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En hommage à
Paco
BOXER
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
 


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En hommage à Paco

Mon Paco, mon tombeur des ces dames tu es né le 10 06 2008 et tu es rentré dans ma vie le 5 novembre 2010 jour où je t'ai sorti de la spa, tu avais déjà été abandonné deux fois et n'avais que 19 kg!

Tu n'auras seulement connu le vrai bonheur que 4ans et 6 mois, car aujourd'hui ce 26 mai 2015 est un jour atroce pour moi car je me suis donnée le pouvoir de décider la fin de ta vie sur terre et ça, je ne pourrai jamais l'oublier.
Pardon mon grand, cela a été une décision très difficile à prendre pour moi, mais c'est le coeur gros avec des larmes plein les yeux que j'ai appris que tu avais une saleté de crabe en toi, et que malgré tous les traitements que tu avais reçu, radiothérapie, chimiothérapie il avait pris le dessus.
Jusqu'au bout, j'ai voulu croire qu'un miracle se produirait..
mais plus aucun traitement n'était possible après ce dernier scanner fait le 19 mai 2015 dont le résultat était dramatique et qui montrait bien que cette p.....de chose t'avais envahis le crâne, et commençait à te bouffer petit à petit à une vitesse incroyable, j'ai commencé à réaliser que tu ne t'en sortirais pas et que je ne pouvais pas me permettre de te laisser souffrir,
et que cet acte de te laisser partir est le dernier geste d'Amour que je pouvais te donner, pardonne moi mon coeur.

Tu étais un loulou super gentil, câlin, obéissant aimant tout le monde, les deux pattes comme les quatre pattes ......... ton seul défaut était ta destruction, mais jamais au grand jamais je n'ai pensé aller t' abandonner, l'enfer des barreaux et la maltraitance c'étaient fini pour toi.

Je t'ai conduis chez notre vétérinaire à qui tu as encore fait la fête.
Je sais que tu avais compris
Car dans tes yeux s'est dessiné une larme
Cette larme m'a détruit m'a brisé....
J'aurai tant voulu ne pas la voir
Elle m'a culpabilisé
Elle a augmenté mon désespoir.... je t'ai accompagné jusqu'au bout , dans mes bras tu t'es blotti et je t'ai chuchoté à l'oreille combien je t'aimais et que ce n'était pas un adieu mais juste un au revoir car on se retrouverait là haut lorsque mon heure serait venue.
T'es beaux yeux alors se sont fermés et tu t'es endormi pour ne jamais te réveiller.

Au Paradis blanc,
les anges ne t'y attendaient pas si tôt, tu aimais la vie, tu aimais courir dans les prés et dans les bois, tu adorais les caresses, tu étais heureux et cela se voyait dans tes teux.
Ta disparition m'a plongé dans le plus grand désarroi, la maison est tellement vide aujourd'hui, même tes soeurettes Tekila et Diana ainsi que ton frérot Lyos te cherchent partout, là où il y a ton odeur....ils se couchent sur ton (tes) coussins..., l'atmosphère y est tellement pesante.
Je n'oublierai jamais ces merveilleuses trop courtes années que j'ai vécu près de toi.
Je n' oublierai pas ton bon coeur.
Je me souviendrai de la fierté que tu arborais.
Tu as été un compagnon fidèle, aimant et par dessus tout, tu as lutté de toutes tes forces jusqu'à ton dernier souffle avec tant de courage.

j'ai beau me dire que tu étais heureux,
que tu avais de quoi faire des envieux,
oui j'ai beau me dire tout cela,
mais la réalité,elle est bien là !
Sous mon toit tu n'es plus là,
dans mon espace il ne manque que toi,
ta place, même si le vide s'en est accaparé,
dans mon coeur, elle restera à jamais.

Je suis certaine que mon Spanky et mon Junior seront là pour t'accueillir, je compte sur toi pour leur dire de ma part que je les aime et qu'ils me manquent toujours autant, tu verras tu vas bien t'éclater avec Spanky car il était comme toi, il adorait jouer avec des ballons, avec
mon Juju qui était le plus boxérien des labradors il te montreras des bonnes positions pour faire des gros dodos. Ils ne te laisseront pas seul vous allez gambader tous les trois au paradis blanc là ou la maladie et la souffrance
n'existent plus avec tous les autres copains et copines qu'ils te feront connaître.

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Paco et tu resteras pour toujours dans mon coeur.

Gros gros bisous sur ton si beau museau mon ange.




93 bougies

19459 Fleurs
Déposé par chloute59
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💛🧸🍃 Câlinous 💛🧸🍃
Déposé par Rebelwriter
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Un envol rempli de tendres caresses rien que pour toi
Déposé par spanky
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"Nous ne pouvons pas avoir deux cœurs, un pour les hommes, un autre pour les animaux. Dans la cruauté envers l’un ou l’autre il n’y a aucune différence, sauf pour la victime." Lamartine (1790-1869)
Déposé par poutounou
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La vie est une toile vide. Elle devient ce que vous peignez dessus. Vous pouvez peindre la misère, vous pouvez peindre la joie, vous pouvez peindre votre ami canin… !!!
Déposé par valetheo
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Déposé par Christ
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Déposé par mistral
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Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Je t'offre ce petit bouquet rempli de douces pensées, merci pour mon petit ange Timy
Déposé par Binouche
Déposé par Binouche
Il n'y a pas besoin de long discours Juste quelques mots d'amour Juste une certitude se logeant au fond de notre âme pour savoir que c’est toi cette belle étoile d'amour .
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
De la tendresse, des milliers de caresses et de douces pensées pour toi petit Ange


2544 messages

Déposé par colombine67 le 21/03/2016  
Un agriculteur avait des chiots qu’il avait besoin de vendre. Il a peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour. Comme il plantait le dernier clou dans le poteau, il se sentit un tirage sur sa s*****tte .. Il tomba dans les yeux d’un petit garçon. « Monsieur , » dit-il, » je veux acheter un de vos chiots. » «Eh bien, » dit le fermier, en frottant la sueur à l’arrière de son cou : « Ces chiots viennent des parents très racés et coûtent beaucoup d’argent ». Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant profondément dans sa poche, il sortit une poignée de monnaie et la tendit à l’agriculteur. «J’ai trente-neuf cents. Est- ce suffisant pour acheter un ? » «Bien sûr» dit le fermier ….. Et il laissa échapper un sifflement .. «Ici, Dolly! » il a appelé Venant de la niche et descendant la rampe, Dolly courut, suivie par quatre petites boules de fourrure. Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture, le petit garçon 4875469-Chiots-bouvier-bernois-440x320remarqua quelque chose d’autre qui remuait à l’intérieur de la niche. Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite. En bas de la rampe, elle glissa . Ensuite, de manière un peu maladroite, le petit chiot a clopiné vers les autres, faisant de son mieux pour les rattraper. «Je veux celui-là, » dit le petit garçon, pointant l’avorton L’agriculteur s’agenouilla à côté du garçon et lui dit: «Mon fils, tu ne veux pas ce chiot .. Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens le feraient. » Le petit garçon recula de la clôture, se baissa et commença à rouler une jambière de son pantalon. Ce faisant, il révéla une attelle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue… En regardant en l’air vers l’agriculteur, il dit : «Vous voyez, monsieur, je ne cours pas très bien moi-même, et il aura besoin de quelqu’un qui le comprend. » Avec des larmes dans les yeux, l’agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot… Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon. » Combien? » demanda le petit garçon. » Rien », répondit le paysan, « il n’y a pas de prix pour l’amour. » Le monde est plein de gens qui ont besoin de quelqu’un qui les comprenne.

Déposé par Galinette3 le 20/03/2016  
JOIE DU PRINTEMPS
🌷
Au printemps, on est un peu fou,😲
Toutes les fenêtres sont claires,🏠
Les prés sont pleins de primevères,🌼
On voit des nouveautés partout.🌍
Oh! regarde, une branche verte!🌿
Ses feuilles sortent de l'étui!🌱
Une tulipe s'est ouverte...🌷
Ce soir, il ne fera pas nuit, 🌜
Les oiseaux chantent à tue-tête, 🐦 🎶
Et tous les enfants sont contents 🙌👬🙆
On dirait que c'est une fête...🎉
Ah! que c'est joli le printemps! 🐛
🌼🐝🐞🐉🍀
Lucie Delarue-Mardrus

Déposé par poutounou le 20/03/2016  
Vive le printemps et ses bourgeons, son soleil, sa lumière…..
*
Le moulin au printemps
*
Le chaume et la mousse
Verdissent le toit ;
La colombe y glousse,
L'hirondelle y boit.
Le bras d'un platane
Et le lierre épais
Couvrent la cabane
D'une ombre de paix.
La rosée en pluie
Brille à tout rameau ;
Le rayon essuie
La poussière d'eau ;
Le vent, qui secoue
Les vergers flottants,
Fait de notre joue
Neiger le printemps.
Sous la feuille morte,
Le brun rossignol
Niche vers la porte,
Au niveau du sol.
L'enfant qui se penche
Voit dans le jasmin
Ses oeufs sur la branche
Et retient sa main.
*
Lamartine

Déposé par myriam31 le 20/03/2016  
Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.
Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.
Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…
Par Père André Marie

Déposé par colombine67 le 20/03/2016  
LETTRE A MON MAÎTRE:
Ce matin tu étais déjà debout,
Tu faisais les bagages .tu as ...pris ma laisse,
Que j'étais content !
Une petite promenade avant les vacances !
On est parti en voiture tu t'es arrêté au bord de la route ,
La portière s'est ouverte tu m'a lancé un bâton,
J'ai couru couru , je l'ai attrapé,
Mais quand je me suis retourné , tu n'étais plus là...
Pris de panique, j'ai couru dans tout les sens,
Pour te retrouver..mais ce fut en vain !
De jour en jour je m'affaiblissais...
Un homme s'est approché de moi , m'a mis une laisse,
Et je me suis retrouvé en cage,
C'est là que j'ai attendu ton retour , mais tu n'es jamais venu,
La cage s'est ouverte mais ce n'étais pas toi,
C'était cet homme qui m'avait ramassé...
Il m'a conduit dans une pièce qui sentait la mort,
Mon heure était venu....
Cher maître , je veux que tu saches que malgré ce que tu m'as fait,
C'est ton image qui me revenait avant mon dernier soupir,
Et si je pouvais revenir sur terre,
C'est vers toi que je courrais , car je t'aimais !
A répandre autour de soi ,pour que cela n'arrive jamais plus !
Pour que les gens se rendent compte, de se qu'ils font subir à leurs animaux..

Déposé par colombine67 le 19/03/2016  
Voici une lettre reçu du bureau de poste ... c'est absolument fantastique !!
Nous ne savons pas qui nous a répondu, mais il y a certainement une belle âme qui travaille au service des lettres "non adressable" et qui comprend L'AMOUR ....
Notre chienne Abbey est décédée le mois dernier à l'âge de 14 ans.
Le lendemain de son décès, ma fille de 4 ans Meredith, était en pleure et nous disait à quel point Abbey lui manquait.
Elle a demandé si nous pourrions écrire une lettre à Dieu de sorte que lorsque Abbey arriverait au ciel, Dieu puisse la reconnaître.
Je lui ai dit que je pensais que nous pouvions le faire, et elle dicta ces mots :
Mon Dieu,
Voulez-vous s' il vous plaît prendre soin de mon chien ?
Abbey est mort hier et est avec vous dans le ciel.
Elle me manque beaucoup.
Je suis heureux que vous m'ayez permis de l'avoir comme chien, même si elle est tombée malade.
J'espère que vous allez jouer avec elle.
Elle aime nager et jouer avec des balles.
Je vous envoie une photo d'elle ainsi quand vous la verrez, vous saurez que c'est Abbaye.
Elle me manque vraiment.
Avec tout mon amour,
Meredith
Nous avons mis la lettre dans une enveloppe avec une photo d' Abbey & de Meredith,
adressée à Dieu au Ciel.
Nous avons mis notre adresse au dos de l'enveloppe et Meredith à collé plusieurs timbres car a t-elle dit : "il faudra beaucoup de timbres pour qu'elle aille un si long chemin jusqu'au ciel"
le même après-midi, elle déposa elle même lettre dans la boîte aux lettres de la poste.
Quelques jours plus tard, elle demanda si Dieu avait avait reçu la lettre ?
Je lui ai dit que je pensais qu'il avait surement reçu.
Hier, Nous avons trouvé sur notre porche, un paquet enveloppé de papier d'or, avec un mot : «Pour Meredith» d'une écriture inconnue.
Meredith ouvrit et à l'intérieur il y avait un livre écrit par M. Rogers qui s'intitulait, «Quand un animal meurt."
Scotchée à l'intérieur de la couverture du livre, il y avait une enveloppe et à l'intérieur la lettre que nous avions écrit à Dieu.
Sur la page opposée, il y avait la photo d' Abbey et de Meredith avec cette petite note:
Cher Meredith,
Abbey est arrivé en toute sécurité au ciel. Sa photo a était d'une grande aide et je l'ai
reconnu tout de suite.
Abbey n'est plus malade.
Son esprit est ici avec moi tout comme il reste dans ton cœur.
Abbey a aimé être ton chien.
Puisque nous n'avons pas besoin de notre corps dans le ciel, et que je ne ai pas de poches pour garder sa photo, je te la renvoi avec ce petit livre pour que tu gardes quelque chose qui te rappellera Abbey.
Merci pour la belle lettre et remercie ta mère pour t'avoir aidé à l'écrire et à me l'envoyer.
Quelle merveilleuse mère tu as. Je lui spécialement envoyé pour toi.
Je t'envoie mes bénédictions chaque jour et n'oublie pas que Je te aime beaucoup.
Au fait, je suis facile à trouver,
Je suis là où il y a l'amour.
Avec tout mon amour,
Dieu

Déposé par colombine67 le 18/03/2016  
Tendre la main est je l’avoue, un geste simple
Encore faut-il oser le faire, mais aussi recevoir
Le message qui retrace l’instant certes, humble
Dans ce cas précis, il n’est possible de décevoir.
Au-delà du geste, il y a ce langage tendre, muet
L’autre, devient riche à l’instant de ce partage
Cette richesse acquise, il en fera alors le guet
Afin de ne pas perdre, ce cadeau en héritage.
Cette main peut aussi essuyer, une petite larme
Née, d’une divergence d’opinion, qu’importe
Comment réagir, pleurer ou évoquer un drame
Parfois l’amour se transforme, devant une porte.
Qu’il est doux de croiser un regard, qui accepte
L’homme, tel qu’il est avec ses espoirs et trésors
Il est temps de laisser tomber, tous les préceptes
Que cette nuit d’automne, éloigne le dernier port.
Cette bouche rendue mélancolique, par la vie
Est invitée à apprendre à sourire, en ce temps
Où le lendemain hélas, n’est pas encore inscrit
La seconde passe, il suffit de vivre cet instant.

Déposé par colombine67 le 17/03/2016  
J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain. J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper.
Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait

Déposé par Galinette3 le 17/03/2016  
🐶
👭 L'amitié 👭
L’amitié me fait penser à la tendre enfance
Synonyme de sagesse et de la pure innocence.
L’amitié est toujours une aventure aux beaux souvenirs
Qui rafraîchissent nos coeurs 💞 et ne risquent de finir.
Dans notre vie, des évènements entrent et sortent
Seuls, l’amitié et l’amour 💑, restent et persistent.
En amitié, c’est toujours le premier pas qui compte
Ne jamais s'en méfier car c’est sûrement un bon escompte.
Avec l’amitié on peut aider l’autre sans rien lui offrir
C’est une tâche paisible sans qu’on risque d’en souffrir.
L’amitié a le bien fait de soulager des âmes
De combattre la souffrance et essuyer des larmes.
L’amitié germe et grandit dans les cœurs tendres 💖
Ne vieillit pas et n’est jamais cendres.
Les mots d’un bon ami peuvent consoler
Quand l’âme est perdue et déboussolée.
Pour un vrai ami, tu n’es plus une simple adresse
Tu es la passion, l’espoir et la belle tendresse.
💖
Même si l’amitié n’est parfois qu’un simple mirage
C’est une vraie passion que beaucoup se partagent.
Alors, tendons nos bras et essayons de prouver
Que l’amitié nous aide à s'évader et à mieux se retrouver
💌

Déposé par poutounou le 16/03/2016  
Marchons, respirons, cueillons, écoutons…
*
Conseil
*
Eh bien ! mêle ta vie à la verte forêt !
Escalade la roche aux nobles altitudes.
Respire, et libre enfin des vieilles servitudes,
Fuis les regrets amers que ton cœur savourait.
Dès l’heure éblouissante où le matin paraît,
Marche au hasard ; gravis les sentiers les plus rudes.
Va devant toi, baisé par l’air des solitudes,
Comme une biche en pleurs qu’on effaroucherait.
Cueille la fleur agreste au bord du précipice.
Regarde l’antre affreux que le lierre tapisse
Et le vol des oiseaux dans les chênes touffus.
Marche et prête l’oreille en tes sauvages courses ;
Car tout le bois frémit, plein de rythmes confus,
Et la Muse aux beaux yeux chante dans l’eau des sources.
*
Juillet 1842.
Théodore de Banville, Les Cariatides (1842)

Déposé par colombine67 le 16/03/2016  
Si chaque personne offrait une rose d’amitié :
En écoutant l’autre…
En ouvrant son cœur aux blessés de la vie…
En partageant son avoir…
En souriant aux visages ravagés…
En tendant la main aux désemparés…
En offrant son bras aux chancelants…
En compatissant avec le souffrant…
En chantant avec le comblé…
En écrivant à l’oublié…
En téléphonant à celui qui attend…
En aimant le mal aimé…
En réchauffant le sans-abri…
En prenant dans ses bras un enfant…
En embrassant un vieillard…
En essuyant une larme à l’incompris…
En respectant le marginal…
En semant la joie aux désespérés…
En parlant à l’insultant…
Alors, tout doucement la paix descendrait
Et la terre deviendrait
Un parterre de pétales d’amour.
« Nous avons une place pour chacun d’entre-nous.
Laisser aller son cœur, c’est spécial.
Il faut se réaliser à travers les réalités de la vie ».
Et ça serait de belles questions pour plus tard.

Déposé par colombine67 le 15/03/2016  
Suis-je célèbre maintenant ? Je suis née aujourd'hui, une des dix. Mon papa était très célèbre. J'ai beaucoup de demi-frères et soeurs. Ma maman aussi était très célèbre. Quand elle est devenue célèbre, elle n'a eu que des chiots. Fini les mains caressantes, fini les excursions ... seulement encore plus de chiots. Elle est toujours triste quand ils la quittent. Aujourd'hui, j'ai quitté ma maison. Je ne voulais pas partir, donc je me suis cachée derrière ma maman et mes trois compagnons de nichée qui restaient. Ils disaient qu'un certain jour moi aussi je deviendrais célèbre. Je me demande, est-ce que célèbre veut dire la même chose que plaisir et bon temps ? Donc tu me soulevais et m'emportais, bien que tu étais consciente que je me cachais pour toi. Je crois que tu ne m'aimais pas non plus. Ma nouvelle demeure est très éloignée. J'ai très peur. Mon petit coeur me disait "sois courageuse" ... comme mes ancêtres. Est-ce qu'il y avait une bonne maison ? J'ai faim, je ne peux pas trop manger, c'est mauvais pour mon ossature. Je ne peux pas mordre ni grogner quand les enfants me tourmentent. Je cours seule et m'imagine que je cours dans une prairie verte avec des papillons, des oiseaux et des coccinelles. Je ne comprends pas pourquoi ils me battent. Je suis tranquille, mais l'homme frappe et crie des gros mots. La dame ne me donne pas la bonne nourriture comme chez ma maman. Elle jette simplement de la nourriture sèche par terre, se retourne et disparaît avant que j'ai le temps pour une caresse ou un autre contact. Parfois ma nourriture sent mauvais, mais je la mange quand même. Aujourd'hui, j'ai mis au monde dix chiots. Ils sont tellement jolis. Suis-je célèbre maintenant ? Je voudrais bien jouer avec eux, mais ils sont tellement petits. Je suis encore tellement jeune et folâtre que c'est difficile pour moi de seulement soigner mes petits et rien d'autre. Ils pleurent maintenant. J'ai tellement faim. Je souhaite que quelqu'un me jette quelque nourriture. J'ai également très soif. Maintenant je n'ai plus que huit chiots. Deux sont décédés pendant la nuit, je ne parvenais plus à les réchauffer. Nous sommes tous très faibles. Aujourd'hui on est venu nous chercher, c'était trop de travail pour nous nourrir. Quelqu'un m'a enlevé mes chiots. Ils pleuraient. Ils ont été mis dans un camion avec des cages. Mes chiots sont-ils célèbres maintenant ? Je l'espère car ils me manquent. Ils sont partis. Ca sent l'urine ici, la peur et la maladie. Pourquoi suis-je ici ? J'étais belle comme mes aïeux. Maintenant, je suis affamée, sale, j'ai du mal et on ne veut pas de moi. Ce qui est encore le pire de tout, c'est de ne pas être désirée. Personne ne venait, bien que j'essayais d'être sage et agréable. Aujourd'hui, quelqu'un est venu. Ils m'ont noué une corde autour du cou et m'ont emmenée dans une chambre où tout était propre avec une table brillante. Quelqu'un me prenait et me caressait. Ca me faisait tellement de bien ! Je devenais fatiguée et j'ai regardé la dernière personne qui se souciait de moi quand je m'endormais. Maintenant je suis célèbre. Aujourd'hui, il y avait quelqu'un qui m'aimait ! Je ne me souviens plus beaucoup de l'endroit où je suis née. C'était très petit et sombre et les gens ne jouaient jamais avec nous. Je me souviens de maman et de son doux pelage, mais elle était souvent malade et très maigre. Elle n'avait presque pas de lait pour moi et mes frères et soeurs. Je me souviens que beaucoup d'eux décédaient, ils me manquent tellement. Je me rappelle bien le jour où j'ai été enlevée de chez ma maman. J'étais tellement triste et effrayée, mes dents de lait commencaient à percer et j'aurais dû rester chez ma maman. Mais elle était si malade et les gens continuaient à dire qu'ils n'avaient pas d'argent et qu'ils en avaient marre de la "pagaille" que faisaient ma soeur et moi. Donc nous étions mises en cage et transportées ailleurs. Seulement nous deux. Nous nous sommes serrées tout près l'une de l'autre et avions peur, mais encore une fois, pas de mains humaines pour nous caresser et nous aimer. Tant d'endroits et de bruits différents ! Nous sommes dans un magasin où il y a beaucoup d'autres animaux. Certains hurlent, d'autres gémissent ! Ma soeur et moi sommes enfermées dans une petite cage, j'entends d'autres chiots. Je vois des gens qui me regardent. J'adore les petits enfants, ils me semblent tellement gentils et amusants. Comme ils aimeraient jouer avec moi ! Toute la journée, nous restons enfermées dans notre cage étroite, parfois des gens frappent sur la fenêtre et nous effrayent, parfois on nous sort pour être présentées aux gens. Certains sont gentils, d'autres nous font mal. Nous entendons toujours : "Oh, comme elles sont gentilles ! ", "J'en veux une !", mais on ne nous emmène pas. Ma petite soeur est décédée cette nuit quand il faisait noir dans le magasin. J'ai mis ma tête sur son doux pelage et je sentais la vie s'échapper de son petit corps tout mince. J'avais entendu dire qu'elle était malade et que je pouvais être vendue avec "réduction" pour que je sorte vite du magasin. Je crois que mes gémissements étaient les seuls signes de deuil quand son petit corps a été enlevé de la cage pour être jeté. Aujourd'hui une famille est venue et ils m'ont achetée ! Quel jour heureux ! C'est une famille gentille, ils me voulaient vraiment ! Ils ont acheté un plat et de la nourriture et la petite fille me serrait dans les bras. Je l'aime tellement. Papa et maman disent que je suis un chiot adorable ! Ils m'ont appelé "Ange". J'ai donné des petits bécots à mes nouveaux amis. La famille me soigne bien, ils sont gentils, doux et tendres. Ils m'apprennent doucement et avec beaucoup de patience ce que je peux faire et ce qui est défendu, ils me donnent de la nourriture adorable et beaucoup d'amour ! La seule chose que je veux c'est leur faire plaisir. J'aime beaucoup la petite fille et j'adore jouer et courir avec elle. Aujourd'hui, nous sommes allés chez le vétérinaire. C'est un endroit peu agréable et j'avais très peur. On m'a donné quelques piqûres, mais ma meilleure copine, la petite fille, me tenait si tendrement et m'assurait que tout allait bien, donc je me suis calmée. Le vétérinaire a dû dire des mots tristes à ma famille car ils avaient le regard sombre. J'entendais le vétérinaire dire des choses comme ... "il y a un problème au coeur" et ... "c'est à cause des gens qui élèvent sans réfléchir et sans se soucier de la santé des animaux". Je ne sais pas ce que cela signifie mais ça m'attriste de voir ma famille tellement malheureuse, mais elle continue malgré cela à m'aimer, et je dois dire que cela est réciproque. J'ai six mois maintenant, d'autres chiots de mon âge sont très robustes et brusques, j'aimerais être comme eux. Mais il y a toujours cette douleur qui me fait mal pour courir et jouer avec ma petite fille bien aimée. J'ai des difficultés à respirer. Je fais de mon mieux pour être un chiot bien fort mais c'est difficile. Ca me fait mal au coeur de voir ma petite fille tellement triste et d'entendre dire papa et maman ... "peut-être que son heure est arrivée ?". J'ai déjà été plusieurs fois chez le vétérinaire et les nouvelles ne sont jamais bonnes. Ils parlent toujours de malformations congénitales. Moi, je ne veux que sentir les rayons du soleil, courir, jouer et faire des câlins a ma famille. La nuit passée était la plus dure, la douleur devient de plus en plus atroce. Je sais à peine me lever pour boire. On m'a mise dans la voiture ... pour la dernière fois. Tout le monde a du chagrin et je ne comprends pas pourquoi. Ai-je été désobéissante ? J'essaie d'être sage et gentille. Qu'ai-je fait de mal ? Oh, si seulement cette douleur pouvait disparaître ! Si je pouvais faire disparaître les larmes de la petite fille. J'essaie de m'étendre pour lécher sa petite main, mais je ne peux que hurler de douleur. La table chez le vétérinaire est froide. J'ai tellement peur. Les gens me font tous des caresses, ils pleurent et je sens leurs larmes sur mon doux pelage. Je sens leur amour et leur chagrin. Je lèche doucement leurs mains, même le vétérinaire ne semble pas être désagréable aujourd'hui. Il est tendre et je sens un soulagement de mes douleurs. La petite fille me tient doucement et je la remercie pour tout son amour. Je sens une petite piqûre dans ma patte avant, la douleur s'en va et je sens la paix qui m'envahit. Je lèche doucement ces mains. Ma vue devient trouble et comme dans un rêve, je vois ma maman et mes frères et soeurs, dans le lointain, dans un espace vert. Ils me disent que là, il n'y a pas de douleur, seulement paix et bonheur. Je dis adieu à ma famille à la seule façon que je connais, en agitant légèrement ma queue et en poussant doucement avec mon nez. J'avais espéré de pouvoir passer avec eux beaucoup, beaucoup d'années, mais le sort en a décidé autrement. "Voyez vous", disait le vétérinaire, "les chiots vendus dans les animaleries ne viennent pas d'éleveurs ayant le sens des responsabilités". La douleur s'est arrêtée maintenant et je sais que ça prendra des années avant que je ne revoie ma famille bien aimée. Si suelement, cela avait été autrement ...

Déposé par colombine67 le 14/03/2016  
Un homme âgé dit à son petit-fils, venu le voir très en colère contre un ami qui s'était montré injuste envers lui :
"Laisse-moi te raconter une histoire... Il m'arrive aussi, parfois, de ressentir de la haine contre ceux qui se conduisent mal et n'en éprouvent aucun regret. Mais la haine t'épuise, et ne blesse pas ton ennemi. C'est comme avaler du poison et désirer que ton ennemi en meure. J'ai souvent combattu ces sentiments"
Il continua :" C'est comme si j'avais deux loups à l'intérieur de moi; le premier est bon et ne me fait aucun tort. Il vit en harmonie avec tout ce qui l'entoure et ne s'offense pas lorsqu'il n'y a pas lieu de s'offenser. Il combat uniquement lorsque c'est juste de le faire, et il le fait de manière juste. Mais l'autre loup, ahhhh...! Il est plein de colère. La plus petite chose le précipite dans des accès de rage.Il se bat contre n'importe qui, tout le temps, sans raison. Il n'est pas capable de penser parce que sa colère et sa haine sont immenses. Il est désespérément en colère, et pourtant sa colère ne change rien. Il est parfois si difficile de vivre avec ces deux loups à l'intérieur de moi, parce que tous deux veulent dominer mon esprit."
Le garçon regarda attentivement son grand-père et demanda : " Lequel des deux loups l'emporte, grand-père ?"
-"Celui que je nourris."

Déposé par colombine67 le 13/03/2016  
Hommage au chien derrière ses barreaux
Le vent souffle en raffales à travers les barreaux,
Au fond du box miteux, un vieux chien se tient droit,
L’hiver il connait ça, il ne craint pas le froid,
et même s’il se sent faible, il ne dit pas un mot.
Cinq ans déjà qu’il est au fond de cette cage,
Il a même oublié au juste, quel est son âge,
Ses douleurs lui rappellent qu’il n’est plus un jeune chien,
Mais il se tient bien droit, il ne lâchera rien.
Ses visiteurs qui passent, il faut bien les charmer…
Alors il se tient droit, il oublie son arthrose,
Il espère qu’on lui trouve un petit quelque chose,
Il espère tant et tant, et depuis tant d’années.
La chaleur d’un foyer, bien sûr qu’il l’a connu.
L’amour, il l’a donné bien plus qu’il n’en a eu,
Il les a protégés, aimés, défendus et veillés,
Il n’a eu en retour que cet ultime rejet.
C’était une matinée chaude et ensoleillée.
Son maître l’a largué ici et a rempli deux, trois papiers.
Lui, il n’a rien compris, mais en bon chien, il était sage.
Et pour faire taire sa peur il a rassemblé son courage.
Les aboiements des autres, où il sent de la peur,
Ces sacs poubelles qui passent, tous ces corps sans chaleur,
Ce bruit, ce froid, ces doutes, et tous ces visiteurs,
Cet éternel ballet dans ce déluge d’odeurs.
Il a bombé le torse, il a fait les yeux doux,
Il n’a pas aboyé, pour ne pas leur faire peur,
Et pourtant pas un seul n’a su lire dans son coeur
Le refuge ferme ses portes, tout est noir, tout est flou.
Alors le vieux chien se couche dans son panier.
Ce n’est pas grave, pense-t-il, demain, j’y arriverai.
Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que demain, en matinée,
Il a été prévu qu’il serait euthanasié.

Déposé par poutounou le 12/03/2016  
Oui, faisons une pause....
*
L'INSTANT D'UNE PAUSE
*
L’instant d'une pause
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
De se lever le matin
Sans plus en chercher la cause
De savoir que le chemin
Parfois peut-être morose
Et dans un sourire malin
Être prêt pour une pause
Il y a des jours où tout est gris
Et où l'on ne voudrait rien voir
Et puis, il y a notre coeur aussi
Qui nous conduit jusqu'au soir
Il y a cette solitude intense
Qui existe et qui est là
C'est dans ces moments je pense
Que je peux rêver de toi
À chercher, à tout comprendre
Je me demande si je verrais
Un jour les fleurs en décembre
Et la neige en été
Sur le site de mon coeur
Il y a tant de va-et-vient
Et j'en ressens la douleur
De la nuit jusqu'au matin
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
D'avoir ta patte dans ma main
L'instant seulement d'une pause.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par colombine67 le 12/03/2016  
La prochaine vedette de Hollywood ne ressemblera sûrement pas à Bullet. Golden Retriever de 15 ans au museau grisonnant, Bullet se déplace avec l'agilité d'une tortue, souffre du coeur et est rongé par un cancer.
Bref : un candidat idéal à l'euthanasie. Sauf qu'il appartient à Pam Sica et que, pour sa maîtresse, l'amitié n'a pas de prix.
En avril 2000, Pam apprend que son cher Bullet a une tumeur au foie grosse comme un pois. Vu l'âge du patient, le Dr. Cangro déconseille l'opération.
La nouvelle bouleverse Pam. Elle a déjà perdu des animaux de compagnie mais jamais un ami comme Bullet. Il avait à peine 7 semaines quand elle l'a trouvé dans un panier devant sa porte, décoré d'un ruban rouge et d'une petite carte avec ces mot : "Veux-tu être ma maman ?"
Pam n'a jamais eu d'enfant malgré son désir et ses animaux sont devenus comme ses petits.
En août, la tumeur a tellement grossi que le Dr Laurence Cangro ne peut plus temporiser. Il faudrait l'opérer car une hémorragie interne pourrait être fatale. Mais pas un maître sur 10 débourserait cette dépense pour un animal aussi âgé.
Pam et Troy sont l'exception. Ils déboursent près de $5000 pour donner une chance à l'animal.
Bullet ressort vivant de la salle d'opération. Mieux, il a faim en se réveillant et, au bout de quelques jours seulement, il est de retour à la maison.
Un an plus tard, Pam a une nouvelle raison de croire aux miracles. Pendant des vacances à Walt Disney World, elle découvre qu'elle est enceinte. Le 10 avril 2002, Troy Joseph Sica vient au monde. Mais il faut préparer Bullet à cette révolution. Pam remet donc à son mari une couverture dans laquelle le petit est emmailloté, avec pour mission de la faire renifler à Bullet pour qu'il s'habitue à cette odeur. Son mari place donc cette couverture dans le panier qui sert de lit à Bullet.
De retour à la maison, les dernières inquiétudes de Pam s'évaporent : le chien s'attache au bébé instantanément.
Il est environ 5 heures du matin, ce 1er mai 2002. Troy dort tranquillement entre les oreillers du lit de ses parents pendant que son père prend sa douche et que sa mère lui réchauffe un biberon. Tout à coup, Bullet surgit dans la cuisine, aboyant et sautillant comme un fou. Il essaie d'entraîner Pam ver la chambre.
Mais Pam ne se presse pas à répondre à Bullet. Elle se dirige vers la salle de bain pour parler à son mari mais Bullet s'affole, bondit comme jamais elle ne l'a vu faire depuis des années et essaie frénétiquement de la diriger vers la chambre.
Pam se résigne à le suivre, du pas pesant de la nouvelle maman trop tôt levée. Le bébé est bien là où elle l'a déposé, mais il a la peau d'un bleu presque fluorescent et les membres mous comme ceux d'une poupée de son. Seul un gargouillement révèle qu'il est toujours vivant.
Troy sort en trombe, lui donne des tapes dans le dos. Pam appelle le 911. L'alerte est lancée : détresse respiratoire extrême. Puis Damon Alberts, un technicien ambulancier qui habite tout près, se présente à son tour, suivi de ses collègues. La tête du bébé est trop petite pour le masque à oxygène : les ambulanciers dirigent tant bien que mal le flux de gaz sous pression vers son nez et sa bouche. Une minute après le début de la manoeuvre, le visage commence à rosir : les poumons se remettent en marche mais le bébé n'est pas encore tiré d'affaire.
Emmené en ambulance à l'hôpital, il doit être réanimé une deuxième fois. Puis on le transfère au service pédiatrique et le diagnostic tombe : pneumonie. Il passe 4 jours sous ventilateur et reçoit des antibiotiques sous perfusion pendant 2 semaines.
"Il mènera une vie normal et restera en parfaite santé tant qu'il mettra sa ceinture et évitera de conduire après avoir bu", plaisante le Dr Thomas Biancaniello, directeur du service de pédiatrie.
Si Bullet n'avait pas tant insisté, le pronostic n'aurait pas été aussi rose. "Chez le nouveau-né, les séquelles d'une pneumonie sont souvent très graves, explique le Dr Marc Salzberg,. Le cerveau se développe jusqu'à l'âge de deux ans ; la privation d'oxygène l'affecte davantage durant cette période-là. Au bout de quelques minutes, l'anoxie provoque des lésions cérébrales ou même la mort".
Comment Bullet a-t-il pu comprendre que le petit Troy étant en danger ?
"Les chiens sont très sensible au langage corporel, note le DrMarty Becker, vétérinaire. Ils passent des heures à observer nos moindres mouvements, à écouter le rythme de notre respiration. J'imagine très bien celui-ci remarquer une immobilité inhabituelle, une absence de respiration, pressentir un danger et foncer vers le chef de sa meute, en l'occurrence, Pam, pour donner l'alerte."
Le vrai miracle, dans cette histoire, ce n'est donc pas que Bullet ait deviné la détresse du nouveau-né étendu sur le lit. C'est que Pam ait accepté de prolonger la vie de ce vieillard deux ans auparavant.
"Je lui ai donné un supplément de vie, et il m'a rendu une vie entière" dit-elle simplement.
Histoire vécue

Déposé par myriam31 le 11/03/2016  
Vivre et croire
Vivre et croire,
c’est aussi accepter que la vie contient la mort
et que la mort contient la vie.
C’est savoir, au plus profond de soi,
qu’en fait, rien ne meurt jamais.Il n’y a pas de mort,
il n’y a que des métamorphoses.Tu ne nous a pas quittés
Mais tu t’en es allé au pays de la Vie,
Là où les fleurs
Plus jamais ne se fanent,
Là où le temps
Ne sait plus rien de nous.Ignorant les rides et les soirs,
Là où c’est toujours matin,
Là où c’est toujours serein.

Déposé par colombine67 le 11/03/2016  
Écouter est, peut-être, le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un.
C'est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là, tu vas m'enrichir car tu es ce que je ne suis pas . . . Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c’est d’être écoutée par une autre !
Écouter, c'est commencer par se taire. . .
Avez-vous remarqué combien les « dialogues » sont remplis d'expressions de ce genre : « C'est comme moi quand. . . », ou bien « ça me rappelle ce qui m'est arrivé. . . ». Bien souvent, ce que l'autre dit n'est qu'une occasion de parler de soi.
Écouter, c'est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser habiter par l'autre. C'est accepter que l'autre entre en nous-même comme il entrerait dans notre maison et s'y installerait un instant, en prenant ses aises.
Écouter, c'est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l'autre. C’est comme une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s’arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui.
Écouter, c'est ne pas chercher à répondre à l'autre, sachant qu'il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C'est refuser de penser à la place de l'autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.
Écouter, c'est accueillir l'autre avec reconnaissance tel qu'il se définit lui-même, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu'il doit être. C'est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l'autre le temps et l'espace de trouver la voie qui est la sienne.
Écouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu'un qui souffre, ce n'est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c'est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s'en libérer.
Apprendre à écouter quelqu'un, c'est l'exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos propres détresses. . .
Écouter, c'est donner à l'autre ce que l'on ne nous a, peut-être, encore jamais donné : de l'attention, du temps, une présence affectueuse. C'est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, notre corps et toutes nos émotions, c'est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c'est devenir poète, c'est-à-dire sentir le cœur et voir l'âme des choses.
À celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant, il commence à découvrir l'infini qui vit à la fois la richesse et l'originalité de l'autre. C'est alors qu'il entrevoit combien la rencontre est source d'être et non pas d'avoir.
« Tu ne vaux que ce que valent tes rencontres, le seul luxe est celui des relations humaines » (Saint-Exupéry).

Déposé par colombine67 le 10/03/2016  
J'ai vu au fond de tes yeux et de ton regard,
Un amour que l'on ne lit nul part,
J'ai bu des mots que tu ne sais pas,
Que tu voudrais dire mais tu ne peux pas,
Souvent j'y ai vu la tendresse,
Mais aussi la tristesse,
Pour un reproche que tu ne méritais pas,
Ou simplement que tu ne comprenais pas,
Mais que tu respecteras,
J'y ai vu surtout l'amour,
Que tu me donnes jour après jour,
Un amour qui ne demande rien,
Rien qu'une caresse de la main,
Je sais bien que tu n'es qu'un chien,
Mais ton amour vaut bien celui d'un humain,
Tu offres sans demander,
Même ta vie s'il le fallait,
Alors moi j'ose dire que je t'aime,
Que je t'aime autant qu'un humain,
Même si l'on dit que tu n'es qu'un chien,
Hélas un jour tu partiras,
La mort, ce jour là, t'emportera,
Alors rien que d'y penser,
Mon cœur commence à regretter,
De n'avoir pu t'expliquer,
Toutes ces choses que mon cœur t'exprimait,
Mais que j'espère, dans mes yeux, ce jour là,
Tu liras,
Tous ces mots qui bouillonnent dans mon âme,
Jusqu'à se que la tienne prenne flamme,
Que je puisse respirer ton esprit aisé,
En te laissant cette seule pensée :
« Que moi pauvre humain,
Je serais te faire comprendre, l'amour d'un homme pour son chien"

Déposé par colombine67 le 09/03/2016  
1ère semaine
Aujourd'hui je complète une semaine de vie. Quelle joie d'être arrivé dans ce monde.
1er mois
Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire !
2 mois
Aujourd'hui on me sépare de ma maman. 
Elle est très turbulente et, avec son regard, elle me dit "au revoir". 
J'espère que ma nouvelle "famille humaine" prendra aussi bien soin de moi qu'elle le faisait.
4 mois
Je grandis rapidement, tout appelle mon attention. Il y a différents enfants à la maison et pour moi, ils sont comme "des petits frères". Nous sommes très farceurs, ils me tirent la queue et je les mords pour plaisanter.
5 mois
Aujourd'hui, ils m'ont donné une engueulade. Ma maîtresse est incommodée parce que j'ai fait pipi à l'intérieur de la maison mais personne ne m'a appris où je devais le faire. Alors, je dors dans le hall d'entrée. Ce n'est pas donné de le supporter.
8 mois
Je suis un chien heureux ! J'ai la chaleur d'un foyer; je me sens aussi en sécurité, protégé. Je crois que ma famille humaine m'aime et me donne beaucoup de choses. La cour est tout pour moi et, parfois, j'exagère, je creuse la terre comme mes ancêtres, les loups, quand ils cachaient la nourriture. Personne ne m'éduque... Tout ce que je fais doit être correct.
12 mois
Aujourd'hui j'ai un an complet. Je suis un chien adulte. 
Mes maîtres disent que je grandis plus que ce qu'ils espéraient. Qu'ils doivent être fiers de moi ! ! ! !
13 mois
Aujourd'hui ils m'enchaînent et je ne peux presque pas bouger, même où il y a un rayon de soleil, ou quand je demande un peu d'ombre. Ils disent qu'ils vont m'observer et que je suis un ingrat. 
Je ne comprends rien à ce qui m'arrive.
15 mois
Rien n'est plus pareil... Je demeure sur le balcon. Je me sens très seul. 
Ma famille ne me veut déjà plus ! Des fois, ils oublient que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de plafond pour m'abriter...
16 mois
Aujourd'hui ils me retirent du balcon. Je suis sûr que ma famille m'avait perdu. Je suis si content que je saute de plaisir. Ma queue ressemble à un ventilateur. En plus, ils vont m'emmener promener ! ! Nous nous dirigeons vers la rue et, soudain, ils s'arrêtent à la voiture. Ils ouvrent la porte et je descends joyeusement, pensant que nous allons passer notre journée à la campagne.
Je ne comprends pas pourquoi ils ferment la porte et ils partent. "Vous entendez, attendez !" 
J'aboie...... Ils m'oublient ..... Je courais derrière la voiture de toutes mes forces. 
Mon angoisse grandit quand je me rendis compte que j'avais quasi perdu mon souffle et qu'ils ne s'arrêtaient pas. Ils m'avaient oublié !
17 mois
Je cherche en vain à retrouver le chemin du retour au foyer. Je suis seul et je me sens perdu ! 
Sur mon chemin, ils existent des personnes de bon coeur qui me regardent avec tristesse et me donne un peu de nourriture. Je les remercie avec mon regard, du fond de mon âme.
J'aimerais qu'ils m'adoptent : j'aurais été fidèle comme personne! 
Mais ils disent juste: "pauvre petit chien, il doit être perdu."
18 mois
Un jour, je passais près d'une école et je vis beaucoup d'enfants et des jeunes comme mes petits frères. Je m'approchais et un groupe, en riant, me jeta une pluie de pierres "pour voir qui était le meilleur viseur". Une des ces pierres, me blessa l'oeil et depuis lors, je ne vois plus avec celui-ci.
19 mois
C'est incroyable. Quand j'étais plus beau, ils avaient de la compassion pour moi. Maintenant je suis plus faible; mon aspect change. J'ai perdu mon oeil et les gens me montrent le balai quand j'ai l'intention de m'allonger où il y a un peu d'ombre.
20 mois
Je ne peux quasi plus me bouger !
Aujourd'hui, je vais tenter de traverser la rue par où passent les voitures, un vise juste! J'étais en sécurité sur une place appelée "rue pavée", mais jamais je n'oublierai le regard de satisfaction du conducteur qui se vantait même pour avoir visé juste. Il m'a tué! ... Mais il a seulement démis les pattes arrières !
La douleur est terrible! Mes pattes arrières ne m'obéissent pas et je me traîne avec difficultés jusqu'au gazon, au bord du chemin. cela fait dix jours que je suis sur le sol sous la pluie,dans froid,sans manger. maintenant je ne peux plus bouger !
La douleur est insupportable! Je me sens très mal, je ne trouve pas d'endroit sec et on dirait que même mon poil est en train de tomber...
Quelques personnes passent et personne ne me voit; d'autres disent "ne t'approches pas tout près". Maintenant je suis presque inconscient; mais une force étrange me fait ouvrir les yeux.
La douceur d'une voix me fit réagir.
"Pauvre petit chien, regarde comme ils t'ont laissé"; elle disait ... avec elle était un homme en tablier blanc.
Il a commencé à me toucher et à dit: "Je sais bien madame, mais il n'y a plus de remède pour ce chien, c'est mieux qu'il arrête de souffrir. 
La gentille dame, avec des larmes roulants sur le visage, aquiesça.
Comme je pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardais, les remerciant qu'ils me portent secours pour me reposer.
Seulement je sentis la percée d'une piqûre qui me fit dormir pour toujours, pensant à pourquoi j'étais né si personne ne me voulait...
Message originaire de Michael Tsagaris




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