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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERNoam
Il est né le:27/02/1997
Il nous a quittés le:19/01/2013
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En hommage à
Noam
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1276 Fleurs
Déposé par spanky Il est et il sera toujours sur votre peau et sur votre vie, vous êtes tellement fière de lui, il est tellement beau votre merveilleux ami que vous l'aimez à la folie et ce pour toujours. Déposé par spanky Sentir la présence de votre ange bien-aimé, c'est comme sentir le vent tout autour de vous, et si vous n’arrivez pas à voir le vent vous le sentez et vous savez qu'il est là. Déposé par spanky Le décès de nos amis à 4 pattes est toujours très difficile et même s'ils avaient des poils,une longue queue et qu'ils ne parlaient pas.Qui aurait pensé qu'ils pouvaient nous donner autant de bonheur. Déposé par spanky Quand vous alliez marchez-vous revoyez ses petits coins là où il sentait les autres chiens, vous revoyez sa démarche un peu traînante quand il fatiguait lui qui avait la volonté pour vous accompagner. Déposé par spanky C'est encore vous avec le désir fou d'ébouriffer son poil, d'embrasser sa jolie frimousse, de jouer ensemble et de lui répéter 1000 fois qu'il vous manque avec l'envie folle de refaire une vie à vous Déposé par spanky Vous le chercherez toujours votre ami à 4 pattes et vous le verrez dans chaque fleur, dans chaque oiseau, dans chaque coucher de soleil car tout ce qui est est beau sera lui a jamais. Déposé par spanky Les photos ne remplaceront pas le plaisir que nous avons éprouvé quand nous les avons prises.Les souvenirs nous donnent du vague à l'âme.Le manque de nos anges fera partie de notre vie à tout jamais. Déposé par spanky Je te cherche par delà l'attente, je te cherche par delà moi-même, et je ne sais plus tant je t'aime, lequel de nous deux est absent. - Paul Eluard - Déposé par spanky Vous pensez à lui,vous regardez ses photos,vous criez son nom,vous regardez son urne,vos larmes coulent,que le vent qui souffle pour l'instant vous fasse parvenir le gros bisous que vous lui envoyez. Déposé par spanky Comme ils peuvent nous manquer nos Loulous nos compagnons, nos amis. Notre vie est devenue monotone sans eux, leurs absences nous brûlent le cœur à chaque pensée qui nous sont destinées. Déposé par spanky Comme vous aimeriez remonter le temps pour revivre tous ces bons moments avec votre ami à 4 pattes. Il brille toujours dans votre cœur, comme il a brillé sur terre et brillé à présent dans le ciel. Déposé par spanky Jamais, absolument jamais, nous ne perdons nos êtres chers. Il nous accompagnent ils ne disparaissent pas de nos vies. Nous sommes seulement dans des chambres différentes. - Paulo Goelho - Déposé par spanky Henri-Frédéric AMIEL : Les salutaires amitiés sont celles qui stimulent, qui animent, qui augmentent notre vitalité, qui éveillent en nous l'étincelle, la verve,le courage, qui nous rendent plus fort. Déposé par spanky La richesse de votre cœur, c'est le regard sur votre amitié pour lui et sa fidélité qu'il vous a offert...merci à votre ami à 4 pattes pour cette belle aventure qui durera pour l'éternité. Déposé par spanky Tu trouveras, dans la joie ou dans la peine, ma triste main pour soutenir la tienne, mon triste cœur pour écouter le tien - Alfred de Musset Déposé par spanky Puisque votre vie n'a plus beaucoup de sens, puisque vous ne pouvez plus le caressai, puisque vos yeux se ferment pour l'apercevoir, il sera là et guidera vos pas et vous réapprendrez à marcher. Déposé par spanky Nous les avons aimé, nous les aimons et nous les aimerons toujours car il est impossible de les oublier, vivront dans nos mémoires et dans nos cœurs jusque-là fins, c'est tellement dur et déchirant. |
965 messages
Déposé par poutounou le 01/07/2018On ferme les yeux et on s’imagine ce matin d’été à la ferme… * MATIN D'ETE A LA FERME * Les pigeons dans le ruisseau clair Prennent leur petit déjeuner. Le chat bâille et renifle l'air En se frottant le bout du nez. Les capucines sur le bord De la fenêtre et du sommeil Déplissent leurs pétales d'or Pour dire bonjour au soleil. L'hirondelle sous la corniche Pousse un cri aigu dans le vent. Le chien s'étire dans sa niche Et gobe une mouche en rêvant. Le petit âne va partir Au village avec ses couffins. Un jour nouveau va se bâtir Et l'on n'en verra pas la fin. * Marguerite-Marie Peyraube |
Déposé par choupinou le 28/06/2018J'ai rêvé de toi, de Henri-Frédéric Amiel J'ai rêvé de toi. Recueil : La part du rêve (1863) Depuis que je t'ai vue, ébloui par l'éclair, Mon œil s'est voilé d'un mirage ; Je regarde sans voir, ou je ne vois dans l'air Flotter qu'une forme, ta douce image ; Le jour, tout éveillé, je songe ; et, dans la nuit, Comme un feu follet qui se lève, Cette image, la tienne, apparaît, et me suit Au plus profond de mon âme et de mon rêve. choupinou,celibab,cyprien,pouilledamour,maclo , |
Déposé par poutounou le 24/06/2018Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre...Avec tout l'amour que nous donnons et que nous donnent nos Anges, nous existons et nous vivons...!!! * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent (extrait) * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; Ce sont ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front. Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime. Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime. Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche, C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche. Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins. Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains. Car de son vague ennui le néant les enivre, Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. * Victor Hugo ("Les Châtiments" - 1844) |
Déposé par poutounou le 17/06/2018On parle souvent des "mamans de coeur", moins souvent des "papas de coeur". Pourtant ils souffrent comme nous de l'absence de leurs petits Anges. Aujourd'hui c'est la fête des pères ; alors souhaitons une bonne fête à tous les "papas de coeur" du cimetière virtuel... * Quelle belle rencontre !!! * Rencontre * Madame la pianiste, Dans les rues plutôt tristes, Promenait ses mélodies, Comme chaque lundi … Et monsieur le poète, Des rêves plein la tête, Tenait en laisse, lui, Des poèmes gentils… Ils se sont rencontrés Et, quelques mois après, En plein temps des moissons, Sont nées… trente-six chansons ! * Robert Gélis ("En faisant des galipoètes" - Editions Magnard, 1983) |
Déposé par poutounou le 10/06/2018Que c'est beau !!! * N'écris pas... * N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre. les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau. J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre, Et frapper à mon cœur, c'est frapper au tombeau. N'écris pas ! * N'écris pas. N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais! Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes, C'est entendre le ciel sans y monter jamais. N'écris pas ! ... * Marceline Desbordes-Valmore |
Déposé par poutounou le 03/06/2018Je dis "aime" et nos anges disent de tout coeur "AIME, AIME, AIME...". * Je dis Aime * J'ai les méninges nomades J'ai le miroir maussade Tantôt mobile Tantôt tranquille Je moissonne sans bousculade Je dis Aime Et je le sème Sur ma planète Je dis M Comme un emblème La haine je la jette Je dis " AIME, AIME, AIME ..." * "M" |
Déposé par poutounou le 27/05/2018Bonne fête à toutes les mamans du cimetière virtuel... Peut-être aurons-nous une visite surprise cette nuit dans nos rêves !!! Qui sait ...??? * C’est pour maman * J’ai cueilli trois fleurs des champs, Mais la plus jolie que j’aime tant, La plus jolie, c’est pour maman. * J’ai trouvé trois beaux cailloux blancs, Mais le plus joli que j’aime tant, Le plus joli, c’est pour maman. * Et j’ai aussi trois beaux rubans, Mais le plus joli que j’aime tant, Le plus joli, c’est pour maman. * Je n’ai qu’un petit cœur d’ange, Mais mon p’tit cœur qui l’aime tant, Mon petit cœur, c’est pour maman. * C. Duparc |
Déposé par poutounou le 20/05/2018Que c'est bien dit : "on accède à la bonté qu'après avoir laissé tous ses bagages à la douane de la douleur"... * Credo * moi aussi j'ai mon credo de poche mais n'allez pas le répéter aux vents bavards et à la foule qui passe on vous rirait au nez * je crois que le soleil est un oeuf de lumière pondu par la nuit que la prière retombe en pluie de fruits dans la corbeille des mains offertes que les étoiles sont des âmes qui brûlent que la terre est une orange pour la soif de Dieu que la fleur grimpe aux fenêtres pour consoler l'enfant qui pleure que la pierre est un arbre qui n'a pas voulu croître que la bonté est ce pays où l'on n'accède qu'après avoir laissé tous ses bagages à la douane de la douleur que un et un font un même dans les luttes du plaisir que le parfum du sacrifice nourrit les fleurs de l'art et qu'à force d'amour demain il fera jour. * Guy Tirolien ("Feuilles vivantes au matin", Editions Présence Africaine, 1977) |
Déposé par poutounou le 13/05/2018Que c'est joli ! "Il faut savoir marier la mort avec la vie !". * Un jour de colère * Un jour de colère tu te gonfles comme un poisson-lune un jour de douceur ta bouche est en fleur Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier le soleil avec la pluie * Un jour de couleur l’enfer embrasse ton coeur mais un jour de miel comme tu es suave ! Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier Douleur avec Plaisir * Un de tes amis meurt tu es brisé de chagrin un enfant naît ton coeur est en fête Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier la Mort avec la Vie * Hector Poullet ("Paroles en l’air" , éditions Desormeaux, 1978) |
Déposé par poutounou le 06/05/2018Joli petit ruisseau au printemps... * Le ruisseau * Ce n'est qu'un tout petit ruisseau, Un peu d'eau vive qui glougloute, Une vasque fut son berceau, On ne le voit pas, on l'écoute. * Il a des façons de gamin Pour sautiller de pierre en pierre, On y puise au creux de la main En écartant un brin de lierre. * Il a des franges de roseaux Sur ses bords fleuris de pervenches Et des aulnes où les oiseaux Font du trapèze sur les branches. * Si, dans son lit, le vent brutal Penche un brin d'osier qui le borde, Le petit ruisseau de cristal S'amuse à sauter à la corde. * Puis sous les aulnes chevelus, Caressant le cresson et l'ache, Il s'enfonce...On ne l'entend plus... Sans doute il joue à cache-cache. * Petit ruisseau, je voudrais bien, Moi qui suis un rêve qui passe, Que dans mon cœur ainsi qu'au tien Se mirent le ciel et l'espace ! * Jeanne Marvig ("Le jardin d'Isabélou", édité par l'auteure, 1947) |
Déposé par poutounou le 01/05/2018En ce 1er mai, je vous souhaite, à vous les papas et mamans de coeur du cimetière virtuel, une joyeuse fête et que tous vos voeux se réalisent : santé, bonheur, amour... Avant tout, je vous souhaite d'avoir plein de visites de vos Anges la nuit dans vos rêves. Ces brins de muguet, que nous trouvons dans nos jardins et forêts, nous ont été envoyés, cette nuit, par nos "trésors", de leur Paradis blanc... C'est un magnifique "message" d'Amour... * La comptine du muguet * Il était, dans la mousse, un tout petit muguet. Il avait l'âme douce, embaumant la forêt. Soudain, une fillette passe par le chemin et voyant la fleurette, la coupe avec la main. Pourquoi m'as-tu coupée ? dit la fleur de muguet, tu m'as toute blessée pour parer ton bonnet. Non, répond la fillette, oh muguet, mes amours, je ne suis pas coquette, je veux t'aimer toujours. |
Déposé par poutounou le 29/04/2018Que c'est beau le Printemps !!! * Un printemps tout neuf * Un arbre sourit de toutes ses fleurs. Des ramiers s'en vont, à deux, vers le fleuve. Le coucou vivant au bois donne l'heure : Voici le printemps dans sa robe neuve ! * Quel joli printemps aux yeux de pervenche, Aux lèvres de rose, aux doigts de lilas ! La vie sur l'hiver a pris sa revanche Et danse en chantant un alléluia. * Marc Alyn |
Déposé par poutounou le 22/04/2018L'amour de nos trésors à quatre pattes est tellement fort, tellement fort qu'il vaut tout l'or du monde. Que d'amour lorsque nos "petits coeurs" se serrent fort contre nous ou nous font une grande léchouille. C'est ça l'amour, le vrai, le grand, le pur... Vous êtes nos magnifiques bijoux !!! * J'envoie Valser * J'en vois des qui s'donnent Donnent des bijoux dans le cou C'est beau mais quand même Ce ne sont que des cailloux Des pierres qui vous roulent Roulent et qui vous coulent sur les joues J'aime mieux que tu m'aimes Sans dépenser des sous... * Moi je m'en moque J'envoie valser Les trucs en toc Les cages dorées Toi quand tu m'serres très fort C'est comme un trésor Et ça, et ça vaut de l'or... * J'en vois des qui s'lancent Des regards et des fleurs Puis qui s'laissent Quelque part ou ailleurs Entre les roses et les choux J'en connais des tas Qui feraient mieux de s'aimer un peu Un peu comme nous Qui nous aimons beaucoup... * Et d'envoyer Ailleurs valser Les bagues et les coeurs en collier Car quand on s'aime très fort C'est comme un trésor Et ça, et ça vaut de l'or... * Moi pour toujours J'envoie valser Les preuves d'amour En or plaqué Puisque tu m'serres très fort C'est là mon trésor C'est toi, toi qui vaut de l'or * Zazie |
Déposé par poutounou le 15/04/2018Oh jolie pâquerette ! * Pâquerette * Pâquerette, pâquerette, Il y a des gouttes d’eau Sur ta collerette Et tu plies un peu le dos... Pâquerette, pâquerette, Le beau soleil printanier Viendra-t-il les essuyer ? * Pâquerette, pâquerette, Qui souris près du sentier, Je te le souhaite... Pâquerette, pâquerette, Il y a sur ton cœur d’or Un frelon en fête ; Tant il est ivre qu’il dort ! * Pâquerette, pâquerette, L’aile du vent printanier Va-t-elle le balayer ? Pâquerette, pâquerette, Qui rêve près du sentier, Je te le souhaite. * Philéas LEBESGUE (1869-1958) |
Déposé par poutounou le 08/04/2018Moi aussi je veux grimper à l'arc-en-ciel ...pour voir où vit mon Ange... * Je jouais * Je jouais à grimper à l’arc-en-ciel comme à l’échelle Sur le jaune j’ai cueilli des boutons d’or Sur l’orange j’ai des clémentines Sur le rouge des framboises et des cerises Plus haut, j’ai respiré les violettes Dans le bleu j’ai coupé une fenêtre de ciel pour voir l’indigo Et je suis tombé par la fenêtre sur l’herbe verte. * Luce Guilbaud |
Déposé par poutounou le 01/04/2018Chers "papas" et "mamans" de coeur du cimetière virtuel, je vous souhaite de passer de merveilleuses Fêtes de Pâques. Quant à nos Anges, ils vont sûrement tous se réunir dans la grande prairie du Paradis blanc pour y chercher des chocolats et autres douceurs... * JOYEUSES PAQUES * Joie et nervosité dans l'attente de leur retour de Rome. Observant le ciel, tendant l'oreille pour ne pas les rater. Y être bientôt, le jour J tant attendu, l'impatience nous gagne, Et nos papilles frétillent à l'idée de savourer ces chocolats. Une fête pour les gourmands, petits et grands. Ses cloches gastronomes et quelque peu coquines qui, En arrivant dans nos maisons, cachent de nombreuses douceurs Savoureuses et sucrées, propres à attiser notre curiosité et notre impatience. * Poules, oeufs, lapins et autres cloches en chocolat, Attendant d'être découverts par des gastronomes aux yeux émerveillés. Quelle douce récompense que de les trouver enfin ! Un jour par an, nous pouvons les dévorer sans remords. Ensemble partageons, rions, régalons-nous et Savourons cette fête de Pâques que je vous souhaite joyeuse. |
Déposé par poutounou le 25/03/2018Qu’elle est belle cette poésie de Théophile Gautier !!! * Premier sourire du printemps * Tandis qu'à leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. * Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisèle des boutons d'or. * Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. * La nature au lit se repose ; Lui descend au jardin désert, Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. * Tout en composant des solfèges, Qu'aux merles il siffle à mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges Et les violettes aux bois. * Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d'argent du muguet. * Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. * Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit : " Printemps, tu peux venir ! " * Théophile GAUTIER (1811-1872) |
Déposé par choupinou le 20/03/2018Toi qui fleuris ce que tu touches, Qui, dans les bois, aux vieilles souches Rends la vigueur, Le sourire à toutes les bouches, La vie au cœur ; Qui changes la boue en prairies, Sèmes d'or et de pierreries Tous les haillons, Et jusqu'au seuil des boucheries Mets des rayons ! Ô printemps, alors que tout aime, Que s'embellit la tombe même, Verte au dehors, Fais naître un renouveau suprême Au cœur des morts ! Qu'ils ne soient pas les seuls au monde Pour qui tu restes inféconde, Saison d'amour ! Mais fais germer dans leur poussière L'espoir divin de la lumière Et du retour ! |
Déposé par poutounou le 18/03/2018Je vous fais partager un extrait d'une chanson de Jacques Brel que j'adore. J'ai essayé, tant bien que mal, de la réécrire à la sauce "4 pattes". * La chanson des vieux "amants" ( chien et maître) * Bien sûr, nous eûmes des orages ! Tant d'ans d'amour, c'est l'amour fol. Tu n'as pas toujours été sage, Je t'ai grondé de temps en temps Et chaque meuble se souvient de tes "tendres" griffes de chien, De tes crocs et de tes "strissettes". T'écoutais quand tu l' voulais bien, Tu m'faisais ta p'tite moue de chien, Et tous les jours c'était la fête. * Oh mon amour Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour De l'aube claire jusqu'à la fin du jour Je t'aime encore, tu sais je t'aime... |
Déposé par poutounou le 11/03/2018Tu es tout ça, mon Ange... * À mon Ange, * Tu es mon palais, mon soir et mon automne, Et ma voile de soie et mon jardin de lys, Ma cassolette d’or et ma blanche colonne, Mon parc et mon étang de roseaux et d’iris. * Tu es mes parfums d’ambre et de miel, ma palme Mes feuillages, mes chants de cigales dans l’air, Ma neige qui se meurt d’être hautaine et calme, Et mes algues et mes paysages de mer. * Et tu es ma cloche au sanglot monotone, Mon île fraîche et ma secourable oasis … Tu es mon palais, mon soir et mon automne, Et ma voile de soie et mon jardin de lys. * Renée Vivien ("À l’heure des mains jointes", éditions Alphonse Lemerre,1906) |
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