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En hommage à
BICHON-A-POIL-FRISEGipsy
Il est né le:06/07/2003
Il nous a quittés le:16/07/2013
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En hommage à
Gipsy
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19142 Fleurs
4031 messages
Déposé par zenelle le 24/02/2018Magnifique poème que je dédie à Gipsy S'il arrive le moment ou je deviens frêle et faible et que la douleur m'empêche de dormir alors fais ce qui doit être fait la dernière bataille ne peut être gagnée. Tu seras triste, je sais, mais ne laisse pas le chagrin t'arrêter, pour ce jour, plus que les autres Ton amour doit supporter l'épreuve. Nous avons eu tellement de belles années, Que tu ne voudrais pas me voir souffrir davantage. Quand le temps sera venu, s'il te plait, laisse moi partir, Emmène moi ou quelqu'un s'occupera de moi, Et reste avec moi jusqu'à la fin, Tiens-moi très fort dans tes bras et parle moi Jusqu'à ce que mes yeux ne te voient plus, Je sais qu'avec le temps, tu seras d'accord Que c'était ton dernier geste d'amour que tu me faisais., |
Déposé par zenelle le 24/02/2018UN POEME C'est un moment de douceur qui berce notre coeur C'est un moment doux qui vous gagne tout a coup on y exprime ,c'est joies,c'est peines les moments qui manquent a notre vie c'est comme un journal intime qui coule dans vos veines ou on exprime,l'amour mais aussi la douleur a l'infini ce que notre âme ressent.... dans de tel moment.... |
Déposé par zenelle le 24/02/2018Aujourd'hui quand j'ai levé ma tête J'ai pu voir dans le ciel clair Illuminé de tes beaux yeux, Le bonheur que j'avais perdu. Je me rappelle alors, Les beaux souvenirs que tu m'as laissé, Et le soleil dans mon coeur, Ne m'a jamais paru si beau, Il me caresse de ses rayons, Et réchauffe mon âme. Le temps d'un instant, Mes rêves me trahissent, Lorsqu'ils me font croire Que tu es près de moi. Mais aujourd'hui j'ai vu dans le ciel, Que c'était bien réel. |
Déposé par zenelle le 24/02/2018Il était une fois mon ange et moi Lorsque je t’ai adoptée, Nos regards se sont croisés, Nous, nous sommes adorés, Nous nous sommes aimés Nous avons partagés tant de choses, Que j’en arrive à écrire en proses Mon amour mon chien, Tu es celui a qui je tiens Et quand bien même, au-delà du ciel, Tu reste mon amour éternel C’est avec mon petit cœur que je t’adresse, Parfois avec maladresse, mon infini tendresse Mes yeux, ceux du cœur, Je m’en sers pour y voir à l’intérieur, Dans mon moi profond, Je fabrique nos souvenirs à ma façon Je m’en sers pour m’évader, Afin de t’y retrouver, Toi mon ange que j’ai tant aimé Je m’évade par la pensée, Pour éviter de sombrer, Afin de te retrouver Je prends mon envol pour d’autres Horizon, Le cœur léger, je vole sans aucune appréhension Vers l’inconnu je me dirige, Je virevolte sans aucun vertige Les couleurs de ma vie, Sont le reflet de l’infini Me voilà pour quelques heures, Quelques instants, Dans l’espace temps Je te retrouve enfin sur le pont de l’Arc-en-ciel, Aux milles et une merveille Tes bonds se poursuivent, Parmi les étoiles qui brillent Je te couvre de caresses, Je te couvre de baisers, Je souhaite que cela ne finisse jamais |
Déposé par zenelle le 24/02/2018Ah ! ne me dites pas... * Ah ! ne me dites pas que la vie est un rêve, Une ombre qui s'enfuit et flotte sous mes pas ; C'est le temps de la lutte, et si rien ne s'achève, L'éternel avenir a son germe ici-bas. * La vie est un combat, la vie est une arène Où le devoir grandit du triomphe obtenu ; C'est le sentier qui monte, et pas à pas nous mène Aux sommets d'où la vue embrasse l'inconnu. * |
Déposé par zenelle le 24/02/2018moi ton aimé maman, prends ta guitare et envoie moi un baiser ; La fleur de l’églantier sent ses bourgeons éclore, Le printemps naît ce soir ; les vents vont s’embraser ; Et la bergeronnette, en attendant l’aurore, Aux premiers buissons verts commence à se poser. Maman, prends ta guitare, et envoie moi un baiser. maman te répond Comme il fait noir dans la vallée ! J’ai cru qu’une forme voilée Flottait là-bas sur la forêt. Elle sortait de la prairie ; Son pied rasait l’herbe fleurie ; C’est une étrange rêverie ; Elle s’efface et disparaît. moi ton aimé/e maman, prends ta guitare ; la nuit, sur la pelouse, Balance le zéphyr dans son voile odorant. La rose, vierge encore, se referme jalouse Sur le frelon nacré qu’elle enivre en mourant. Écoute ! tout se tait ; songe à moi ta/ton bien-aimée. Ce soir, sous les tilleuls, à la sombre ramée Le rayon du couchant laisse un adieu plus doux. Ce soir, tout va fleurir : l’immortelle nature Se remplit de parfums, d’amour et de murmure, Comme la symphonie de nos coeur pour toujours si fou maman te répond: Pourquoi mon coeur bat-il si vite ? Qu’ai-je donc en moi qui s’agite Dont je me sens épouvanté ? Ne frappe-t-on pas à ma porte ? Pourquoi ma lampe à demi morte M’éblouit-elle de clarté ? Dieu puissant ! tout mon corps frissonne. Qui vient ? qui m’appelle ? – Personne. Je suis seule ; si vide ta voix me résonne ; Ô solitude ! tu étais ma fierté ! moi ton aimé/e Maman, prends ta guitare ; le vin de la jeunesse Fermente cette nuit dans les veines de Dieu. Mon âme est inquiète ; ta tristesse m’oppresse, Et les vents altérés m’ont apprit de ton regard pluvieux. Ô ma douce maîtresse! regarde, je suis encore là. Ton premier baiser, ne t’en souviens-tu pas,doux comme la ouate Quand je te vis si pâle au dernières caresses,avant l'au dela Et que, les yeux en pleurs, tu tombas dans mes pattes ? Ah ! je t’ai consolé d’une amère souffrance ! Hélas ! Pour moi , tu te mourais d’amour. Console-toi ce soir, je me meurs d’espérance ; J’ai besoin de ta joie pour vivre en attendant ce jour Le jour ou tu viendras me rejoindre ,pour l'éternité Je serai là pour t'attendre en toute sérénité... |
Déposé par colombine67 le 24/02/2018Timberly avait plus que jamais besoin d’aide. Pendant bien trop longtemps, Timberly est resté dehors dans le froid de Chicago. Sa maîtresse ne pouvait pas le garder chez elle car elle était très malade et ne souhaitait pas l’être encore plus. C’est finalement un éleveur de chats qui a vu le chien à l’extérieur et a décidé de contacter l’association The Anti-Cruelty Society afin de convaincre la maîtresse de Timberly de l’abandonner pour qu’elle puisse vivre dans de meilleures conditions. Un chien en danger Lorsque Timberly est arrivé au refuge, la première chose que les sauveteurs ont remarqué c’est combien son poil était emmêlé. Sa fourrure était entièrement emmêlée et pleine de nattes épaisses. Il ne fait aucun doute que l’animal n’avait pas été soigné depuis un bon moment. Totalement recouvert de poils, Timberly pouvait à peine bouger et ne voyait plus d’un œil tant il était entièrement recouvert par ce tapis de cheveux. Une situation qui ne pouvait plus durer. Les sauveteurs prennent alors la décision de raser Timberly afin de le libérer de cette prison. Mais le travail s’est avéré bien plus difficile que prévu. Après plusieurs heures de travail, les sauveteurs décident de faire appel à un toiletteur professionnel afin d’avoir de l’aide et de ne pas blesser Timberly. Finalement, après plusieurs heures de travail, Timberly était enfin libéré de sa prison poilue qui pesait pas moins d’1,3 kilos. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est désormais un chien totalement différent. Bientôt une nouvelle vie pour Timberly Libéré, Timberly a tout de suite commencé à bouger et à dévoiler son caractère. Le chien accepte même d’être touché et de s’approcher des Hommes, ce qu’il avait beaucoup de mal à faire auparavant. Une belle victoire pour tous les sauveteurs qui sont très fiers de la transformation de Timberly et n’ont qu’une hâte : qu’il soit proposé à l’adoption et trouve sa famille pour la vie afin de débuter une toute nouvelle vie bien méritée. |
Déposé par zenelle le 23/02/2018TU VAS ME MANQUER (Maitre Gims) Je ne peux plus porter cette solitude, tu me manques. Je n'ai plus personne à qui me confier. Je passe mon temps à regarder par la fenêtre, et je ne te vois toujours pas rentrer. Tout semble faux. J'en perds mes mots. Que vais-je devenir? Je garde espoir de te revoir dans un proche avenir. Je t'attends comme si tu allais rentrer TU VAS ME MANQUER. TU VAS ME MANQUER Les souvenirs ne cessent de me hanter . TU VAS ME MANQUER. TU VAS ME MANQUER... |
Déposé par zenelle le 23/02/2018Il faut laisser partir ceux qui nous ont aimés Et laisser s'en aller ceux qu'on a tant aimés. Des jours de souffrance nous t'avons épargnés, Pour toi, j'ai eu le choix : pouvoir te soulager. T'offrir comme un cadeau le sommeil éternel En laissant ton âme s'envoler vers le ciel. Une première fois je t'avais ramenée Et il fallait t'aider à monter l'escalier, A peine tu marchais déjà tu t'essoufflais Mais au delà de ça toujours tu me suivais. Tes yeux presque aveugles, bleutés, embués… Ton souffle s'épuisait, tes pattes fléchissaient. Tu écoutais le chant des oiseaux le matin, Et les chats partageaient avec toi ton coussin. Ta truffe dans le vent, tu humais les odeurs... Des choses t'échappaient mais tu n'avais pas peur. Tu semblais résigner à vivre diminuée Avec sagesse tu paraissais accepter Ces changements troublants sans comprendre vraiment Que les années passaient et que le facteur temps Poursuivait son chemin inexorablement. Mais la deuxième fois est trop vite arrivée Et nous avons tout fait pour tenter de gagner Encore quelques jours, pourquoi pas une année... Le moment redouté : le verdict est tombé. Il faut un peu de temps pour accepter l'idée Et faire quelques pas pour bien se préparer. Mais te voir trébucher, la tête de côté... Il faut se résigner. Alors que je pleurais De ton regard d'humain toi tu me consolais... Dans mes bras doucement toi tu t'es endormie... Blottie tout contre moi tu as quitté la vie Je suis restée longtemps à pleurer près de toi, Tu resteras en vie pour toujours avec moi... |
Déposé par zenelle le 23/02/2018Elévation * Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, * Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. * Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. * Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins ; * Celui dont les pensées, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! * Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal |
Déposé par zenelle le 23/02/2018***** Une amitié inoubliable ***** Grâce à notre rencontre je t´ai adopté Quand je t’ai promené j´ai commencé à t´aimer Mon Chien préféré. C´est toi mon toutou C´est toi mon bébé, mon petit bout de chou Je t´ai appris des tours que tu as bien retenu Et puis à chaque jours d’amitié Ton savoir-faire ma beaucoup plus Je t´offre tout mon bonheur tout ce que j´ai dans mon cœur Cela t´a beaucoup suffit mais un jour tu es parti Tes yeux magnifiques commencent à me manquer Je panique sans te voir à mes cotés Pourquoi être partis si vite au Paradis Rejoindre tes autres amis pour une nouvelle vie Qu´y a t-il de meilleur qu´un toutou Sur lequel on peut compter Et c´est toi mon petit bout de chou Que j´ai toujours préféré!! |
Déposé par zenelle le 23/02/2018**** Le chemin des Anges **** Les petits anges danse autour d'un être s'endormant douceur immense pour le départ d'un compagnon. Puis le vent s’arrête un instant Le temps peint aux couleurs des saisons des bleus lisses roses et blancs ce répand Lentement visages tendres et humide Des mains tremblantes te glisse dans ton jardin du paradis Se sourient de larme sans chuchotant… sans le moindre tourment ont prend sur nous ce long moment de ce départ nos pensées folles s'envolent dans nos yeux brillants et rougies. elles s'unissent aux lucioles pour vivre un dernier instant pour qu’à jamais restent en suspens nous avons si souvent souhaités que ce jour n’excitait pas pour ne pas hériter de cette flamme qui s'éteint en gardant le sentiment que nous vivront éternellement et simplement qu'ils fassent que les nuit soit claire comme aux feux de la Saint-Jean que nos yeux soient grands ouverts Pour fêter ce triste enterrement… celle du relâchement nous qui t’aimons puissamment N'adressons aucune prière mais des milliers de pensées Où que tu aille nous te retrouverons... nos cœurs veillent si le corps n’est plus… l’âme reste et Vie hors du temps... alors les anges nous réuniront à nouveaux. |
Déposé par zenelle le 23/02/2018De part leur présence, Ils comblent notre vie D’un bonheur intense, D’un amour infini ! Toujours heureux de nous voir, Jamais rancuniers de nos départs, A chacun de nos retours, Ils nous montrent leur amour A leur façon bien à eux : Frétillement de la queue Et bisous bien baveux. Toujours avec nous, Toujours derrière nous, Ils ne nous quitte jamais, Entre nous, une vraie complicité s'installe, Pas besoin de la parole pour communiquer, Entre nous, une compréhension parfaite, On se comprend entre bêtes ! Avec eux, pas d’hypocrisie, pas de faux-semblants ! Les chiens sont toujours là, sincères et francs ! Contrairement à nos frères humains, Qui vivent dans un monde superficiel, Nos petits amis canins, Eux, comprennent vraiment l’essentiel ! L’amour pour leur maître est sans paraître, Ils sont honnête et vrai ; Nos relations sont toujours colorées D’une entière vérité. Avec eux, pas de doutes, pas de suspicion Quant à la sincérité de leur affection ! Leurs câlins ne sont pas enveloppés D’une hypocrisie à peine voilée ; Leurs actions ne sont pas habillées De faux-semblants mais d’honnêteté ! Voilà pourquoi on se sens si bien Avec nos amis canins. |
Déposé par colombine67 le 23/02/2018Après une vie de maltraitance, Cora passe désormais son temps à aider les êtres humains en souffrance. La tristesse, Cora connaît. Après avoir vécu plusieurs années de négligence, cette femelle Corgi a été adoptée avec un lourd passif derrière elle. Pourtant, malgré tout ce temps de maltraitance, elle n’en a jamais voulu à l’être humain. Au contraire. Adoptée par Madison Palm, Cora est devenue une chienne de thérapie. Aujourd’hui, elle aide des personnes anxieuses à se sentir mieux. Et parfois, cette faculté naturelle que la chienne a à réconforter prend des proportions inattendues : Cet inconnu venait de perdre son chien Un jour, alors qu’elle se trouvait à l’aéroport de Seattle avec sa maîtresse, Cora s’est soudainement éloignée pour aller voir un homme inconnu, assis, qui attendait son vol. « Avant que j’aie pu la rappeler, elle était déjà aux pieds de cet homme. Je lui ai demandé si ma chienne l’embêtait. Le visage triste et les yeux humides, il m’a répondu que non, et que son chien était mort la nuit précédente », a raconté Madison Palm. Comment Cora pouvait-elle le savoir ? C’est sans doute la très grande empathie de cette chienne qui lui a permis de sentir la tristesse de cet homme. « Je pense vraiment qu’elle a un don, suggère Madison Palm. Elle sait qui souffre, et elle sait qui a besoin d’elle. Quand cet homme m’a dit que son chien venait de mourir, j’ai regardé Cora et j’ai pensé : tu es tellement incroyable. Quelle chance j’ai de t’avoir ! » |
Déposé par zenelle le 22/02/2018 |
Déposé par zenelle le 22/02/2018Amis de cœur. Recueil : Main dans la main (2014) Sans appuis, sans parents, et seuls en ce monde, Unissons nos forces, nos coeurs et nos destins ; Tissons, toi et moi unis, d'authentiques liens : Bâtissons à deux une relation réelle et profonde. Par la confiance, la franchise et la loyauté, Que cette fraternité nous soutienne et nous lie ; Un ami doit pour son ami le secourir dans la vie : Que nos deux âmes nouées puissent s'entraider. Nous, main dans la main, bravons nos lendemains, Et pour rendre plus doux nos malheurs communs, De deux âmes meurtries, qu'Amitié n'en fasse qu'une. Sans être frères de sang, devenons frères de coeurs, Partageons nos joies et soucis, et nos pires douleurs : Et que ces instants partagés, deviennent notre fortune. Maxalexis, |
Déposé par zenelle le 22/02/2018** Complicité ** Que de complicité partagée par cet amour inégalé Que ton cœur nous a donné et ne cessera de continuer Ton élégance si naturelle Ton dévouement si fidèle Nous avons laissé une telle empreinte Qu’à notre peine manque une étreinte Quand ton âme s’en est allée Et que le calme s’est installé La détresse de ce silence marque à jamais ton importance Ton image restera telle Une immense étincelle Qui jamais s’éteindra et ta place tu garderas |
Déposé par zenelle le 22/02/2018Pour l'un de tes jouets que j'avais oublié tout au fond d'un placard et viens de retrouver ma vie qui se lézarde, je me sens chavirer Je caresse ton ombre...surtout ne pas pleurer, tu ne le voudrais pas et je te dois ma joie Bien sûr que je la feins à longueur de journée, bien sûr quand vient la nuit je me laisse couler au bord de l'oreiller à qui je parle de toi Le deuil d'un chien se tait quand on est un humain Je raconte un ami, la perte de quelqu'un pour ne pas inquiéter ou entendre ricaner mais dans mon coeur meurtri je te garde caché comme un Amour secret qu'on ne peut avouer. Quand mes pensées s'envolent et quittent les chemins d'une sage raison c'est vers toi que je viens. Reprennent ô quel bonheur tous nos jeux insensés Chahut c'est au jardin, on aime tant s'amuser Râleront les voisins quand tu vas aboyer Qu'on me laisse cet instant, j'ai retrouvé mon chien on ne fait rien de mal et on ne casse rien Il est mon tout petit et ma sécurité. lui seul sait me défendre et puis me cajoler Il reconstruit mes failles et panse mon passé. On se comprend d'un geste, de mots pas énoncés Il est mon compagnon pour aller vers demain et puis je me sens vivre quand il lèche ma main Museau contre visage on apprend à aimer Son parfum, sa chaleur en moi restent gravés Ne perdez pas de temps à vouloir l'effacer, jamais vous n'atteindrez ce qu'on a partagé Vous dites qu'il n'est qu'un chien, je sais mais c'est le mien laissez moi à mes rêves, chacun a droit aux siens Pour l'un de tes jouets que j'avais oublié tout au fond d'un placard et viens de retrouver la force me revient, tu me l'avais donnée |
Déposé par zenelle le 22/02/2018Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons, au petit vent du soir, au coeur de l'été chaud. Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour, à la main qui serre votre main. Car demain, mais n'y pensez pas, demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours. Tenez-vous serrés, ne vous endormez pas sur un reproche non formulé, endormez-vous réconciliés. Vivez le peu que vous vivez dans la clarté. Julos Beaucarne, |
Déposé par zenelle le 22/02/2018L’aube est moins claire l’air moins chaud le ciel moins pur........ Le soir brumeux ternit les astres de l’azur.............. Les longs jours sont passés les mois charmants finissent............ Hélas ! voici déjà les arbres qui jaunissent ! Comme le temps s’en va d’un pas précipité ! Il semble que nos yeux qu’éblouissait l’été........... Ont à peine eu le temps de voir les feuilles vertes........... . Pour qui vit comme moi les fenêtres ouvertes.......... L’automne est triste avec sa bise et son brouillard............ Et l’été qui s’enfuit est un ami qui part......... Adieu dit cette voix qui dans notre âme pleure.......... Adieu ciel bleu ! beau ciel qu’un souffle tiède effleure ! Voluptés du grand air bruit d’ailes dans les bois.......... Promenades ravins pleins de lointaines voix........... Fleurs bonheur innocent des âmes apaisées........... |
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