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En hommage à
Paco
BOXER
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
 


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En hommage à Paco

Mon Paco, mon tombeur des ces dames tu es né le 10 06 2008 et tu es rentré dans ma vie le 5 novembre 2010 jour où je t'ai sorti de la spa, tu avais déjà été abandonné deux fois et n'avais que 19 kg!

Tu n'auras seulement connu le vrai bonheur que 4ans et 6 mois, car aujourd'hui ce 26 mai 2015 est un jour atroce pour moi car je me suis donnée le pouvoir de décider la fin de ta vie sur terre et ça, je ne pourrai jamais l'oublier.
Pardon mon grand, cela a été une décision très difficile à prendre pour moi, mais c'est le coeur gros avec des larmes plein les yeux que j'ai appris que tu avais une saleté de crabe en toi, et que malgré tous les traitements que tu avais reçu, radiothérapie, chimiothérapie il avait pris le dessus.
Jusqu'au bout, j'ai voulu croire qu'un miracle se produirait..
mais plus aucun traitement n'était possible après ce dernier scanner fait le 19 mai 2015 dont le résultat était dramatique et qui montrait bien que cette p.....de chose t'avais envahis le crâne, et commençait à te bouffer petit à petit à une vitesse incroyable, j'ai commencé à réaliser que tu ne t'en sortirais pas et que je ne pouvais pas me permettre de te laisser souffrir,
et que cet acte de te laisser partir est le dernier geste d'Amour que je pouvais te donner, pardonne moi mon coeur.

Tu étais un loulou super gentil, câlin, obéissant aimant tout le monde, les deux pattes comme les quatre pattes ......... ton seul défaut était ta destruction, mais jamais au grand jamais je n'ai pensé aller t' abandonner, l'enfer des barreaux et la maltraitance c'étaient fini pour toi.

Je t'ai conduis chez notre vétérinaire à qui tu as encore fait la fête.
Je sais que tu avais compris
Car dans tes yeux s'est dessiné une larme
Cette larme m'a détruit m'a brisé....
J'aurai tant voulu ne pas la voir
Elle m'a culpabilisé
Elle a augmenté mon désespoir.... je t'ai accompagné jusqu'au bout , dans mes bras tu t'es blotti et je t'ai chuchoté à l'oreille combien je t'aimais et que ce n'était pas un adieu mais juste un au revoir car on se retrouverait là haut lorsque mon heure serait venue.
T'es beaux yeux alors se sont fermés et tu t'es endormi pour ne jamais te réveiller.

Au Paradis blanc,
les anges ne t'y attendaient pas si tôt, tu aimais la vie, tu aimais courir dans les prés et dans les bois, tu adorais les caresses, tu étais heureux et cela se voyait dans tes teux.
Ta disparition m'a plongé dans le plus grand désarroi, la maison est tellement vide aujourd'hui, même tes soeurettes Tekila et Diana ainsi que ton frérot Lyos te cherchent partout, là où il y a ton odeur....ils se couchent sur ton (tes) coussins..., l'atmosphère y est tellement pesante.
Je n'oublierai jamais ces merveilleuses trop courtes années que j'ai vécu près de toi.
Je n' oublierai pas ton bon coeur.
Je me souviendrai de la fierté que tu arborais.
Tu as été un compagnon fidèle, aimant et par dessus tout, tu as lutté de toutes tes forces jusqu'à ton dernier souffle avec tant de courage.

j'ai beau me dire que tu étais heureux,
que tu avais de quoi faire des envieux,
oui j'ai beau me dire tout cela,
mais la réalité,elle est bien là !
Sous mon toit tu n'es plus là,
dans mon espace il ne manque que toi,
ta place, même si le vide s'en est accaparé,
dans mon coeur, elle restera à jamais.

Je suis certaine que mon Spanky et mon Junior seront là pour t'accueillir, je compte sur toi pour leur dire de ma part que je les aime et qu'ils me manquent toujours autant, tu verras tu vas bien t'éclater avec Spanky car il était comme toi, il adorait jouer avec des ballons, avec
mon Juju qui était le plus boxérien des labradors il te montreras des bonnes positions pour faire des gros dodos. Ils ne te laisseront pas seul vous allez gambader tous les trois au paradis blanc là ou la maladie et la souffrance
n'existent plus avec tous les autres copains et copines qu'ils te feront connaître.

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Paco et tu resteras pour toujours dans mon coeur.

Gros gros bisous sur ton si beau museau mon ange.




65 bougies

19030 Fleurs
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Mon Paco d'Amour, les caresses de tes yeux sont les plus adorables, elles apportent l'âme et livrent des secrets dans lesquels seuls le fond de ton cœur peut apparaître. Je t'envoie de gros bisous.
Déposé par valetheo
Déposé par valetheo
Déposé par Binouche
Déposé par Binouche
Au paradis des anges on perçoit un doux murmure,c'est bien toi qui nous parle,ne pleurez pas si vous m'aimez, je suis toujours là, je suis simplement passé de l'autre côté et je vous aimerai toujours.
Déposé par mistral
Déposé par mistral
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Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Des bisous pour toi magnifique Paco 🐕❤️❤️❤️❤️Bien à vous ⚘️ ⚘️ ⚘️ ⚘️
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Des milliers de bisous étoilés pour un joli ange
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Pour la plus scintillante des étoiles ces jolies fleurs
Déposé par Rafiarock
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Pour la plus scintillante des étoiles ces jolies fleurs
Déposé par Rebelwriter
Déposé par Rebelwriter
Enormes et douces caresses pour un magnifique ange
Déposé par rafia
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Je t'envoie un arc en ciel de douceur sur une pluie de bisous
Déposé par rafia
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Je t'envoie un arc en ciel de douceur sur une pluie de bisous


2513 messages

Déposé par colombine67 le 10/07/2016  
Témoignage d'un chien abandonné.
"Je ne sais pas où tu m’emmènes, mais je sais que tu es en colère contre moi. Tout à l’heure tu m’as fais monter dans la voiture, et tu m’as ordonné sèchement de me coucher à côté du siège passager. La voiture est pleine de poils je ne le fais pas exprès tu sais, mais tu ne m’as pas brossé depuis longtemps. Je sais qu’hier, j’ai été un VILAIN CHIEN.
J’ai pourtant essayé de vous faire comprendre, à toi et à ELLE, que j’avais une grosse envie que c’était pour la grosse commission. Mais tu m’as dit de me taire et de filer dans mon coin. Je te promets que j’ai essayé, aussi longtemps ,que j’ai pu, de retenir la commission lorsqu’ ELLE et toi, vous êtes partis.
Jai tourné en rond et puis c’est parti. Je sais que j’ai fait CA au milieu de la cuisinevje m’en suis beaucoup voulu tu sais, je me suis mordu les pattes, j’ai beaucoup pleuré Et puis je ne sais pas ce qui ma pris, j’ai ressenti beaucoup de colère pour toi et pour ELLE, tous ces moments où je me suis senti délaissé, et de trop entre vous deux, me sont revenus
et j’ai fais toutes ces bêtises,
j’ai mordu les coussins et arraché un peu de papier peint. J’ai eu peur lorsque tu es rentré, j’ai vu de la colère dans tes yeux, et j’ai su que la punition allait être terrible. C’était si bien au début toi et moi seuls contre les imbéciles tu m’emmenais partout avec toi et j’avais le droit de venir t’embêter avec ma baballe pleine de bave et me coucher sur tes pieds pour mâchouiller tes pantoufles, on faisait de longues balades dans la forêt, et au retour j’avais droit à pleins de câlins et puis ELLE est arrivée.
Au début, je ne la gênais pas trop et je pouvais encore circuler librement dans l’appartement, comme je l’avais toujours fait avec toi. Et puis elle a commencé à se plaindre : tu me donnais trop d’affection, je mangeais trop je perdais mes poils, j’étais sale, je sentais mauvais… et puis elle était allergique (hahaha)
Hier lorsque vous êtes rentrés elle t’a dit c’est lui ou moi et tu m’as lancé un regard triste mais résigné. Nous nous sommes arrêtés. Tu m’as emmené dans la forêt où nous venions souvent, avant, tu as noué ma laisse autour du tronc d’arbre et tu es parti dans ta grosse voiture pleine de mes poils. C’est une blague ? un nouveau jeu ? une punition ? tu vas revenir ?
Je me souviens du premier regard que tu m’as lancé à travers la grille de ma cage. Tu t’es arrêté et agenouillé devant moi et je suis venu mordiller ton doigt. Tu as dit à la dame du refuge que tu vivais seul et que tu aurais largement le temps de t’occuper de moi. Moi je t’aimais déjà, au premier regard. La grande cage s’est ouverte et j’ai sauté dans tes bras. J’étais tout chiot à l’époque ça fait déjà deux ans !
Et que de bonheur depuis !! Jusqu’à ce jour. Il y a longtemps que tu es parti maintenant. Je m’ennuie, j’ai peur et j’ai commencé à ronger ma laisse mais elle est en acier et je me suis fait mal aux dents. Mon collier me sert car je n’ai pas assez de mou pour ne serait ce que m’allonger. Et puis j’ai faim, j’ai soif. Deux jours que je suis là j’ai arrêté de compter les minutes et de japper, à force de pleurer je n’ai plus de voix et tu n’es pas revenu. Le collier a entamé ma peau à force de tirer dessus et cela me fait très mal. Jai très peur
Est-ce donc si terrible de faire la commission à l’intérieur ?Je ne sais plus depuis combien de temps je suis là à force de tirer sur la laisse j’ai réussi à pouvoir m’allonger un peu mais jai très mal au cou et cela me brûle beaucoup les mouches commencent à me tourner autour. Je ne me sens plus très bien, je n’ai même plus soif, même plus faim et je crois que j’aimerais rester seulement là , allongé et attendre que tout s’arrête autour de moi.
Juste un murmure qui se rapproche je distingue quelques voix serait ce toi mon amour d’humain qui revient me chercher ? Suis-je assez puni ? Je me suis réveillé à l’hôpital pour chiens. Une dame très gentille ma dit que désormais j’allai dépendre du refuge SPA. Ça je connais. J’y ai passé les premiers mois de ma vie. La dame est très gentille. Je viens de passer deux longues semaines à la clinique vétérinaire et j’ai quinze points de suture au cou. Le collier en acier avait entamé ma chair, et les mouches avaient commencé à pondre dans la plaie. Je suis un miraculé me dit la dame très gentille.
Elle me dit que je suis beau et que je ne devrais pas tarder à trouver de nouveaux maîtres. Mais ce ne sont pas de nouveaux que je veux ! Pourquoi ne vient- il pas me chercher ? je ne comprend pas. Ma compagne de cellule est une adorable border collie de quatorze ans.
Elle se nomme Mitsy. La directrice du refuge la chargée de me mettre au courant en ce qui concerne la vie au pensionnat, les horaires de promenade, de repas, le règlement intérieur. Mitsy est là depuis qu’elle a neuf ans. A la mort de sa maîtresse, elle a été amené au refuge, car aucun des cinq enfants (que Mitsy a pourtant vu grandir) n’a voulu assumer un vieux chien malade et à demi aveugle. Mais elle ne leur garde pas rancune. Et puis depuis qu’elle est là, Mitsy est devenue en quelques sortes la mascotte du refuge. Elle rentre, elle sort à sa guise, si bien qu’en général, la journée je me retrouve tout seul.
Dans la cage de droite, il y Snoop, un vieux briard, que l’enfermement a rendu aigri et qui passe ses journées à grogner. A force de s’en prendre à ses compagnons de cellule, les humains ont été obligé de l’isoler. Et puis à droite, il y a Roots Trois ans déjà qu’il traîne ses pattes au refuge, et pourtant il ne perd pas espoir de repartir un jour. Quand un humain arrive, il fait le beau, il jappe il frétille, il amuse la galerie. Au début j’ai pris des cours avec Lui et je faisais le singe dans ma cage espérant attirer l’attention sur moi, mais les visiteurs vite écoeurés détournaient la tête de mon pelage, terni et de ma longue balafre boursouflée, longue dune dizaine de centimètres, entravant mon cou.
Petit à petit mon espoir est mort. Les gens me regardaient et s’en allaient. A chaque fois que je ressentais quelque espoir, une main caressante, un regard appuyé, les gens me donnaient quelques mots affectueux puis continuaient leur promenade. Je me sentais mourir à petit feu. D’abord ce fut ma jeunesse.
Elle me quitta.
Je me désintéressais des balles et des pouics pouics en tout genres. Et puis un jour, je me désintéressai même de ma gamelle. Jamais plus je ne connaîtrai la chaleur d’un panier garni d’une douce couverture pour mes papattes, où de juteux restes de repas glissés avec amour dans ma gamelle. Je fus résigné à attendre la fin couché sur ma paillasse, à l’autre bout de la cage, bien loin des manifestations d’intérêt du genre bipède.
J’étais devenu maigre à faire peur, mes pattes ne me portaient plus. Bien qu’âgé de quatre ans, j’en paraissais 10 de plus. Ils vinrent. Deux bipèdes. Ils se tenaient par la main, expliquant à la dame du refuge qu’ils avaient mûrement réfléchi, qu’ils avaient décidé d’adopter un chien de la SPA plutôt que de prendre un chiot chez un éleveur. Ils s’en remettaient au choix de la directrice, même si celui ci se portait sur un pas très beau, plus très neuf leur seul envie était de faire trois heureux. Ils s’arrêtèrent devant ma cage. On se regarda longuement, et je voyais bien que LUI comptait mes côtes, très apparentes sous mon pelage, et qu’ ELLE détaillait ma longue cicatrice inesthétique.
- ORLY a été trouvé attaché à un arbre, dans la forêt, parce que son maître n’a pas eu le courage de s’en débarrasser au refuge. Il est resté cinq jours dans les bois, sans boire sans manger, couché dans ses excréments. La plaie que vous lui voyez au cou, c’est le collier qui a entamé sa peau. Sachez bien que la cicatrice s’estompera mais ne disparaîtra pas complètement. Ce n’est pas une bête de concours. Mais il est avec nous depuis un an et la vie au refuge lui pèse. Je crois qu’il a décidé de se laisser mourir, malgré toute notre affection.
ELLE s’approcha doucement de moi. Je grognai. Après tout pourquoi leur accorder la moindre importance. Ils me cajoleraient, puis me laisseraient tomber comme tous les autres avant eux. ELLE passa une main douce dans mes poils et sur mon museau, me toucha les oreilles et je vis que ses yeux brillaient. LUI se tenait à quelques pas derrière elle. La directrice dansait d’un pied sur l’autre pleine d’un secret espoir.. ELLE était si douce, et en cet instant je me sentais si bien, que je vins me blottir contre elle et posait ma grande tête sur ses genoux. Et puis je fermai les yeux. J’attendis la sentence.
Une voix très émue au loin, hors de mon rêve C’est possible de l’emmener aujourdhui ? La directrice battit des mains, joyeuse. Bien sûr ! je vais vous expliquer pour les papiers, et les démarches. Elle voulut refermer la cage mais ELLE me prit par le collier et me dit doucement de venir avec elle .
Je la regardais, impuissant, n’y croyant pas vraiment. Je passai devant Roots et tous les autres qui me jappaient des félicitations et des cris de joie. Mitsy, confortablement installée dans un vieux fauteuil en cuir passé, me fit un clin d’oeil en me voyant arriver dans le bureau des adoptions. Mon nouveau maître , tout en me caressant longuement, me promit que tout ce que j’avais vécu là était terminé et que j’allais avoir droit à une vie de rêve, bien méritée, un bon panier bien moelleux, des restes de repas bien juteux et à l’avenir un jardin où je pourrai creuser à volonté. Je partis avec eux, allongé sur le siège arrière de la voiture, avec un dernier regard sur le refuge, où attendent encore des centaines de mes compagnons à quatre pattes, et ne pensait qu’à ma nouvelle vie.

Déposé par colombine67 le 09/07/2016  
Si je suis le (la) premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !

Déposé par colombine67 le 08/07/2016  

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Déposé par poutounou le 07/07/2016  
Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide à poursuivre notre chemin malgré les durs moments de la vie...
*
L'habitude
*
La tranquille habitude aux mains silencieuses
Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ;
Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres
Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ;
*
Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre,
Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent,
Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent
Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ;
*
Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces,
Les insensibles mains de la lente Habitude,
Resserrent un peu plus l'étrange quiétude
Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ;
*
Et du même toucher dont elle endort la peine,
Du même frôlement délicat qui repasse
Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface,
Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine,
*
Les gestes, le sourire et le visage même
Dont la présence était divine et meurtrière ;
Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ;
La source des regrets devient voilée et blême.
*
A chaque heure apaisant la souffrance amollie,
Otant de leur éclat aux voluptés perdues,
Elle rapproche ainsi de ses mains assidues,
Le passé du présent, et les réconcilie ;
*
La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ;
La blessure adoucie et calme se referme ;
Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme,
Se sentent lentement changés en cicatrices ;
*
Et celui qui chérit sa sombre inquiétude.
Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute,
Plus que tous les tourments et les cris vous redoute,
Silencieuses mains de la lente Habitude.
*
Auguste ANGELLIER (1848-1911)

Déposé par colombine67 le 07/07/2016  
Comme des milliers de chiens abattus pour leur viande en Chine, Tiger était destiné à être mangé. Mais sa bonne étoile en a décidé autrement.
Dans les rues de Beijing (Pékin), une jeune femme chinoise passait tous les jours devant un chien enfermé dans une cage beaucoup trop petite pour lui. Une triste banalité, qui a toutefois fini par l’interpeller. Elle demanda au vendeur ce qu’il adviendrait de ce chien. Et l’homme de lui répondre qu’il serait envoyé à l’abattoir. Sans plus tarder, la jeune femme décida d’acheter le chien pour le sauver.
Dans sa nouvelle maison, ce beau Berger allemand s’avéra un merveilleux chien de compagnie. Il s’entendait particulièrement bien avec les enfants. Un nom lui fut donné : Tiger. Mais sa sauveuse ne pouvant le garder, elle se promit de trouver des adoptants pour ce merveilleux chien.
Une famille américaine
Lorsque la famille s’envola pour San Francisco, Tiger fut de la partie. Pris en charge par l’association Duo Duo Project, qui vient en aide aux chiens sauvés de l’abattage en Chine, il fut proposé à l’adoption. C’est là que son chemin croisa celui de Jenny Sehic.
Auparavant, cette américaine avait eu l’occasion de voyager en Chine, et elle avait vu les camions pleins de chiens entassés dans des cages minuscules qui étaient conduits à l’abattoir. « J’ai commencé à suivre Duo Duo Project sur les réseaux sociaux pour mieux comprendre ce commerce de la viande de chien et chat, et ce que nous, en tant qu’Américains, pourrions faire pour arrêter cette pratique », a expliqué Jenny Sehic à The Dodo.
Alors qu’elle cherchait un chien à adopter provenant de Chine, la jeune femme a découvert la photo de Tiger. « Nous avons su immédiatement que nous avions trouvé notre chien », se souvient-elle.
Une amie pour la vie
Lorsque Tiger est arrivé dans sa nouvelle maison, « il avait l’air d’un vieux chien tant il était maigre et sans muscles. Il était recroquevillé, et sur son dos, il y avait encore la cicatrice du haut de la cage qui était clairement trop petite pour lui ». Timide et anxieux au début, Tiger a rapidement trouvé en Sloane, 3 ans, une alliée et une meilleure amie pour la vie.
Amoureuse des animaux, la petite fille de la famille est vite devenue une partenaire de jeu idéale pour le jeune Tiger. Les deux acolytes grandissent désormais ensemble, loin de la tragédie qui frappe des milliers de chiens et chats en Chine. Rappelons que le seul festival de Yulin, qui a commencé le 21 juin, cause la mort de 40 000 chiens et 10 000 chats chaque année.

Déposé par colombine67 le 06/07/2016  
Salut l'Homme,
Tu m'as proclamé, moi, le Chien, ton meilleur Ami. Mon Dieu, quand je vois ce que tu fais à ton meilleur ami, alors que fais-tu donc à tes ennemis ? En ces temps troublés pour la race canine, j'en ai assez de serrer mes machoires, de fermer mes babines et de raser les murs. Alors j'ai décidé de prendre la plume pour te dire tout ce que j'ai sur le coeur, car trop c'est trop !
Tu as la mémoire courte l'Homme. Toi qui vis maintenant dans une ère technologique démentielle; tu vas sur la lune, tu envois des sondes sur Mars, tu ne vis plus que via Internet, tu ne sais plus te passer de ta TV, ton GSM, ton four à micro-ondes, ta machine à laver, ta voiture, tes vacances à l'étranger, ton air conditionné et j'en passe... As-tu déjà oublié qui te réchauffait les os à l'époque ou tu vivais encore dans des cavernes ? Qui a assuré ta pitance en t'aidant à chasser ? Qui t'a sauvé de la famine en protégeant tes champs et en gardant ton bétail ? Qui t'a sauvé la vie en se battant contre les bêtes "sauvages" à ta place ? Qui t'a assuré une descendance en veillant sur tes enfants ? N'oublie jamais que c'est toi qui es venu me chercher. Je n'avais pas besoin de toi. Bien sûr, tu as surtout su vite profiter de mes points faibles, à savoir mon bon coeur et l'amour de mon ventre... En veillant sur toi, c'est mon existence que j'ai assuré pour les temps à venir.
Je t'ai donné une bonne leçon l'Homme. Tu as joué avec la génétique, tu m'as spécialisé selon tes désirs : du plus petit au plus grand, du plus léger au plus lourd, du plus poilu au plus rasé, tu m'as créé chiens de Bergers, chiens de montagne, chiens de chasse, chiens de compagnie, chiens bâtards... mais... malgré toutes ces différences de races, nous nous reconnaissons toujours entre nous comme étant Chien avant tout. Et toi, l'Homme ? Sais-tu encore à quelle race tu appartiens ? Tu t'es divisé en blancs, noirs, jaunes, bruns... tu as prôné la supériorité de ta catégorie raciale, toi qui es vert de rage, bleu de froid, rouge de colère, blanc de peur, tu as créé des "sous-races", des races "impures". Tu as prôné l'extermination de tout ce qui te faisait peur ou tous ceux qui ne partageaient pas tes idées, tu as créé l'horreur, le racisme, la Xénophobie... Moi le Chien, je me bats uniquement pour une question de hiérarchie et encore, quand cela est nécessaire. Mais toi l'Homme ? Tu te bats pour tes idées, pour un bout de territoire, pour un Dieu, pour du fric. Tu te bats par patriotisme, par peur, par haine, par plaisir, par habitude, et c'est moi le chien que tu qualifies d'"animal" ?
Tu te dis civilisé l'Homme. Tu es pour la paix dans le monde, pour le progrès technologique, médical, économique. Tu dis que la prospérité règlera tous les différents entre humains. Bon, soit. Cela dit, ton vernis civilisé craque de toute part. Tu deviens égoïste, paranoïaque, égocentrique. Tu te drogues, tu cours de psychiatre en psychiatre, tu bois à en perdre la raison, tu fumes comme un pompier, tu détruis la nature au nom de la viabilité économique, tu vis à 100 à l'heure 24 heures sur 24. Tu dois être sans cesse productif, alors tu sacrifies ta santé, tu manges des "cochonneries", tu dénatures tout, tu négliges l'éducation de tes enfants, tu attrapes toutes sortes de maladies incurables. Alors pour te venger tu te défoules sur ton meilleur ami... Tu me prends pour tes expérimentations animales, pour tester tes savons, tes shampooings, tes médicaments; tu me prends pour régler tes problèmes de solitude, de santé, pour faire "plaisir" à tes gosses (tu veux surtout avoir la paix); par mode, pour frimer, pour être supérieur à tes voisins; pour garder du toc, pour te défendre, par peur des autres; ou pour faire du fric dans des combats, des courses, des concours, de la reproduction... Et quand tu es fatigué de moi, tu me jettes sur l'autoroute quand tu pars en vacances, tu m'abandonnes dans un refuge (comme par hasard, tu m'as trouvé sur la rue), tu m'euthanasies si je te gêne, tu veux éradiquer des "races" parce que tu es incapable de t'en occuper convenablement, tu prends des lois stupides, tu crées des phobies chiens, si je t'encombre dans ta maison, tu me fourres dans une cage dehors, ou tu m'attaches au bout d'une chaîne... Ta soif d'holocauste est-elle si irrépressible pour que tu t'en prennes maintenant à ton "meilleur" ami ?
Tu es soi-disant "propre" l'Homme, toi qui n'arrêtes pas de râler sur les déjections canines dans les rues de tes villes, toi qui rouspètes quand ton ami lève sa patte partout où il passe, quand il saccage tes plantations, et quand il fait des trous dans ton gazon anglais... Mais... t'es-tu déjà bien regardé ? Ce n'est pas moi le Chien qui laisse déborder les poubelles dans tes villes, ce n'est pas moi qui jette mes détritus de pique-nique dans la nature, ce n'est pas moi qui pollue les rues avec tes emballages, tes canettes de bière, tes sachets de frites bien gras, ce n'est pas moi qui fait des dépôts d'o*****s clandestins à la campagne, ce n'est pas moi qui saccage les murs de tes villes avec de la peinture, ce n'est pas moi qui déverse du lisier dans les rivières, ce n'est pas moi qui vandalise les cabines téléphoniques, les magasins, les oeuvres d'arts... Ce n'est pas moi qui laisse traîner des seringues usagées sur les plages, ce n'est pas moi qui ai inventé les marées noires, les accidents nucléaires, le CO2 de tes précieuses voitures, les déversements chimiques dans les fleuves, le déversement des égouts dans les rivières et j'en passe... Et c'est moi que tu qualifies de "sale" ?
Alors bon, qu'est-ce que je dois faire ? Parce qu'un jour lointain j'ai décidé de t'aider, me voilà incapable de me débrouiller seul. Je dépends de toi, l'Homme ! Entièrement de toi ! La vie serait pourtant si belle si tu m'accordais un peu d'attention. Je te donne ma fidélité, mon amour, je ne te juge pas. Que tu sois riche ou pauvre, jeune ou vieux, en bonne santé ou malade, blanc ou noir, croyant ou non croyant : tout cela m'importe peu car je suis TON ami. Regarde autour de toi, je suis toujours là quand tu as besoin de moi, je suis chien d'avalanche, chien de décombres, chien d'aveugle, chien pour les handicapés moteurs, chien policier pour te protéger, chien garde-malade, chien farceur, chien jouet avec tes enfants ou avec toi, chien sportif, chien de troupeau...
Regarde autour de toi l'Homme, dans le monde que tu t'es fabriqué, tu ne trouveras pas de meilleur ami que moi. Mais concluons un nouveau pacte toi et moi. Toi qui me vois chiot rondelet, canaille avec des yeux suppliants qui te disent prends-moi, arrête-toi un instant et réfléchi : tu me prends uniquement pour tes enfants ? Ne me prends pas, tu sais que les enfants changent d'avis très vite et tu sais aussi qu'un enfant n'est pas capable de s'occuper d'un chien. Tu me prends pour te protéger dans tes banlieues parce que tu as peur ? Ne me prends pas, ta peur est contagieuse et tu voudras faire de moi un chien dangereux. Tu me prends parce que je suis spécial, gros, puissant (tout ce que tu veux être) ? Ne me prends pas, tu seras incapable de m'éduquer, je deviendrai le chef et c'est moi qui finirai à la fourrière. Tu me prends sur un coup de tête à la veille de tes vacances ? Ne me prends pas, je n'ai pas envie de courir après ta voiture sur l'autoroute... Si tu veux me prendre pour pleins de mauvaises raisons : peur, coup de tête, reproduction, frime, cadeau, alors NE ME PRENDS PAS ! Laisse donc sa chance à un autre.
Mais, si tu es prêt à me prendre pour moi, si tu es prêt à m'éduquer correctement, fermement mais avec bonté, si tu es prêt à partager tes loisirs avec moi, si tu es prêt à gambader avec moi dans la nature, qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, qu'il fasse chaud, si tu es prêt à faire un minimum de sacrifices, (quelques trous dans ta pelouse, quelques fleurs grignotées, des pattes de boues dans ta maison, des poils sur ta moquette... , si tu as les moyens financiers nécessaires pour me nourrir décemment et me soigner en cas de besoins, si tu es prêt à me considérer comme un partenaire dans ta vie de tous les jours, si tu es prêt à me défendre contre les lois stupides de tes semblables, contre les comportements imbéciles de certains, alors PRENDS-MOI, je n'attends que cela, partager ta vie et être ton meilleur ami, aime-moi pour ce que je suis, un coeur tendre avec des poils autour, et non pas pour ce que tu voudrais que je sois !
Ton meilleur ami : le Chien.

Déposé par colombine67 le 05/07/2016  
Il suffit simplement d’observer nos chiens ou les animaux en général pour nous rappeler ces leçons de vie que nous, les humains, avons oublié dans notre société de course à la consommation, d’égocentrisme et de perte de ces valeurs fondamentales qui pourtant, nous permettraient de vivre plus en harmonie les uns avec les autres.
Nous vous parlons très régulièrement, et à travers de belles histoires, de ces leçons de vie exemplaires que nous enseignent nos chiens. Dans cet article, nous avons choisi de vous énoncer six d’entres elles, illustrées d’histoires émouvantes que nous vous avons narré sur Guide du Chien :
1. La fidélité
Depuis les débuts de la civilisation, le chien a toujours incarné un véritable symbole de fidélité et un exemple de celle-ci pour l’humanité. Le chien est le meilleur ami de l’homme, son plus fidèle compagnon, qui ne lui fait jamais défaut.
Le chien est prêt à donner sa vie pour défendre celle de son maître comme en témoignent les histoires de Chako et  Lefty, ces deux magnifiques Pit Bulls qui ont risqué leur vie pour sauver celle de leur maître.
Mais pour aller encore plus loin et prouver encore cette incroyable fidélité de nos amis à quatre pattes, certains chiens ont même dédié le reste de leur vie à veiller sur la tombe de leur maître défunt. Pour preuve, nous vous avons raconté l’histoire de Bobby qui est resté sur la tombe de son maître pendant 14 ans ou encore Coly qui veillé la tombe de son maître pendant 9 ans.
2. Le pardon
Combien de chiens ont été lâchement battus, maltraités et abandonnés par des maîtres odieux ? Hélas il est impossible de compter tant il y en a.
Mais nos chiens ont cette incroyable faculté à pardonner leur bourreau, le responsable de leurs plus grands maux sur cette terre : l’être humain.
Les chiens font preuve d’une incroyable clémence à notre égard et malgré toutes leurs souffrances, sont capables de nous ouvrir à nouveau leur cœur et placer toute leur confiance en nous.
Ces chiens sont nombreux à attendre dans les refuges et sauront bien vous le rendre, croyez-moi… Les histoires de Gideon et Cadence en sont de parfaits exemples.
3. L’amour inconditionnel
Les chiens nous aiment de tout leur cœur et nous le montrent chaque jour que nous passons à leurs cotés. Votre chien vous a-t-il un jour fait défaut lorsque vous êtes rentré à la maison après une longue journée de travail ?
Vous a-t-il un jour boudé parce que la veille vous ne vous êtes pas promené assez longtemps avec lui ? Ou alors un jour lorsque vous vous êtes emporté et l’avez grondé excessivement et à tord ?
Certainement que non, ou alors votre chien peut souffrir d’un grave problème médical et il faut consulter un vétérinaire très rapidement.
Quelles que soient les circonstances de la vie, heureuses ou malheureuses, votre chien éprouvera et vous montrera un amour inconditionnel et sans faille. Notre article sur les 20 plus belles citations canines contemporaines illustre parfaitement cet amour absolu.
4. L’altruisme
Votre chien n’est pas votre plus fidèle ami par intérêt, parce que vous le nourrissez chaque jour et lui apportez un confort matériel. Non, votre chien vous aime du plus profond de son être parce qu’il a de profonds sentiments pour vous et ce, de façon complètement désintéressée.
Si vous devriez vivre demain (ou plutôt survivre) dans la rue et que vous éprouviez les pires difficultés financières et matérielles, votre chien sera toujours à vos cotés pour vous apporter le réconfort nécessaire et vous donner ce sourire qui s’esquisse à la simple vue de son regard et de sa queue qui remue.
Votre chien sera toujours à vos cotés, peu importe que vous soyez riche ou pauvre, notable ou ouvrier, triste ou heureux.
5. Aider ou sauver son prochain
L’être humain est de plus en plus égoïste. Nos sociétés à priori « civilisées », à travers les médias et les politiques, nous véhiculent peur et méfiance de « l’étranger » au sens le plus large du terme (un voisin, un passant ou simplement quelqu’un qui ne nous « ressemble » pas).
J’ai le souvenir marquant d’une étude qui mettait en situation une personne qui simulait un malaise dans la rue et qui avait pour but de mesurer le nombre de personnes qui s’arrêteraient pour lui prêter secours. Les résultats ont été sidérants : les trois quarts des personnes ne s’arrêtaient pas et pire, changeaient de trottoir à la vue de l’acteur étendu sur le sol, qui pourtant simulait à la perfection un malaise nécessitant un secours d’urgence.
À notre différence, les chiens se portent au secours de n’importe quelle personne ou animal en danger, inconnue ou non, et en faisant preuve d’un grand courage. Nous vous avons relaté l’histoire de ces chiens errants sauvant une jeune fille en proie à un prédateur sexuel ou encore l’histoire de cette conductrice gravement blessée et qui doit le vie à un chien abandonné.
6. L’esprit de famille
Ou si je puis me permettre « l’esprit de meute » pour faire un parallèle logique avec nos amis les chiens. Combien de nos aînés sont abandonnés dans des maisons de retraite dans des conditions parfois exécrables, recevant une visite par mois tout au plus de leurs enfants ou leur proche famille ? Dans leur plus grande sagesse, nos parents âgés, nos grand-mères et grand-pères nous ont porté, soutenu et jamais abandonné.
Pourtant combien de ces pensionnaires contraints malgré eux dans la solitude des ces maisons de retraite meurent dans le plus grand anonymat pour des pseudos « querelles de familles » ou à cause de l’indifférence de leur proches ?
Nos chiens nous montrent quant à eux un tout autre exemple du respect des « anciens » et des malades également
Pour illustrer cela, nous pouvons simplement prendre l’exemple de chiens qui vivent à l’état sauvage ou des nombreux chiens errants qui peuplent certaines de nos villes. Ces chiens font tout pour leurs semblables, vieux ou malades, quitte à risquer leur vie pour sauver l’un des leurs. Nous vous en parlions lors de notre article sur l’exceptionnel sauvetage d’un chien errant par l’un de ses congénères également abandonné, alors qu’il s’était fait percuté par un camion.
Pour conclure
Nous avons vu dans cet article 6 leçons de vie que nous enseignent les chiens au quotidien et dans leur plus grande authenticité. Bien entendu il en existe encore beaucoup d’autres telles que le courage, la compassion ou encore la sincérité pour ne prendre que trois exemples supplémentaires. N’hésitez pas à enrichir l’article par vos commentaires plus-bas et nous parlez de vos expériences sur le sujet.
Nous conclurons cet article par une citation d’Alphonse Lamartine (poète français, 1790-1869) :
« Partout où il y a un malheureux, Dieu envoie un chien. »

Déposé par colombine67 le 04/07/2016  
Pas étonnant que le chien soit le meilleur ami de l'homme. Sa loyauté, son intelligence, son dévouement et son affection sont incroyablement gratifiants. Il n'y a rien de mieux qu'une longue marche avec son compagnon, voir la joie de son chien lorsqu'on l'emmène jouer au parc, ou simplement se reposer à la maison en compagnie l'un de l'autre. Et bien sûr, pour tout l'amour que vous exprimez à un chien, il vous le rend dix fois.
Des études récentes ont montré que ceux d'entre nous qui ont un animal de compagnie sont généralement en meilleure santé et plus heureux que ceux qui n'en ont pas. Mais pourquoi le chien est-il un animal de compagnie idéal ?
Promener son chien régulièrement entretient la forme physique.
Promener son chien augmente l'interaction sociale : beaucoup de personnes se lient d'amitié avec les propriétaires de chiens qu'ils rencontrent régulièrement.
La marche à pied aide à oublier le stress et les tensions de la vie quotidienne et offre un moment précieux à l'extérieur : l'occasion de laisser tout derrière soi et de passer du temps avec un compagnon fidèle.
Les chiens nous donnent un sens du bien-être émotionnel grâce à l'amour inconditionnel qu'ils nous portent.
Les propriétaires de chiens ont généralement un système immunitaire plus solide, ce qui les aide à se tenir à l'écart des maladies.
Le fait de posséder un chien aide les gens à se remettre d'un traumatisme personnel, tel que le deuil.
Les propriétaires de chiens ont généralement une pression artérielle moins élevée que les autres.
Les propriétaires de chiens se remettent souvent plus rapidement des maladies et présentent un taux de survie plus élevé après un infarctus.
Les enfants possédant des chiens manquent moins souvent l'école pour cause de maladie.
Par ailleurs, plus encore que tous ces avantages non négligeables, les chiens représentent tout simplement une grande source d'amusement. Ils peuvent vous faire rire, en particulier lorsque vous avez passé une très mauvaise journée, et ils sont toujours là pour vous réconforter par un câlin lorsque vous en avez besoin. Rien ne peut mieux vous remonter le moral que de voir votre chien tenir sa laisse avec espoir, sa queue battant fortement, les yeux brillants d'excitation pour sa première promenade de la journée.

Déposé par poutounou le 03/07/2016  
Il y a des jours comme ça…
*
Il y a des jours comme ça,
Des jours où ça ne va pas.
Des jours où on aimerait
Serrer notre Ange contre soi.
Lui murmurer des mots doux,
Lui faire des câlinous tout partout
Il y a des jours comme ça…
Depuis qu’il n’est plus là.

Déposé par colombine67 le 03/07/2016  
Un chien reste aux côtés de son maître, que celui-ci soit riche ou pauvre, en bonne santé ou malade, pourvu qu'il soit auprès de lui.
Il dormira sur le sol froid quand les vents glacials souffleront et que la neige tombera avec force.
Il embrassera la main qui n'a pas de nourriture à lui offrir, léchera les plaies et les blessures causées par la rudesse de ce monde.
Il veillera sur le sommeil d'un pauvre comme si ce dernier était un prince.
Quand les ami(es) font défaut, le chien LUI reste fidèle. Lorsque la richesse s'envole et que la réputation s'effrite, son amour demeure aussi immuable que la trajectoire du soleil à travers le ciel.
Si le sort fait de son maître un proscrit en ce monde, sans ami(es) ni maison, il ne demande pas de plus grand privilège que celui de l'accompagner pour le protéger et se battre contre ses ennemis.
Et quand vient le dernier moment, que la mort étreint son maître et que le corps de celui-ci est abandonné dans la terre froide, peu importe si tous les amis poursuivent leur route, on trouvera le noble chien là, sur la tombe, la tête entre ses pattes, les yeux tristes mais vigilants, fidèle et loyal jusque dans la mort !!!!

Déposé par colombine67 le 02/07/2016  
TEXTE LONG MAIS A LIRE !
Journal d'un chien (âme sensible s'abstenir)
Le journal d'un chien:
Semaine 1: Ca fait aujourd'hui une semaine que je suis né,quel bonheur d'être arrivé dans ce monde!
Mois 01: Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire.
Mois 02: Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait.
Mois 04: J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer.
Mois 05: Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que j'ai fait "pipi" à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas!
Mois 12: Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent être fiers de moi !
Mois 13: Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mâchoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils étaient furieux et ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe.
Mois 15: Plus rien n'est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens très seul, ma famille ne m'aime plus. Ils oublient parfois que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter.
Mois 16: Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Écoutez, attendez !" Vous... vous m'oubliez. J'ai courru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié.
Mois 17: J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre.
Mois 18: L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m'a abîmé l'oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci.
Mois 19: Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j'étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé. J'ai perdu mon œil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre.
Mois 20: Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrières ne réagissent plus et je me suis difficilement tiré vers un peu d'herbe au bord de la route.
Mois 21: Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent "ne t'approche pas". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m'a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t'ont laissé"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances". La gentille dame s'est mise à pleurer et a approuvé.
Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la remerciant de m'aider à trouver enfin le repos.
Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me voulait.
Voici une chose réelle qui vas encore se produire cette année, se texte est assez dur, faites un copier collé et le mettez le sur votre forum, et a ces gens là, je dit merci! ( moi je l'est fait)
La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer. Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés.
S'il vous plais faites un copier coller de cette article sur votre forum, si vous ne le faite pas c'est que vous n'avez pas de cœur,je sais que ce texte est dur, mais faite un effort, car eux en font tous les jours au près DE TOI

Déposé par colombine67 le 01/07/2016  
Hier auprès de son maître, aujourd'hui seul et perdu.
Hier protégé et soigné, aujourd'hui en danger.
Hier aimé, aujourd'hui oublié et délaissé...
Un animal ne pleure pas ... il souffre en silence !

Déposé par Galiama le 30/06/2016  
Nous devions nous aimer, c'était écrit là-haut...
Les âmes sœurs finissent par se trouver quand
elles savent attendre...
Théophile GAUTIER

Déposé par colombine67 le 30/06/2016  
DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIR….
Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classé deuxième catégorie.
Je suis un Rottweiler, et pour moi il n’y a pas de pitié, je dois payer de ma vie.
A l’aube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande qu’à jouer,
Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui m’a jugé.
Je n’ai pas connu mes parents ; tout petit j’étais chez un marchand qui m’a vendu
Comme mes sœurs et frères, dans les sous-sols d’une cité, que je n’ai jamais vue.
Dans un appartement je fus alors gardé, au milieu des enfants venant me taquiner,
S’amusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser.
Quelques mois sont passés, dans cette famille j’ai vécu des jours de grand bonheur,
Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures.
C’est au parc qu’on m’emmenait, je pouvais gambader et même aller jusqu’à l’étang,
J’étais heureux, j’en profitais pour me baigner, et revenais me secouer prés des enfants.
Je croisais quelques congénères, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien.
Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien,
Car j’entendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans,
Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obéir était nécessaire et prudent.
Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient d’un air bizarre, ou même interrogateur.
Ils me donnaient l’impression de se méfier de moi, cherchant à m’éviter, ils avaient peur.
J’avais remarqué, les mamans serraient de beaucoup plus prés, protégeant leurs enfants.
Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pétillaient en me voyant.
Et ce soir fatidique, du début de juillet, en rentrant au quartier, j’ai vu surgir trois ombres,
Et j’entendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva d’autres, je ne sais plus le nombre,
Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « s’il nous mord on le plombe »
Ils étaient là pour moi, en mission très spéciale, commençant ici pour finir… dans ma tombe.
Mon jeune maître du s’expliquer, je fus mis en laisse et muselé, puis enfermé dans une cage,
Pendant que ces messieurs de la police, constataient que j’étais illégal, ni papiers ni tatouage.
Alors à la fourrière on m’emmena, ou sans ménagement on me jeta dans un bien triste chenil,
Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvés aux environs ou au centre ville.
A partir de cet instant, j’étais condamné, victime innocente d’une loi aussi bête qu’injuste,
Un peu du même genre que celle que l’on voudrait prendre en ce moment pour les « putes ».
Il est vrai, j’étais « sans papiers », mais je n’en veux pas à ma famille, ils n’en ont jamais eu,
Vivant dans un ghetto depuis dix ans, j’étais le cadeau des enfants qu’ils ne reverront plus.
Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, même des drames,
Souvent rendus méchants par des Maîtres infâmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames.
Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je n’ai jamais mordu ni grogné, et je dois partir,
Laissant tous seuls ces enfants qui m’adorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir.
La société humaine ainsi a décidé, qu’être un Rottweiler en famille immigrée, sans papiers,
Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procès, ni pitié.
Soyez bien surs que s’ils osaient, ils ne se contenteraient pas d’euthanasier seulement le chien,
Mais pour l’instant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et c’est ce qui les retient.
Texte de : Gilbert DUMAS

Déposé par poutounou le 29/06/2016  
Un joli bouquet de roses de toutes les couleurs pour chaque Ange du Paradis blanc….
*
LA ROSE
*
Rose !!! J'aime tellement ton parfum, le matin
Quand tu te lèves, mouillée dans ta robe de satin
Toute belle tu t'es épanouie dans ton jardin
J'ai du plaisir à te voir et du mal à croire
Comme tu es belle, quand je te regarde
J'ai cultivé un jardin et me suis fait un bouquet
De roses pour moi, une blanche pour l'amitié
Une jaune pour le sourire, une rose pour la tendresse
Une rouge pour l'amour.
Mais ma plus belle rose c'est toi mon amour
*
- Candy -

Déposé par colombine67 le 29/06/2016  
Certains sont dans un jardin
Parfois au bout d'une chaîne
Et servent de gardiens
Certains sont là pour faire bien
Et les voir en manque d'amour fait de la peine
Lorsque l'on vit tous les jours avec son chien
Il devient notre double autant que notre gamin
Notre psy autant que notre frangin
Notre bouillote autant que notre copain
Nos oreilles autant que notre ange-gardien
Et le voir tous les jours épanoui et sain
Fait notre bonheur au quotidien

Déposé par colombine67 le 28/06/2016  
Le BÂTARD et le CLOCHARD.
Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans,
Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps.
Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère,
Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère.
Tous les jours, tous les deux, on fait la manche,
Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche.
C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger,
Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer.
Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir,
Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir.
Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens,
Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants.
Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse,
Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse,
Condamnés que nous sommes à vivre de la quête,
Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête.
Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons,
D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion.
Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux
De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous.
Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple,
Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple,
Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite,
Prêts à se battre ou se haïr… pour réussir plus vite.
Alors, gens de bonnes manières, responsables civils,
Qui faites les beaux jours des villages et des villes,
N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard »,
Ce vilain chien, son seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard».

Déposé par colombine67 le 27/06/2016  
Le chien apporte une véritable dimension affective dans sa relation avec l’homme, de l’enfance au grand âge. Les bénéfices de la présence d’un chien sur l’être humain ne sont plus à démontrer. Chez l’enfant, on note une influence sur son développement mental et psychologique, et chez l’adulte et la personne âgée, sur le plan psychologique et physiologique.
Pour les enfants
Pour l’enfant, le chien, ou le chiot, est non seulement un compagnon de jeu, mais également un ami et un confident. Il apporte un sentiment de sécurité et de réconfort. Avec un chien à ses côtés, votre enfant comprendra mieux ce que signifient l’obéissance, l’autonomie et, de manière générale, tout ce qui concourt à son épanouissement social. Il appréhendera également la douleur.
Un modèle d’éducation pour votre enfant
Pour les adultes
Chez l’adulte, les bienfaits de la compagnie d’un chien sont multiples, notamment pour sa santé au quotidien: exercice physique, baisse de la tension et du rythme cardiaque. Il a été démontré que les problèmes de santé mineurs chez les propriétaires de chiens sont réduits de moitié. Un simple exemple: promener son chien chaque jour réduirait le nombre de fractures du col du fémur chez la personne âgée.
Pour les personnes âgées
Les établissements médicalisés pour personnes âgées sont de plus en plus nombreux à laisser entrer les animaux de compagnie dans leurs murs. Et pas seulement pour les bienfaits de leur compagnie. Certains chiens sont formés pour faciliter l’accompagnement des personnes en fauteuil roulant et participent à des programmes thérapeutiques comme, par exemple, dans le traitement de la maladie d’Alzheimer. Il s’avère en effet que la présence d’un chien participe à l’éveil du patient et déclenche ainsi des réactions positives.

Déposé par colombine67 le 26/06/2016  
Chien…
Tu es si noble!
Ta médecine nous enseigne
À aller jusqu’au bout de nous-mêmes
Avec fidélité, patience et sincérité.
Tous les Indiens du Sud-Ouest et des Plaines avaient des chiens. Ces nobles animaux lançaient le cri d’alarme devant un danger imminent. Ils aidaient aussi à la chasse et gardaient leurs maîtres au chaud pendant les longues soirées d’hiver. Puisqu’il existe plusieurs espèces de chiens, les premiers chiens des Indiens étaient habituellement à demi sauvages. Toutefois, l’état sauvage ne les détournait pas de la fidélité innée à leurs maîtres.
Tout au long de l’histoire, on a considéré le Chien comme le serviteur de l’humanité. Les porteurs de la médecine du Chien se dévouent habituellement de quelque façon au service des autres ou à celui de l’humanité. Ce sont des bénévoles, des philanthropes, des infirmières, des conseillers, des prêtres ou des soldats.
Le Chien, c’est le soldat de service, gardien vigilant des loges de la tribu contre les attaques surprises. La médecine du Chien allie la tendre délicatesse du meilleur ami à l’énergie protectrice mi-sauvage, liée aux exigences territoriales. Comme Anubis, le chien-chacal qui protège l’Égypte, le chien monte la garde. À travers l’histoire, le Chien a été à la fois gardien des enfers, des secrets anciens, des trésors cachés et des bébés – pendant que les mères préparaient les repas ou travaillaient aux champs. Fidèle à sa nature, cet animal mérite la confiance qu’on lui accorde.
En étudiant la médecine du Chien, vous découvrirez peut-être de doux souvenirs personnels reliés à un chien que vous avez aimé. Cela vous poussera peut-être à mieux examiner le message que ce fidèle gardien veut transmettre : approfondissez votre sens du service aux autres. L’espèce canine est vraiment orientée vers le service ; la fidélité de ces animaux passe outre aux mauvais traitements reçus. Même quand le Chien a été victime de cris ou de coups, il continue à aimer la personne qui l’a maltraité, non pas par stupidité mais plutôt par compréhension : une compréhension profonde et compatissante des défauts des humains. II semble bien qu’au coeur de tout chien réside un esprit de tolérance qui ne cherche qu’à servir.
Par ailleurs, il peut se trouver des chiens chez qui les mauvais traitements ont étouffé toute trace de fidélité. Ils tremblent et se lamentent au moindre signe de désapprobation, mais ce n’est pas là leur nature véritable. Quelques espèces de chiens ont même été entraînés à être brutaux et méchants. Dans un esprit de service, ces espèces ont répondu aux désirs agressifs de leurs maîtres. Ils sont victimes d’une altération de leur mémoire génétique où le service prend un tout autre sens parce qu’il est relié à l’approbation de leurs maîtres.
La médecine du Chien nous demande de considérer combien aisément notre besoin d’approbation peut dénaturer l’esprit de notre fidélité. Si vous avez tiré la carte du Chien, plusieurs questions se posent selon la situation qui vous a poussé à tirer les cartes.
1) Récemment, ai-je oublié que je devais d’abord respecter ma vérité personnelle ?
2) Est-il possible que les commérages et l’opinion des autres aient diminué ma fidélité à un certain ami ou à un certain groupe ?
3) Ai-je rejeté ou ignoré quelqu’un qui tente d’être un ami fidèle ?
4) Ai-je été fidèle et sincère face à mes buts ?
À L’ENVERS :
En position contraire, le Chien vous rappelle peut-être que vous êtes devenu trop critique,voire même méchant et que c’est dû aux gens que vous fréquentez. L’aspect contraire de cette médecine peut aussi vouloir dire qu’il est temps de cesser de trembler de peur et qu’il vaut mieux maintenant vous attaquer à tout ce qui mine votre confiance. La clé du succès, c’est de vous rendre compte que l’ennemi est à l’intérieur de vous : il s’agit de formes-pensées qui vous disent que vous n’êtes pas digne de fidélité – soit envers vous-même, soit envers les autres. Vous voudrez peut-être examiner les schémas d’infidélité dans votre vie. Par exemple, rapportez-vous les potins ? Évitez-vous de prendre la parole pour faire taire ou rectifier les propos de quelqu’un qui propage des rumeurs ? Faites-vous des farces qui abaissent les autres ? Refusez-vous de rendre des services ? Ces comportements sont caractéristiques de la peur, particulièrement d’une peur commune aux humains de la famille des bipèdes : la peur de ne pas faire partie du groupe ou de ne pas être approuvé.
Réappropriez-vous le pouvoir d’être fidèle à vous-même et à vos vérités. Devenez comme le Chien – votre meilleur ami. 

Déposé par nikita le 25/06/2016  
Mon PACO à moi
Je pense toujours à toi.
On m'avait dit que tout s'efface
Heureusement que le temps passe
J'aurai appris qu'il faut longtemps
que la douleur s'estompe avec le temps
Mais j'ai ton image plantée dans les yeux
Je pense souvent à ces jours heureux
Ou tu étais serré contre mon cœur
Juste avant ce terrible malheur
La destiné t'a arraché de ma vie
Et un morceau de mon cœur est parti
Je ne t'oublierais jamais mon joli cœur
Toi qui as été mon immense bonheur
mille bisous parfumés de tendresse sur ta jolie frimousse mon beau petit cœur à partager avec ta maman d'amour




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