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En hommage à
CANICHERingo
Il est né le:14/11/1999
Il nous a quittés le:03/08/2012
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En hommage à
Ringo
10 bougies
12120 Fleurs
Déposé par Pachkounet Tout plein de gratouillis pour ce bel ange, parti pour le Pays des Canoutoux .Repose en paix Ringo. Bon courage à ceux qui t'ont tant aimé. Déposé par ringo Tu n'étais pas du matin...pourtant dès que nous t'appelions, tu venais, tu savais que c'était l'heure de manger ! Et nous, nous savions que tu allais bien, tu me manques, la vie est insupportable Déposé par myriam31 Des milliers bisous dans ce joli bouquet parfumé pour toi petit ange qui sommeille parmi les anges , amitiés à tes maîtres Déposé par MARIE66 Comme je vous comprends ! Soit heureux petit Ringo au paradis des toutous. Tu ne seras jamais oublié sur cette terre. Douces caresses bel ange d'amour Déposé par eros122000 ce bouquet il t est offert par ton nouveau copain éros,doux repos parmi les etoiles |
957 messages
Déposé par ringo le 22/10/2012Mon bébé d'amour, Lors de la première consultation pour l'ostéosarcome, tu avais un noeud aux vertèbres, et ta vétérinaire, croyant que cela te faisait boitait - d'ailleurs après tu étais resté quelques jours sans boiter - t'avait massé, fait faire des étirements - elle disait que tu étais incroyablement souple - et avait tout doucement bouger ton petit cou de droite à gauche, de bas en haut. Il n'en avait pas fallu plus pour que tu le fasses seul : tu retournais le museau complètement derrière la nuque, et nous nous avions peur que tu te fasses mal, mais non, comme elle disait, tu avais appris à faire seul les exercices. Tu apprenais si vite, tu étais ou plutôt tu es, puisque pour moi tu vis toujours, tellement tellement intelligent! Nous te faisons des tas de bisous familiaux, comme on les aimait tant! Je t'aime mon coeur! |
Déposé par ringo le 20/10/2012Mon bébé d'amour, Je me souviens de tes crises d'épilepsie qui me faisaient si peur, heureusement jamais plus d'une par mois, la dernière datant du soir de Noel 2011. La première est arrivée chez ta deuxième toiletteuse : nous t'avions récupéré, elle nous a dit, je m'en souviendrai toujours : "vous auriez pu me dire qu'il faisait des crises d'épilepsie!", nous lui avions répondu : "mais on ne savait pas". Toute ta vie, tu as été traité par de l'épileptyl, un médicament aux plantes que nous distillions dans ta nourriture, qui marchait très bien. La vétérinaire nous avait dit de te tenir pendant ces crises pour éviter que tu te cognes, de ne surtout pas te parler, ou te toucher pour ne pas te stimuler, ton petit cerveau ne pouvant plus alors traiter les informations, et ça fonctionnait très bien : grâce à ces conseils, la crise ne durait pas et n'était que partielle : jamais tu ne perdais connaissance, tu tremblais un peu, tu vomissais et c'était fini. C'était comme des gros cauchemars. Mais à chaque fois, tu les sentais venir, et nous aussi parce que tu dormais beaucoup, toi si vivace. Je me souviens d'une en particulier, celle faite dans un RER à Paris : c'était en plein hiver, il faisait très froid : pour faire le "noir", j'avais retiré mon manteau, et nous l'avions mis sur ta tête. Nous avions eu très peur, parce que nous savions qu'elle ne passerait pas facilement en raison du bruit. Nous étions en colère contre un pompier à qui nous avions demandé de l'aide et qui nous avait dit de nous débrouiller, qu'il n'était pas vétérinaire. Quel abruti celui-là !! A partir de ce jour, les RER étaient finis, nous nous sommes toujours déplacés en bus. |
Déposé par ringo le 18/10/2012Je me souviens des bains mon amour : tu ne les aimais pas. Dès que maman te mettait dans la baignoire, tu me disais "Aurélie, sauve moi s'il te plait!". Tu mettais tes deux pattes sur moi pour que je te sorte. Le séchage était un peu plus apprécié, mais tout de même ce n'était pas le grand amour! Après par contre, à chaque fois, c'était une vraie crise de folie qui commençait, tu sautais partout, tu courrais autour de la salle à manger en remuant la queue, en ventilant, comme on disait: l'eau t'énervait. Du coup, à cause des crises d'épilepsie, nous étions obligés de te baigner le matin, c'était tellement bon de te voir jouer, te voir faire le foufou. Merci pour tous ces merveilleux moments mon coeur, pour tous ces souvenirs qui font sourire, les yeux plein de larmes. Et ce jour en mai dernier où du shampoing a coulé dans tes yeux et a provoqué un ulcère de la cornée à l'oeil gauche : nous avions eu si peur, nous avons tellement culpabilisé, d'autant qu'on se disait que ton petit corps ne pouvais pas tout mener de front : cet incident dont nous étions responsables et cet ostéosarcome de malheur. Mais après une semaine de traitement, tout était rentré dans l'ordre. Encore une fois, tu t'étais battu comme un chef ! Merci pour ce courage, cet amour qui persiste par delà la mort, puisque nous deux, nous trois, c'est pour l'éternité. |
Déposé par daphnee64 le 17/10/2012Je ne peux m'empêcher de vous mettre un petit mot. Tout d'abord pour vous remercier pour les fleurs sur la tombe de mon Tchao Ling, merci pour ce geste, cela me touche beaucoup, vraiment. Et puis votre Ringo... il me rappelle tellement ma Daphnée, caniche noire, disparue en juin 2004. La même... en noire !! La même !! Et tout comme vous, je me trouvais en Toscane ce mois d'août. Mon Tchao Ling n'était pas encore malade, mais je ne sais pourquoi, j'étais terriblement inquiète. Nous ne l'avions pas emmené avec nous, à cause de la chaleur incompatible avec son petit coeur. Il était donc chez son papy et sa mamie qui se battaient pour pouvoir le garder dès que nous partions :))) J'étais inquiète... A raison... mon retour me l'a prouvé. Et votre Ringo la frimousse dans le pot de yaourth faisant rrrrrrhhhhhh férocement... j'ai eu la même... à voir les photos de votre bonheur me renvoit à celui que j'ai perdu avec ma Daphnée... alors votre chagrin, je ne le comprends que trop bien. Courage à vous, courage. Nous vous soutenons. Bien amicalement. Véronique, la maman de Daphnée, Tchao Ling et d'un petit Hérode bientôt. |
Déposé par ringo le 15/10/2012Mon bébé d'amour, Je me souviens lorsqu'en avril, on a eu les résultats de cette biopsie de malheur, j'étais au trente sixième dessous, malheureuse comme jamais. Le lendemain, nous partions pour l'Italie, et sur une aire de repos, je me suis dit "je suis triste, il est malade, mais il est vivant, tellement vivant encore, il faut en profiter!". Et j'en ai profité les quatre derniers mois, j'ai mis ma thèse entre parenthèses, et crois-moi je ne le regrette pas, jamais je ne le regretterai, je refusais toutes les invitations pour être avec toi. Cette fameuse semaine en Toscane, je t'ai porté chaque jour, tu étais lourd du haut de tes six kg, mais je m'en moquais, j'étais prête à tout pour toi. Je me souviens que le vendredi dans le jardin à Collodi, tu t'étais amusé à aboyer sur les cygnes et les canards. On ne s'y attendait pas, on avait rigolé, c'était un moment tellement beau. Malheureusement, je n'avais pas la caméra sous la main, si tu savais combien je le regrette.je me souviens aussi du jour où on t'avait donné la boite à gâteaux pour jouer : au bout d'un moment, on ne t'écoutait plus, tu avais réussi à l'ouvrir et tu te léchais les babines, heureusement, on n'en mettait jamais beaucoup. Si j'avais su que tu partirais peu de temps après, je t'en aurais donné tant que tu voulais, cela aussi je le regrette. Je t'aime et te remercie pour tous ces bons moments, qui jamais ne s'effaceront de notre mémoire. Plein de bisous familiaux à toi Monseigneur. |
Déposé par ringo le 13/10/2012Je me souviens du jour où, regardant vidéo gag, je me suis exclamé "wouah le lapin" : tu as sauté pour le voir. Depuis dès qu'un animal apparaissait à l'écran, tu aboyais et voulait l'attraper. Il suffisait que tu entendent le générique de pub pour que tu te mettes à sauter. on rigolait toujours et on disait "de loin, tu fais le malin, mais de près, il n'y a plus personne!". Tout chez toi me manque, je suis tellement malheureuse depuis que tu es parti, mais je fais bonne figure, parce que je sais que tu n'aimais pas que je sois triste. Je t'aime mon bébé d'amour à l'infini pour l'éternité et je te fais des milliers de bisous familiaux que tu aimais tant. |
Déposé par monsieurringo le 10/10/2012Ce soir, je viens remercier tous ceux qui ont et viennent fleurir la tombe de notre petit chéri et qui nous envoient des messages. Cela remonte le moral de façon considérable. Merci à tous du plus profond du coeur, merci aussi à ce magnifique site. La maman de Ringo. |
Déposé par DivaBibi le 09/10/2012Loin des yeux loin du coeur!!!! Ce proverbe est bien menteur... car tu resteras dans le coeur de ta maîtresse pour toujours et ce jusquà ce qu'elle te rejoigne pour à nouveau et enfin te serrer bien fort TOUT CONTRE son coeur. ---- Douces caresses Monsieur Ringo, sois heureux au paradis blanc. |
Déposé par ringo le 08/10/2012Mon amour, Tatie a toiletté Hélios ce matin : évidemment, nous avons parlé de toi. Elle t'aimait beaucoup et nous a dit qu'elle avait beaucoup pleuré quand elle a appris que tu t'étais envolé pour de nouveaux horizons. Tu vois mon coeur tout le monde t'aimait : c'est normal parce que tu étais, et tu resteras adorable : une pure merveille, comme elle disait tout le temps. Je t'aime à l'infini, pour l'éternité et continue de veiller sur toi. Nous faisons des tas de bisous familiaux, comme on les aimait tant. |
Déposé par ringo le 03/10/2012mon coeur, Deux mois aujourd'hui que tu t'es envolé. Je me souviens de ce jour de février 2000 où tu es arrivé dans nos vies. J'étais en seconde ; Jean-Luc était allé te chercher à Champeix, tu était sorti de dessous le lit où tu te cachais avec tes frères et tu lui avait sauté dans les bras, c'était toi qu'il prendrait. Tu as fait tout le voyage sur ses genoux, et à quelques mètres de la maison, tu as vomi. Nous t'avons nettoyé...puis, maman ne voulant pas te donner de mauvaises habitudes, nous t'avons mis dans la cuisine. Tu pleurais, j'ai craqué, je t'ai pris dans le salon, mais sous les remontrances de maman, je t'ai remis un moment après dans la cuisine, le lendemain , même chose. Puis au bout de trois jours, elle a craqué aussi (il faut dire - c'est la seule bêtise que tu as faite - que tu avais déchiré le papier de la cuisine !), à partir de ce jour, tu as dormi dans la chambre, même dans le lit. Jamais je n'oublierai notre première rencontre, jamais je n'oublierai les 12 années qui l'ont suivie. Tu me manques ce soir, comme il y a deux mois, je t'aime mon coeur, je t'aimerai toute ma vie, j'espère que tu le savais. Je te fais des milliers de bisous partout mon bébé d'amour! |
Déposé par larrydoudou le 30/09/2012Joli petit cœur tu me fais penser à mon Doudou chéri qui me manque autant que tu manques à ta maman et à ta soeur J'espère que tu l'as rencontré et que vous vous amusez bien ensemble Doux câlins pour toi et amitiés à celles qui t'aiment tant |
Déposé par ringo le 29/09/2012Mon amour, Je t'ai vu cette nuit : tu a sauté dans le lit en remuant la queue (tu ventilais, comme nous disions toujours!), tu es venu faire des bisous d'abord à moi, puis à maman, si rapides et si langoureux que l'on sentait tes petites dents sur nos visages, comme il arrivait parfois quand tu étais encore avec nous. Tu t'es ensuite couché dans le lit, Hélios s'est mis à aboyer, on lui a dit d'arrêter et vous êtes regardé, comme d'habitude, toi, tu ne disais rien. Puis ton image s'est évaporée. C'était tellement bon, tellement réel, reviens vite s'il te plait. Je t'aime à l'infini, pour l'éternité. Jamais, jamais, je te le promets, je ne t'oublierai, toujours j'entretiendrai ta mémoire, je te fais des milliers de millions de milliards de bisous, mon petit coeur adoré. |
Déposé par ringo le 28/09/2012Bianco, tel était ton nom quand nous t'avons adopté à 3 mois, en référence à Bianca de Bernard et Bianca. Nous trouvions ça moche, et on a opté pour Ringo. Les surnoms n'ont pas manqué à partir de là : Riri, Crapulo (je ne sais plus pourquoi, mais Jean-Luc t'a toujours appelé comme ça, jusqu'au dernier jour), cracootte, quand j'étais en deuxième année de DEUG, parce qu'alors je mangeais beaucoup de cracottes au chocolat, crapaud, j'en passe des meilleurs. Plus récemment, c'était "Petit Prince", c'est Audrey qui l'avait trouvé en Italie en avril, parce qu'elle disait que tu étais choyé comme un prince, ou encore Monsieur Ringo, Ma Merveille, Monseigneur. Sans compter mon petit chéri, mon bébé d'amour, mon coeur. Je me souviens que quand tu étais dans une pièce à côté, il suffisait que je t'appelle, en faisant semblant de pleurer, comme si je t'avais perdu pour que tu reviennes en courant, grattant pour me faire des bisous : "ne t'inquiète pas, je suis là, je ne t'abandonne pas, je t'aime!". Je t'aime moi aussi mon amour comme je n'ai jamais aimé, comme il n'est pas possible d'aimer. Plein de calins et de bisous, mon petit coeur. |
Déposé par monsieurringo le 27/09/2012Mon petit chéri, Demain, il y aura huit semaine que tu nous a quitté. A 17h45, tu étais dans les bras de ta soeur, tu nous a regardé, comme pour nous dire adieu. Tu nous as fait comprendre que tu nous aimé énormément, en te battant férocement jusqu'à la dernière seconde. Nous t'avons descendu à la clinique, et j'espérais qu'il pourrait tenter l'acte de la dernière chance, mais c'était trop tard. Nous n'avons pu alors retenir nos larmes et nos cris, c'était très douloureux. Mon chéri, je t'aime très très très fort, jamais je ne t'oublierai, ainsi que ta soeur, qui n'arrête pas de pleurer, espérant que tu reviendra. Tu es dans notre coeur pour toujours, tous les jours nous parlons de toi. Autour de ton urne, ta plante préférée, de ton album photo et des jouets préférés. Heureusement, nous avons les vidéos pour te voir vivre, c'est comme si tu étais encore là en chair et en os. Tu as été un merveilleux toutou, tu es pour l'éternité mon amour. Plein de gros bisous, des milliers et des milliers sur ta petite truffe. A demain mon chéri. |
Déposé par ringo le 25/09/2012Partout où tu n'avais pas le droit d'aller, nous n'y allions pas non plus. Tant de sacrifices qui n'étaient pas pensés comme tels : il n'y avait que toi qui comptait pour nous. A la découverte de ta maladie, j'ai arrêté ma thèse pour pouvoir profiter de toi, passer le plus de temps possible avec toi, je ne regrette pas, jamais je ne le regretterai, je te le devais bien. Je t'aime tant, mon petit coeur, à l'infini, pour l'éternité. Je te fais plein de bisous, des bisous familiaux comme nous avions l'habitude d'en faire. |
Déposé par ringo le 23/09/2012Mon bébé d'amour, Je n'arrive toujours pas à croire que plus jamais nous te reverrons, j'ai l'impression qu'il suffit qu'on aille te chercher pour que tu reviennes, je t'aime tant. je me souviendrais toujours de tes yeux la dernière journée, tu savais que tu allais partir, tu savais que les forces de quittaient et tu nous captaient du regard, comme si tu voulais graver à jamais notre image en toi, et juste avant de mourir, tu semblait nous dire "au revoir, je vous aime tant, j'aimerais tant rester près de vous, mais je ne peux plus me battre". Tu étais faible, mais la vétérinaire nous a promis que tu ne souffrais pas, tu ne semblais pas être triste. Pourquoi a-t-il fallu que tu contractes cet ostéosarcome de malheur, qui ne t'a laissé aucune chance ? Qu'a-t-on fait de mal pour que ça tombe sur toi ? Je regrette tant d'avoir fait cette biopsie en avril, il fallait qu'on sache pourquoi tu boitais, mais est-ce que cela n'a pas précipité ton départ ? Les photos défilent maintenant sur le cadre photo numérique, acheté juste pour toi, à côté de ta petite urne, entourée de tes jouets préférés, le toutou et le canard, et de deux bouquets de fleurs, des roses réelles et de la lavande artificielle : tu adorais faire pipi près de celle qu'on a devant la porte. C'est tout ce qui nous reste aujourd'hui, avec les souvenirs compilé en un beau livre. Je suis sûre que c'est toi qui a mis Hélios sur notre chemin, il est né quand tu as été diagnostiqué et a été mis sur le site au moment même où ton petit coeur cessait de battre. Je ne crois pas au hasard, d'autant que parfois Il fait les choses comme toi : j'espère que nous ne nous trompons pas en disant que tu es en lui. Nous t'aimons à la folie, mon petit coeur, Monsieur Ringo, la huitième merveille du monde, et jamais jamais, tu le sais, nous ne t'oublierons, revenant ici tous les jours, t'embrassant à chaque instant. |
Déposé par ringo le 16/09/2012Je sais mon ange, tu n'aimais pas que je sois triste, mais mon coeur saigne depuis ton départ, ce fameux 3 aout dernier, 17h45, ou plus peut-être depuis ce jour d'avril où nous avons découvert ta bosse. Si seulement cela ne pouvait être qu'un cauchemar, comme cette nuit où j'ai rêvé que tu passais sous les rames d'un RER... Si je pouvais me réveiller demain matin et te voir sauter dans le lit pour dire bonjour, ou te sentir me pousser, te coucher sur ma tête, je serais si heureuse. Je t'aime mon amour à l'infini, pour l'éternité. J'espère qu'un jour où se retrouvera pour ne plus jamais se quitter, même si je ne peux y croire. |
Déposé par ringo le 10/09/2012Nous te disions toujours : "merci, mon amour, de te battre", et toi tu te battais férocement, tu aimais vivre. Encore le dernier jour, tu mobilisais tes forces pour rester le plus longtemps avec nous. En début d''après-midi, après le pansement, tu portais la queue très haute, fière, comme si tu nous remerciais de t'avoir soulagé, un peu comme si cette visite chez le vétérinaire était notre dernier cadeau. Merci mon amour, merci pour cette belle leçon de vie, merci pour tous ces beaux moments, la vie est terrible sans toi, et je donnerai n'importe quoi pour t'avoir avec moi, en pleine forme, ne serais-ce qu'une seule journée. Le plus dur étant de ne pas savoir pourquoi tu as eu cet ostéosarcome, je culpabilise malgré tout, me demandant ce que nous avons fait de travers, et me disant que nous aurions peut-être faire plus. Je t'aime à la folie. |
Déposé par ringo le 03/09/2012Mon amour, Demain, c'est la rentrée des classes, et, si tu étais encore là, ce soir, je te dirais, comme chaque année : "Ringo, tu as acheté ton cartable ? Demain, tu vas à l'école". Et demain, j'aurais dit : "tu as loupé la rentrée, Ringo, tant pis, tu iras l'année prochaine". Et toi, tu m'aurais fait un bisou, tu me manques tellement, je donnerais tout ce que j'ai pour ne passer, ne serais-ce qu'une journée avec toi, bien vivant. Je t'aime tant, pour l'éternité. |
Déposé par kiallan le 29/08/2012"La mort n’est rien Je suis simplement passé dans la pièce à côté. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas de ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait vivre ensemble. Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme il l’a toujours été. Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre. La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié. Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, Simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre côté du chemin.", |
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