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En hommage à
New Diego dit Boubou
Il est né le:23/11/2011
Il nous a quittés le:23/07/2019
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45 bougies
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656 messages
Déposé par poutounou le 07/04/2024Que câest beau : « LâĂąme est immortelle et hier câest demain » * Hier câest demain⊠* Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses, Pour savoir, aprĂšs tout, ce quâon aime le mieux, Les bonbons, lâOcĂ©an, le jeu, lâazur des cieux, Les chiens, les lauriers et les roses. * Il faut fouler aux pieds des fleurs Ă peine Ă©closes ; Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup dâadieux. Puis le coeur sâaperçoit quâil est devenu vieux, Et lâeffet qui sâen va nous dĂ©couvre les causes. * De ces biens passagers que lâon goĂ»te Ă demi, Le meilleur qui nous reste est un ancien ami. On se brouille, on se fuit. Quâun hasard nous rassemble, * On sâapproche, on sourit, la « patte » touche la main, Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble, Que lâĂąme est immortelle, et quâhier câest demain. * Alfred de Musset |
Déposé par poutounou le 03/04/2024Venez, venez vite, hirondelles, repeupler lâazur calme et doux⊠* Avril * Lorsquâun homme nâa pas dâamour, Rien du printemps ne lâintĂ©resse ; Il voit mĂȘme sans allĂ©gresse, Hirondelles, votre retour ; * Et, devant vos troupes lĂ©gĂšres Qui traversent le ciel du soir, Il songe que dâaucun espoir Vous nâĂȘtes pour lui messagĂšres. * Chez moi ce spleen a trop durĂ©, Et quand je voyais dans les nues Les hirondelles revenues, Chaque printemps, jâai bien pleurĂ©. * Mais depuis que toute ma vie A subi ton charme subtil, Mignonne, aux promesses dâAvril Je mâabandonne et me confie. * Depuis quâun regard bien-aimĂ© A fait refleurir tout mon ĂȘtre, Je vous attends Ă ma fenĂȘtre, ChĂšres voyageuses de Mai. * Venez, venez vite, hirondelles, Repeupler lâazur calme et doux, Car mon dĂ©sir qui va vers vous Sâaccuse de nâavoir pas dâailes. * François CoppĂ©e, |
Déposé par choupinou le 01/04/2024 J'espĂšre que tu as passĂ© une joyeuse fĂȘte de PĂąques, petit ange d'amour, que la chasse aux trĂ©sors a Ă©tĂ© trĂšs amusante ! J'espĂšre que tu as rĂ©colter une montagne, de đ , d'đ„ et des petits 𩮠en chocolat, et que tu as prit aussi le temps de regarder de ton nuage comme la nature se fait belle en ce moment, malgrĂ© la pluie en bas sur nos villes, villages ! Je sais que la haut dans ton beau jardin tu as du soleil. Oui je suis sĂ»r que que tu as su profiter de ces 3 belles journĂ©es pour jouer et de ce dimanche pour chasser, dans les belles allĂ©es blanches et les vertes prairies, toutes ces merveilleuses friandises avec tous tes petits amis, maintenant passez un bon moment ensemble et rĂ©galez vous bien...le đ« ne vous feras plus aucun mal đ |
Déposé par lili2248 le 01/04/2024Câest un peu long Ă lire, mais quel joli conte que celui-ci !!! Bon lundi de PĂąques Ă vous tous⊠Ah oui, je veux la mĂȘme poule !!! * Le secret des oeufs de paques * Il Ă©tait une fois un petit pays tranquille oĂč, lorsque le printemps s'annonçait, les gens, dans chaque village, organisaient un grand marchĂ©. Ils enfilaient leur costume de fĂȘte et s'installaient sur la place principale pour vendre ce qu'ils avaient produit de meilleur ou de plus beau : des couronnes de brioche ou de pain dorĂ©, des oeufs, des outils de bois sculptĂ©, des ceintures de cuir ... La nature elle-mĂȘme participait Ă l'Ă©vĂ©nement. Les pommiers s'habillaient de blanc, les papillons dĂ©froissaient leurs ailes et les fleurs leurs pĂ©tales. Un jour, au centre d'un de ces villages, comme d'habitude Ă cette Ă©poque, des fermiĂšres comparaient les oeufs de leur poulailler. C'Ă©tait Ă qui aurait les plus gros, les plus ronds ou les plus blancs. Seule une vieille femme se taisait. Elle ne possĂ©dait pour toute fortune qu'une petite poule maigrichonne qui ne lui avait donnĂ© que trois petits oeufs pas plus gros que des billes. * La vieille femme soupirait : Je suis pauvre, ma poulette, que je t'ai mal nourrie et que tes oeufs sont tout juste bons Ă offrir aux enfants pour jouer aux billes. Comme il faut cependant que je vende quelque chose afin de gagner quelques sous, c'est toi que je vais ĂȘtre obligĂ©e de mettre Ă l'Ă©talage... * A ces mots, la petite poule se mit Ă crier : PitiĂ©, ma bonne dame ! Je ne veux pas finir rĂŽtie. Si vous me gardez, je vous promets de pondre l'annĂ©e prochaine les oeufs les plus extraordinaires ! * La vieille femme n'en crut rien, mais elle se laissa attendrir et rentra chez elle avec sa poulette. Une annĂ©e passa. Et la vieille femme, de plus en plus pauvre, n'avait que quelques poignĂ©es de riz Ă donner Ă sa petite poule en guise de nourriture. Le jour du marchĂ© approchait et la petite bĂȘte dĂ©pĂ©rissait. Elle comprit qu'elle ne pouvait pondre des oeufs plus gros que ceux de l'an passĂ© et , dĂ©sespĂ©rĂ©e, elle alla se cacher dans un champ pour se lamenter : Que vais-je devenir si je ne suis pas capable de donner Ă ma maĂźtresse que trois petits oeufs tout juste bons Ă offrir aux enfants pour jouer aux billes ? Cette fois, elle sera forcĂ©e de me vendre, et je finirai dans l'assiette d'un gros fermier ! Tout Ă sa peine, elle ne se rendit pas compte que les fleurs et les papillons l'Ă©coutaient Nous ne laisseront pas faire cela ! chuchotĂšrent-ils. A la nuit tombĂ©e, les fleurs se couchĂšrent sur le sol, formant une sorte de litiĂšre multicolore au creux de laquelle se blottit la petite poule. Puis les papillons Ă©tendirent leurs ailes sur elle comme une couverture bruissante et bariolĂ©e. Au matin, lorsqu'elle se rĂ©veilla, la poulette se sentit fraĂźche, dispose, et mĂȘme si ragaillardie qu'elle se mit Ă chanter et pondit une demi-douzaine d'oeufs. Et ces oeufs-lĂ n'Ă©taient pas ordinaires ! Ils n'Ă©taient toujours pas bien gros, mais ils possĂ©daient toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Et mĂȘme, Ă y regarder de prĂšs, on pouvait voir sur leur coquille de trĂšs jolis dessins comme on peut en admirer sur les ailes des papillons. Toute heureuse, la petite poule courut chercher sa maĂźtresse. Celle-ci examina les oeufs un par un avant de les ranger dans son tablier : Tu as tenu ta promesse. Ce sont bien les oeufs les plus extraordinaires que l'on puisse voir ! J'ai eu raison de ne pas te vendre ! * Le jour du marchĂ©, les oeufs de la vieille femme attirĂšrent les curieux. On se bouscula pour les acheter et la pauvre fermiĂšre rĂ©colta plus de piĂšces d'argent qu'elle n'en avait jamais eues dans sa vie. Depuis ce jour, chaque annĂ©e, dans ce petit village, puis dans tout le pays, et mĂȘme dans les contrĂ©es voisines, les gens essayĂšrent de copier les oeufs de la vieille dame en peignant et dĂ©corant les leurs. Mais ils ne rĂ©ussirent jamais Ă les Ă©galer en couleurs et en dĂ©licatesse, car la petite poule, les fleurs des champs et les papillons gardĂšrent bien leur secret. C'est ainsi que, chaque annĂ©e, lorsque s'annonce le printemps, on prit dans ce petit pays et ensuite dans le monde entier l'habitude de dĂ©corer les oeufs .... |
Déposé par poutounou le 01/04/2024Câest un peu long Ă lire, mais quel joli conte que celui-ci !!! Bon lundi de PĂąques Ă vous tous⊠Ah oui, je veux la mĂȘme poule !!! * Le secret des oeufs de paques * Il Ă©tait une fois un petit pays tranquille oĂč, lorsque le printemps s'annonçait, les gens, dans chaque village, organisaient un grand marchĂ©. Ils enfilaient leur costume de fĂȘte et s'installaient sur la place principale pour vendre ce qu'ils avaient produit de meilleur ou de plus beau : des couronnes de brioche ou de pain dorĂ©, des oeufs, des outils de bois sculptĂ©, des ceintures de cuir ... La nature elle-mĂȘme participait Ă l'Ă©vĂ©nement. Les pommiers s'habillaient de blanc, les papillons dĂ©froissaient leurs ailes et les fleurs leurs pĂ©tales. Un jour, au centre d'un de ces villages, comme d'habitude Ă cette Ă©poque, des fermiĂšres comparaient les oeufs de leur poulailler. C'Ă©tait Ă qui aurait les plus gros, les plus ronds ou les plus blancs. Seule une vieille femme se taisait. Elle ne possĂ©dait pour toute fortune qu'une petite poule maigrichonne qui ne lui avait donnĂ© que trois petits oeufs pas plus gros que des billes. * La vieille femme soupirait : Je suis pauvre, ma poulette, que je t'ai mal nourrie et que tes oeufs sont tout juste bons Ă offrir aux enfants pour jouer aux billes. Comme il faut cependant que je vende quelque chose afin de gagner quelques sous, c'est toi que je vais ĂȘtre obligĂ©e de mettre Ă l'Ă©talage... * A ces mots, la petite poule se mit Ă crier : PitiĂ©, ma bonne dame ! Je ne veux pas finir rĂŽtie. Si vous me gardez, je vous promets de pondre l'annĂ©e prochaine les oeufs les plus extraordinaires ! * La vieille femme n'en crut rien, mais elle se laissa attendrir et rentra chez elle avec sa poulette. Une annĂ©e passa. Et la vieille femme, de plus en plus pauvre, n'avait que quelques poignĂ©es de riz Ă donner Ă sa petite poule en guise de nourriture. Le jour du marchĂ© approchait et la petite bĂȘte dĂ©pĂ©rissait. Elle comprit qu'elle ne pouvait pondre des oeufs plus gros que ceux de l'an passĂ© et , dĂ©sespĂ©rĂ©e, elle alla se cacher dans un champ pour se lamenter : Que vais-je devenir si je ne suis pas capable de donner Ă ma maĂźtresse que trois petits oeufs tout juste bons Ă offrir aux enfants pour jouer aux billes ? Cette fois, elle sera forcĂ©e de me vendre, et je finirai dans l'assiette d'un gros fermier ! Tout Ă sa peine, elle ne se rendit pas compte que les fleurs et les papillons l'Ă©coutaient Nous ne laisseront pas faire cela ! chuchotĂšrent-ils. A la nuit tombĂ©e, les fleurs se couchĂšrent sur le sol, formant une sorte de litiĂšre multicolore au creux de laquelle se blottit la petite poule. Puis les papillons Ă©tendirent leurs ailes sur elle comme une couverture bruissante et bariolĂ©e. Au matin, lorsqu'elle se rĂ©veilla, la poulette se sentit fraĂźche, dispose, et mĂȘme si ragaillardie qu'elle se mit Ă chanter et pondit une demi-douzaine d'oeufs. Et ces oeufs-lĂ n'Ă©taient pas ordinaires ! Ils n'Ă©taient toujours pas bien gros, mais ils possĂ©daient toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Et mĂȘme, Ă y regarder de prĂšs, on pouvait voir sur leur coquille de trĂšs jolis dessins comme on peut en admirer sur les ailes des papillons. Toute heureuse, la petite poule courut chercher sa maĂźtresse. Celle-ci examina les oeufs un par un avant de les ranger dans son tablier : Tu as tenu ta promesse. Ce sont bien les oeufs les plus extraordinaires que l'on puisse voir ! J'ai eu raison de ne pas te vendre ! * Le jour du marchĂ©, les oeufs de la vieille femme attirĂšrent les curieux. On se bouscula pour les acheter et la pauvre fermiĂšre rĂ©colta plus de piĂšces d'argent qu'elle n'en avait jamais eues dans sa vie. Depuis ce jour, chaque annĂ©e, dans ce petit village, puis dans tout le pays, et mĂȘme dans les contrĂ©es voisines, les gens essayĂšrent de copier les oeufs de la vieille dame en peignant et dĂ©corant les leurs. Mais ils ne rĂ©ussirent jamais Ă les Ă©galer en couleurs et en dĂ©licatesse, car la petite poule, les fleurs des champs et les papillons gardĂšrent bien leur secret. C'est ainsi que, chaque annĂ©e, lorsque s'annonce le printemps, on prit dans ce petit pays et ensuite dans le monde entier l'habitude de dĂ©corer les oeufs .... |
Déposé par poutounou le 31/03/2024Matin de PĂąques * Dig, ding, don ! Dig, ding, don ! Sonnez matines, FrĂšres Jacques ! Dig, ding, don ! Dig, ding, don ! Sonnez le carillon de PĂąques ! Dig, ding, don ! Dig, ding, don ! Cloches, clochettes et bourdons, Par ce matin clair et sonore, La poulette jaune picore Un grain dâor par-lĂ , un grain par ci, Et se promĂšne sans souci. * Fais-nous vite un Ćuf ma poulette, A la coquille blanche et nette, Ou plutĂŽt⊠Tiens ! Oui câest cela, Fais-nous un Ćuf en chocolat. * Daniel Roth * Je souhaite Ă tous les anges du Paradis blanc ainsi qu'Ă leur famille de coeur de Joyeuses fĂȘtes de PĂąques avec plein de chocolat et d'oeufs multicolores, miam, miam, slurp....Hier ils ont tous fĂȘtĂ© PĂąques dans la grande prairie avec des mets tous plus succulents les uns que les autres. Qu'il fait bon vivre dans ce "Paradis blanc" oĂč tout n'est qu'Amour et oĂč il n'y a pas de place pour la mĂ©chancetĂ©, la torture, l'abandon et toutes ces "choses" si nĂ©gatives que l'on trouve sur terre... * Je souhaite Ă©galement, Ă tous les membres du cimetiĂšre virtuel, une bonne santĂ©, car c'est le plus important : sans la santĂ© rien ne va....alors "Super santĂ©" Ă vous tous... * Amicalement, * Martine |
Déposé par choupinou le 27/03/2024toute les plantes, tous les arbres, tous ce qu'est la nature, ses animaux, et tous nos petits anges prĂ©sents ou absents sont nos soeurs et frĂšres; ils parlent de nous et si nous Ă©coutons, nous pouvons les entendre. PensĂ©es ARAPAHO đŠ
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Déposé par poutounou le 27/03/2024QUARTIER LIBRE * J'ai mis mon kĂ©pi dans la cage et je suis sorti avec l'oiseau sur la tĂȘte. Alors, on ne salue plus ? a demandĂ© le commandant. Non, a rĂ©pondu l'oiseau. Ah bon ! excusez-moi, je croyais qu'on saluait, a dit le commandant. Vous ĂȘtes tout excusĂ©, tout le monde peut se tromper a dit l'oiseau. * Jacques PrĂ©vert - Paroles |
Déposé par goulou50 le 26/03/2024Ton Ă©toile, Dans le ciel, ton Ă©toile est la plus belle C'est beau, mais c'est trop haut... Je la regarde souvent, A chaque fois, en pleurant, Une Ă©toile, c'est une absence, Une Ă©toile, c'est plus une prĂ©sence... Il faut attendre la nuit, AprĂšs une journĂ©e d'ennui, Et quand mon Ăąme se mine, Le soir avec ton Ă©toile s'est intime... Je pleure en la regardant, Je pleure en t'attendant, Mon jour viendra de rejoindre la nuit, D'enfin te rejoindre au paradis... Pour l'instant, ton Ă©toile est filante, Elle part, elle revient et ça me hante... Je ne peux pas la dĂ©crocher, Je suis condamnĂ©e Ă ne pouvoir que la contempler |
Déposé par choupinou le 26/03/2024Je t'aime si fort, et je te le dis, je te le rĂ©pĂšte, mes paroles te l'expriment; Je t'envoie mes baisers qui te le prouve, je te les offres ainsi pendant l'Ă©ternitĂ©, et chaque jour, je regrette la journĂ©e qui va s'Ă©couler sans toi, chaque matin, j'en veux au soleil de briller sans toi, comme aujourd'hui, quand je ne te vois plus nager dans ton bel aquarium mais l'a t'il compris car il s'est cachĂ© dĂ©licatement, il fait gris.... |
Déposé par poutounou le 24/03/2024CHANSON DES ESCARGOTS QUI VONT A L'ENTERREMENT * A l'enterrement d'une feuille morte Deux escargots s'en vont Ils ont la coquille noire Du crĂȘpe autour des cornes Ils s'en vont dans le soir Un trĂšs beau soir d'automne HĂ©las quand ils arrivent C'est dĂ©jĂ le printemps Les feuilles qui Ă©taient mortes Sont toutes ressuscitĂ©es Et les deux escargots Sont trĂšs dĂ©sappointĂ©s Mais voilĂ le soleil Le soleil qui leur dit Prenez, prenez la peine La peine de vous asseoir Prenez un verre de biĂšre Si le coeur vous en dit Prenez si ça vous plaĂźt L'autocar pour Paris Il partira ce soir Vous verrez du pays Mais ne prenez pas le deuil C'est moi qui vous le dis Ăa noircit le blanc de lâĆil Et puis ça enlaidit Les histoires de cercueil C'est triste et pas joli Reprenez vos couleurs Les couleurs de la vie Alors toutes les bĂȘtes Les arbres et les plantes Se mettent Ă chanter A chanter Ă tue-tĂȘte La vraie chanson vivante La chanson de l'Ă©tĂ© Et tout le monde de boire Tout le monde de trinquer C'est un trĂšs joli soir Un joli soir d'Ă©tĂ© Et les deux escargots S'en retournent chez eux Ils s'en vont trĂšs Ă©mus Ils s'en vont trĂšs heureux Comme ils ont beaucoup bu Ils titubent un p'tit peu Mais lĂ -haut dans le ciel La lune veille sur eux. * Jacques PrĂ©vert |
Déposé par tazounette le 23/03/202456 mois que tu as mis tes ailes 56 mois de manque de toi 56 mois de torture 56 mois .............. Je t'aime pour toujours |
Déposé par choupinou le 20/03/2024Oiseau de Printemps Belle mĂ©sange tu es sorti de lâombre PosĂ© sur la rembarde pour venir me chanter Une ode Ă la Nature, au Soleil, au Printemps Tu es venu me dire que lâAmour est devant Saute, vrille, vole Et mange toutes les graines que je tâai donnĂ©es Reviens dans mon jardin, recommence ton chant Qui mâenvahit toute entiĂšre, de doux messages Ces matins des beaux jours belle mĂ©sange je te veux sur ma route dans ma jolie campagne, sur les jolies branches de mon arbre en face de la baie vitrĂ©e Elodie Santos, 2009 (Avec quelques changement de ma part choupinou) |
Déposé par poutounou le 20/03/2024L'enfant de lune * La lune en maraude au coeur des vergers Grimpait aux pommiers en jupon d'argent ; Surgirent des chiens rauques, dĂ©chaĂźnĂ©s : La lune s'enfuit, laissant un enfant. * Il vint avec nous en classe au village, Tout Ă fait semblable aux autres garçons Sauf cette clartĂ© nimbant son visage Sous le feu de joie de ses cheveux blonds. * Il aimait la pluie, les sources, les marbres, Tout ce qui ruisselle et ce qui reluit ; Le soir il veillait trĂšs tard sous les arbres Regardant tomber lentement la nuit. * La lune en maraude au cĆur des vergers Vint chercher l'enfant un soir gris d'automne : Vite, il s'envola. J'entends Ă jamais Le bruit de son aile amie qui frissonne. * Marc Alyn |
Déposé par choupinou le 19/03/2024une larme dans le ciel une image Ă©ternelle celle de toi mon coeur comme une douce chaleur une fleur dans le jardin je sens ton odeur angelin comme pour te retenir le souvenir du dĂ©sir maintenant tu explores de multiples dĂ©cors des mondes parallĂšles qui font briller tes ailes quand le soir augure une lueur obscure je garde de toi que la lumiĂšre et l'Ă©clat PoĂ©sie David BrĂ©ant |
Déposé par poutounou le 17/03/2024L'autre monde dans lequel tu vis Ă prĂ©sent bel Ange... * L'autre monde * Quand je ferme les yeux, J'allume les lumiĂšres Des plafonds merveilleux Que dĂ©ploient mes paupiĂšres * Et qui m'Ă©clairent les lieux OĂč je viens, solitaire, Glaner des rĂȘves bleus Dans la nuit, sur mes terres. * Anne Schwarz-Henrich |
Déposé par choupinou le 15/03/2024Eh voilĂ , le Printemps est lĂ , il est arrivĂ©e tout doucement sur la pointe de la fin de l'hiver qui se meurt. l'herbe commence Ă pousser de nouveau, s'est belles pousses se redressent fiĂšrement les oiseaux sont heureux est prĂ©parent tendrement leur petits nids, de leur chanson la plus mĂ©lodieuse les fleurs aussi renaissent, l'Ă©clat d'une belle pensĂ©e, des petites pĂąquerettes se montrent fiĂšrement les arbres ont les branchent qui bourgeonne, et doucement le soleil se rĂ©chauffe.. mais toi, mon ange tu ne renaĂźtra pas, tu ne reviendras pas, tu continues de te reposer, alors que tous se rĂ©veille... j'ai une pincĂ©e au coeur, mais je sĂšche mes larmes car je te vois Ă©clore dans les couleurs des fleurs, dans ce petit bout de bourgeon qui s'arrondi, dans les prochains petits oisillons qui sortirons de leur oeuf ... dans cette lumiĂšre du Printemps qui revient , bercĂ© par les futur gazouillis de la vie par les bruits de la nature qui s'Ă©veille peu Ă peu, et les messages du vent doux et chaud.. Oui mon coeur c'est dans toute cette nouvelle renaissance, que je te vois apparaĂźtre, mĂȘme si c'est d'une autre façon je te sens vivre et heureux , c'est peut-ĂȘtre aussi pour moi une autre façon de te retrouver... a chaque instant, ce sont ces plus belles et petites choses que dame nature nous rĂ©vĂšle dans son plus humble et un magnifique Ă©clat Ecrit de choupinou "ce que ressent mon coeur avec la venue du le Printemps" |
Déposé par poutounou le 13/03/2024VoilĂ Ă quoi ressemble l'Ă©cole au Paradis... * Notre Ă©cole * Notre Ă©cole se trouve au ciel. Nous nous asseyons prĂšs des anges. Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. * A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacĂ©es Ă l'orange Les assiettes sont en dentelle. * Pas de leçon, pas de devoirs Nous jouons quelque fois, le soir Au loto avec les Ă©toiles. * Jamais nous ne rĂȘvons la nuit Dans notre petit lit de toile L'Ă©cole est notre paradis. * Maurice CarĂȘme ("le moulin de papier" - Nathan) |
Déposé par poutounou le 10/03/2024Et si nos anges descendaient nous faire un petit coucou ! * L'ange de l'Ă©toile du matin * L'ange de l'Ă©toile du matin Descendit en son jardin Et s'approchant d'Elle : * " Viens, lui dit-il, je te montrerai Les beaux vallons et les bois secrets OĂč vivent encore, en d'autres rĂȘves, Les esprits subtils De la terre. " * Elle Ă©tendit le bras, et rit, Regardant entre ses cils L'ange en flamme dans le soleil, Et le suivit en silence. * Et l'ange, tandis qu'ils allaient Vers les ombreux bosquets, L'enlaçait, et posait Dans ses clairs cheveux plus longs que ses ailes, Des fleurs qu'il cueillait Aux branches au-dessus d'Elle. * Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) |
Déposé par choupinou le 07/03/2024coucou mon petit ami, juste pour te dire que je ne pourrais pas te faire un petit coucou a partir de demain jusqu'Ă peut-ĂȘtre dimanche soir, je rends visite a mes amis loups du GĂ©vaudan au plus prĂȘt d'eux, et dormir en taniĂšre. Je t'emmĂšne avec moi par la pensĂ©e |
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