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En hommage à
DOBERMANNÉlico
Il est né le:01/09/2008
Il nous a quittés le:13/07/2022
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En hommage à
Élico
1 bougie
104 Fleurs
Déposé par luc78 Mon gros Bébé, voilà déjà un an, que le temps passe vite. Mais tous les jours tu étais avec nous tout comme Saskia. Pleins de carresses pour toi mon Pépère. Déposé par luc78 cela fera 1 an jeudi, j'ai l'impression que c'étit hier, tu me manques mon Pépère, mon gros Bébé. Déposé par luc78 mon Grand, voila déjà presque un an que tu es parti, tout comme Saskia tu me manques énormément... Déposé par luc78 Hier cela a fait 11 mois que tu es parti, tes petits câlins me manquent, Gros bisous mon Pépère.. Déposé par poutounou Il faut se méfier de la joie, il faut apprendre à ne pas rester heureux tout le temps. Car le temps se venge, car trop de bonheur tue le bonheur. Malheureusement !!! Déposé par luc78 Dans 4 jours cela fera déjà 11 mois que tu es parti, grosses pensées pour toi mon Pépère... Déposé par poutounou Au fil du temps, tu découvriras une plus grande sérénité dans ton coeur. C'est le don de la vieillesse. Tu penseras à ton Ange avec tendresse et douceur tout plein… !!! Déposé par poutounou J'ai besoin pour toi de ce temps et de mille fois plus que ce temps : de tout le temps qu'il peut y avoir au monde, celui de penser à toi, de respirer en toi, de vivre pour toi... !!! Déposé par luc78 Mon gros Bébé, te sérrer contre moi me manque, bientôt 9 mois déjà.... Grosses bises mon Bonhomme. Déposé par poutounou Le bonheur ce n'est pas grand-chose, c'est du chagrin qui se repose. Le bonheur c’est une « papatte » d’amour et le chagrin en fait partie… !!! |
202 messages
Déposé par poutounou le 31/08/2022N’importe quoi ! Mais ça fait énormément de bien de rire un peu…et de dire n’importe quoi aussi !!! * Il était des petits Anges… * Il était des petits Anges, Pirouette, cacahouète. Il était des petits Anges, Qui habitaient de beaux nuages, Qui habitaient de beaux nuages. * Leurs nuages étaient en coton, Pirouette, cacahouète. Leurs nuages étaient en coton, Leurs escaliers en soie dorée, Leurs escaliers en soie dorée. * Le fleuriste y est monté, Pirouette, cacahouète. Le fleuriste y est monté, Et s’est cassé le bout du nez, Et s’est cassé le bout du nez. * Les Anges l’ont raccommodé, Pirouette, cacahouète. Les Anges l’ont raccommodé, Avec du joli fil doré, Avec du joli fil doré. * Mon histoire est terminée, Pirouette, cacahouète. Mon histoire est terminée, Toutous, toutounes, applaudissez, Toutous, toutounes, applaudissez. |
Déposé par poutounou le 28/08/2022Ou deviens ange parmi les anges, tout là-haut, derrière les nuages… * Prière indienne * Si un jour tu as perdu ton équilibre, que tu es dans le doute, trouve une forêt, cherche un tapis d’herbe ou de mousse, allonge-toi dessus, ferme les yeux, vide tes pensées, respire l’odeur de la terre, écoute la vie, adapte ta respiration aux battements de ton cœur, ressens les moindres recoins de ton corps et relâche un à un les muscles et les nerfs raidis par le temps. * Deviens oiseau au son du vent, deviens arbre parmi les arbres, deviens le vent qui bruisse dans le feuillage, deviens le cerf qui t’observe et que tu n’avais pas vu, deviens fleur, deviens ruisseau, écoute le chant des ancêtres… |
Déposé par poutounou le 24/08/2022Un papier, un crayon et c’est parti… * Avez-vous déjà envoyé une lettre au père Noël, quand vous étiez enfant, en espérant qu’il vous apporte des jouets par milliers ? Avez-vous déjà écrit dans votre journal intime toute votre tristesse et votre désespoir ? Avez-vous déjà écrit et jeté à la mer un message dans une bouteille vide, en espérant qu’il soit lu un jour ? Avez-vous déjà écrit une lettre d’amour anonyme à votre amour secret pour lui dire que vous l’aimez ? Avez-vous déjà écrit un poème à votre ange gardien ? Comme ça, juste pour voir l’effet que cela vous fait, un papier, un crayon, par envie, ou par curiosité. On l’oublie souvent et pourtant… L’ange est là, en train de nous regarder. Alors voici un poème que je t’écris ange, mon gardien, pour te remercier. * Poème à mon ange, un été * "Dis-moi une phrase ou un mot Parle-moi des nuages ou des eaux Le soir avant de m’endormir Chante-moi tes mots doux à l’oreille car ils apaisent mes pensées Dis-moi les histoires d’amour que le Seigneur t’a racontées Eclaire avec ton cœur mes nuits sombres Pour que même ton ombre m’aide à retrouver la paix Tu me dessines de façon subtil car toi seul sais Et lorsque tu caresses mes mains, mes cheveux Alors je sais que je suis en sécurité J’entends, j’ai entendu, je t’aime ! que ta douce voix m’a chuchoté Tu es la plus belle preuve d’amour, même dans mes tourments tu sais comment m’aimer" * L’ange est là, en train de nous regarder, de nous guider, de nous protéger, de nous aimer. * Nadia Lalaoui |
Déposé par poutounou le 21/08/2022Et lorsque je suis las, je me laisse endormir et je rêve de toi mon doux cœur… !!! * Quel beau programme ! * FARNIENTE * Quand je n’ai rien à faire, et qu’à peine un nuage Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage, J’aime à m’écouter vivre, et, libre de soucis, Loin des chemins poudreux, à demeurer assis * Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse, Au bord des bois touffus où la chaleur s’émousse. Là, pour tuer le temps, j’observe la fourmi Qui, pensant au retour de l’hiver ennemi, Pour son grenier dérobe un grain d’orge à la gerbe, Le puceron qui grimpe et se pend au brin d’herbe, La chenille traînant ses anneaux veloutés, La limace baveuse aux sillons argentés, Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole. Ensuite je regarde, amusement frivole, La lumière brisant dans chacun de mes cils, Palissade opposée à ses rayons subtils, Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte En l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ; Et lorsque je suis las, je me laisse endormir, Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir, Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette, Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette. * Théophile Gautier, Premières Poésies |
Déposé par poutounou le 17/08/2022« Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre... » Avec tout l'amour que nous leur donnons et que nous rendent nos Anges, nous existons et nous vivons pleinement...!!! * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent (extrait) * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; Ce sont ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front. Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime. Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime. Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche, C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche. Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins. Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains. Car de son vague ennui le néant les enivre, Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. * Victor Hugo ("Les Châtiments" - 1844) |
Déposé par poutounou le 14/08/2022Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!! * Savez-vous pas... * Savez-vous pas quelque douce retraite, Au fond des bois, un lac au flot vermeil, Où des palmiers la grande feuille arrête Les bruits du monde et les traits du soleil - Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes, Par la savane aux ondoyants cheveux, Suivre, en rêvant, les écureuils agiles, Et voir sauter, sur les branches mobiles, L'ara de pourpre et les bengalis bleus ! * Savez-vous pas, sur les plages lointaines Où n'ont jamais passé les matelots, Une île heureuse aux suaves haleines, Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ? - Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée, Jetant au vent la poussière des jours, Sentir mon âme aux vagues balancée, Et m'endormir sur l'onde cadencée Comme un enfant que l'on berce toujours ! * Savez-vous pas, loin de la froide terre, Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu, Un astre d'or, un monde solitaire Roulant en paix sous le souffle de Dieu ? - Oh ! je voudrais une planète blonde, Des cieux nouveaux, d'étranges régions, Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde, Glisser la nuit, sous la voûte profonde, Le char brillant de constellations ! * Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines Le sable est dur et le soleil est lourd. Ma bouche ardente a tari les fontaines Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour. - Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses, Débarrassé de tout lien charnel, Courir joyeux dans les métamorphoses, Puis me plonger à la source des causes, Où l'Infini flotte dans l'Éternel ! * Louis BOUILHET (1822-1869) |
Déposé par spanky le 12/08/2022Une fois la nuit tombée, Quand le sommeil nous a emporté, Lorsqu'enfin tout est calme et léger, Loin du tumulte de la journée, Nos anges, doucement viennent nous frôler. Tout près de nous délicatement, ils vont se poser. Sur notre front, une léchouille doucement ils vont déposer. A notre oreille un "je t'aime" ils vont nous murmurer. De leurs ailes, ils vont nous envelopper, Et peut-être même...dans un tourbillon de bonheur ils vont nous emporter. Puis au matin revenu, à nouveau, ils vont nous quitter. Non sans nous avoir une dernière fois léchouillés. Mais de doux rêves ils nous auront laissé. Et le soir même, ils l'ont promis, ils vont repasser. |
Déposé par poutounou le 10/08/2022« Paradis où le coeur donne ses rendez-vous... » * Le sommeil * Les perdus, les absents, les morts que fait la vie, Ces fantômes d'un jour si longuement pleurés, Reparaissent en rêve avec leur voix amie, Le piège étincelant des regards adorés. * Les amours prisonniers prennent tous leur volée, La nuit tient la revanche éclatante du jour. L'aveu brûle la lèvre un moment descellée. Après le dur réel, l'idéal a son tour ! * Ô vie en plein azur que le sommeil ramène, Paradis où le coeur donne ses rendez-vous, N'es-tu pas à ton heure une autre vie humaine, Aussi vraie, aussi sûre, aussi palpable en nous, * Une vie invisible aussi pleine et vibrante Que la visible vie où s'étouffent nos jours, Cette vie incomplète, inassouvie, errante, S'ouvrant sur l'infini, nous décevant toujours ? * Augustine-Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895) |
Déposé par poutounou le 07/08/2022La vie est faite de "charmantes fleurs" mais aussi d'épines et de cailloux... * La Mort et la Vie * Si la mort est le but, pourquoi donc sur les routes Est-il dans les buissons de si charmantes fleurs ? Et lorsqu'au vent d'automne elles s'envolent toutes, Pourquoi les voir partir d'un oeil momifié de pleurs ? * Si la vie est le but, pourquoi donc sur les routes Tant de pierres dans l'herbe et d'épines aux fleurs, Que, pendant le voyage, hélas ! nous devons toutes Tacher de notre sang et mouiller de nos pleurs ? * Louise-Angélique BERTIN (1805-1863) |
Déposé par poutounou le 03/08/2022Oh oui, j'aime ! Nous, papas et mamans de cœur, savons, grâce à nos Anges, ce que c’est qu’aimer et être aimés(ées)… !!! * J'aime ces doux oiseaux... * J'aime ces doux oiseaux, qui promènent dans l'air Leur vie et leur amour, et plus prompts que l'éclair, Qui s'envolent ensemble ! J'aime la fleur des champs, que l'on cueille au matin, Et que le soir, au bal, on pose sur son sein Qui d'enivrement tremble ! * J'aime les tourbillons des danses, des plaisirs, Les fêtes, la toilette, et les tendres désirs Qui s'éveillent dans l'âme ! J'aime l'ange gardien qui dirige mes pas, Qui me presse la main, et me donne tout bas Pour les maux un dictame ! * J'aime du triste saule, au soir muet du jour, La tête chaude encor, pleine d'ombre et d'amour, Qui se penche et qui pense ! J'aime la main de Dieu, laissant sur notre coeur Tomber en souriant cette amoureuse fleur Qu'on nomme l'espérance ! * J'aime le doux orchestre, en larmes, gémissant Qui verse sur mon âme un langoureux accent, Une triste harmonie ! J'aime seule écouter le langage des cieux Qui parlent à la terre, et l'emplissent de feux De soleil et de vie. * J'aime aux bords de la mer, regardant le ciel bleu, Qui renferme en son sein la puissance de Dieu, M'asseoir toute pensive ! J'aime à suivre parfois en des rêves dorés Mon âme qui va perdre en des flots azurés Sa pensée inactive ! * J'aime l'effort secret du coeur, qui doucement S'agite, la pensée au doux tressaillement, Que l'on sent en soi-même ! Mieux que l'arbre, l'oiseau, la fleur qui plaît aux yeux, Le saule tout en pleurs, l'espérance des Cieux... J'aime celui qui m'aime. * Jules VERNE (1828-1905) |
Déposé par spanky le 02/08/2022A quoi sert de compter les jours, Les semaines et les années : Je ne te reverrais plus jamais ! En mon coeur je t'emmène partout Là où tu aimais te promener Et partout où tu ne pouvais aller. Tu me manques parfois si cruellement Que je n'arrive pas à retenir mes larmes, Et la colère qui me ronge dans ces moments là Me fait haïr Dieu et tous Ses Saints. Pourquoi mes petites bêtes devez-vous mourir ? Vous méritez tellement ce Paradis Que nous les hommes avons perdu. Si je pouvais, je vous créerais une nouvelle Terre et de nouveaux cieux Où vous vous retrouveriez tous ! Car c'est VOUS et bien VOUS Les Anges de cette Terre, nos Anges à NOUS |
Déposé par choupinou le 31/07/2022Quand je rêve de toi, moi je rêve d’amour Et quand je pense è toi je pense à nos beaux jours J’avance pas à pas vers cet oubli de nous Qui me blesse déjà car l’amour est si doux. Ce sont tous ces instants qui me parlent de nous Qui partent au fil du temps réduisant l’amour fou À ce petit espoir que tu te souviendras De notre belle histoire d'amour tu te rappelleras. Je n'ai que ton amours celui qui me hante Restera pour toujours ce bonheur qui m’enchante Bien du temps est passé, elle ne s’est pas éteinte La passion enflammée, celle de nos étreintes. Le temps est cruauté il éteint nos bonheurs On veut toujours aimer,ton coeur endormi fait mon malheur Le temps se fait bourreau des rêves de chacun Il nous met au repos dans nos derniers matins. Oui, je refuserai cette triste contrainte Qui épuise la flamme et deviens ma complainte Dans notre âme en éveil elle brûlera toujours Mais le corps en sommeil vibre bien moins d’amour. L’éternel assassin ce temps qui nous domine Ne nous donne plus rien que des rêves inutiles Et nous nous effaçons sans pourtant oublier Notre seul horizon, continuer à aimer. Par : Régina Augusto. |
Déposé par poutounou le 31/07/2022J'errais toute seule, promenant ma "plaie".... * Promenade sentimentale * Le couchant dardait ses rayons suprêmes Et le vent berçait les nénuphars blêmes ; Les grands nénuphars entre les roseaux Tristement luisaient sur les calmes eaux. Moi j'errais tout seul, promenant ma plaie Au long de l'étang, parmi la saulaie Où la brume vague évoquait un grand Fantôme laiteux se désespérant Et pleurant avec la voix des sarcelles Qui se rappelaient en battant des ailes Parmi la saulaie où j'errais tout seul Promenant ma plaie ; et l'épais linceul Des ténèbres vint noyer les suprêmes Rayons du couchant dans ses ondes blêmes Et les nénuphars, parmi les roseaux, Les grands nénuphars sur les calmes eaux. * Paul VERLAINE (1844-1896) |
Déposé par choupinou le 28/07/2022La mort d'un animal qu'on aime, n'est jamais chose facile, il en faut du courage pour surmonter cette épreuve. On ne peut pas apprendre a vivre sans ce petit chien, on apprend juste a vivre avec l'amour, qu'il nous a laissé, il devient un souvenir et on fait de ce souvenir un trésor, car il nous quitte jamais réellement, quand la mort ne peut pas prendre certaine choses |
Déposé par poutounou le 27/07/2022Et l’ombre est belle comme s’il s’y mirait un Ange… * Dans un parfum de roses blanches * Dans un parfum de roses blanches Elle est assise et songe ; Et l'ombre est belle comme s'il s'y mirait un ange. * Le soir descend, le bosquet dort ; Entre ses feuilles et ses branches, Sur le paradis bleu s'ouvre un paradis d'or. * Sur le rivage expire un dernier flot lointain. Une voix qui chantait, tout à l'heure, murmure. Un murmure s'exhale en haleine, et s'éteint. * Dans le silence il tombe des pétales..... * Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) |
Déposé par poutounou le 24/07/2022Très bel écrit de Grand Corps Malade sur les « absents ». Pas mal : « on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses »… !!! * Nos absents * C'est pas vraiment des fantômes Mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence Qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque tangible Car l'amour qu'on leur donnait est orphelin et cherche une cible * Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire Mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord Car la mort a ses raisons que notre raison ignore * Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste À plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent On apprivoise la douleur et la présence de nos absents * Nos absents sont toujours là, à l'esprit, dans nos souvenirs Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était * On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur * Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire * Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant Il faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux * Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers * Moi, les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses * C'est pas vraiment des fantômes Mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence Qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque infini Qu'inspirent des textes premier degré * Faut dire que la mort manque d'ironie * Grand corps malade |
Déposé par poutounou le 20/07/2022Qu'est-ce qu'on est bien quand on rêve...de nos Anges… * Extrait du « Grand Sommeil » d'Etienne Daho * Je ne peux plus me réveiller, rien à faire Sans moi le monde peut bien tourner à l'envers Engourdi par le sommeil et prisonnier de mon lit J'aimerais que cette nuit dure toute la vie * Lorsque je rêve tu es tout près de moi C'est la seule façon de rester avec toi C'est la raison pour laquelle je n'veux plus quitter mon lit Pour qu'enfin toutes les nuits durent toute la vie. |
Déposé par spanky le 19/07/2022Je me souviendrai longtemps de notre dernier câlin, toi la tête mouillée par mes larmes, et moi le visage par mes larmes aussi mais surtout par tes derniers bisous. Tu avais compris que c’était le dernier et que tu allais partir pour un long voyage sans retour. Alors, j’ai eu ma responsabilité à prendre, j’avais un devoir envers toi, je ne voulais pas que tu commences à souffrir ni risquer que tu deviennes comme une plante, j’ai alors pris la décision de te faire ton plus beau et ton dernier cadeau, te libérer de cette maladie et te faire aller sur le pont de l’arc en ciel. Mais que c’est difficile de devoir décider de la vie d’un être cher et que c’est dur de passer les dernières heures avec toi mais le plus dur fut le moment où tu as fermé tes jolis yeux et que tu es parti vers ton nuage, je pensais que mon coeur allait éclater tellement je te serrais tout contre moi, ta tête sur mon épaule contre ma figure. Tu as toujours été très gentil, très câlin, très propre, je ne te connaissais aucun défauts, mais cette fichue maladie est venue briser les années que nous avons vécus ensemble. |
Déposé par Cupidon le 18/07/2022**** Ne soit pas Triste **** Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi. Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a été prêtée, Le temps d'une vie terrestre. Elle m'a permis de te connaître et de t'aimer à ma façon. Mon vrai moi, l'Âme que je suis, Vient de traverser une nouvelle étape vers l'accomplissement de soi. Ne sois pas triste, sois heureux pour moi. Là où je suis, la lumière et l'Amour m'enivrent puisque, En plus de nager dans un Océan d'Amour limpide, J'ai emporté avec moi celui que tu m'as Si gentiment et inconditionnellement offert ! J'aimais la Vie, tu le sais bien. La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme ! Ce que j'avais à apprendre ou à faire Dans cette vie-ci est accompli. Je n'emporte que de bons souvenirs car, Un événement triste ou encore un obstacle, Dans mon ancien monde, Est un privilège, c'est une occasion de grandir Qui est offerte, une occasion d'évoluer Un peu plus à chaque fois. S'il y a quelque chose que tu aurais aimé me dire, Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant "conscience" Je peux, par le fait même, percevoir tes pensées Et tes vibrations les plus pures. Ce soir ou même ici, installe-toi dans un coin calme, Entre en toi, Ouvre ton cœur et perçois mon image Au centre d'un radieux soleil. Sens son incommensurable chaleur qui t'apaise et t'irradie. C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici, Tout l'Amour à l'état cristallin Qu'il t'est humainement possible de recevoir ! N'oublie pas que c'est ici, en toi, Que tu pourras toujours reprendre contact. Même si, parfois, tu ne me percevais pas, Sois certain que j'y serai tout de même !! Ta vie continue, La mienne aussi… Rendez-vous dans une autre dimension, Au moment opportun. Je t'y accueillerai Pensée |
Déposé par poutounou le 18/07/2022Tout est si vide quand ils s’en vont… !!! Un joli petit poème pour consoler un peu… !!! * Tant de belles choses * Même s'il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "à demain" Rien ne défera jamais nos liens. Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train, L'amour est plus fort que le chagrin. L'amour qui fait battre nos cœurs Va sublimer cette douleur, Transformer le plomb en or ! Tu as tant de belles choses à vivre encore. Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas. Tu as tant de belles choses devant toi. Même si je veille d'une autre rive, Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive, Je serai avec toi comme autrefois. Même si tu pars à la dérive, L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois. Dans l'espace qui lie le ciel et la terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore. Il y a tant de belles choses que tu ignores : La foi qui abat les montagnes, La source blanche dans ton âme, Penses-y quand tu t'endors : L'amour est plus fort que la mort. Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache le plus beau des mystères. Penses-y quand tu t'endors : L'amour est plus fort que la mort. |
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