belle et grande transparence. Lorsqu'on a la chance de la rencontrer, de la vivre, on voit alors naître dans notre coeur la plus jolie des fleurs, et dans son calice de lumière on peut trouver la clef d'un monde merveilleux, un monde où les larmes de la Vie se cristallisent en poésie. Puissiez-vous connaître ce bonheur! Mais si un jour la Vie dépose dans votre cœur, une pluie acide et fait souffrir puis mourir cette fleur que vous chérissiez tant, puissiez-vous voir à travers cet étrange présent qui n’est pour vous que profondes et grandes douleurs, la plus belle de Ses offrandes. Car si un vent glacial emporte cette fleur vidée de sa substance, et forme ainsi un éclat, il vous ouvre aussi la plus lumineuse des portes. Alors puissiez-vous sentir dans votre coeur, au delà de vos souffrances, la présence toujours vivante de votre Ami, la présence de votre Amour pour Lui ! Puissiez-vous vous laisser remplir de cet Amour et vous inonder en Lui, et ainsi pouvoir franchir cette Porte. Car à l’intérieur, là où cette Fleur a offert toute son essence, vous découvrirez le plus beau des fruits : un Fruit de Lumière ! le Fruit de l’Amen ! Puissiez vous connaître ce grand et profond bonheur! Puissiez-vous un jour parvenir à Le cueillir et vous délecter de Son grand festin, dans un retour vers le UN ! |
Déposé par colombine67 le 29/12/2014Les Amitiés au fil de la Vie Les amis entrent dans notre vie pour une raison, une saison ou la vie entière. Si nous arrivons à déterminer pour chaque rencontre si nous l'avons faite pour une raison, une saison ou la vie, alors nous saurons comment réagir envers elle. Celui qui passe dans notre vie pour une RAISON… C'est généralement pour combler un besoin que nous exprimons consciemment ou non. Il est là pour nous aider à traverser des difficultés, pour nous fournir des pistes ou nous guider et soutenir, pour nous aider physiquement, émotionnellement ou spirituellement. Il peut nous apparaître comme une aubaine et cela en est une! Il est là parce que nous en avons besoin. Un jour, sans que nous n'y ayons pas la moindre part de responsabilité, cette relation fera ou dira quelque chose qui brisera le lien. Peut-être mourra-t-elle ou partira-t-elle, peut-être agira-t-elle de telle manière que nous ne pourrons continuer à cheminer à ses côtés. Ce que nous devons réaliser alors, c'est que notre besoin a été comblé, notre désir satisfait, qu'il n'y a plus de raison de cheminer ensemble et qu'il devait être temps de se séparer. Celui qui entre dans notre vie pour une SAISON… Parce que notre tour est venu de partager, d'évoluer ou d'apprendre. Il nous apporte un sentiment de paix, ou nous fait rire. Il se peut qu'il nous fasse découvrir quelque chose de nouveau, ou nous fasse faire quelque chose dont nous nous sentions incapable? Celui-là nous apporte généralement une somme immense de joies. Mais ce n'est que pour une saison! Ceux qui sont là pour la VIE ENTIÈRE Ceux-là nous forgent pour la vie, nous aident à construire nos base émotionnelles. Notre tâche est d'accepter les leçons, d'aimer et de mettre ce que nous en avons reçu et appris dans les autres relations qui émaillent notre vie. On dit que l'amour est aveugle, l'amitié, elle, est clairvoyante. Merci de faire partie de ma vie! Arrête-toi là, un instant et sourit! Dans tous les cas: Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent, aime comme si tu n'avais jamais été blessé(e) et danse comme si personne ne te regardait ? |
Déposé par poutounou le 28/12/2014Il était une fois….. * Il était une fois un chien Qui cherchait une main. Une main chaude et douce, Qui le caresserait de la tête aux reins. * Partout il chercha cette main. De l’aube à l’aurore, du soir au matin, Sur tous les chemins ; Mais nulle part de douce main. * Il tomba dans le chagrin. Mille larmes coulaient de ses yeux de chien. Il pleura et pleura longtemps, Mais rien, toujours pas de douce main. * « Médor, Médor »… Réveille-toi mon chien ! Un frisson le parcourut de la tête aux reins… La voilà la douce main qui fait tant de bien. * Plus de larmes, plus de chagrin. Ce n’était qu’un mauvais rêve ; Un vilain rêve de chien… Tout est bien qui finit bien. |
Déposé par ovanek le 28/12/2014*** Je suis la *** Toi qui est là, ne pleures pas devant ma pierre..... Je n'y suis pas et je ne dors pas... Je souffle dans le ciel, tels un millier de vents, semé de fleurs je suis l'éclat du diamant sur la neige, et je scintille pour toi..... Je suis le soleil sur les champs de blé, qui rayonne dans tes yeux je suis la pluie, la douce pluie d'automne....celle qui t’étonne Toi qui est là, ne pleures pas devant ma Mémoire, car je suis la à tes cotés tout près de toi et à jamais je suis au plus profond de ton cœur **** Ton fidèle **** |
Déposé par colombine67 le 28/12/2014Souvenir J’espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir En osant te revoir, place à jamais sacrée, O la plus chère tombe et la plus ignorée Où dorme un souvenir ! Que redoutiez-vous donc de cette solitude, Et pourquoi, mes amis, me preniez-vous la main, Alors qu’une si douce et si vieille habitude Me montrait ce chemin ? Les voilà, ces coteaux, ces bruyères fleuries, Et ces pas argentins sur le sable muet, Ces sentiers amoureux, remplis de causeries, Où son bras m’enlaçait. Les voilà, ces sapins à la sombre verdure, Cette gorge profonde aux nonchalants détours, Ces sauvages amis, dont l’antique murmure A bercé mes beaux jours. Les voilà, ces buissons où toute ma jeunesse, Comme un essaim d’oiseaux, chante au bruit de mes pas. Lieux charmants, beau désert où passa ma maîtresse, Ne m’attendiez-vous pas ? Ah ! laissez-les couler, elles me sont bien chères, Ces larmes que soulève un coeur encor blessé ! Ne les essuyez pas, laissez sur mes paupières Ce voile du passé ! Je ne viens point jeter un regret inutile Dans l’écho de ces bois témoins de mon bonheur. Fière est cette forêt dans sa beauté tranquille, Et fier aussi mon coeur. Que celui-là se livre à des plaintes amères, Qui s’agenouille et prie au tombeau d’un ami. Tout respire en ces lieux ; les fleurs des cimetières Ne poussent point ici. Voyez ! la lune monte à travers ces ombrages. Ton regard tremble encor, belle reine des nuits ; Mais du sombre horizon déjà tu te dégages, Et tu t’épanouis. Ainsi de cette terre, humide encor de pluie, Sortent, sous tes rayons, tous les parfums du jour : Aussi calme, aussi pur, de mon âme attendrie Sort mon ancien amour. Que sont-ils devenus, les chagrins de ma vie ? Tout ce qui m’a fait vieux est bien loin maintenant ; Et rien qu’en regardant cette vallée amie Je redeviens enfant. O puissance du temps ! ô légères années ! Vous emportez nos pleurs, nos cris et nos regrets ; Mais la pitié vous prend, et sur nos fleurs fanées Vous ne marchez jamais. Tout mon coeur te bénit, bonté consolatrice ! Je n’aurais jamais cru que l’on pût tant souffrir D’une telle blessure, et que sa cicatrice Fût si douce à sentir. Loin de moi les vains mots, les frivoles pensées, Des vulgaires douleurs linceul accoutumé, Que viennent étaler sur leurs amours passées Ceux qui n’ont point aimé ! Dante, pourquoi dis-tu qu’il n’est pire misère Qu’un souvenir heureux dans les jours de douleur ? Quel chagrin t’a dicté cette parole amère, Cette offense au malheur ? En est-il donc moins vrai que la lumière existe, Et faut-il l’oublier du moment qu’il fait nuit ? Est-ce bien toi, grande âme immortellement triste, Est-ce toi qui l’as dit ? Non, par ce pur flambeau dont la splendeur m’éclaire, Ce blasphème vanté ne vient pas de ton coeur. Un souvenir heureux est peut-être sur terre Plus vrai que le bonheur. Eh quoi ! l’infortuné qui trouve une étincelle Dans la cendre brûlante où dorment ses ennuis, Qui saisit cette flamme et qui fixe sur elle Ses regards éblouis ; Dans ce passé perdu quand son âme se noie, Sur ce miroir brisé lorsqu’il rêve en pleurant, Tu lui dis qu’il se trompe, et que sa faible joie N’est qu’un affreux tourment ! Et c’est à ta Françoise, à ton ange de gloire, Que tu pouvais donner ces mots à prononcer, Elle qui s’interrompt, pour conter son histoire, D’un éternel baiser ! Qu’est-ce donc, juste Dieu, que la pensée humaine, Et qui pourra jamais aimer la vérité, S’il n’est joie ou douleur si juste et si certaine Dont quelqu’un n’ait douté ? Comment vivez-vous donc, étranges créatures ? Vous riez, vous chantez, vous marchez à grands pas ; Le ciel et sa beauté, le monde et ses souillures Ne vous dérangent pas ; Mais, lorsque par hasard le destin vous ramène Vers quelque monument d’un amour oublié, Ce caillou vous arrête, et cela vous fait peine Qu’il vous heurte le pied. Et vous criez alors que la vie est un songe ; Vous vous tordez les bras comme en vous réveillant, Et vous trouvez fâcheux qu’un si joyeux mensonge Ne dure qu’un instant. Malheureux ! cet instant où votre âme engourdie A secoué les fers qu’elle traîne ici-bas, Ce fugitif instant fut toute votre vie ; Ne le regrettez pas ! Regrettez la torpeur qui vous cloue à la terre, Vos agitations dans la fange et le sang, Vos nuits sans espérance et vos jours sans lumière : C’est là qu’est le néant ! Mais que vous revient-il de vos froides doctrines ? Que demandent au ciel ces regrets inconstants Que vous allez semant sur vos propres ruines, A chaque pas du Temps ? Oui, sans doute, tout meurt ; ce monde est un grand rêve, Et le peu de bonheur qui nous vient en chemin, Nous n’avons pas plus tôt ce roseau dans la main, Que le vent nous l’enlève. Oui, les premiers baisers, oui, les premiers serments Que deux êtres mortels échangèrent sur terre, Ce fut au pied d’un arbre effeuillé par les vents, Sur un roc en poussière. Ils prirent à témoin de leur joie éphémère Un ciel toujours voilé qui change à tout moment, Et des astres sans nom que leur propre lumière Dévore incessamment. Tout mourait autour d’eux, l’oiseau dans le feuillage, La fleur entre leurs mains, l’insecte sous leurs pieds, La source desséchée où vacillait l’image De leurs traits oubliés ; Et sur tous ces débris joignant leurs mains d’argile, Etourdis des éclairs d’un instant de plaisir, Ils croyaient échapper à cet être immobile Qui regarde mourir ! Insensés ! dit le sage. Heureux dit le poète. Et quels tristes amours as-tu donc dans le coeur, Si le bruit du torrent te trouble et t’inquiète, Si le vent te fait peur? J’ai vu sous le soleil tomber bien d’autres choses Que les feuilles des bois et l’écume des eaux, Bien d’autres s’en aller que le parfum des roses Et le chant des oiseaux. Mes yeux ont contemplé des objets plus funèbres Que Juliette morte au fond de son tombeau, Plus affreux que le toast à l’ange des ténèbres Porté par Roméo. J’ai vu ma seule amie, à jamais la plus chère, Devenue elle-même un sépulcre blanchi, Une tombe vivante où flottait la poussière De notre mort chéri, De notre pauvre amour, que, dans la nuit profonde, Nous avions sur nos coeurs si doucement bercé ! C’était plus qu’une vie, hélas ! c’était un monde Qui s’était effacé ! Oui, jeune et belle encor, plus belle, osait-on dire, Je l’ai vue, et ses yeux brillaient comme autrefois. Ses lèvres s’entr’ouvraient, et c’était un sourire, Et c’était une voix ; Mais non plus cette voix, non plus ce doux langage, Ces regards adorés dans les miens confondus ; Mon coeur, encor plein d’elle, errait sur son visage, Et ne la trouvait plus. Et pourtant j’aurais pu marcher alors vers elle, Entourer de mes bras ce sein vide et glacé, Et j’aurais pu crier : ” Qu’as-tu fait, infidèle, Qu’as-tu fait du passé? ” Mais non : il me semblait qu’une femme inconnue Avait pris par hasard cette voix et ces yeux ; Et je laissai passer cette froide statue En regardant les cieux. Eh bien ! ce fut sans doute une horrible misère Que ce riant adieu d’un être inanimé. Eh bien ! qu’importe encore ? O nature! ô ma mère ! En ai-je moins aimé? La foudre maintenant peut tomber sur ma tête : Jamais ce souvenir ne peut m’être arraché ! Comme le matelot brisé par la tempête, Je m’y tiens attaché. Je ne veux rien savoir, ni si les champs fleurissent; Ni ce qu’il adviendra du simulacre humain, Ni si ces vastes cieux éclaireront demain Ce qu’ils ensevelissent. Je me dis seulement : ” À cette heure, en ce lieu, Un jour, je fus aimé, j’aimais, elle était belle. ” J’enfouis ce trésor dans mon âme immortelle, Et je l’emporte à Dieu ! Alfred de Musset, Poésies nouvelles |
Déposé par mindy le 27/12/2014Quelqu'un meurt, Et c'est comme des pas Qui s'arrêtent. Mais si c'était un départ Pour un nouveau voyage... Quelqu'un meurt, Et c'est comme une porte Qui claque. Mais si c'était un passage S'ouvrant sur d'autres paysages... Quelqu'un meurt, Et c'est comme un arbre Qui tombe, Mais si c'était une graine Germant dans une terre nouvelle... Quelqu'un meurt, Et c'est comme un silence Qui hurle. Mais s'il nous aidait à entendre La fragile musique de la vie... (Benoît Marchon) |
Déposé par colombine67 le 27/12/2014Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais réellement; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs les plus précieux. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 26/12/2014j'espère que tu as passé un joyeux Noël de belles surprises, des retrouvailles de bons moments en familles même si nos amours nous manquent ils sont toujours présent au fond de nos cœurs avec toute mon amitié Dominique |
Déposé par ovanek le 25/12/2014Fidèle *** je ne compte pas les jours, Les semaines et les années : car en mon cœur je t'emmène partout Là où tu aimais te promener Et partout où tu ne pouvais aller. Tu me manques parfois si cruellement Que je n'arrive pas à retenir mes larmes, Et la tristesse me ronge dans ces moments là. Mais je te sais auprès de moi, fidèle à jamais. Et mon Cœur sourit de ta présence *** je t’aime mon Chien *** …..Phil Joyeux Noël |
Déposé par lili2248 le 25/12/2014Et voilà Noël est arrivé!!!!! Très joyeux Noël petit amour, joyeuses fêtes avec tout plein de bonheur, de bonnes choses….. Je sais combien ce doit être magique Noël dans ton petit paradis, c’est super!!!! Enormes baisers, de la tendresse et de grandes et gentilles caresses pour toi merveilleux toutou De très bonnes fêtes également pour ta maman et toute sa petite famille Tendrement pour toi Ghislaine |
Déposé par tacholoula le 25/12/2014Pour ce Noël, je vous souhaite autant de bonheur qu’il y a de flocons dans le ciel, autant d’amour qu’il y a d’étincelles dans le feu d’une cheminée, autant de bonnes nouvelles qu’il y a d’aiguilles sur le sapin, et autant de chance qu’il y a de cadeaux dans la hotte du Père Noël !!! joyeux Noël la ta famille petite étoile pascale |
Déposé par zenelle le 25/12/2014À tous nos anges disparus. Encore un Noël sans toi Noël sans joie Et revoilà le temps des larmes qui revient J'entends le vent qui pleure au loin Je voudrais tant que tu sois là ! Noël sans toi Ce soir ma peine est de retour Les cloches sonnent dans la vallée J'entends les gens rire et chanter Moi, je suis seule encore une fois Noël sans toi Je reste seule avec ma peine Je voudrais tant que tu reviennes Noël sans toi Noël sans joie Il ne me reste rien, le bonheur s'est enfui Le feu s'éteint, tout est fini Et dans mon coeur, il fait si froid! Noël sans toi. Joyeux Noël à vos maîtres qui vous ont tant aimés. |
Déposé par lili2248 le 24/12/2014Noël arrive, tu ne seras pas près de ta maman, mais tu seras toujours aussi présent dans son coeur. Doux repos petit coeur parmi les anges de noël. Je t'envoie pleins de calins et de doux baisers. Merci pour tous vos gentils messages, moi aussi je vous souhaite de joyeuses fêtes et un très bon noël ainsi qu'à votre famille. Amitiés |
Déposé par nikita le 24/12/2014Ma maman d’amour Pour qu'au fond de tes yeux Fleurissent des étoiles Je veux pour toi, Maman Un Noël merveilleux ! Tendresse au rendez-vous, Et des rires joyeux Pour qu'au bord de tes yeux Ne viennent plus de larmes. Je veux que ce Noël Soit pour toi une trêve, Que de tendres couleurs Illuminent tes rêves Qu'enfin soient effacées La trace de tes épreuves "Je t'aime, ma maman !" Je serai toujours à tes cotés Ce soir de noël plus que jamais Ferme les yeux et tu sentiras ma présence Tout les jours c’est à toi que je pense Passe un bon et merveilleux Noel Je t’envoie mille bisous du haut de mon ciel Bisous parfumés de tendresse sur ta jolie frimousse mon beau prince PUNKY à partager avec ta maman d’amour et tout mes vœux de Noel avec des remerciements pour tous vos beaux messages pour ma jolie princesse NINA <3<3<3<3<3 C’est vrai que je ne viens pas souvent sur le site ,mais mes pensées vont toujours vers vous tous mes petits anges du paradis |
Déposé par goulou50 le 24/12/2014Noël sans toi Noël sans joie Et revoilà le temps des larmes qui revient J'entends le vent qui pleure au loin Je voudrais tant que tu sois là Noël sans toi Ce soir ma peine est de retour Les cloches sonnent dans la vallée J'entends les gens rire et chanter Moi, je suis sans toi encore une fois Noël sans toi Je reste seule avec ma peine Je voudrais tant que tu reviennes Et te serrer dans mes bras Noël sans toi Noël sans joie Il ne me reste rien, le bonheur s'est enfui Le feu s'éteint, tout est fini Et dans mon coeur, il fait si froid |
Déposé par choupinou le 24/12/2014il est une fois ,une petite boule qui devins transparente.Elle est suspendue a une jolie branche de mon petit sapin,la veille de Noel ,elle se mit a rayonner,une si belle lueur émané de celle-ci,je me suis approchée,et a l'intérieur j'ai aperçu une adorable petite tête qu'il me semblait reconnaître,elle est si fine cette petite silhouette ,est d'une beauté que je ne connaissais pas,qui n'avait rien avoir avec celle d'autrefois,je me suis encore avancée ,je me suis penchée et dans la magnifique petite boule se trouvait un si doux regard profond ,ses yeux étaient d'un éclat surprenant,limpide d'un brun fantastique,ils illuminaient la petite boule ,elle brillait de mille feux ce bel ange à l'intérieur je l'ai reconnu ,il m'est revenue,il est là pour moi,sa gueule a demi ouverte me souriait,ses yeux remplient d'amour luisaient,ils me regardaient tendrement,instant puissant,en même tant douloureux,enfermaient dans cette petite boule.Je pris cette petite boule dans les mains ,une douce chaleur sans dégage,elle réchauffe mon coeur,ma mélancolie s'en va,une chose extraordinaire se passe ,cette force qui me pousse en avant comme un grand coup de vent ,doux frisson,et dans un éclair qui me foudroie je te vois qui me dit de ton plus bel amour,JOYEUX NOEL, ne soit plus jamais triste, je suis comme tu vois auprès de ton coeur ,passe de bonnes fêtes ,soit heureuse et souriante comme je t'ai connu,ne t'en fait pas pour moi ,car là ou je suis tout est merveille ,nous avons un sapin plus que géant remplient de boules qui illuminent en ce moment le coeur de chaque maman et papa que nous avons laissé que provisoirement,nous seront tous ensemble chiens ,chats ,lapins ,chevaux et tous mes autres amis ,sans exception nous japperons, miaulerons,henniront...nous feront un beau concert qui parlera de vous ,nos plus belles histoires seront vous,nous sommes heureux...Noel sera magnifique aussi pour nous... Alors ne soit pas triste ,enlève ce costume de misère ,il ne te reflète pas,je sais que tu as les larmes aux yeux ,je les voient ,mais pour moi sèche ces petites gouttes d'eau qui roulent sur ta joue,sourit,c'est ce que je désire le plus au monde...La petite boule scintillante,brusquement s'éteignit laissant place a une petite boule aux couleurs rouge de l'amour et blanche comme mon petit ange qui coure maintenant dans les allées blanches du beau jardin. écrit de choupinou , JOYEUSES FETES |
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