|
|
|
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
En hommage à
Lucas
Il nous a quittés le:23/12/2012
10 personnes aiment cette page |
En hommage à
Lucas
5 bougies
3236 Fleurs
Déposé par spanky Les blessures qui ne se voient pas,nous font du mal bien plus que toutes les autres,on les enferme au fond de soit,mais est-ce que toute une vie on les supporte? ces blessures là qui ne se voient pas. Déposé par spanky Vous ne l'avez jamais oublié,vous parlez de lui très souvent en vantant ses qualités et tout l'amour qu'il vous à apporté,il est et sera toujours gravé dans votre cœur et rien ne vous fera l'oublier. Déposé par spanky Aujourd'hui pour vous mes amis à 4 pattes je suis chef de gare... alors,je dispose de 3 Wagons:le 1er remplis d'Amour, le 2ème remplis de Câlins, et pour le dernier wagon des fleurs aux mille couleurs Déposé par spanky Pas faciles toutes ces journées sans nos amis à 4 pattes, beaucoup de choses vous rappellent sa petite frimousse et sa gaieté quotidienne vous manque terriblement. Déposé par spanky Votre amour est comme un beau pont entre son cœur et le vôtre, un pont que vous avez construit par pierre au fil des ans dont vous avez été les propres architectes. Déposé par Otosan 🌺 Un câlin, et d’énormes bisous ❤️ Merci beaucoup pour votre gentillesse, à l’égard de mon Simba ✨ Bonne fin de soirée à vous 💐 Amitiés 💫 Déposé par spanky Les caresses des yeux sont les plus adorables, elles apportent l'âme et livrent des secrets dans lesquels seuls le fond du cœur peut apparaître. Déposé par spanky Le vide de son absence vous fait si mal, ce sont tous les souvenirs qui vous reviennent et les larmes qui montent à vos yeux qui prouvent à quel point vous avez détesté d'avoir été séparés. Déposé par spanky Il ne vous oublie pas,il est la lumière qui traverse les champs de blé,il est la douce pluie du printemps,il est l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,il est l'étoile qui brille dans la nuit. Déposé par spanky Votre ange n'est jamais loin de vous, il est toujours là pour veiller sur vous et toujours prêt à vous guider. Déposé par spanky Trois choses nous restent du paradis, les étoiles de la nuit, les fleurs du jour et les yeux des êtres que nous avons aimés. = Dante Alighieri = Déposé par spanky Il est et il sera toujours sur votre peau et sur votre vie, vous êtes tellement fière de lui, il est tellement beau votre merveilleux ami que vous l'aimez à la folie et ce pour toujours. Déposé par spanky Sentir la présence de votre ange bien-aimé, c'est comme sentir le vent tout autour de vous, et si vous n’arrivez pas à voir le vent vous le sentez et vous savez qu'il est là. Déposé par spanky Le décès de nos amis à 4 pattes est toujours très difficile et même s'ils avaient des poils,une longue queue et qu'ils ne parlaient pas.Qui aurait pensé qu'ils pouvaient nous donner autant de bonheur. Déposé par spanky Quand vous alliez marchez-vous revoyez ses petits coins là où il sentait les autres chiens, vous revoyez sa démarche un peu traînante quand il fatiguait lui qui avait la volonté pour vous accompagner. |
1529 messages
Déposé par tinou20042001 le 04/04/2015Meilleurs Voeux Pâques En cette belle saison, Le soleil fait danser Ses doux rayons, Et le vent aime chanter Une tendre chanson... C'est le grand réveil Miraculeux de la nature, Qui émerveille par la beauté De sa verdure, La pureté d'un ciel d'azur, Et qui est un appel À une vie nouvelle! Joyeuses Pâques! |
Déposé par tinou20042001 le 31/03/2015MA PRIERE Pour vous, ma prière d'amour Monte vers le ciel lourd Chaque nuit, chaque jour Pour vous, ma prière du soir Met sur un reposoir Des lumières d'espoir Pour vous, loin du monde et du bruit Loin des jours d'ennui Je prierai chaque nuit Pour vous, chaque croix du chemin N'entend qu'un chant divin Ma prière sans fin La prière éternelle Des amours sans chagrin Car, quand le jour pleure et s'en va Dans mon cœur triste et las, Semble tinter le glas Et je m'en vais prier pour vous Loin de tout André DASSARY |
Déposé par rafia le 31/03/2015Vie de chien Toi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches, Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ? Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches, Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas. J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés, J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés. Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée, Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer. Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave, Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler, J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave, Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler. Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs, Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal, Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes, J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal. Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants, Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour, C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant, J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour Auteur inconnu |
Déposé par poutounou le 30/03/2015Le papillon * J’aimerais, dans ma maison, Avoir pour seul compagnon Un très joli papillon Qui de saison en saison Changerait de couleur. Il serait vert au printemps Comme les feuilles mignonnes, Bleu en été, couleur du temps, Marron dès que viendrait l’automne Et, dans les mois d’hiver, tout blanc. Parfois, pour la fantaisie, Rose, violet, mauve ou gris Mais jamais le papillon noir De l’ennui et du désespoir. * Jean Joubert |
Déposé par rafia le 30/03/2015A mon chien Lorsque je l'ai vu naître Je l'ai pris pour enfant, C'était un petit être, Il était si charmant. Quand je l'ai vu grandir Ce fut mon compagnon, J'aimais le voir courir Dans toute la maison. Quand je l'ai vu vieillir Ce fut moi son enfant Bien qu'il sut m'obéir Toute sa vie durant. Quand je l'ai vu mourir, Je compris que ce jour Venait de s'accomplir La fin d'un bel amour Car tu me fus fidèle, Serviteur dévoué, Ton amour fraternel N'a pas démérité. Je t'aimais bien mon chien Ô, mon chien de berger, Et, pour toi, mon chagrin Ne saura s'effacer." Jack Harris |
Déposé par rafia le 29/03/2015La bonne chienne. Les deux petits jouaient au fond du grand pacage; La nuit les a surpris, une nuit d’un tel noir Qu’ils se tiennent tous deux par la main sans se voir : L’opaque obscurité les enclot dans sa cage. Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre, Les chèvres, les cochons, la vache, la jument, Sont égarés ou bien muets pour le moment, Ils ne trahissent plus leur présence dans l’ombre. Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes Sourdement fait gronder l’écho. Mais la bonne chienne Margot A rassemblé toutes les têtes Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes, Chacun des deux petits lui tenant une oreille, Tous les trois, à pas d’escargot, Ils regagnent enfin, là-haut, Le vieux seuil où la maman veille. Maurice Rollinat., |
Déposé par rafia le 28/03/2015L'adieu à mon chien (auteur inconnu) La neige tombait tout doucement ce matin-là, Comme pour préparer ton lit de mort. J’ai eu du mal à contenir mes larmes, et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable… Te rappelles-tu des belles journées d’été où nous nous promenions dans les bois? Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne? Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux? Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples? Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main? Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant? De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue? Nous revenions fatigués au soleil couchant, Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive. Ton souffle me détendait et me rassurait Et ta présence m’était si précieuse, Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin. Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer. Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su. Tant d’années ont passé à tes côtés. J’ai vu le temps te vieillir, Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour. Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai, Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre. Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé. Ton corps sans vie et tes yeux voilés, Cela avait marqué la fin. Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir. Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie, Et ta perte me fait tant pleurer. Tu étais comme une partie de moi, Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur. Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années Repose en paix |
Déposé par poutounou le 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
Déposé par rafia le 26/03/2015LES CHIENS PLEURENT AUSSI Moi je sais que les chiens pleurent aussi Quand ils ont du chagrin, Que parfois ils se cachent Pour souffrir à loisir Sans que leur maître sache Ni où ils sont, Ni le grand mal qui les conduit. J'en sais un qui partit au fond d'une forêt Pour fuir les longs soupirs, De cet enfant malade. Cet enfant qui jouait avec lui Ses chamades, Et qu'il ne s'en revînt Que lorsqu'il fut sauvé. Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir, De faim, de désespoir Au départ de son maître Pour les Terres d'Ailleurs, Où seules ne pénètrent, Que les ombres de ceux Dont la vie va finir. Mais moi je sais aussi Que dans ces Pays Hauts, Les hommes et les chiens, Chaque fois se retrouvent, Sur les vastes prairies Quand les portes s'entrouvent Parmi l'immensité des joies Et des repos. Louis AMADE |
Déposé par rafia le 25/03/2015CITATION DE BENJAMIN CONSTANT La douleur réveille en nous, tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage. Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié. Elle nous apprend à lutter pour nous et pour les autres. |
Déposé par poutounou le 22/03/2015Mars * Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons. Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu'il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons … * Maurice CARÊME |
Déposé par rafia le 16/03/2015Poème pour nos amis-canins victimes de l'abandon. ------------------------------------------------- Dans la chaîne de l'horreur, On ne fait que monter d'heure en heure Plus on veut sauver, Plus on continue à martyriser. Y a-t-il dans le ciel quelques anges-humains sans occupations ??? Car il serait plus que temps qu'ils fassent leurs bonnes actions, Punir les mauvais, les envoyer au purgatoire, Qu'ils se débarrassent de leurs âmes noires. Redonner espoir et lumière à ces amours muets Pour qui l'homme reste encore un terrible danger Que doivent-ils dire de nous humains, Comment les comprendre ceux-là quand ils nous tendent la main ? Parfois c'est pour nous offrir l'harmonie, Parfois c'est pour nous ôter la vie, Comment leur faire confiance ??? Il y a dans leurs sentiments trop d'alternance. Alors les ailés où que vous soyez, agissez Nous allons finir par nous noyer, Les quelques microbes que nous sommes ici-bas Devons faire face à nos semblables, enfin si peu dans ce cas. Mais vous voyez nos coeurs sont en lambeaux et si las, Nous aimerions ouvrir immensément nos bras Cette terre hélas aujourd'hui n’est gouvernée que par l’argent, Elle ne connaît plus le sens de l’adverbe simplement. Au nom de cette monnaie dominante et trébuchante, On abandonne, on torture, on supprime, c’est une déferlante. Moi là, je vous parle, j’écris, j’étale des mots Je vide mon coeur au quotidien de tous ces maux. Je ne peux faire plus, Des fonds, il m'en faudrait bcp plus, Mais pour vous sauver, je donnerais ma peau Pour ne plus voir tant de misères, ce n'est pas beau. Non pas que je veuille disparaître de la planète Car pour être tout à fait honnête, J’ai envie de tenir encore les manettes Entourée de meilleurs-amis tendres qu'on nomme "bêtes". Et tant qu’il y aura toutes ces galères, Je ne pourrais poursuivre l’âme légère En voyant ts ces petits chiens en souffrance Nous n’avons pas le droit de continuer dans l’ignorance. Je souhaite : plus jamais d'abandonnés, Mais, hélas, nous ne sommes pas des fées Nous avons un seul mot d’ordre c’est vouloir, Notre volonté c’est votre espoir ! |
Déposé par poutounou le 15/03/2015Extrait de la chanson « Fais moi une place » de Julien Clerc. * Paroles d’un Ange pour son maître ou sa maîtresse… * Fais-moi une place Au fond d' ton coeur Pour que j' t'embrasse Lorsque tu pleures Je deviendrai Tout fou, tout clown, gentil Pour qu' tu souries Fais-moi une place Dans tes urgences Dans tes audaces Dans ta confiance Je s'rai jamais Distant, distrait, cruel Pour q' tu sois « belle » (beau) J' veux q' t'aies jamais mal Q' t'aies jamais froid Et tout m'est égal Tout, à part toi Je t'aime… |
Déposé par rafia le 15/03/2015Le vieux et son chien S'il était le plus laid De tous les chiens du monde, Je l'aimerais encore A cause de ses yeux. Si j'étais le plus laid De tous les vieux du monde, L'amour luirait encore Dans le fond de ses yeux. Et nous serions tous deux, Lui si laid, moi si vieux, Un peu moins seuls au monde A cause de ses yeux. Pierre Menanteau |
Déposé par rafia le 14/03/2015Poème dédié à chaque petit ange, ami//amie de mes Niagara, Rafia, Punky et Rock adorés/ Mon ange adoré Tu es mon oxygène, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaînes, L'indispensable qui coule dans mes veines. Tu es l'objet de mon existence, L'ange pur de l'innocence, Mon étoile de bienveillance, Plus qu'un espoir et plus qu'une chance. Tu es ma mélodie, La douceur de mes nuits, Les couleurs de ma vie, Le bonheur à l'infini. Mille mercis pr votre précieuse Amitié, la mienne, vs est acquise. + 1000 bisous pr mon adorable amie "K". + les plus tendres léchouilles de Paramour-chérie et DJ. Excellent WE Maryem, votre amie |
Déposé par rafia le 13/03/2015Le désintéressement est l'un des caractères nécessaires de l'amitié, et ajoutons que le devoir d'un ami qui peut rendre un service, est de deviner les soucis de l'autre et de rendre le service avant qu'il ait été demandé. André Maurois L'amitié est plus tolérante que l'amour, mais elle aussi a son honneur qui ne peut être impunément blessé, et vilipendé ; l'amitié exige qu'on pense d'elle avec noblesse, et ne condescend pas à demander le respect de sa dignité. Citation de Henri-Frédéric Amiel |
Déposé par rafia le 12/03/2015Il est plus nécessaire qu'on ne croit, de s'imposer l'obligation d'être tous les jours utiles à ses semblables ; cela tient en haleine, et même pour faire le bien, nous avons besoin bien souvent d'une force qui nous pousse. Sophie Cottin ;, |
Déposé par tinou20042001 le 11/03/2015C'EST IMPOSSIBLE Crois-tu que le ciel Pourrait vivre sans soleil ? Mais non c'est impossible Crois-tu qu'un enfant Pourrait vivre sans printemps ? Mais non c'est impossible Et de même Moi qui t'aime Qui t'espère, et te rêve Crois-tu vraiment Que je puisse vivre sans toi ? Mais non, c'est impossible D'autres, mieux que moi Sauront-ils tout te donner ? Mais non, c'est impossible Moi si je t'avais Aurais-je besoin d'autre chose ? Mais non c'est impossible Et si jamais Tu voulais le monde entier Je te le donnerais Je vendrais jusqu'à ma vie Sans le moindre regret Parce que vivre sans toi Cela m'est impossible D'autres mieux que moi Sauront-ils tout te donner ? Mais non, c'est impossible Moi, si je t'avais Aurais-je besoin d'autre chose ? Mais non, c'est impossible Et si jamais, tu voulais Le monde entier Je te le donnerais Je vendrais jusqu'à ma vie Sans le moindre regret Parce que vivre sans toi Cela m'est impossible Impossible Mmmm, c'est impossible. Sacha DISTEL |
Déposé par rafia le 11/03/2015Ode détournée, pr nos Amours Canins Hélas ! après avoir perdu un être cher, les arbres retrouveront leur verdure et les fleurs leur parfum ; un feu secret circulera dans toutes les sèves ; tout revivra après cette mort, et tout renaîtra pour aimer : moi seule je n'aimerai plus ; et le temps, en s'écoulant, ne peut m'apporter d'autre bien que de m'approcher de mon dernier jour. Sophie Cottin , |
Déposé par poutounou le 10/03/2015Joli petit poème pour toi, bel Ange, en attendant le printemps… * Premier sourire du printemps * Tandis qu'à leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. * Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisèle des boutons d'or. * Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. * La nature au lit se repose ; Lui descend au jardin désert, Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. * Tout en composant des solfèges, Qu'aux merles il siffle à mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges Et les violettes aux bois. * Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d'argent du muguet. * Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. * Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " * Théophile GAUTIER (1811-1872) - Émaux et camées |
L'Album photo contient 2 photos