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En hommage à
Guizmo

Il est né le:01/08/1999
Il nous a quittés le:15/08/2002
 

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En hommage à Guizmo

A mon Guitou disparu trop tĂŽt




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Déposé par AMARY
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🕊🕊 đŸŸđŸŸđŸ•ŠđŸ•Š đŸŸđŸŸđŸ•ŠđŸ•Š
Déposé par choupinou
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tendres pensĂ©es petit ange d'amour đŸŸđŸ€cĂąlinoux ✹💖đŸ˜Ș douces caresses GUIZMO en ce jour anniversaire petit ange de lumiĂšre et d'amour
Déposé par mistral
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famille MISTRAL, RAMSES Ii, DOUGLAS et GOLDEN MILADY
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“Les animaux sont les anges de cette terre.” Bonne soirĂ©e, bien Ă  vous !
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mon coeur est en peine ce jour, mes yeux sont humides, et la gorges se serre, il y a 26 ans dĂ©jĂ  je laissais partir mon petit chien, mon petit Bullgum, mon tendre aimĂ©, mon premier petit chien a moiđŸ˜Ș
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
un petit chat tĂ©moigne d'un odorat dĂ©licat et en ce sens , il n'oubliera jamais rien, ni personne, encore moins son gardien qui l' aime ou l' a aimĂ© toute sa vie, mĂȘme au delĂ ....
Déposé par choupinou
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un chien tĂ©moigne d'un odorat dĂ©licat et en ce sens , il n'oubliera jamais rien, ni personne, encore moins son gardien qui l' aime ou l' a aimĂ© toute sa vie, mĂȘme au delĂ ....
Déposé par NOIXDECOCO
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Déposé par choupinou
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Déposé par BouleAmour14
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douces pensées
Déposé par choupinou
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gros cĂąlins đŸŒŒđŸŒ»đŸ’™đŸŸđŸ•Š
Déposé par capopita
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❀❀❀❀❀
Déposé par capopita
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Tendre pensĂ©es ❀❀❀❀ Merci pour votre attention
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Déposé par Moustique
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Tendre pensĂ©e ❀ 15 aoĂ»t 2022


324 messages

Déposé par poutounou le 22/12/2016  
Un Joyeux NoĂ«l Ă  tous les Anges du Paradis blanc et Ă  leur famille de cƓur. Une bonne santĂ© surtout, avec un porte-monnaie bien garni si possible et beaucoup, beaucoup d’Amour
..une bonne tonne d’Amour

*
L'enfant poĂšte
*
Il dessina sur la page
Des fleurs aux tons Ă©clatants
Et montĂšrent de l'image
Tous les parfums du printemps.
*
Au couteau, sur une planche,
Il grava le mot â‰Ș forĂȘt ≫
Et poussĂšrent mille branches
OĂč le vent s'en vint chanter.
*
Il inventa sur sa toile
Puisque l'on fĂȘtait NoĂ«l
La plus belle des Ă©toiles
Qui s'envola vers le ciel.
*
Alors dans un vieux journal
Reçu à l'orphelinat
Il découpa un cheval
Et le cheval l'emporta.
*
Michel Beau

Déposé par poutounou le 13/12/2016  
Quelle belle histoire ! Elle nous démontre que tout est possible avec "un peu" d'Amour...
*
ArrivĂ© au refuge « Des Animaux et des Hommes » Ă  Bouguenais (44) en septembre 2009, Saxo, un berger allemand de 8 ans, n’a pas Ă©tĂ© gĂątĂ© par la vie : « Il n’était plus nourri ni abreuvĂ© depuis des semaines, tĂ©moigne Yannick Ferrand, prĂ©sidente de cette structure soutenue par la Fondation 30 Millions d’Amis.Nous n’avons malheureusement pas pu sauver la femelle qui vivait avec lui ». En revanche, Saxo, dont la garde est confiĂ©e au refuge, s’en sort. Mais ses sĂ©quelles seront nombreuses : de graves lĂ©sions sur la peau, et une profonde apathie qui dĂ©courage les familles venues pour adopter... « Il Ă©tait morose, agressif avec les autres animaux. Et avec les humains, il devenait de plus en plus indiffĂ©rent. Nous Ă©tions trĂšs inquiets pour son Ă©quilibre psychique », poursuit Yannick Ferrand. L’équipe du refuge lance cependant un SOS via son site Internet. Et c’est Sandrine, une habitante de l’üle d’Yeu (85), qui va sortir l’animal de son mal-ĂȘtre.
*
En janvier 2011, celle qui a Ă©tĂ© touchĂ©e par cet appel au secours arrive Ă  Bouguenais pour adopter Saxo : « Le trajet du retour l’a beaucoup fatiguĂ©, et il a passĂ© les trois premiers jours Ă  dormir sur son coussin », raconte cette jeune femme amoureuse des animaux. Peu Ă  peu, Saxo va trouver sa place et « adopter » Ă  son tour sa nouvelle maĂźtresse : « Il me suit partout, un vrai pot-de-colle, indique Sandrine. Il adore se promener, et dort dans notre chambre
 par terre, mais toujours de mon cĂŽtĂ© ! » dit-elle en riant.
*
La belle histoire ne s’arrĂȘte pas lĂ . Alors que quelques mois plus tard, elle amĂšne Saxo dans son ancien refuge afin de le montrer Ă  toute l’équipe, Sandrine remarque un Ă©trange manĂšge : Saxo s’approche de l’un des box et lĂšche une petite boule de poils noire Ă  travers le grillage. « Il est si peu dĂ©monstratif que cela a surpris tout le monde » se souvient-elle. Lorsque Petit ThĂ©o - un teckel Ă  poils durs ĂągĂ© de 4 mois - est mis en libertĂ©, il se prĂ©cipite dans les pattes de Saxo qui... ne dit rien, alors qu’il ne supportait pas les autres chiens quelques mois auparavant. Sandrine comprend vite que ces deux-lĂ  se comprennent et ne voudra plus les sĂ©parer.
*
Aujourd’hui, Saxo et Petit ThĂ©o coulent des jours heureux sur l’üle d’Yeu : « Saxo se considĂšre comme l’aĂźnĂ© et prend son rĂŽle trĂšs Ă  cƓur, prĂ©cise sa maĂźtresse. Il reste casanier et pĂ©pĂšre, mais il a retrouvĂ© sa joie de vivre. » Et s’il n’est toujours pas un monstre d’affection, l’animal va nĂ©anmoins chercher quelques caresses... « Mais j’ai l’impression qu’il fait ça pour me faire plaisir », s’amuse Sandrine. Le berger allemand, qui souffre d’arthrose, va rĂ©guliĂšrement chez un naturopathe pour ĂȘtre soulagĂ© de ses douleurs.
*
La Fondation 30 Millions d’Amis salue la seconde chance qui a Ă©tĂ© offerte Ă  Saxo. Une belle histoire qui montre une fois de plus qu’avec de la patience et beaucoup d’amour, tout est possible. « Les animaux des refuges nous rendent toujours au centuple ce qu’on leur donne », conclut Sandrine.

Déposé par poutounou le 08/12/2016  
Quelle belle initiative !
*
Que ce soit en IndonĂ©sie ou en Éthiopie, ce sont des Ăąnes et des chevaux qui apportent la lecture aux enfants qui n’y ont pas facilement accĂšs. Des initiatives humanitaires dont l’animal est la pierre angulaire.
*
Ridwan Sururi vit Ă  Java, en IndonĂ©sie, oĂč il s’occupe de chevaux. Mais depuis un an, trois jours par semaine, il harnache l’un d’entre eux pour aller Ă  la rencontre des enfants de l’üle et leur apporter des bandes dessinĂ©es et des livres d’histoire afin de contribuer, Ă  sa mesure, Ă  l’alphabĂ©tisation et Ă  l’accĂšs Ă  la culture.
*
Cette idĂ©e de bibliothĂšque Ă©questre, baptisĂ©e Kuda Pustaka, est nĂ©e dans la tĂȘte d’un ami de Ridwan qui s’est chargĂ© de lui fournir les livres, issus pour beaucoup de dons. Un cheval, des livres
 il n’en faut pas plus pour que les enfants de villages isolĂ©s attendent dĂ©sormais avec impatience l’arrivĂ©e de cette Ă©quipĂ©e insolite. Ridwan et Luna, l’un des chevaux qui part Ă  la rencontre des 120 Ă©lĂšves des Ă©coles de l’üle, emportent aussi dans leurs paniers des livres pour les adultes qui n’ont pas tardĂ© Ă  exprimer leur envie d’ĂȘtre inclus dans la boucle. Mais leurs choix se portent plus sur des manuels pour cultiver les plantes ou des guides pratiques.
*
Une initiative similaire existe depuis 2008 en Ethiopie oĂč ce sont des Ăąnes qui tirent une charrette chargĂ©e de livres. Yohannes Gebregiorgis, un sexagĂ©naire, s’est engagĂ© dans cette mission d’alphabĂ©tisation des habitants de sa rĂ©gion. Aux commandes de sa bibliothĂšque mobile tirĂ©e par deux Ăąnes, il relie deux villages auxquels il apporte livres de mathĂ©matiques, de sciences, de contes et d’histoires pour enfants. Lorsqu’elle s’arrĂȘte au cƓur du village, la carriole est aussitĂŽt entourĂ©e d’enfants mais aussi d’adultes qui viennent avec leurs chaises pour assister au spectacle de marionnettes qui participe, Ă  sa maniĂšre, Ă  la transmission des savoirs. Ce projet de bibliothĂšque hippomobile est financĂ© par Plan International, une association humanitaire qui s’engage dans les programmes d’alphabĂ©tisation des populations.

Déposé par poutounou le 04/12/2016  
Ca fait énormément de bien de pétrir les papattes du chat, comme ça fait énormément de bien de caresser son chien ou n'importe quel autre animal...Alors "pétrissons et caressons" !
*
Charlotte a d'abord perdu son mari, « parti voir ailleurs », puis un emploi valorisant, et enfin sa santé.
*
Ayant perdu le sommeil et l'appétit, elle fait l'erreur d'aller consulter un psychiatre, qui croit détecter en elle des troubles bipolaires. C'est parti pour un « rallye médical » : un médicament pour l'humeur, un autre contre l'anxiété, un autre pour le sommeil.
*
Résultat : plus cinq kilos, des migraines, des nausées, un épuisement permanent.
*
Les médecins y voient les effets du stress, et renforcent le traitement. Puis un jour, suite à une émission de télé, elle ressent le besoin de la compagnie d'un chat.
*
Sa premiÚre visite dans un refuge est la bonne. Elle revient avec un gros rouquin de trois ans, laissé pour compte pour cause de départ à l'étranger.
*
« À peine arrivĂ©, il a sautĂ© sur le lit et s'est mis Ă  ronronner. C'Ă©tait le dĂ©but d'une nouvelle vie, avec quelqu'un avec qui partager caresses, regards, instants de discussion, et des nuits, des vraies nuits entiĂšres de vrai repos bercĂ© par son ronronnement et le pĂ©trissage de ses papattes
 ».
*
À partir de ce moment, Charlotte peut diminuer les doses de ses mĂ©dicaments, elle Ă©merge la journĂ©e, et sa vie sociale prend un nouveau tour. Jusqu'Ă  ce nouvel emploi qui signe sa guĂ©rison.

Déposé par poutounou le 30/11/2016  
Et oui, malin le petit chat... Il a raison : mieux vaut retourner aux souris...
*
Le chat et le miroir
*
Philosophes hardis, qui passez votre vie
A vouloir expliquer ce qu'on n'explique pas,
Daignez Ă©couter, je vous prie,
Ce trait du plus sage des chats.
Sur une table de toilette
Ce chat aperçut un miroir ;
Il y saute, regarde, et d'abord pense voir
Un de ses frĂšres qui le guette.
Notre chat veut le joindre, il se trouve arrĂȘtĂ©.
Surpris, il juge alors la glace transparente,
Et passe de l'autre cÎté,
Ne trouve rien, revient, et le chat se présente.
Il réfléchit un peu : de peur que l'animal,
Tandis qu'il fait le tour, ne sorte,
Sur le haut du miroir il se met Ă  cheval,
Deux pattes par ici, deux par lĂ  ;
de la sorte, partout il pourra le saisir.
Alors, croyant bien le tenir,
Doucement vers la glace il incline la tĂȘte,
Aperçoit une oreille, et puis deux... à l'instant,
A droite, Ă  gauche il va...
Jetant sa griffe qu'il tient toute prĂȘte :
Mais il perd l'Ă©quilibre, il tombe et n'a rien pris.
Alors, sans davantage attendre,
Sans chercher plus longtemps ce qu'il ne peut comprendre,
Il laisse le miroir et retourne aux souris :
Que m'importe, dit-il, de percer ce mystĂšre ?
Une chose que notre esprit,
AprĂšs un long travail, n'entend ni ne saisit,
Ne nous est jamais nécessaire.
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Déposé par choupinou le 29/11/2016  

Le Chant de la pluie
Viens, viens ma vie 
..
Ecouter sur le toit
Le chant de la pluie
Qui ramĂšne pour toi
Mes tristes mélodies . . .
Mes tristes mélodies . . .
Que les fleurs fanées attendaient
Chaque fois que la pluie
Chante en lentes mélopées
Viens , viens ma vie 
..
Viens, viens ma vie 
..
Un nuage traverse le ciel,
Un Ă©clair au lointain luit
En ce moment oĂč la vie se renouvelle
Un cƓur pleure sa vie 

Un cƓur pleure sa vie
La pluie quitta le toit
Et vint noyer en silence
Un cƓur qui n’a que toi
Un cƓur noyĂ© de souffrances
Un cƓur noyĂ© de souffrances
Que la mer rejette aux flots
Meurt sans amour, sans espérance
Laissant pour toi un sanglot
Que la pluie reprend en romance
,

Déposé par poutounou le 26/11/2016  
Soulagement
*
Quand je n'ai pas le coeur prĂȘt Ă  faire autre chose,
Je sors et je m'en vais, l'Ăąme triste et morose,
Avec le pas distrait et lent que vous savez,
Le front timidement penché vers les pavés,
Promener ma douleur et mon mal solitaire
Dans un endroit quelconque, au bord d'une riviĂšre,
OĂč je puisse enfin voir un beau soleil couchant.
*
O les rĂȘves alors que je fais en marchant,
Dans la tranquillité de cette solitude,
Quand le calme revient avec la lassitude !
Je me sens mieux.
*
Je vais oĂč me mĂšne mon coeur.
Et quelquefois aussi, je m'assieds tout rĂȘveur,
Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune,
Je me surprends parfois Ă  voir monter la lune.

Déposé par poutounou le 21/11/2016  
Nous aimons vous parler de belles histoires d'adoption sur Yummypets... Aujourd'hui, c'est une histoire trĂšs touchante que nous nous apprĂȘtons Ă  vous raconter.
*
Un chat rejeté par tout le monde
*
Ce pauvre chat qui Ă©tait rejetĂ© de tous car il n'avait pas d'oreilles a fini par ĂȘtre adoptĂ©.
*
Ce chat blanc s'appelle Otitis. Il a attendu d'ĂȘtre adoptĂ© pendant trĂšs longtemps. En effet, personne ne voulait de lui car il ne ressemblait pas aux standards du "chat trop mignon". Jusqu'au jour oĂč une jeune femme l'a rencontrĂ© et est tombĂ©e amoureuse de lui.
*
Molly Lichtenwalner, une étudiante, était à la recherche d'une solution pour lutter contre son anxiété : "J'étais souffrante d'une anxiété sévÚre à cause d'un accident que j'ai eu étant plus jeune... J'ai décidé qu'il était temps pour moi d'adopter un animal pour m'aider à apaiser cette anxiété. Rien ne m'a plus aidé que de cùliner des chats..."
*
Leurs destins se sont croisés
*
Molly a grandi dans une ferme, elle Ă©tait entourĂ©e de chats. La jeune fille souhaitait adopter un chat, et non un chaton, avec des besoins spĂ©cifiques. Un chat qui aurait du mal Ă  ĂȘtre adoptĂ© en quelque sorte. Lorsqu'elle s'est rendue sur PetFinder, elle a vu ce chat de neuf ans, un peu diffĂ©rent. "Lorsque j'ai vu Otitis, je savais que c'Ă©tait lui". Molly s'est donc immĂ©diatement rendue au refuge pour voir Otitis. Le chat a perdu ses oreilles Ă  cause de nombreux kystes. Ses anciens propriĂ©taires n'avaient pas les moyens financiers de le faire soigner. Ses oreilles ont donc dĂ» ĂȘtre retirĂ©es, par consĂ©quent Otitis est maintenant sourd.
*
Ce handicap ne compte pas pour Molly. "J'Ă©tais la premiĂšre personne Ă  avoir fait la demande pour l'adopter" explique-t-elle.
*
De l'amour Ă  revendre
*
Un jour aprĂšs son adoption, Otitis est sorti de sa coquille et n'a plus arrĂȘtĂ© de cĂąliner Molly. Chaque jour, il se blottit contre elle et lui donne de l'affection. Le duo a complĂštement changĂ© de vie. DĂ©sormais, Molly est moins stressĂ©e et Otitis vit une vie heureuse.
*
Auriez-vous adopté Otitis ?

Déposé par poutounou le 16/11/2016  
Quelle est la fin de tout ?
*
Quelle est la fin de tout ? la vie, ou bien la tombe ?
Est-ce l'onde oĂč l'on flotte ? est-ce l'ombre oĂč l'on tombe ?
De tant de pas croisés quel est le but lointain ?
Le berceau contient-il l'homme ou bien le destin ?
Sommes-nous ici-bas, dans nos maux, dans nos joies,
Des rois prédestinés ou de fatales proies ?
*
Ô Seigneur, dites-nous, dites-nous, î Dieu fort,
Si vous n'avez créé l'homme que pour le sort ?
Si déjà le calvaire est caché dans la crÚche ?
Et si les nids soyeux, dorés par l'aube fraßche,
OĂč la plume naissante Ă©clĂŽt parmi des fleurs,
Sont faits pour les oiseaux ou pour les oiseleurs ?
*
Victor HUGO (1802-1885)

Déposé par poutounou le 11/11/2016  
TrĂšs belle histoire et tellement vraie !
*
L'aveugle et le paralytique
*
Aidons-nous mutuellement,
La charge des malheurs en sera plus légÚre ;
Le bien que l'on fait Ă  son frĂšre
Pour le mal que l'on souffre est un soulagement.
Confucius l'a dit ; suivons tous sa doctrine.
Pour la persuader aux peuples de la Chine,
Il leur contait le trait suivant.
*
Dans une ville de l'Asie
Il existait deux malheureux,
L'un perclus, l'autre aveugle, et pauvres tous les deux.
Ils demandaient au Ciel de terminer leur vie ;
Mais leurs cris Ă©taient superflus,
Ils ne pouvaient mourir. Notre paralytique,
Couché sur un grabat dans la place publique,
Souffrait sans ĂȘtre plaint : il en souffrait bien plus.
L'aveugle, Ă  qui tout pouvait nuire,
Etait sans guide, sans soutien,
Sans avoir mĂȘme un pauvre chien
Pour l'aimer et pour le conduire.
Un certain jour, il arriva
Que l'aveugle à tùtons, au détour d'une rue,
PrĂšs du malade se trouva ;
Il entendit ses cris, son Ăąme en fut Ă©mue.
Il n'est tel que les malheureux
Pour se plaindre les uns les autres.
" J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vĂŽtres :
Unissons-les, mon frĂšre, ils seront moins affreux.
- HĂ©las ! dit le perclus, vous ignorez, mon frĂšre,
Que je ne puis faire un seul pas ;
Vous-mĂȘme vous n'y voyez pas :
A quoi nous servirait d'unir notre misĂšre ?
- A quoi ? répond l'aveugle ; écoutez. A nous deux
Nous possédons le bien à chacun nécessaire :
J'ai des jambes, et vous des yeux.
Moi, je vais vous porter ; vous, vous serez mon guide :
Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ;
Mes jambes, Ă  leur tour, iront oĂč vous voudrez.
Ainsi, sans que jamais notre amitié décide
Qui de nous deux remplit le plus utile emploi,
Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi. "
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Déposé par poutounou le 06/11/2016  
Moi j'adore la vérité : ça peut faire mal sur le coup, mais on peut "construire" dessus ; les bases sont solides. Par contre, on ne peut rien construire sur ce qui n'est pas "vrai".
*
La fable et la vérité
*
La vérité, toute nue,
Sortit un jour de son puits.
Ses attraits par le temps étaient un peu détruits ;
Jeune et vieux fuyaient Ă  sa vue.
La pauvre vérité restait là morfondue,
Sans trouver un asile oĂč pouvoir habiter.
A ses yeux vient se présenter
La fable, richement vĂȘtue,
Portant plumes et diamants,
La plupart faux, mais trĂšs brillants.
Eh ! Vous voilĂ  ! Bon jour, dit-elle :
Que faites-vous ici seule sur un chemin ?
La vĂ©ritĂ© rĂ©pond : vous le voyez, je gĂȘle ;
Aux passants je demande en vain
De me donner une retraite,
Je leur fais peur à tous : hélas ! Je le vois bien,
Vieille femme n'obtient plus rien.
Vous ĂȘtes pourtant ma cadette,
Dit la fable, et, sans vanité,
Partout je suis fort bien reçue :
Mais aussi, dame vérité,
Pourquoi vous montrer toute nue ?
Cela n'est pas adroit : tenez, arrangeons-nous ;
Qu'un mĂȘme intĂ©rĂȘt nous rassemble :
Venez sous mon manteau, nous marcherons ensemble.
Chez le sage, Ă  cause de vous,
Je ne serai point rebutée ;
A cause de moi, chez les fous
Vous ne serez point maltraitée :
Servant, par ce moyen, chacun selon son goût,
GrĂące Ă  votre raison, et grĂące Ă  ma folie,
Vous verrez, ma soeur, que partout
Nous passerons de compagnie.
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Déposé par poutounou le 30/10/2016  
Joli poùme pour la Toussaint

*
Les chrysanthĂšmes_
*
O ! Fleur pñle ornement des images d’automne
Sans parfum qui nous grise, aussi sans volupté
Quand je te vois t’ouvrir, la gaietĂ© m’abandonne
Mais tu souris toujours sous le ciel attristé.
*
Tu fleuris quand tout meurt dans la nature entiĂšre.
Quand d’un feuillage d’or les arbres sont parĂ©s
Tu fleuris quand la rose Ă  son heure derniĂšre
Effeuille tristement ses pétales fanés.
*
Dans les jardins en deuil ta frileuse parure
Jette une note gaie et sur les tapis d’or
Par l’automne Ă©tendus, tes rameaux de verdure
Font croire que l’hiver est loin de nous encor.
*
Sur les tombeaux glacés tu remplaces les roses
Quand chaque fleur se fane au baiser des brouillards
Tu figures partout et dans les chambres roses
Et dans les grands salons et sur les corbillards.
*
N’es-tu pas, par ta grñce et par ta modestie,
La fleur qui plaĂźt aux yeux parmi toutes les fleurs.
Puisqu’au sein de la mort tu fais briller la vie
Comme un rayon d’espoir brille au sein des douleurs.

Déposé par choupinou le 26/10/2016  
Quand je rĂȘve de toi, moi je rĂȘve d’amour
Et quand je pense Ăš toi je pense Ă  nos beaux jours
J’avance pas à pas vers cet oubli de nous
Qui me blesse dĂ©jĂ  car l’amour est si doux.
Ce sont tous ces instants qui me parlent de nous
Qui partent au fil du temps rĂ©duisant l’amour fou
À ce petit espoir que tu te souviendras
De notre belle histoire d'amour tu te rappelleras.
Je n'ai que ton amours celui qui me hante
Restera pour toujours ce bonheur qui m’enchante
Bien du temps est passĂ©, elle ne s’est pas Ă©teinte
La passion enflammée, celle de nos étreintes.
Le temps est cruauté il éteint nos bonheurs
On veut toujours aimer,ton coeur endormi fait mon malheur
Le temps se fait bourreau des rĂȘves de chacun
Il nous met au repos dans nos derniers matins.
Oui, je refuserai cette triste contrainte
Qui Ă©puise la flamme et deviens ma complainte
Dans notre ùme en éveil elle brûlera toujours
Mais le corps en sommeil vibre bien moins d’amour.
L’éternel assassin ce temps qui nous domine
Ne nous donne plus rien que des rĂȘves inutiles
Et nous nous effaçons sans pourtant oublier
Notre seul horizon, continuer Ă  aimer.
Par : RĂ©gina Augusto.

Déposé par poutounou le 24/10/2016  
Le voyage
*
Partir avant le jour, Ă  tĂątons, sans voir goutte,
Sans songer seulement Ă  demander sa route ;
Aller de chute en chute, et, se traĂźnant ainsi,
Faire un tiers du chemin jusqu'Ă  prĂšs de midi ;
Voir sur sa tĂȘte alors s'amasser les nuages,
Dans un sable mouvant précipiter ses pas,
Courir, en essuyant orages sur orages,
Vers un but incertain oĂč l'on n'arrive pas ;
Détrempé vers le soir, chercher une retraite,
Arriver haletant, se coucher, s'endormir :
On appelle cela naĂźtre, vivre et mourir.
La volonté de Dieu soit faite !
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Déposé par poutounou le 19/10/2016  
Certains jours, on se dit que le monde est rempli de haine, puis certaines fois, on écoute des histoires comme celle de Alaa qui redonnent espoir. Cet homme a sauvé 200 chats. Un immense respect à lui...
*
Des dizaines de chats abandonnés
*
Mohammad Alaa Aljaleel vit à Alep en Syrie. Vous savez tout comme moi à quel point ce pays est dévasté par la guerre et la violence. De nombreuses personnes ont quitté la ville dans l'espoir d'obtenir des jours meilleurs. Pour Alaa, ce n'est pas si simple. Il ne peut se résigner à quitter la ville tout en sachant à quel point de nombreuses vies dépendent de lui.
*
Alaa s'est occupé de quelques chiens et de plus de 170 chats. Tous ces chats sont devenus errants suite aux nombreux départs des habitants d'Alep. C'est tout naturellement que ces chats se sont tournés vers Alaa qui les a nourris et soignés pendant tout ce temps.
*
Alaa, le sauveur des chats
*
Les bonnes actions de Alaa se sont répandues dans la ville. Lorsque des familles souhaitaient quitter le pays, elles déposaient systématiquement leur chat dans les mains de Alaa dans l'espoir qu'il le prenne en charge.
*
Une jeune fille qui avait élevé son chat depuis toujours l'a laissé à Alaa. Ses parents souhaitaient quitter la ville, et il était impossible d'emmener le chat. La jeune fille pria Alaa de lui envoyer des photos de son chat. Alaa, touché par la petite fille, lui promit de lui envoyer des photos autant que possible. "Vous pensez que je pourrai récupérer mon chat quand je reviendrai ?" pleure la petite fille.
*
Le groupe de chats qui était d'une vingtaine a donc grossi jusqu'à atteindre les 100 chats. Dans le but de trouver une maison pour tous ces chats, Alaa a fondé un sanctuaire nommé Il Gattoro d'Aleppo.
*
Cet homme est clairement le sauveur de ces chats. Il risque sa vie chaque jour sous les bombardements pour s'occuper de sa nouvelle famille.
*
Pour Alaa, aimer les gens c'est aussi aimer tous les ĂȘtres vivants. Et les animaux en font partie intĂ©grante. C'est pourquoi il se donne tant de mal Ă  les aider. Comme il l'explique dans son interview pour la BBC, les bombardements et la guerre sont son quotidien, alors il fait tout son possible pour aider ces chats et se procurer un peu de bonheur.

Déposé par poutounou le 14/10/2016  
C'est vrai qu'on a tendance Ă  voir la couleur qui sait nous plaire...
*
L'habit d'Arlequin
*
Vous connaissez ce quai nommé de la Ferraille,
OĂč l'on vend des oiseaux, des hommes et des fleurs.
A mes fables souvent c'est lĂ  que je travaille ;
J'y vois des animaux, et j'observe leurs moeurs.
Un jour de mardi gras j'Ă©tais Ă  la fenĂȘtre
D'un oiseleur de mes amis,
Quand sur le quai je vis paraĂźtre
Un petit arlequin leste, bien fait, bien mis,
Qui, la batte à la main, d'une grùce légÚre,
Courait aprĂšs un masque en habit de bergĂšre.
Le peuple applaudissait par des ris, par des cris.
Tout prĂšs de moi, dans une cage,
Trois oiseaux étrangers, de différent plumage,
Perruche, cardinal, serin,
Regardaient aussi l'arlequin.
La perruche disait : " J'aime peu son visage,
Mais son charmant habit n'eut jamais son Ă©gal.
Il est d'un si beau vert ! - Vert ! dit le cardinal ;
Vous n'y voyez donc pas, ma chĂšre ?
L'habit est rouge assurément :
VoilĂ  ce qui le rend charmant.
- Oh ! pour celui-lĂ , mon compĂšre,
RĂ©pondit le serin, vous n'avez pas raison,
Car l'habit est jaune-citron ;
Et c'est ce jaune-là qui fait tout son mérite.
- Il est vert. - Il est jaune. - Il est rouge morbleu ! "
Interrompt chacun avec feu ;
Et déjà le trio s'irrite.
" Amis, apaisez-vous, leur crie un bon pivert ;
L'habit est jaune, rouge et vert.
Cela vous surprend fort ; voici tout le mystĂšre :
Ainsi que bien des gens d'esprit et de savoir,
Mais qui d'un seul cÎté regardent une affaire,
Chacun de vous ne veut y voir
Que la couleur qui sait lui plaire. "
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Déposé par ovanek le 09/10/2016  
💖 💖 9 💖 💖
**** Ne soit pas Triste ****
Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi.
Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a Ă©tĂ© prĂȘtĂ©e,
Le temps d'une vie terrestre.
Elle m'a permis de te connaßtre et de t'aimer à ma façon.
Mon vrai moi, l'Âme que je suis,
Vient de traverser une nouvelle Ă©tape vers l'accomplissement de soi.
Ne sois pas triste, sois heureux (se) pour moi.
LĂ  oĂč je suis, la lumiĂšre et l'Amour m'enivrent puisque,
En plus de nager dans un Océan d'Amour limpide,
J'ai emporté avec moi celui que tu m'as
Si gentiment et inconditionnellement offert !
J'aimais la Vie, tu le sais bien.
La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme !
Ce que j'avais Ă  apprendre ou Ă  faire
Dans cette vie-ci est accompli.
Je n'emporte que de bons souvenirs car,
Un événement triste ou encore un obstacle,
Dans mon ancien monde,
Est un privilĂšge, c'est une occasion de grandir
Qui est offerte, une occasion d'Ă©voluer
Un peu plus Ă  chaque fois.
S'il y a quelque chose que tu aurais aimé me dire,
Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant "conscience"
Je peux, par le fait mĂȘme, percevoir tes pensĂ©es
Et tes vibrations les plus pures.
Ce soir ou mĂȘme ici, installe-toi dans un coin calme, Entre en toi,
Ouvre ton cƓur et perçois mon image
Au centre d'un radieux soleil.
Sens son incommensurable chaleur qui t'apaise et t'irradie.
C'est Ă  ce moment-lĂ  que je t'enverrai d'ici,
Tout l'Amour Ă  l'Ă©tat cristallin
Qu'il t'est humainement possible de recevoir !
N'oublie pas que c'est ici, en toi,
Que tu pourras toujours reprendre contact.
MĂȘme si, parfois, tu ne me percevais pas,
Sois certain(e) que j'y serai tout de mĂȘme !!
Ta vie continue, La mienne aussi

Rendez-vous dans une autre dimension,
Au moment opportun. Je t'y accueillerai
Pensée
💖

Déposé par poutounou le 09/10/2016  
Et oui ! Le bien et le mal nous sont rendus. C'est vrai aussi pour ceux qui font du mal Ă  nos amis les bĂȘtes...
*
L'enfant et le miroir
*
Un enfant élevé dans un pauvre village
Revint chez ses parents, et fut surpris d'y voir
Un miroir.
D'abord il aima son image ;
Et puis, par un travers bien digne d'un enfant,
Et mĂȘme d'un ĂȘtre plus grand,
Il veut outrager ce qu'il aime,
Lui fait une grimace, et le miroir la rend.
Alors son dĂ©pit est extrĂȘme ;
Il lui montre un poing menaçant,
Il se voit menacĂ© de mĂȘme.
Notre marmot fùché s'en vient, en frémissant,
Battre cette image insolente ;
Il se fait mal aux mains. Sa colĂšre en augmente ;
Et, furieux, au désespoir,
Le voilĂ  devant ce miroir,
Criant, pleurant, frappant la glace.
Sa mĂšre, qui survient, le console, l'embrasse,
Tarit ses pleurs, et doucement lui dit :
N'as-tu pas commencé par faire la grimace
A ce méchant enfant qui cause ton dépit ?
- Oui. - Regarde à présent : tu souris, il sourit ;
Tu tends vers lui les bras, il te les tend de mĂȘme ;
Tu n'es plus en colĂšre, il ne se fĂąche plus :
De la sociĂ©tĂ© tu vois ici l'emblĂȘme ;
Le bien, le mal, nous sont rendus.
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Déposé par poutounou le 05/10/2016  
La brebis et le chien
*
La brebis et le chien, de tous les temps amis,
Se racontaient un jour leur vie infortunée.
Ah ! Disait la brebis, je pleure et je frémis
Quand je songe aux malheurs de notre destinée.
Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats,
Toujours soumis, tendre et fidĂšle,
Tu reçois, pour prix de ton zÚle,
Des coups et souvent le trépas.
Moi, qui tous les ans les habille,
Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs,
Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille
Assassiné par ces méchants.
Leurs confrÚres les loups dévorent ce qui reste.
Victimes de ces inhumains,
Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains,
VoilĂ  notre destin funeste !
Il est vrai, dit le chien : mais crois-tu plus heureux
Les auteurs de notre misĂšre ?
Va, ma soeur, il vaut encor mieux
Souffrir le mal que de le faire.
*
Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)

Déposé par poutounou le 30/09/2016  
Voici Octobre qui s'en vient Ă  grands pas avec les jours qui raccourcissent encore...
*
Matin d'Octobre
*
C'est l'heure exquise et matinale
Que rougit un soleil soudain.
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin.
*
Leur chute est lente. On peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chĂȘne Ă  sa feuille de cuivre,
L'Ă©rable Ă  sa feuille de sang.
*
Les derniÚres, les plus rouillées,
Tombent des branches dépouillées :
Mais ce n'est pas l'hiver encor.
*
Une blonde lumiĂšre arrose la nature
Et, dans l'air tout rose,
On croirait qu'il neige de l'or.




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Guizmo et Lulu
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