Imagines un endroit avec des balles que des anges lancent sans jamais se lasser,
Des gamelles remplies de boulettes de viandes, d'autres de friandises,
Des bacs pleins d'os qu'on a le droit d'enterrer,
Pas de laisse, pas de collier,
Pas de bain savonneux, juste des rivières pour y gambader,
De faux chats que l'on peut courser et qui ne donnent pas de coups de griffes
C'est vrai que je ne reçois plus de caresses ni de baisers,
C'est vrai que les jeux que tu inventais me manquent.
C'est vrai que je n'ai plus de jouets qui couinent pour m'amuser,
Mais ne t'inquiète pas, j'ai emporté tout cela dans mes souvenirs,
J'en rêve chaque jour.
Tu sais, je te vois de mon paradis de chiens,
Je continue à veiller sur toi et à te suivre partout où tu vas
Car moi non plus je ne t'oublierais jamais.
Tu as été une merveilleuse maîtresse.
Avant je croyais que c'était normal de recevoir tant l'amour.
D'ici je vois toute la misère des chiens battus, maltraités ou abandonnés...
Je te dis un grand Merci pour la vie que tu m'as donnée.
Maintenant,
Oublie tes larmes,
Pense seulement à tous nos merveilleux moments,
Quand je te faisais tellement rire

Un jour on m’a dit
que ma Maison sentait le chien ……
Alors j’ai demandé :
Tu sais ce que sent un chien ?
Un chien sent :
- la gratitude
- la fidélité
- la noblesse
- l’affection
- l’amour sincère et inconditionnel
Et malgré tout ce dont il a souffert,
il ne sent pas la rancoeur …..
alors OUI !
Je me sens privilégié que ma maison
sente le chien !

Avoir un chien, ce n’est pas posséder.
Avoir un chien, c’est être.
Ce n’est pas être « propriétaire », c’est être « responsable ».
Ce n’est pas être « maître », c’est être « partenaire ».
Le vrai « maître », c’est le chien.
Pas parce qu’il nous domine, mais parce qu’il nous enseigne.
Avoir un chien, c’est exister.
C’est exister pour un être qui n’a d’yeux que pour vous. Qui ne vit que pour vous.
Ce n’est pas céder à un « il est trop mignon », à un caprice ou à une pulsion.
Même s’il en faut un peu, du caprice.
Il faut être capricieux envers soi-même pour avoir le courage de sauter le pas, de se dire un jour « je ne serai plus un. » Deux, on peut l’être pendant plus de 15 ans.
Il faut une part de courage pour décider d’avoir deux ombres pendant si longtemps.
Mais avoir un chien, ce n’est pas « je prends ce qui m’arrange ».
Ce n’est pas prendre le mignon, la douceur et l’affection, et faire abstraction du reste.
Ce n’est pas demander à un animal d’être une peluche ou un robot. C’est accepter l’imperfection.
C’est se faire à l’idée que tous les chiens ne sont pas exactement comme on les avait rêvés.
C’est s’adapter à lui autant que lui fait d’efforts pour s’adapter à nous.
C’est apprendre à le comprendre et même à l’anticiper.
C’est lâcher son écran pour lancer une balle.
C’est enlever ses chaussons et mettre ses chaussures.
C’est quitter sa couette pour sortir dans le froid et sous la pluie.
C’est ramasser des crottes, éponger des vomis ou d’éventuels pipis.
C’est aller chez le vétérinaire de nuit, un jour férié.
C’est faire face aux contrariétés, de la bêtise la plus anecdotique à la douleur la plus insurmontable.
C’est dépasser les incompréhensions en se donnant les moyens de bâtir une relation forte, saine et harmonieuse.
Et digne, jusqu’au bout.
Avoir un chien, c’est avoir ce que les autres appellent des « contraintes ».
Mais avoir un chien, c’est être convaincu que ce que les autres appellent des « contraintes » n’en sont pas réellement.
Parce que tout ce qui peut être considéré comme une contrainte est précisément ce dont le chien a besoin.
Par amour, il faut répondre à ces besoins.
Et aucune preuve d’amour sur Terre n’est une contrainte.

Les animaux de compagnie des sans-abris constituent souvent leur seule famille et leur seul soutien moral. Dans l’actuel contexte de pandémie de coronavirus, ils ont encore plus de mal à trouver un hébergement, alors qu’ils ont plus que jamais besoin d’être protégés. La Fondation 30 Millions d’Amis pousse un cri d’alarme.
« Quelles solutions pour les sans-abris et leurs animaux ? », s’inquiète la Fondation 30 Millions d’Amis sur son site. Le confinement général marginalise encore un petit peu plus ces personnes qui souffraient déjà de la difficulté de trouver un toit, parce qu’accompagnés de leurs chiens.
Depuis le début de la crise sanitaire, des mesures ont été mises en place pour héberger les sans domicile fixe. Des milliers de places ont été créées, mais dans la plupart des cas, les animaux ne sont pas admis. Pour leurs maîtres, se séparer de ces derniers serait, évidemment, inimaginable. Leurs compagnons à 4 pattes constituent généralement leur seul soutien face à la solitude et à la difficulté de la survie au quotidien.
Quentin Girault, Docteur en droit public et spécialiste des droits fondamentaux cité par la Fondation, trouve « choquant que le fait de posséder un animal soit une entrave à l'accès à l'hébergement d'urgence et d'autant plus en cette période de crise sanitaire. »
30 Millions d’Amis évoque néanmoins quelques exceptions à « Nantes, Marseille, Toulouse, Clermont-Ferrand ou Béziers », où des centres acceptent les sans-abris accompagnés de leurs animaux. Nous vous parlions également, la semaine dernière, de l’ouverture et l’aménagement d’un des hangars du Darwin à Bordeaux pour assurer l’accueil de ces personnes et de leurs amis canidés. Les locaux ont été aménagés de manière à empêcher la propagation du virus en leur sein, tout en permettant aux chiens et leurs maîtres de séjourner dans des conditions décentes.
Une autre initiative est saluée par la Fondation, celle du maire de La Rochelle, Jean-François Fountaine, qui a ouvert un camping pour 16 sans-abris et leurs chiens. Des tentes individuelles y ont été installées, avec mise à disposition des sanitaires et fourniture de repas.

Joyeuses Pâques à vous tous et toutes avec plein de chocolats. Mium, miam, miam…
*
Joyeuses Pâques !
*
En cette belle saison,
Le soleil fait danser
Ses doux rayons,
Et le vent aime chanter
Une tendre chanson...
C'est le grand réveil
Miraculeux de la nature,
Qui émerveille par la beauté
De sa verdure,
La pureté d'un ciel d'azur,
Et qui est un appel
A une vie nouvelle !

Voici venir Pâques fleuries,
Et devant les confiseries
Les petits vagabonds s'arrêtent, envieux.
Ils lèchent leurs lèvres de rose
Tout en contemplant quelque chose
Qui met de la flamme à leurs yeux.
Leurs regards avides attaquent
Les magnifiques œufs de Pâques
Qui trônent, orgueilleux, dans les grands magasins,
Magnifiques, fermes et lisses,
Et que regardent en coulisse
Les poissons d'avril, leurs voisins.
Les uns sont blancs comme la neige.
Des copeaux soyeux les protègent.
Leurs flancs sont faits de sucre. Et l'on voit, à côté,
D'autres, montrant sur leurs flancs sombres
De chocolat brillant dans l'ombre,
De tout petits anges sculptés.
Les uns sont petits et graciles,
Il semble qu'il serait facile
D'en croquer plus d'un à la fois;
Et d'autres, prenant bien leurs aises,
Unis, simples, pansus, obèses,
S'étalent comme des bourgeois.
Tous sont noués de faveurs roses.
On sent que mille bonnes choses
Logent dans leurs flancs spacieux
L'estomac et la poche vides,
Les pauvres petits, l'œil avide,
Semblent les savourer des yeux.
(Marcel Pagnol)

Une magnifique rencontre et une maman au grand coeur.
Sara a été sauvée d'une ferme à chiots et prise en charge par No Dog Left Behind Minnesota après avoir donné naissance à des dizaines de portées. Lorsqu’elle a été secourue, elle avait été laissée de côté alors qu’elle était encore gestante. Pourquoi ? Tout simplement car elle était une « mauvaise maman » selon les responsables des lieux. Un mensonge évidemment.
Une maman en or
Dès que les chiots de Sara sont nés, elle a montré combien elle était une maman douce et attentive pour toute sa portée et a impressionné les sauveteurs. Bref, la maman Corgi a prouvé à tous qu’elle était faite pour être maman.
Tant et si bien que lorsqu’une portée de Pitbull est arrivée à l’association, sans leur maman, les volontaires ont tout de suite eu l’idée de confier les petits aux bons soins de Sara, en espérant qu’elle accepterait d’élever des chiots qui n’étaient pas les siens.
Un pari gagnant puisque dès que Sara a vu les quatre chiots, elle est instantanément devenue leur maman de substitution. Elle n’a pas hésité une seule seconde.
Une portée XXL
Tous les chiots de Sara ont donc commencé à vivre ensemble, ne formant plus qu’une grande meute où les différences n’avaient aucune importance. Malheureusement, un des bébés Pitbull n’a pas survécu car il était trop faible.
Grâce à l’amour de Sara, tous ces chiots peuvent grandir entourés d’amour et de soins. Une magnifique preuve d’amour.

En temps de crise, la compassion des uns et des autres ne cesse d’augmenter !
Le refuge municipal du Texas, City of San Antonio Animal Care Services, accueille environ 30 000 animaux par an ! C’est un des plus grands refuges des Etats-Unis, et le travail pour s’occuper de tous ces résidents est colossal !
De manière générale, le refuge reçoit environ 60 propositions de familles d’accueil par mois, ce qui les aide à placer des animaux en dehors des refuges, pour les socialiser et leur donner l’occasion d’évoluer dans un contexte familial.
Mais depuis le 15 mars, soit environ le début de la distanciation sociale aux Etats-Unis, le refuge a reçu 254 demandes de nouvelles familles d’accueil ! En plus, 600 animaux ont été adoptés en mars, 118 accueillis par des familles et plus de 900 ont été pris en charge par des bénévoles de la région. De ce fait, il reste seulement 150 animaux au refuge, et des bâtiments entiers sont vides !
Le personnel du refuge est extrêmement reconnaissant pour cette mobilisation record qui les soulage beaucoup pendant cette période compliquée. On espère que de nombreuses familles d’accueil finiront par décider de garder les animaux pour la vie !

« La mort n’est qu’un passage,
Je suis seulement passé dans la «pièce à côté».
Je suis moi, vous êtes vous.
Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné,
Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.
N’employez pas un ton différent.
Ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez de rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez ou ne priez pas. Souriez, pensez à moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été.
Sans emphase d’aucune sorte,
Sans aucune trace d’ombre.
La Vie signifie tout ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos vues ?
Pourquoi serais-je hors de vos pensées ?
Je ne suis pas loin. Juste de l’autre côté du chemin. »

Un groupe Facebook, appelé Confinés mais solidaires, regroupe des professionnels du secteur de l’animal de compagnie qui se sont portés volontaires pour garder les animaux des soignants pendant qu’ils travaillent.
Une nouvelle belle initiative qui est à saluer !
Le groupe Facebook Confinés mais solidaires permet de mettre en contact des professionnels du secteur de l’animal de compagnie – comportementalistes, éducateurs, petsitters, etc. – qui veulent venir en aide aux soignants qui ont des chiens et chats à la maison.
Conscients que ces propriétaires d’animaux sont sous pression et font de longues heures pour lutter contre le coronavirus, les membres de ce groupe Facebook souhaitent mettre leurs compétences à profit pendant cette période difficile.
Les soignants ayant peu de temps et d’énergie pour s’occuper de leurs animaux comme d’habitude, l’idée est de permettre à des professionnels de prendre le relais pendant quelque temps, pour leur enlever au moins une source d’inquiétude.
Cette solidarité sera certainement d’une grande aide aux soignants qui font tant pour la communauté pendant l’épidémie du coronavirus !

Pumpkin le raton laveur s’est très bien adapté à la vie domestique !
Pumpkin le bébé raton laveur est tombé d’un arbre alors qu’elle n’avait que quelques jours. Abandonnée par terre dans le jardin de sa future famille, elle a attendu que sa maman vienne la récupérer, mais malheureusement sans que son vœu ne soit exaucé.
Une aide bienvenue
Après avoir contemplé le bébé raton laveur avec inquiétude, sans vouloir l’approcher pour ne pas éloigner sa mère si elle était dans les parages, les humains à qui appartenait le jardin ont appelé une association de faune sauvage pour savoir s’il fallait aider la pauvre petite chose, ou la laisser rester sauvage.
Les experts ont confirmé que la mère du raton laveur ne reviendrait pas, et qu’il fallait vite l’aider, sans quoi elle mourrait de faim.
Les chiens de la famille, Toffee et Oreo, tous les deux adoptés dans des refuges, ont vite couvert le bébé de léchouilles et d’attention, lui faisant des câlins pour la réconforter après ses mésaventures. En moins de deux, le bébé avait une nouvelle famille aimante, qui célébrait ses différences au quotidien.
Des années de bonheur en famille
Toute la famille a nourri et soigné celle qui allait devenir Pumpkin, leur raton laveur domestique. Vivant aux Bahamas, il leur est permis d’adopter un raton laveur car aucune loi ne l’interdit. Et Pumpkin s’est vite habituée à sa nouvelle vie !
Pumpkin adorait jouer avec ses copains canins sur le canapé, poser pour des photos, et couvrir sa famille de câlins. Les enfants s’amusaient beaucoup avec elle, et la voyaient comme un animal de compagnie au même titre que les chiens de la maison !
Une belle vie qui a dû prendre fin
Malheureusement, après des années de bonheur Pumpkin est décédée de sa belle mort il y a une semaine. Sa mort a été un choc pour sa famille qui venait d’accueillir un nouveau bébé en plus de devoir se confiner à cause du coronavirus.
Pour lui rendre hommage, ils ont enterré Pumpkin avant de planter un avocatier au-dessus de sa tombe, pour toujours se souvenir de l’amour de leur raton laveur pour ce fruit gourmand !
Que Pumpkin repose en paix, après une vie pleine d’aventures et d’amour.

Joli chardonneret, tu es venu me dire que l’amour est devant…
*
Oiseau de Printemps
*
Joli Chardonneret, tu es sorti de l’ombre
Posé sur la rembarde pour venir me chanter
Une ode à la Nature, au Soleil, au Printemps
Tu es venu me dire que l’Amour est devant
*
Saute, vrille, vole
Et mange toutes les graines que je t’ai données
Reviens sur mon balcon, recommence ton chant
Qui m’envahit toute entière
Ces matins des beaux jours
*
Joli Chardonneret je te veux sur ma route
dans ma jolie campagne
au pied de mon balcon
*
Elodie Santos, 2009

Une superbe idée !
Le mois dernier, l'Aquarium de Géorgie a fermé ses portes à cause de la pandémie de coronavirus, comme de nombreux autres lieux publics à travers le monde où près de la moitié de la population est actuellement en confinement.
Mais l’aquarium a tout de même fait une petite exception.
Des chiens et des poissons
Il y a quelques jours de cela, l'Aquarium de Géorgie a décidé d’ouvrir ses portes aux chiens de la Atlanta Humane Society afin qu’il puisse avoir droit à une petite visite privée. Au programme : des chiens en totale liberté au sein de l’aquarium. Ils ont pu regarder les différentes sortes de poissons, mais aussi faire la sieste au rythme apaisant de l’eau et gambader pour se dégourdir les pattes. Un vrai beau moment privilégié qui a été immortalisé en vidéo.
D’après le personnel de la Atlanta Humane Society, les toutous ont passé la meilleure journée de leur vie dans cet aquarium !

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Des milliers d'Allemands sont toujours bloqués à l'étranger, les vols de retour sont rares. Et la situation empire. Un couple berlinois est même confronté à un réel problème…
Des milliers de touristes allemands sont toujours bloqués à l'étranger. Ceux qui obtiennent l'un des rares vols de retour peuvent se considérer chanceux. Pour un couple berlinois, la situation est même bien pire…
Pas de place pour le chien
Le ministère fédéral des Affaires étrangères a donné à Anne B. (38) et Manuel H. (39) un choix terrible : s'ils veulent une place dans l'avion, ils doivent laisser leur chien en Argentine. Mais pour le couple qui était parti faire un tour de l’Amérique du Sud en camping-car, il n’est pas question de laisser son chien derrière.
Anne et Manuel ont donc décidé de prendre leur mal en patience et envisagent même de passer l’hiver en Argentine avec leur chien ! Une nouvelle aventure finalement.

La peur de la maladie donne lieu à des gestes très dangereux pour les animaux de compagnie.
S’il est essentiel de respecter les règles sanitaires pendant la crise du coronavirus, il ne faut pas non plus céder à la panique !
Malheureusement, à l’heure de la crise du coronavirus, la peur de la contagion est telle que des propriétaires, pensant bien faire, intoxiquent ou blessent leurs animaux. La Dr Charlotte Piquet, vétérinaire à Sciez (Haute-Savoie), a raconté à France Bleu ce qu’elle entend de la part de propriétaires d’animaux :
"On nous demande : comment désinfecter mon animal en rentrant de balade ? Qu'est-ce que je dois lui mettre sur la langue parce qu'il a léché partout par terre ? Qu'est-ce que je dois lui mettre sur les pattes, voire avec quoi je peux le nettoyer entièrement ?"
Les vétérinaires de la région ont dû soigner "des chats en coma éthylique après avoir été lavés au gel hydroalcoolique", en plus de faire face à "des intoxications et des brûlures cutanées à cause de l’utilisation de désinfectant sur les chiens et les chats".
Cela vaut donc la peine de le rappeler :
Le risque de se faire contaminer du coronavirus par son chien ou chat est extrêmement faible, et c’est seulement si votre animal a été en contact avec une personne atteinte du coronavirus qu’il faut bien lui shampouiner le pelage pour ôter d’éventuelles microgouttes issues des éternuements du malade.
Il ne faut pas chercher à désinfecter son chien après chaque balade !
Il ne faut pas non plus laver son chien à chaque fois que vous sortez, au risque de lui assécher la peau, mais si vous devez le laver, utilisez de l’eau et un savon pour chien / chat, ou des produits nettoyants naturels
Il ne faut en aucun cas javelliser son chien ou chat, ni le recouvrir de gel hydroalcoolique : cela va lui brûler la peau, le pelage et la langue lorsqu’il se léchera, en plus de provoquer d’éventuelles intoxications ou comas éthyliques
Ne laissez pas votre animal vous lécher le visage, ni approcher les passants dans la rue lors des sorties
Les balades doivent rester courtes pour respecter les règles du confinement
Prenez soin de vous et de vos animaux de compagnie, et restez bien à l’abri !

Le village de Beau bois
Il était une fois, à l’orée d’un magnifique bois, un petit village du nom de Beau bois.
Dans ce village vivaient une multitude de chiens.
Il y en avait de toutes les tailles : des grands, des moyens, des petits et même des très petits.
De toutes les races et de toutes les couleurs : des noirs, des marrons, des blancs, des beiges et même tous ces coloris mélangés.
Il y en avait avec des taches sur le nez, sur la queue, sur les pattes ou sur le corps.
Certains n’avaient que trois pattes ou une oreille mais tous étaient très heureux de vivre dans un endroit aussi splendide.
Ils étaient arrivés là par hasard, nul ne savait ni pourquoi ni comment ils s’étaient retrouvés à cet endroit mais le plus important était d’y être et de s’y sentir bien.
Le paysage était merveilleux.
Au milieu du village courrait un ruisseau d’un bleu si pur que tous les chiens étaient fascinés par cette beauté.
Ils pouvaient y boire à volonté, se baigner, y jouer et s’ébattre dedans.
L’herbe tout autour était d’un vert sublime.
Les chiots aimaient la mâchouiller tellement elle était tendre.
Dans le ciel, il n’y avait jamais de nuages menaçants, rien que de jolis petits nuages blancs qui avaient l’air si doux.
Le soleil brillait de tout son éclat, ses rayons étaient chauds mais sans jamais brûler.
La température était idéale.
Chaque chien avait sa maison qui ressemblait à une grande niche.
Elle était faite de bois et le sol était recouvert d’un épais tapis moelleux et on ne peut plus confortable.
Il y avait devant chaque maison une grande gamelle remplie d’os à mâcher : un régal.
De temps à autre, un magnifique arc-en-ciel naissait et l’on voyait apparaître au loin une personne âgée, un adulte ou un même un enfant.
Et là, toutes les queues trépignaient d’impatience, les oreilles se dressaient, les cœurs se mettaient à battre la chamade et ensuite une voix douce prononçait le nom d’un d’entre eux.
Il arrivait même souvent que plusieurs chiens soient appelés en même temps.
A l’appel de son nom, le chien allait alors rejoindre la personne en faisant de grands bons.
Cette personne était la plupart du temps le maître que le chien avait dû quitter trop tôt.
Les retrouvailles entre le maître et le chien étaient alors synonymes de grande joie pour toute la communauté de Beau bois.
Il arrivait qu’un enfant entra dans le village et vienne caresser un chien en particulier, toujours un animal qui n’avait pas reçu d’amour ou qui n’avait pas de maître avant d’arriver au village.
Quand l’enfant repartait avec ce chien, la joie de tous était encore plus grande
Tous les chiens, sans exception, trouvaient un jour ou l’autre un maître digne de la confiance du chien.
C’était vraiment le Paradis

Ce sera une belle façon de venir prêter main forte à ceux qui se mettent en danger pour soigner les personnes atteintes du coronavirus !
Pendant la crise du coronavirus, le personnel soignant du monde entier est sous une pression immense. A la fois dans les hôpitaux et centres médicaux où ils travaillent d’arrache-pied pour soigner les nombreuses personnes atteintes du Covid-19, mais aussi dans leurs vies personnelles, où ils doivent continuer à gérer leurs vies de famille tout en s’inquiétant de potentiellement transmettre le virus à leurs proches.
Pour leur prêter main forte et ainsi les soulager le temps de la crise, l’association Handi’Chiens met son réseau de bénévoles volontaires à disposition pour accueillir les animaux des soignants. Ainsi, ils n’auront pas à trouver le temps pour s’en occuper et les balader dans un emploi du temps déjà bien chargé.
Ces bénévoles ont à cœur d’assurer le bien-être de leurs futurs pensionnaires, et auront tout le soutien des délégués de l’association au besoin.
Une adresse mail a été créée pour l’occasion, et tout soignant n’a qu’à y adresser un message pour que l’association prenne en charge l’organisation et la mise en lien avec les bénévoles : soignant.covid@handichiens.org
Si vous aussi, vous aimeriez vous porter volontaire pour accueillir l’animal d’un soignant, vous pouvez vous renseigner sur le site de HANDI CHIEN .
Des initiatives de ce type peuvent faire toute la différence ! Restons solidaires, et restons chez nous !

Jacques-Charles Fombonne, le président de la SPA, a affirmé que les refuges de l’association ne reçoivent pas plus d’abandons d’animaux que d’habitude à cette période de l’année, malgré la propagation du coronavirus et les contraintes du confinement.
Depuis le début du confinement, les refuges de la SPA ne peuvent plus permettre aux animaux dont ils ont la garde d’être adoptés. Mais, pour le moment, le nombre d’abandons n’aurait pas augmenté par rapport aux chiffres habituels.
La situation très compliquée, car l’absence d’abandons signifie un engorgement des refuges. Jacques-Charles Fombonne a expliqué à BFMTV :
« Comme on est sur une moyenne d'habitude de 3400 adoptions par mois, ça veut dire qu'en dix jours on a pris 1300 animaux supplémentaires et on arrive quasiment à bloc »
Ainsi, l’association prévoit une stratégie pour en venir à bout de cette situation problématique. Une dérogation sera demandée aux autorités préfectorales cette semaine afin de permettre de continuer les adoptions, menées selon un protocole strict pour éviter tout contact entre les adoptants et les bénévoles :
« Le candidat à l'adoption obtiendra un rendez-vous et on veillerait à ce qu'il ne croise personne. On lui présenterait l'animal à distance et s'il est d'accord, il partirait avec l'animal. »
Si cette dérogation devait être autorisée, il faudrait encore que les familles d’adoption acceptent de prendre le risque de sortir pendant le confinement pour rencontrer leur futur animal, et s’en occuper dans ces conditions exceptionnelles, mais aussi au-delà du confinement.

Et pour maximiser ses chances, il fait appel à un avocat.
Si une séparation n'est jamais un moment agréable quand le couple a des enfants cela complique encore davantage les choses. Et pour certains, un animal domestique compte au même titre. C'est le cas d'un couple dans le comté de Blair, en Pennsylvanie propriétaire d'un adorable Yorkshire Terrier. Récemment, les deux ex-amoureux se sont livrés une guerre pour obtenir la garde de leur toutou comme le rapporte I Love My Dog.
Le couple fait appel à un avocat
En effet, lorsque Scott Douglas, pompier et sa petite amie ont mis fin à leur relation, Marco, leur chien, a fait l'objet d'un conflit entre eux, pour savoir lequel des deux obtiendrait sa garde. Scott, manifestement très attaché à son animal de compagnie a même fait appel à un avocat pour l'aider à obtenir des droits de visite.
Et si c'est son ancienne petite amie qui a la garde pleine c'est parce que dans les documents soumis au tribunal et notamment des factures vétérinaires, c'est son nom à elle qui est indiqué, faisant d'elle sa propriétaire officielle. Loin de se laisser abattre, Scott a déclaré au tribunal qu'il paierait les prochains frais médicaux de Marco.
Un chien est considéré comme un bien personnel
Hélas pour Scott, le tribunal a rendu sa décision et selon le juge Wade A. Kagarise, en charge de l'affaire, même si Scott semble avoir une véritable affection pour le chien, l'animal est considéré comme un bien personnel... appartenant à son ex-conjointe. D'ailleurs, la femme a elle-aussi fait appel à un avocat et ce dernier à refusé la requête de Douglas réclamant une visite hebdomadaire.
Le juge Kagarise aconclu sa décision par écrit et partagé : "Il n'y a aucune disposition dans la loi de Pennsylvanie pour les ententes de garde portant sur des biens personnels."