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En hommage à
TAMIA
CANICHE
Il est né le:09/08/2002
Il nous a quittés le:18/06/2015
 

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En hommage à TAMIA

Ma TAMIA, ma canichette adorée.
Le 18 Juin 2015 tu as été endormie pour l'éternité. Tu aurais eu 13 ans le 9 Août. Nous avons toujours tout partagé : tu étais ma confidente, que du bonheur avec toi.
Repose en paix petite TAMIA d'amour au Paradis des Chiens




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merci pour mon petit Youky
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894 messages

Déposé par NathalieB le 18/07/2016  

" Prière du chien "
Seigneur,
je veille.
Si je n'étais pas là,
qui garderait leur maison ?
Qui leur serait fidèle ?
Il n'y a que vous et moi
pour comprendre
ce qu'est la fidélité.
Ils me disent "bon chien ! brave chien !"
Des mots....
Moi je prends leurs caresses
Et les vieux os qu'ils me jettent.
Et j'ai l'air content !
Ils croient tellement me faire plaisir !
Je prends aussi les coups de pieds
quand ils arrivent !
Tout cela n'a pas d'importance
Moi je veille !
Seigneur,
Ne permettez pas que je meure
avant que pour eux
Tout danger soit écarté !
Ainsi soit il.

Déposé par Galinette3 le 17/07/2016  
LES MAINS PROPRES
🐶
O Grand Esprit,
Dont j'entends la voix dans le vent,
Et dont le souffle donne la vie au monde,
Ecoute-moi !
Puissent mes pas me porter dans la beauté,
Puissent mes yeux toujours voir
Le coucher du soleil rouge et pourpre .
Puissent mes mains respecter les choses
que tu as créées
Et mes oreilles être attentives à ta voix .
Que je puisse apprendre les leçons
que tu as cachées
dans chaque feuille et chaque pierre .
Je cherche la force, pas pour être plus grand
que mon frère, mais pour combattre
mon pire ennemi : moi-même .
Pour que je puisse toujours venir vers toi
les mains propres et le regard franc .
Pour qu'au crépuscule de la vie,
comme le soleil qui se couche,
je puisse venir vers toi sans honte .
🐶
Un indien d'Amérique

Déposé par NathalieB le 17/07/2016  

Chien…
Tu es si noble!
Ta médecine nous enseigne
À aller jusqu’au bout de nous-mêmes
Avec fidélité, patience et sincérité.
Tous les Indiens du Sud-Ouest et des Plaines avaient des chiens. Ces nobles animaux lançaient le cri d’alarme devant un danger imminent. Ils aidaient aussi à la chasse et gardaient leurs maîtres au chaud pendant les longues soirées d’hiver. Puisqu’il existe plusieurs espèces de chiens, les premiers chiens des Indiens étaient habituellement à demi sauvages. Toutefois, l’état sauvage ne les détournait pas de la fidélité innée à leurs maîtres.
Tout au long de l’histoire, on a considéré le Chien comme le serviteur de l’humanité. Les porteurs de la médecine du Chien se dévouent habituellement de quelque façon au service des autres ou à celui de l’humanité. Ce sont des bénévoles, des philanthropes, des infirmières, des conseillers, des prêtres ou des soldats.
Le Chien, c’est le soldat de service, gardien vigilant des loges de la tribu contre les attaques surprises. La médecine du Chien allie la tendre délicatesse du meilleur ami à l’énergie protectrice mi-sauvage, liée aux exigences territoriales. Comme Anubis, le chien-chacal qui protège l’Égypte, le chien monte la garde. À travers l’histoire, le Chien a été à la fois gardien des enfers, des secrets anciens, des trésors cachés et des bébés – pendant que les mères préparaient les repas ou travaillaient aux champs. Fidèle à sa nature, cet animal mérite la confiance qu’on lui accorde.
En étudiant la médecine du Chien, vous découvrirez peut-être de doux souvenirs personnels reliés à un chien que vous avez aimé. Cela vous poussera peut-être à mieux examiner le message que ce fidèle gardien veut transmettre : approfondissez votre sens du service aux autres. L’espèce canine est vraiment orientée vers le service ; la fidélité de ces animaux passe outre aux mauvais traitements reçus. Même quand le Chien a été victime de cris ou de coups, il continue à aimer la personne qui l’a maltraité, non pas par stupidité mais plutôt par compréhension : une compréhension profonde et compatissante des défauts des humains. II semble bien qu’au coeur de tout chien réside un esprit de tolérance qui ne cherche qu’à servir.
Par ailleurs, il peut se trouver des chiens chez qui les mauvais traitements ont étouffé toute trace de fidélité. Ils tremblent et se lamentent au moindre signe de désapprobation, mais ce n’est pas là leur nature véritable. Quelques espèces de chiens ont même été entraînés à être brutaux et méchants. Dans un esprit de service, ces espèces ont répondu aux désirs agressifs de leurs maîtres. Ils sont victimes d’une altération de leur mémoire génétique où le service prend un tout autre sens parce qu’il est relié à l’approbation de leurs maîtres.
La médecine du Chien nous demande de considérer combien aisément notre besoin d’approbation peut dénaturer l’esprit de notre fidélité. Si vous avez tiré la carte du Chien, plusieurs questions se posent selon la situation qui vous a poussé à tirer les cartes.
1) Récemment, ai-je oublié que je devais d’abord respecter ma vérité personnelle ?
2) Est-il possible que les commérages et l’opinion des autres aient diminué ma fidélité à un certain ami ou à un certain groupe ?
3) Ai-je rejeté ou ignoré quelqu’un qui tente d’être un ami fidèle ?
4) Ai-je été fidèle et sincère face à mes buts ?
À L’ENVERS :
En position contraire, le Chien vous rappelle peut-être que vous êtes devenu trop critique,voire même méchant et que c’est dû aux gens que vous fréquentez. L’aspect contraire de cette médecine peut aussi vouloir dire qu’il est temps de cesser de trembler de peur et qu’il vaut mieux maintenant vous attaquer à tout ce qui mine votre confiance. La clé du succès, c’est de vous rendre compte que l’ennemi est à l’intérieur de vous : il s’agit de formes-pensées qui vous disent que vous n’êtes pas digne de fidélité – soit envers vous-même, soit envers les autres. Vous voudrez peut-être examiner les schémas d’infidélité dans votre vie. Par exemple, rapportez-vous les potins ? Évitez-vous de prendre la parole pour faire taire ou rectifier les propos de quelqu’un qui propage des rumeurs ? Faites-vous des farces qui abaissent les autres ? Refusez-vous de rendre des services ? Ces comportements sont caractéristiques de la peur, particulièrement d’une peur commune aux humains de la famille des bipèdes : la peur de ne pas faire partie du groupe ou de ne pas être approuvé.
Réappropriez-vous le pouvoir d’être fidèle à vous-même et à vos vérités. Devenez comme le Chien – votre meilleur ami.

Déposé par poutounou le 15/07/2016  
La télépathie entre animaux et humains j'y crois ! Sinon comment expliquer que votre chien attende derrière la barrière ou derrière la fenêtre, alors que vous êtes encore loin de votre maison, où qu'il tremble dans la voiture lorsque vous vous rendez chez le véto ???
*
Il était neuf heures du soir. Hervé, son dîner achevé, lisait tranquillement au coin de la cheminée où crépitait un joyeux feu de bois. Tout semblait calme. La nuit, dehors, imposait le poids de son silence aux bruits de la vie. Lucky, lui, vadrouillait dans les parages. Rituellement, à la tombée du jour, il se payait une promenade vespérale et digestive, levant ici un campagnol à la recherche d'insectes, effarouchant là un lapin sorti du terrier. Et, soudain, Hervé perçut, mentalement mais distinctement, les appels de désespoir de son chien. Aucun son, pourtant, ne passait les murs épais de la maison...
- Bon, j'ai rêvé, se dit-il. Et il reprit sa lecture.
Mais les appels se renouvelaient, devenaient pressants... Il se leva, enfila son manteau et sortit. Sans se poser l'ombre d'une question, il se dirigea droit vers le bois qui, à deux cents mètres, profilait sur le ciel la masse plus sombre de ses arbres.
- J'étais, me dit-il, comme guidé par un fil invisible et je marchais sans hésitation dans une direction qui m'était imposée.
Il pénétra profondément dans le bois et, dix minutes plus tard, les aboiements plaintifs de Lucky lui parvinrent pour la première fois. Il le trouva enfin. Le chien avait posé la patte sur un piège à mâchoire et, ne pouvant s'en dégager, il appelait son ami à son secours...
Hervé réussit à le libérer et les blessures que le piège avait occasionnées cicatrisèrent vite. Mais un fait s'imposait : c'est bien par la télépathie que Lucky avait alerté Hervé Grosjean.

Déposé par NathalieB le 14/07/2016  

Tu es arrivé un jour
Dehors il faisait déjà noir
Blotti au fond d’un panier
Encore tout effrayé
De ne plus sentir ta mère
Je t’ai pris contre moi
Tu tremblais encore d’effroi
Mon cœur s’est rempli d’amour
J’ai su que je t’aimerai toujours
Que tu allais être pour moi un être à part
Depuis ce jour tu ne me quittes plus
Ma solitude est révolue
Devant derrière ou à côté
Je me sens protégée
Tu n’es jamais bien loin
Çà fait des années
Que tu me suis comme mon ombre
Tu n’as plus la force de marcher
Dans tes yeux se profilent l’ombre
Du regret de me quitter
Je ne t’oublierai jamais
Tu as su réveiller mon cœur
Qui ne voulait plus aimer
Tu m’as donné tant d’amour
on se retrouvera un jour

Déposé par NathalieB le 13/07/2016  

Le BÂTARD et le CLOCHARD.
Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans,
Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps.
Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère,
Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère.
Tous les jours, tous les deux, on fait la manche,
Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche.
C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger,
Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer.
Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir,
Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir.
Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens,
Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants.
Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse,
Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse,
Condamnés que nous sommes à vivre de la quête,
Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête.
Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons,
D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion.
Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux
De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous.
Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple,
Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple,
Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite,
Prêts à se battre ou se haïr… pour réussir plus vite.
Alors, gens de bonnes manières, responsables civils,
Qui faites les beaux jours des villages et des villes,
N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard »,
Ce vilain chien, son seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard».

Déposé par NathalieB le 12/07/2016  

Maman, je ne veux plus te voir souvent pleurer.
Sèche tes larmes de douleur et apaise ton coeur,
N'aie plus contre ma mort cette dure rancoeur;
Mon âme est à présent dans la félicité.
De ce karma choisi, abrégeant mon enfance,
J'en acceptais l'épreuve, redoutant ta souffrance;
preuve déchirante pour nos évolutions
Oublies pour ton bonheur, dans notre humble maison,
Le cruel souvenir de ma jeune présence.
Je suis là près de toi, conscient et bien vivant,
Séparé par un voile, dans un tout autre monde
Que la lumière divine éblouit et inonde
Dans l'harmonie, l'amour, nous baignons hors du temps.
Je ne suis plus de chair et tu ne me vois plus.
Bien près de toi pourtant, par mon âme vibrante
Je te ressens fiévreuse, malheureuse et tremblante.
Si tu pouvais comprendre, comme tu serais émue !
Si tu pouvais savoir, comme changerait ta vie !
Mais, tu t'isoles en vain; tu souffres et tu supplies
Et ton chagrin t'égare; tu n'entends pas ma voix
Qui te crie avec force : "Maman écoutes moi,
Je ne t'ai pas quittée, crois-moi, je t'aime encore,
Tu n'es pas séparée de moi que tu adores."
"dans ce monde cruel où tu te désespères,
Saches que mon affection pour toi et pour mon père
Vous entoure tous deux avec force et prière"
Je demande à mon guide si généreux et si droit
De vous influencer pour prier avec moi,
Et d'avoir le courage de supporter l'épreuve
Jusqu'au jour où vos âmes auront enfin la preuve
D'une existence toute autre, mais qui n'est pas la vie
Telle que vous la concevez, mais celle des Esprits
Séparés de leurs corps qui redeviennent poussière.
Nous nous retrouverons et nous serons unis
Ensemble et pour longtemps dans ce monde invisible
Nous serons en osmose dans la joie indicible
La mort n'existe pas, je vous le certifie.
En attendant, sur terre resplendissez d'amour.
Donnez-vous tous la main et faites que chaque jour
Soit bien mis à profit pour évoluer vers Dieu.
La tendresse prodiguée entre vous me console
De m'être désincarné car tel est mon destin.
Ecoute petite mère, mes bien douces paroles,
Ecoute Maman chérie ce message serein
Plus tard, tu connaitras ce monde radieux.
En attendant souris, j'apaise ta souffrance.
Oui, je verse ce baume pour calmer ton chagrin,
Mais c'est la vérité, quoiqu'en pensent certains
Minés par la douleur dans leur triste ignorance
Mais ne veulent pas admettre les lois de survivance
Connues par tant de peuples dits moins évolués
Qui préparent en leur vie leur proche éternité.
Les cycles évolutifs sont lois de l'univers.
Comme succèdent à l'été, l'automne et puis l'hiver
Et le printemps revient et puis tout recommence
Après la vie, la mort et puis la renaissance
Pour gagner par degrés la Divine Lumière.

Déposé par NathalieB le 11/07/2016  

Si je suis le (la) premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !

Déposé par poutounou le 11/07/2016  
Encore une histoire qui nous démontre à quel point ils sont "indispensables", nos amours à 4 pattes....
*
Pétrus, un véritable chien héros
Nous avons vécu, l'automne dernier, un moment difficile qui, sans la présence de notre Fox Pétrus aurait pu être dramatique, voire même catastrophique. Dans la nuit du 6 au 7 octobre, nous sommes profondément endormis. Pétrus aboie, cela lui arrive rarement : il est respectueux du sommeil de ses maîtres et s'il se manifeste c'est qu'il y a quelque chose : présence de chats sur son territoire, passage et ou stationnement prolongé de véhicules devant la maison, bruits inhabituels...
*
Cette nuit -là donc Pétrus aboie. Comme chaque fois que cela se produit, je lui ordonne, depuis la chambre, de se coucher et de se taire, et les choses en restent là. Mais cette nuit-là il n'obéit pas et il continue à donner de la voix, moi à lui ordonner de se taire et de se coucher ; cependant il se manifeste d'une manière tellement impérieuse et inhabituelle que je me vois obligée de me lever.
*Arrivée dans l'entrée, je trouve notre chien qui m'ignore et qui cherche à sortir, je lui intime l'ordre de se coucher, il persiste dans sa demande de sortie. Avec le recul aujourd'hui, je réalise que j'aurais dû commencer à m'inquiéter. Mais dans les brumes du sommeil, je n'ai pensé qu'à faire taire Pétrus pour retrouver mon lit au plus tôt.
J'ai donc pris mon chien sous le bras et l'ai ramené autoritairement dans la cuisine dans son panier, et c'est à ce moment que j'ai compris le pourquoi des aboiements de Pétrus : par la fenêtre de la cuisine, j'ai vu notre garage en flammes.
*
Le temps de réveiller mon mari, d'appeler les pompiers, d'aller confier Pétrus aux voisins et déjà les flammes dépassaient le toit.
Le seul élément qui a souffert de l'incendie est le garage ; il est attenant à la maison par un auvent, celle-ci a juste eu les façades noircies. La chaleur y était telle que les murs ont éclaté. Il y avait à l'intérieur deux bouteilles de gaz qui, Dieu merci, n'ont pas explosé.
*
Tout ce qui se trouvait dans le garage a été totalement détruit : 2 voitures, salon de jardin, tondeuse, machinerie piscine, etc. Tout le monde est d'accord pour dire que nous devons beaucoup à Pétrus.
Sans lui, la maison aurait été gravement endommagée, nos bouteilles de gaz auraient pu provoquer des dégâts dans tout le quartier et serions-nous aujourd'hui là pour le raconter ? Comme disait Marie, la fille d'amis, après qu'on lui ait raconté ces événements: « On devrait tous avoir un chien ».
Et j'ajouterai : un Fox ! Depuis Pétrus a retrouvé ses habitudes : Farniente sur le canapé, chasse aux lézards, piscine avec les jeunes.

Déposé par NathalieB le 09/07/2016  

La mort d’un chien
Victor Hugo
Un groupe tout à l'heure était là sur la grève,
Regardant quelque chose à terre. - Un chien qui crève !
M'ont crié des enfants ; voilà tout ce que c'est. -
Et j'ai vu sous leurs pieds un vieux chien qui gisait.
L'océan lui jetait l'écume de ses lames.
- Voilà trois jours qu'il est ainsi, disaient des femmes,
On a beau lui parler, il n'ouvre pas les yeux.
- Son maître est un marin absent, disait un vieux.
Un pilote, passant la tête à sa fenêtre,
A repris : - Ce chien meurt de ne plus voir son maître.
Justement le bateau vient d'entrer dans le port ;
Le maître va venir, mais le chien sera mort.
- Je me suis arrêté près de la triste bête,
Qui, sourde, ne bougeant ni le corps ni la tête,
Les yeux fermés, semblait morte sur le pavé.
Comme le soir tombait, le maître est arrivé,
Vieux lui-même ; et, hâtant son pas que l'âge casse,
A murmuré le nom de son chien à voix basse.
Alors, rouvrant ses yeux pleins d'ombre, exténué,
Le chien a regardé son maître, a remué
Une dernière fois sa pauvre vieille queue,
Puis est mort.
C'était l'heure où, sous la voûte bleue,
Comme un flambeau qui sort d'un gouffre, Vénus luit ;
Et j'ai dit : D'où vient l'astre ? où va le chien ? ô nuit !

Déposé par NathalieB le 08/07/2016  

LE PARADIS DE NOS ANGES
Regardez, mais regardez donc là haut ! Oui levez les yeux !,
Ne le voyez-vous pas ce Paradis de nos Chers Animaux ?
Là ! Au-dessus de ce nuage dont la forme est un chien
Et à côté de celui-ci dont la forme est un chat !
Il est là ce Paradis !
Et puis si votre regard se coule vers la droite,
Il y a le coin des rongeurs :
Regardez, mais regardez donc !
Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche :
Là est le coin des chevaux, des ânes.
Vous le voyez n'est-ce-pas ?!
Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes
Ils sont là, Ils vivent ailleurs en pleine santé,
Dans de grands prés verts bien fleuris
Où coule la Source du Paradis, et,
Quand vient la nuit Ils allument pour nous
Les étoiles afin que nous ayons nous aussi
Cette lumière qui les entoure.
Le Paradis des Animaux : il est là !
Vous le voyez n'est-ce-pas ?

Déposé par poutounou le 07/07/2016  
Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide à poursuivre notre chemin malgré les durs moments de la vie...
*
L'habitude
*
La tranquille habitude aux mains silencieuses
Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ;
Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres
Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ;
*
Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre,
Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent,
Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent
Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ;
*
Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces,
Les insensibles mains de la lente Habitude,
Resserrent un peu plus l'étrange quiétude
Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ;
*
Et du même toucher dont elle endort la peine,
Du même frôlement délicat qui repasse
Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface,
Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine,
*
Les gestes, le sourire et le visage même
Dont la présence était divine et meurtrière ;
Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ;
La source des regrets devient voilée et blême.
*
A chaque heure apaisant la souffrance amollie,
Otant de leur éclat aux voluptés perdues,
Elle rapproche ainsi de ses mains assidues,
Le passé du présent, et les réconcilie ;
*
La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ;
La blessure adoucie et calme se referme ;
Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme,
Se sentent lentement changés en cicatrices ;
*
Et celui qui chérit sa sombre inquiétude.
Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute,
Plus que tous les tourments et les cris vous redoute,
Silencieuses mains de la lente Habitude.
*
Auguste ANGELLIER (1848-1911)

Déposé par NathalieB le 07/07/2016  

Sur ce chemin où je progresse incertain,
Qui me mène ,inexorable , vers un tragique destin .
Je me souviens des moments de bonheur,des jours heureux.
Où sans faillir jamais , j'ai veillé sur eux.
Toujours enjoué et débordant d' affection.
Ils étaient pour moi mes amis ma passion.
Hier ils m'ont oublié sur ce parking inconnu.
Ils sont partis, sans remords, sans tristesse retenue.
Je les ai bien attendu des heures durant.
Ne pas s'éloigner, rester sage et patient.
Vaine attente, épuisé, désemparé je vais sans but.
Affligé d'être ce qu'on appelle un chien perdu.
Quelle distance ai-je bien pu parcourir ?
L'énergie me manque, plus la force de courir.
Mais quelle est cette douleur qui soudain me tenaille?
Me blesse dans ma chair et mes entrailles.
Il ne m'a pas vu, et point ne s'arrête, je ne peux plus bouger.
A l'orée de ce bois, comment vont ils me retrouver ?
La souffrance doucement s'estompe, de mon corps je m'évade .
Une douce inertie m'envahit et de ce monde m'efface.
Triste destinée que de rendre son dernier soupir.
Loin de mes maîtres que ma vie j'ai passé à chérir.
Mes yeux se ferment, sous mes paupières, ultime image.
Deux humains sincères caressant un colley très sage.

Déposé par NathalieB le 06/07/2016  
.
............Vole vole mon ange a moi............
............Petit chien de mon amour.............
............Va t'en loin,va t'en serein.............
............Qu'ici rien ne te retient..............
............Rejoins le paradis des anges................
............Laisse-nous laisse la terre................
............Quitte manteau de misère...............
............Change d'univers................
.
............Vole vole mon ange a moi...............
............Vole Petit ange.........
............Quitte ton corps et nous laisse...............
............Qu'enfin ta souffrance cesse...............
............Va rejoindre l'autre rive............
.
............Vole vole petit trésor.................
............Puisque rien ne te soulage.............
............Vole à ton dernier voyage..................
............Lâche tes heures épuisées............
............Vole,vole tu l'as pas volé..............
............Deviens souffle,sois un ange.............
..............Pour t'envoler.............
.
.............Vole,vole mon ange a moi............
.............Vole petit ange..........
.............Quitte ta peau de misère........
.............Va retrouver la lumière.........
.............Je ne t'oublierai jamais.............
.............Nous ne t oublierons jamais.............
.
...............REPOSE EN PAIX PETIT ANGE................
.
.................AMITIÉ A MAMAN.............
.

Déposé par NathalieB le 05/07/2016  

Pas étonnant que le chien soit le meilleur ami de l'homme. Sa loyauté, son intelligence, son dévouement et son affection sont incroyablement gratifiants. Il n'y a rien de mieux qu'une longue marche avec son compagnon, voir la joie de son chien lorsqu'on l'emmène jouer au parc, ou simplement se reposer à la maison en compagnie l'un de l'autre. Et bien sûr, pour tout l'amour que vous exprimez à un chien, il vous le rend dix fois.
Des études récentes ont montré que ceux d'entre nous qui ont un animal de compagnie sont généralement en meilleure santé et plus heureux que ceux qui n'en ont pas. Mais pourquoi le chien est-il un animal de compagnie idéal ?
Promener son chien régulièrement entretient la forme physique.
Promener son chien augmente l'interaction sociale : beaucoup de personnes se lient d'amitié avec les propriétaires de chiens qu'ils rencontrent régulièrement.
La marche à pied aide à oublier le stress et les tensions de la vie quotidienne et offre un moment précieux à l'extérieur : l'occasion de laisser tout derrière soi et de passer du temps avec un compagnon fidèle.
Les chiens nous donnent un sens du bien-être émotionnel grâce à l'amour inconditionnel qu'ils nous portent.
Les propriétaires de chiens ont généralement un système immunitaire plus solide, ce qui les aide à se tenir à l'écart des maladies.
Le fait de posséder un chien aide les gens à se remettre d'un traumatisme personnel, tel que le deuil.
Les propriétaires de chiens ont généralement une pression artérielle moins élevée que les autres.
Les propriétaires de chiens se remettent souvent plus rapidement des maladies et présentent un taux de survie plus élevé après un infarctus.
Les enfants possédant des chiens manquent moins souvent l'école pour cause de maladie.
Par ailleurs, plus encore que tous ces avantages non négligeables, les chiens représentent tout simplement une grande source d'amusement. Ils peuvent vous faire rire, en particulier lorsque vous avez passé une très mauvaise journée, et ils sont toujours là pour vous réconforter par un câlin lorsque vous en avez besoin. Rien ne peut mieux vous remonter le moral que de voir votre chien tenir sa laisse avec espoir, sa queue battant fortement, les yeux brillants d'excitation pour sa première promenade de la journée.

Déposé par NathalieB le 04/07/2016  

Quand l'Homme n'a plus d'amis, qu'il est renié par les uns, calomnié par les autres, délaissé par ses proches, détesté quelques fois par ses propres amis, dans ce dédale de faux sentiments et bien souvent de vie devenue quasi virtuelle, il reste à l'Homme un être plein de chaleur, plein de tendresse, de joie de vivre et d'amour pour lui : son chien. Le chien rarement ne délaisse de son gré son ami, son maître ou sa famille. Le chien non plus jamais ne reniera ou n'abandonnera - s'il reçoit le minimum d'amour - ceux qui l'ont un jour adopté. Il ira même jusqu'à donner sa vie, parfois, pour ceux-ci. Et cela, sans la moindre hésitation.
Sujets : Joliette
Le chien, jamais, ne parlera dans votre dos. Il fera même en sorte, par toutes ses manifestations joyeuses, que tout le monde sache que vous l'aimez. Même bafoué, il vous lèchera encore la main. Vous pouvez constater son amour pour vous, chaque jour, juste en regardant la joie dans ses iris joyeux lorsque vous rentrez à la maison, à sa queue qui fend l'air énergiquement quand vous l'amenez en promenade, à son excitation quand vous décidez de l'amener en voiture avec vous, pour aller faire les courses. Le chien ne veut pas partir courrir le monde, encore moins aller au bout du monde. Non. Car le MONDE pour lui, c'est VOUS. Et seule compte, à ses yeux, votre PRÉSENCE. Le chien n'a rien d'une tortue, d'un boa ou d'un poisson rouge. Or donc, le chien laissé à lui-même s'ennuie en votre absence, il pense à vous, il vous espère, il vous attend. Il sait que vous rentrerez, que vous finirez bien par arriver et il guette. Il guette le bruit des pneus de la voiture dans l'allée, il entend une feuille qui bouge ou le moindre bruit de vos pas sur le seuil ou dans l'escalier; il écoute - et encore plus - il espère la clé dans la porte, la voix familière. Bref : il attend LE signe qui annonce votre arrivée.
Le chien aime, pense, ressent, autant que les humains. Peut-être même plus que les humains. Mais il est encore assez sage, quand il est en détresse ou si vous tardez trop, pour ne pas vous faire le moindre reproche. Tout au plus se limitera-t-il à émettre un petit gémissement de plaisir, que de vous voir enfin revenir ! Car le chien ne peut pas cacher ses sentiments : il ne fait pas partie des humains... Et ce chien-là, laissé trop longtemps à lui-même, sans savoir ce qui vous arrive ni pourquoi vous ne revenez pas, pleure en silence. Il pleure dans une trop longue attente de vous-mêmes. Pourquoi ? Parce qu'IL VOUS AIME, et qu'il tient vraiment à vous. Et ces chiens, trop souvent abandonnés à eux-mêmes, me tirent les larmes aussi. Car le meilleur ami de l'Homme n'a certes pas été créé ni pour vivre seul ni pour devenir à vie, gardien de fond de cour...
À chaque Noël qui vient, je fais le même souhait : je prie que tous ceux qui n'ont PAS VRAIMENT LE TEMPS de caresser, de parler ou d'accorder le minimum de temps à leur véritable (peut-être seul sincère) compagnon ainsi qu'à ceux qui promettent d'acheter aux enfants qui insistent, sans savoir à quel engagement on se doit d'obéir quand on décide d'acquérir un chien, d'acheter plutôt des chats ou des toutous de peluche, ou encore de plâtre...
Car ceux-là ne souffriront pas, pendant des heures, tout esseulés qu'ils seraient, en vous attendant...

Déposé par poutounou le 03/07/2016  
Il y a des jours comme ça…
*
Il y a des jours comme ça,
Des jours où ça ne va pas.
Des jours où on aimerait
Serrer notre Ange contre soi.
Lui murmurer des mots doux,
Lui faire des câlinous tout partout
Il y a des jours comme ça…
Depuis qu’il n’est plus là.

Déposé par NathalieB le 03/07/2016  

TEXTE LONG MAIS A LIRE !
Journal d'un chien (âme sensible s'abstenir)
Le journal d'un chien:
Semaine 1: Ca fait aujourd'hui une semaine que je suis né,quel bonheur d'être arrivé dans ce monde!
Mois 01: Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire.
Mois 02: Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait.
Mois 04: J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer.
Mois 05: Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que j'ai fait "pipi" à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas!
Mois 12: Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent être fiers de moi !
Mois 13: Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mâchoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils étaient furieux et ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe.
Mois 15: Plus rien n'est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens très seul, ma famille ne m'aime plus. Ils oublient parfois que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter.
Mois 16: Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Écoutez, attendez !" Vous... vous m'oubliez. J'ai courru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié.
Mois 17: J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre.
Mois 18: L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m'a abîmé l'oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci.
Mois 19: Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j'étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé. J'ai perdu mon œil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre.
Mois 20: Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrières ne réagissent plus et je me suis difficilement tiré vers un peu d'herbe au bord de la route.
Mois 21: Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent "ne t'approche pas". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m'a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t'ont laissé"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances". La gentille dame s'est mise à pleurer et a approuvé.
Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la remerciant de m'aider à trouver enfin le repos.
Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me voulait.
Voici une chose réelle qui vas encore se produire cette année, se texte est assez dur, faites un copier collé et le mettez le sur votre forum, et a ces gens là, je dit merci! ( moi je l'est fait)
La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer. Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés.
S'il vous plais faites un copier coller de cette article sur votre forum, si vous ne le faite pas c'est que vous n'avez pas de cœur,je sais que ce texte est dur, mais faite un effort, car eux en font tous les jours au près DE TOI

Déposé par nanou1955 le 02/07/2016  
Pensées à ma TAMIA d'amour depuis les vacances dans le Sud. Nous sommes dans la maison où tu es venue avec nous au printemps 2009 : je repense à tous ces jours heureux.
Tes petites sœurs sont restées "au frais" en Bourgogne : elles sont adorables mais ne te remplaçeront jamais.
Doux repos mon petit ange.

Déposé par NathalieB le 02/07/2016  

"J’ose ce soir t’adresser cette lettre, à toi qui ne sauras ni lire ni comprendre les mots qui la composent.
Lorsque ton regard plonge dans mes yeux, je sais que tu ressens un autre langage… Celui de notre union, du lien que nous avons tissé jour après jour, dans cette relation unique d’un maître et de son chien.
Je t’ai appris quelques mots de ma langue, et toi, tu m’as appris bien plus dans tes silences. Chaque jour, ta dévotion à mon égard, ton investissement par la joie, ton envie de me combler, ta motivation à me faire plaisir témoignent d’une capacité que beaucoup de mon espèce ont perdue …un altruisme à toute épreuve. Que je sois de mon coté enchantée ou fatiguée, à l’écoute ou dans ma bulle, affectueuse ou agacée, tu restes fidèle à toi même. Je te remercie durant cette dernière année, d’avoir été cet être présent et attentif.
Je me suis appliquée à te dorloter également, à m’occuper de toi ; de ta santé, toi qui ne te plains jamais, de ta croissance, toi qui ne t’en rends pas compte, de ton éducation, toi qui es destinée à la plus noble des tâches. Celle d’accompagner une personne fragilisée dans la société que nous avons créée.
La plupart d’entre nous pensent que le nombre de personnes handicapées constitue une minorité. Or l’enquète Handicap-Incapacités-Dépendances réalisé par l’INSEE, met en évidence un nombre actuel de personnes handicapées en France avoisinant les 12 millions. Pas si minoritaire, donc…Mais nous ne les croisons pas si souvent parce que notre infrastructure ou nos systèmes d’accès limitent leur mobilité.
Nous autres, personnes valides, ignorons trop souvent les privilèges que nous avons mis en place. Privilège d’accès à la poste, dans le train, au travail ; privilège de déplacement en ville, privilège de possibilité d’activités sportives ou culturelles… privilège d’aménagement, tout simplement. Nous avons créé un environnement hostile et souvent inaccessible pour certains.
Je sais Ekinis, que tu sauras amoindrir cet obstacle existant, que tu sauras autoriser une personne à mobilité réduite à accéder davantage à son droit le plus élémentaire, celui d’être parmi nous, actif et présent...
L’autonomie que tu lui apporteras, le contact que tu permettras entre lui et les autres changeront sa vie. J’en suis certaine, car grâce à toi, ma vie a changé. En tant que famille d’accueil, mon rôle était de te "sociabiliser"… Sais-tu seulement que c’est toi qui m’as sociabilisée ? _ Avant de te sortir au petit matin, je ne connaissais pas la femme de ménage de mon immeuble, car elle travaille à un horaire différent de mon départ. Depuis, nous échangeons régulièrement quelques mots.
Je ne connaissais pas non plus la dame âgée assise sur ce banc, ni le petit garçon qui va dans le parc régulièrement, ni la dame de l’accueil sur le parking des bus, ou ce marchand qui sort de son magasin dès qu’il te voit passer. Je ne connaissais pas les sourires de tant de personnes lorsque je fais mon marché, les discussions échangées avant de traverser la rue, ces liens tissés auprès des gens de mon quartier, ces amitiés possibles avec d’autres qui promènent leur chien. Alors, oui, je sais que ton futur maître, grâce à toi, aura infiniment plus d’occasions d’être en communication avec son entourage ; je sais que le fauteuil ou le handicap ne feront plus barrière, car tu seras là pour créer un pont.
Nous avons pris soin l’une de l’autre ces derniers mois, et aujourd’hui, nous devons nous séparer. Mais je ne te perds pas. Lorsque quelque chose de vrai est échangé, on le garde pour toujours. Un peu de moi t’a construite et un peu de toi m’a ouvert des portes ; l’avenir sans toi sera nécessairement un avenir grâce à toi et je t’en remercie.
Réciproquement, ton avenir sans moi est un avenir grâce à moi, et j’en éprouve une profonde fierté, beaucoup de joie et un sentiment d’apaisement.
Notre chemin initial a été tracé parce qu’il avait un sens, notre séparation fait partie d’un processus d’union, entre toi et celui qui te choisira demain. J’ai si souvent lu au fond de tes yeux que tu le choisiras aussi lorsque vos regards se croiseront, que je te quitte sereine, ce soir, avec émotion et bienveillance, car ton histoire ne fait que commencer.
Tendrement.",




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"tes 2 petites soeurs"
tu ne les as pas connues - photo du 03/08/2016
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LOUNA et LAURIE
tes 2 petites soeurs arrivées cet automne
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nos deux Amours. Toutes deux hélas réunies !
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Merci à Nathalie
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Merci à Nathalie
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Merci à Nathalie
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Merci à Nathalie
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je pose, c'est moi la star !
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je fais la sieste !
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NOEL 2011
j'ai mis mon petit noeud rouge
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je monte la garde !
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je fais encore la sieste
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"les rois" - 01/2013
j'ai même eu droit à des miettes de galette !
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toujours sur le lit de mes maîtres !
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sur le lit de mes maîtres ! j'adore !
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sur les genoux de mon maître, je domine la situation !
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En 2007
je suis coquette !
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