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En hommage à
PELUCHE
GOLDEN-RETRIEVER
Il est né le:10/01/1998
Il nous a quittés le:12/05/2014
 

aucune bougie


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En hommage à PELUCHE

A Peluche,
Un chien exceptionnel et merveilleux, dont le souvenir restera à jamais gravé en nous.
Tu es pour toujours dans nos cœurs.
Repose en paix, auprès de tes frères, Guizmo et Louveteau.


Peluche,
Tu entras dans nos vies, il y a plus de 16 ans,
Difficile à décrire, si beau, si attachant,
Une boule de poils tout beige, le regard si craquant,
Tu regardais Alex, les oreilles dans le vent.
Ta truffe noire charbon, tes yeux de chiot tout fou,
Semblaient nous dire : « Allez ! Emmenez-moi avec vous ! »

Pendant ces 16 années, vous vous êtes tout donné :
Câlins, caresses, bonheur, amour, fidélité.
Aujourd’hui, une peine immense l’a envahie,
Bien qu’elle te sache heureux, loin d’elle, au Paradis,
Ce même Paradis, où elle sait bien qu’un jour,
Vous serez réunis, réunis pour toujours.




0 bougie

5488 Fleurs
Déposé par Pachkounet
Déposé par Pachkounet
Des bisouxx pour toi, mon Peluche. Parce que je t'aime...pour toujours...
Déposé par Pachkounet
Déposé par Pachkounet
Hag Pessah Sameah, mon Peluche. Je t'aime. Pour toujours dans mon coeur...
Déposé par Pachkounet
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Shabbat Shalom, mon Peluche d'amour. Je t'aime...pour toujours... Mille bisouxx et tendres câlins.
Déposé par Touky
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🦋🐦Douces pensées🐦🦋
Déposé par lili2248
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Déposé par lepapou
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Déposé par NOIXDECOCO
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Pour tous vos amours
Déposé par lepapou
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Amuses toi bien avec Nicky et Cupidon ; vous restez dans nos coeurs.
Déposé par Moustique
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Douce pensée ❤ 28 février 2024
Déposé par lepapou
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Tendres caresses.
Déposé par rustiditbibi
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Déposé par ralf le 12/05/2015  
LE JOUR DE MA MORT,JE T'EN FAIS LE SERMENT,JE VIENDRAI TE CHERCHER AU PARADIS DES CHIENS POUR ENTAMER NOTRE PLUS BELLE BALLADE,CELLE QUI N'AURA PAS DE FIN.(Hommage d'une maman à son chien)----------------En ce triste jour anniversaire gentil PELUCHE,fais une petite léchouille à LOUVETEAU et à GUIZMO de ma part,et ensemble faites un signe à votre maman qui est si triste sans vous.....Un jour elle reviendra auprés de vous et vous serez rèunis pour toujours.

Déposé par choupinou le 12/05/2015  
L'ombre des anges
Je traverserai les villes,
J'emporterai ta voix,
J'irai chercher le feu dans le ciel,
Et le vent dans nos voiles.
Quand l'ombre des nuages,
démasquera nos souffles,
nous volerons sereins,
par les chemins du sort,
et nos songes en fuite,
éviterons les gouffres,
pour balayer ensuite,
les traces de nos morts.
Je traverserai les villes
J'emporterai ta voix
J'irai chercher le feu dans le ciel
Et le vent dans nos voiles
Une étoile se repose,
dès qu'un ange dort.....,

Déposé par colombine67 le 12/05/2015  
Nous avons trop souvent peur.. Peur de ne pas être capables, Peur du jugement des autres. Nous laissons nos peurs entraver nos espoirs et nous disons non, quand nous voulons dire oui. Nous restons silencieux quand nous voulons crier et Hurlons avec les autres quand nous devons nous taire.. Pourquoi ? Après tout, nous ne faisons qu'un tour et il n'y a pas de temps pour la peur. Alors arrêtons.. Tente quelque chose que tu n'as jamais osé. Cours sur le chemin de la liberté.
Au nom du temps qui nous a réuni ,
au nom du destin qui a choisi.
Je te promet une amitié infinie
jusqu'à la dernière minute de ma vie.

Déposé par rafia le 12/05/2015  
Les chiens pleurent aussi
Moi je sais que les chiens,
Que les chiens pleurent aussi
Quand ils ont du chagrin,
Que parfois ils se cachent
Pour souffrir à loisir,
Sans que leur maître sache
Ni où ils sont,
Ni le grand mal qui les conduit.
J'en sais un qui partit
Au fond d'une forêt
Pour fuir les longs soupirs,
De cet enfant malade.
Cet enfant qui jouait avec lui
Ses chamades
Et qui ne s'en revînt,
Que lorsqu'il fut sauvé.
Et j'en sais un aussi
Qui se laissa mourir
De faim, de désespoir,
Au départ de son maître
Pour les Terres d'Ailleurs
Où seules ne pénètrent
Que les ombres de ceux,
Dont la vie va finir.
Mais moi, je sais aussi
Que ds ces Pays Hauts,
Les hommes et les chiens,
Chaque fois se retrouvent,
Sur les vastes prairies,
Quand les portes s'entrouvrent
Parmi l'immensité
Des joies et des repos.
Louis AMADE

Déposé par Galinette3 le 12/05/2015  
LE PARADIS DES CHIENS
Savais-tu qu'il y a un paradis pour les chiens? Oui, dans une autre dimension, dans le monde astral, Il y a un nid rempli d'amour et douillet pour nous.
Il y a des balles à profusion, des os à enterrer, Des montagnes de boulettes de viande, Il n'y a pas de laisse,
Je suis bien où je suis. Je suis bien entouré
Toutes les caresses, toutes les tendres attentions Que tu m'as offertes, je les ai apportées avec moi.
La plus importante des choses que tu dois savoir, C'est qu'il y a une ouverture dans les nuages D'où je peux te voir. C'est comme si tu étais avec moi. D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée. Il m'est impossible de t'oublier, ton image et ta Gentillesse sont gravées dans mon coeur
Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux Lèvres et un jappement dans les oreilles, C'est que je t'aurai rendu une petite visite Dans tes songes.
Merci pour ton amour. Je t'aimerai éternellement!

Déposé par colombine67 le 11/05/2015  
Une amitié est comme une fleur.
Elle naît et s’épanouit en douceur.
Elle peut durer une vie, pour toujours.
Où s'arrêter et se faner, en un jour.
Une amitié c'est donner, beaucoup de soi.
Ne jamais rien demander, en retour.
C'est être toujours présent, toujours là.
Le faire avec plaisir, beaucoup d'amour.

Déposé par colombine67 le 10/05/2015  
L'amitié
L’amitié est une valeur rare, tous en parlent beaucoup mais peu la créent,
L’amitié est un refuge, elle ne te protége pas du mauvais sort mais te soigne,
L’amitié est un soleil, elle brille dans ton coeur mais peut te brûler,
L’amitié est une richesse, on ne l’a pas sans mériter la confiance que l’on gagne,
L’amitié est un cours d’eau, elle commence ruisseau et enfle, enfle jusqu’à devenir fleuve,
L’amitié est une herbe folle, elle surgit de nulle part et pousse même dans l’ombre,
L’amitié est un gai pinson, elle te fait rire qu’il neige, vente ou qu’il pleuve,
L’amitié est un océan, elle ne finit jamais même s’il existe des vagues au reflet sombre,
L’amitié est un oiseau, elle a besoin d’air pur et de liberté pour s’exprimer,
L’amitié est un nuage, elle change sans cesse de forme mais parfois suit le vent,
L’amitié est mon monde, changeant, remuant, tendre, moqueur, entier,
Mais il a besoin de vous mes ami(e)s pour être celle que je suis aujourd'hui !

Déposé par rafia le 10/05/2015  
"Mes chiens, une valeur sûre"
En ces temps de crise, de morosité, d’individualité,
Dans un monde lancé en une course folle à la matérialité, la productivité,
A la suprême jeunesse, à l’éternelle beauté,
Laissant les plus démunis, les plus faibles de côté,
Mes chiens sont un havre de paix !
Ainsi, l’être humain qui n’a plus d’humain que son physique,
Ne sait plus prendre le temps de se poser,
Triste est le bipède, qui ne sait plus regarder, ne sait plus écouter,
Un réel constat, mes chiens sont plus humains que les humains,
Mes chiens sont mon refuge quotidien !
Mes chiens sont présents chaque jour à mes côtés,
Ils m’accompagnent, du lever au coucher,
Mes chiens me regardent et savent de suite si je vais bien,
Entre nous, pas besoin de parler,
Juste leur hypersensibilité, qui sait tout détecter,
Avec eux, pas de faire semblant,
Avec eux, pas de faux fuyants,
Avec eux, c’est honnêteté et authenticité !
Mes chiens me fêtent à mon retour,
Le sourire aux babines,
Ils ne badinent pas avec l’amour,
Leur fidélité, leur amitié, leur complicité,
Me font oublier les tracas de la journée,
Sans détour, ils sont à 100 % tous les jours,
Une fiabilité sans défection à l’année,
Avec eux, c’est 365 jours sur 365 jours,
Avec eux, tristesse, tracas, s’envolent,
Avec eux, je me poile, quelle hilarité !
Avec eux, c’est auto dérision à volonté !
D’eux, je m’amuse de leurs mimiques, de leurs postures,
Il y a, l’ancêtre « PONY », une valeur inestimable,
Un air de vieux Teddy mité, une vraie antiquité,
Souffrant hyper attachement, auquel je suis hyper attachée,
« BEN », la dignité au bout des coussinets,
Ce seigneur trône en maître sur le canapé,
Les pattes avant croisées, il ose la pièce toiser,
Puis, « CARAMEL », petit bout de rien, prenant une place incommensurable,
Tantôt chien tantôt chat, se jonchant en hauteur,
pour prendre toute son ampleur,
« RIMMELLE », un regard aimant et protecteur,
Elle veille sur toute la maisonnée,
Elle prendra le parti du plus petit, veillera sur le plus âgé,
Puis « ZEUS », le dernier arrivé,
Le premier à bêtiser !
Un vrai polisson à poils longs !
Mes chiens sont mes racines à la Réalité,
Ils sont mon retour à la simplicité,
Avec eux c’est adieu superficialité !
Mes chiens sont ma valeur sûre,
Un placement à valeur constante,
Je crois le meilleur car il vient du cœur !
Auteur inconnu

Déposé par poutounou le 09/05/2015  
Mon Paradis
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
En quête d’une île déserte, d’une planète inconnue,
D’une terre vierge, encore inexplorée et nue,
D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Je voulais un peu de paix, pour mon cœur fatigué.
Je voulais fuir les querelles et tout recommencer,
Sur la terre originelle, renaître de l’oubli.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel.
Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle,
Vestige de beauté d’une nature si meurtrie.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance,
Et quand bien même un mensonge, pour nier l’évidence,
D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans répit.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard,
Et mon destin, soudain, s’est joué au gré du hasard.
C’est là, aux frontières de ton cœur, qu’alors j’ai compris.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique.
Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique.
Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie.
*
Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvé mon Paradis.

Déposé par colombine67 le 09/05/2015  
Chansons Puisque tu pars - Jean Jacques Goldman
Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton cœur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
L'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile
Sans drame, sans larme
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison
Aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez
Dans ton histoire (dans ton histoire)
Garde en mémoire (garde en mémoire)
Notre au revoir (notre au revoir)
Puisque tu pars (puisque tu pars)...

Déposé par colombine67 le 08/05/2015  
En 1856, le chômage faisant rage en Écosse, un ancien jardinier, John Gray, partit de la campagne vers Édimbourg avec sa famille. Il obtint un emploi de policier et eut droit à un chien de garde. Il obtint ainsi de ses supérieurs un chiot Skye Terrier qu’il nomma « Bobby ». Tous les jours à treize heures pile, sonnées traditionnellement par un coup de canon depuis le Château d'Édimbourg, l’homme et le chien allaient dans un petit restaurant où Gray donnait à Bobby une brioche, puis un os.
Deux ans plus tard, Gray mourut de tuberculose. Le jour des funérailles, plusieurs témoins reconnurent Bobby, en tête du cortège funèbre, qui suivait le cercueil. Puis, la cérémonie terminée, le chien disparut. Il ne revint jamais dans la famille de Gray.
Le lendemain, le gardien du cimetière de l’église de Greyfriars, au sud du château d'Édimbourg, où était enterré John Gray, fut surpris de découvrir Bobby couché sur la tombe de son maître. Le lieu étant interdit aux animaux, Bobby en fut donc chassé. Mais le lendemain, puis encore le surlendemain, Bobby revint la nuit malgré le gardien qui le chassait à chaque fois. Finalement, voyant une telle fidélité, ce dernier eut pitié du petit chien et obtint une dérogation de la ville qui autorisait Bobby à rester.
Ce ne fut qu’au bout de trois jours que Bobby, forcé par la faim, dut sortir du cimetière. Le restaurateur fut alors surpris de voir Bobby arriver tout seul à treize heures pile pour sa brioche et son os. Après avoir avalé son repas qui lui fut donné de bon cœur, Bobby revint se coucher sur la tombe de son maître. Dès lors, il ne la quitta que pour aller manger à son restaurant attitré.
Plus tard, il se prit d’amitié pour un soldat d’Édimbourg et le suivait quand ce dernier allait au château sonner le coup de canon marquant treize heures. Puis ils allaient tous deux prendre leur repas au restaurant où allait déjeuner John Gray, puis ils se séparaient. Mais en dehors de ce moment, Bobby ne voulait accompagner personne. Bien des familles voulurent adopter le chien, mais lui se mettait à chaque nouveau foyer à hurler de manière si sinistre qu’il était toujours autorisé à repartir, et il revenait sans surprise au cimetière. Cependant, dans la seizième et dernière année de sa vie, il accepta, vieux et fatigué, de rester la nuit chez les Traill, la famille propriétaire du restaurant où il allait prendre son repas.
C’est chez ces derniers que, par une froide matinée d’hiver 1872, Bobby fut trouvé mort. Il avait veillé sur la tombe de son maître pendant quatorze ans. La même année, la baronne Angela Burdett-Coutts fit construire près du cimetière une fontaine surmontée d’une statue de Bobby grandeur nature, œuvre du sculpteur William Brodie (en), toujours visible aujourd’hui. Le Huntly Museum d’Édimbourg expose aussi des photos et des objets de Greyfriars Bobby, comme son collier.
Greyfriars Bobby reste depuis plus d’un siècle un symbole de fidélité pour les Écossais, et leur chien national.

Déposé par colombine67 le 07/05/2015  
Tu Manques - Jean Jacques Goldman
Y a des qualités de silence
Comme des étoffes ou le bois
Des profonds, des courts, des immenses
Des que l'on entend presque pas
Coule la pluie, cheveux et veste
Mouille ce qui ne pleure pas
Marcher le long de rues désertes
Où tu me manques pas à pas
Tu manques, si tu savais
Tu manques tant
Plus que je ne l'aurai supposé
Moi qui ne tient pas même au vent
Prendre un taxi, tourner des pages
Féliciter, battre des mains
Faire et puis refaire ses bagages
Comment allez-vous ?, à demain
On apprend tout de ses souffrances
Moi, j'ai su deux choses, après toi :
Le pire est au bout de l'absence
Je suis plus vivant que je crois
Tu manques, si tu savais
Infiniment, tout doucement
Plus que je ne me manque jamais
Quand je me perds de temps en temps
Danger, dit-on, la lune est pleine
Est-elle vide aussi parfois ?
Invisible, à qui manquerait-elle ?
Peut-être à d'autres, pas à moi
Tu manques, si tu savais
Tu manques drôlement
Tu m'manques

Déposé par rafia le 07/05/2015  
Le petit chien Ploton
Ploton fut doux comme un agneau,
Ploton fut gai comme un moineau,
Simple comme une colombelle,
Loyal comme une tourterelle,
Friand comme un rat foleton,
Mignard comme un petit chaton ;
Bref Ploton fut plus agréable,
Plus frétillant, plus amiable,
Plus bénin, plus obéissant,
Plus avisé, plus connaissant,
Plus vigilant et plus habile
Et de nature plus gentille
Et plus digne d'en dire rien
Que ne fut jamais petit chien.
Olivier de MAGNY,

Déposé par colombine67 le 06/05/2015  
SANS TOI
Sans toi, la ville s'endort doucement,
Sans toi, les arbres oublient le vent,
Sans toi, la Garonne s'efface lentement,
Sans toi, la nuit rappelle ses amants.
Sans toi, ma musique manque de paroles,
Sans toi, mes heures sont des jours,
Sans toi, mon coeur s'invente une idole,
Sans toi, mes pas sont devenus trop lourds.
Sans toi, le soleil se couche autrement,
Sans toi, je ne distingue pas l'horizon,
Sans toi, la brume cache l'océan,
Sans toi, le temps oublie ses raisons.
Sans toi, j'ai peur du lendemain,
Sans toi, les parfums sont différents,
Sans toi, je ne sais plus tendre la main,
Sans toi, difficile de dire que c'était avant.
- Darry -

Déposé par colombine67 le 05/05/2015  

Tout le monde dit toujours à leurs amis
qu'ils seront "Meilleurs amis pour toujours",
mais combien de temps cela dure-t-il?
Vous pouvez être "Best friends" pendant un an,
très bons amis l'autre année,
ne pas vous parler souvent l'année suivante
et ne plus vous parler du tout l'autre année après!
Alors, je voulais juste te dire que même si
je ne te parlais plus jamais de ma vie,
que tu es spécial à mes yeux et que tu as fait
une différence dans ma vie.
Je t'admire, te respecte et t'aime énormément.
Fais savoir à tes vieux amis que tu ne les as pas oubliés,
et dis à tes nouveaux que tu ne les oublieras jamais.
Souviens-toi, tout le monde a besoin d'un ami,
un jour tu sentiras peut-être que tu n'as pas d'amis du tout,
souviens-toi seulement de ce message
et réconforte-toi
en pensant que quelqu'un dans le monde
tient à toi et qu'il tiendra à toi pour toujours.
Il y a des personnes qui apparaissent dans notre vie,
restent pour un petit moment,
laissent leur empreinte dans notre coeur,
et nous ne sommes plus jamais le même."

Déposé par colombine67 le 04/05/2015  
Si je suis le premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je n`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !

Déposé par rafia le 04/05/2015  
Tu es encore si petit
Tu sais déjà remplir ma vie.
Tu es pareil à un bébé,
Il faut toujours te surveiller.
Entre tes instants de folie
Où tu es coquin, plein de vie,
Où tu joues dans la maisonnée
Courant après tous tes jouets,
Où tu poursuis Dock et Fanny,
Nos gros chats qui sont si gentils…
Et tes moments de longs câlins,
Endormi près de ton copain
Ou blotti au creux de mon cou,
Si confiant et tellement doux.
Déjà, tu me suis pas à pas
Et quand tu demandes les bras
Tu y restes, si rassuré
Si confiant et abandonné
Que je me sens responsable
De ta vie, c’est indéniable…
Parce qu’un soir, je t’ai choisi
Un soir de larmes, de soucis…
Parce que tu m’as adopté
Et d’un regard, tu m’as aimé,
Que sur le chemin de ma vie
Tu es avec moi aujourd’hui.
Tu ne remplaces pas Orry,
Ni Pona…J’ai juste envie
De te rendre heureux toi aussi
Nier la mort…Choisir la vie…
Saint Apollinaire

Déposé par colombine67 le 03/05/2015  
Pourquoi serais-je hors de ta vie simplement parce que je suis hors de ta vue ?
La mort tu sais, ce n'est rien du tout.
Je suis juste passé de l’autre côté.
Je suis moi et tu es toi.
Quelque soit ce que nous étions l'un pour l'autre avant, nous le resterons toujours.
Pour parler de moi, utilise le prénom avec lequel tu m'as toujours appelé.
Parle de moi simplement comme tu l'as toujours fait.
Ne change pas de ton, ne prends pas un air grave et triste.
Ris comme avant aux blagues qu'ensemble nous apprécions tant.
Joue, souris, pense à moi, vis pour moi et avec moi.
Laisse mon prénom être le chant réconfortant qu'il a toujours été.
Prononce le avec simplicité et naturel, sans aucune marque de regret.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié.
Tout est toujours pareil, elle continue, le fil n’est pas rompu.
Qu'est-ce que la mort sinon un passage ?
Relativise et laisse couler toutes les agressions de la vie,
penses et parles toujours de moi autour de toi et tu verras, tout ira bien.
Tu sais, je t'entends, je ne suis pas loin, je suis là, juste de l’autre coté.
Tu vois, pour moi tout va bien.

Déposé par colombine67 le 02/05/2015  
Ne pleure pas, si tu m'aimes !
Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel !
Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux !
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche !
Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté
devant laquelle toutes les beautés pâlissent !
Quoi ?… tu m'as vu… tu m'as aimé dans le pays des ombres
et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ?
Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient,
et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé,
ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédé la mienne…
ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée.
A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse,
je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie
et sois devenu moins aimant !
Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur,
non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant,
avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie !
Alors… essuie tes larmes, et ne pleure plus… si tu m'aimes !…

Déposé par rafia le 02/05/2015  
Je serai toujours près de toi...
Cher maître,
Je voulais que tu saches que parfois la vie
Est sans pitié.
Elle nous sépare, or,
Jamais nous ne l'avions souhaité .
Du ciel parfois je te regarde mais tu
Ne me vois pas. Là- haut , je suis bien mieux .
J'ai trouvé ma place au milieu d'un monde heureux.
Et ce monde , lui , est ETERNITE.
Or, dans celui où je suis né les misères étaient bien réelles.
Elle m'ont emporté avec elle,
Oui maître , j'ai découvert que
Même avec toi , le monde pouvait se montrer
cruel .
Je suis quand même heureux d'avoir pu vivre avec toi.
Car petit ,
J'étais l'esclave de la maltraitance et des
Personnes sans coeur, sans amour.
Et puis tu es arrivé et m'a finalement délivré
Des chaînes qui me retenaient,
Et pour ça maître je te dis merci ...
J'ai encore beaucoup d'espoir .
Je me dis bien que l'on pourra se revoir.
Je reste fort comme je l'ai toujours été mais
Malheureusement , trop impuissant devant
la mort qui me menaçait.
.
Tu restes à jamais dans mon coeur .
Maître et Dieu du du bonheur
Ne m'oublie jamais,
Car moi je ne t'es jamais oublié .
Auteur inconnu




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Je suis un beau bébé, non ??
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On est bien dans l'herbe...
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