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En hommage à
BOXERPaco
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
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En hommage à
Paco
87 bougies
19281 Fleurs
Déposé par spanky Les blessures qui ne se voient pas,nous font du mal bien plus que toutes les autres,on les enferme au fond de soit,mais est-ce que toute une vie on les supporte? ces blessures là qui ne se voient pas. Déposé par poutounou Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les délices des plus beaux de nos jours avec nos « Anges-câlins » !!! Déposé par Binouche Dans le silence de chaque mot il y a tant de paroles et d'amour que tout ce que nos coeurs trouvent beau, grandit chaque jour. pour toi bel ange. Déposé par nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 |
2531 messages
Déposé par colombine67 le 02/02/2016Parce que ma raison tait Ce que mon coeur hurle Parce que mon âme pleure Ce que la vie m'enlève Parce que l'amour est douloureux Comme l'est une plaie béante Parce que mon coeur est vide Comme le sont mes yeux aujourd'hui L'amour est une fleur Dont le parfum ennivrant Nous fait oublier pour un temps Le désert de notre coeur Mon coeur t'appelle Mon âme t'implore Mes yeux te cherchent Et mon amour est là J'aimerais tant m'endormir Et me réveiller à tes côté Dans un monde fait pour nous Loin de tout, protégés |
Déposé par choupinou le 01/02/2016Je vis avec un Ange ♥ Dans la vie de tous les jours, on reconnaît un Ange à ce qu'il aime, l'incognito, à son goût de la discrétion, voir de l'effacement.♥ Il est là , sa présence est tout en douceur , en lumiere ..☺ ses caresses sont brumes sa voix est tel le chant d un oiseau ♫ Il ne déroule jamais son curriculum vitae, ses diplômes ni ses prouesses, il a peine de biographie et se désintéresse de l'évènementiel. Mais il veille sur la neige, le vent, les animaux , le duvet des peupliers, les étoiles, la lune, les enfants,son maître tant aimé, le silence ... Bref, sur tout ce qui est vivant, paroles indienne, |
Déposé par rafia le 31/01/2016Paroles de la chanson "Un Jour" par Damien Sargue Où vont ceux qu’on aime Quand ils disparaissent, Tout à coup ? Quelqu’un qui nous laisse, Quelqu’un qui vous blesse Quand il s’en va trop loin de nous. Ils sont en nous-mêmes, À portée de nos souvenirs. Pas un mot de trop, Que le geste qu’il faut, Pour une dernière fois, Les retenir Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour. Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Que font ceux qui restent Quand leur peine est plus forte que tout, Quand ils se détestent D’être ceux qui restent, Ceux qui doivent aller jusqu’au bout ? Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Les présents, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! |
Déposé par Galinette3 le 31/01/2016La ronde des mois Demain Février débute ! 🐾 🎶 Janvier prend la neige pour châle ; Février fait glisser nos pas ; Mars de ses doigts de soleil pâle, Jette des grêlons aux lilas. 🎶 Avril s'accroche aux branches vertes ; Mai travaille aux chapeaux fleuris ; Juin fait pencher la rose ouverte prés du beau foin qui craque et rit. 🎶 Juillet met les œufs dans leurs coques Août sur les épis mûrs s'endort ; Septembre aux grands soirs équivoques, Glisse partout ses feuilles d'or. 🎶 Octobre a toutes les colères, Novembre a toutes les chansons Des ruisseaux débordant d'eau claire, Et Décembre a tous les frissons. 🎶 Rosemonde Gérard ("Les pipeaux" - éditions Grasset, 1923). |
Déposé par colombine67 le 31/01/2016Je l'aime, seigneur combien je l'aime, Combien mes sentiments sont profonds et immuables Comme autant d'étoiles dans le ciel, Comme autant de vagues dans l'océan J'ai envie de crier cet amour, De le hurler à la face du monde De le déclarer fièrement Et montrer sa force ouvertement Au lieu de cela, tout est tu, tout est enfoui Chaque élan de tendresse est étouffé, Chaque phrase tendre baillonée, Chaque sentiment réfréné Il est mon âme, il a mon coeur, Il est mon homme, mon bonheur, Il est mon oxygène, ma lumière, L'indispensable, l'essentiel Je ne peux lui dire la force de mes sentiments, J'aimerais qu'il le sache pourtant, Qu'il sache que je ne veux que lui, Que je ne rêve que de lui Comme un refrain chanté sans cesse, Comme une musique emplissant l'air, Mes sentiments se perdent dans les silences Prisonniers des écrits |
Déposé par colombine67 le 30/01/2016Grand-mère «Que fais-tu grand-mère, assise là, dehors, toute seule ?» Eh bien, vois-tu, j’apprends. J’apprends le petit, le minuscule, l’infini. J’apprends les os qui craquent, le regard qui se détourne. J’apprends à être transparente, à regarder au lieu d’être regardée. J’apprends le goût de l’instant quand mes mains tremblent, la précipitation du coeur qui bat trop vite. J’apprends à marcher doucement, à bouger dans des limites plus étroites qu’avant et à y trouver un espace plus vaste que le ciel. «Comment est-ce que tu apprends tout cela grand-mère ?» J’apprends avec les arbres, et avec les oiseaux, j’apprends avec les nuages. J’apprends à rester en place, et à vivre dans le silence. J’apprends à garder les yeux ouverts et à écouter le vent, j’apprends la patience et aussi l’ennui ; j’apprends que la tristesse du coeur est un nuage, et nuage aussi le plaisir ; j’apprends à passer sans laisser de traces, à perdre sans retenir et à recommencer sans me lasser. «Grand-mère, je ne comprends pas, pourquoi apprendre tout ça ?» Parce qu’il me faut apprendre à regarder les os de mon visage et les veines de mes mains, à accepter la douleur de mon corps, le souffle des nuits et le goût précieux de chaque journée ; parce qu’avec l’élan de la vague et le long retrait des marées, j’apprends à voir du bout des doigts et à écouter avec les yeux. J’apprends qu’il faut aimer, que le bonheur des autres est notre propre bonheur, que leurs yeux reflètent dans nos yeux et leurs coeurs dans nos coeurs. J’apprends qu’on avance mieux en se donnant la main, que même un corps immobile danse quand le coeur est tranquille. Que la route est sans fin, et pourtant toujours exactement là. «Et avec tout ça, pour fini, qu’apprends-tu donc grand-mère ?» J’apprends, dit la grand-mère à l’enfant, j’apprends à être vieille ! Joshin Luce Bachoux |
Déposé par colombine67 le 29/01/2016Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. J'ai tout appris de toi sur les choses humaines Et j'ai vu désormais le monde à ta façon J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines Comme au passant qui chante on reprend sa chanson J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne Qu'il fait jour à midi, qu'un ciel peut être bleu Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux Tu m'as pris par la main comme un amant heureux. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes N'est-ce pas un sanglot que la déconvenue Une corde brisée aux doigts du guitariste Etpourtant je vous dis que le bonheur existe Ailleurs que dans le rêve, ailleurs que dans les nues. Terre, terre, voici ses rades inconnues. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. Louis Aragon |
Déposé par poutounou le 28/01/2016Vivement les beaux jours ! Evadons-nous un instant… * Sur le chemin * Un chemin creux emprunter, Ses yeux pour seuls guides. * Petits escargots accrochés Comme des notes de musique Sur de frêles tiges Comme figés par le temps. * Coquelicots en corolles rougeoyantes Et fleurs de chardon bleutées Eparpillés dans les herbes folles. * Sous les rayons du soleil, Admirer la valse des papillons Qui, en rondes interminables, Donnent des baisers A chaque beauté rencontrée. * Se faire légère, se faire oublier, Pour mieux les contempler. * S’accroupir pour observer Quelques araignées A leurs fils cramponnées. * Ne pas déranger la Nature Qui sait si bien se révéler Pour qui sait la regarder. |
Déposé par ovanek le 28/01/2016💖 💖 45 💖 💖 Quelques larmes déjà que tu es parti Nuits et jours je pense à toi Pourquoi cet envolé ne serait pas sous un autre angle ? Lorsque je lève la tête Les étoiles illuminent ton nom Et les oiseaux me le chantent La flamme qui brûle au fond de mon cœur Ne s’éteindra jamais C’est pour cela que je ne t’oublierai pas **** Pensée **** 💖 |
Déposé par colombine67 le 28/01/2016J'ai découvert la peur De t'avoir rendue triste Et l'infinie fierté De te rendre l'espoir Si je traverse encore Cette écorce du temps Jusqu'au coeur de la vie J'irai jusqu'au pays Où rien n'est impossible Et j'en rapporterai Ce qui te manque ici Yves Duteil |
Déposé par ovanek le 27/01/2016💖 ❤ 💖 💖 💖 44 💖 💖 **** Tu es parti...Souffrir ou mourir **** Depuis que tu m’as quitté J’ai l’impression que tout s’est écroulé Le temps avance sans ta présence Je reste sur place et tout me lasse Le rêve est ma seule trêve Sans toi je ne suis plus que chagrin Je ne veux pas briser ce lien Qui me maintient en vie Alors je t’en prie ne m’oublies pas Car dans mon cœur A jamais tu seras ***** Pensée ***** 💖 ❤ 💖 |
Déposé par colombine67 le 27/01/2016Dans le silence de ma réflexion je perçois tout mon monde intérieur comme si c'était une graine, d'une certaine manière petite et insignifiante, mais également chargée de possibilités. … Et je vois dans ses entrailles le germe d'un arbre magnifique, l'arbre de ma propre vie en train de se développer. Dans sa petitesse, chaque graine contient l'esprit de l'arbre qu'elle sera plus tard. Chaque graine sait comment devenir un arbre en tombant sur une terre fertile, en absorbant les sucs qui la nourrissent, en étendant les branches et le feuillage, en se couvrant de fleurs et de fruits, pour pouvoir donner ce qu'ils ont à donner. Chaque graine sait comment réussir à être un arbre. Et les graines sont aussi nombreuses que le sont les rêves secrets. En nous d'innombrables rêves attendent le moment de germer, de faire des racines et de naître, de mourir en tant que graines… pour se transformer en arbres. Des arbres magnifiques et orgueilleux qui à leur tour nous disent, dans leur solidité, d'écouter notre voix intérieure, d'écouter la sagesse de nos graines de rêves. Eux, les rêves, indiquent le chemin par toutes sortes de symboles et de signes, dans chaque fait, à chaque instant, parmi les choses et les personnes, dans les souffrances et les plaisirs, dans les triomphes et les échecs. Le rêve nous apprend, endormis ou éveillés, à nous voir, à nous écouter, à prendre conscience. Il nous montre la voie par des pressentiments fugitifs ou des éclairs d'aveuglante lucidité. Et ainsi nous grandissons, nous nous développons, nous évoluons… Et un jour, alors que nous avancerons dans cet éternel présent que nous appelons «la vie», les graines de nos rêves se transformeront en arbres, et déploieront leurs branches qui, telles des ailes gigantesques, traverseront le ciel, unissant d'un seul trait notre passé et notre futur . Il n'y a rien à craindre… une sagesse intérieure les accompagne… car chaque graine sait comment devenir un arbre. (Jorge Bucay) |
Déposé par rafia le 26/01/2016E.E. Cummings – J’ai toujours ton 💖 avec moi (I Carry Your Heart With ) J’ai toujours ton 💖 avec moi Je le garde dans mon ❤, Sans lui jamais je ne suis, Là ou je vais, tu vas… Et tout ce que je fais par moi-même est ton fait… Je ne crains pas le destin, Car tu es à jamais le mien. Je ne veux pas d’autre monde, car Tu es mon monde, mon vrai… Tu es tout ce que la 🌙 a toujours voulu dire Et tout ce que le ☀ chantera. C’est le secret profond que nul ne connaît C’est la racine🌱 de la racine,🌱 Le bourgeon du bourgeon, Et le ciel du ciel d’un arbre appelé vie, Qui croît plus haut que l’âme ne saurait l’espérer Ou l’esprit le cacher… C’est la merveille qui maintient les ⭐⭐⭐⭐⭐⭐⭐⭐⭐⭐⭐ éparses. Je garde ton 💖 Je l’ai dans mon ❤. 🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠 Chères amies/chers amis,...bonsoir Et oui !!! le 💖de notre trésor canin disparu et/ou de nos trésors canins disparus restera//resteront, à jamais ds le nôtre❤.C'est aussi adaptable à TOUS les TRESORS DISPARUS...qu'ils soient félins..et AUTRES. Rien ne pourra l'en déloger// les en déloger. RIEN. Avec toute ma bien sincère Amitié. Pour : Maryem♥. (Maël). 🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠, |
Déposé par spanky le 26/01/2016Coucou mon coeur, Depuis ton départ mon ange je te cherche. Mon regard fouille l’horizon, il interroge le ciel, déplace les nuages à ta recherche. Mes pensées s’envolent, fendant l’éther à ta recherche. Un cri muet sort de ma gorge : où es tu ? Ou est ce pont de l’arc en ciel ? Où est ce paradis des animaux ? Je te cherche..... Mon esprit s’évade, tous les sens en alerte. Il essaie de repérer ta trace mon coeur. J’interroge les anges et les créatures célestes, en expliquant ce manque qui me déchire le cœur. Je ne te trouve pas..... Par contre, une chose est sûre, je te trouverai au moment propice où je quitterai mon enveloppe charnelle. Et tu seras là pour m’accueillir comme tu le faisais chaque jour. Je serai enfin rentrée à la maison et nous reprendrons le cours de notre vraie vie. Attends-moi ! Je ne serais pas longue à venir. Je t'aime mon Paco d'Amour. |
Déposé par colombine67 le 26/01/2016Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider. Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d'émotions celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les cœurs blessés Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap lorsqu'il est malheureux au travail ou en amour, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves, celui qui, pas une seule fois dans sa vie, n'a fui les conseils sensés. Vis maintenant! Risque-toi aujourd'hui! Agis tout de suite ! (Pablo Neruda) |
Déposé par nikita le 25/01/2016PACO mon beau prince Loin des yeux loin du cœur ça n’existe pas Loin des yeux loin du cœur moi je pense à toi Et chaque jour qui passe me rapproche de toi Le temps qui nous poursuit Ne peut pas nous séparer Même après la vie Nos joies passées vont nous unir à l’infini On dit qu’avec le temps Tout s’en va doucement Que les blessures les plus dures ne résistent pas Mais j’ai en moi un cœur qui bat pour toi On dit toujours que loin des yeux L’amour prend un coup de vieux Mais moi je ne t’oublie pas Car j’ai toujours mon cœur qui bat pour toi Et tant que je vivrais Jamais je ne t oublierais Une corbeille de bisous au parfum de tendresse pour toi mon beau PACO à partager avec ta maman à qui tu manques tant |
Déposé par colombine67 le 25/01/2016Il était une fois, une île où tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris. Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment. Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit : “Richesse, peux-tu m'emmener ?” “Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi.” L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau : “Orgueil, aide moi je t'en prie !” “Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau.” La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, “Tristesse, laisse moi venir avec toi.” “Ooh… Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !” Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler ! Soudain, une voix dit : “Viens Amour, je te prends avec moi.” C'était un vieillard qui avait parlé. L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla. L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir : “Qui m'a aidé ?” “C'était le Temps” répondit le Savoir. “Le Temps ?” s'interrogea l'Amour. “Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?” Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit : “C'est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie.” |
Déposé par poutounou le 24/01/2016Sauvée par des rottweilers…. * C’est en Angleterre que se déroule cette histoire. Dans la petite ville de Cheltenham, non loin d’Oxford, quatre Rottweilers ont sauvé la vie d’une femme de 80 ans. Une promenade qui tourne au drame Une dame de 80 ans, dont le nom reste inconnu, avait pour habitude de faire une promenade matinale près de l’école dans la ville de Cheltenham. C’est alors qu’elle chute et se retrouve coincée dans un buisson près du terrain de jeu de l’école. Elle resta coincée plus de 15h dans le froid avant que les Rottweilers ne la trouvent. Les Rottweilers au secours Les quatre chiens, Tillie, Billy, Gerrard et May, étaient partis pour une promenade nocturne avec leur maitre David Malt et son neveu, Jack. Alors qu’ils approchent du terrain de jeu de l’école, les chiens commencent à s’agiter. Pensant qu’il n’y a personne, David lâche les chiens pour qu’ils puissent se défouler. C’est alors qu’ils se mettent à courir comme des forcenés vers un endroit précis. David les suit et découvre la vieille dame avec la femelle Rottweiler qui la léchait doucement et refusait de la quitter jusqu’à l’arrivée des secours. La réputation des Rottweilers Les Rottweilers n’ont pas bonne réputation car ils sont perçus comme agressifs, mais ils sont très protecteurs. Ils ont senti que quelqu’un était en danger et se sont précipités pour l’aider. C’est agréable d’entendre des nouvelles positives qui démontrent encore une fois que n’importe quel chien peut être un héros ou être méchant. C’est une question d’éducation et non de race. Si les quatre Rottweilers n’avaient pas été là, les choses auraient pu tourner de façon plus tragique pour la vieille dame. |
Déposé par colombine67 le 24/01/2016Et quand nos regrets viendront danser Autour de nous nous rendre fous Seras-tu là ? Pour nos souvenirs et nos amours Inoubliables inconsolables Seras-tu là ? Pourras-tu suivre là ou je vais ? Sauras-tu vivre le plus mauvais ? La solitude le temps qui passe Et l'habitude regardes-les Nos ennemis dis-moi que oui Dis-moi que oui Quand nos secrets n'auront plus cours Et quand les jours auront passé Seras-tu là ? Pour, pour nos soupirs sur le passé Que l'on voulait que l'on rêvait Seras-tu là ? Le plus mauvais La solitude le temps qui passe Et l'habitude reqardes-les Nos ennemis dis-moi que oui Dis-moi que oui ! La la la la la la Seras-tu là ? Seras-tu là ? Michel Berger |
Déposé par colombine67 le 23/01/2016La vieille dame grincheuse... Texte écrit par une vieille dame terminant sa vie en "gériatrie". Les soignants ont retrouvé cette lettre sous son oreiller après son décès...02-2OO2 Que vois-tu, toi qui me soignes, que vois-tu ? Quand tu me regardes, que penses-tu ? Une vieille femme grincheuse, un peu folle, le regard perdu, qui bave quand elle mange et ne répond jamais quand tu dis d'une voix forte "essayez" et qui semble ne prêter aucune attention à ce qu'elle fait... Qui docile ou non, te laisse faire à ta guise, le bain et les repas pour occuper la longue journée. C'est ça que tu penses, c'est ça que tu vois ? Alors ouvre les yeux, ce n'est pas moi. Je vais te dire qui je suis, assise là, tranquille, me déplaçant à ton ordre, mangeant quand tu veux... je suis la dernière des dix, avec un père, une mère ; des frères, des soeurs qui s'aiment entre eux... Une jeune fille de seize ans, des ailes aux pieds, rêvant que bientôt elle rencontrera un fiancé... Déjà vingt ans, mon coeur bondit de joie au souvenir des voeux que j'ai fait ce jour-là. J'ai vingt-cinq ans maintenant et un enfant à moi, qui a besoin de moi, pour lui construire une maison... Une femme de trente ans, mon enfant grandit vite ; nous sommes liés l'un à l'autre par des liens qui dureront... Quarante ans, bientôt il ne sera plus là, mais mon homme est à mes cotés et veille sur moi. Cinquante ans, à nouveau jouent autour de moi des bébés. Nous revoilà avec des enfants, moi et mon bien-aimé. Voici les jours noirs, mon mari meurt. Je regarde vers le futur en frémissant de peur car mes enfants sont très occupés pour élever les leurs et je pense aux années et à l'amour que j'ai connus. Je suis vieille maintenant et la vie est cruelle et elle s'amuse à faire passer la vieille pour folle. Mon corps s'en va. Grâce et forme m'abandonnent. Et il y a une pierre là où jadis il y avait un coeur. Mais dans cette vieille carcasse, la jeune fille demeure. Le vieux coeur se gonfle sans relâche. Je me souviens des joies et des peines. Et à nouveau je revis ma vie et j'aime. Je repense aux années trop courtes et trop vite passées et accepte cette réalité implacable. Alors, ouvre les yeux, toi qui me regarde et qui me soigne. Ce n'est pas la vieille femme grincheuse que tu vois... Regarde mieux et tu verras... |
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