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En hommage à
TITUS
Il nous a quittés le:15/05/2014
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887 Fleurs
124 messages
Déposé par poutounou le 21/04/2016Extrait de « Jusqu'où Je T'aime » d'Yves Duteil * S'il fallait que je te dise Tout mon amour Même en ouvrant les bras Ça ne suffirait pas Moi mon amour pour toi Je crois bien qu'il va * Jusqu'au bout du monde et de la mer Et du soleil et jusqu'au bout des étoiles Au-delà du fond des galaxies Dans l'infini de l'univers sidéral * Aussi loin que porte le regard de mon cœur Jusqu'au bout du ciel et jusqu'au fond du bonheur Je t'aime aussi loin * Moi voilà comment je t'aime Et c'est pour toujours Ça s'écrit dans mon cœur même Jour après jour * Pour en prendre la mesure Sans se tromper Il faudrait un cadran Si beau si gros si grand Que rien qu'en le posant Il irait sûrement * Jusqu'à des frontières dont tu n'as jamais rêvé Au-delà des heures et jusqu'à l'éternité Je t'aime aussi loin * Jusqu'au cœur des glaces et jusqu'au fond du désert Jusqu'au bout du ciel et dans un autre univers Je t'aime aussi loin * Si jamais tu me demandes Jusqu'où je t'aime Je t'aime aussi loin... |
Déposé par celibab le 18/04/2016Si douces ,si belles,,si odorante... par vos merveilleux messages pleins d'amour, quel bel hommage pour petit âne EDENE . Merci d'avoir eu une pensée pour lui,d'une aussi jolie manière; Caresses a votre doux petit ange la mémoire est dans le coeur., celibab a la fois choupinou.(2 pages) , |
Déposé par poutounou le 17/04/2016Magnifique petit poème... * L’enfant et l’étoile * Un astre luit au ciel et dans l’eau se reflète. Un homme qui passait dit à l’enfant-poète : « Toi qui rêves avec des roses dans les mains Et qui chantes, docile au hasard des chemins, Tes vains bonheurs et ta chimérique souffrance, Dis, entre nous et toi, quelle est la différence ? — Voici, répond l’enfant. Levez la tête un peu ; Voyez-vous cette étoile, au lointain du soir bleu ? — Sans doute ! — Fermez l’oeil. La voyez-vous, l’étoile ? — Non, certes. » Alors l’enfant pour qui tout se dévoile Dit en baissant son front doucement soucieux : « Moi, je la vois encor quand j’ai fermé les yeux. » * Catulle Mendès (1841-1909) |
Déposé par poutounou le 13/04/2016Quand la tristesse est là, laissons couler les larmes…. * PIERROT * Une larme coule sur son visage Son nez renifle doucement Dans ses yeux passe un nuage Qui pleure désespérément La larme continue de glisser Sur sa peau lisse et parfumée Elle laisse sur son visage Comme l’écume sur la plage Une trainée de gouttelettes Qui vont sécher au gré du vent La larme continue de glisser Tout doucement sans faire de bruit Elle atteint le coin de ses lèvres Que c’est doux, que c’est salé Il a envie de l’embrasser Elle vient de son coeur après tout Et il caresse son visage Mais ne trouve de son passage Qu’une peau sèche et veloutée Une larme est morte au vent d’été. * Anonyme |
Déposé par poutounou le 09/04/2016Si, un jour, je me retrouvais dans une telle situation au niveau santé, j'aimerais moi aussi avoir le temps de m'occuper du placement de mon petit Iron adoré. C'est un très bel acte d'amour que de chercher une famille aimante pour ces toutous peut-être un jour orphelins. * Kathleen Zuidema a été diagnostiquée d'un cancer des poumons. Selon ses médecins, il ne lui reste qu'un an à vivre. Depuis, Kathleen se démène pour faire adopter ses chiens avant que le cancer ne l'emporte. * Une décision difficile * Six mois après cette terrible nouvelle, Kathleen dit se sentir mieux physiquement, mais elle est face à une décision très difficile : elle doit trouver une famille aimante pour ses trois Bergers australiens croisés, Automne Moon 11 ans, Mona Luka 4 ans et demi et Finnegan 4 ans. * Voici ce qu'elle a partagé sur son compte Facebook : * "C'est sûrement la décision la plus difficile de toute ma vie. Mon coeur est en miette et je sanglote en écrivant ces lignes. Comme beaucoup d'entre vous le savent, je me bats contre le cancer depuis un an et demi et les choses arrivent à un point où je me dois de trouver une famille aimante pour mes chiens. Ils sont à adopter ensemble. C'est une énorme faveur que je demande mais je ne peux pas supporter l'idée qu'ils soient séparés. Je vous rassure sur le fait qu'ils sont très bien éduqués et qu'ils sont de parfaits colocataires. Ils dorment sur mon lit ou dans leur panier, comme ils le souhaitent." * Kathleen essaye de faire au mieux pour ses chiens adorés avec cette épée de Damoclès au dessus de sa tête. Elle a partagé plusieurs photos et vidéos de ses chiens sur son profil Facebook pour montrer qu'ils sont joueurs, aimants et heureux. * "J'ai survécu aux horribles effets secondaires de la chimiothérapie et j'ai passé un merveilleux été dans mon jardin avec mes Bergers australiens. Je suis déterminée à être encore là l'été prochain car je ne suis pas prête à abandonner maintenant." * Un courage incroyable de la part de Kathleen, qui, on l'espère, pourra vaincre cette maladie et garder ses chiens près d'elle. |
Déposé par poutounou le 05/04/2016Pour tout l’Amour qu’ils nous donnent et que nous leur donnons. * Extrait de la comédie musicale « Roméo et Juliette » : * Aimer…. * Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau Aimer c'est monter si haut Et toucher les ailes des oiseaux Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau * Aimer c'est voler le temps Aimer c'est rester vivant Et brûler au cœur d'un volcan Aimer c'est c'qu'y a de plus grand * Aimer c'est plus fort que tout Donner le meilleur de nous Aimer et sentir son cœur Aimer pour avoir moins peur * Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau |
Déposé par poutounou le 01/04/2016Eh oui ! Tel est pris qui croyait prendre… * Le coyote tagueur * Un coyote rageur Sur un mur blanc taguait Griffonnant sa rancoeur Contre un loup trop aisé « C’est bien que je salisse, Grommelait ce jaloux, La trop belle bâtisse De ce trop riche loup ! » Regagnant sa masure, Il se trouva surpris D’y trouver la peinture D’un plus pauvre que lui. Moralité Si tu veux qu’on soit correct Avec ce qui t’appartient Il faudra que tu respectes De tous les autres les biens. * Yvon Danet |
Déposé par choupinou le 31/03/2016moi ton aimé maman, prends ta guitare et envoie moi un baiser ; La fleur de l’églantier sent ses bourgeons éclore, Le printemps naît ce soir ; les vents vont s’embraser ; Et la bergeronnette, en attendant l’aurore, Aux premiers buissons verts commence à se poser. Maman, prends ta guitare, et envoie moi un baiser. maman te répond Comme il fait noir dans la vallée ! J’ai cru qu’une forme voilée Flottait là-bas sur la forêt. Elle sortait de la prairie ; Son pied rasait l’herbe fleurie ; C’est une étrange rêverie ; Elle s’efface et disparaît. moi ton aimé/e maman, prends ta guitare ; la nuit, sur la pelouse, Balance le zéphyr dans son voile odorant. La rose, vierge encore, se referme jalouse Sur le frelon nacré qu’elle enivre en mourant. Écoute ! tout se tait ; songe à moi ta/ton bien-aimée. Ce soir, sous les tilleuls, à la sombre ramée Le rayon du couchant laisse un adieu plus doux. Ce soir, tout va fleurir : l’immortelle nature Se remplit de parfums, d’amour et de murmure, Comme la symphonie de nos coeur pour toujours si fou maman te répond: Pourquoi mon coeur bat-il si vite ? Qu’ai-je donc en moi qui s’agite Dont je me sens épouvanté ? Ne frappe-t-on pas à ma porte ? Pourquoi ma lampe à demi morte M’éblouit-elle de clarté ? Dieu puissant ! tout mon corps frissonne. Qui vient ? qui m’appelle ? – Personne. Je suis seule ; si vide ta voix me résonne ; Ô solitude ! tu étais ma fierté ! moi ton aimé/e Maman, prends ta guitare ; le vin de la jeunesse Fermente cette nuit dans les veines de Dieu. Mon âme est inquiète ; ta tristesse m’oppresse, Et les vents altérés m’ont apprit de ton regard pluvieux. Ô ma douce maîtresse! regarde, je suis encore là. Ton premier baiser, ne t’en souviens-tu pas,doux comme la ouate Quand je te vis si pâle au dernières caresses,avant l'au dela Et que, les yeux en pleurs, tu tombas dans mes pattes ? Ah ! je t’ai consolé d’une amère souffrance ! Hélas ! Pour moi , tu te mourais d’amour. Console-toi ce soir, je me meurs d’espérance ; J’ai besoin de ta joie pour vivre en attendant ce jour Le jour ou tu viendras me rejoindre ,pour l'éternité Je serai là pour t'attendre en toute sérénité... maman te répond Est-ce toi dont la voix m’appelle, Ô ma pauvre ami/e ! est-ce toi ? Ô ma fleur ! ô mon immortelle ! Seule être pudique et fidèle Où vive encore l’amour de moi ! Oui, te voilà, c’est toi, ma perle C’est toi, ma/mon bien aimé/e ! Et je sens, dans la nuit profonde, La chaleur de ta robe d’or et noire qui m’inonde Les rayons glisser dans mon coeur qui brille moi ton aimé/e Maman, prends ta guitare ; c’est moi, ton immortelle, Qui t’ai vu cette nuit triste et ton regard silencieux, Et qui, comme un oiseau que sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux. Viens, tu souffres, maman; mon mal ,l' ennui solitaire Te ronge, quelque chose qui gémi dans ton coeur ; Mon amour t’est parvenu, comme on en voit plus sur terre, Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur. Viens, près de moi ; chantons dans tes pensées, Dans tes plaisirs perdus, efface ta peine faut la briser ; Partons, ensemble,pour un instant, pour un monde inconnu, Éveillons au hasard les échos de ta vie, Parlons-nous de bonheur, de gloire et de folie, Et que ce soit un rêve,cette nuit et le premier venu. Inventons quelque part des lieux où l’on oublie ; Partons, nous sommes seuls, l’univers est à nous. Voici la verte vallée et la brune de l'aurore qui fuit, Et le paradis, et les belles allées blanches, où le miel est si doux, Dis-moi, quel songe d’or nos chants vont-ils bercer ? D’où vienne tes larmes que je vais doucement sécher ? Ce matin, quand le jour a frappé ta paupière, j'étais là, courbé sur ton chevet, Secouait des pétales de rose de ma robe légère, Et te contait tout bas les souvenirs qui te font rêver Chanterons-nous l’espoir, la tristesse ou la joie ? Suspendrons-nous l’air du temps sur l’échelle de soie ? Jetterons-nous au vent l’écume de l'oiseau coursier ? compterons nous, les étoiles en nombre De la maison céleste,qui allume la nuit et reste lueur du jour L’huile sainte de vie et d’éternel amour ? Descendrons-nous cueillir la perle au fond des mers ? Montrerons-nous le ciel à la Mélancolie ? Prends ta guitare! prends ta guitare ! et chante ce petit air Mon aile me soulève au souffle du printemps. Le vent va m’emporter ; je vais repartir de la terre. Une larme de toi ! Dieu m’écoute ; il est temps. maman répond S’il ne te faut, mon amour chéri Qu’un baiser d’une lèvre amie Et qu’une larme de mes yeux, Je te les donnerai sans peine ; De nos amours qu’il te souvienne, Si tu remontes dans les cieux. Je te chante,mon amour, mon espérance, ta beauté,ta gloire, mais pas le bonheur, Hélas ! tu restes ma souffrance. ma bouche garde le silence Pour écouter parler ton coeur. moi ton aimé/e Crois-tu donc que je sois comme le vent d’automne, Qui se nourrit de pleurs jusque sur un tombeau, Et pour qui la douleur n’est qu’une goutte d’eau ? maman,je souffre aussi ! un baiser, c’est moi qui te le donne. L’herbe que je voulais arracher de ce lieu, C’est ton oisiveté ; ta douleur dit lui adieu. Quel que soit le souci que ta tristesse endure, Laisse-la s’élargir, cette sainte blessure Que les noirs séraphins t’ont faite au fond du coeur : Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur. Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ma douce maman, Que ta voix ici-bas doive rester muette,écoute maman Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots. Alors laisse ta blessure s'élargir afin de tout sortir Dans les brouillards du soir redonne du sens a ta vie Pour que je puisse dans ton coeur enlever ce qui te fait souffrir Que notre amour en soit rendu plus grand,je ne veux plus te voir ainsi car ta douleur est la mienne ,tu as mal alors moi aussi... Dans ton amour sublime,je vis ,tu me berce de douceur.... Alors rit maman ,je cours près de toi ,je te suit dans ton coeur... maman répond Ô mon aimé/e ! mon inoubliable, Ne m’en demande pas si long. j'écrirai encore ton non sur le sable tu étais tu es et sera toujours mon bourgeons J’ai vu le temps où ta présence me redonnait la jeunesse et mes yeux et mes lèvres étaient sans cesse Prêt à chanter comme un oiseau ;le bonheur de t'avoir... Mais j’ai souffert un dur martyre, Et le moins que j’en pourrais dire, et que ce chant de mon corps a fuit,tu as tout emporté sans le vouloir... Alfred de Musset, avec beaucoup de modification de ma part pour la circonstance...A NOS AMOURS, , |
Déposé par poutounou le 28/03/2016La nature c'est « magique » ! Respectons la pour la garder belle et en profiter encore longtemps... * JOIE DU PRINTEMPS * Au printemps, on est un peu fou, Toutes les fenêtres sont claires, Les prés sont pleins de primevères, On voit des nouveautés partout. Oh! regarde, une branche verte! Ses feuilles sortent de l'étui! Une tulipe s'est ouverte... Ce soir, il ne fera pas nuit, Les oiseaux chantent à tue-tête, Et tous les enfants sont contents On dirait que c'est une fête... Ah! que c'est joli le printemps! * Lucie Delarue-Mardrus |
Déposé par poutounou le 24/03/2016Coucou c’est Pâques ! * Coucou c'est Pâques ! Les lapins, les oeufs, les poussins en chocolat Coucou c'est Pâques ! C'est le printemps maintenant Coucou c'est Pâques ! Il faut avoir un coeur d'enfant Coucou c'est Pâques ! L'espoir de tous les coeurs Coucou c'est Pâques ! Le chocolat fond dans les mains Vite mange-le Hum ! Que c'est bon ! Attention à vos petits bedons ! * Coucou petit « Bonheur » ! Va voir dans tes fleurs : Il y a des œufs de toutes les couleurs, Et du chocolat, en veux-tu, en voilà ! Puisque, là-haut, tu y as droit. Et des jouets et des os à mâcher…. Cachés dans les fourrés. * Je vous souhaite, à toi et ta famille de cœur, de Joyeuses Fêtes de Pâques et plein de bonheur pour les jours à venir…. |
Déposé par poutounou le 20/03/2016Vive le printemps et ses bourgeons, son soleil, sa lumière….. * Le moulin au printemps * Le chaume et la mousse Verdissent le toit ; La colombe y glousse, L'hirondelle y boit. Le bras d'un platane Et le lierre épais Couvrent la cabane D'une ombre de paix. La rosée en pluie Brille à tout rameau ; Le rayon essuie La poussière d'eau ; Le vent, qui secoue Les vergers flottants, Fait de notre joue Neiger le printemps. Sous la feuille morte, Le brun rossignol Niche vers la porte, Au niveau du sol. L'enfant qui se penche Voit dans le jasmin Ses oeufs sur la branche Et retient sa main. * Lamartine |
Déposé par poutounou le 16/03/2016Marchons, respirons, cueillons, écoutons… * Conseil * Eh bien ! mêle ta vie à la verte forêt ! Escalade la roche aux nobles altitudes. Respire, et libre enfin des vieilles servitudes, Fuis les regrets amers que ton cœur savourait. Dès l’heure éblouissante où le matin paraît, Marche au hasard ; gravis les sentiers les plus rudes. Va devant toi, baisé par l’air des solitudes, Comme une biche en pleurs qu’on effaroucherait. Cueille la fleur agreste au bord du précipice. Regarde l’antre affreux que le lierre tapisse Et le vol des oiseaux dans les chênes touffus. Marche et prête l’oreille en tes sauvages courses ; Car tout le bois frémit, plein de rythmes confus, Et la Muse aux beaux yeux chante dans l’eau des sources. * Juillet 1842. Théodore de Banville, Les Cariatides (1842) |
Déposé par choupinou le 14/03/2016c'est ce que nous faisons tous pour nos petits coeurs d'amour,ils nous manquent tellement On écrit sur nos murs le nom de ceux qu'on aime Des messages pour les jours à venir On écrit sur nos murs à l’encre de nos veines On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire Partout autour de nous, Y'a des signes d'espoir dans leur regard Donnons leurs écrits car dans la nuit Tout s'efface même leur trace On écrit sur le clavier le nom de ceux qu'on aime Des messages pour les jours à venir On écrit sur nos murs à l’encre de nos veines On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire On écrit sur nos clavier la force de nos rêves Nos espoirs en forme de graffiti On écrit sur nos murs pour que l'amour se lève Un beau jour sur ce monde endormi Des mots seulement gravés pour ne pas oublier pour tout changer Mélangeons demain dans un refrain nos visages, vos gueules, l'amour de nos câlins et se dire,on ne peux rien oublier, nos souvenirs du bonheur passé dans nos coeurs égueules On écrit sur nos murs le nom de ceux qu'on aime Des messages pour les jours à venir On écrit sur nos murs à l 'encre de nos veines On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire On écrit sur nos murs la force de nos rêves Nos espoirs en forme de graffiti On écrit sur nos murs pour que l'amour se lève Un beau jour sur leur monde endormi On écrit sur nos claviers le nom de ceux qu'on aime Des messages pour les jours à venir On écrit sur nos murs à l 'encre de nos veines On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire On écrit sur nos murs le nom de ceux qu'on aime Des messages pour les jours à venir On écrit sur nos murs à l’encre de nos veines On dessine tout ce que l'on voudrait leur dire On écrit sur les claviers la force de nos rêves Nos espoirs en forme de graffiti On écrit sur nos murs pour que l'amour se lève Un beau jour sur leur monde endormi Un beau jour sur le monde endormi Un beau jour dans leur beau paradis chanson de Denis Roussos que j'ai quelque peu changé pour convenir a nos amours canins, |
Déposé par poutounou le 12/03/2016Oui, faisons une pause.... * L'INSTANT D'UNE PAUSE * L’instant d'une pause Le bonheur est fait de rien Et de mille petites choses De se lever le matin Sans plus en chercher la cause De savoir que le chemin Parfois peut-être morose Et dans un sourire malin Être prêt pour une pause Il y a des jours où tout est gris Et où l'on ne voudrait rien voir Et puis, il y a notre coeur aussi Qui nous conduit jusqu'au soir Il y a cette solitude intense Qui existe et qui est là C'est dans ces moments je pense Que je peux rêver de toi À chercher, à tout comprendre Je me demande si je verrais Un jour les fleurs en décembre Et la neige en été Sur le site de mon coeur Il y a tant de va-et-vient Et j'en ressens la douleur De la nuit jusqu'au matin Le bonheur est fait de rien Et de mille petites choses D'avoir ta patte dans ma main L'instant seulement d'une pause. * (Auteur inconnu) |
Déposé par poutounou le 08/03/2016Ce n'est qu'un rêve ! Malheureusement.... * L'île de mes rêves * J'aimerais posséder une île Une île perdue dans un océan sans fin Où je vivrais une vie sans contrainte Sans loi, sans misère et sans haine Où la peur n'existerait pas Où le mal ne frapperait pas Perdue avec mes rêves, mes amours Ne connaissant que la nuit et le jour Mais pas les heures, les années Pas même le regret d'une société Une vie merveilleuse Où je vieillirais heureuse Parce que tu nais, tu as besoin d'amour Tu grandis, tu reconnais l'amour Tu t'épanouis, tu découvres l'amour Tu vieillis et tu comprends l'amour * Monique Gagnon |
Déposé par poutounou le 05/03/2016Coucou mes amis (es), Un tout grand « MERCI » pour vos fleurs, vos messages, vos poèmes pour les 3 années de départ de mon Trésor « Rubens ». Vos attentions m’ont émue et je vous remercie encore et encore…..Ces dates de départ sont tellement présentes et nous rappellent tant de souvenirs….. Bizzzz à vous tous et toutes et à tous vos anges, |
Déposé par ovanek le 03/03/2016💖 💖 14 💖 💖 ***** Mon Fidèle **** Tu étais ma doublure, ma fourrure, ma déchirure Maintenant que tu n’es plus que suis je devenue De ma seule affection, tu étais mon soutien Loin des humains, tu resteras et demeurera mon chat Ma seule vérité pour aller vers demain Un peu idéalisé comme un pouvoir divin Tu étais pour moi aussi un magicien Têtu comme une mule Par ton instinct tu me bouscule Tu me hantes encore par ta disparition J’en ai encore des frissons Je te revois partout sans aucune solution Ni trouver un chemin pour aller vers l’horizon Tu étais ma protection, ma musique Sur des pas de rythmiques Mon unique sincérité Dans un monde fou et démesuré Jusqu’au bout je porterai ta maladie Dans mes bras tu es parti vers un autre pays Celui du Paradis Dans un souffle de sérénité mon cerveau s’en est gravé Maintenant au milieu des personnes je détonne Vers ton chagrin, je me consomme Lorsque j’entends un chat, moi je me meurs Et rêve encore de Toi …. Pensée 💖 💖 💖 15 💖 💖 Quand un être que l'on aime nous quitte C'est une page de notre livre qui se tourne malgré nous... Tu es parti me laissant tel une orpheline de l'amour En manque de toi et de ton regard que j'aimais tant... J'apprends à vivre sans toi Mais peut-être devrais-je dire…. "J'apprends à survivre sans toi ..." **** Pensée **** 💖 |
Déposé par celibab le 24/02/2016Un poème pour dire merci Ce joli poème nous a été envoyé par une de nos lectrices. Je suis si petit, si petit, Que bien trop souvent, on m'oublie. Ami avec le monde entier, Partout, je voudrais m'envoler. Mon nom vous couvre de baisers, Doux compagnon du verbe : aimer. Encore et toujours, si petit Que bien trop souvent, on m'oublie. Je fais déjà partie de vous, Sublime atout d'un rendez-vous. Vite ! vite vous rattraper, Pour vous offrir mon doux secret. Aux petits et grands d'aujourd'hui, À toi l'ami ! à vous aussi ! Si fragile et si plein de vie, Mon nom est simplement merci. Pleine de tendresse, je vous le dis, Du fond du coeur : un franc Merci ! A LA MEMOIRE DE NOTRE PETIT CYRANO, |
Déposé par celibab le 11/02/2016Quand l'homme auras compris un jour que communiquer avec les animaux est plus important,que de les tuer,les jours auront un autre avenir pour la planète; Petite Lune les animaux sont supérieur aux hommes par leur fidélité à la nature et au verbe "être" et non au verbe "avoir". amitié,et douces caresses a vous tous petits anges choupinou et en même temps celibab merci |
Déposé par ovanek le 18/01/2016💖 💖 💖 13 💖 💖 **** Mon Chat **** Complice de tous mes instants Boule de polis au regard si parlant Gardien silencieux de mes peines Témoin affectueux de mes joies humaines Mon chat, que certains nomment bestiole N’est certes pas dépourvu de certaines tares Et si nos malheureux chaussons en firent les frais parfois Ta loyale compagnie vaut bien ces quelques débordements de joies Mon chat, ami du premier moment A la fois si discret et si imposant Tu donnes un amour inconditionnel A tes maîtres souvent indignes d’un honneur pareil Mon chat, fidèle à la main qui te gourmande et te flatte Tu es sans nul doute le plus aimant de mes amis à 4 pattes Et quand ta truffe me presse doucement d’une caresse Je te dois alors d’y mettre la plus grande des tendresses **** Pensée **** ***** 💖 |
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