En hommage à
New Diego dit Boubou
2011 / 2019


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New Diego dit Boubou

Il est né le:23/11/2011
Il nous a quittés le:23/07/2019
 


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J'ai glissé parmi ces fleurs des milliers de bisous juste pour toi
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Déposé par poutounou le 24/11/2019  
Le bel automne
*
À pas menus, menus,
Le bel automne est revenu
Dans le brouillard, sans qu’on s’en doute,
Il est venu par la grand’route
HabillĂ© d’or et de carmin.
Et tout le long de son chemin,
Le vent bondit, les pommes roulent,
Il pleut des noix, les feuilles croulent.
Ne l’avez-vous pas reconnu ?
Le bel automne est revenu.
*
Raymond Richard

Déposé par tazounette le 23/11/2019  
aujourd'hui 23 novembre 2019
8 ans aujourd’hui que tu es rentrĂ© dans nĂŽtre vie
8 ans d'amour
Tu es rentré dans ma vie 1 mois aprÚs le décÚs de mon frÚre et tu m'as quitté 1 an aprÚs le décÚs de mon Papa (ton Papy)
tout le monde dira que tu n'Ă©tait qu'un poisson rouge mais tu Ă©tais bien plus Ă  mes yeux
tous les matin j'avais le droit Ă  ma fĂȘte et mĂȘme Ă  ton Papy quand il venait Ă  la maison le samedi
tu le savais que papy Ă©tait lĂ 
Vous me manquez tellement
Je vous aime Ă  jamais

Déposé par Cupidon le 20/11/2019  
Le village de Beau bois
Il Ă©tait une fois, Ă  l’orĂ©e d’un magnifique bois, un petit village du nom de Beau bois.
Dans ce village vivaient une multitude de chiens.
Il y en avait de toutes les tailles : des grands, des moyens, des petits et mĂȘme des trĂšs petits.
De toutes les races et de toutes les couleurs : des noirs, des marrons, des blancs, des beiges et mĂȘme tous ces coloris mĂ©langĂ©s.
Il y en avait avec des taches sur le nez, sur la queue, sur les pattes ou sur le corps.
Certains n’avaient que trois pattes ou une oreille mais tous Ă©taient trĂšs heureux de vivre dans un endroit aussi splendide.
Ils Ă©taient arrivĂ©s lĂ  par hasard, nul ne savait ni pourquoi ni comment ils s’étaient retrouvĂ©s Ă  cet endroit mais le plus important Ă©tait d’y ĂȘtre et de s’y sentir bien.
Le paysage Ă©tait merveilleux.
Au milieu du village courrait un ruisseau d’un bleu si pur que tous les chiens Ă©taient fascinĂ©s par cette beautĂ©.
Ils pouvaient y boire Ă  volontĂ©, se baigner, y jouer et s’ébattre dedans.
L’herbe tout autour Ă©tait d’un vert sublime.
Les chiots aimaient la mĂąchouiller tellement elle Ă©tait tendre.
Dans le ciel, il n’y avait jamais de nuages menaçants, rien que de jolis petits nuages blancs qui avaient l’air si doux.
Le soleil brillait de tout son éclat, ses rayons étaient chauds mais sans jamais brûler.
La température était idéale.
Chaque chien avait sa maison qui ressemblait Ă  une grande niche.
Elle Ă©tait faite de bois et le sol Ă©tait recouvert d’un Ă©pais tapis moelleux et on ne peut plus confortable.
Il y avait devant chaque maison une grande gamelle remplie d’os Ă  mĂącher : un rĂ©gal.
De temps Ă  autre, un magnifique arc-en-ciel naissait et l’on voyait apparaĂźtre au loin une personne ĂągĂ©e, un adulte ou un mĂȘme un enfant.
Et lĂ , toutes les queues trĂ©pignaient d’impatience, les oreilles se dressaient, les cƓurs se mettaient Ă  battre la chamade et ensuite une voix douce prononçait le nom d’un d’entre eux.
Il arrivait mĂȘme souvent que plusieurs chiens soient appelĂ©s en mĂȘme temps.
A l’appel de son nom, le chien allait alors rejoindre la personne en faisant de grands bons.
Cette personne Ă©tait la plupart du temps le maĂźtre que le chien avait dĂ» quitter trop tĂŽt.
Les retrouvailles entre le maßtre et le chien étaient alors synonymes de grande joie pour toute la communauté de Beau bois.
Il arrivait qu’un enfant entra dans le village et vienne caresser un chien en particulier, toujours un animal qui n’avait pas reçu d’amour ou qui n’avait pas de maütre avant d’arriver au village.
Quand l’enfant repartait avec ce chien, la joie de tous Ă©tait encore plus grande
Tous les chiens, sans exception, trouvaient un jour ou l’autre un maütre digne de la confiance du chien.
C’était vraiment le Paradis

Déposé par poutounou le 17/11/2019  
LE SILENCE DES MOTS
*
Si seulement il existait des mots
qui sauraient te raconter,
je trouverais les plus beaux
ceux qui ne peuvent rien briser.
*
Je les placerais devant toi
sur une tendre mélodie
et ils t'exprimeraient ce que moi
je n'ai encore jamais dit.
*
De ta tendresse et de ta douceur
ils sont le lien qui nous unit
car j'y ai trouvé dans ton coeur
un amour infini.
*
Pourquoi donc cette solitude
d'un coeur qui a tant souffert,
vient blesser les habitudes
comme si elles ne savaient que faire.
*
Ce matin je pense Ă  toi
et les mots dansent devant mes yeux,
j'aimerais ĂȘtre contre toi
plus un seul mot, rien que nous deux.
*
Dans le silence de chaque mot
il y a tant de paroles et d'amour
que tout ce que mon coeur trouve beau,
grandit Ă  chaque jour.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par Cupidon le 13/11/2019  

Les morts ne sont pas morts, les morts vivent encore
Leurs tombes sont vides, n'enfermant que des corps
Certains ont choisi l'ombre, ils errent et ils souffrent
Attendant un appel pour sortir de leurs gouffres.
Les autres que l'amour a libĂ©rĂ©s d'eux-mĂȘmes
Je les sais prĂšs de nous et je sais qu'ils nous aiment.
Ne vous lamentez pas, ne pleurez pas sur eux
Dans la lumiĂšre du cosmos ils sont heureux.
Les morts ne sont pas morts, ils sont nés à nouveau
Ils sont dans un jardin et non dans un tombeau
Dans cet ailleurs si proche, ils nous voient, nous entendent
Ils ne nous oublient pas, je sais qu'ils nous attendent
L'ami attend l'ami, l'amante attend l'amant
Et le fils sa mĂšre, et la mĂšre ses enfants
Ne vous lamentez pas, prĂšs du fleuve de vie
Ils oublient l'errance des Ăąmes asservies.
Les morts ne sont pas morts, ils sont prĂšs de vous
Je sais des soirs troublants oĂč ils viennent vers nous
Leur vie est un firmament ruisselant d'Ă©toiles
Chaque étoile est une ùme évadée de sa toile
Ils ont si soif encore d'un amour infini
Pensez Ă  eux car la vraie tombe c'est l'oubli
Ne vous lamentez pas, les pleurs sont des priĂšres
Mais vos douleurs en font des Ăąmes prisonniĂšres.
Les morts ne sont pas morts, un soir ils me l'ont dit.
Jean-Paul Sermonte

Déposé par poutounou le 10/11/2019  
Jolie petite poésie
*
Donnez-moi des oiseaux, dit l’arbre,
donnez-moi une foule d’oiseaux :
des moineaux, des hirondelles,
des Ă©tourneaux, des tourterelles,
des merles, des mésanges
et un coucou,
un seul,
comme un bijou,
contre mon coeur.
Couvrez-moi d’oiseaux,
de toutes les couleurs
afin que ce manteau de plume
me tienne chaud pendant l’hiver
quand mes feuilles, une Ă  une,
mortes, au vent cruel
s’en sont allĂ©es.
*
Jean Joubert

Déposé par Cupidon le 07/11/2019  

Cette nuit-là, je ne le vis pas se mettre en route. Il s'était évadé sans bruit. Quand je réussis à le rejoindre, il marchait, décidé, d'un pas rapide. Il me dit seulement :
― Ah ! Tu es là ...
Et il me prit par la main. Mais il se tourmenta encore :
― Tu as eu tort. Tu auras de la peine. J'aurai l'air d'ĂȘtre mort, mais ce ne sera pas vrai ...
Moi, je me taisais.
― Tu comprends. C'est trop loin. Je ne peux pas emporter ce corps-là. C'est trop lourd.
Moi, je me taisais.
― Mais ce sera comme une vieille Ă©corce abandonnĂ©e. Ce n'est pas triste les vieilles Ă©corces.
Le Petit Prince
Antoine de Saint-ÉxupĂ©ry

Déposé par poutounou le 01/11/2019  
En ce jour de Toussaint, je vous souhaite Ă  tous de merveilleux souvenirs de ceux qui ne sont plus...
*
Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et tu es là, auprùs de moi
 !!!
*
QU'UN VOILE
*
Il n'y a qu'un voile,
qu'un voile qui nous sépare.
Il y a un souffle qui nous unit, celui des Ăąmes,
si doux, si fin, si persistant,
"Je suis lĂ , au-delĂ  du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix.
"Il n'y a que ce voile qui nous sépare
et tu me sens parfois".
Une odeur, un geste, une musique, un endroit,
et je suis lĂ , auprĂšs de toi ;
tu m'entends rire, discourir de ce qui Ă©tait.
Désormais c'est un trésor au fond de toi.
Il n'y a qu'un voile si fin pourtant si infranchissable,
impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà.
Nul ne doit savoir,
on n'en revient pas,
c'est l'Ă©blouissant interdit.
Mais, pour les cƓurs, la frontiùre n'existe pas,
l'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel.
L'amour ne craint l'Ă©blouissement mais s'en nourrit constamment.

Déposé par Cupidon le 01/11/2019  
Quand la mort s’en vient, la vie s’en va-t-elle vraiment ?
Le dĂ©part d’un ĂȘtre cher est le dĂ©but d’un beau voyage
Quand une personne s’éteint son Ăąme brille intensĂ©ment
Nos larmes et nos pleurs sont de l’amour en prĂ©sage
Les beaux messages de condoléances des amis sont des douceurs
Des mots d’amitiĂ© pour nous aider Ă  supporter l’intense douleur
Les messages de condolĂ©ances nous rappellent que la mort n’est pas une fin
Le dĂ©cĂšs d’un proche est une dĂ©livrance, une porte vers un nouveau demain
A l’heure de l’enterrement d’un ĂȘtre aimĂ© ayons le cƓur plein d’amour
Les souvenirs et les pensĂ©es nous rappellent l’importance d’aimer toujours
Le linceul et le cercueil ne sont rien
 L’ñme s’envole vers le Paradis
Nos belles priÚres et notre affection bercent le défunt, le couvrent de vie
Envole-toi ! Nous gardons de toi un doux souvenir que rien n’effacera
Ton enterrement nous rappelle le sens de l’existence, mourir est notre destin
Mourir c’est vivre autrement dans un ailleurs une existence, un nouveau refrain
Repose-toi le cƓur en paix, notre deuil est beau, jamais on ne t’oubliera

Déposé par Cupidon le 29/10/2019  

J'Ă©tais sans vie et sans voix
Sans espérance et sans joie
Presque rendu au bout de mon temps
Mais, voici que se sont ouverts
Les grands bras de la lumiĂšre
Et voilĂ  que je pars vers l'univers
Je pars, je pars
Je monte, je monte
Je vole
Le ciel est Ă  moi
Je parle aux Ă©toiles
Je plane de soleil en soleil
Je vole, je vole,
Je brille, je brille,
Je vis
Le ciel est Ă  moi
L'infini est bleu
Bleu et doux et bon et merveilleux !
J'Ă©tais sans vie et sans voix
L'ùme pleine de « pourquoi »
Perdu dans les silences et dans le mots
Quelle est la raison des choses
Des galaxies et des roses ?
On le sait quand on sait
Que tout est beau
Je pars, je pars
Je monte, je monte
Je vole
Le ciel est Ă  moi
Je parle aux Ă©toiles
Je plane de soleil en soleil
Je vole, je vole,
Je brille, je brille,
Je vis
Le ciel est Ă  moi
L'infini est bleu
Bleu et doux et bon et merveilleux !
J'Ă©tais sans vie et sans voix
Sans espérance et sans joie
Presque rendu au bout de mon temps
Mais, voici que se sont ouverts
Les grands bras de la lumiĂšre
Et voilĂ  que je pars vers l'univers !
Stéphane Venne

Déposé par poutounou le 27/10/2019  
Une maille à l’endroit, une maille à l’envers ! L’hiver approche à grands pas ! Sortons nos pelotes de laine
 !!!
*
L’écureuil
*
Dans le tronc d'un platane
Se cache une cabane.
Un petit Ă©cureuil
Est assis sur le seuil.
Il mange des cerises,
Tricote une chemise;
Recrache les noyaux,
Se tricote un maillot;
Attaque les noisettes,
Fait des gants, des chaussettes...
Qu'importe s'il fait froid !
Tant pis si vient l'hiver !
Une maille Ă  l'endroit,
Une maille Ă  l'envers :
L'Ă©cureuil, fort adroit,
Se fait des pull-overs.
*
Jean-Luc Moreau

Déposé par tazounette le 23/10/2019  
3 mois aujourd'hui que tu as mis tes ailes
3 mois aujourd'hui de manque de toi
Tu me manques énormément mon Boubou
Je t'aime

Déposé par Cupidon le 23/10/2019  
Un jour le Grand Jardinier me confia
Une plante d'une qualité trÚs rare, et trÚs belle ;
« Je reviendrai la chercher », dit-il en souriant ;
« Soigne-la bien, en la gardant pour moi. »
J'en ai pris soin, et la plante a grandi,
Elle a donné une fleur aux couleurs rayonnantes,
Belle et fraĂźche, comme l'aurore au printemps.
Mon Ăąme Ă©tait radieuse, mon bonheur sans Ă©gal.
De toutes mes fleurs, elle Ă©tait la plus glorieuse,
Son parfum, son aspect Ă©taient merveilleux ;
J'aurais voulu la garder, tant mon cƓur s'y Ă©tait attachĂ©
Pourtant, je savais qu'Il reviendrait la chercher.
Et voici, Il est venu un jour me demander
La jolie plante qu'Il m'avait prĂȘtĂ©e...
Je tremblais ! Mais c'est vrai qu'Il m'avait dit
Qu'un jour Il reviendrait pour me la réclamer.
« C'est parfait », dit-Il en respirant son parfum
Alors, en se penchant, Il a parlé doucement :
« Si elle reste dans ce sol, elle va perdre sa splendeur,
Je veux la transplanter dans mon jardin Là-haut. »
Avec tendresse, Il la prit et s'envola
Pour la planter LĂ -haut oĂč les fleurs ne se fanent pas.
Et un jour futur, dans ce Jardin de Gloire,
Je la retrouverai Ă©panouie, et elle sera mienne.

Déposé par poutounou le 20/10/2019  
Je brille sur tous les yeux en pleurs qu’aucun sommeil n’atteint.
*
Une voix du ciel
*
Je suis l'astre des nuits. Je brille, pĂąle et blanche,
Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche,
Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux
Quand mes voiles d'argent s'Ă©tendent sur leurs eaux.
Mes rayons vont chercher les fleurs que je préfÚre,
Et font monter au ciel les parfums de la terre ;
Je donne la rosée au rameau desséché,
Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penché.
SitĂŽt que je parais, tout se tait et repose,
L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose :
Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ;
Devant mon doux regard nul n'Ă©lĂšve sa voix,
De la terre ou du ciel aucun son ne s'Ă©lance,
J'arrive avec la nuit, et je rĂšgne en silence !
Je cache mes rayons quand le cri des hiboux
Vient troubler mon repos et mon calme si doux.
*
Je suis l'astre des nuits ; je brille, pĂąle et blanche,
Sur le cƓur attristĂ©, sur le front qui se penche,
Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint,
Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint.

Déposé par Cupidon le 20/10/2019  
OĂč sont-ils ? Dans l'ombre ? Oh non, c'est nous qui sommes dans l'ombre. Eux, sont Ă  cĂŽtĂ© de nous, sous le voile, plus prĂ©sents que jamais. Nous ne les voyons pas, parce que le nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient. Ils tiennent leurs beaux yeux pleins de lumiĂšre arrĂȘtĂ©s sur nos yeux pleins de larmes. Ô consolation ineffable, les morts sont des invisibles, ce ne sont pas des absents.
J'ai souvent pensĂ© Ă  ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent. Voici : c'est la foi en cette prĂ©sence rĂ©elle et ininterrompue de nos morts chĂ©ris ; c'est l'intuition claire, pĂ©nĂ©trante, que, par la mort, ils ne sont ni Ă©teints, ni Ă©loignĂ©s, ni mĂȘme absents, mais vivants prĂšs de nous, heureux, transfigurĂ©s, et n'ayant perdu, dans ce changement glorieux, ni une dĂ©licatesse de leur Ăąme, ni une tendresse de leur cƓur, ni une prĂ©fĂ©rence de leur amour, mais ayant au contraire, dans ces profonds et doux sentiments, grandi de cent coudĂ©es.
Louis Victor Émile Bougaud
ÉvĂȘque de Laval

Déposé par Cupidon le 17/10/2019  

Les morts ne sont pas morts, les morts vivent encore
Leurs tombes sont vides, n'enfermant que des corps
Certains ont choisi l'ombre, ils errent et ils souffrent
Attendant un appel pour sortir de leurs gouffres.
Les autres que l'amour a libĂ©rĂ©s d'eux-mĂȘmes
Je les sais prĂšs de nous et je sais qu'ils nous aiment.
Ne vous lamentez pas, ne pleurez pas sur eux
Dans la lumiĂšre du cosmos ils sont heureux.
Les morts ne sont pas morts, ils sont nés à nouveau
Ils sont dans un jardin et non dans un tombeau
Dans cet ailleurs si proche, ils nous voient, nous entendent
Ils ne nous oublient pas, je sais qu'ils nous attendent
L'ami attend l'ami, l'amante attend l'amant
Et le fils sa mĂšre, et la mĂšre ses enfants
Ne vous lamentez pas, prĂšs du fleuve de vie
Ils oublient l'errance des Ăąmes asservies.
Les morts ne sont pas morts, ils sont prĂšs de vous
Je sais des soirs troublants oĂč ils viennent vers nous
Leur vie est un firmament ruisselant d'Ă©toiles
Chaque étoile est une ùme évadée de sa toile
Ils ont si soif encore d'un amour infini
Pensez Ă  eux car la vraie tombe c'est l'oubli
Ne vous lamentez pas, les pleurs sont des priĂšres
Mais vos douleurs en font des Ăąmes prisonniĂšres.
Les morts ne sont pas morts, un soir ils me l'ont dit.
Jean-Paul Sermonte

Déposé par choupinou le 15/10/2019  
Gouttes au goût salé, les larmes sont les messagÚres des peines et de la tristesse... Mais pas de honte à les laisser couler, elles racontent bien des choses.
Merci d'avoir eu une pensées pour mon petit chien noir et blanc,merci pour mon petit Bullgum,
merci ça me touche énormément surtout en ces moments de tristesse que rappelle sans cesse le souvenir........
cĂąlins a votre petit ange
choupinou

Déposé par Cupidon le 14/10/2019  
La nuit n’est jamais complùte.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenĂȘtre ouverte,
Une fenĂȘtre Ă©clairĂ©e,
Il y a toujours un rĂȘve qui veille,
DĂ©sir Ă  combler, Faim Ă  satisfaire,
Un cƓur gĂ©nĂ©reux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie Ă  se partager.
La nuit n’est jamais complùte. Paul Eluard

Déposé par poutounou le 13/10/2019  
Coulez, ĂŽ larmes Ă©ternelles, car ici-bas je reste seul

*
L'ange envolé.
*
PoÚte : François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898)
*
Mon ange a reployé ses ailes
Et dort glacé sous un linceul ;
Coulez, ĂŽ larmes Ă©ternelles,
Car ici-bas je reste seul.
*
Ô chĂšre ombre au ciel envolĂ©e,
Chaque nuit sous les noirs cyprĂšs
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens Ă©pancher mes regrets.
*
Cette douce sƓur de mon ñme,
Pour charmer mon cƓur attristĂ©,
Me parlait encore de sa flamme
Sur le seuil de l'éternité.
*
Ô chĂšre ombre au ciel envolĂ©e,
Chaque nuit sous les noirs cyprĂšs
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens Ă©pancher mes regrets.
*
Si jusqu'Ă  toi, de cette terre
S'élÚve mon chant désolé,
Sois attentive Ă  ma priĂšre
En ton beau royaume étoilé.
*
Ô chĂšre ombre au ciel envolĂ©e,
Chaque nuit sous les noirs cyprĂšs
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens Ă©pancher mes regrets.

Déposé par Cupidon le 09/10/2019  
MĂȘme s’il me faut lĂącher ta main
Sans pouvoir te dire “à demain”
Rien ne défera jamais nos liens
MĂȘme s’il me faut aller plus loin
Couper les ponts, changer de train
L’amour est plus fort que le chagrin
L’amour qui fait battre nos coeurs
Va sublimer cette douleur
Transformer le plomb en or
Tu as tant de belles choses Ă  vivre encore
Tu verras au bout du tunnel
Se dessiner un arc-en-ciel
Et refleurir les lilas
Tu as tant de belles choses devant toi
MĂȘme si je veille d’une autre rive
Quoi que tu fasses, quoi qu’il t’arrive
Je serai avec toi comme autrefois
MĂȘme si tu pars Ă  la dĂ©rive
L’état de grĂące, les forces vives
Reviendront plus vite que tu ne crois
Dans l’espace qui lie le ciel et la terre
Se cache le plus grand des mystĂšres
Comme la brume voilant l’aurore
Il y a tant de belles choses que tu ignores
La foi qui abat les montagnes
La source blanche dans ton Ăąme
Penses-y quand tu t’endors
L’amour est plus fort que la mort
Dans le temps qui lie ciel et terre
Se cache le plus beau des mystĂšres
Penses-y quand tu t’endors
L’amour est plus fort que la mort
Françoise Hardy "tant de belles choses"




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