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En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
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En hommage à
RUBENS
120 bougies
61829 Fleurs
Déposé par viana67 Le muguet du bonheur apporte une trêve dans la souffrance en illuminant de ses clochettes blanches les aléas de la vie. Joli mois de mai 👼🌟😇 Déposé par AMARY 🍀🍀 En ce 1°mai je t'envoie ce bouquet parfumé de tendresse pour toute une année de bonheur🍀🍀 Déposé par nina1997 Sous la mousse du rocher tu crois en vain te cacher🌾Sous la mousse verte et douce malgré toi petit muguet 🌾Ton parfum dit ton secret🌾Hippolyte Louis. Bon 1er Mai 🌾 Déposé par colombine67 Que ce premier mai vous apporte chance et bonheur tout au long de cette année. Déposé par prixy Doux câlins au pays des Anges. Un grand merci pour vos gentils messages. Un très bon moment de lecture. Bonne soirée avec mes amitiés Déposé par prixy Doux câlins au pays des Anges. Un grand merci pour vos gentils messages. Un très bon moment de lecture. Bonne soirée avec mes amitiés |
6645 messages
Déposé par Biscuit le 29/03/2015demain dès l'aube de victor hugo Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. |
Déposé par colombine67 le 29/03/2015 Cette info vient de tomber, partagez! "Ma fiancée n'apprécie pas du tout ma chienne et c'est pour cette raison que je lance cet appel. C'est une pure race, elle a partagé ma vie durant presque trois ans. Elle adore les jouets, même si elle n'a pas toutes les bases en éducation. Poils longs, nécessite de l'entretien. Tout spécialement les ongles, elle aime bien qu'on les lui fasse. Elle aboie souvent la nuit et a l'habitude de dormir lorsque je vais travailler. Elle est très délicate pour ce qui est de la nourriture, elle n'aime que la nourriture de marques, les chères. Malheureusement, elle ne vous fait pas la fête lorsque vous rentrez à la maison. Elle n'est pas très câline, lorsque vous êtes un peu déprimé. Habituellement, elle ne mord pas, mais elle est souvent de mauvais poil et elle grogne facilement. Voilà... Si tu connais quelqu'un qui serait intéressé par ma fiancée de 30 ans, égoïste, tordue et inhumaine, STP, qu'il vienne la prendre!!! Ma chienne et moi voulons lui trouver un nouveau foyer!!! |
Déposé par rafia le 29/03/2015La bonne chienne. Les deux petits jouaient au fond du grand pacage; La nuit les a surpris, une nuit d’un tel noir Qu’ils se tiennent tous deux par la main sans se voir : L’opaque obscurité les enclot dans sa cage. Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre, Les chèvres, les cochons, la vache, la jument, Sont égarés ou bien muets pour le moment, Ils ne trahissent plus leur présence dans l’ombre. Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes Sourdement fait gronder l’écho. Mais la bonne chienne Margot A rassemblé toutes les têtes Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes, Chacun des deux petits lui tenant une oreille, Tous les trois, à pas d’escargot, Ils regagnent enfin, là-haut, Le vieux seuil où la maman veille. Maurice Rollinat., |
Déposé par rafia le 28/03/2015L'adieu à mon chien (auteur inconnu) La neige tombait tout doucement ce matin-là, Comme pour préparer ton lit de mort. J’ai eu du mal à contenir mes larmes, et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable… Te rappelles-tu des belles journées d’été où nous nous promenions dans les bois? Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne? Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux? Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples? Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main? Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant? De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue? Nous revenions fatigués au soleil couchant, Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive. Ton souffle me détendait et me rassurait Et ta présence m’était si précieuse, Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin. Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer. Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su. Tant d’années ont passé à tes côtés. J’ai vu le temps te vieillir, Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour. Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai, Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre. Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé. Ton corps sans vie et tes yeux voilés, Cela avait marqué la fin. Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir. Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie, Et ta perte me fait tant pleurer. Tu étais comme une partie de moi, Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur. Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années Repose en paix |
Déposé par colombine67 le 28/03/2015 A toutes celles et ceux qui n'ont plus leur compagnon..... Dès lors qu'un chien s'en est allé, des lambeaux de notre peau s'en vont aussi et des poils restent agrippés à notre chandail. On pourra lire, du matin au soir, l'empreinte laissée par sa tête et son museau au creux de notre main, l'aboiement et les mouvements frénétiques de son fouet retentiront dans le vide de notre retour, incroyablement silencieux, sans le cliquetis de ses ongles sur le sol ni les hululements de joie. Et tout nous reviendra en mémoire, les vertes prairies des parcs, les empreintes sur la neige, les patounes qui, sous l'eau, nagent à nos côtés. Les bâtons lancés, le sable dans les oreilles et sur la truffe, les coquillages sur les coussins du divan. Dès lors qu'un chien s'en est allé, la gamelle reste là et la laisse est accrochée, inerte. On se regarde les pieds dans la cuisine, et il n'y a plus de couinements d'une queue, heurtée par mégarde. On se sent volé, perdu et muet. Voilà pourquoi on parle à tort et à travers de ce qui n'a pas d'importance, pourvu qu'on nous enlève le poids de l'absence de ce corps chaud et poilu, étendu et endormi sur nos jambes ou sur nos chaussures pendant que nous regardions le téléjournal. Dès lors qu'un chien s'en est allé, nous pleurons à chaudes larmes, sans retenue ni contrôle, sans l'ambivalence que nous éprouvons à la mort d'un humain, sans conflits et litiges, tourments et passion d'une vie entière. Au contraire, avec lui, nous connaissons la pureté d'un amour, et lorsque le chien s'en va, cet amour reste en nous. Il nous l'a offert sans hésitation, nous en a fait cadeau sans défection dans son regard infini, doucement velouté, constamment vigilant, qui n'a jamais fléchi quand il croisait le nôtre. Dès lors qu'un chien s'en va, c'est réellement un part de notre vie qui s'en va avec lui. |
Déposé par lili2248 le 27/03/2015**** Pour Toi … Mon étoile **** Le bonheur n’est pas une destination à atteindre mais une façon de voyager dans les rêves Un jour au détour d’un chemin de la Vie au croisement d'un sentier du destin il s’offre à nous et ce rêve devient la réalité celle d’une belle rencontre d'une extraordinaire amitié... avec nos compagnons ... nous sommes heureux de croiser vos routes et de partager vos existences et si la vie est venue nous séparer.... ont sait que nos rêves et notre Amour resteras gravés dans nos Cœurs à jamais et continuerons de vous accompagner à vos côtés pour voyager sur les mêmes chemins on vous aimes pour toujours nous resterons fidèles à nos pensées en vos mémoires... Pour vous !! Qui nous ont rempli nos Cœurs de bonheur et de joie **** de la part de gipsy et xéres … mes pensées … lili2248 **** |
Déposé par ovanek le 27/03/2015❤ L’amour est une arme dont ton cœur est la cible ... Pensée ...Phil ❤ |
Déposé par colombine67 le 27/03/2015*** Prie avec moi et diffuse cette oraison de par le monde, tu le feras n'est-ce pas?*** Heureux nous serions si le jour du Jugement Dernier nous pouvions affirmer : "J'ai aimé aussi sincèrement et j'ai vécu aussi honnêtement que mon chien". Et nous les considérons comme de simples animaux! Cette prière, composée par "liberation for our brother and sister animals" afin d'aider nos frères et soeurs animaux, est destinée à tous les fidèles animaux qui n'ont qu'un but, plaire à leur maître. - Que tous les êtres sensibles du règne animal qui sont soumis à des douleurs insupportables dans les laboratoirs du monde entier ne souffrent plus. Q'une compassion aimante s'empare des coeurs de ceux qui les gardent en captivité. - Que tous les êtres sensibles du règne animal qui pâtissent d'être enfermés des jours, des mois, des années durant dans de minuscules cages dans l'incapacité de se mouvoir soient emplis de paix et de sérénité. - Que les millions d'animaux qui attendent en rang dans les abattoirs soient délivrés de leur peur. - Qu'aucun animal ne continue de souffrir et d'être déprimé. Que leur corps soit délivré des blessures, du mal être et de la maladie. - Que ceux qui ont besoin d'un foyer ou ont été chassés du leur trouvent un abri et la plénitude de l'amour, à manger et à boire. - Que ceux qui sont torturés pour leur peau ou pour servir de divertissement soient libérés. - Que ceux qui se croient supérieurs à leurs frères et soeurs animaux fassent preuve d'une honnêteté parfaite et qu'ils comprennent dans leur coeur que les animaux n'ont pas été mis sur cette terre pour être tués ou exploités. - Que les millions d'êtres sensibles qui demeurent sur terre, dans les mers, qui sont abusés, exploités et assassinés à cause de l'avarice, de la haine et de l'ignorance soient délivrés de leurs souffrances. - Que tous les êtres sensibles humains et non humains vivions ensemble, en harmonie, paix et justice et ainsi nous parviendrons à atteindre l'illumination parfaite. - Que je sois la voix de ceux qui n'en ont pas, et que mes forces ne viennent pas à faiblir pour défendre les faibles, mes frères, les animaux. |
Déposé par poutounou le 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
Déposé par rafia le 26/03/2015LES CHIENS PLEURENT AUSSI Moi je sais que les chiens pleurent aussi Quand ils ont du chagrin, Que parfois ils se cachent Pour souffrir à loisir Sans que leur maître sache Ni où ils sont, Ni le grand mal qui les conduit. J'en sais un qui partit au fond d'une forêt Pour fuir les longs soupirs, De cet enfant malade. Cet enfant qui jouait avec lui Ses chamades, Et qu'il ne s'en revînt Que lorsqu'il fut sauvé. Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir, De faim, de désespoir Au départ de son maître Pour les Terres d'Ailleurs, Où seules ne pénètrent, Que les ombres de ceux Dont la vie va finir. Mais moi je sais aussi Que dans ces Pays Hauts, Les hommes et les chiens, Chaque fois se retrouvent, Sur les vastes prairies Quand les portes s'entrouvent Parmi l'immensité des joies Et des repos. Louis AMADE |
Déposé par colombine67 le 26/03/2015 POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière. Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous. Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes. Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. » J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu… Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité. Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur. Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne… On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon. Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !... Tu n’es jamais venu ! Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI ! P’tit Loup Il mourut un 24 décembre Cause du décès : Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé ! Sonia Lopez |
Déposé par rafia le 25/03/2015CITATION DE BENJAMIN CONSTANT La douleur réveille en nous, tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage. Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié. Elle nous apprend à lutter pour nous et pour les autres. |
Déposé par colombine67 le 25/03/2015 GABRIEL, L’ANGE DECHU Une vie de combats qui se termine à la fourrière. Humilié, cassé, sans foi en l’homme… La faute à son maître. Par cette triste journée, j’ai décidé de rester seule avec toi. Nous ne nous connaissons pas, jamais nos regards ne se sont croisés et pourtant, aujourd’hui, je sais que je dois m’asseoir en face de toi. Et c’est cette après-midi et pas une autre, parce que demain, demain…tu ne seras plus. Ils vont t’ôter la vie, et en silence, tu hurles pour qu’ils le fassent. Le soir est en train de tomber, l’horizon rougit, pareil au filet de sang qui coule le long de ta commissure. C’est vrai, tu fais peur Il te manque un œil et je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance que tu dus éprouver lorsque tu le perdis durant l’un de tes combats clandestins où tu t’étais retrouvé embarqué, bien malgré toi par ces sadiques. Contraint à te battre, contraint à tuer… Une lutte acharnée, une lutte à mort, coups de dents de toute part, la chair en lambeaux. Vous, pauvres malheureux, au service de démons travestis en idoles. Je ne peux ni ne veux imaginer tous les moments qui ont jalonné ces treize années de ta sombre existence. Trop d’amertume. Pourtant tu as dû être pour tes bourreaux un « champion », un grand et bel « exemplaire », tu l’es encore d’ailleurs. De bonne corpulence, doté « d’une belle mâchoire », c’est bien comme cela qu’ils te préfèrent ces sanguinaires, n’est-ce pas ? Maintenant, derrière les barreaux de la fourrière, tu te tiens devant moi, vieux, malade, cassé. Tu me regardes fixement avec ton unique œil, impassible, hiératique, fatigué par une vie qui a été si injuste avec toi. Parfois, je ne parviens plus à soutenir ton regard. Tu en imposes, je suis troublée et à la fois je suis empreinte d’une grande compassion à ton égard. Ils t’ont rendu malheureux… Assise en face de toi, l’après-midi se meurt, triste et belle à la fois, teintée de sang avec une ligne blanche à l’horizon. Toi et moi, savons que cette ligne c’est celle du jour à venir. C’est la ligne de l’espoir, la fin de ta douleur, de ta souffrance. Vieux, résigné, blessé et méfiant…. Tu as raison de ne plus faire confiance, personne ne t’a aidé. A part des coups, des insultes, qu’as-tu jamais reçu ? Je n’ai même pas tenu à connaître ton nom, ce nom d’assassin dont tu as été affublé, avec lequel ils t’ont crié dessus et frappé. Aujourd’hui, je t’ai appelé Gabriel Ce sera notre secret. Rien que pour nous. Gabriel comme l’ange déchu que tu es. Et tu continues à me regarder, c’est étrange, tu me regardes si profondément…. Je sais. Il n’est pas difficile de comprendre que pour toi, tout n’est plus qu’indifférence. Toi-même tu n’espères même plus que quelque chose de bon puisse t’arriver, que quelqu’un puisse te donner ne serait-ce qu’une caresse. Tu n’espères plus rien de personne et je sais que lorsqu’ils viendront te chercher demain pour t’endormir pour toujours, je sais que tu ne tenteras même pas d’échapper à la mort amie. Vous les chiens, qui flairez la mort à distance…. Tu sais, à présent, que ce sera le seul acte d’amour des Hommes à ton encontre. L’après-midi s’achèvera dans la fourrière et toi et moi, nous continuerons à nous regarder, seuls. Les autres chiens se taisent, peut-être par respect pour ce moment d’adieux… Je te regarde une dernière fois, totalement angoissée, défaite et dans un filet de voix, je t’appelle tendrement. Mais tu es dans l’incapacité de bouger ne serait-ce qu’un muscle de tout ce corps las. Rien en toi n’est plus capable de communiquer, aucun mouvement de la queue, aucun mouvement de tes oreilles mutilées. Je me relève et tu me suis du regard. Je place dans un coin de ta geôle, un petit matelas. C’est l’unique cadeau que je peux encore te faire. Tu seras confortable pour ta dernière nuit. Tes os usés ne ressentiront pas le froid. Ton dernier regard me remercie. J’aurais tellement voulu t’aider davantage, mais je suis arrivée trop tard. J’espère que tu le comprendras. D’un pas lent, tu te diriges vers le matelas, tu te couches et tu t’endors. Peut-être tes rêves te conduiront-ils vers l’Arc-en-ciel ? Dors petit ange déchu. Repose-toi et demain, à ton réveil, ne vois, l’espace d’un instant, que la féerie des couleurs et quitte pour toujours ce monde de ténèbres dans lequel ils t’ont plongé. La nuit est tombée. L’horizon rougeoyant s’en est allé, mais dans le ciel sombre la ligne blanche frémit encore : ta dernière espérance. Nuria Martín |
Déposé par Biscuit le 25/03/2015Un rêve parmi les étoiles Avec une douce mélodie Dans le noir je me fonds, Ne regardant que les étoiles Qui brillent, dans le noir total. J'ouvre la fenêtre, Le vent me caresse la peau Il fait frissonner mon dos. Je regarde vers le ciel Devant ce paysage étoilé, Une larme ne peu s'empêcher De glisser le long de ma joue, Elle coule jusqu'à toucher mon cou. Parmi les étoiles, je te vois, Tu me regardes comme la première fois, Tu me fais signe de sécher mes yeux... A présent je sais que la haut tu es heureux... Je t’aime ,Rubens |
Déposé par myriam31 le 24/03/2015LE PRINTEMPS Le soleil s'est réveillé, Les nouvelles plantes ont poussé, Les forêts sont à nouveau habitées, Le printemps vient de commencer. Le temps joyeux est présent, Les oiseaux échangent leurs chants, Un moment d'enchantement, C'est le printemps. Profitez-en!de se beau moment, Il est encore temps! Ah!Quel beau temps! C'est le printemps! (Théophile Gauthier) Tendresse et papouille pour toi bel ange, amitiés à ta maman |
Déposé par choupinou le 24/03/2015pour toi mon ami ,mon ange, Toi mon coeur, mon ami On s'est rencontré Nous nous sommes vite aimés et tu es devenue mon plus grand ami Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Des joies nous avons partagés, Des peines avons nous supporté A l'écoute j'étais, A l'écoute tu étais, Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Je ne t'oublie pas Des semaines ,des mois sont passés, Et la mésange continue de te murmurer de son doux chant de mes nouvelles colportées Avec tant d'intérêt et de mon amour éploré Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Nous ne pouvions nous séparer Inséparable nous étions Meilleurs amies nous dévoilions A tout jamais dans ma vie marquée Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Des nouvelles manquent à ce jour Toujours en attente de ton tour Des questions se posent Aucune réponses ne s'interposent Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Je ne t'oublie pas Toi mon coeur, mon ami Quelle est cette pluie Qui m'amène a me demander M'aurais-tu oublié non bien sur,de ton absence je suis rongée Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas |
Déposé par colombine67 le 24/03/2015 LA PRIERE Je vais vivre entre 10 et 15 ans Si c’est pour me haïr, pour me faire souffrir, penses-y à deux fois avant de me prendre avec toi. Essaye de m’aimer tel que je suis, parce que ce n’est pas moi qui ai choisi ma condition. De même que je n’ai pas la possibilité de choisir amis ou maîtres. Accorde-moi du temps pour comprendre ce que tu veux de moi. Avant de me crier dessus, pour m’éduquer, est-ce toi qui te trompes ou est-ce moi qui n’ai pas compris ce que tu attends de moi. Chéris-moi, car je ne vis que pour cela. Ne te fâche pas contre moi, ne me punis pas. Tu as ton travail, tes amis, tes loisirs, moi je n’ai que toi. Parle-moi de temps en temps ! S’il te semble que je ne comprenne pas, sache que je sais ce que tu penses, ce que tu ressens. Rappelle-toi que jamais je n’oublierai la manière dont tu te comportes avec moi. Avant de me frapper, pense que je pourrais te mordre, mais jamais je ne ferais une chose pareille. Quand je ne suis encore qu’un chiot, ne me considère pas comme un jouet, dont tu te débarrasseras, lorsqu’il ne te sera plus d’aucune utilité Car mon amour pour toi sera éternel. Prends soin de moi alors que je vieillirai, que je serai édenté, que je serai sourd, que je ne pourrai plus marcher. Quelqu’un, à son tour, prendra soin de toi, car la vieillesse est la même pour tous. Accompagne-moi pour mon dernier voyage. Ne dis jamais « C’est plus fort que moi, je ne peux regarder » ou « Arrangez-vous pour que je ne sois pas présent ». A tes côtés, tout est plus facile. Ceci sera la contrepartie à la fidélité, au dévouement dont j’ai toujours fait preuve à ton égard. Quand je ne serai plus là, ne sois pas triste, au contraire, essaye de rendre heureux un autre chien et aime-le comme tu m’as aimé. Auteur anonyme |
Déposé par colombine67 le 23/03/2015Qui aurait cru que tu deviendrais autant accro à cette boule de poils ? Ton chien, tu ne peux plus t'en passer et il apparaît aujourd'hui comme un véritable membre de ta famille. Il te comprend, te câline, te fait sourire et tu ne t'ennuie jamais à ses côtés. Oui, ton toutou d'amour occupe vraiment une place très importante dans ton cœur. 1. Tu es son point de repère Tu l'as adopté et tu l'as toujours assumé ! Ton chien fait partie de ton quotidien et de ta famille. Tu ne le laisseras jamais tomber et il le sait. 2. Tu lui laisses toujours une place sur le canap' C'est mal, c'est vrai, mais ses câlins valent tellement plus que les vilains commentaires de tes invités. Et avec une telle bouille, comment refuser ? 3. Il te comprend Il ressent ta tristesse comme ta joie. Lorsque tu pètes la forme, il ne cesse de courir dans tous les sens et trémousse sa queue activement. Quand tu es triste, il tente de te consoler et n'arrête pas de te câliner. 4. Il te suit partout où tu vas Même si tu dois courir pour aller chercher du pain, ton doggy est de la partie. Attendre dans la voiture cinq minutes ? Ce n'est rien pour lui et il préfère car dans tous les cas, il n'est pas loin de toi. 5. Il monte dans le coffre tout seul quand tu prépares ton départ en vacances Tu ouvres le coffre pour y placer les valises et hop, il s'incruste. Ton chien a trop peur que tu partes sans lui et ça, tu trouves ça vraiment trop mignon. 6. Il te câline encore et encore Quand tu es fatiguée et que tu as envie de tout claquer, il n'y a que lui pour te rebooster. Avez-vous vu ce regard ? Comment ne pas craquer ? Impossible. 7. Il lui suffit de te voir pour être heureux Et le voir "te faire la fête" quand tu rentres du travail et aboyer comme un chiot, c'est vraiment touchant. 8. Il culpabilise quand il a fait une bêtise Tu as beau être en colère, tu ne peux t'empêcher de sourire. 9. Tu es persuadée qu'il comprend TOUT ce que tu dis Le prof de philo du lycée n'avait tout simplement rien compris. Bien sur que les animaux ont une conscience, non mais oh ! 10. Parce que ton chien, c'est ton meilleur ami Il t'est fidèle et reste doux envers toi toute sa vie. Il dépend de toi et l'a bien compris. Et de l'amour, tu lui en donnes sans compter. |
Déposé par poutounou le 22/03/2015Mars * Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons. Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu'il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c'est pour rire. Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons … * Maurice CARÊME |
Déposé par spanky le 22/03/2015Tu me manques tellement ... Ce soir je suis dans l'antre de mon passé, Celui-même ou tu étais encore près de moi... Il n'y a rien à faire.. mon coeur pâlit, Je suis aux portes de l'enfer D'un chagrin qui me transit... Bien sûr, j'ai des jours plus sympas que d'autres, Mais il y a aussi des heures qui ne terminent pas. Mes questions restent sans réponse, Et je n'accepte pas ton ultime départ. Entre glace et feu, je ne sais pas où je suis bien... J'espère juste que toi, tu l'es. J'imagine en cachette que tu voles au-dessus de moi, Et que même si tu n'es plus présent Dans ton enveloppe terrestre, Les anges te permettent de me tenir encore la main... |
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