A seulement 17 ans, cette jeune fille a fait quelque chose de vraiment extraordinaire.
Lorsqu’Elliot Sherin, 17 ans, a fait une croisière en Jamaïque en décembre dernier, elle ne s'attendait absolument pas à sauver une vie au passage.
Elliot et son père étaient censés faire de l'équitation sur la plage, mais quand ils sont arrivés, elle a tout de suite remarqué une meute de chiens errants dans le ranch. En regardant plus attentivement, la jeune fille aperçoit une minuscule chiot couvert de crasse et avec seulement la peau sur les os. Derrière la meute, le chiot avait toutes les difficultés du monde à marcher à cause d’un problème aux pattes.
Un sauvetage compliqué mais nécessaire
Tandis que les autres chiens s’approchent d’Elliot et de son père pour réclamer à manger, ce n’est pas le cas du chiot - plus tard nommé Kingston - qui semble terrorisé et refuse qu’on l’approche.
Ne sachant pas tellement quoi faire, Elliot est retournée sur le bateau pour chercher des informations en ligne et a trouvé le nom de l’association Animal House Jamaica. Elle avait évidemment laissé de quoi manger au chiot avant de partir.
« J’étais totalement décidée à sauver ce chiot et le ramener avec moi chez moi, » explique Elliot.
Au téléphone, l’association Animal House Jamaica explique à la jeune fille qu’ils peuvent tout à fait venir chercher le chiot et que si elle paye tous les frais, ils pourront le soigner avant de l’envoyer par avion chez elle, aux Etats-Unis.
Un bel élan de solidarité
Avec l’accord de ses parents pour adopter Kingston, Elliot a décidé de lancer une cagnotte en ligne afin de pouvoir payer les frais de santé et de transport du chiot. Et grâce à l’aide de nombreuses personnes, la jeune fille a récolté 900 dollars.
C’est donc en février dernier, une fois remis sur pattes, que Kingston a pu faire le voyage jusqu’aux Etats-Unis afin de retrouver Elliot et de découvrir sa nouvelle maison pour la vie. Une fois arrivé dans sa maison, le chiot a rapidement trouvé ses marques auprès de sa maîtresse, totalement en admiration devant lui.
Aujourd’hui, cela fait environ huit mois que Kingston est arrivé dans sa nouvelle maison où il est très heureux. Tout le monde est tombé sous son charme irrésistible et est très fier d’avoir pu aider un chiot dans le besoin.

Paroles de La Dernière Berceuse
C'est l'heure
C'est l'heure,
Cette fois
Je le crois.
"J'ai peur
J'ai peur"
Mais ne t'en fais pas
Je suis là.
Le temps d'une dernière berceuse
Il est loin le temps
Où t'étais amoureuse de la vie
Et maintenant,
Je pleure
Je pleure
Tu vas tellement, tellement nous manquer.
J'effleure
J'effleure
Ta peau de jolie fleur que tu quittes
Je suis là à tes côtés,
Le temps d'une dernière berceuse
Il est loin le temps
Où t'étais amoureuse de la vie.
Je te laisse
Cette dernière berceuse
Je te laisse
Dors, dors, dors., ,

Une si belle histoire.
A l’instant où Samantha Kreisler a repéré ce chiot triste au sein du refuge, elle savait qu’elle avait trouvé son compagnon pour la vie. Mais il y avait plusieurs obstacles à cette adoption car la chienne souffrait d’un eczéma très important. Mais ce n’était pas tout, la chienne souffrait aussi d’une importante angoisse de séparation.
Un compagnon pas comme les autres
Une fois les soucis d’eczéma réglés, Samantha Kreisler a dû faire face au second problème qui était un peu plus complexe. Dans un premier temps, elle a décidé d’emmener la chienne partout avec elle, mais ce n’était qu’une solution temporaire.
Dès qu’elle restait seule, Lady avait de terribles réactions : vomis, diarrhées… Samantha Kreisler est donc rapidement arrivée à la conclusion que Lady avait besoin d’un compagnon à quatre pattes pour lui tenir compagnie.
C’est ainsi que Kitty, un adorable chaton, est entré dans la famille. Et contre toutes attentes, ça a été le coup de foudre immédiat.
Aujourd’hui, Kitty et Lady sont inséparables et passent leur temps à se faire des câlins, dormir tous les deux et jouer.
Comme s’amuse à le dire Samantha Kreisler, Lady a trouvé son propre chaton de thérapie !

💖
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Pour toi,
je t'envoie un convoi de bisous sur le chemin qui mène à ton Jardin
poussé par un vent de tendresse et de mille caresse
** Pensée **
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On parle souvent des "mamans de coeur", moins souvent des "papas de coeur". Pourtant
ils souffrent comme nous de l'absence de leurs petits Anges. Aujourd'hui c'est la fête des pères ; alors souhaitons une bonne fête à tous les "papas de coeur" du cimetière virtuel...
*
Quelle belle rencontre !!!
*
Rencontre
*
Madame la pianiste,
Dans les rues plutôt tristes,
Promenait ses mélodies,
Comme chaque lundi …
Et monsieur le poète,
Des rêves plein la tête,
Tenait en laisse, lui,
Des poèmes gentils…
Ils se sont rencontrés
Et, quelques mois après,
En plein temps des moissons,
Sont nées… trente-six chansons !
*
Robert Gélis ("En faisant des galipoètes" - Editions Magnard, 1983)

Un souci de taille.
Dès le premier coup d’œil il n’y a aucun doute possible, Vega n’est pas un chat, mais bien une chienne. Et pas de petite taille en plus. Pourtant, Vega n’a pas toujours conscience de sa taille et fait parfois des expériences malheureuses.
Une erreur de taille
Alors que le chiot de quatre mois était chez lui en Norvège, une idée lui est venue : pourquoi ne pas utiliser la chatière pour aller se promener. Après tout, si le chat l’utilise, pourquoi pas elle ? Se croyant suffisamment petite pour passer, Vega a donc commencé à mettre sa tête dans a chatière, puis n’a pas que constater son erreur.
Clairement, cela ne fonctionnait pas pour elle.
Totalement coincée, la chienne avait la gueule ouverte et ne pouvait plus bouger. Lorsque sa maîtresse est rentrée, elle n’en croyait pas ses yeux. D’abord un peu amusée, elle a rapidement compris qu’elle devait appeler les secours pour sortir sa chienne de là.
Une fois sur place, les pompiers ont commencé à découper la porte afin de sortir Vega de son piège. Heureusement, Vega a échappé à l'incident sans trop se faire mal. Elle a perdu quelques dents de chiots pendant sa lutte pour se libérer, mais celles-ci allaient bientôt tomber.
« J’espère qu’elle a retenu la leçon, » explique sa maîtresse, soulagée de voir sa chienne en bonne santé. Quant au chat, il a toujours du mal à se faire à l'idée qu'une chienne habite chez lui !

Heureusement, tout se termine bien.
Georgina Milhet profitait d'une promenade à cheval avec son neveu à Miami, en Floride, quand sa journée a pris une tournure inattendue. En pleine balade, Georgina aperçoit une cage rouillée sur le bord d’un chemin de terre.
En s’approchant, Georgina découvre avec effroi qu’il y a un petit chien blanc à l’intérieur de cette cage qui semble être un ancien poulailler. Elle hurle alors à son neveu de lui envoyer sa bouteille d’eau et donne à boire au pauvre toutou qui mourait de soif et avale l’intégralité de la bouteille !
Un joli sauvetage
Une fois la soif du chien étanchée, Georgina commence à bouger le poulailler rouillé afin de pouvoir libérer le pauvre toutou qui n’y parvenait pas sans aide. Quelques secondes plus tard, le chien était libre.
Malheureusement, en observant ses pattes Georgina a remarqué quelque chose de très très mauvais. Choquée, Georgina constate que le chien est incapable de marcher sur ses pattes qui semblent écrasées. Il doit se servir de ses coudes qui sont totalement ensanglantés à force de traîner par terre et de soutenir son poids.
« J’ai déjà vu beaucoup de choses horribles, mais rien qui dépasse cela. »
Georgina contacte alors l’association GTS Husky Rescue pour obtenir un peu d’aide. Rapidement, les volontaires arrivent sur place et emmène le chien chez le vétérinaire afin de l’examiner. Sur place, le chien a passé une radio qui a confirmé que ses pattes étaient déformées. Il est cependant impossible de savoir si le chien est né comme ça ou si ces déformations étaient causées par des mauvais traitements.
Malheureusement pour Lucky – le nouveau nom du toutou – il était impossible de l’opérer car il y avait trop à faire. Par contre, afin de vivre une vie la plus normale possible, le chien a eu droit à des prothèses !
Désormais, Lucky a une famille et des prothèses qui lui permettent de vivre normalement. Une belle revanche sur la vie.

Une petite fille de 3 ans, Aurore, était perdue en plein cœur du bush australien. C’est à son chien qu’elle doit la vie.
Du haut de ses 17 ans, Max n’a rien perdu de son instinct de gardien de troupeau. Ce Bouvier australien a veillé sur une petite fille de 3 ans qui s’était perdue dans la montagne. Pendant 16 heures, Aurore demeurait introuvable malgré le déploiement des services d’urgence.
Alors que les espoirs de la retrouver en vie s’amenuisaient d’heure en heure, sa grand-mère a soudain entendu des cris le lendemain matin. Elle a alors aperçu l’ombre du vieux chien qui descendait de la vallée. Derrière lui, Aurore le suivait.
Le vieux chien a aidé la fillette a retrouvé son chemin
Bien que sourd et presque aveugle, Max n’avait pas quitté sa petite humaine et venait de l’aider à retrouver le chemin de la maison. Ils avaient passé la nuit ensemble, blottis l’un contre l’autre, au sommet d’une petite montagne.
Reconnaissants envers ce brave toutou héroïque, la police locale a décidé de faire de lui un membre d’honneur de son équipe.

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Un très bel acte.
Tout commence lorsqu’un agent de sécurité dans un supermarché contacte le centre de sauvetage de Villalobos, à la Nouvelle-Orléans. Il vient de voir une chienne errante dans le parking. Une chienne qui vient tout juste d’avoir des petits et semble les chercher désespérément. Maigre et malade, la maman chien avait besoin d’aide, et vite.
Rapidement, les secouristes sont arrivés sur place pour aller à la rencontre de la chienne et se mettre à la recherche de ses petits. D’abord terrifiée par ces hommes qu’elle ne connait pas, la chienne leur accorde finalement sa confiance quand elle réalise qu’ils sont là pour l’aider. Elle les mène alors jusqu’à une maison voisine.
Des chiots en danger
Sans hésiter, les secouristes frappent à la porte de la maison pour se renseigner au sujet de la chienne et de ses chiots introuvables. L’homme qui leur ouvre explique que la chienne appartient à son colocataire actuellement en prison. Tout en ajoutant que c’est lui qui prend soin d’elle en attendant, ce qui est évidemment faux puisque la chienne était dans un triste état. Derrière l’homme, les secouristes voient les chiots. Malheureusement, l’homme refuse de les laisser entrer et leur demande de partir.
Les secouristes ont alors emmené la chienne triste dans un refuge avant de tout faire pour pouvoir entrer légalement chez l’homme pour récupérer les chiots. Après quelques heures, ils ont finalement obtenu l’autorisation et ont pu repartir avec la portée qu’ils ont tout de suite emmené auprès de la maman, plus heureuse que jamais de retrouver ses petits.

100 000 animaux sont abandonnés chaque année. Parmi eux, de trop nombreux chiens dont certains ont des points communs. Portrait-robot du chien le plus abandonné de France.
Max est un croisé chien de Berger de couleur majoritairement noire. Lorsqu’il avait deux mois, il a été adopté par une famille séduite par sa petite bouille adorable. Il était si mignon…
Mais Max a grandi. Il a pris de la place. Il est devenu plus imposant que ce que le vendeur avait prétendu. « Il ne sera pas grand », avait-il dit aux acheteurs.
Max était heureux dans sa famille. Il était fougueux, joueur, curieux, et avait envie de découvrir le monde. Il adorait se promener et tirait sur la laisse pour aller toujours plus vite. Max aimait se balader par tous les temps mais ses maîtres détestaient son dynamisme. Ils le lui faisaient comprendre en tirant vivement sur son collier. Max avait mal, mais sa joie de sortir était plus forte que la douleur.
Max n’aimait pas qu’on le laisse seul à la maison toute la journée. Il s’ennuyait. Pour se défouler, Max rongeait les pieds de table, grattait la porte et il lui arrivait de faire pipi sur le tapis du salon.
Max était toujours heureux lorsque ses maîtres rentraient du travail. Mais ce n’était pas réciproque. En voyant ses « bêtises », ses maîtres le grondaient tellement fort que Max devait aller se cacher dans un coin. Pourtant, il n’avait jamais pensé à « se venger », contrairement à ce que répétaient ses maîtres à longueur de temps… Tout ce qu’il voulait, lui, c’était leur faire la fête à leur retour.
Le temps a passé et Max a fait son possible pour faire plaisir à ses maîtres, quitte à se résigner. Il avait bien envie de faire de longues promenades et de jouer à la balle, mais ses maîtres n’avaient jamais le temps. « Au panier », lui disaient-ils constamment.
Un jour, un bébé est arrivé. Et cela a été le coup de grâce. Max était définitivement de trop.
Ce jour-là, Max est monté dans la voiture de son propriétaire. Il remuait la queue et haletait d’excitation : son maître voulait partager un moment avec lui, il l’emmenait en promenade ! La forêt, la plage… n’importe quelle destination lui convenait tant que c’était avec son maître.
Mais en arrivant, Max a entendu des aboiements plaintifs. Un inconnu l’a enfermé dans une cage. Et Max a vu son maître repartir. Sans lui. Il l’avait entendu dire : « il fait trop de bêtises, et vous comprenez, avec le bébé, ce n’est plus possible ».
Max est dans sa cage depuis 77 jours. Il s’ennuie, il a peur, il ne comprend pas pourquoi son maître ne revient pas le chercher. Max veut partir et courir dans l’herbe avec son maître, comme quand il était petit.
De temps en temps, des gens s’arrêtent devant sa cage. Max est alors si content qu’il se met à aboyer très fort et à bondir sur les barreaux. Mais les gens s’en vont tout de suite, effrayés.
Max est un grand chien noir, vif, et il a déjà 3 ans. Ces critères ne jouent pas en sa faveur.
Max est l’archétype du chien le plus abandonné, aujourd’hui, en France. Des Max, il y en a beaucoup.
Sauvez un chien comme Max. Adoptez.

Une drôle d’histoire !
Ariana Smoak rentrait du travail un jour quand elle a vu un chien debout sur le côté de la route. Elle s'est rapidement arrêtée pour voir si elle pouvait l'aider - et dès qu'elle l'a fait, une bande de chiots est soudainement sortie de sa cachette. Toute cette petite famille était très malade et avait visiblement besoin d’aide.
Sans hésiter bien longtemps, Ariana prend la décision d’emmener toute la famille de chiens chez elle afin d’en prendre soin. Chaque jour, elle collecte un peu d’argent pour s’occuper d’eux et les emmener chez le vétérinaire. Après avoir reçu les soins nécessaires, tous les chiens ont trouvé une famille. Tous sauf un.
« Nous avons trouvé des maisons pour tous les chiens, sauf pour Sunny. Nous sommes tombés amoureux de lui et nous avons fini par le garder. »
Un chien adorable avec un jouet très particulier
Dès le premier jour, Sunny s’est montré absolument adorable et très joueur. Mais s’il possède beaucoup de jouets, le toutou a un jouet préféré et il est plutôt surprenant et très inhabituel puisqu’il s’agit d’une brique.
Tout a commencé lorsque la maîtresse de Sunny a déposé une brique sur son tapis afin de le maintenir bien droit. Cela ne devait durer que quelques jours, mais le chien s’est fortement attaché à cette brique ! Il est tombé totalement amoureux d’elle, allant jusqu’à la lécher et dormir avec.
La famille de Sunny a d’abord pensé que cette passion pour la brique allait lui passer, mais ce n’est pas le cas. Sunny a continué à jouer avec sa brique. Tant et si bien que finalement la brique est resté sur le tapis.
Aujourd’hui, Sunny et sa brique sont toujours les meilleurs amis du monde, et même si c’est bizarre, c’est aussi absolument adorable.

Que c'est beau !!!
*
N'écris pas...
*
N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre.
les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau.
J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre,
Et frapper à mon cœur, c'est frapper au tombeau.
N'écris pas !
*
N'écris pas.
N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes
Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais!
Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes,
C'est entendre le ciel sans y monter jamais.
N'écris pas ! ...
*
Marceline Desbordes-Valmore

L’horreur tout simplement.
C’est à Montreuil-au-Houlme, dans l’Orne, que s’est déroulée cette terrible histoire. Tout commence le 1er juin dernier lorsqu’un homme annonce à ses voisins qu’il a tiré par accident sur leur chien et l’a tué en le prenant pour un ragondin. En réalité, il n’en est rien et plusieurs voisins ont vu l’homme en train de tirer sur le chien.
Des radios choquantes
Emmené chez le vétérinaire pour un examen approfondi, ce dernier trouve pas moins de 101 plombs dans la tête du chien, 45 dans son thorax et 8 à 10 dans l’abdomen. Pire encore, l’homme a même pris le temps d’enterrer le pauvre toutou avant le retour de ses maîtres.
Placé en garde à vue, l’homme a finalement avoué qu’il avait bel et bien tué le chien de ses voisins. Quant à la raison de cet acte particulièrement violent et cruel, l’homme a tout simplement expliqué qu’il en avait marre du chien et ne le supportait plus.
Des explications qui évidemment passent très mal, d’autant que ce chien n’est pas le seul a avoir disparu… La gendarmerie enquête actuellement sur cette affaire afin de déterminer si l’homme a des responsabilités dans ces autres disparitions.

Je suis juste de l'autre côté du chemin. Charles Péguy.
La mort n'est rien,
Je suis seulement passé dans la pièce à côté,
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez moi le nom que vous m'avez toujours donné,
Parlez moi comme vous l'avez toujours fait.
N'employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
Comme il l'a toujours été
Sans emphase d'aucune sorte
Sans une trace d'ombre.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais je hors de vos pensées.
Simplement parce que je suis hors de votre vue?
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
Vous voyez, tout va bien.

Ce texte s'adresse à tous les amoureux des animaux.
Spécialement à ceux qui ont perdu un ami fidèle
et à tous ceux qui un jour ou l'autre savent qu'ils
devront se séparer de leur ami à 4 pattes.
C'est également un texte plus que réconfortant si vous le
lisez jusqu'à la fin.
Pour les besoins du texte, j'ai mis des noms fictifs que vous pouvez adapter à vos besoins.
À mon maître, à ma maîtresse :
Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine.
C'est pourquoi moi, Charlemagne Monette, (communément appelé Charlot par mes parents, amis et connaissances),
dépose en secret dans l'âme de mes deux grands amis, mon maître et ma maîtresse, mon testament.
J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes.
Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre.
Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité.
Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais, me regretteront le plus,
à Richard et Lison; à Elisabeth et Marianne qui ont été si bons pour moi.
Peut-être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux.
Je demande à Richard et Lison de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps.
Au cours de mon existence, j'ai essayé de les réconforter dans la peine et de leur apporter un surcroît de joie dans le bonheur.
Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin.
Je les prie de ne pas oublier qu'à leur tendresse et à leur solicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens.
Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd
et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger;
ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute.
Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête.
Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable
pour moi et pour ceux qui m'ont donné leur affection.
Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir.
Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort.
Que se passe-t-il après? Nul ne le sait.
En tout cas, je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las,
ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée.
Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité.
J'ai entendu ma maîtresse, dire: "Quand Charlemagne mourra, nous n'aurons jamais plus de chien.
Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre.
" Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision.
Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien.
Je voudrais tant garder le sentiment que, maintenant que j'ai fait partie de la famille,
il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme!
Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux.
J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons même ma co-locataire,
une chatte...Mistou, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon litavec moi.
J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité,
je lui ai même rendu un peu la pareille.
Aussi je conseille à ma maîtresse de choisir un autre chien à son goût pour me succéder.
Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli, aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse.
Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et aussi que ses défauts inévitables
contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir.
Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël.
Un dernier mot à Lison, Richard, Elisabeth et Marianne.
Chaque fois que vous penserez à moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur,
en vous rappelant ma longue vie à vos côtés
"Charlemagne était un être qui nous aimait et que nous aimions."
Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai,
et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance.
Charlemagne Monette
Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous.

A mon chien
Lorsque je l’ai vu naître
Je l’ai pris pour enfant,
C’était un petit être,
Il était si charmant.
Quand je l’ai vu grandir
Ce fut mon compagnon,
J’aimais le voir courir
Dans toute la maison.
Quand je l’ai vu vieillir
Ce fut moi son enfant
Bien qu’il sut m’obéir
Toute sa vie durant.
Quand je l’ai vu mourir,
Je compris que ce jour
Venait de s’accomplir
La fin d’un bel amour
Car tu me fus fidèle,
Serviteur dévoué,
Ton amour fraternel
N’a pas démérité.
Je t’aimais bien mon chien
Ô, mon chien de berger,
Et, pour toi, mon chagrin
Ne saura s’effacer.
© Jack Harris

Les plus beaux yeux de la terre
C'est toi qui les possède.
Ils sont si beaux, si clairs et si limpides.
Quand tu regardes au loin, devant toi, l'inconnu semble tellement attirant.
Tes yeux fixés au loin scrutent l'avenir en te demandant ce qui est là-bas.
Tu ne demandes qu'à aller voir ce qu'il en est.
Ta curiosité est intarissable,
C'est normal, je crois.
Avec de si beaux yeux, qui ne serait pas tenté d'en profiter ?
Une feuille qui vole au vent froid d'automne.
Les enfants qui s'amusent en jouant au ballon sur le chemin.
Les voitures qui passent.
Nanuk, la bouledogue du voisin.
Simon qui arrive du travail.
Mais, par-dessus tout, tes yeux sont attentifs.
Tes pupilles perçantes voient de loin toutes ces petites choses
qui, souvent, font rire les gens quand nous les heurtons.
Mais toi, quand ça arrive, tes yeux ne sourient pas, ils s'inquiètent.
Quand nous avançons et que tout se passe sans problèmes, une telle fierté y brille.
Autant d'obstacles, autant de défis pour tes yeux.
Rien ne peut les en détourner.
Le soir, quand nous sommes à la maison, tes yeux ne manquent aucune image
de ton émission préférée à la télévision.
Toutes les images s'y reflètent tellement tu y portes intérêt.
Quand je prends ta figure dans mes mains pour te dorloter.
Lorsque tu me regardes, je sens toujours l'Amour
qui se dégage de ces perles de tendresse.
Amour que tu me donnes sans condition.
OUI ! Je le sens cet amour que tu me donnes en me prêtant TES yeux.
Toi, mon chien, toi mon guide.
Toi, le meilleur ami de celui qui ne voit pas.
Tu sais, dans le fond,
"Les plus beaux yeux de la terre", c'est moi qui les ai
Simplement parce que je t'ai... TOI.
Merci d'être mon chien, mon guide !
Merci d'être mon AMI !

« Je l’aime tellement. »
Après une journée de fermeture, un refuge situé au Texas a rouvert ses portes. C’est en arrivant au travail que des employés ont découvert une scène particulièrement triste.
Sur le parking se trouvait un panier avec un chien terrifié à l’intérieur. Le pauvre Caniche âgé d’un an et prénommé Lee était couvert de poils bien trop longs et emmêlés. Il était aussi couvert d’urine et totalement terrifié.
Immédiatement, les employés se précipitent vers le chien pour le secourir et l’emmener dans le refuge. C’est là qu’ils découvrent que le propriétaire de Lee a aussi laissé un petit mot :
« Pouvez-vous s'il vous plaît prendre soin de mon chien ? C'est un chiot génial, je ne pouvais pas me permettre de le garder. Il s'appelle Lee. Il va écouter, il va aboyer, et ne mordra pas. Faites-en sorte qu’il ne soit pas euthanasié, je l'aime, mais je ne peux pas me permettre de le garder. Je ne l'ai pas encore rasé, je m'excuse, mais prenez soin de lui et trouvez-lui une maison. Merci. »
Un nouveau départ
Malheureusement pour Lee, le refuge était déjà plus que plein lors de son arrivée (plus de 375 animaux pour une capacité de 150). Il a donc dû apprendre à vivre dans des conditions sommaires et s’habituer aux autres animaux.
Une fois rasé et débarrassé de son épaisse fourrure, Lee a commencé à se sentir mieux dans ses pattes et à être à l’aise. Désormais, Lee est un petit chien heureux, qui adore jouer et faire des câlins.
Il devrait prochainement trouver sa famille pour la vie car plusieurs personnes sont intéressées.

Les étoiles continuent de briller
Comme si rien n’était arrivé
Et moi je continue de t’aimer
Même si tu n’es plus à mes côtés.
Ton absence est difficile à combler
Derrière toi, c’est un grand vide que tu as laissé
Et même si mon cœur est blessé
Tel une vague se brisant sur un rocher
Des souvenirs de toi, je pourrai toujours garder
Au plus profond de moi, pour l’éternité.
Ils seront en moi comme sur un arbre gravés
Que rien ni personne ne puisse les effacer
Ils resteront précieux, enfouis et cachés
Comme la prunelle de mes yeux attristés.
C’est sans toi que ma vie doit continuer
J’espère voir avec le temps ma tristesse atténuée
Même si cette blessure ne sera à jamais refermée
Elle veillera en moi pour me rapeller à quel point je t’ai aimé.