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In tribute to
CANICHEHeliot
Born on :20/06/1992
left us on:21/11/2003
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In tribute to
Heliot
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left by nina1997 Je t'aime dans le temps🐕. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors je t'aurai aimé. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été ne pourra jamais être effacé💖 left by spanky Le décès de nos amis à 4 pattes est toujours très difficile et même s'ils avaient des poils,une longue queue et qu'ils ne parlaient pas.Qui aurait pensé qu'ils pouvaient nous donner autant de bonheur. |
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left by rafia on 14/04/2015Un véritable ami. Recueil : D'ineffables fables affables (2006) Il est un sentiment bien plus beau que l'amour Un sentiment plus pur, sentiment plus honnête, Une source de joie que jamais rien n'arrête ; Un sentiment qui ne joue pas de mauvais tour. L'amitié est telle qu'un soleil des beaux jours, Gratuite et chaleureuse, elle apporte la fête ; Ce n'est pas un tissu à nombreuses facettes Cousu d'hypocrisie ; c'est un don sans retour. Un véritable ami est toujours disponible Au cours des bons moments et au cours des pénibles ; C'est une mine d'or qui brille de bonheur. Être avec mes amis est ma plus grande joie ; Et même s'ils ne sont toujours auprès de moi, Ils sont tous à jamais bien gravés dans mon cœur. Alexandre Marrot. |
left by poutounou on 13/04/2015« La cigale et la fourmi » à l’envers ! * La fourmi et la cigale * La fourmi ayant stocké tout l’hiver Se trouva fort encombrée Quand le soleil fut venu : Qui lui prendrait ses morceaux De mouches ou de vermisseaux ? Elle tenta de démarcher Chez la cigale, sa voisine, La poussant à s’acheter Quelques grains pour subsister Jusqu’à la saison prochaine. « Vous me paierez, lui dit-elle, Apres l’out, foi d’animal, Intérêt et principal. « La cigale n’est pas gourmande : C’est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps froid ? Dit-elle à cette amasseuse. - Nuit et jour à tout-venant Je stockais, ne vous déplaise. - Vous stockiez ? j’en suis fort aise ; Et bien soldez maintenant. « * Françoise Sagan |
left by rafia on 13/04/2015La solidarité Qu'est-ce que la solidarité ? En gros, vous le savez Mais la vraie solidarité C'est bien plus compliqué La solidarité bien que vous le pensez Ce n'est pas que donner de l'argent Non, la solidarité c'est bien plus Que vous ne l'imaginez... La solidarité, c'est donner de son temps Pour aider les gens La solidarité c'est donner sans compter La solidarité, ce n'est pas rester Devant sa télé à pleurer Non, la solidarité c'est se lever Pour aller aider Donner, partager Du mieux que vous le pouvez... Auteur inconnu |
left by rafia on 12/04/2015Le chien abandonné Chanson de Jean Rochefort Quand ils ont claqué la portière Il n'a pas compris tout de suite Il a couru longtemps derrière Mais la voiture allait trop vite Et pendant des journées entières Il a vu les autos passer Mais vous, auriez-vous fait marche arrière En voyant ce chien sans collier ? Car après les premières caresses Puis quelques mois d'indifférence Beaucoup de chiens perdent leur laisse Au début des grandes vacances… Comme un objet que l'on jette Quand il n'est plus au goût du jour Il sera remplacé peut-être Par un chien plus jeune au retour… Le chien abandonné en été par ses maîtres Flaire toujours la route et fait des kilomètres Il traverse les villages et s'approche des enfants Qui n'osent le caresser de peur qu'il soit méchant, De peur qu'il soit méchant Il n'a pas oublié ses maîtres Depuis le jour qu'il vagabonde Et pour les retrouver peut-être Il ira jusqu'au bout du monde Il n'a plus d'âge et plus de race Qu'importe comment il s'appelle Mais à le voir suivre leurs traces Moi, je vais l'appeler Fidèle Le chien abandonné en été par ses maîtres Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais De chien abandonné. ________________ |
left by rafia on 11/04/2015La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, Faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard |
left by rafia on 10/04/2015L'attachement peut se passer de retour, jamais l'amitié ; elle est un échange, un contrat comme les autres, mais elle est le plus saint de tous. Le mot d'ami n'a point d'autre corrélatif que lui-même. Tout homme qui n'est pas l'ami de son ami est très sûrement un fourbe, car ce n'est qu'en rendant l'amitié qu'on peut l'obtenir. Citation de Jean-Jacques Rousseau, |
left by rafia on 09/04/2015Si tu ne sais pas voler, cours Si tu ne sais pas courir, marche Si tu ne sais pas marcher, rampe … Mais essaie de ne jamais rester sur place. Essaie de ne jamais descendre, mais de monter. Si tu ne sais pas rire, souris. Si tu ne sais pas sourire, sois heureux. Si tu ne sais pas être heureux, sois satisfait Mais essaie de ne jamais perdre espoir. Essaie de t’efforcer d’aller en avant. |
left by rafia on 08/04/2015Prends un sourire, Fais- en cadeau à celui qui n'a jamais souri. Prends un rayon de soleil, Fais-le voler, là où règne la nuit. Prends une larme, Poses-la sur le visage De celui qui n'a jamais pleuré. Prends le courage, Mets-le dans l'âme De celui qui ne sait pas lutter. Prends l'espérance Et vis dans sa lumière. Prends la bonté, Donnes-la à qui ne sait pas donner. Découvre enfin l'Amour, Et fais-le comprendre au monde entier. Gandhi |
left by rafia on 07/04/2015Le Petit Chien Noir de Pétula Clark Un petit chien noir Avec un collier rouge M'a suivie dans la rue, un matin Un petit bâtard Avec la queue qui bouge Et des yeux pétillants et malins J'ai regardé son collier Mais il n'y avait pas de nom Quand j'ai voulu le chasser Il a filé dans la maison J'ai dit "Non, c'est non ! A qui voudra le prendre Moi, j'irai dès demain le donner" Ah ! Le petit chien noir Avait l'air de comprendre Les enfants se sont mis à pleurer J'ai dû céder comme toujours J'ai promis de le garder Si dans un an et un jour Personne ne l'avait réclamé Ce petit roublard A su si bien si prendre Que je dois aujourd'hui vous l'avouer Si jamais quelqu'un Venait nous le reprendre Je serais la première à pleurer Oh oui ! Je serais la première à pleurer |
left by rafia on 06/04/2015Paroles de I Love My Dog de Cat Stevens I love my dog as much as I love you But you may fade, my dog will always come through. All he asks from me is the food to give him strength All he ever needs is love and that he knows he'll get So, I love my dog as much as I love you But you may fade, my dog will always come through. All the pay I need comes shining through his eyes I don't need no cold water to make me realize that I love my dog as much as I love you But you may fade, my dog will always come through. Na, na, na, na, na, na, nana... I love my dog as much as I love you But you may fade, my dog will always come through. Na, na, na, na, na, na, nana... I love my dog, Baby, I love my dog. Na, na, na... I love my dog, Baby, I love my dog. Na, na, na... |
left by rafia on 05/04/2015DESSINE-MOI...un ESPOIR C’est une petite voix que j’entends, depuis mercredi, dans le désert de ma tête, une petite voix qui me demande : Dessine-moi un espoir !!! J’aimerais bien, mais on dessine ça comment un espoir, quand on vient de voir des gens se faire tuer à cause de leurs dessins ??? On dessine un soleil ??? Un gros soleil. Un rond jaune avec plein de lignes autour. De nos jours, le soleil, ce n’est plus l’espoir. Le soleil, c’est le danger. C’est la folie des hommes qui a transformé l’astre de la vie en bombe à retardement, à cause de leur fumée. De leur progrès. De leur argent. On dessine une maison ??? Un carré avec un triangle par-dessus pour faire le toit.... Une porte et deux fenêtres. Et on se dit que dans la maison, il y a des gens heureux.... Mais s’ils ne l’étaient pas ? Il y a tellement de maisons avec des habitants malheureux dedans. Avec des frères qui méprisent les maisons qui les entourent. Et qui débarquent dans l’une d’elles, pour commettre l’irréparable. On dessine un coeur ? ?? Un grand coeur..... Et on le colore tout rouge pour qu’il ne soit pas vide. Parce qu’il n’y a rien de plus triste qu’un coeur vide. Mais un coeur tout rouge, ça devient un coeur qui saigne. L’amour et le sang ont la même couleur....... Et c’est toujours pour le premier que coule le second. On dessine une fleur ? Un rond, des pétales autour et une tige.... C’est beau, une fleur. Mais aujourdhui, impossible d’en voir une sans penser qu’il y a un mort en-dessous. Comme toutes ces fleurs laissées sur le trottoir devant le 10, rue Nicolas-Appert..... J’ai peur qu’un jour, il n’y ait plus assez de fleurs pour tous les morts que l’on fait. On dessine un bonhomme allumette ??? Un rond pour la tête, une ligne pour le corps, deux lignes pour les jambes, deux lignes pour les bras. Un être humain, ça devrait être ça, le symbole de l’espoir.....Pourtant, il n’y a rien de plus désespérant qu’un être humain. Il peut tuer son voisin parce qu’il n’aime pas son dessin.... L’espoir, c’est croire que demain, ça ira mieux. Que demain, le monde sera meilleur. Les journalistes de Charlie Hebdo le croyaient.... C’est pour ça qu’ils se tenaient debout. Cest pour ça qu’ils riaient. On leur a fait peur.... Ça n’a rien changé. La peur n’a pas eu raison de leur foi en l’homme..... Ils sont restés debout. Ils ont continué à rire. Des vrais. Pour tuer leur espoir, il fallait les tuer. C’est ce que des fous ont fait. Et nous qui assistons à ça, nous qui ne sommes pas aussi braves que les victimes, ni aussi lâches que les agresseurs, comment on fait pour continuer de croire qu’un jour, ça ira mieux ? Quand les plus convaincus sont partis à cause de leurs convictions?? ? Et que la tuerie se poursuit, le lendemain ???? C’est l’ultime but des terroristes : tuer l’espoir. Ils veulent rendre tout le monde semblable à eux. Il n’y a, en eux, aucun espoir. C’est pour ça qu’ils sont prêts à tuer. C’est pour ça qu’ils sont prêts à mourir. L’espoir fait vivre. L’absence d’espoir fait tuer. Pourquoi en sont-ils rendus là ??? Sûrement à cause des hommes...!!! D’autres hommes...... Désespérés avant eux. Et la roue tourne. Gigantesque..... Et elle écrase tous ceux qui ont le malheur d’être sur son chemin. Bien sûr, la solidarité qui naît après l’horreur est émouvante. Ça réconforte. Nous sommes tous Charlie. C’est joli. Mais un coup que c’est dit, qu’est-ce qu’on fait ??? On redevient Stéphane, Martine ou François. Et on pense à soi. En premier. Comment rester Charlie ??? Depuis mercredi, j’ai la tête comme un désert. Vidée de mes repères. Vidée de mes beautés. Chaque fois que l’homme est un loup pour l’homme, ça m’anéantit. Vous aussi. Et l’enfant en moi qui supplie : Dessine-moi un espoir !!! Dessine-moi un espoir !!! Mon soleil, ma maison, mon coeur, ma fleur, mon bonhomme n’ont pas fait l’affaire..... Je m’essaie une dernière fois. Je prends une feuille blanche. Et je n’y dessine rien.... Je la lui tends : Tiens mon enfant, c’est ça l’espoir. Une page blanche.... Il la prend. Il est content.... Il comprend. L’espoir est une page blanche..... Tant que la page est blanche, il est permis de croire que l’on va faire le plus beau des dessins. Tellement beau qu’il nous rendra heureux. Si on tournait la page de nos marques et de nos blessures. Si on avait tous devant nous une page blanche !!!!… |
left by rafia on 04/04/2015"Espérance, renouveau printanier, beauté de la nature... La fête de Pâques nous invite à voir les choses avec des yeux tout neufs, à s'émerveiller comme un gamin devant un panier rempli d'oeufs en chocolats. Joyeuses Pâques !" |
left by poutounou on 04/04/2015Coucou bel Ange, Va-t-en voir dans ton jardin… Le lapin de Pâques, ce farceur, Y a caché cette nuit Un panier rempli de surprises : * Des œufs de toutes les couleurs, Des sucettes, des guimauves, Des meringues, des nonosss, Une baballe qui rebondit. * Regarde aussi dans tes fleurs. Tu y trouveras des bonbons à la liqueur. Je te souhaite, de tout cœur, De Joyeuses Pâques, tout en douceur… |
left by rafia on 31/03/2015Vie de chien Toi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches, Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ? Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches, Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas. J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés, J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés. Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée, Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer. Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave, Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler, J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave, Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler. Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs, Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal, Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes, J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal. Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants, Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour, C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant, J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour Auteur inconnu |
left by poutounou on 30/03/2015Le papillon * J’aimerais, dans ma maison, Avoir pour seul compagnon Un très joli papillon Qui de saison en saison Changerait de couleur. Il serait vert au printemps Comme les feuilles mignonnes, Bleu en été, couleur du temps, Marron dès que viendrait l’automne Et, dans les mois d’hiver, tout blanc. Parfois, pour la fantaisie, Rose, violet, mauve ou gris Mais jamais le papillon noir De l’ennui et du désespoir. * Jean Joubert |
left by rafia on 30/03/2015A mon chien Lorsque je l'ai vu naître Je l'ai pris pour enfant, C'était un petit être, Il était si charmant. Quand je l'ai vu grandir Ce fut mon compagnon, J'aimais le voir courir Dans toute la maison. Quand je l'ai vu vieillir Ce fut moi son enfant Bien qu'il sut m'obéir Toute sa vie durant. Quand je l'ai vu mourir, Je compris que ce jour Venait de s'accomplir La fin d'un bel amour Car tu me fus fidèle, Serviteur dévoué, Ton amour fraternel N'a pas démérité. Je t'aimais bien mon chien Ô, mon chien de berger, Et, pour toi, mon chagrin Ne saura s'effacer." Jack Harris |
left by rafia on 29/03/2015La bonne chienne. Les deux petits jouaient au fond du grand pacage; La nuit les a surpris, une nuit d’un tel noir Qu’ils se tiennent tous deux par la main sans se voir : L’opaque obscurité les enclot dans sa cage. Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre, Les chèvres, les cochons, la vache, la jument, Sont égarés ou bien muets pour le moment, Ils ne trahissent plus leur présence dans l’ombre. Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes Sourdement fait gronder l’écho. Mais la bonne chienne Margot A rassemblé toutes les têtes Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes, Chacun des deux petits lui tenant une oreille, Tous les trois, à pas d’escargot, Ils regagnent enfin, là-haut, Le vieux seuil où la maman veille. Maurice Rollinat., |
left by rafia on 28/03/2015L'adieu à mon chien (auteur inconnu) La neige tombait tout doucement ce matin-là, Comme pour préparer ton lit de mort. J’ai eu du mal à contenir mes larmes, et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable… Te rappelles-tu des belles journées d’été où nous nous promenions dans les bois? Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne? Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux? Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples? Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main? Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant? De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue? Nous revenions fatigués au soleil couchant, Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive. Ton souffle me détendait et me rassurait Et ta présence m’était si précieuse, Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin. Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer. Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su. Tant d’années ont passé à tes côtés. J’ai vu le temps te vieillir, Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour. Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai, Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre. Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé. Ton corps sans vie et tes yeux voilés, Cela avait marqué la fin. Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir. Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie, Et ta perte me fait tant pleurer. Tu étais comme une partie de moi, Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur. Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années Repose en paix |
left by poutounou on 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
left by rafia on 26/03/2015LES CHIENS PLEURENT AUSSI Moi je sais que les chiens pleurent aussi Quand ils ont du chagrin, Que parfois ils se cachent Pour souffrir à loisir Sans que leur maître sache Ni où ils sont, Ni le grand mal qui les conduit. J'en sais un qui partit au fond d'une forêt Pour fuir les longs soupirs, De cet enfant malade. Cet enfant qui jouait avec lui Ses chamades, Et qu'il ne s'en revînt Que lorsqu'il fut sauvé. Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir, De faim, de désespoir Au départ de son maître Pour les Terres d'Ailleurs, Où seules ne pénètrent, Que les ombres de ceux Dont la vie va finir. Mais moi je sais aussi Que dans ces Pays Hauts, Les hommes et les chiens, Chaque fois se retrouvent, Sur les vastes prairies Quand les portes s'entrouvent Parmi l'immensité des joies Et des repos. Louis AMADE |
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