Nos loulous partis au paradis blanc vivront toujours à l''intérieur de nous…
ils sont à jamais tatoués dans nos coeurs
Nous n'arrêterons jamais de penser à eux ou de parler d'eux.
Nous ne pourrons jamais les oublier car l'amour qu'ils nous ont donné ne disparaitra jamais.
En nous, ils vivront éternellement.
Milles caresses pour toi bel ange

soudain,ce fut la RENCONTRE.
rien de ce que nous avions construit dans nos rêve,
n'a égalé cet instant unique ,
ou ton pelage a touché ma peau,
ou le bonheur à épousé la douleur,
en une seconde, tu as tout fait basculé...
a présent,je sais,
je n'aurai jamais assez d'une vie,
pour m'emplir les yeux de toi.
tu me berces dans tous mes abandons,
et je ne cesse de t'apprendre,
pour ne plus t'oublier,
nous étions deux,
nous nous aimions,
bien ou mal,
un bref instant ou le temps d'une vie,
voici des mots pour dire,
une histoire qui avait commencée,
avec ses gestes de tendresse,ses instants rare,
et cet immense bonheur de tout réinventer.
non rien n'est fini,tout continue...
notre histoire perdura ,le livre ne s'est pas refermé...
On se retrouvera .....
CHOUPINOU, ,

Absence
L'année s'est écoulée, me laissant bien songeuse,
Les mois ont défilé, si rapides si courts,
Pourtant la vie s'étire et l'espace se creuse
Nous séparant, hélas, un peu plus chaque jour.
À l'encontre du temps, en retour, en arrière,
Je m'efforce d'aller, j'essaie de revenir.
Il me reste ce soir le triste anniversaire
Pour empêcher l'oubli, pour mieux le contenir.
Tu m'offres cependant la chance inespérée
De te voir apparaître au milieu de mes nuits ;
Mais ta visite est brève alors, désemparée,
Je m'accroche en pleurant au rêve qui s'enfuit.

Pour les un an de ton envol et pour ta famille chérie
Au temps de la Toussaint
Au temps de la Toussaint, quand les cimetières
S’ornent de chrysanthèmes et de bruyère,
Et qu’ainsi joliment embellis, joliment colorés,
Ils donnent à la mort comme un air de gaieté.
Quand auprès des caveaux et des tombes familiales,
Eclairés par la douce lumière automnale,
L’on revient chaque année, prier, se recueillir…
Je suis triste et mon cœur ne cesse de souffrir :
Quelque part tu attends, en lieu insolite,
Esseulé, loin des tiens, sans jamais de visite.
Et pour le souvenir, toi qui aimais les fleurs,
Vois-tu je n’ai rien d’autre à t’offrir que mes pleurs,
Ce modeste bouquet de fleurs, pour t’apporter un peu de douceur.
Tendres pensées pour toi bel ange et ta famille en ce jour des morts

Casimir
Le ciel est à moi
J'étais sans vie et sans voix
Sans espérance et sans joie
Presque rendu au bout de mon temps
Mais, voici que se sont ouverts
Les grands bras de la lumière
Et voilà que je pars vers l'univers
Je pars, je pars
Je monte, je monte
Je vole
Le ciel est à moi
Je parle aux étoiles
Je plane de soleil en soleil
Je vole, je vole,
Je brille, je brille,
Je vis
Le ciel est à moi
L'infini est bleu
Bleu et doux et bon et merveilleux !
J'étais sans vie et sans voix
L'âme pleine de « pourquoi »
Perdu dans les silences et dans le mots
Quelle est la raison des choses
Des galaxies et des roses ?
On le sait quand on sait
Que tout est beau
Je pars, je pars
Je monte, je monte
Je vole
Le ciel est à moi
Je parle aux étoiles
Je plane de soleil en soleil
Je vole, je vole,
Je brille, je brille,
Je vis
Le ciel est à moi
L'infini est bleu
Bleu et doux et bon et merveilleux !
J'étais sans vie et sans voix
Sans espérance et sans joie
Presque rendu au bout de mon temps
Mais, voici que se sont ouverts
Les grands bras de la lumière
Et voilà que je pars vers l'univers !
Stéphane Venne

LE 2 NOVEMBRE LE JOUR DES MORTS
Je suis allée au cimetière
Et j'ai déposé des fleurs légères
Sur le tombeau de mes chimères
Et quand j'ai fermé la grille
Il y avait plein de parfums
Qui m'ont conduit jusqu'à l'Eglise
Pour écouter des chants divins
Calmer les peurs maladives
Que, tous, on a, nous les humains
Et quand je suis ressortie
Sous ce ciel bleu, sans nuage
J'avais l'âme bien plus tranquille
Pour arpenter les grands chemins.
Auteur inconnu

Toussaint
Bouquet blanc dans le cimetière,
Rose rouge dans les oeillets blancs,
Bouquet d'amour taché de sang.
Rose rouge, ou poignard vibrant,
Enfant tombeau, Maman de pierre,
Petit berceau de marbre blanc.
Rose rouge, mon coeur, griffant,
Larmes cachées, séchées au vent,
Bouquet blanc dans le cimetière,
Rouge baiser
Sur masque blanc.
Jacques Prévost (1998 - Poèmes pour l'an 2000 - Extraits)
Ce jour de Toussaint est une communion entre les personnes qui souffrent aussi de la disparition de leur/leurs trésor canin/trésors canins.
Avec toute ma bien sincère amitié à laquelle je joins 1000 mercis+ 1000 bisous.
+ ma tendresse pr mes adorables Jessie & Mika.
Maryem

Au temps de la Toussaint
Au temps de la Toussaint, quand les cimetières
S’ornent de chrysanthèmes et de bruyère,
Et qu’ainsi joliment embellis, joliment colorés,
Ils donnent à la mort comme un air de gaieté.
Quand auprès des caveaux et des tombes familiales,
Eclairés par la douce lumière automnale,
L’on revient chaque année, prier, se recueillir…
Je suis triste et mon cœur ne cesse de souffrir :
Quelque part tu attends, en lieu insolite,
Esseulé, loin des tiens, sans jamais de visite.
Et pour le souvenir, toi qui aimais les fleurs,
Vois-tu je n’ai rien d’autre à t’offrir que mes pleurs,
Ce modeste bouquet de fleurs, pour t’apporter un peu de douceur.
Tendres pensées pour toi bel ange et ta famille en cette veille de Toussaint.

Le bénévolat,
C'est l'art de la gratuité du coeur,
C'est aussi une gageure.
C'est le signe annonciateur
De recréer le bonheur.
Le bénévolat,
N'est soumis qu'à la loi,
De donner à autrui en toute bonne foi,
Tout le soutien dont il a besoin
De l'aider à aller loin,
Ds le partage de la perception
De son mal-être et de ses émotions.
De trouver ensemble les solutions
Nécessaires à sa "rédemption".
Le bénévolat,
Je l'ai exercé à l'hôpital
Auprès des familles qui vivaient mal,
Les souffrances ou la fin d'un proche
Que la vie peut-être "moche" !!!
Présente aussi auprès des patients,
Qui avaient besoin d'un soutien
Pr espérer, quand la vie à un fil tient.
Le bénévolat
Ne veut d'autre résultat,
Que de tenter d'humaniser
Une société qui tend à s'individualiser.
Le bénévolat
C'est une fleur que l'on offre
C'est un cheminement personnel,
Avec un engagement relationnel.
C'est une fenêtre ouverte sur notre monde
Lequel parfois peut être immonde.
Le bénévolat
A la valeur que lui donne,
Toute aide, totalement désintéressée.
A la souffrance d'autrui s'intéresser
Sans jamais poser de question, c'est cela la donne !!!
Mille mercis et bisous pr vs.
Votre amie Maryem
+ ma tendresse à mes adorables Jessie & Mika.

*****************
*** Ami ***
Ami, dis moi pourquoi Tu sembles avoir pour moi
Toujours tant d’amitié
Pourquoi dans ton regard je vois souvent briller
Amour et fidélité
Pourquoi quand je t’accueille un jour sous mon toit
Les grands et les petits éprouvent tant de joie
Pourquoi lorsque je suis dans ma vie parfois attristé
Semble tu toujours si prêt a me réconforté
Pourquoi lorsque le soir je rentre fatiguée
Viens tu si gentiment te coucher à mes pieds
Ah ! laisse moi te dire ici combien de toi
Je peux penser de bien mon unique ami
Toi mon roi .
**** Pensée ****
******

Sans rancune.
Malgré la SOUFFRANCE ne pas occulter le BONHEUR.
Recueil : La part du rêve - 1863.
Au bonheur qui part sois fidèle,
Et souris-lui dès qu'il revient :
Le bonheur, comme une hirondelle,
De son nid parfois se souvient.
Henri-Frédéric Amiel,

L'amitié.
Recueil : Opuscules en prose et en vers - 1810.
L'amitié adoucit, calme nos peines,
En nous offrant un doux espoir :
Quand elle nous enlace de ses chaînes,
Nul être ne craint de les recevoir.
Louis Marie Patris de Breuil

A L'heure de l'adieu,
en partant loin de nous,
tes yeux se sont vidés tout d'un coup de lumière,
mes yeux se sont noyés de larmes,
et je suis restée aveugle à force de pleurer....
le temps ne réussit pas à sécher nos larmes, ni apaiser nos coeurs meurtris par ton départ.
Doux repos bel ange au paradis étoilé
Tu resteras à jamais gravé dans nos coeurs.
Bien amicalement pour toi et ta maman.

Car il existe tjrs plus malheureux/se que soi...
Douleur.
Recueil : Ballades et romances (1875)
Depuis les maux de mon enfance
J'ai supporté bien des douleurs ;
J'ai souvent, sans verser des pleurs,
Dit adieu, même à l'espérance.
Contre la dure adversité
Je luttais, rempli de courage ;
Je croyais avoir en partage
Une invincible fermeté.
Et j'aimais à penser qu'une âme généreuse
Peut braver la fortune et jamais ne plier ;
Mais je t'ai vue hier souffrante, malheureuse,
Et je me suis pris à pleurer.
Pierre Grolier.
,

L'amitié....Il est IMPOSSIBLE de vivre sans AMI/S - AMIE/S
Recueil : Opuscules en prose et en vers - 1810.
L'homme, sans ami et sans aide,
Est un vain roseau battu du vent,
Qui tour à tour résiste et cède,
Et succombe le plus souvent.
Louis Marie Patris de Breuil,

Amitié.
Recueil : Oiseaux de neige
Je connais un petit ange
Lequel n'a jamais mouillé
Sa blanche robe à la fange
Dont notre monde est souillé.
C'est lui qui donne le change
Au pauvre cœur dépouillé
Que l'amour, vautour étrange,
D'un bec cruel a fouillé.
Cet ange, qui vous ressemble,
Sous son aile nous rassemble
C'est la divine Amitié.
Son regard est doux et calme ;
Il m'offre sa chaste palme...
En voulez-vous la moitié ?
Louis-Honoré Fréchette
(1839-1908),

Le talisman...afin que la SOUFFRANCE ne tue jamais l'ESPOIR.
Recueil : Il penseroso - 1858.
Il est un feu discret qui se cache en ton âme,
Mais qui tremble et palpite à tous les coups du sort :
C'est l'espoir ! Défends bien cette petite flamme ;
Si la flamme s'éteint, ami, ton cœur est mort.
Henri-Frédéric Amiel,

Le mot d'ordre...VOULOIR VIVRE...Malgré la souffrance.
Recueil : Il penseroso - 1858.
Ne rien poursuivre, ami, c'est abdiquer sans joie :
Bataille fut toujours le mot d'ordre ici-bas.
Être libre, c'est vaincre ; il n'est pas d'autre voie ;
Vouloir, ne pas vouloir, c'est être ou n'être pas.
Henri-Frédéric Amiel,

La chanson du souvenir.
Recueil : Le pays des roses (1882)
Dans le vol tremblant de l'heure
Que nul ne peut retenir
Passe lentement et pleure
La chanson du souvenir.
Et quand sa course l'emporte
Plus loin que ne vont nos yeux,
Plus d'une voix longtemps morte
Murmure encor des adieux.
Ainsi chaque heure envolée
Du nid fragile des jours
Nous fait plus inconsolée
La perte de nos amours !
Armand Silvestre.,

Bonsoir mes très chers amis,
J'espère ne pas faire...bis repetita non placent avec ce texte....mais si c'était le cas, prière de ne pas le valider. M. E. R. C. I.
Avec toute ma bien sincère Amitié à laquelle je joins 1000 mercis pr la vôtre.
+ 1000 bisous
et ma tendresse pr mes adorables Jessie & Mika.
Maryem...votre amie.
Mes trésors adorés....si je pouvais savoir...
Texte qui peut être adapté à ns toutes et ts, qui partageons la même souffrance.
La source de votre silence coule ds mes veines...je n'entends plus vos aboiements joyeux, je ne reçois plus vos léchouilles débordantes de tendresse...
Le temps qui passe n'efface pas le chemin du bonheur parcouru ensemble.
Votre présence demeure indélébile...
Parfois, rien ne va..et je me raccroche à la famille et aux amis/amies, mes précieux tuteurs. Je sais la chance que j'ai d'être autant aimée..et protégée.
Ils sont ma fenêtre ouverte sur l'ESPOIR...l'espoir, ds quelques années, de souffrir un peu moins.
Mais n'est-ce pas une utopie ???
Car vs étiez NOS enfants (nos enfants-canins, partageant la vie de nos enfants-humains)et l'on ne se remet JAMAIS de la perte d'un enfant. Tant pis pr les personnes réfractaires à ces sentiments.
Si je ne comprends tjrs pas, pourquoi le malheur s'est ainsi abattu sur ns..(bien que j'en connaisse la cause....l'incompétence fatale d'un ex/ami véto, pr Rafia, Punky et Rock adorés...l'assassinat pr un monstre au féminin de notre Niagara toute aussi adorée....j'ai bien assimilé que l'on ne se reverrait plus...car vs êtes passés de.."l'autre côté"...ce terme si mystérieux, sur lequel je n'arrive pas à poser un cliché.
Bien que je ne pense pas, et ce, sans prétention que ce "monde" soit meilleur que celui que ns avons partagé...je voudrais savoir si ce Paradis est le prodrome d'une nouvelle et aussi belle vie, cette fois, éternelle ???
Si c'est le cas..SVP, mes amours adorés..faites-moi un petit signe, afin que je sache.
Et vs ts, les petits anges, je vs en prie, faites de même, pr vos familles adorées.
Savoir...ns permettrait de mieux supporter votre absence, qui fait si mal...ns avons été foudroyés/es pr le malheur de vs perdre.