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En hommage à
BOULEDOGUE-FRANCAISCAMILLE
Il est né le:25/05/2007
Il nous a quittés le:18/03/2021
En hommage à
CAMILLE
1 bougie
De la part de 

696 Fleurs
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264 messages
Déposé par spanky le 12/02/2023Quand je partirai窶ヲ. Mon cher humain, depuis quelques temps, il se passe quelque chose qui ne va plus en moi, je souffre de plus en plus. Ma maladie semble incurable et de me voir ainsi te fait souffrir テゥnormテゥment. Je te vois si tourmentテゥ car je n窶兮i plus la santテゥ d窶兮vant. Je sais que tu m窶兮imes テ l窶冓nfini et que tu dois prendre une dテゥcision, hテゥlas, tu me vois dテゥpテゥrir テ petit feu et ton cナ砥r est complティtement brisテゥ. Ce matin c窶凖ゥtait trop lourd pour toi de me voir encore dans cet テゥtat. Aprティs tout ce que tu as tentテゥ pour moi, tu as dテゥcidテゥ de prendre un autre rendez-vous. Cette fois-ci, le dernier. Nous nous sommes rendus dans cette grande maison qui reテァoit plein d窶兮nimaux et une personne trティs gentille est venu nous accueillir, tu lui parlais de ma santテゥ avec beaucoup d窶冓nquiテゥtude. Elle t窶兮 dit quelque chose qui t窶兮s beaucoup attristテゥ. Tu n窶兮vais d窶兮utres choix que de t窶册n remettre テ son avis. Avec ton accord, elle a pris soin de m窶冓nstaller sur une table et de t窶册xpliquer ce qu窶册lle allait faire tout en me caressant affectueusement. Ensuite, tout doucement elle a injectテゥ quelque chose dans mon corps, en me chuchotant quelques petits mots tendres, j窶兮vais peur mais le fait que tu sois prティs de moi me sテゥcurisait. J窶兮i senti qu窶冓l se passait quelque chose de bizarre dans mon corps. Tu me regardais avec des yeux remplis d窶兮mour mais si tristes. Mon corps テゥtait comme tout engourdi. J窶册ntendais ta douce voix me dire combien tu m窶兮imes. J窶兮urais voulu te le dテゥmontrer テ mon tour par un petit signe mais mon corps テゥtait si mou qu窶冓l ne pouvait bouger presque. Pourtant quelque chose de si paisible que longtemps je n窶兮vais ressentie se passait en moi. Mes muscles se relテ「chaient, mes douleurs disparaissaient tout doucement. Je me sentais comme lテゥger, collテゥ テ toi. Mon doux humain, j窶兮urais voulu te dire テ quel point j窶凖ゥtais si bien pourtant, je reposais sous tes mains apaisantes, libテゥrテゥ de ma douleur. Un peu plus tard, la gentille personne est revenu pour m窶冓njecter un autre produit, je n窶兮vais plus peur, elle テゥtait attentive テ chaque battement de mon cナ砥r et テ peine quelque secondes plus tard, elle fit un signe de la tテェte comme pour te dire 窶倪 テa y est 窶倪 et tout doucement sans faire de bruit, elle a quittテゥe la piティce, nous laissant seul toi et moi. Un grand silence envahi la piティce. Tu t窶册s collテゥ テ moi si fort, tu me disais plein de mots d窶兮mour, tes larmes coulaient sur moi. Mon tendre humain. Tu es restテゥ avec moi, tu n窶兮s jamais tentテゥ de me quitter, tu avais tellement de choses テ me dire, de cテ「lins テ me donner comme pour te rattraper de toute une vie et un peu plus tard, le temps est venu pour toi de partir. Tu m窶兮s embrassテゥ sur le front en me rテゥpテゥtant sans cesse tout l窶兮mour que tu avais pour moi et tu es sorti de la piティce, inconsolable, regardant sans cesse derriティre toi pour me voir une derniティre fois . Mon tendre humain, je veux te dire, malgrテゥ que tu pleures et que ton cナ砥r est si triste, mon テ「me est avec toi et pour toujours ! Mテェme si tu ne me vois pas je suis toujours avec toi, ne t窶冓nquiティtes plus pour moi, je suis bien maintenant. Tu as テゥtテゥ si merveilleux pour moi, comment puis-je te remercier de m窶兮voir donnテゥ tant d窶兮mour, d窶兮voir toujours pris soin de moi et surtout de m窶兮voir accompagnテゥ jusqu窶兮u dernier battement de mon cナ砥r. Par amour pour moi malgrテゥ toi-mテェme, tu m窶兮s accompagnテゥ dans cette derniティre テゥtape de ma vie avec une des plus belles preuves d窶兮mour qu窶冰n humain puisse offrir テ son animal quand il l窶兮 aimテゥ et pris soin de lui toute sa vie ! Je pars doucement lテ-haut, au pont de l窶僊rc-En-Ciel en apportant avec moi, nos plus beaux souvenirs. Je vais rejoindre de nouveaux amis ainsi que ceux que j窶兮i connu avec toi, qui sont partis trop tテエt. Toutes ces テ「mes qui m窶兮ccueilleront dans cette nouvelle vie, me rテゥclament maintenant. Certains attendent tout comme moi, l窶凖「me de leurs humains qui viendra un jour les retrouver. Je ressentirai テ distance, ton cナ砥r et ton esprit. Tu croiras que nous sommes sテゥparテゥs mais je serai partout prティs de toi, c窶册st juste que tu ne me verras pas ! Tu auras juste テ me parler dans ton cナ砥r! Nous avons vテゥcu tellement de beaux moments tous les deux. L窶兮mour ne meurt pas, seul mon corps disparaテョtra de ta vue mais mon テ「me sera toujours avec toi ! C窶册st dur テ croire, je sais mais je suis maintenant passテゥ dans un monde diffテゥrent du tien et le tien qui テゥtait le mien ne voit pas ces choses lテ ! Quand ton heure arrivera, alors tu verras mes yeux au loin, mon corps qui se mettra テ trembler, mes pattes qui se mettront テ courir fougueusement au-dessus de l窶冑erbe, pour rejoindre cette silhouette au loin, que je n窶兮i jamais oubliテゥe, qui vient me chercher et dans tes bras grands ouverts, je sauterai et m窶凉 blottirai pour toujours, alors ensemble nous traverserons '' Le Pont de L窶僊rc-en-Ciel '' Pour l窶凖ゥternitテゥ !!! Je t窶兮ime si fort mon humain, je t窶兮ttendrai ! Sテゥbastien Touchette |
Déposé par poutounou le 12/02/2023Que c'est joli ! "Il faut savoir marier la mort avec la vie !". * Un jour de colティre * Un jour de colティre tu te gonfles comme un poisson-lune un jour de douceur ta bouche est en fleur Il ne faut pas espテゥrer tテゥter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier le soleil avec la pluie * Un jour de couleur l窶册nfer embrasse ton coeur mais un jour de miel comme tu es suave ! Il ne faut pas espテゥrer tテゥter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier Douleur avec Plaisir * Un de tes amis meurt tu es brisテゥ de chagrin un enfant naテョt ton coeur est en fテェte Il ne faut pas espテゥrer tテゥter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier la Mort avec la Vie * Hector Poullet ("Paroles en l窶兮ir" , テゥditions Desormeaux, 1978) |
Déposé par spanky le 08/02/2023Non je ne suis pas seule, je suis avec mon chien et si quelque faquin テ l'insolente allure se permet de prテゥtendre qu'il ne me reste rien je suis prテェte テ rテゥpondre テ sa puテゥrile injure. Pourquoi me faudrait il dire ton nom au passテゥ ? Tu n'es jamais parti, tu montres le chemin celui qu'un jour ou l'autre il faut bien emprunter riche ou pauvre, laid ou beau, quelque soit le chagrin qu'on espティre malgrテゥ soi susciter chez quelqu'un on suit la mテェme route, personne ne va rester. Un jour je te promets nous allons nous revoir parcourir テ nouveau la campagne au printemps celle que tu aimes tant, nous rentrerons trティs tard. Ton テゥcuelle sera pleine, ce sera un festin pour nos fテェtes secrティtes qui brilleront au soir. Je ris d'imaginer les visages テゥtonnテゥs de ceux qui tout ce temps n'auront pas su me croire Bien sur tu es un chien et je suis un humain donc la vie テゥcrivit pour chacun un destin Mais au premier instant, au tout premier regard nous sテサmes du mテェme instinct que nous ne ferions qu'un. Non tu n'es pas perdu, errant en ma mテゥmoire Tu es テ mes cotテゥs et pour l'テゥternitテゥ. Et de tout mon Amour je ne cesse de t'aimer. |
Déposé par poutounou le 08/02/2023Soulagement * Quand je n'ai pas le coeur prテェt テ faire autre chose, Je sors et je m'en vais, l'テ「me triste et morose, Avec le pas distrait et lent que vous savez, Le front timidement penchテゥ vers les pavテゥs, Promener ma douleur et mon mal solitaire Dans un endroit quelconque, au bord d'une riviティre, Oテケ je puisse enfin voir un beau soleil couchant. * O les rテェves alors que je fais en marchant, Dans la tranquillitテゥ de cette solitude, Quand le calme revient avec la lassitude ! Je me sens mieux. * Je vais oテケ me mティne mon coeur. Et quelquefois aussi, je m'assieds tout rテェveur, Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune, Je me surprends parfois テ voir monter la lune. |
Déposé par poutounou le 05/02/2023ツォ La tranquille habitude aux mains silencieuses panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures... ツサ * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sテサres Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se dテゥfendre, Dテゥsireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgrテゥ eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'テゥtrange quiテゥtude Oテケ le mal assoupi se soumet et s'テゥmousse ; * Et du mテェme toucher dont elle endort la peine, Du mテェme frテエlement dテゥlicat qui repasse Toujours, elle dテゥlustre, elle テゥteint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage mテェme Dont la prテゥsence テゥtait divine et meurtriティre ; Ils pテ「lissent couverts d'une fine poussiティre ; La source des regrets devient voilテゥe et blテェme. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur テゥclat aux voluptテゥs perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passテゥ du prテゥsent, et les rテゥconcilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres dテゥlices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts dテゥsespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changテゥs en cicatrices ; * Et celui qui chテゥrit sa sombre inquiテゥtude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par spanky le 02/02/2023Coucou mon maテョtre, Maintenant que テァa fait un petit temps que j窶兮i passテゥ le pont de l窶兮rc-en-ciel, on m窶兮 dit que ce serait bien que j窶凖ゥcrive une lettre テ la maison. Navrテゥ d窶兮voir mis un moment テ le faire, mais je suis tellement occupテゥ ici que テァa m窶册st sorti de la tテェte: on m窶兮 dit que ce n窶凖ゥtait pas grave et que vous comprendriez. J窶册spティre que c窶册st vrai (mais je crois bien que oui). Vous vous rappelez la fois oテケ je n窶兮llais vraiment pas bien et oテケ on pleurait tous? Je me rappelle que vous テゥtiez tous autour de moi et que vous m窶册ntouriez d窶兮mour et de cテ「lins. Vous m窶兮vez dit que vous m窶兮imiez, et que je pouvais y aller, alors j窶兮i traversテゥ le brouillard qui テゥtait en face de moi. Tout テ coup, je suis tombテゥ nez-テ-nez avec un pont immense, et de l窶兮utre cテエtテゥ, plein de copains qui m窶兮ttendaient pour jouer avec eux. Vous avez bien fait de me dire d窶凉 aller! Mテェme si mes pattes allaient de l窶兮vant, mon coeur lui, continuait テ me tirer en arriティre. Progressivement, vos caresses se sont faites de plus en plus lテゥgティres, et je voulais revenir sur mes pas pour vous dire de me serrer plus fort, mais ma curiositテゥ l窶兮 emportテゥ et j窶兮i traversテゥ le pont. Je vous ai cherchテゥs de l窶兮utre cテエtテゥ, parce que vous テゥtiez toujours avec moi, mais c窶凖ゥtait diffテゥrent: je n窶兮vais plus de collier ni de laisse pour me relier テ vous. J窶兮vais un peu peur, mais j窶兮i franchi le pont de l窶兮rc-en-ciel et テ l窶兮rrivテゥe, mes nouveaux copains テ quatre pattes m窶冩nt donnテゥ une paire d窶兮iles et m窶冩nt dit que j窶凖ゥtais un ange gardien et que ma mission テゥtait de veiller sur mes humains. Vous me manquez atrocement, mais promis, je suis heureux ici. Chaque fois que je vous manquerai trop, pensez テ un arc-en-ciel et dites-vous que je suis de l窶兮utre cテエtテゥ, en train d窶兮ttendre sagement qu窶冩n puisse テ nouveau aller se promener ensemble. |
Déposé par poutounou le 01/02/2023Les caresses des yeux les plus douces, les plus pures, sont celles de nos merveilleux Anges... * Les caresses des yeux * Les caresses des yeux sont les plus adorables ; Elles apportent l'テ「me aux limites de l'テェtre, Et livrent des secrets autrement ineffables, Dans lesquels seul le fond du coeur peut apparaテョtre. * Les baisers les plus purs sont grossiers auprティs d'elles ; Leur langage est plus fort que toutes les paroles ; Rien n'exprime que lui les choses immortelles Qui passent par instants dans nos テェtres frivoles. * Lorsque l'テ「ge a vieilli la bouche et le sourire Dont le pli lentement s'est comblテゥ de tristesses, Elles gardent encor leur limpide tendresse ; * Faites pour consoler, enivrer et sテゥduire, Elles ont les douceurs, les ardeurs et les charmes ! Et quelle autre caresse a traversテゥ des larmes ? * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 29/01/2023Mais non, ils sont toujours lテ : dans le vent, dans la pluie, dans les rayons du soleil窶ヲ ! Il suffit d窶凖ゥcouter avec son cナ砥r窶ヲ * Sur le fil * Ma chair fissure Sous l窶兮bsence Les silences grignotent L窶冑ier Les mots gercent Les lティvres De cette vie en barbelテゥs Tu ne sens pas mon odeur Tu n窶册ntends pas le son de ma voix Tu ne me vois pas Tu ne me touches pas Tu me laisses seule ici Tu oublies de me faire un signe Tu gommes mon sourire Tu me prives de toi, de nous窶ヲ * Sandrine Davin |
Déposé par spanky le 28/01/2023Tes yeux sont lテ, Sans arrテェt ils me fixent N'importe oテケ que je sois Ce que je ne risque pas C'est de les oublier Mais qu'il fasse pluie ou soleil La mテゥtテゥo de mon cナ砥r dit que je t'aime et t'aimerais toujours Et quand j'ai sommeil Que je vais dormir Tes yeux de lテ-haut me regardent Sur moi ils viennent lire Le fond de mes pensテゥes Au revoir, mon grand bonheur, au revoir mon petit chien Tout sur toi J'aime tout sur toi Tes yeux qui peuvent lire en moi La douceur de ton poil brillant Ta frimousse, qui me fait craquer テ chaque fois Ton regard sur moi parfois Une sensibilitテゥ qu'on ne soupテァonne pas Crois-moi, chacune d'elles restera gravテゥe lテ La chaleur de tes cテ「lins Faire glisser tes poils entre mes doigts Tout pour toi je fessais tout pour toi Et toi tu テゥtais toujours lテ pour moi Mテェme si toutes tes qualitテゥs ont ne les percevait pas Moi je les voyait, chaque jour je les ai vue Et je ne cesserai de les dire J'ai tellement besoin de toi Tu テゥtais toujours lテ pour me redonner le sourire quand テァa ne vas pas Toi et moi c'est pour la vie De ta truffe tu touchais mon visage Et dans ma main tu as glissテゥ ta patte. |
Déposé par poutounou le 25/01/2023ツォ Mon テ「me immortelle reviendra prティs de toi ツサ. Elle est toujours テ nos cテエtテゥs leur belle テ「me 窶ヲ !!! * Rappelle toi * (Vergiss mein nicht) (Paroles faites sur la musique de Mozart) * Rappelle-toi, quand l窶僊urore craintive Ouvre au Soleil son palais enchantテゥ ; Rappelle-toi, lorsque la nuit pensive Passe en rテェvant sous son voile argentテゥ ; Aux doux songes du soir lorsque l窶冩mbre t窶冓nvite, Ecoute au fond des bois Murmurer une voix : Rappelle-toi. * Rappelle-toi, lorsque les destinテゥes M窶兮uront de toi pour jamais sテゥparテゥ, Quand le chagrin, l窶册xil et les annテゥes Auront flテゥtri ce coeur dテゥsespテゥrテゥ ; Songe テ mon triste amour, songe テ l窶兮dieu suprテェme ! L窶兮bsence ni le temps ne sont rien quand on aime. Tant que mon coeur battra, Toujours il te dira Rappelle-toi. * Rappelle-toi, quand sous la froide terre Mon coeur brisテゥ pour toujours dormira ; Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s窶冩uvrira. Je ne te verrai plus ; mais mon テ「me immortelle Reviendra prティs de toi comme une soeur fidティle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gテゥmit : Rappelle-toi. * Alfred de Musset |
Déposé par spanky le 23/01/2023Oテケ es-tu mon ange ? L'ocテゥan se pose Sur le sable mouillテゥ oテケ se gravent mes pas. Alors la vague avance et rien ne s'oppose Aux larmes amティres que je verse pour toi. Oテケ es-tu mon ange ? C'est ta voix si menue Qui chante dans mon coeur le ressac du chagrin Qui me dit de venir lテ oテケ je t'ai perdu Quand l'テゥcume blanche emporte ton couffin Oテケ es-tu mon ange ? Dans cette immensitテゥ Je te devine encore lorsque le jour succombe, Mais la vague qui テゥclate, brise le rocher Et mon chテ「teau de sable ressemble テ ta tombe. |
Déposé par choupinou le 22/01/2023EST CE TOI MON PETIT ANGE? TOUT LA HAUT? POUR EGAYER MON COEUR ET LE REMPLIR D'UNE TELLE BEAUTE, DE FRISSON.. JE SOURIES A LA VUE DE CES JOLIS FLOCONS, QUI TOMBE VIRVOLTANT SUR MA TETE, ET VIENS TE DEPOSER TOUT DOUCEMENT, EN LECHOULLANT MA PETITE JOUE DE TON AMOUR... choupinou La neige tombe Toute blanche dans la nuit brune La neige tombe en voletant, テ pテ「querettes ! Une テ une Toutes blanches dans la nuit brune ! Qui donc lテ-haut plume la lune ? テ frais duvet ! Flocons flottants ! Toute blanche dans la nuit brune La neige tombe en voletant. La neige tombe, monotone, Monotonement, par les cieux ; Dans le silence qui chantonne, La neige tombe monotone, Elle file, tisse, ourle et festonne Un suaire silencieux. La neige tombe, monotone, Monotonement par les cieux. Jean Richepin |
Déposé par poutounou le 22/01/2023C窶册st テァa la vie : ツォ un fil sur lequel nous dansons ou pleurons ツサ, c窶册st selon窶ヲ !!! * Pテエles * Quand l窶冰ne s窶兮llume l窶兮utre s窶凖ゥteint la joie de la plume le poids du chagrin Entre ces deux sentiments un fil est tendu sur lequel funambules nous dansons ou pleurons La vie nous joue aux dテゥs cubes du hasard tantテエt テゥpris de lumiティre tantテエt hantテゥs par le soleil noir Quand l窶冰ne s窶兮llume l窶兮utre s窶凖ゥteint l窶凖ゥclat de ma plume l窶冩mbre de mon chagrin * Kamal Zerdoumi, 2019 |
Déposé par spanky le 21/01/2023Mon maテョtre, Si tu prends la peine d'テゥcouter dans le courant d'air de la maison, tu peux entendre ma voix qui te dit : ツォ Ne sois pas triste, ne pleure plus mon dテゥpart, oテケ je me trouve maintenant, je suis bien ツサ. Entourテゥ de l'amour de ceux qui m'ont prテゥcテゥdテゥe, je ne souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandテゥ, fini le tourment, je me repose sans douleur, sans contrainte. Je te quitte, mais je reste dans ta mテゥmoire, pense テ moi souvent, mais ne soit pas attristテゥe par mon absence, je serai partout avec toi, dans les moments de peine, comme dans les moments de joie. Dans les villes, dans les forテェts et dans les plaines, chaque fois que le vent des contraintes de la vie te couvrira, tends les bras vers le ciel, je t'envelopperai de mes ailes pour te rテゥchauffer de mon amour et chasser tous tes tracas. |
Déposé par poutounou le 18/01/2023Vous croyez qu窶冓ls jouent aux billes lテ-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! * Un Ange parfois joue aux billes窶ヲ * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une テゥtoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fテゥe courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rテェvant derriティre un carreau. * Maurice Carテェme |
Déposé par spanky le 17/01/2023Le petit chien. Je suis un petit chien Mais j窶兮i dテゥjテ quinze ans. Si je prテゥsente bien, Mon テ「ge, je le sens. Mon cナ砥r est fatiguテゥ, J窶兮i des douleurs partout, Ma vue a bien baissテゥ, Je n窶册ntends plus du tout. J窶兮imais bien la montagne Quand j窶凖ゥtais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche trティs peu. Je dors bien plus longtemps, J窶兮i cachテゥ tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d窶兮udace, Je me sens テゥlテゥgant. Mais dティs qu窶册lle est partie, Je retrouve mon テ「ge Et mon dos s窶兮rrondit : Ce n窶凖ゥtait qu窶冰n mirage. Mes maテョtres m窶兮iment autant Que quand j窶凖ゥtais petit. Ils me disent souvent Que j窶兮i changテゥ leur vie. La mienne aura テゥtテゥ Faite de grandes joies, J窶兮urai テゥtテゥ choyテゥ, J窶兮urai テゥtテゥ un roi. Quand il faudra partir, Je ne gテゥmirai pas. Je voudrais m窶册ndormir Blotti entre leurs bras. Madeleine Reynaud |
Déposé par poutounou le 15/01/2023Il arrive au Paradis...lテ oテケ se trouvent nos Anges... * L'テョle des rテェves * Il a mis le veston du pティre, Les chaussures de la maman Et le pantalon du grand frティre Il nage dans ses vテェtements. * Il nage, il nage テ perdre haleine. Il croise des poissons volants, Des thons, des dauphins, des baleines... Que de monde, dans l'ocテゥan ! * テ営ume blanche et coquillages, Il nage depuis si longtemps Qu'il aborde enfin au rivage Du pays des rテェves d'enfants (et d'animaux...). * Jacques Charpentreau |
Déposé par spanky le 13/01/2023Le petit chien de Madeleine Reynaud Je suis un petit chien Mais j窶兮i dテゥjテ quinze ans. Si je prテゥsente bien, Mon テ「ge, je le sens. Mon cナ砥r est fatiguテゥ, J窶兮i des douleurs partout, Ma vue a bien baissテゥ, Je n窶册ntends plus du tout. J窶兮imais bien la montagne Quand j窶凖ゥtais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche trティs peu. Je dors bien plus longtemps, J窶兮i cachテゥ tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d窶兮udace, Je me sens テゥlテゥgant. Mais dティs qu窶册lle est partie, Je retrouve mon テ「ge Et mon dos s窶兮rrondit : Ce n窶凖ゥtait qu窶冰n mirage. Mes maテョtres m窶兮iment autant Que quand j窶凖ゥtais petit. Ils me disent souvent Que j窶兮i changテゥ leur vie. La mienne aura テゥtテゥ Faite de grandes joies, J窶兮urai テゥtテゥ choyテゥ, J窶兮urai テゥtテゥ un roi. Quand il faudra partir, Je ne gテゥmirai pas. Je voudrais m窶册ndormir Blotti entre leurs bras. |
Déposé par poutounou le 11/01/2023Oui, tu vis テ l'infini mon Ange... * テ l'infini * Lテ-haut, tu es. Lテ-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle テ jamais que rien ne sテゥpare de la pure lumiティre ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es lテ, hors d'atteinte, hors du monde oテケ meurent les テ「mes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis テ l'infini. * Andrテゥ Velter ("L'amour extrティme, poティmes pour Chantal Mauduit", テゥditions Gallimard, 2000) |
Déposé par poutounou le 08/01/2023Partout, je t'ai vu, bel Ange... * Air vif * J'ai regardテゥ devant moi Dans la foule, je t'ai vu Parmi les blテゥs, je t'ai vu Sous un arbre, je t'ai vu * Au bout de tous mes voyages Au fond de tous mes tourments Au tournant de tous les rires Sortant de l'eau et du feu * L'テゥtテゥ, l'hiver je t'ai vu Dans ma maison, je t'ai vu Entre mes bras, je t'ai vu Dans mes rテェves, je t'ai vu * Je ne te quitterai plus. * Paul テ瑛uard ("Derniers poティmes d'amour") |
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