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En hommage à
PAMPINETTE
Il nous a quittés le:14/01/2023
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En hommage à
PAMPINETTE
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801 Fleurs
Déposé par pouilledamour nous ne t'oublions pas Pampinette, mais aujpurd'hui, je n'ai pas voulu faire pleurer ta petite Lalie, alors je lui ai pas dis que c'était ton première anniversaire, du bout de ses ans c'est dur Déposé par pouilledamour En ce jour anniversaire je pose ici,ma tendresse,mes mains sur mon clavier,histoire de ne pas oublier,mon petit coeur,et a la douleur que fut ce jour pour ta petite Lalie ce moment fort pour elle Déposé par pouilledamour En ce jour anniversaire je pose ici,ma tendresse,mes mains sur mon clavier,histoire de ne pas oublier,mon petit coeur,et a la douleur que fut ce jour pour ta petite Lalie ce moment fort pour elle Déposé par choupinou En ce triste première anniversaire,mes plus tendres pensées,et doux câlins,de petits bisous sont déposé sur quelques pétales dans ce merveilleux bouquet de roses,aux douces senteurs enivrantes amour |
166 messages
Déposé par poutounou le 01/03/2023Nos anges ne seront jamais oubliés... * Le calmant * Plus qu'ennuyée Triste. Plus que triste Malheureuse. Plus que malheureuse Souffrante. Plus que souffrante Abandonnée. Plus qu'abandonnée Seule au monde. Plus que seule au monde Exilée. Plus qu'exilée Morte. Plus que morte Oubliée. * Marie Laurencin ("Poèmes" - Bernouard éditeur, 1926) Marie Laurencin (1883-1956) , peintre certes, mais également poète sous le pseudonyme de Louis Lalanne, |
Déposé par poutounou le 26/02/2023La vie se résume à ces quelques mots, que l’on soit un humain ou un chien : "Entrez, sortez et puis bonsoir !" * Epitaphe pour n'importe qui * On ne sait pourquoi cet homme prit naissance. Et pourquoi mourut-il ? On ne l'a pas connu. Il vint nu dans ce monde, et, pour comble de chance, Partit comme il était venu. * La gaîté, le chagrin, l'espérance, la crainte, Ensemble ou tour à tour ont fait battre son coeur. Ses lèvres n'ignoraient le rire ni la plainte. Son oeil fut sincère et moqueur. * Il mangeait, il buvait, il dormait ; puis, morose, Recommençait encor dormir, boire et manger ; Et chaque jour c'était toujours la même chose, La même chose pour changer. * Il fit le bien, et vit que c'était des chimères. Il fit le mal ; le mal le laissa sans remords. Il avait des amis ; amitiés éphémères ! Des ennemis ; mais ils sont morts. * Il aima. Son amour d'une autre fut suivie, Et de plusieurs. Sur tout le dégoût vint s'asseoir. Et cet homme a passé comme passe la vie Entrez, sortez, et puis bonsoir ! * Jean RICHEPIN (1849-1926) |
Déposé par poutounou le 22/02/2023Que c’est beau : « voile ma douleur solitaire »… * A la nuit * Toujours le malheureux t'appelle, Ô nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et, porte sur ton aile L'oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ; Et, lorsque la main du Sommeil Fermera ma triste paupière, Ô dieux ! reculez mon réveil ; Qu'à pas lents l'aurore s'avance Pour ouvrir les portes du jour : Importuns, gardez le silence, Et laissez dormir mon amour. * Evariste de PARNY (1753-1814) |
Déposé par poutounou le 19/02/2023Ton souvenir aussi se creuse plus avant, mon doux Ange... * La Grand-mère * Voici trois ans qu'est morte ma grand'mère, La bonne femme, et, quand on l'enterra, Parents, amis, tout le monde pleura D'une douleur bien vraie et bien amère. * Moi seul j'errais dans la maison, surpris Plus que chagrin ; et, comme j'étais proche De son cercueil, quelqu'un me fit reproche De voir cela sans larmes et sans cris. * Douleur bruyante est bien vite passée : Depuis trois ans, d'autres émotions, Des biens, des maux, des révolutions, Ont dans les murs sa mémoire effacée. * Moi seul j'y songe, et la pleure souvent ; Depuis trois ans, par le temps prenant force, Ainsi qu'un nom gravé dans une écorce, Son souvenir se creuse plus avant ! * Gérard de Nerval ("Odelettes", 1832) |
Déposé par poutounou le 15/02/2023Il est où le "chemin de clarté" ??? C'est peut-être le chemin du coeur !!! * Le veilleur solitaire * Il y a toujours dans la nuit de la ville une petite fenêtre qui brille très loin au bord du ciel une fenêtre au loin, une lampe qui brûle, un homme ou peut-être un enfant penché sur la page d'un livre où les mots brûlent et brillent. Et le cœur de l'homme ou de l'enfant brûle d'un sang plus vif, s'exalte, s'illumine. * Il y a toujours au bord du ciel un veilleur solitaire qui cherche dans la nuit son chemin de clarté. * Jean Joubert ("La maison du poète" - Pluie d'étoiles éditions, 1999) |
Déposé par poutounou le 12/02/2023Que c'est joli ! "Il faut savoir marier la mort avec la vie !". * Un jour de colère * Un jour de colère tu te gonfles comme un poisson-lune un jour de douceur ta bouche est en fleur Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier le soleil avec la pluie * Un jour de couleur l’enfer embrasse ton coeur mais un jour de miel comme tu es suave ! Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier Douleur avec Plaisir * Un de tes amis meurt tu es brisé de chagrin un enfant naît ton coeur est en fête Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier la Mort avec la Vie * Hector Poullet ("Paroles en l’air" , éditions Desormeaux, 1978) |
Déposé par choupinou le 11/02/2023A ma Pampan2 allias Pampinette d'amour Mon p'tit ange, j'ai le cœur si lourd mon amour Est-ce que tu m'aimes toujours, pour toujours Moi je ne pense qu'à toi mon amour Je ne vie que pour ça tous les jours Moi qui chaque heure n'oublie pas notre amour Sur un signe seulement de toi, une chanson Je vole en éclat, en sanglot, Les souvenirs partout dans la maison Toi ma petite lapinette que j'aime si fort A notre lien éternel pour toujours Mon cœur se bat pour toi mon amour Ton absence me pèse tous les jours Je ne peux t'oublier, ni faire semblant Tu me manques depuis depuis si longtemps Ta maman d'amour, ta choupinou qui t'aime tant |
Déposé par poutounou le 08/02/2023Soulagement * Quand je n'ai pas le coeur prêt à faire autre chose, Je sors et je m'en vais, l'âme triste et morose, Avec le pas distrait et lent que vous savez, Le front timidement penché vers les pavés, Promener ma douleur et mon mal solitaire Dans un endroit quelconque, au bord d'une rivière, Où je puisse enfin voir un beau soleil couchant. * O les rêves alors que je fais en marchant, Dans la tranquillité de cette solitude, Quand le calme revient avec la lassitude ! Je me sens mieux. * Je vais où me mène mon coeur. Et quelquefois aussi, je m'assieds tout rêveur, Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune, Je me surprends parfois à voir monter la lune. |
Déposé par choupinou le 05/02/2023" J'ai toujours ton coeur avec moi je le garde dans mon coeur sans lui je ne suis... Tu es mon monde, en vrai. C'est le secret profond que nul ne connaît C'est la racine de la racine, le bourgeon du bourgeon, et le ciel d'un arbre appelé Vie qui croît plus haut que l'âme ne saurait l'espérer ou l'esprit le cacher. C'est la merveille qui maintien les étoiles éparses Je garde ton coeur, je l'ai dans mon coeur... EDWARD ESTLIN CUMMINGS |
Déposé par poutounou le 05/02/2023« La tranquille habitude aux mains silencieuses panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures... » * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre, Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'étrange quiétude Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ; * Et du même toucher dont elle endort la peine, Du même frôlement délicat qui repasse Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage même Dont la présence était divine et meurtrière ; Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ; La source des regrets devient voilée et blême. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur éclat aux voluptés perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passé du présent, et les réconcilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changés en cicatrices ; * Et celui qui chérit sa sombre inquiétude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 01/02/2023Les caresses des yeux les plus douces, les plus pures, sont celles de nos merveilleux Anges... * Les caresses des yeux * Les caresses des yeux sont les plus adorables ; Elles apportent l'âme aux limites de l'être, Et livrent des secrets autrement ineffables, Dans lesquels seul le fond du coeur peut apparaître. * Les baisers les plus purs sont grossiers auprès d'elles ; Leur langage est plus fort que toutes les paroles ; Rien n'exprime que lui les choses immortelles Qui passent par instants dans nos êtres frivoles. * Lorsque l'âge a vieilli la bouche et le sourire Dont le pli lentement s'est comblé de tristesses, Elles gardent encor leur limpide tendresse ; * Faites pour consoler, enivrer et séduire, Elles ont les douceurs, les ardeurs et les charmes ! Et quelle autre caresse a traversé des larmes ? * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 29/01/2023Mais non, ils sont toujours là : dans le vent, dans la pluie, dans les rayons du soleil… ! Il suffit d’écouter avec son cœur… * Sur le fil * Ma chair fissure Sous l’absence Les silences grignotent L’hier Les mots gercent Les lèvres De cette vie en barbelés Tu ne sens pas mon odeur Tu n’entends pas le son de ma voix Tu ne me vois pas Tu ne me touches pas Tu me laisses seule ici Tu oublies de me faire un signe Tu gommes mon sourire Tu me prives de toi, de nous… * Sandrine Davin |
Déposé par choupinou le 25/01/2023il pleure dans mon coeur il pleure dans mon coeur comme il pleut sur mon village quelle est cette langueur qui pénètre mon coeur o bruitdoux de la pluie par terre et sur les toits... pour un coeur qui s'ennuie ô le chant de la pluie! il pleure avec raison dans ce coeur qui m'attriste quoi! nulle trahison ce deuil est mon enfer, je l'aime c'est bien la pire peine de savoir pourquoi, j'ai du l'aider avec amour et sans haine, mon coeur a tant de peine Paul VERLAINE romances sans paroles avec quelques changement de ma part) |
Déposé par poutounou le 25/01/2023« Mon âme immortelle reviendra près de toi ». Elle est toujours à nos côtés leur belle âme … !!! * Rappelle toi * (Vergiss mein nicht) (Paroles faites sur la musique de Mozart) * Rappelle-toi, quand l’Aurore craintive Ouvre au Soleil son palais enchanté ; Rappelle-toi, lorsque la nuit pensive Passe en rêvant sous son voile argenté ; Aux doux songes du soir lorsque l’ombre t’invite, Ecoute au fond des bois Murmurer une voix : Rappelle-toi. * Rappelle-toi, lorsque les destinées M’auront de toi pour jamais séparé, Quand le chagrin, l’exil et les années Auront flétri ce coeur désespéré ; Songe à mon triste amour, songe à l’adieu suprême ! L’absence ni le temps ne sont rien quand on aime. Tant que mon coeur battra, Toujours il te dira Rappelle-toi. * Rappelle-toi, quand sous la froide terre Mon coeur brisé pour toujours dormira ; Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s’ouvrira. Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle Reviendra près de toi comme une soeur fidèle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gémit : Rappelle-toi. * Alfred de Musset |
Déposé par spanky le 23/01/2023Où es-tu mon ange ? L'océan se pose Sur le sable mouillé où se gravent mes pas. Alors la vague avance et rien ne s'oppose Aux larmes amères que je verse pour toi. Où es-tu mon ange ? C'est ta voix si menue Qui chante dans mon coeur le ressac du chagrin Qui me dit de venir là où je t'ai perdu Quand l'écume blanche emporte ton couffin Où es-tu mon ange ? Dans cette immensité Je te devine encore lorsque le jour succombe, Mais la vague qui éclate, brise le rocher Et mon château de sable ressemble à ta tombe. |
Déposé par spanky le 23/01/2023Cette nuit, j'ai fait ce songe merveilleux. J'avançais parmi les lutins heureux. Ils sautillaient, dansaient, chantaient; De belles rondes, ils formaient. Un instant, confuse de les déranger, Je me suis, près d'un arbre, cachée. Leur mélopée doucement, me berçait. Mes pensées légères s'envolaient. Par-delà la forêt bruissante, joyeuse Je découvris l'étendue lumineuse. Au ciel profond, aux nébuleuses. Je me fondis, enfin heureuse. A tir d'ailes imaginaires, Je revins me poser à terre. Étourdie de mon rêve spatial, D'avoir tutoyé les étoiles. |
Déposé par choupinou le 22/01/2023EST CE TOI MON PETIT ANGE? TOUT LA HAUT? POUR EGAYER MON COEUR ET LE REMPLIR D'UNE TELLE BEAUTE, DE FRISSON.. JE SOURIES A LA VUE DE CES JOLIS FLOCONS, QUI TOMBE VIRVOLTANT SUR MA TETE, ET VIENS TE DEPOSER TOUT DOUCEMENT, EN LECHOULLANT MA PETITE JOUE DE TON AMOUR... choupinou La neige tombe Toute blanche dans la nuit brune La neige tombe en voletant, Ô pâquerettes ! Une à une Toutes blanches dans la nuit brune ! Qui donc là-haut plume la lune ? Ô frais duvet ! Flocons flottants ! Toute blanche dans la nuit brune La neige tombe en voletant. La neige tombe, monotone, Monotonement, par les cieux ; Dans le silence qui chantonne, La neige tombe monotone, Elle file, tisse, ourle et festonne Un suaire silencieux. La neige tombe, monotone, Monotonement par les cieux. Jean Richepin |
Déposé par poutounou le 22/01/2023C’est ça la vie : « un fil sur lequel nous dansons ou pleurons », c’est selon… !!! * Pôles * Quand l’une s’allume l’autre s’éteint la joie de la plume le poids du chagrin Entre ces deux sentiments un fil est tendu sur lequel funambules nous dansons ou pleurons La vie nous joue aux dés cubes du hasard tantôt épris de lumière tantôt hantés par le soleil noir Quand l’une s’allume l’autre s’éteint l’éclat de ma plume l’ombre de mon chagrin * Kamal Zerdoumi, 2019 |
Déposé par choupinou le 20/01/2023La perte d'un être cher est un naufrage, une tempête. Quand le bateau sombre, au début, tu te noies, avec des morceaux d'épave qui flottent tout autour de toi. Tout ces débris qui ne font que te rappeler douloureusement, la beauté, l'éclat, la splendeur passée de ce navire, qui était, et qui n'est plus. Et voilà tout ce que tu peux faire : flotter. Tu chercheras un morceau d'épave, tu t'y accrocheras, pendant un long moment... Ce sera peut-être un objet matériel... cela pourra être un souvenir heureux, une photographie. cela pourra être aussi une autre personne, naufragé comme toi de ce bateau, qui lui aussi essaye tant bien que mal de rester à la surface. Pendant un temps, tout ce que tu pourras faire pour ton salut, c'est flotter, balloté par les éléments; essayer dee rester en vie. Au début, tu seras pris au coeur de la tempête, des vagues de 30 metres qui s'abattent contre toi, sans merci. Elles arrivent toutes les 10 secondes, et elles ne te laisse, même pas le temps de reprendre ton souffle. Tout ce que tu peux faire, c'est t'accrocher, subir, flotter. Après un moment, peut-être des semaines, peut-être des mois, les vagues seront toujours aussi énormes, mais tu verras qu'elles seront un peu plus espacées, elles te laisserons un peu de répit. Bien sûr, quand elles s'écrasent sur toi, elles t'engloutissent, toujours, mouillent ton visage, t'entraînent par le fond, dans un tourbillon d'écumes... Mais entre-temps, tu peux respirer, tu peux vivre . Tu ne sauras jamais à l'avance ce qui déclenchera cette vague de chagrin. Cela pourra être une chanson, une photo, le croisement d'une rue... l'odeur d'une couverture, d'un souvenir... Cela peut-être tout et n'importe quoi.... et les vagues continuent à se briser sur toi. MAIS ENTRE LES VAGUES, IL Y A LA VIE. Auteur internaute |
Déposé par poutounou le 18/01/2023Vous croyez qu’ils jouent aux billes là-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! * Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une étoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fée courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rêvant derrière un carreau. * Maurice Carême |
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