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Déposé par poutounou le 19/01/2022  
Qu'il est beau ce petit poĂšme !!!
*
La veilleuse du souvenir s'allume au fond de mes pensées...
*
Nocturne
*
Le ciel s'Ă©teint, tout va dormir
Je songe à des choses passées ;
C'est Ă  la fois peine et plaisir.
La veilleuse du souvenir
S'allume au fond de mes pensées.
*
J'entends des pas, j'entends des voix,
Des pas furtifs, des voix lointaines
C'est peine et plaisir Ă  la fois.
On dirait le frisson des bois
Sur le coeur tremblant des fontaines.
*
Des formes traversent la nuit,
Formes noires et formes blanches...
OĂč vont-ils et qui les conduit,
Ces passants qui passent sans bruit,
Comme la lune entre les branches ?
*
Le vent d'une ombre m'a frÎlé...
FantĂŽme d'enfant ou de femme ou de chien ?
Sur la veilleuse il a soufflé
Quelque chose d'inconsolé
S'est mis Ă  pleurer dans mon Ăąme.
*
Anatole LE BRAZ (1859-1926)

Déposé par poutounou le 16/01/2022  
Moi j'ai des tas de souvenirs avec une "belle gueule" et j'aime toujours, peut-ĂȘtre diffĂ©remment, mais j'aime toujours....
*
Avec Le Temps
*
Avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie le visage et l'on oublie la voix
le cƓur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
chercher plus loin, faut laisser faire et c'est trĂšs bien
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
l'autre qu'on devinait au détour d'un regard
entre les mots, entre les lignes et sous le fard
d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
avec le temps tout s'Ă©vanouit
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
mĂȘm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules
Ă  la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort
le samedi soir quand la tendresse s'en va tout' seule
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre Ă  qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien
l'autre Ă  qui l'on donnait du vent et des bijoux
pour qui l'on eût vendu son ùme pour quelques sous
devant quoi l'on s'traĂźnait comme traĂźnent les chiens
avec le temps, va, tout va bien
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie les passions et l'on oublie les voix
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
*
avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
et l'on se sent tout seul peut-ĂȘtre mais peinard
et l'on se sent floué par les années perdues
Alors vraiment avec le temps on n'aime plus

*
Il ne faut jamais cesser d’aimer. On peut aimer n’importe quoi, n’importe qui ! Cesser d’aimer c’est mourir
 !!!

Déposé par poutounou le 12/01/2022  
Il est vrai qu’avec nos « trĂ©sors », nous vivons si beau, si fort, que nous en oublions le temps qui passe
 HĂ©las !
*
Extrait de la chanson « Encore un soir » de Céline Dion
*
Quand on vit trop beau, trop fort, on en oublie le temps qui passe
Comme on perd un peu le nord au milieu de trop vastes espaces
À peine le temps de s'y faire, à peine on doit laisser la place
Oh si je pouvais
*
Encore un soir, encore une heure
Encore une larme de bonheur
Une faveur, comme une fleur
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards
Juste un report, Ă  peine encore, mĂȘme s'il est tard
*
Y en a tant qui tuent le temps, tant et tant qui le perdent ou le passent
Tant qui se mentent, inventent en les rĂȘvant des instants de grĂące
Oh je donne ma place au paradis, si l'on m'oublie sur Terre
Encore hier
*
Encore un soir, encore une heure
Encore une larme de bonheur
Une faveur, comme une fleur
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien du tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards
Juste un report, Ă  peine encore, je sais, il est tard

Déposé par poutounou le 09/01/2022  
A quel beau songe Ă©vanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange...
*
Pensée perdue
*
Elle est si douce, la pensée,
Qu'il faut, pour en sentir l'attrait,
D'une vision commencée
S'Ă©veiller tout Ă  coup distrait.
*
Le coeur dépouillé la réclame ;
Il ne la fait point revenir,
Et cependant elle est dans l'Ăąme,
Et l'on mourrait pour la finir.
*
A quoi pensais-je tout Ă  l'heure ?
A quel beau songe Ă©vanoui
Dois-je les larmes que je pleure ?
Il m'a laissé tout ébloui.
*
Et ce bonheur d'une seconde,
Nul effort ne me l'a rendu ;
Je n'ai goûté de joie au monde
Qu'en rĂȘve, et mon rĂȘve est perdu.
*
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)
*
Un petit coucou Ă  Bruno, notre webmaster, qui nous a gentiment souhaitĂ© une bonne annĂ©e 2022 sur le forum. Merci pour tout ce que vous faites, pour nous rendre la « navigation » sur ce merveilleux site, la plus agrĂ©able possible


Déposé par poutounou le 05/01/2022  
Tu es tout ça, mon Ange...
*
À mon Ange,
*
Tu es mon palais, mon soir et mon automne,
Et ma voile de soie et mon jardin de lys,
Ma cassolette d’or et ma blanche colonne,
Mon parc et mon Ă©tang de roseaux et d’iris.
*
Tu es mes parfums d’ambre et de miel, ma palme
Mes feuillages, mes chants de cigales dans l’air,
Ma neige qui se meurt d’ĂȘtre hautaine et calme,
Et mes algues et mes paysages de mer.
*
Et tu es ma cloche au sanglot monotone,
Mon üle fraüche et ma secourable oasis 

Tu es mon palais, mon soir et mon automne,
Et ma voile de soie et mon jardin de lys.
*
RenĂ©e Vivien ("À l’heure des mains jointes", Ă©ditions Alphonse Lemerre,1906)

Déposé par choupinou le 04/01/2022  
A toi qui me manque
J'aimerai que le Paradis soit doté d'un petit espace,
d'une petite vitre, pour pouvoir te voir a nouveau.
Je pense a toi aujourd'hui en ce jour anniversaire,
J'ai pensée a toi hier et le jour d'avant.
Tu es dans mes pensées chaque jour ,5 secondes ou plus longtemps;
Oui tu es lĂ , je pense a toi en silence, au plus profond de mon Ame.
Je mentionne souvent ton prénom :TCHADO , mon bel Amour.
Tout ce que je possÚde sont les mémoires , un collier, un couffin,
un joujou ... et des photos ... dans un cadre ,un album ...
C'est ce qui me reste de toi, que je garde précieusement ...
Dieu t'a ... dans ses bras, moi je t'ai dans mon coeur ...
Attend moi et un jour c'est moi qui te serrerai contre moi,
Oui comme avant, on se retrouvera ... veille sur moi,
Comme Dieu te protĂšge dans son merveilleux jardin d'amour ...

Déposé par poutounou le 01/01/2022  
Coucou mamans et papas de cƓur,
*
Je trouve le « poĂšme » ci-dessous trĂšs « vrai » ! VoilĂ  tout ce qu’on devrait dire ou se dire pour l’annĂ©e 2022 Ă  venir. J’aimerais ajouter que je vous souhaite, de tout cƓur, que tous vos « petits » problĂšmes de santĂ© ne soient plus qu’un mauvais souvenir. Sans la santĂ©, rien ne va comme il faut
 !!! Alors, « Bonne SantĂ© » Ă  vous tous pour l’annĂ©e Ă  venir
 et je fais un tout gros « poutounou » chaud et sucrĂ© Ă  votre ou vos Anges du Paradis blanc
Qu’ils continuent de venir nous rendre visite dans nos rĂȘves
 Ca fait Ă©normĂ©ment de bien
 !!!
*
En toute amitié,
*
Martine, Rubens et Diesel. J’ajoute Iron, le diablotin, qui est toujours et encore Ă  mes cĂŽtĂ©s.
*
Dire « oui » au bonheur
Dire « non » à la mauvaise humeur,
Dire « peut ĂȘtre » Ă  l’avenir,
Dire « je ne t’oublie pas » aux souvenirs,
Dire « adieu » au stress,
Dire « pourquoi pas » à la paresse,
Dire « j’ai compris » aux erreurs,
Dire « plus jamais » aux jugements de valeur,
Dire « pardon » à la peine,
Dire « bye bye » à la haine,
Dire « heureusement que tu es lĂ  » Ă  l’humour,
Dire « pour toujours » Ă  l’amour,
Dire « reste lĂ  » Ă  l’envie,
Dire « je t’aime » Ă  la vie !

Déposé par poutounou le 30/12/2021  
Les yeux qu'on ferme voient encore...avec leur Ăąme !
*
Les yeux
*
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lĂšve encore.
*
Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre ;
Les Ă©toiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d'ombre.
*
Oh ! qu'ils aient perdu le regard,
Non, non, cela n'est pas possible !
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu'on nomme l'invisible ;
*
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent :
*
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Ouverts Ă  quelque immense aurore,
De l'autre cÎté des tombeaux
Les yeux qu'on ferme voient encore.
*
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)

Déposé par poutounou le 25/12/2021  
Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? Avant tout : aimer, aimer fort et donner, donner beaucoup. Mais « aimer » c’est dĂ©jĂ  donner
 !!! On ne donne pas que de l’argent, on peut donner de la joie, de son temps, de l’Amour bien sĂ»r, de la tendresse, beaucoup de tendresse, etc
 C’est tellement bon de donner et ça fait tellement de bien. On se sent tellement mieux aprĂšs avoir donné  En ce 25 dĂ©cembre, jour de NoĂ«l, une petite pensĂ©e pour tous ceux qui luttent pour leur survie, ceux qui ont faim, ceux qui sont seuls et tristes, ceux qui ne savent pas ce qu’est un « cadeau » de NoĂ«l ou autre...Je n’oublie pas nos amis les bĂȘtes, qui n’ont rien demandĂ© Ă  personne et se retrouvent maltraitĂ©s, abandonnĂ©s ou pire
 Il y a tant de malheureux sur cette terre et il y a tant Ă  faire
Par oĂč commencer ??? Peut-ĂȘtre par nous poser les bonnes questions, du style « Quels sont les gros cailloux de notre vie ? » 
*
Gros cailloux
*
Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matiÚre".
Debout, devant ce groupe d'Ă©lite (qui Ă©tait prĂȘt Ă  noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons rĂ©aliser une expĂ©rience".
De dessous la table qui le séparait de ses élÚves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu prÚs gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élÚves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légÚrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrÚrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élÚves commençaient à comprendre son manÚge. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudiÚre de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élÚves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élÚves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".
Pas fou, le plus audacieux des Ă©lĂšves, songeant au sujet de ce cours, rĂ©pondit : "Cela dĂ©montre que mĂȘme lorsque l'on croit que notre agenda est complĂštement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses Ă  faire".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santĂ© ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "RĂ©aliser vos rĂȘves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "DĂ©fendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?".
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser Ă  vous-mĂȘme la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)".
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 23/12/2021  
Le manifeste de la gentillesse
*
Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur.
La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable.
La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain.
*
POUR
En finir avec le chacun pour soi
Refuser le cynisme ambiant
Déjouer l'agressivité quotidienne
Dire non à l'indifférence
Choisir d'ĂȘtre plus attentif aux autres
Mettre de l'harmonie dans mes relations
Etre altruiste et bienveillant
*
JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR,
AVEC DES MILLIERS D'AUTRES,
UN MONDE PLUS HUMAIN

Déposé par poutounou le 19/12/2021  
C'est beau le silence mon Ange ! Il te dira combien je t'aime...
*
Le silence ... (extrait)
*
Silence ... silence ...
Sur les cimes, dans les vallées,
Sur la neige immaculée,
Dans les parcs, dans les plaines ...
Le monde retient son haleine.
*
Les ruisseaux ne murmurent plus
Comme dans les caves,
Comme dans les vignes
C'est le silence, c'est le silence
*
Le ciel se tait ...
Le vent se tait
Comme si c'était un jour d'été ...
C'est le silence, c'est le silence
Mais ceci n'est
Qu'une apparence! ...
Interroge-le !
Est-il muet ?
Ecoute-le bien
Entends-le bien
*
Il te dira combien je t'aime
*
Sous ma poitrine mon coeur se tait
De nostalgie et d'espérance ...
Dans le bonheur, dans la souffrance
Le mot sublime est le silence,
C'est le silence, c'est le silence,
C'est l'ivresse de l'espérance ! ...
*
Kamuran Aali Bedir Khan ("La Lyre kurde" - Librairie Saint-Germain-des-Prés, 1973)

Déposé par poutounou le 12/12/2021  
Un magnifique lac comme au Paradis blanc....
*
J'ai pour toi un lac
*
J'ai pour toi un lac quelque part au monde
Un beau lac tout bleu
Comme un Ɠil ouvert sur la nuit profonde
Un cristal frileux
Qui tremble Ă  ton nom comme tremble feuille
À brise d'automne et chanson d'hiver
S'y mire le temps, s'y meurent et s'y cueillent
Mes jours Ă  l'endroit, mes nuits Ă  l'envers.
*
J'ai pour toi, trĂšs loin
Une promenade sur un sable doux
Des milliers de pas sans bruits, sans parade
Vers on ne sait oĂč
Et les doigts du vent des saisons entiĂšres
Y ont dessiné comme sur nos fronts
Les vagues du jour fendues des croisiĂšres
Des beaux naufragés que nous y ferons.
*
J'ai pour toi défait
Mais refait sans cesse les mille chĂąteaux
D'un nuage ami qui pour mon Ange
Se ferait bateau
Se ferait pommier, se ferait couronne
Se ferait panier plein de fruits vermeils
Et moi je serai celui qui te donne
La Terre et la Lune avec le soleil.
*
J'ai pour toi l'amour quelque part au monde
Ne le laisse pas se perdre Ă  la ronde.
*
Gilles Vigneault

Déposé par poutounou le 05/12/2021  
Vous ĂȘtes notre lumiĂšre, doux Anges, et vous Ă©clairez notre chemin de vie

*
Tout en haut des cimes
*
Tout en haut des cimes,
Vivent nos espoirs,
RĂ©side notre optimisme,
Se trouve la lumiĂšre.
*
Tout en haut des cimes,
Comme des nuages de passage,
Notre vie traverse cet abĂźme,
À la recherche de la lumiùre.
*
Tout en haut des cimes,
Nos yeux s’y tournent,
Pour prier, pour espérer,
Pour chercher la lumiĂšre.
*
Tout en haut des cimes,
Il nous faut y atteindre,
Sans jamais douter d’y parvenir,
L’ombre mĂȘme de la lumiĂšre.
*
Et quand les montagnes,
S’en iront comme des nuages,
Et quand les montagnes,
Laisseront passer la lumiĂšre.
*
Enfin, nous y serons parvenus,
Tout en haut des cimes.
*
Nashmia Noormohamed, 2015

Déposé par poutounou le 28/11/2021  
Il y a tant de beaux mots dans la langue française
..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges

*
Les mots qui font vivre
*
Il y a des mots qui font vivre
Et ce sont des mots innocents
Le mot chaleur et le mot confiance
Amour, justice et le mot liberté
Le mot enfant et le mot gentillesse
Et certains noms de fleurs et
Certains noms de fruits
Le mot courage et le mot découvrir
Et le mot frĂšre et le mot camarade
Et certains noms de pays, de villages
Et certains noms de femmes et d'amis.
*
Paul Eluard ( 1895-1952)

Déposé par poutounou le 21/11/2021  
Je te donnerai...mon bel Ange ! Avec mon coeur qu’il faudra prùs du tien garder...
*
Le présent
*
Si tu veux je te donnerai
Mon matin, mon matin gai
Avec tous mes clairs cheveux
Que tu aimes ;
Mes yeux verts
Et dorés.
Si tu veux,
Je te donnerai tout le bruit
Qui se fait
Quand le matin s'Ă©veille
Au soleil
Et l'eau qui coule
Dans la fontaine
Tout auprĂšs !
Et puis encor le soir qui viendra vite
Le soir de mon Ăąme triste
À pleurer
Et mes mains toutes petites
Avec mon coeur qu'il faudra prĂšs du tien
Garder.
*
Marie Laurencin ("PoĂšmes" - Bernouard Ă©diteur, 1926)

Déposé par poutounou le 14/11/2021  
Dans la vie il y a plein de « petits riens » qui nous font tant de bien
..
*
DES PETITS RIENS
*
Les petits riens qui font les grands moments
Qui vont qui viennent, quand ils ont le temps
Les atomes de vie qu'on attrape en rĂȘvant
*
Ces petits riens ont tous quelque chose
Quelque chose en commun qui nous métamorphose
Ces Ă©clairs de vie qui courent entre les choses
*
Saurions-nous les retrouver ?
Voudrais-tu les partager ?
Ces moments de vérité
*
Les petits détails qui ne paient pas de mine
Les petits bouts de gestes qui soudain illuminent
Un souffle entre les mots, un rire qui culmine
*
Ces petits riens qui font nos grands moments
Ils vont ils viennent ils prennent tout leur temps
Et plus on les désire, plus on les attend.
*
Boris

Déposé par poutounou le 07/11/2021  
Que c'est beau ! N’écris pas mon Ange
n’écris pas !!!
*
N'Ă©cris pas
*
N'Ă©cris pas, je suis triste, et je voudrais m'Ă©teindre
Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau
J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre,
Et frapper Ă  mon coeur, c'est frapper au tombeau
N'Ă©cris pas !
*
N'Ă©cris pas, n'apprenons qu'Ă  mourir Ă  nous-mĂȘmes
Ne demande qu'Ă  Dieu ... qu'Ă  toi, si je t'aimais !
Au fond de ton absence Ă©couter que tu m'aimes,
C'est entendre le ciel sans y monter jamais
N'Ă©cris pas !
*
N'écris pas, je te crains ; j'ai peur de ma mémoire;
Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent
Ne montre pas l'eau vive Ă  qui ne peut la boire
Une chĂšre Ă©criture est un portrait vivant
N'Ă©cris pas !
*
Marceline Desbordes-Valmore ("Poésies inédites")

Déposé par poutounou le 31/10/2021  
Souffrons en silence !
*
Vous parler ?
*
Vous parler ? Non. Je ne peux pas.
Je préfÚre souffrir comme une plante,
Comme l'oiseau qui ne dit rien sur le tilleul.
Ils attendent. C'est bien. Puisqu'ils ne sont pas las d'attendre,
J'attendrai, de cette mĂȘme attente.
*
Ils souffrent seuls. On doit apprendre Ă  souffrir seul.
Je ne veux pas d'indiffĂ©rents prĂȘts Ă  sourire
Ni d'amis gémissants. Que nul ne vienne.
*
La plante ne dit rien. L'oiseau se tait. Que dire ?
Cette douleur est seule au monde, quoi qu'on veuille.
Elle n'est pas celle des autres, c'est la mienne.
*
Une feuille a son mal qu'ignore l'autre feuille,
Et le mal de l'oiseau, l'autre oiseau n'en sait rien.
*
On ne sait pas. On ne sait pas. Qui se ressemble ?
Et se ressemblĂąt-on, qu'importe. Il me convient
De n'entendre ce soir nulle parole vaine.
*
J'attends, comme le font derriĂšre la fenĂȘtre
Le vieil arbre sans geste et le pinson muet ...
Une goutte d'eau pure, un peu de vent, qui sait ?
Qu'attendent-ils ? Nous l'attendrons ensemble.
Le soleil leur a dit qu'il reviendrait, peut-ĂȘtre ...
*
Sabine Sicaud ("Douleur, je vous déteste" et "Les PoÚmes de Sabine Sicaud" - éditions Stock, 1958)

Déposé par poutounou le 24/10/2021  
Une pensĂ©e Ă©mue pour Marc qui vient de “perdre” son petit Philou adorĂ©. Une fleur, un message, une bougie ou un poĂšme lui ferait le plus grand bien
 De tout Coeur avec vous dans ces moments trĂšs difficiles, trĂšs douloureuses, Marc

*
J’ai trouvĂ© mon Paradis avec toi mon Ange !!!
*
Mon Paradis
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
En quĂȘte d’une Ăźle dĂ©serte, d’une planĂšte inconnue,
D’une terre vierge, encore inexplorĂ©e et nue,
D’un petit coin d’univers, hors du temps, hors d’ici.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Je voulais un peu de paix, pour mon cƓur fatiguĂ©.
Je voulais fuir les querelles et tout recommencer,
Sur la terre originelle, renaütre de l’oubli.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel.
Je l’imagine aussi pur que sa couleur pastelle,
Vestige de beautĂ© d’une nature si meurtrie.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Comme une lueur d’espoir apaisant la souffrance,
Et quand bien mĂȘme un mensonge, pour nier l’évidence,
D’avoir la peur pour compagne d’une vie sans rĂ©pit.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard,
Et mon destin, soudain, s’est jouĂ© au grĂ© du hasard.
C’est là, aux frontiùres de ton cƓur, qu’alors j’ai compris.
*
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
*
Mais il n’existe ni asile, ni mythe fantastique.
Il n’y a que l’Amour pour faire le monde magnifique.
Et ton Amour pour moi a donné sens à ma vie.
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Quelque part, dans ce monde, j’ai trouvĂ© mon Paradis.

Déposé par poutounou le 17/10/2021  
Quel magnifique mot : la « tolérance ». Soyons tolérants les uns envers les autres. Profitons de notre beau cimetiÚre virtuel pour nous envoyer des fleurs, de beaux messages, des poÚmes et des bougies...
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L'arbre de la tolérance
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Pour toi, bel Ange

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Quels mots veux-tu que j'apprivoise pour toi aujourd'hui ?
Pendre, prendre, prétendre
Ils sont bien trop enferrés aux boulets de la vanité
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Prévaloir, pouvoir, avoir
Ceux-ci vivent leur deuil
Au fond des prisons d'orgueil
*
Imposer, condamner, spéculer
Tous sont opprimés
Dans les étaux de la cupidité
*
Pour toi j'apprivoiserai plutĂŽt les mots
Ecouter, respecter, partager
Et si c'est leur préférence
Je leur offrirai les fleurs de la tolérance
*
Pour toi, j'apprivoiserai plutĂŽt les mots
Apprendre, comprendre, entendre
Et si c'est leur volonté
Je leur offrirai les branches de l'humilité
*
Pour toi, j'apprivoiserai surtout les mots
S'ouvrir, sourire, offrir
Et si c'est pour toujours
Je leur offrirai l'arbre d'amour
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Notre tolérance pour les autres nous conduit forcément à tolérer nos propres fantaisies.
Citation de George Sand ; ƒuvre : Flaminio, ThĂ©Ăątre - 1854.




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tchado et sa petite soeur groseille
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