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En hommage à
Paco
BOXER
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
 


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En hommage à Paco

Mon Paco, mon tombeur des ces dames tu es né le 10 06 2008 et tu es rentré dans ma vie le 5 novembre 2010 jour où je t'ai sorti de la spa, tu avais déjà été abandonné deux fois et n'avais que 19 kg!

Tu n'auras seulement connu le vrai bonheur que 4ans et 6 mois, car aujourd'hui ce 26 mai 2015 est un jour atroce pour moi car je me suis donnée le pouvoir de décider la fin de ta vie sur terre et ça, je ne pourrai jamais l'oublier.
Pardon mon grand, cela a été une décision très difficile à prendre pour moi, mais c'est le coeur gros avec des larmes plein les yeux que j'ai appris que tu avais une saleté de crabe en toi, et que malgré tous les traitements que tu avais reçu, radiothérapie, chimiothérapie il avait pris le dessus.
Jusqu'au bout, j'ai voulu croire qu'un miracle se produirait..
mais plus aucun traitement n'était possible après ce dernier scanner fait le 19 mai 2015 dont le résultat était dramatique et qui montrait bien que cette p.....de chose t'avais envahis le crâne, et commençait à te bouffer petit à petit à une vitesse incroyable, j'ai commencé à réaliser que tu ne t'en sortirais pas et que je ne pouvais pas me permettre de te laisser souffrir,
et que cet acte de te laisser partir est le dernier geste d'Amour que je pouvais te donner, pardonne moi mon coeur.

Tu étais un loulou super gentil, câlin, obéissant aimant tout le monde, les deux pattes comme les quatre pattes ......... ton seul défaut était ta destruction, mais jamais au grand jamais je n'ai pensé aller t' abandonner, l'enfer des barreaux et la maltraitance c'étaient fini pour toi.

Je t'ai conduis chez notre vétérinaire à qui tu as encore fait la fête.
Je sais que tu avais compris
Car dans tes yeux s'est dessiné une larme
Cette larme m'a détruit m'a brisé....
J'aurai tant voulu ne pas la voir
Elle m'a culpabilisé
Elle a augmenté mon désespoir.... je t'ai accompagné jusqu'au bout , dans mes bras tu t'es blotti et je t'ai chuchoté à l'oreille combien je t'aimais et que ce n'était pas un adieu mais juste un au revoir car on se retrouverait là haut lorsque mon heure serait venue.
T'es beaux yeux alors se sont fermés et tu t'es endormi pour ne jamais te réveiller.

Au Paradis blanc,
les anges ne t'y attendaient pas si tôt, tu aimais la vie, tu aimais courir dans les prés et dans les bois, tu adorais les caresses, tu étais heureux et cela se voyait dans tes teux.
Ta disparition m'a plongé dans le plus grand désarroi, la maison est tellement vide aujourd'hui, même tes soeurettes Tekila et Diana ainsi que ton frérot Lyos te cherchent partout, là où il y a ton odeur....ils se couchent sur ton (tes) coussins..., l'atmosphère y est tellement pesante.
Je n'oublierai jamais ces merveilleuses trop courtes années que j'ai vécu près de toi.
Je n' oublierai pas ton bon coeur.
Je me souviendrai de la fierté que tu arborais.
Tu as été un compagnon fidèle, aimant et par dessus tout, tu as lutté de toutes tes forces jusqu'à ton dernier souffle avec tant de courage.

j'ai beau me dire que tu étais heureux,
que tu avais de quoi faire des envieux,
oui j'ai beau me dire tout cela,
mais la réalité,elle est bien là !
Sous mon toit tu n'es plus là,
dans mon espace il ne manque que toi,
ta place, même si le vide s'en est accaparé,
dans mon coeur, elle restera à jamais.

Je suis certaine que mon Spanky et mon Junior seront là pour t'accueillir, je compte sur toi pour leur dire de ma part que je les aime et qu'ils me manquent toujours autant, tu verras tu vas bien t'éclater avec Spanky car il était comme toi, il adorait jouer avec des ballons, avec
mon Juju qui était le plus boxérien des labradors il te montreras des bonnes positions pour faire des gros dodos. Ils ne te laisseront pas seul vous allez gambader tous les trois au paradis blanc là ou la maladie et la souffrance
n'existent plus avec tous les autres copains et copines qu'ils te feront connaître.

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Paco et tu resteras pour toujours dans mon coeur.

Gros gros bisous sur ton si beau museau mon ange.




61 bougies

18962 Fleurs
Déposé par rafia
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La douleur qui se tait n'en est que plus funeste. Jean Racine Andromaque. 1667
Déposé par goulou50
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Une cascade de gros bisous pour toi
Déposé par rafia
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Déposé par spanky
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Aujourd'hui mon coeur cela fait 12 semaines que tu m'as quitté, j'ai très difficile d'admettre ton départ, je pleure, je te cherche partout encore et encore, je t'Aime mon Paco d'Amour
Déposé par rafia
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A toi, inoubliable Paco : Nos coeurs resteront toujours les mêmes Loin de toi, on te dira toujours JE T'AIME. Mais d'une autre manière qu'autrefois, Avec une petite larme dans la voix.
Déposé par myriam31
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les larmes envoient toujours les messages, que le coeur ne peut envoyer en paroles plein de bisous pour toi bel ange,amitiés à ta maman
Déposé par zenelle
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Un petit bouquet pour une belle semaine,amitiés a ta famille.
Déposé par rafia
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Quelle détresse !!!Ce vide, cette souffrance qui vs transperce le coeur..Leur souvenir, bien que magnifique, arrive tjrs à accentuer la douleur. Qu'ils ns manquent nos amours/Canins !!!
Déposé par rafia
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PARDON suite message incomplet. "La douleur peut diminuer, mais elles ne disparaissent JAMAIS. Bien amicalement (Maryem)
Déposé par rafia
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On dit souvent que le temps guérit toutes les blessures. Je ne suis pas OK. Elles demeurent intactes. Avec le temps, pr mieux se protéger notre esprit les recouvre de bandages, la douleur peut diminue
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
Déposé par rafia
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Lorsque nos amours/Canins s'en vont, une force en ns résiste et refuse la vérité. Puis l'on s'oblige à penser qu'un Paradis existe..une façon facile de se consoler???Bien amicalement (Maryem)
Déposé par spanky
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Si je plantais une fleur à chaque fois que je pense à toi, mon jardin serait fleuri pour toute l'année. Je t'Aime mon Paco d'Amour
Déposé par rafia
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Tu crois donc que les morts que nous avons aimés nous quittent vraiment ? » J.K. Rowling
Déposé par rafia
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/de C. BOBIN Adaptable à nos Amours/Canins :La certitude d'avoir été, un jour, aimé//, c'est l'envol définitif du cœur dans la lumière.
Déposé par GG
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Déposé par NathalieB
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Tu étais très beau Paco ! Douces caresses et gros bisous.
Déposé par goulou50
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Mille câlinous de douceur pour un bel ange, merci pour le beau poème
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Aujourd'hui mon coeur, cela fait 11 semaines que tu as deployé tes ailes, mes larmes coulent, ton absence me fait mal, tu me manques énormément, je t'Aime mon Paco d'Amour
Déposé par rafia
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Les larmes empêchent de voir, le deuil encore plus. - Jean-Marie Poupart


2506 messages

Déposé par colombine67 le 14/02/2016  
Mon copain
Quand j'ai du chagrin
Il ne me dit rien
Il sait bien que ça ne sert à rien
Quand j'ai du chagrin
Mon ami
Quand j'ai de la peine
Il ne me dit pas qu'il m'aime
Je sais bien que ça le gêne
Quand j'ai de la peine
Alors il m'écoute
Moi je sais qu'il m'entend
Et il me regarde
Moi je sais qu'il comprend
Il se met dans un coin
Ses yeux sont plus malheureux
Que les miens
Mon copain, mon ami
Il est plus qu'un ami
Plus qu'un bon copain...
Puisque c'est mon chien
Chantal Abraham

Déposé par colombine67 le 13/02/2016  
J'étais avec mon chien
J'étais bien,
Puis, un jour, me dit avec amour,
Merci, merci
De m'avoir pris,
Car dans l'animalerie,
J'étais tout triste,
j'étais sur une mauvaise piste,
avec les autres animaux,
tout gros et petit
j'étais le cadet,
de tous ces paumés,
a la S.P.A
Tout raplapla,
pour une fois,
a ma grande joie,
est arrivée,
mon adorée,
qui m'a finalement adoptée.

Déposé par myriam31 le 12/02/2016  
Absence
L’année s’est écoulée, me laissant bien songeuse,
Les mois ont passé, si rapides, si courts,
Nous séparant hélas un peu plus chaque jour.
Je m’efforce d’aller, j’essaie de revenir,
Il me reste le triste Anniversaire
Pour empêcher l’oubli, pour mieux le contenir.
Tu m’offres quelques fois la chance inespérée,
De te voir apparaître au milieu de mes nuits,
Mais ta visite est brève alors, désemparée,
Je m’accroche en pleurant au rêve qui s’enfuit.
Tendres et affectueuses pensées, amitiés à ta maman

Déposé par colombine67 le 12/02/2016  
Je suis un petit chien
Mais j’ai déjà quinze ans.
Si je présente bien,
Mon âge, je le sens.
Mon cœur est fatigué,
J’ai des douleurs partout,
Ma vue a bien baissé,
Je n’entends plus du tout.
J’aimais bien la montagne
Quand j’étais casse cou.
Le vertige me gagne,
Je fatigue beaucoup.
Je vais plus doucement
Et je marche très peu.
Je dors bien plus longtemps,
J’ai caché tous mes jeux.
Quand une chienne passe,
Je redeviens fringant,
Je fais preuve d’audace,
Je me sens élégant.
Mais dès qu’elle est partie,
Je retrouve mon âge
Et mon dos s’arrondit :
Ce n’était qu’un mirage.
Mes maîtres m’aiment autant
Que quand j’étais petit.
Ils me disent souvent
Que j’ai changé leur vie.
La mienne aura été
Faite de grandes joies,
J’aurai été choyé,
J’aurai été un roi.
Quand il faudra partir,
Je ne gémirai pas.
Je voudrais m’endormir
Blotti entre leurs bras.

Déposé par celibab le 11/02/2016  

Quand l'homme auras compris un jour que communiquer avec les animaux est plus important,que de les tuer,les jours auront un autre avenir pour la planète;
Petite Lune
les animaux sont supérieur aux hommes par leur fidélité à la nature et au verbe "être" et non au verbe "avoir".
amitié,et douces caresses a vous tous petits anges
choupinou et en même temps celibab
merci de votre gentillesse amitié

Déposé par colombine67 le 11/02/2016  
"Mon frère, sais-tu la nouvelle ?
Mouflar, le bon Mouflar, de nos chiens, le modèle,
Si redouté des loups, si soumis au berger,
Mouflar vient, dit-on, de manger
Le petit agneau noir, puis la brebis sa mère,
Et puis sur le berger s'est jeté furieux.
- Serait-il vrai ? - Très vrai, mon frère.
- À qui donc se fier, grands dieux !"
C'est ainsi que parlaient deux moutons dans la plaine.
Et la nouvelle était certaine.
Mouflar, sur le fait même, pris,
N' attendait plus que le supplice ;
Et le fermier voulait qu'une prompte justice
Effrayât les chiens du pays.
La procédure en un jour est finie.
Mille témoins pour un, déposent l'attentat.
Récolés, confrontés, aucun d'eux ne varie :
Mouflar est convaincu du triple assassinat.
Mouflar recevra donc deux balles dans la tête
Sur le lieu même du délit.
À son supplice qui s' apprête,
Toute la ferme se rendit.
Les agneaux de Mouflar demandèrent la grâce.
Ele fut refusée. On leur fit prendre place.
Les chiens se rangèrent près d'eux,
Tristes, humiliés, mornes, l'oreille basse,
Plaignant, sans l'excuser, leur frère malheureux.
Tout le monde attendait dans un profond silence.
Mouflar paraît bientôt, conduit par deux pasteurs :
Il arrive ; et, levant au ciel ses yeux en pleurs,
Il harangue ainsi l' assistance :
"ô vous, qu'en ce moment je n'ose et je ne puis
Nommer comme autrefois, mes frères, mes amis,
Témoins de mon heure dernière,
Voyez où peut conduire un coupable désir !
De la vertu, quinze ans j'ai suivi la carrière.
Un faux pas m'en a fait sortir.
Apprenez mes forfaits. Au lever de l'aurore,
Seul, auprès du grand bois, je gardais le troupeau.
Un loup vient, emporte un agneau,
Et tout en fuyant le dévore.
Je cours, j'atteins le loup, qui, laissant son festin,
Vient m' attaquer : je le terrasse,
Et je l'étrangle sur la place.
C'était bien jusque là : mais, pressé par la faim,
De l'agneau dévoré, je regarde le reste,
J'hésite, je balance... à la fin, cependant,
J'y porte une coupable dent :
Voilà de mes malheurs l'origine funeste.
La brebis vient dans cet instant,
Elle jette des cris de mère....
La tête m'a tourné, j'ai craint que la brebis
Ne m'accusât d'avoir assassiné son fils.
Et, pour la forcer à se taire,
Je l'égorge dans ma colère.
Le berger accourait armé de son bâton.
N'espérant plus aucun pardon,
Je me jette sur lui : mais bientôt on m' enchaîne,
Et me voici prêt à subir
De mes crimes, la juste peine.
Apprenez tous du moins, en me voyant mourir,
Que la plus légère injustice,
Aux forfaits les plus grands peut conduire d'abord ;
Et que, dans le chemin du vice,
On est au fond du précipice,
Dès qu'on met un pied sur le bord."
de Jean-Pierre Claris de Florian

Déposé par poutounou le 10/02/2016  
Que c'est joliment dit....Profitons des jours bleus et chassons les jours gris....
*
AU JARDIN DE L'INFANTE
*
Il est de clairs matins, de roses se coiffant,
Où l'âme a des gaîtés d'eaux vives dans les roches,
Où le coeur est un ciel de Pâques plein de cloches,
Où la chair est sans tache et l'esprit sans reproches.
Il est de clairs matins, de roses se coiffant,
Ces matins-là, je vais joyeux comme un enfant.
*
Il est de mornes jours, où las de se connaître,
Le coeur, vieux de mille ans, s'assied sur son butin,
Où le plus cher passé semble un décor déteint,
Où s'agite un minable et vague cabotin.
Il est de mornes jours las du poids de connaître
Et, ces jours-là, je vais courbé comme un ancêtre.
*
(A. Samain)

Déposé par colombine67 le 10/02/2016  
Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour
Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas.
C’était mon compagnon, mon ami de toujours
Et comme les humains il connut le trépas.
La maison désormais se retrouve sans lui.
Il repose en forêt sous les feuilles jaunies.
Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux
Ses jappements de joie, son amour un peu fou !
Je garderai toujours le souvenir ému
De cet ami charmant et à jamais perdu.
Et je comprends très bien que l’on aime son chien
Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien.
de Christian Chabellard

Déposé par colombine67 le 09/02/2016  
Il était triste le petit chien
Assis tout seul dans le chemin.
Il regardait les gens passer
Et ses yeux étaient mouillés.
Oh, bien sûr on le caressait
En passant...mais on repartait,
Et jamais on ne demandait
Au petit chien du chemin ...
La cause de son chagrin.
Il était triste le petit chien
Abandonné dans ce chemin
Par d'innommables vacanciers
Partis Dieu sait vers quelle contrée !
Il était triste le petit chien.
Alors, je me suis approchée,
J'ai pris sa tête entre mes mains
Et je l'ai consolé.
On a parlé longtemps tous les deux :
Lui, avec ses yeux,
Moi, avec mes mains
Qui le caressaient.
Je lui ai demandé
S'il voulait être mon petit chien.
Il m'a léché la main,
Il a remué la queue.
Et on est repartis tous les deux,
Par le grand chemin,
Moi et mon petit chien.

Déposé par colombine67 le 07/02/2016  
Mon chien, mon souvenirToi que je connaissais
Si bien tu m'as laissée
Jamais je ne t'oublierai
Chaque jour tu es dans mes pensées
...Je n'arrive pas à m'y faire
Chaque jour c'est l'enfer
Quand je pense à toi
je me rappelle chaque jour
Quand tu étais là
Mais le principal pour moi
C'est qu'un jour
On se retrouvera
Où que ce soit.

Déposé par poutounou le 06/02/2016  
Et des fois, quand on marche sur un clou, on se fait mal, très mal......
*
LA MÈRE À SON FILS
*
C'est moi qui te le dis, petit,
La vie, c'est pas comme marcher sur du velours,
C'est un escalier qu'il faut grimper.
Y'a des clous qui dépassent,
Et des planches abîmées,
Et des bouts où y'a même pas de plancher :
Des trous.
Et tout ce temps-là,
On n'arrête pas de grimper,
De changer de palier,
De tourner les coins.
Même que des fois y'a pas de lumière
Et qu'on n'y voit rien.
Alors, petit, te retourne pas,
Va pas redescendre l'escalier.
C'est assez dur, fais pas exprès,
Va pas dégringoler maintenant
Parce que moi, je continue,
J'ai pas fini de grimper.
Et c'est moi qui te le dis,
La vie, c'est pas comme marcher sur du velours.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par colombine67 le 06/02/2016  
Quand la mort s'empare de l'âme
Quand la maladie a gagné son combat
Quand l'âme s'envole vers sa dernière demeure
Qu'il est doux que son amour soit là
Quand le corps ne peut plus,
Quand l'esprit n'en veut plus,
Quand le cœur rend ses armes
Qu'il est doux que son amour soit là
Et l'âme apaisée prend alors son envol
Tel un précieux souffle au-delà des terres
Parce que toute douleur a disparu
Parce que la paix est revenue
Laissons partir ces âmes
Qui ont enfin trouvé le repos
Laissons-les retrouver ces airs
Qu'ils ont tant espéré
Et la lumière les habite
A jamais épanoui
Tel des étoiles lumineuses
Au firmament de nos vies
Va ! Belle âme reposée
Toi qui est enfin apaisée
Délivrée de toute souffrance
Vole sans résistance
Veille sur les tiens,
Regarde-les vivre
Apaise leur chagrin
Fais leur un petit signe

Déposé par colombine67 le 05/02/2016  
Sauras-tu un jour ce que je suis vraiment ?
Le saurais-je moi-même ?
Le chemin est empli de pièges et de rêves brisés
Mais les efforts sont tellement récompensés
Que la leçon est belle !
Le voyage fascinant
Comme un pays inconnu
Visité en pleine lumière
Ce « Moi », ce grand inconnu,
Je le découvre de jour en jour.
Tantôt rieur, rêveur, utopiste
Tantôt sage, pensif et philosophe
Je découvre un univers qui m'était jusqu'alors caché
Un endroit pur et merveilleux que je ne soupçonnais
Ce que je prenais pour un monde ruiné
Ce que je pensais à jamais perdu et abimé
Une fenêtre s'est ouverte, un rayon de lumière est entré
Mon enfant intérieur s'est réveillé
Il m'a pris par la main, m'a montré le chemin
Il m'a ouvert aux autres et m'a appris à ne plus avoir peur
Et depuis un tel monde m'est apparu,
Fait de sagesse, de pensées positives et de respect
Fait de nourriture spirituelle comme autant de gourmandises
Qui nourrissent mon cœur affamé de tant d'années de privation
Mon âme est apaisée
Mon esprit reposé
Je me nourri de mots et de belles pensées
Me construit pas à pas et grandi
Je suis Une dans l'univers,
Je suis une étincelle dans la clarté du jour
Je suis un souffle d'air, une note,
Je fais partie d'un Tout et je vis pleinement
Toi qui es égaré, ne perds jamais espoir
Garde en toi l'étincelle, celle sans quoi la vie ne peut exister
Surveille les signes et un jour, tu trouveras le chemin
Ton enfant intérieur te prendra la main et te mènera à ton destin

Déposé par colombine67 le 03/02/2016  
LE VIEUX CHIEN
Autrefois, enivré de ses membres robustes,
Il sautait dans la haie et griffait les arbustes,
Et ses bonds chaleureux nous fêtaient : aujourd'hui,
Son âmes humble est déjà recouverte de nuit.
Il somnole; le feu lui souffle sa fumée.
Mais quand nous approchons, sa prunelle embrumée
S'ouvre, il lève vers nous la tête avec effort,
Et cherche dans nos yeux si nous l'aimons encor.
ABEL BONNARD

Déposé par poutounou le 02/02/2016  
UNE LARME
*
Soudain elle surgit venue des profondeurs,
sa valeur est inestimable tant elle est vraie.
Plus riche qu'un trésor, elle perle au gré du moment,
scintillante de vérité et pourtant si indéchiffrable
qu'aucun n'eut pensé de la comprendre.
Merveille qu'elle est, elle s'écoule vivement
pour laisser fuir l'autre qui la suit.
Rempli de joie ou de mélancolie,
seul l'être qui la laisse filer peut la comprendre
car elle crie dans le silence.
*
Où il y a une larme,
il y a un coeur.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par colombine67 le 02/02/2016  
Parce que ma raison tait
Ce que mon coeur hurle
Parce que mon âme pleure
Ce que la vie m'enlève
Parce que l'amour est douloureux
Comme l'est une plaie béante
Parce que mon coeur est vide
Comme le sont mes yeux aujourd'hui
L'amour est une fleur
Dont le parfum ennivrant
Nous fait oublier pour un temps
Le désert de notre coeur
Mon coeur t'appelle
Mon âme t'implore
Mes yeux te cherchent
Et mon amour est là
J'aimerais tant m'endormir
Et me réveiller à tes côté
Dans un monde fait pour nous
Loin de tout, protégés

Déposé par choupinou le 01/02/2016  
Je vis avec un Ange ♥
Dans la vie de tous les jours, on reconnaît un Ange à ce qu'il aime, l'incognito, à son goût de la discrétion, voir de l'effacement.♥
Il est là , sa présence est tout en douceur , en lumiere ..☺
ses caresses sont brumes
sa voix est tel le chant d un oiseau ♫
Il ne déroule jamais son curriculum vitae,
ses diplômes ni ses prouesses, il a peine de biographie et se désintéresse de l'évènementiel.
Mais il veille sur la neige, le vent, les animaux , le duvet des peupliers, les étoiles, la lune, les enfants,son maître tant aimé, le silence ... Bref, sur tout ce qui est vivant,
paroles indienne,

Déposé par rafia le 31/01/2016  
Paroles de la chanson "Un Jour" par Damien Sargue
Où vont ceux qu’on aime
Quand ils disparaissent,
Tout à coup ?
Quelqu’un qui nous laisse,
Quelqu’un qui vous blesse
Quand il s’en va trop loin de nous.
Ils sont en nous-mêmes,
À portée de nos souvenirs.
Pas un mot de trop,
Que le geste qu’il faut,
Pour une dernière fois,
Les retenir
Personne ne finit dans l’oubli,
Si quelqu’un l’attend encore ici.
Un ami manque toujours,
On pense toujours à son retour.
Un jour, tous les espoirs sont permis,
Que le passé reprenne vie ;
Le présent, les absents réunis.
Un jour, il fera bon s’endormir
Et ne plus penser au pire.
On vit aussi de souvenirs !
Que font ceux qui restent
Quand leur peine est plus forte que tout,
Quand ils se détestent
D’être ceux qui restent,
Ceux qui doivent aller jusqu’au bout ?
Personne ne finit dans l’oubli,
Si quelqu’un l’attend encore ici.
Un ami manque toujours,
On pense toujours à son retour
Un jour, tous les espoirs sont permis,
Que le passé reprenne vie
Le présent, les absents réunis.
Un jour, il fera bon s’endormir
Et ne plus penser au pire.
On vit aussi de souvenirs
Un jour, tous les espoirs sont permis,
Que le passé reprenne vie ;
Les présents, les absents réunis.
Un jour, il fera bon s’endormir
Et ne plus penser au pire.
On vit aussi de souvenirs !
Un jour, tous les espoirs sont permis,
Que le passé reprenne vie ;
Le présent, les absents réunis.
Un jour, il fera bon s’endormir
Et ne plus penser au pire.
On vit aussi de souvenirs !

Déposé par Galinette3 le 31/01/2016  
La ronde des mois
Demain Février débute !
🐾
🎶
Janvier prend la neige pour châle ;
Février fait glisser nos pas ;
Mars de ses doigts de soleil pâle,
Jette des grêlons aux lilas.
🎶
Avril s'accroche aux branches vertes ;
Mai travaille aux chapeaux fleuris ;
Juin fait pencher la rose ouverte
prés du beau foin qui craque et rit.
🎶
Juillet met les œufs dans leurs coques
Août sur les épis mûrs s'endort ;
Septembre aux grands soirs équivoques,
Glisse partout ses feuilles d'or.
🎶
Octobre a toutes les colères,
Novembre a toutes les chansons
Des ruisseaux débordant d'eau claire,
Et Décembre a tous les frissons.
🎶
Rosemonde Gérard ("Les pipeaux" - éditions Grasset, 1923).

Déposé par colombine67 le 31/01/2016  
Je l'aime, seigneur combien je l'aime,
Combien mes sentiments sont profonds et immuables
Comme autant d'étoiles dans le ciel,
Comme autant de vagues dans l'océan
J'ai envie de crier cet amour,
De le hurler à la face du monde
De le déclarer fièrement
Et montrer sa force ouvertement
Au lieu de cela, tout est tu, tout est enfoui
Chaque élan de tendresse est étouffé,
Chaque phrase tendre baillonée,
Chaque sentiment réfréné
Il est mon âme, il a mon coeur,
Il est mon homme, mon bonheur,
Il est mon oxygène, ma lumière,
L'indispensable, l'essentiel
Je ne peux lui dire la force de mes sentiments,
J'aimerais qu'il le sache pourtant,
Qu'il sache que je ne veux que lui,
Que je ne rêve que de lui
Comme un refrain chanté sans cesse,
Comme une musique emplissant l'air,
Mes sentiments se perdent dans les silences
Prisonniers des écrits




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