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En hommage à a de malheureux petits chiots,a leur mテゥmoire
BORDER-COLLIEIl est né le :--/--/----
Il nous a quittés le :08/04/2019

En hommage à a de malheureux petits chiots,a leur mテゥmoire
La folie humaine s'arrテェtera donc jamais....Ils テゥtaient en vie,ils テゥtaient la vie.....De qu'elle droit hテエte t'on celle テァi de maniティre si tragique et cruelle;;;;je suis indignテゥes...... |

486 Fleurs
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79 messages
Déposé par celibab le 06/02/2021Les Malheureux de Louise Ackermann a tous les animaux martyres , abandonnテゥs, esclaves La trompette a sonnテゥ. Des tombes entr'ouvertes Les pテ「les habitants ont tout テ coup frテゥmi. Ils se lティvent, laissant ces demeures dテゥsertes Oテケ dans l'ombre et la paix leur poussiティre a dormi. Quelques morts cependant sont restテゥs immobiles ; Ils ont tout entendu, mais le divin clairon Ni l'ange qui les presse テ ces derniers asiles Ne les arracheront. ツォ Quoi ! renaテョtre ! revoir le ciel et la lumiティre, Ces tテゥmoins d'un malheur qui n'est point oubliテゥ, Eux qui sur nos douleurs et sur notre misティre Ont souri sans pitiテゥ ! Non, non ! Plutテエt la Nuit, la Nuit sombre, テゥternelle ! Fille du vieux Chaos, garde-nous sous ton aile. Et toi, sナ砥r du Sommeil, toi qui nous as bercテゥs, Mort, ne nous livre pas ; contre ton sein fidティle Tiens-nous bien embrassテゥs. Ah! l'heure oテケ tu parus est テ jamais bテゥnie ; Sur notre front meurtri que ton baiser fut doux ! Quand tout nous rejetait, le nテゥant et la vie, Tes bras compatissants, テエ notre unique amie ! Se sont ouverts pour nous. Nous arrivions テ toi, venant d'un long voyage, Battus par tous les vents, haletants, harassテゥs. L'Espテゥrance elle-mテェme, au plus fort de l'orage, Nous avait dテゥlaissテゥs. Nous n'avions rencontrテゥ que dテゥsespoir et doute, Perdus parmi les flots d'un monde indiffテゥrent ; Oテケ d'autres s'arrテェtaient enchantテゥs sur la route, Nous errions en gテゥmissant. Prティs de nous la Jeunesse a passテゥ, les mains vides, Sans nous avoir fテェtテゥs, sans nous avoir souri. Les sources de l'amour sous nos babines avides, Comme une eau fugitive, au printemps ont tari. Dans nos sentiers brテサlテゥs pas une fleur ouverte. Si, pour aider nos pas, quelque soutien chテゥri Parfois s'offrait テ nous sur la route dテゥserte, Lorsque nous les touchions, nos appuis se brisaient : Tout devenait roseau quand nos cナ砥rs s'y posaient. Au gouffre que pour nous creusait la Destinテゥe Une invisible main nous poussait acharnテゥe. Comme un bourreau, craignant de nous voir テゥchapper, A nos cテエtテゥs marchait le Malheur inflexible. Nous portions une plaie テ chaque endroit sensible, Et l'aveugle Hasard savait oテケ nous frapper. Peut-テェtre aurions-nous droit aux celestes dテゥlices ; Non ! ce n'est point テ nous de redouter l'enfer, Car nos fautes n'ont pas mテゥritテゥ de supplices : Si nous avons failli, nous avons tant souffert ! Eh bien, nous renonテァons mテェme テ cette espテゥrance D'entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs, Seigneur ! nous refusons jusqu'テ ta rテゥcompense, Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs. Nous le savons, tu peux donner encor des ailes Aux テ「mes qui ployaient sous un fardeau trop lourd ; Tu peux, lorsqu'il te plaテョt, loin des sphティres mortelles, Les テゥlever テ toi dans la grテ「ce et l'amour ; Tu peux, parmi les chナ砥rs qui chantent tes louanges, A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang, Nous faire couronner par la main de tes anges, Nous revテェtir de gloire en nous transfigurant. Tu peux nous pテゥnテゥtrer d'une vigueur nouvelle, Nous rendre le dテゥsir que nous avions perdu窶ヲ Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle Attachテゥe テ nos cナ砥rs, l'en arracheras-tu ? Quand de tes chテゥrubins la phalange sacrテゥe Nous saluerait テゥlus en ouvrant les saints lieux, Nous leur crierions bientテエt d'une voix テゥplorテゥe : ツォ Nous テゥlus ? nous heureux ? Mais regardez nos yeux ! Les plaintes y sont encor, angoisse amers, pleurs sans nombre. Ah ! quoi que vous fassiez, ce voile テゥpais et sombre Nous obscurcit vos cieux. ツサ Contre leur grテゥ pourquoi ranimer nos poussiティres ? Que t'en reviendra-t-il ? et que t'ont-elles fait ? Tes dons mテェmes, aprティs tant d'horribles misティres, Ne sont plus un bienfait. Au ! tu frappas trop fort en ta fureur cruelle. Tu l'entends, tu le vois ! la Souffrance a vaincu. Dans un sommeil sans fin, テエ puissance テゥternelle ! Laisse-nous oublier que nous avons vテゥcu. |
Déposé par poutounou le 05/07/2020Partout, je t'ai vu, bel Ange... * Air vif * J'ai regardテゥ devant moi Dans la foule, je t'ai vu Parmi les blテゥs, je t'ai vu Sous un arbre, je t'ai vu * Au bout de tous mes voyages Au fond de tous mes tourments Au tournant de tous les rires Sortant de l'eau et du feu * L'テゥtテゥ, l'hiver je t'ai vu Dans ma maison, je t'ai vu Entre mes bras, je t'ai vu Dans mes rテェves, je t'ai vu * Je ne te quitterai plus. * Paul テ瑛uard ("Derniers poティmes d'amour") |
Déposé par poutounou le 28/06/2020Voilテ テ quoi ressemble l'テゥcole au Paradis... * Notre テゥcole * Notre テゥcole se trouve au ciel. Nous nous asseyons prテゥs des anges. Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. * A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacテゥes テ l'orange Les assiettes sont en dentelle. * Pas de leテァon, pas de devoirs Nous jouons quelque fois, le soir Au loto avec les テゥtoiles. * Jamais nous ne rテェvons la nuit Dans notre petit lit de toile L'テゥcole est notre paradis. * Maurice Carテェme ("le moulin de papier" - Nathan) |
Déposé par poutounou le 21/06/2020Quel beau programme ! * FARNIENTE * Quand je n窶兮i rien テ faire, et qu窶凖 peine un nuage Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage, J窶兮ime テ m窶凖ゥcouter vivre, et, libre de soucis, Loin des chemins poudreux, テ demeurer assis Sur un moelleux tapis de fougティre et de mousse, Au bord des bois touffus oテケ la chaleur s窶凖ゥmousse. Lテ, pour tuer le temps, j窶冩bserve la fourmi Qui, pensant au retour de l窶冑iver ennemi, Pour son grenier dテゥrobe un grain d窶冩rge テ la gerbe, Le puceron qui grimpe et se pend au brin d窶冑erbe, La chenille traテョnant ses anneaux veloutテゥs, La limace baveuse aux sillons argentテゥs, Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole. Ensuite je regarde, amusement frivole, La lumiティre brisant dans chacun de mes cils, Palissade opposテゥe テ ses rayons subtils, Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte En l窶兮ir, comme sur l窶冩nde un vaisseau sans pilote ; Et lorsque je suis las, je me laisse endormir, Au murmure de l窶册au qu窶冰n caillou fait gテゥmir, Ou j窶凖ゥcoute chanter prティs de moi la fauvette, Et lテ-haut dans l窶兮zur gazouiller l窶兮louette. * Thテゥophile Gautier, Premiティres Poテゥsies |
Déposé par poutounou le 14/06/2020Et si nos anges descendaient nous faire un petit coucou ! * L'ange de l'テゥtoile du matin * L'ange de l'テゥtoile du matin Descendit en son jardin Et s'approchant d'Elle : * " Viens, lui dit-il, je te montrerai Les beaux vallons et les bois secrets Oテケ vivent encore, en d'autres rテェves, Les esprits subtils De la terre. " * Elle テゥtendit le bras, et rit, Regardant entre ses cils L'ange en flamme dans le soleil, Et le suivit en silence. * Et l'ange, tandis qu'ils allaient Vers les ombreux bosquets, L'enlaテァait, et posait Dans ses clairs cheveux plus longs que ses ailes, Des fleurs qu'il cueillait Aux branches au-dessus d'Elle. * Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) |
Déposé par poutounou le 07/06/2020Oh le joli mois de juin !!! * Juin * Les prテゥs ont une odeur d窶冑erbe verte et mouillテゥe, Un frais soleil pテゥnティtre en l窶凖ゥpaisseur des bois, Toute chose テゥtincelle, et la jeune feuillテゥe Et les nids palpitants s窶凖ゥveillent テ la fois. * Les cours d窶册au diligents aux pentes des collines Ruissellent, clairs et gais, sur la mousse et le thym ; Ils chantent au milieu des buissons d窶兮ubテゥpines Avec le vent rieur et l窶冩iseau du matin. * Les gazons sont tout pleins de voix harmonieuses, L窶兮ube fait un tapis de perles aux sentiers, Et l窶兮beille, quittant les prochaines yeuses, Suspend son aile d窶冩r aux pテ「les テゥglantiers. * Sous les saules ployants la vache lente et belle Paテョt dans l窶冑erbe abondante au bord des tiティdes eaux ; La joug n窶兮 point encor courbテゥ son cou rebelle, Une rose vapeur emplit ses blonds naseaux. * Et par delテ le fleuve aux deux rives fleuries Qui vers l窶冑orizon bleu coule テ travers les prテゥs, Le taureau mugissant, roi fougueux des prairies, Hume l窶兮ir qui l窶册nivre, et bat ses flancs pourprテゥs. * La Terre rit, confuse, テ la vierge pareille Qui d窶冰n premier baiser frテゥmit languissamment, Et son oeil est humide et sa joue est vermeille, Et son テ「me a senti les lティvres de l窶兮mant. * O rougeur, voluptテゥ de la Terre ravie ! Frissonnements des bois, souffles mystテゥrieux ! Parfumez bien le coeur qui va goテサter la vie, Trempez-le dans la paix et la fraテョcheur des cieux ! * Assez tテエt, tout baignテゥs de larmes printaniティres, Par essaims テゥperdus ses songes envolテゥs Iront brテサler leur aile aux ardentes lumiティres Des テゥtテゥs sans ombrage et des dテゥsirs troublテゥs. * Alors inclinez-lui vos coupes de rosテゥe, O fleurs de son Printemps, Aube de ses beaux jours ! Et verse un flot de pourpre en son テ「me テゥpuisテゥe, Soleil, divin Soleil de ses jeunes amours ! * Charles Leconte de Lisle, |
Déposé par poutounou le 31/05/2020N窶册ntendez-vous pas, dans l窶冓nfini, battre les ailes de nos Anges ? * L窶冩mbre est bleue et la nuit palpite d窶冩rs tremblants Dans l窶兮zur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frテゥmissent au souffle onduleux du mystティre * Les longs voiles traテョnants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, En une ascension dont l窶册ssor tremble au clair de lune * N窶册ntends-tu pas dans l窶冓nfini, battre leurs ailes ? Les テゥtoiles, au chant des sphティres テゥternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmテゥes, * Qui lentement, parmi les ombres embaumテゥes, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pテ「mer les roses. * Fernand Gregh |
Déposé par poutounou le 24/05/2020Un Ange parfois joue aux billes窶ヲ * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une テゥtoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fテゥe courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rテェvant derriティre un carreau. * Maurice Carテェme |
Déposé par poutounou le 21/05/2020Petit problティme pour Dimanche et Lundi 窶 Excuses !!! * N窶册ntends-tu pas dans l窶冓nfini, battre leurs ailes ? * L' envol des anges * L'ombre est bleu et la nuit palpite d'ors tremblants Dans l'azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frテゥmissent au souffle onduleux du mystティre. * Les longs voiles traテョnants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, en une ascension dont l'essor tremble au clair de lune. * N'entends-tu pas dans l'infini, battre leurs ailes ? Les テゥtoiles, au chant des sphティres テゥternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmテゥes, * Qui lentement, parmi les ombres embaumテゥes, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pテ「mer les roses. * Fernand Gregh |
Déposé par poutounou le 10/05/2020Homme ! Ne crains rien ! La nature sait le grand secret et sourit窶ヲ * Printemps * Tout est lumiティre, tout est joie. L'araignテゥe au pied diligent Attache aux tulipes de soie Les rondes dentelles d'argent. La frissonnante libellule Mire les globes de ses yeux Dans l'テゥtang splendide oテケ pullule Tout un monde mystテゥrieux. La rose semble, rajeunie, S'accoupler au bouton vermeil L'oiseau chante plein d'harmonie Dans les rameaux pleins de soleil. Sous les bois, oテケ tout bruit s'テゥmousse, Le faon craintif joue en rテェvant ; Dans les verts テゥcrins de la mousse, Luit le scarabテゥe, or vivant. La lune au jour est tiティde et pテ「le Comme un joyeux convalescent ; Tendre, elle ouvre ses yeux d'opale D'oテケ la douceur du ciel descend ! Tout vit et se pose avec grテ「ce, Le rayon sur le seuil ouvert, L'ombre qui fuit sur l'eau qui passe, Le ciel bleu sur le coteau vert ! La plaine brille, heureuse et pure ; Le bois jase ; l'herbe fleurit. Homme ! ne crains rien ! la nature Sait le grand secret, et sourit *. Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 03/05/2020Pluie de Printemps * Pluie de Printemps tombe du ciel parfumテゥe au Soleil qui vient pointer son nez Les plantes sourient テ la lueur du jour Et viennent offrir leur coeur テ ces gouttes semテゥes * Pluie de printemps, plus belle que l窶僊utomne Vient rafraテョchir les coeurs, vient inonder les coeurs Et bientテエt donne tout ce qu窶兮ttend la Nature L窶僞au si prテゥcieuse et pure pour tout recommencer * Elodie Santos, 2009 |
Déposé par choupinou le 01/05/2020PETIT POEME EN CE 01/05/2020 Petit brin charmant de muguet au parfum si dテゥlicat confit moi le secret du bonheur du beau jardin la-bas Ecarte de ma vie le chagrin,la tristesse et la mテゥlancolie donne a mon coeur,les beaux rayons du soleil la chaleur de mon amour pour ma petite merveille Dテゥlicieuse clochettes,blanche immaculテゥe emplit de poティme et de puretテゥ, joue moi un petit brin de ta douce musique pour mon テ「me tourmentテゥes,mon テェtre nostalgique Jolies,petites fleurs, brin de muguet voici le premier jour de mois Mai remplit de tendresse et d'amour le coeur de mon petit ange pour toujours Petit brin de bonheur qui m'enivre de ta fraテョcheur messager d'amour aux similitudes blanchテ「tre couleurs redonne sur ma vie et mon chagrin,de la douceur , que mon petit trテゥsor,mon bel ange,comprenne ton message Il est la fleur que j'ai a t'offrir donnant l'espoir avec de beaux souvenirs transmette dans ton coeur,la beautテゥ de mon amour ce petit brin de muguet,je te l'offre petit mamour Que ce petit brin de joie et de bonheur sert de lien entre nous deux,d'un amour infini qu'il nous rテゥunisse a jamais dans des jours heureux car ce grand moment dans mon coeur est テゥcrit テゥcrit de choupinou |
Déposé par poutounou le 26/04/2020Un peu de Thテゥophile Gautier窶ヲ * Au printemps * Regardez les branches Comme elles sont blanches ! Il neige des fleurs. Riant dans la pluie, Le soleil essuie Les saules en pleurs Et le ciel reflティte, Dans la violette Ses pures couleurs... La mouche ouvre l'aile Et la demoiselle Aux prunelles d'or, Au corset de guテェpe Dテゥpliant son crテェpe, A repris l'essor. Le goujon frテゥtille Un printemps encore ! * Thテゥophile Gautier |
Déposé par poutounou le 19/04/2020Venez, venez vite, hirondelles, repeupler l窶兮zur calme et doux窶ヲ * Avril * Lorsqu窶冰n homme n窶兮 pas d窶兮mour, Rien du printemps ne l窶冓ntテゥresse ; Il voit mテェme sans allテゥgresse, Hirondelles, votre retour ; * Et, devant vos troupes lテゥgティres Qui traversent le ciel du soir, Il songe que d窶兮ucun espoir Vous n窶凖ェtes pour lui messagティres. * Chez moi ce spleen a trop durテゥ, Et quand je voyais dans les nues Les hirondelles revenues, Chaque printemps, j窶兮i bien pleurテゥ. * Mais depuis que toute ma vie A subi ton charme subtil, Mignonne, aux promesses d窶僊vril Je m窶兮bandonne et me confie. * Depuis qu窶冰n regard bien-aimテゥ A fait refleurir tout mon テェtre, Je vous attends テ ma fenテェtre, Chティres voyageuses de Mai. * Venez, venez vite, hirondelles, Repeupler l窶兮zur calme et doux, Car mon dテゥsir qui va vers vous S窶兮ccuse de n窶兮voir pas d窶兮iles. * Franテァois Coppテゥe, |
Déposé par poutounou le 12/04/2020Joyeuses Pテ「ques テ vous tous et toutes avec plein de chocolats. Mium, miam, miam窶ヲ * Joyeuses Pテ「ques ! * En cette belle saison, Le soleil fait danser Ses doux rayons, Et le vent aime chanter Une tendre chanson... C'est le grand rテゥveil Miraculeux de la nature, Qui テゥmerveille par la beautテゥ De sa verdure, La puretテゥ d'un ciel d'azur, Et qui est un appel A une vie nouvelle ! |
Déposé par celibab le 10/04/2020Les personnes sensibles et prテゥsente par leur dテゥlicatesse sont faites ainsi: Elles font tout avec leur coeur et mテェme si elles en ont des cicatrices, elles ne changerons jamais,elles continuerons a faire tout avec leur coeur, parce que ce n'est pas un choix,c'est une faテァon d'テェtre,une faテァon de vivre Agostino Degas Merci pour les petits Chiots Border,merci pour votre Amour merci de vos pensテゥes et de votre gratitude et respect pour eux choupinou&celibab |
Déposé par celibab le 10/04/2020Les personnes sensibles et prテゥsente par leur dテゥlicatesse sont faites ainsi: Elles font tout avec leur coeur et mテェme si elles en ont des cicatrices, elles ne changerons jamais,elles continuerons a faire tout avec leur coeur, parce que ce n'est pas un choix,c'est une faテァon d'テェtre,une faテァon de vivre Agostino Degas Merci pour les petits Chiots Border,merci pour votre Amour merci de vos pensテゥes et de votre gratitude et respect pour eux choupinou&celibab |
Déposé par choupinou le 08/04/2020Oui, vous vivez petits bテゥbテゥs テ l'infini mon Ange... * テ l'infini * Lテ-haut,vous テェtes. Lテ-haut quoiqu'il advienne, anges-soleil d'un miracle テ jamais que rien ne sテゥpare de la pure lumiティre ni du souffle ascendant de cette amour promis * A une autre altitude, vous テェtes lテ, hors d'atteinte, hors du monde oテケ meurent les テ「mes et les corps. Vous dansez petits chiots sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Vous vivez テ l'infini. * Andrテゥ Velter Douces pensテゥes petits bテゥbテゥs d'amour,que la lumiティre テゥternelle soit toujours avec vous,petits テェtres innocents d'amour,soyez heureux dans le jardin de la beautテゥ et de sagesse; jouaient dans les prティs,les champs,ou les fleurs,les lacs,les ruisseaux sont de toutes couleurs chatoyantes et ,ou surtout s'y diffusent des senteurs extraordinairement parfumテゥes... Toutes ma tendresse petits anges |
Déposé par poutounou le 08/04/2020En ce jour anniversaire * LE SILENCE DES MOTS * Si seulement il existait des mots qui sauraient te raconter, je trouverais les plus beaux ceux qui ne peuvent rien briser. * Je les placerais devant toi sur une tendre mテゥlodie et ils t'exprimeraient ce que moi je n'ai encore jamais dit. * De ta tendresse et de ta douceur ils sont le lien qui nous unit car j'y ai trouvテゥ dans ton coeur un amour infini. * Pourquoi donc cette solitude d'un coeur qui a tant souffert, vient blesser les habitudes comme si elles ne savaient que faire. * Ce matin je pense テ toi et les mots dansent devant mes yeux, j'aimerais テェtre contre toi plus un seul mot, rien que nous deux. * Dans le silence de chaque mot il y a tant de paroles et d'amour que tout ce que mon coeur trouve beau, grandit テ chaque jour. * (Auteur inconnu) |
Déposé par poutounou le 15/03/2020Mais de toi je n窶冓mplore, Ange, que tes priティres, Ange plein de bonheur, de joie et de lumiティres. * A nos Anges窶ヲ * Poティte : Charles Baudelaire (1821-1867) Recueil : Les fleurs du mal (1857) *. Ange plein de gaietテゥ, connaissez-vous l'angoisse, La honte, les remords, les sanglots, les ennuis, Et les vagues terreurs de ces affreuses nuits Qui compriment le coeur comme un papier qu'on froisse ? Ange plein de gaietテゥ, connaissez-vous l'angoisse ? * Ange plein de bontテゥ, connaissez-vous la haine, Les poings crispテゥs dans l'ombre et les larmes de fiel, Quand la Vengeance bat son infernal rappel, Et de nos facultテゥs se fait le capitaine ? Ange plein de bontテゥ, connaissez-vous la haine ? * Ange plein de santテゥ, connaissez-vous les Fiティvres, Qui, le long des grands murs de l'hospice blafard, Comme des exilテゥs, s'en vont d'un pied traテョnard, Cherchant le soleil rare et remuant les lティvres ? Ange plein de santテゥ, connaissez-vous les Fiティvres ? * Ange plein de beautテゥ, connaissez-vous les rides, Et la peur de vieillir, et ce hideux tourment De lire la secrティte horreur du dテゥvouement Dans des yeux oテケ longtemps burent nos yeux avides ? Ange plein de beautテゥ, connaissez-vous les rides ? * Ange plein de bonheur, de joie et de lumiティres, David mourant aurait demandテゥ la santテゥ Aux テゥmanations de ton corps enchantテゥ ; Mais de toi je n'implore, ange, que tes priティres, Ange plein de bonheur, de joie et de lumiティres ! * Charles Baudelaire. |

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