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En hommage à
RUBENS
SETTER-GORDON
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
 


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En hommage à RUBENS

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





137 bougies

61829 Fleurs
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Un gros poutounou d'amour tout sucré sur ta belle truffe....
Déposé par myriam31
Déposé par myriam31
Un joli bouquet rempli de douceur et de chaleur pour te réchauffer petit ange, amitiés à ta maman
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Ces quelques fleurs pour un bel Ange....
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Bizzz patout, patout, mon Trésor. Maman ne va pas très fort en ce moment. J'espère que des jours meilleurs reviendront !!!!
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Bizzzz mon coeur.....
Déposé par zenelle
Déposé par zenelle
Des milliers de bisous sur ton adorable frimousse,bon dimanche à ta famille.
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Joli bouquet rempli d'amour pour toi, mon bel Ange.....
Déposé par myriam31
Déposé par myriam31
Bon week-end à ta maman avec plein de bisous et de papouilles pour toi bel ange
Déposé par missvero
Déposé par missvero
bisous petit ange
Déposé par CHIPIE66
Déposé par CHIPIE66
Merci de me faire partager votre citation, je suis trés touchée.Amitié.
Déposé par CHIPIE66
Déposé par CHIPIE66
Ces quelques fleurs sont peu de choses.Pour exprimer toute ma tendresse , il faudrait des milliers de roses....Amitié.
Déposé par zenelle
Déposé par zenelle
Je te souhaite un bon week-end dans les jardins du paradis,Amitiés à ton adorable maman.
Déposé par myriam31
Déposé par myriam31
Douces et tendres pensées avec plein de bisous pour toi et maman
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Un joli bouquet pour mon prince des nuages.....
Déposé par titidunord
Déposé par titidunord
doux repos ruben
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
ce joli bouquet de la part de tes amis
Déposé par CHIPIE66
Déposé par CHIPIE66
Portez vous bien de ce côté ci ou de l'autre de la grande rive...Mille baisers douceur pour toi adorable RUBENS.
Déposé par CHIPIE66
Déposé par CHIPIE66
Permettez moi de vous offrir cette citation : le malheur de l'avoir perdu, ne doit pas nous faire oublier, le bonheur de l'avoir connu....Amitié.
Déposé par zenelle
Déposé par zenelle
Tout plein de gros bisous sur ta belle truffe,Bon week-end à ta maman
Déposé par appol
Déposé par appol
Ce bouquet t'est offert par ton pote Falco...


6645 messages

Déposé par Biscuit le 29/03/2015  

demain dès l'aube de victor hugo
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Déposé par colombine67 le 29/03/2015  
Cette info vient de tomber, partagez!
"Ma fiancée n'apprécie pas du tout ma chienne et c'est pour cette raison que je lance cet appel.
C'est une pure race, elle a partagé ma vie durant presque trois ans. Elle adore les jouets, même si elle n'a pas toutes les bases en éducation. Poils longs, nécessite de l'entretien. Tout spécialement les ongles, elle aime bien qu'on les lui fasse. Elle aboie souvent la nuit et a l'habitude de dormir lorsque je vais travailler. Elle est très délicate pour ce qui est de la nourriture, elle n'aime que la nourriture de marques, les chères.
Malheureusement, elle ne vous fait pas la fête lorsque vous rentrez à la maison. Elle n'est pas très câline, lorsque vous êtes un peu déprimé. Habituellement, elle ne mord pas, mais elle est souvent de mauvais poil et elle grogne facilement.
Voilà... Si tu connais quelqu'un qui serait intéressé par ma fiancée de 30 ans, égoïste, tordue et inhumaine, STP, qu'il vienne la prendre!!! Ma chienne et moi voulons lui trouver un nouveau foyer!!!

Déposé par rafia le 29/03/2015  
La bonne chienne.
Les deux petits jouaient au fond du grand pacage;
La nuit les a surpris, une nuit d’un tel noir
Qu’ils se tiennent tous deux par la main sans se voir :
L’opaque obscurité les enclot dans sa cage.
Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre,
Les chèvres, les cochons, la vache, la jument,
Sont égarés ou bien muets pour le moment,
Ils ne trahissent plus leur présence dans l’ombre.
Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes
Sourdement fait gronder l’écho.
Mais la bonne chienne Margot
A rassemblé toutes les têtes
Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes,
Chacun des deux petits lui tenant une oreille,
Tous les trois, à pas d’escargot,
Ils regagnent enfin, là-haut,
Le vieux seuil où la maman veille.
Maurice Rollinat.,

Déposé par rafia le 28/03/2015  
L'adieu à mon chien (auteur inconnu)
La neige tombait tout doucement ce matin-là,
Comme pour préparer ton lit de mort.
J’ai eu du mal à contenir mes larmes,
et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable…
Te rappelles-tu des belles journées d’été
où nous nous promenions dans les bois?
Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne?
Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux?
Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples?
Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main?
Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant?
De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue?
Nous revenions fatigués au soleil couchant,
Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive.
Ton souffle me détendait et me rassurait
Et ta présence m’était si précieuse,
Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin.
Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée
Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer.
Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours
Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su.
Tant d’années ont passé à tes côtés.
J’ai vu le temps te vieillir,
Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour.
Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai,
Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre.
Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé.
Ton corps sans vie et tes yeux voilés,
Cela avait marqué la fin.
Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle
Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir.
Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie,
Et ta perte me fait tant pleurer.
Tu étais comme une partie de moi,
Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent
Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur.
Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années
Repose en paix

Déposé par colombine67 le 28/03/2015  
A toutes celles et ceux qui n'ont plus leur compagnon.....
Dès lors qu'un chien s'en est allé, des lambeaux de notre peau s'en vont aussi et des poils restent agrippés à notre chandail.
On pourra lire, du matin au soir, l'empreinte laissée par sa tête et son museau au creux de notre main, l'aboiement et les mouvements frénétiques de son fouet retentiront dans le vide de notre retour, incroyablement silencieux, sans le cliquetis de ses ongles sur le sol ni les hululements de joie.
Et tout nous reviendra en mémoire, les vertes prairies des parcs, les empreintes sur la neige, les patounes qui, sous l'eau, nagent à nos côtés. Les bâtons lancés, le sable dans les oreilles et sur la truffe, les coquillages sur les coussins du divan.
Dès lors qu'un chien s'en est allé, la gamelle reste là et la laisse est accrochée, inerte.
On se regarde les pieds dans la cuisine, et il n'y a plus de couinements d'une queue, heurtée par mégarde.
On se sent volé, perdu et muet. Voilà pourquoi on parle à tort et à travers de ce qui n'a pas d'importance, pourvu qu'on nous enlève le poids de l'absence de ce corps chaud et poilu, étendu et endormi sur nos jambes ou sur nos chaussures pendant que nous regardions le téléjournal.
Dès lors qu'un chien s'en est allé, nous pleurons à chaudes larmes, sans retenue ni contrôle, sans l'ambivalence que nous éprouvons à la mort d'un humain, sans conflits et litiges, tourments et passion d'une vie entière.
Au contraire, avec lui, nous connaissons la pureté d'un amour, et lorsque le chien s'en va, cet amour reste en nous. Il nous l'a offert sans hésitation, nous en a fait cadeau sans défection dans son regard infini, doucement velouté, constamment vigilant, qui n'a jamais fléchi quand il croisait le nôtre.
Dès lors qu'un chien s'en va, c'est réellement un part de notre vie qui s'en va avec lui.

Déposé par lili2248 le 27/03/2015  
**** Pour Toi … Mon étoile ****
Le bonheur n’est pas une destination à atteindre
mais une façon de voyager dans les rêves
Un jour au détour d’un chemin de la Vie
au croisement d'un sentier du destin
il s’offre à nous et ce rêve devient la réalité
celle d’une belle rencontre
d'une extraordinaire amitié... avec nos compagnons ...
nous sommes heureux de croiser vos routes
et de partager vos existences
et si la vie est venue nous séparer....
ont sait que nos rêves et notre Amour
resteras gravés dans nos Cœurs à jamais
et continuerons de vous accompagner à vos côtés
pour voyager sur les mêmes chemins
on vous aimes pour toujours
nous resterons fidèles à nos pensées en vos mémoires...
Pour vous !!
Qui nous ont rempli nos Cœurs de bonheur et de joie
**** de la part de gipsy et xéres … mes pensées … lili2248 ****

Déposé par ovanek le 27/03/2015  

L’amour est une arme dont ton cœur est la cible ...
Pensée ...Phil


Déposé par colombine67 le 27/03/2015  
*** Prie avec moi et diffuse cette oraison de par le monde, tu le feras n'est-ce pas?***
Heureux nous serions si le jour du Jugement Dernier nous pouvions affirmer : "J'ai aimé aussi sincèrement et j'ai vécu aussi honnêtement que mon chien". Et nous les considérons comme de simples animaux! Cette prière, composée par "liberation for our brother and sister animals" afin d'aider nos frères et soeurs animaux, est destinée à tous les fidèles animaux qui n'ont qu'un but, plaire à leur maître.
- Que tous les êtres sensibles du règne animal qui sont soumis à des douleurs insupportables dans les laboratoirs du monde entier ne souffrent plus. Q'une compassion aimante s'empare des coeurs de ceux qui les gardent en captivité.
- Que tous les êtres sensibles du règne animal qui pâtissent d'être enfermés des jours, des mois, des années durant dans de minuscules cages dans l'incapacité de se mouvoir soient emplis de paix et de sérénité.
- Que les millions d'animaux qui attendent en rang dans les abattoirs soient délivrés de leur peur.
- Qu'aucun animal ne continue de souffrir et d'être déprimé. Que leur corps soit délivré des blessures, du mal être et de la maladie.
- Que ceux qui ont besoin d'un foyer ou ont été chassés du leur trouvent un abri et la plénitude de l'amour, à manger et à boire.
- Que ceux qui sont torturés pour leur peau ou pour servir de divertissement soient libérés.
- Que ceux qui se croient supérieurs à leurs frères et soeurs animaux fassent preuve d'une honnêteté parfaite et qu'ils comprennent dans leur coeur que les animaux n'ont pas été mis sur cette terre pour être tués ou exploités.
- Que les millions d'êtres sensibles qui demeurent sur terre, dans les mers, qui sont abusés, exploités et assassinés à cause de l'avarice, de la haine et de l'ignorance soient délivrés de leurs souffrances.
- Que tous les êtres sensibles humains et non humains vivions ensemble, en harmonie, paix et justice et ainsi nous parviendrons à atteindre l'illumination parfaite.
- Que je sois la voix de ceux qui n'en ont pas, et que mes forces ne viennent pas à faiblir pour défendre les faibles, mes frères, les animaux.

Déposé par poutounou le 26/03/2015  
Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange…
*
Les trois noisettes
*
Trois noisettes dans le bois
Tout au bout d'une brindille
Dansaient la capucine vivement au vent
En virant ainsi que filles de roi.
*
Un escargot vint à passer :
«  Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse,
Je serai votre fiancée « 
Disaient-elles toutes trois.
*
Mais le vieux sire sourd et fatigué,
Le sire aux quatre cornes
Sous les feuilles
Ne s'est point arrêté,
*
Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois,
C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé,
Monseigneur l'écureuil,
Qui les a croquées
*
Tristan Klingsor

Déposé par rafia le 26/03/2015  
LES CHIENS PLEURENT AUSSI
Moi je sais que les chiens pleurent aussi
Quand ils ont du chagrin,
Que parfois ils se cachent
Pour souffrir à loisir
Sans que leur maître sache
Ni où ils sont,
Ni le grand mal qui les conduit.
J'en sais un qui partit au fond d'une forêt
Pour fuir les longs soupirs,
De cet enfant malade.
Cet enfant qui jouait avec lui
Ses chamades,
Et qu'il ne s'en revînt
Que lorsqu'il fut sauvé.
Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir,
De faim, de désespoir
Au départ de son maître
Pour les Terres d'Ailleurs,
Où seules ne pénètrent,
Que les ombres de ceux
Dont la vie va finir.
Mais moi je sais aussi
Que dans ces Pays Hauts,
Les hommes et les chiens,
Chaque fois se retrouvent,
Sur les vastes prairies
Quand les portes s'entrouvent
Parmi l'immensité des joies
Et des repos.
Louis AMADE

Déposé par colombine67 le 26/03/2015  
POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME
Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière.
Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous.
Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes.
Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. »
J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu…
Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité.
Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur.
Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne…
On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon.
Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !...
Tu n’es jamais venu !
Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI !
P’tit Loup
Il mourut un 24 décembre
Cause du décès :
Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé !
Sonia Lopez

Déposé par rafia le 25/03/2015  
CITATION DE BENJAMIN CONSTANT
La douleur réveille en nous,
tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage.
Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié.
Elle nous apprend à lutter pour nous
et pour les autres.

Déposé par colombine67 le 25/03/2015  
GABRIEL, L’ANGE DECHU
Une vie de combats qui se termine à la fourrière. Humilié, cassé, sans foi en l’homme…
La faute à son maître.
Par cette triste journée, j’ai décidé de rester seule avec toi. Nous ne nous connaissons pas, jamais nos regards ne se sont croisés et pourtant, aujourd’hui, je sais que je dois m’asseoir en face de toi. Et c’est cette après-midi et pas une autre, parce que demain, demain…tu ne seras plus.
Ils vont t’ôter la vie, et en silence, tu hurles pour qu’ils le fassent.
Le soir est en train de tomber, l’horizon rougit, pareil au filet de sang qui coule le long de ta commissure.
C’est vrai, tu fais peur
Il te manque un œil et je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance que tu dus éprouver lorsque tu le perdis durant l’un de tes combats clandestins où tu t’étais retrouvé embarqué, bien malgré toi par ces sadiques. Contraint à te battre, contraint à tuer… Une lutte acharnée, une lutte à mort, coups de dents de toute part, la chair en lambeaux. Vous, pauvres malheureux, au service de démons travestis en idoles.
Je ne peux ni ne veux imaginer tous les moments qui ont jalonné ces treize années de ta sombre existence.
Trop d’amertume. Pourtant tu as dû être pour tes bourreaux un « champion », un grand et bel « exemplaire », tu l’es encore d’ailleurs. De bonne corpulence, doté « d’une belle mâchoire », c’est bien comme cela qu’ils te préfèrent ces sanguinaires, n’est-ce pas ?
Maintenant, derrière les barreaux de la fourrière, tu te tiens devant moi, vieux, malade, cassé. Tu me regardes fixement avec ton unique œil, impassible, hiératique, fatigué par une vie qui a été si injuste avec toi.
Parfois, je ne parviens plus à soutenir ton regard. Tu en imposes, je suis troublée et à la fois je suis empreinte d’une grande compassion à ton égard. Ils t’ont rendu malheureux…
Assise en face de toi, l’après-midi se meurt, triste et belle à la fois, teintée de sang avec une ligne blanche à l’horizon. Toi et moi, savons que cette ligne c’est celle du jour à venir. C’est la ligne de l’espoir, la fin de ta douleur, de ta souffrance.
Vieux, résigné, blessé et méfiant…. Tu as raison de ne plus faire confiance, personne ne t’a aidé. A part des coups, des insultes, qu’as-tu jamais reçu ?
Je n’ai même pas tenu à connaître ton nom, ce nom d’assassin dont tu as été affublé, avec lequel ils t’ont crié dessus et frappé.
Aujourd’hui, je t’ai appelé Gabriel
Ce sera notre secret. Rien que pour nous. Gabriel comme l’ange déchu que tu es.
Et tu continues à me regarder, c’est étrange, tu me regardes si profondément…. Je sais. Il n’est pas difficile de comprendre que pour toi, tout n’est plus qu’indifférence. Toi-même tu n’espères même plus que quelque chose de bon puisse t’arriver, que quelqu’un puisse te donner ne serait-ce qu’une caresse. Tu n’espères plus rien de personne et je sais que lorsqu’ils viendront te chercher demain pour t’endormir pour toujours, je sais que tu ne tenteras même pas d’échapper à la mort amie. Vous les chiens, qui flairez la mort à distance….
Tu sais, à présent, que ce sera le seul acte d’amour des Hommes à ton encontre.
L’après-midi s’achèvera dans la fourrière et toi et moi, nous continuerons à nous regarder, seuls. Les autres chiens se taisent, peut-être par respect pour ce moment d’adieux…
Je te regarde une dernière fois, totalement angoissée, défaite et dans un filet de voix, je t’appelle tendrement. Mais tu es dans l’incapacité de bouger ne serait-ce qu’un muscle de tout ce corps las. Rien en toi n’est plus capable de communiquer, aucun mouvement de la queue, aucun mouvement de tes oreilles mutilées. Je me relève et tu me suis du regard. Je place dans un coin de ta geôle, un petit matelas.
C’est l’unique cadeau que je peux encore te faire. Tu seras confortable pour ta dernière nuit. Tes os usés ne ressentiront pas le froid. Ton dernier regard me remercie. J’aurais tellement voulu t’aider davantage, mais je suis arrivée trop tard. J’espère que tu le comprendras. D’un pas lent, tu te diriges vers le matelas, tu te couches et tu t’endors. Peut-être tes rêves te conduiront-ils vers l’Arc-en-ciel ? Dors petit ange déchu. Repose-toi et demain, à ton réveil, ne vois, l’espace d’un instant, que la féerie des couleurs et quitte pour toujours ce monde de ténèbres dans lequel ils t’ont plongé.
La nuit est tombée. L’horizon rougeoyant s’en est allé, mais dans le ciel sombre la ligne blanche frémit encore : ta dernière espérance.
Nuria Martín

Déposé par Biscuit le 25/03/2015  
Un rêve parmi les étoiles
Avec une douce mélodie
Dans le noir je me fonds,
Ne regardant que les étoiles
Qui brillent, dans le noir total.
J'ouvre la fenêtre,
Le vent me caresse la peau
Il fait frissonner mon dos.
Je regarde vers le ciel
Devant ce paysage étoilé,
Une larme ne peu s'empêcher
De glisser le long de ma joue,
Elle coule jusqu'à toucher mon cou.
Parmi les étoiles, je te vois,
Tu me regardes comme la première fois,
Tu me fais signe de sécher mes yeux...
A présent je sais que la haut tu es heureux...
Je t’aime ,Rubens

Déposé par myriam31 le 24/03/2015  
LE PRINTEMPS
Le soleil s'est réveillé,
Les nouvelles plantes ont poussé,
Les forêts sont à nouveau habitées,
Le printemps vient de commencer.
Le temps joyeux est présent, Les oiseaux échangent leurs chants,
Un moment d'enchantement, C'est le printemps.
Profitez-en!de se beau moment, Il est encore temps!
Ah!Quel beau temps! C'est le printemps!
(Théophile Gauthier)
Tendresse et papouille pour toi bel ange, amitiés à ta maman

Déposé par choupinou le 24/03/2015  
pour toi mon ami ,mon ange,
Toi mon coeur, mon ami
On s'est rencontré
Nous nous sommes vite aimés
et tu es devenue mon plus grand ami
Toi mon coeur, mon Ami
Chaque jour ne vie
Sans que je ne pense à toi
Ne m'oublie pas
Des joies nous avons partagés,
Des peines avons nous supporté
A l'écoute j'étais,
A l'écoute tu étais,
Toi mon coeur, mon Ami
Chaque jour ne vie
Sans que je ne pense à toi
Je ne t'oublie pas
Des semaines ,des mois sont passés,
Et la mésange continue de te murmurer
de son doux chant de mes nouvelles colportées
Avec tant d'intérêt et de mon amour éploré
Toi mon coeur, mon Ami
Chaque jour ne vie
Sans que je ne pense à toi
Ne m'oublie pas
Nous ne pouvions nous séparer
Inséparable nous étions
Meilleurs amies nous dévoilions
A tout jamais dans ma vie marquée
Toi mon coeur, mon Ami
Chaque jour ne vie
Sans que je ne pense à toi
Ne m'oublie pas
Des nouvelles manquent à ce jour
Toujours en attente de ton tour
Des questions se posent
Aucune réponses ne s'interposent
Toi mon coeur, mon Ami
Chaque jour ne vie
Sans que je ne pense à toi
Je ne t'oublie pas
Toi mon coeur, mon ami
Quelle est cette pluie
Qui m'amène a me demander
M'aurais-tu oublié
non bien sur,de ton absence je suis rongée
Toi mon coeur, mon Ami
Chaque jour ne vie
Sans que je ne pense à toi
Ne m'oublie pas

Déposé par colombine67 le 24/03/2015  
LA PRIERE
Je vais vivre entre 10 et 15 ans
Si c’est pour me haïr, pour me faire souffrir, penses-y à deux fois avant de me prendre avec toi.
Essaye de m’aimer tel que je suis, parce que ce n’est pas moi qui ai choisi ma condition.
De même que je n’ai pas la possibilité de choisir amis ou maîtres.
Accorde-moi du temps pour comprendre ce que tu veux de moi.
Avant de me crier dessus, pour m’éduquer, est-ce toi qui te trompes ou est-ce moi qui n’ai pas compris ce que tu attends de moi.
Chéris-moi, car je ne vis que pour cela.
Ne te fâche pas contre moi, ne me punis pas.
Tu as ton travail, tes amis, tes loisirs, moi je n’ai que toi.
Parle-moi de temps en temps !
S’il te semble que je ne comprenne pas, sache que je sais ce que tu penses, ce que tu ressens.
Rappelle-toi que jamais je n’oublierai la manière dont tu te comportes avec moi.
Avant de me frapper, pense que je pourrais te mordre, mais jamais je ne ferais une chose pareille.
Quand je ne suis encore qu’un chiot, ne me considère pas comme un jouet, dont tu te débarrasseras, lorsqu’il ne te sera plus d’aucune utilité
Car mon amour pour toi sera éternel.
Prends soin de moi alors que je vieillirai, que je serai édenté, que je serai sourd, que je ne pourrai plus marcher.
Quelqu’un, à son tour, prendra soin de toi, car la vieillesse est la même pour tous.
Accompagne-moi pour mon dernier voyage.
Ne dis jamais « C’est plus fort que moi, je ne peux regarder » ou « Arrangez-vous pour que je ne sois pas présent ».
A tes côtés, tout est plus facile.
Ceci sera la contrepartie à la fidélité, au dévouement dont j’ai toujours fait preuve à ton égard.
Quand je ne serai plus là, ne sois pas triste, au contraire, essaye de rendre heureux un autre chien et aime-le comme tu m’as aimé.
Auteur anonyme

Déposé par colombine67 le 23/03/2015  
Qui aurait cru que tu deviendrais autant accro à cette boule de poils ? Ton chien, tu ne peux plus t'en passer et il apparaît aujourd'hui comme un véritable membre de ta famille. Il te comprend, te câline, te fait sourire et tu ne t'ennuie jamais à ses côtés. Oui, ton toutou d'amour occupe vraiment une place très importante dans ton cœur.
1. Tu es son point de repère
Tu l'as adopté et tu l'as toujours assumé ! Ton chien fait partie de ton quotidien et de ta famille. Tu ne le laisseras jamais tomber et il le sait.
2. Tu lui laisses toujours une place sur le canap'
C'est mal, c'est vrai, mais ses câlins valent tellement plus que les vilains commentaires de tes invités. Et avec une telle bouille, comment refuser ?
3. Il te comprend
Il ressent ta tristesse comme ta joie. Lorsque tu pètes la forme, il ne cesse de courir dans tous les sens et trémousse sa queue activement. Quand tu es triste, il tente de te consoler et n'arrête pas de te câliner.
4. Il te suit partout où tu vas
Même si tu dois courir pour aller chercher du pain, ton doggy est de la partie. Attendre dans la voiture cinq minutes ? Ce n'est rien pour lui et il préfère car dans tous les cas, il n'est pas loin de toi.
5. Il monte dans le coffre tout seul quand tu prépares ton départ en vacances
Tu ouvres le coffre pour y placer les valises et hop, il s'incruste. Ton chien a trop peur que tu partes sans lui et ça, tu trouves ça vraiment trop mignon.
6. Il te câline encore et encore
Quand tu es fatiguée et que tu as envie de tout claquer, il n'y a que lui pour te rebooster. Avez-vous vu ce regard ? Comment ne pas craquer ? Impossible.
7. Il lui suffit de te voir pour être heureux
Et le voir "te faire la fête" quand tu rentres du travail et aboyer comme un chiot, c'est vraiment touchant.
8. Il culpabilise quand il a fait une bêtise
Tu as beau être en colère, tu ne peux t'empêcher de sourire.
9. Tu es persuadée qu'il comprend TOUT ce que tu dis
Le prof de philo du lycée n'avait tout simplement rien compris. Bien sur que les animaux ont une conscience, non mais oh !
10. Parce que ton chien, c'est ton meilleur ami
Il t'est fidèle et reste doux envers toi toute sa vie. Il dépend de toi et l'a bien compris. Et de l'amour, tu lui en donnes sans compter.

Déposé par poutounou le 22/03/2015  
Mars
*
Il tombe encore des grêlons,
Mais on sait bien que c'est pour rire.
Quand les nuages se déchirent,
Le ciel écume de rayons.
Le vent caresse les bourgeons
Si longuement qu'il les fait luire.
Il tombe encore des grêlons,
Mais on sait bien que c'est pour rire.
Les fauvettes et les pinsons
Ont tant de choses à se dire
Que dans les jardins en délire
On oublie les premiers bourdons.
Il tombe encore des grêlons …
*
Maurice CARÊME

Déposé par spanky le 22/03/2015  
Tu me manques tellement ...
Ce soir je suis dans l'antre de mon passé,
Celui-même ou tu étais encore près de moi...
Il n'y a rien à faire.. mon coeur pâlit,
Je suis aux portes de l'enfer
D'un chagrin qui me transit...
Bien sûr, j'ai des jours plus sympas que d'autres,
Mais il y a aussi des heures qui ne terminent pas.
Mes questions restent sans réponse,
Et je n'accepte pas ton ultime départ.
Entre glace et feu, je ne sais pas où je suis bien...
J'espère juste que toi, tu l'es.
J'imagine en cachette que tu voles au-dessus de moi,
Et que même si tu n'es plus présent
Dans ton enveloppe terrestre,
Les anges te permettent de me tenir encore la main...




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Dis-le ! Des fois, maman fait n'importe quoi ! Elle a un grain, un gentil grain, mais quand même un grain...!!!
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Votre petit "chez vous" à Diesel et toi au Paradis...
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Le chemin vers le Paradis blanc...
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Maintenant tu es tout là-haut...mon Ange...
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Le nain de jardin te cherche partout...
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Une belle rose du jardin pour un bel Ange...
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Ton premier canapé a tenu un peu plus d'une semaine...
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Rubens "jardinier" !
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Ah les balais !
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A la mer avec les baballes...
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Promenade en forêt. Tu étais infatigable...
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Monsieur "câlin" sur son lit...
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Un petit bain de boue... C'est bon pour les rhumatismes...
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