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En hommage à
BOULEDOGUE-FRANCAISLILLY
Il est né le:19/10/2009
Il nous a quittés le:19/02/2020
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En hommage à
LILLY
7 bougies
1782 Fleurs
Déposé par spanky Vous voulez lui dire que depuis qu'il est arrivĂ© chez vous,vos yeux n'arrĂŞtaient pas de le regarder,il Ă©tait le plus beau,le plus tendre,le plus gentil et le plus beau cadeau que la vie vous a donnĂ©. Déposé par spanky Les annĂ©es, les jours et les nuits passent mais il est toujours lĂ devant vous, vous Ă©tendez votre main pour le toucher mais elle rencontre le vide, vous criez son nom mais vous n'entendez que l'Ă©cho. Déposé par spanky Le parfum de la vie se propage dans l'air et il est près de vous, Ă chaque pas dans une petite fleur, Ă chaque brin d'herbe il est lĂ , et il a pris possession de toutes vos pensĂ©es c'est çà l'amour. |
589 messages
Déposé par poutounou le 15/11/2023C’est la gorge nouĂ©e que je vous remercie du fond du cĹ“ur pour tous les gentils messages, les fleurs, les bougies que vous m’avez envoyĂ©s suite au « dĂ©part » de mon Amour « Iron » pour le Paradis blanc. Les larmes coulent encore et encore. Mais je sais qu’il est bien tout lĂ -haut, mon petit bouchon adorĂ©. Je me raccroche à ça. On se raccroche Ă ce qu’on peut ! * Au-delĂ du chagrin, au-delĂ des soupirs, je ne cesserai jamais de t’aimer ma belle âme et je ne t’oublierai jamais, non jamais… Je t’adore mon petit filou n’à moi… !!! * Au-delĂ des soupirs * Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire, Tu es partie trop vite et sans me prĂ©venir… Immense est mon regret. Je voudrais te le dire Au-delĂ du chagrin, au-delĂ des soupirs. * Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de prĂ©cieux souvenirs. Je trouve un rĂ©confort en trompant ma souffrance Au-delĂ du chagrin, au-delĂ des soupirs. * Mes plus tendres pensĂ©es vont vers toi dès l’aurore, Je t’appelle et te parle avant de m’endormir, Et bien Ă©trangement ta voix me berce encore Au-delĂ du chagrin, au-delĂ des soupirs. * — Isabelle Callis-Sabot (nĂ© en 1958) |
Déposé par spanky le 13/11/2023Seigneur de ta beautĂ© mon âme s'est Ă©prise Je veux te prodiguer mes parfums et mes fleurs En les jetant pour toi sur l'aile de la brise Je voudrais enflammer les cĹ“urs Jeter des fleurs, c'est t'offrir en prĂ©mices Les plus lĂ©gers soupirs, les plus grandes douleurs Mes peines et mes joies, mes petits sacrifices VoilĂ mes fleurs Les pĂ©tales des fleurs, caressant ton visage Te disent que mon cĹ“ur est Ă toi sans retour De ma rose effeuillĂ©e, tu comprends le langage Et tu souris Ă mon amour Jeter des fleurs, redire tes louanges VoilĂ mon seul plaisir, en la vallĂ©e des pleurs Au ciel j'irai bientĂ´t avec les petits anges Jeter des fleurs Les pĂ©tales des fleurs, caressant ton visage Te disent que mon cĹ“ur est Ă toi sans retour De ma rose effeuillĂ©e, tu comprends le langage Et tu souris Ă mon amour Jeter des fleurs, redire tes louanges VoilĂ mon seul plaisir, en la vallĂ©e des pleurs Au ciel j'irai bientĂ´t avec les petits anges Jeter des fleurs Jeter des fleurs, c'est t'offrir en prĂ©mices Les plus lĂ©gers soupirs, les plus grandes douleurs Mes peines et mes joies, mes petits sacrifices VoilĂ mes fleurs. ---------- D'après la poĂ©sie de ThĂ©rèse De Lisieux |
Déposé par spanky le 11/11/2023Le souvenir de vous change Ă la fin du moment. ---------- Lorsque le moment se termine, vous vous portez plus grand. Vos yeux sont clairs et les larmes ont disparu. Quand le moment se termine, votre fourrure retrouve son Ă©clat et votre appel est plus fort que ce que j'ai entendu depuis des mois, et je me rĂ©veille avec vos annonces. Ă€ la fin du moment, je vous entends galoper dans la maison Ă des vitesses qui rivalisent mĂŞme avec votre rĂ©putation de « petit cheval », et vous vous arrĂŞtez pour boire jusqu'Ă ce que le bol se vide. Quand le moment se termine, la nourriture collĂ©e autour de tes lèvres, restes de mon amour trop zĂ©lĂ©, est magiquement dĂ©posĂ©e dans ton estomac, oĂą elle est en sĂ©curitĂ© et oĂą tu es rassasiĂ©. Quand le moment se termine, ton cĹ“ur bat fort dans mon oreille. Lorsque le moment se termine, vous ronronnez comme si votre vie en dĂ©pendait, et dans ce nouveau monde, ce n'est pas le cas. Votre moral s'amĂ©liore au moment mĂŞme oĂą je dĂ©tache mes yeux de votre corps, et je peux vous voir prendre une profonde inspiration, votre queue battant doucement, pour toujours, d'avant en arrière.... ------- Maggie Buchanan |
Déposé par spanky le 09/11/2023Chanson "mon chien" de Bourvil. -------------- Une fois, j'ai trouvĂ© un cabot MoitiĂ© fox et moitiĂ© caniche Bien qu'il soit sĂ»rement Ă des riches Il a reniflĂ© mes godillots J'Ă©tais le long de la Seine Ă Saint-Denis Le soleil tapait dans les feuillages C'Ă©tait un vrai temps Ă mariage Il m'a suivi J'ai d'abord foutu des cailloux J'avais pas besoin de bouche inutile La tartine est trop difficile Ă€ trouver et moi, je suis pas fou J'allais pas me mettre Ă lui donner Le peu qu'il y avait dans ma musette Il Ă©tait tĂŞtu, c'te bĂŞte ! J'ai partagĂ© Puis on est partis tous les deux J'ai apprĂ©ciĂ© sa compagnie J'Ă©tais tout le temps seul dans la vie Je me suis senti moins cafardeux Le soir, il venait s'entortiller Près de moi. J'Ă©tais dans ma toile Content d'avoir sous les Ă©toiles Une amitiĂ© Un chien, ça s'en fout de la laideur Des manières et des Ă©lĂ©gances Tout bĂŞte que c'est, un chien ça pense On a du rĂŞve et puis un cĹ“ur Y a bien des filles qui ont rigolĂ© Qui ont eu pour moi des complaisances Mais y a que mon chien dans l'existence Qui m'a aimĂ© Un jour qu'il pleuvait en hiver Je finissais de casser la croĂ»te Il Ă©tait Ă peine sur la route Qu'une auto me l'a fichu en l'air Il m'a regardĂ©, l'air Ă©tonnĂ© Puis sa petite âme s'est endormie Et pour la première fois de ma vie Ben, j'ai chialĂ© |
Déposé par poutounou le 08/11/2023Tu es tout ça, mon Ange... * Ă€ mon Ange, * Tu es mon palais, mon soir et mon automne, Et ma voile de soie et mon jardin de lys, Ma cassolette d’or et ma blanche colonne, Mon parc et mon Ă©tang de roseaux et d’iris. * Tu es mes parfums d’ambre et de miel, ma palme Mes feuillages, mes chants de cigales dans l’air, Ma neige qui se meurt d’être hautaine et calme, Et mes algues et mes paysages de mer. * Et tu es ma cloche au sanglot monotone, Mon Ă®le fraĂ®che et ma secourable oasis … Tu es mon palais, mon soir et mon automne, Et ma voile de soie et mon jardin de lys. * RenĂ©e Vivien ("Ă€ l’heure des mains jointes", Ă©ditions Alphonse Lemerre,1906) |
Déposé par spanky le 07/11/2023Une larme.... ------- Une larme est en apparence une simple goutte d'eau, lĂ©gèrement salĂ©e, glissant doucement sur une joue rosĂ©e, et qui achève son chemin lorsqu'elle rencontre le sol. Mais si on prend le temps de s'approcher, de regarder vraiment ce qu'elle est, une larme a beaucoup de choses a dire. Une larme ne nait pas au coin de l'oeil sans raison. Parfois, c'est du Ă un rire, mais malheureusement, la plupart du temps, c'est Ă cause d'une peine, d'une tristesse, d'un mal-ĂŞtre enfoui au fond de soi, quelque chose qu'on ne veut pas montrer, pour ne pas inquiĂ©ter, mais qui finit toujours par remonter. La gorge se noue, les mots ne sortent plus, les yeux nous piquent, on sent la larme se former, on voudrait la retenir, mais elle est plus forte que nous. Elle vient du fond de notre ĂŞtre, du fond de notre âme. Durant le chemin qu'elle parcourt a travers notre corps pour arriver jusqu'Ă notre oeil, elle se charge des souffrances qui nous hantent. Elle transporte tout ce qu'on n'a pas su dire, tout ce qui nous fait mal, afin de nous libĂ©rer pour un temps. Elle attriste notre visage, mais elle est le signe que quelque chose ne va pas. Elle attire sur nous l'attention qu'on souhaite Ă©viter, mais lorsqu'elle est lĂ , il est dĂ©jĂ trop tard. Elle perle au coin de l'iris, transparente, mais tellement significative de ce que l'on ressent. On voudrait la sĂ©cher, pour que personne ne la voit, mais elle ne vient jamais seule, et malgrĂ© nos efforts, elle finit toujours par glisser sur notre joue, laissant derrière elle une trace. Trace du tourment qui est en nous. Tourment qu'on voudrait taire, qu'on ne veut peut ĂŞtre pas s'avouer non plus, mais pourtant bien prĂ©sent. Retenir une larme n'est pas possible, car elle finira toujours par venir, dans n'importe quelle situation. Laisser couler une larme permet de lâcher prise, de se dĂ©voiler aux autres. Il ne faut pas en avoir honte. Une larme est lĂ pour nous soulager, elle Ă©vacue notre trop plein de douleur, et après, l'on se sent mieux. Maintenant, quand vous verrez une larme, penser a tout ce qu'elle contient, vous comprendrez beaucoup de chose. |
Déposé par spanky le 05/11/2023Mon maĂ®tre, ------ Assieds-toi Ă cĂ´tĂ© de moi, j'ai Ă te parler. Je t'ai, maintenant je le crois, assez Ă©coutĂ©. Je me souviens de notre rencontre, c'Ă©tait un jour oĂą le soleil brillait, l'air Ă©tait doux. Un parfum de muguet, que je n'avais encore jamais respirĂ©, se rĂ©pandait tout autour de nous. Tu es venu vers moi, tu semblais si fatiguĂ©, si triste, que je me suis tout de suite senti proche de toi. Les arbres, les fleurs, l'herbe mĂŞme sentaient la naissance, le dĂ©but, la fraĂ®cheur. Quand tu m'as pris dans tes bras, ton cĹ“ur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j'en Ă©tais stupĂ©fait ! Tu me donnais tant d'amour qu'il me semblait que l'Ă©ternitĂ© Ă©tait en nous, que ma vie Ă©tait-elle. Tu m'as connu bĂ©bĂ©, je suis maintenant beaucoup plus vieux que toi, au crĂ©puscule de ma vie. C'est moi maintenant qui suis fatiguĂ©, si fatiguĂ©, Ă©reintĂ©. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l'heure. Tu es ce que tu es, celui que j'ai aimĂ©, que j'ai toujours aimĂ©. Le premier, le dernier. Notre sort aurait pu ĂŞtre si diffĂ©rent… le mien surtout. J'aurais pu me retrouver seul, dans le froid, attendant jusqu'Ă ma mort ton retour. J'aurais pu me sentir abandonner mais confiant, mĂŞme si cela peut paraĂ®tre incompatible. J'aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions. Comme je me sens bien près de toi… il me semble sentir Ă nouveau le muguet comme ce jour de mai ; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble mĂŞme entendre battre ton cĹ“ur, comme au premier jour. Pour moi, c'est le dernier. Ne pleure pas mon ami. Ton tour viendra, et je ne peux m'empĂŞcher de te promettre que je t'attendrais, mĂŞme si je sais que tu ne crois pas Ă ces choses-lĂ . Que nous reste-t-il donc ? Rien d'autre que ce que tu penses ĂŞtre un faux espoir. Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet ? Je vais continuer de vivre dans ton cĹ“ur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serais toujours tout près de toi, tant que mon image sera prĂ©sente en toi. Je dois maintenant m'arrĂŞter. S'il te plait… Pose ta main sur ma tĂŞte… caresses-moi. Je vais partir, et j'ai un peu peur. Il me faut ton odeur… Adieu. |
Déposé par poutounou le 05/11/2023Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et tu es lĂ , auprès de moi… !!! * QU'UN VOILE * Il n'y a qu'un voile, qu'un voile qui nous sĂ©pare. Il y a un souffle qui nous unit, celui des âmes, si doux, si fin, si persistant, "Je suis lĂ , au-delĂ du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix. "Il n'y a que ce voile qui nous sĂ©pare et tu me sens parfois". Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et je suis lĂ , auprès de toi ; tu m'entends rire, discourir de ce qui Ă©tait. DĂ©sormais c'est un trĂ©sor au fond de toi. Il n'y a qu'un voile si fin pourtant si infranchissable, impĂ©nĂ©trable car nul ne sait ce qui est au-delĂ . Nul ne doit savoir, on n'en revient pas, c'est l'Ă©blouissant interdit. Mais, pour les cĹ“urs, la frontière n'existe pas, l'amour brĂ»le ce voile si tenu et retrouve le feu de l'Ă©ternel. L'amour ne craint l'Ă©blouissement mais s'en nourrit constamment. |
Déposé par spanky le 03/11/2023Je serai toujours près de toi... -------- Cher MaĂ®tre, ----- Je voulais que tu saches que parfois la vie est sans pitiĂ©. Elle nous sĂ©pare, or, jamais nous ne l'avions souhaitĂ©. Du ciel parfois je te regarde mais tu ne me vois pas. LĂ - haut, je suis bien mieux, j'ai trouvĂ© ma place au milieu d'un monde heureux. Et ce monde, lui, est ETERNITE. Or, dans celui oĂą je suis nĂ© les misères Ă©taient bien rĂ©elles. Elles m'ont emportĂ© avec elle, Oui maĂ®tre, j'ai dĂ©couvert que mĂŞme avec toi, le monde pouvait se montrer cruel. Je suis quand mĂŞme heureux d'avoir pu vivre avec toi. Car petit, j'Ă©tais l'esclave de la maltraitance et des personnes sans coeur, sans amour. Et puis tu es arrivĂ© et tu m'as dĂ©livrĂ© des chaĂ®nes qui me retenaient, Et pour ça mon maĂ®tre je te dis merci. J'ai encore beaucoup d'espoir. Car je me dis bien que l'on pourra se revoir. Je reste fort comme je l'ai toujours Ă©tĂ©, Mais malheureusement, trop impuissant devant la mort qui me menaçait. Mon MaĂ®tre et Dieu du bonheur, tu restes et resteras Ă jamais dans mon coeur. Et ne m'oublie jamais, car moi je ne t'es jamais oubliĂ©. |
Déposé par poutounou le 01/11/2023Pour la Toussaint et la fĂŞte des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle Ă son amour comme nous le sommes Ă nos anges…. * Une ombre qui passe… * Toute de noir vĂŞtue et sa canne Ă la main, Elle avance Ă pas lents dans la petite allĂ©e En serrant sur son coeur cette fleur d'azalĂ©e Qu'elle va dĂ©poser juste au bout du chemin. * Qui pourrait maintenant dire quel est son âge ? Elle vient chaque jour retrouver un moment Celui dont le dĂ©part a causĂ© son tourment. La douleur a creusĂ© les traits de son visage. * Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas, dans le calme apaisant du petit cimetière, Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière Pour aller au plus tĂ´t le rejoindre lĂ -bas. * Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite : C'est le jour de l'annĂ©e oĂą chacun se souvient Qu'un ĂŞtre cher repose en la tombe qu'il vient Couvrir de belles fleurs, comme pour une fĂŞte. * PrĂ©sence inopportune oĂą sombre sa douleur, Elle ne peut ce soir, comme Ă son habitude, partager un instant de tendre solitude Avec celui qui fut sa source de bonheur. * Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe, En essuyant un pleur du revers de la main. Elle sera fidèle au rendez-vous demain, Lorsque les visiteurs auront quittĂ© la place. |
Déposé par spanky le 01/11/2023Le petit chien. -------- Je suis un petit chien Mais j’ai dĂ©jĂ quinze ans Si je prĂ©sente bien Mon âge je le sens Mon coeur est fatiguĂ© J’ai des douleurs partout Ma vue a bien baissĂ© Je n’entends plus du tout J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou Le vertige me gagne Je fatigue beaucoup Je vais plus doucement Et je marche très peu Je dors bien plus longtemps J’ai cachĂ© tous mes jeux Quand une chienne passe Je redeviens fringant Je fais preuve d’audace Je me sens Ă©lĂ©gant Mais dès qu’elle est partie Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit Ce n’était qu’un mirage Mes maĂ®tres m’aiment autant Que quand j’étais petit Ils me disent souvent Que j’ai changĂ© leur vie La mienne aura Ă©tĂ© Faite de grandes joies J’aurai Ă©tĂ© choyĂ© J’aurai Ă©tĂ© un roi Quand il faudra partir Je ne gĂ©mirai pas Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras --------------- Madeleine Reynaud |
Déposé par spanky le 30/10/2023L'Amour et l'AmitiĂ© ------- Cadeau immuable de cette vie que tu m'offres, Je te remercie pour le temps, que tu me donnes Ah ! Comme je voudrais entasser dans un coffre Tous les mots Ă©voquĂ©s, qui dans ma tĂŞte rĂ©sonnent. Ta main tendue, chaque fois que je te la demande Est un geste rempli de tendresse, qui n'attend rien Parfois mĂŞme, tu agis avant que je ne quĂ©mande Ce tracĂ©, que tu crĂ©Ă©s afin que je vois mon chemin. Ton Ă©coute rĂ©elle, que je sais douce est merveilleuse Ta prĂ©sence rĂ©chauffe mon coeur laminĂ© ou trop triste Ton regard me rappelle, que je ne suis pas hideuse Tu m'Ă©lèves souvent, en me lisant, au rang d'artiste. Ton esprit, source de cette confiance nouvelle en moi M'aide Ă comprendre ce passage en ce monde, sombre Tu me distilles avec une telle aisance, une part de joie Que plus jamais, mon visage ne reste dans la pĂ©nombre. Ton âme libre qui est en symbiose totale, avec la mienne Permet la montĂ©e nĂ©cessaire, pour embellir ce parcours Effaçant les bribes gravĂ©es en elle, de toutes mes peines En fait, je sais qu'il n'y a qu'un pas entre l'amitiĂ© et l'amour. ------ Michèle De Guise. |
Déposé par poutounou le 29/10/2023Si seulement tu revenais, mon doux ami… !!! * Mon Ami * La lune s’enfuit dans la lutte, entre la nuit et l’aurore. L’argent de la toile d’araignĂ©e Ă©tincelle dans la brume. * Mon ami, mon ami, mon ami, Je t’appelle mon ami. * La rosĂ©e dans la vallĂ©e, Les violettes sur la colline, Les ruisseaux coulent de la montagne, dans le matin de ma vie. * Mon ami, mon ami, mon ami, Je t’appelle mon ami. * Les chevaux sont dans la prairie, mangeant de l’herbe douce. Les oiseaux chantent dans la forĂŞt, Sauf le rossignol endormi. * Mon ami, mon ami, mon ami, Tu es revenu mon amour. * Chloe Douglas, 1975 |
Déposé par spanky le 28/10/2023Pleurer ? Et pourquoi pas ? ------- Parce que c’est un chien ? Pleurer ? j’en ai le droit, Et je le lui dois bien ! ---- Si je l’avais quittĂ©, il aurait (j’en suis sĂ»re) TĂ©moignĂ© sa douleur par de tristes murmures. Oui, il aurait pleurĂ©, tout mon ĂŞtre le sait : ---- C’était fort, c’était beau, ce qui nous unissait… Et je pleure aujourd’hui le dĂ©part d’un ami. D’un AMI, pas d’un chien, mĂŞme s’il l’était aussi ---- Mes larmes doucement coulent, rosĂ©e brĂ»lante, Sur mes joues enfiĂ©vrĂ©es. Et commence l’attente… ---- Car nous nous reverrons, ça, je le sais aussi : L'heure viendra un jour pour ĂŞtre rĂ©unis. ---- Pleurer ? Eh oui je pleure, et ne m’en cache pas. Je pleure qui j’aimais et m’aimait de retour. ---- Et tant pis pour tous ceux qui ne comprendront pas : Je pleure sur mon chien, je pleure par amour…. ---- Parce qu'il y aura toujours des gens qui ne comprendront pas... Parce qu'on peut s'appuyer sur ceux qui comprennent... ---- |
Déposé par spanky le 26/10/2023MON MAĂŽTRE, JE SAIS QUE JE TE MANQUE... ------------- Je sais que mon absence est dure, que depuis que je suis parti, tes jours ne sont plus comme avant, je sais que tu as du mal Ă t'endormir, je sais combien je te manque et combien tu veux que je revienne. --- Je sais que tu souffres de mon dĂ©part. Je sais que tu pleures et que tu me cherches lĂ oĂą je ne suis plus. --- MĂŞme si c'est difficile Ă comprendre je te dis que c'Ă©tait la prochaine Ă©tape logique, moi aussi j'avais peur de ce processus mais tu sais ? De ce cĂ´tĂ© tout est merveilleux, j'ai rĂ©Ă©mergĂ© Ă la maison, cet endroit d'oĂą nous venons tous, de ce cĂ´tĂ© il y a les choses les plus prĂ©cieuses que tu ne peux imaginer. --- Tu es toujours aimĂ©e, car je suis toujours Ă tes cĂ´tĂ©s Ă chaque instant. Je ne te demande pas d'assimiler tout d'un coup, tout a un processus de mon cĹ“ur. --- Et mĂŞme si je n'aime pas te voir comme ça, petit Ă petit tu me trouveras oĂą je suis. Je ne suis pas parti juste que notre relation a changĂ©. --- Je suis dans ces moments oĂą tu te souviens Ă quel point nous Ă©tions heureux, aux rires que nous avons partagĂ©s et aux innombrables fois oĂą je t'ai rendu visite dans tes rĂŞves. --- Je suis dans le chant des oiseaux et dans les hirondelles qui te rendent visite le matin, je suis lĂ , je vois la brise qui caresse tes joues le matin. --- Le jour oĂą tu as demandĂ© un conseil et que tu as Ă©tĂ© donnĂ©, j'Ă©tais lĂ . Ce que je veux te dire c'est que je suis lĂ et il suffit que tu rĂ©flĂ©chisses et que tu me sentiras. --- Ma tâche sur terre Ă©tait dĂ©jĂ terminĂ©e comment un jour finira la tienne. Il Ă©tait temps que je quitte ce corps. --- Ici de ce cĂ´tĂ© il n'y a plus de souffrance, plus de haine ni de rancune, plus de tristesse et plus de malice. Ici, nous ne faisons qu'un, de ce cĂ´tĂ©, seul l'Amour abonde. --- Je sais que tu te sens triste et que je te comprends et que je n'aime pas te voir comme ça et mĂŞme si je sais que tu ne comprendrais pas je ne suis pas mort, je ne suis pas mort parce qu'il n'y a pas de mort, mon maĂ®tre, je suis lĂ et je ne suis pas parti. --- SignĂ©: L'inconnu. |
Déposé par poutounou le 25/10/2023C’est le temps du « bel automne ». Sortons vite nos couvertures… !!! Et bientĂ´t l’hiver, brrr… !!! * Le bel automne * Ă€ pas menus, menus, Le bel automne est revenu Dans le brouillard, sans qu’on s’en doute, Il est venu par la grand’route HabillĂ© d’or et de carmin. Et tout le long de son chemin, Le vent bondit, les pommes roulent, Il pleut des noix, les feuilles croulent. Ne l’avez-vous pas reconnu ? Le bel automne est revenu. * Raymond Richard |
Déposé par spanky le 24/10/2023Lettre d’une maman chien aux maĂ®tres de son bĂ©bĂ©: ----------- Je suis Dolly ! ------ Je suis la maman du bĂ©bĂ© que tu serres dans tes bras comme si c’était toi qui l’avais mit au monde. D’un cĂ´tĂ©, je vois que tu ne lui veux que du bien, mais fais attention s’il te plaĂ®t ! Il n’a pas l’habitude d’être portĂ© aussi haut ! Oui, Il tremble ! Non, il n’a pas froid ! Il ne te connaĂ®t pas... Tu sais, mon bĂ©bĂ© Ă dĂ©jĂ des sentiments ! Il n’a connu Ă prĂ©sent que moi, ses frères, et nos maĂ®tres, alors forcĂ©ment, il ne comprends pas tout ! Il ne comprend dĂ©jĂ pas pourquoi tu colles ton nez sur sa truffe ! Nous nous disons bonjour en nous reniflant le derrière, nous !!! Mais je lui ai dis que ce jour arriverait et je l’ai prĂ©parĂ© ! Regarde... il te lèche dĂ©jĂ ! Non !! Il ne t’a pas choisi ! Il est comme ça... il ne connaĂ®t pas autre chose que l’amour ! Non, je ne suis pas triste que tu le prennes avec toi ! Je veux juste que tu le respectes dĂ©jĂ ... Tu poses plein de questions sur lui ! "Est-il propre? Est-il sage?" Les enfants humains sont ils parfaits si tĂ´t ? Pourquoi mon bĂ©bĂ© devrait l’être et pas le tien? "ConnaĂ®t il la laisse?". Non, et si tu veux ĂŞtre complice avec lui, il va falloir que ce soit toi qui le lui apprenne ! Pas demain, il ne te connait pas. Pourquoi devrait il te suivre ? Tu ne sais pas comment faire ? Lui non plus ! Tu vas partir dans ta maison avec mon bĂ©bĂ©. S’il te plaĂ®t, comprends donc qu’il ne soit pas parfait ! Il va pleurer parce qu’il va se retrouver tout seul ce soir, et il ne connaĂ®t ni toi, ni ton chez toi ! Il fera pipi et caca sĂ»rement et pas lĂ oĂą tu voudras. Si les premiers jours seront compliquĂ©s pour toi, qui l’a choisi, dis toi que pour mon bĂ©bĂ©, c’est un chamboulement aussi. Prends soin de lui, comprends un peu ce qu’il vit. Ne laisse pas tes enfants le chicaner ou l’étouffer de tout leur amour. Laisse le arriver, prendre ses marques et comprendre que c’est sa maison ! Il nous oubliera vite moi et sa fratrie. Il n’aura d’yeux que pour toi. Mais sois patient ! Il te suivra partout et tu devras lui apprendre Ă rester seul aussi, sinon... il pleurera. Il n’aura pas conscience qu’il gĂŞnera ta voisine et d’ailleurs le vrai drame, c’est que tu ne seras pas lĂ !!! Peut ĂŞtre mordillera-t-il tes chaussures, les meubles, tes tapis ou tes mains. Mon bĂ©bĂ© n’a pas de mains pour toucher Ă tout! Il touche avec sa bouche... le tien faisait comment ? Mon bĂ©bĂ© pourra peut-ĂŞtre manger ta tapisserie, moi j’ai vu un petit garçon humain dessiner sur un placard !!! Mais... mon bĂ©bĂ© va grandir plus vite que le tien ! Il deviendra ado ! Oui, chez nous aussi nous devenons ados ! Il voudra ĂŞtre le chef et retombera en enfance... et toi, tu vas te tirer les cheveux !!! Mais s’il te plaĂ®t, montre lui que tu n’es pas d’accord, garde ton sang froid, et n’oublie pas que l’adolescence ne dure qu’un temps ! Et puis il deviendra adulte, et lĂ , il sera ce chien dont tu as rĂŞvĂ© ... Seulement si tu l’as bien Ă©duquĂ© ! S’il tire en laisse, par exemple, c’est parce que tu l’as laissĂ© tirer !! S’il saute sur ton canapĂ© plein de boue, en rentrant de la balade... c’est parce que dès le premier jour, tu l’as pris sur tes genoux pour regarder la tĂ©lĂ© ! S’il mange tes jolis talons tout neufs, c’est parce que tu lui as donnĂ© une vieille pantoufle un jour ! Moi mĂŞme, je n’ai jamais vraiment compris la diffĂ©rence entre vieille pantoufle et talons Louboutins ! Maintenant que tu pars avec lui, une fois passĂ© la porte, commence ton travail ! S’il te plaĂ®t, fais le, pour son bien ĂŞtre et le tien, ou laisse le moi. Si tu pars avec lui, tu dois le garder toute sa vie et prendre soin de lui ! Si toi tu as une vie Ă cĂ´tĂ©, lui, il n’aura que toi... parce que TOI, tu seras toute sa vie ! Ou alors, laisse le moi... Mon bĂ©bĂ© n’est pas un caprice, ni un jouet, .....ni un cadeau... c’est vrai ! Mon bĂ©bĂ© est un ĂŞtre vivant, avec des sentiments.. capable du pire, comme du meilleur, et si, tu suis mes conseils, et si, tu tiens tes promesses... alors tu pleureras toutes les larmes de ton cĹ“ur Ă son dernier jour, tu ressentiras un Ă©norme vide, et tu diras que ton chien, ton meilleur ami, TON bĂ©bĂ© Ă©tait ... ... PARFAIT !" ---- Dolly. |
Déposé par spanky le 22/10/2023"Ce ne sont que des chiens de refuge..." -------- Par avance condamnĂ©s... "Ce ne sont que des chiens de refuge ! " MĂ©ritent-ils d'ĂŞtre aimĂ©? DiffĂ©rents aux yeux des hommes Des autres toutous "bien nĂ©s", Voila comment on vous nomme, Pauvres chiens abandonnĂ©s... Pourtant votre coeur est immense, Comme immense est votre douceur. Ils vous manquent cette chance, Gagner l'amour d'un grand coeur. Parfois vous semblez lointain, Vous Ă©vitez les caresses, Vous vous terrez dans un coin, Craignez-vous tant la main qui blesse? Car qui connaĂ®t votre histoire? Vous a-t-on battu? RejetĂ©? Tout au fond de votre mĂ©moire, Quels souvenirs? Quels regrets? Soyez confiants ! Un jour, les portent S'ouvriront sur votre destin, Afin qu'un maĂ®tre vous emporte Pour suivre un mĂŞme chemin... Et qui dira: "C'est d'un refuge qu'ils sont venus Mes beaux et bons chiens ! C'Ă©taient des chiens de refuge... Je les aime, et ils me le rendent bien !" |
Déposé par poutounou le 22/10/2023Jolie petite poĂ©sie * Donnez-moi des oiseaux, dit l’arbre, donnez-moi une foule d’oiseaux : des moineaux, des hirondelles, des Ă©tourneaux, des tourterelles, des merles, des mĂ©sanges et un coucou, un seul, comme un bijou, contre mon coeur. Couvrez-moi d’oiseaux, de toutes les couleurs afin que ce manteau de plume me tienne chaud pendant l’hiver quand mes feuilles, une Ă une, mortes, au vent cruel s’en sont allĂ©es. * Jean Joubert |
Déposé par spanky le 20/10/2023Aurais je la force d'y aller ? Ramener mon bouquet près de toi Aurais-je le courage de dire ? Tous ces mots que j'ai gardĂ©s Que j'ai conservĂ© au fond de moi Et si j'y arrive, comment je saurais que tu m'entends ! Toi qui dort dĂ©jĂ pendant un long moment Je t'aime ... Je t'aime encore ... Et je t'aimerais toujours... Je n'ai pas supportĂ© de te voir malade Je ne supporterai pas de te savoir loin DĂ©jĂ que mes larmes se sont Ă©puisĂ©es Et je ne sais plus en quelle langue te pleurer Toi qui me rendait tellement heureux Près de toi je me sentais très aimĂ© Puisque ce n'est pas moi qui dĂ©cide De qui reste et de qui part dans ce monde Je ferai l'effort, je me promets en moi-mĂŞme de te garder dans mon cĹ“ur, dans mes pensĂ©es, jusqu'Ă ce que mon souffle s'Ă©vapore... Pour toi ĂŞtre cher Ă mon cĹ“ur. ---------- Texte anonyme |
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