In tribute to

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1998 / 2010


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In tribute to
ourson
PEKINOIS
Born on :09/02/1998
left us on:02/02/2010
 
 

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In tribute to ourson

Notre cher Ourson nous a quittés cette nuit. Son départ nous laisse le cœur lourd, mais nous continuerons à chérir son souvenir pour toujours. Il s'en est allé vers un monde meilleur, rejoignant Rusti au paradis des Pékinois. Son maître et sa maîtresse sont profondément attristés par cette perte.




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Une pluie de larmes ne peut rien contre la sécheresse du coeur... Pas plus que l'eau dans le vin pour en ranimer le bouquet. Jacques Prévert
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3060 messages

left by colombine67 on 15/06/2016  
Un berger allemand désormais sans-abri attend son maître dans l’aéroport de Kamtchatka (péninsule en Extrême-Orient russe) depuis une semaine.
Pour beaucoup de chiens, la séparation avec leurs maîtres est difficile voire impossible… on en veut pour preuve ce berger allemand, qui a prouvé son amour ainsi que sa fidélité en attendant son humain près de la porte d’embarquement... où il a lâchement été abandonné. «Nous ne savons pas d'où vient ce chien mais il vit ici depuis déjà une semaine, il se promène dans le hall et accueille les passagers venant au Kamtchatka. Selon des bénévoles qui s'occupent du chien, son maître l'a abandonné ici. Il n'avait pas assez d'argent pour transporter le chien et il n'a pas préparé les documents vétérinaires nécessaires», a raconté le porte de l’aéroport de Petropavlovsk-Kamtchatski, rapporté par Sputnik.
En effet, d’après le porte-parole, le maître de l’animal n’avait pas les 10 000 roubles (soit 137€) nécessaires pour faire entrer son chien dans l’avion avec lui. Il s’est donc vu dans l’obligation de le laisser, seul, sur place.
Des volontaires disposés à lui payer le voyage
Particulièrement calme, patient et gentil, l'animal accepte avec plaisir toute la nourriture que les bénévoles lui proposent, ce qui lui permet d'au moins tenir le coup physiquement. 
Le berger allemand est devenu la star locale cette semaine. Les internautes l’ont même surnommé le «Hachiko du Kamtchatka», provenant du nom du chien japonais qui a attendu pendant une dizaine d’années son humain à la gare de Tokyo. L’objectif des internautes est de partager un maximum les images du chien pour que ce dernier retrouve son maître ou une nouvelle famille.
Par ailleurs, l'aéroport est inondé de coups de fils, provenant pour la plupart d'amoureux des animaux, se disant prêts à adopter le toutou. Cependant, les employés de l’aéroport espèrent toujours retrouver son propriétaire... des volontaires sont même disposés à payer le transport de l’animal jusqu’à son humain.

left by colombine67 on 14/06/2016  
"Ce n'est qu'un chien de refuge..."
Par avance condamné...
"Ce n'est qu'un chien de refuge !"
Mérite-t-il d'être aimé?
Différent aux yeux des hommes
Des autres toutous "bien nés",
Voila comment on te nomme,
Pauvre chien abandonné...
Pourtant ton coeur est immense,
Comme immense est ta douceur.
Il te manque cette chance :
Gagner l'amour d'un grand coeur.
Parfois tu sembles lointain,
Tu évites les caresses,
Tu te terres dans un coin :
Crains-tu tant la main qui blesse ?
Car qui connaît ton histoire ?
T'a-t-on battu ? Rejeté ?
Tout au fond de ta mémoire,
Quels souvenirs ? Quels regrets ?
Sois confiant ! Un jour, la porte
S'ouvrira sur ton destin,
Afin qu'un maître t'emporte
Pour suivre un même chemin...
Qui dira "C'est d'un refuge
Qu'il est venu, mon bon chien !
C'était un chien de refuge...
Je l'aime, il me le rend bien !"

left by poutounou on 13/06/2016  
Un peu de Théophile Gautier…
*
Au printemps
*
Regardez les branches
Comme elles sont blanches !
Il neige des fleurs.
Riant dans la pluie,
Le soleil essuie
Les saules en pleurs
Et le ciel reflète,
Dans la violette
Ses pures couleurs...
La mouche ouvre l'aile
Et la demoiselle
Aux prunelles d'or,
Au corset de guêpe
Dépliant son crêpe,
A repris l'essor.
Le goujon frétille
Un printemps encore !
*
Théophile Gautier

left by colombine67 on 13/06/2016  
Maman, je ne veux plus te voir souvent pleurer.
Sèche tes larmes de douleur et apaise ton coeur,
N'aie plus contre ma mort cette dure rancoeur;
Mon âme est à présent dans la félicité.
De ce karma choisi, abrégeant mon enfance,
J'en acceptais l'épreuve, redoutant ta souffrance;
preuve déchirante pour nos évolutions
Oublies pour ton bonheur, dans notre humble maison,
Le cruel souvenir de ma jeune présence.
Je suis là près de toi, conscient et bien vivant,
Séparé par un voile, dans un tout autre monde
Que la lumière divine éblouit et inonde
Dans l'harmonie, l'amour, nous baignons hors du temps.
Je ne suis plus de chair et tu ne me vois plus.
Bien près de toi pourtant, par mon âme vibrante
Je te ressens fiévreuse, malheureuse et tremblante.
Si tu pouvais comprendre, comme tu serais émue !
Si tu pouvais savoir, comme changerait ta vie !
Mais, tu t'isoles en vain; tu souffres et tu supplies
Et ton chagrin t'égare; tu n'entends pas ma voix
Qui te crie avec force : "Maman écoutes moi,
Je ne t'ai pas quittée, crois-moi, je t'aime encore,
Tu n'es pas séparée de moi que tu adores."
"dans ce monde cruel où tu te désespères,
Saches que mon affection pour toi et pour mon père
Vous entoure tous deux avec force et prière"
Je demande à mon guide si généreux et si droit
De vous influencer pour prier avec moi,
Et d'avoir le courage de supporter l'épreuve
Jusqu'au jour où vos âmes auront enfin la preuve
D'une existence toute autre, mais qui n'est pas la vie
Telle que vous la concevez, mais celle des Esprits
Séparés de leurs corps qui redeviennent poussière.
Nous nous retrouverons et nous serons unis
Ensemble et pour longtemps dans ce monde invisible
Nous serons en osmose dans la joie indicible
La mort n'existe pas, je vous le certifie.
En attendant, sur terre resplendissez d'amour.
Donnez-vous tous la main et faites que chaque jour
Soit bien mis à profit pour évoluer vers Dieu.
La tendresse prodiguée entre vous me console
De m'être désincarné car tel est mon destin.
Ecoute petite mère, mes bien douces paroles,
Ecoute Maman chérie ce message serein
Plus tard, tu connaitras ce monde radieux.
En attendant souris, j'apaise ta souffrance.
Oui, je verse ce baume pour calmer ton chagrin,
Mais c'est la vérité, quoiqu'en pensent certains
Minés par la douleur dans leur triste ignorance
Mais ne veulent pas admettre les lois de survivance
Connues par tant de peuples dits moins évolués
Qui préparent en leur vie leur proche éternité.
Les cycles évolutifs sont lois de l'univers.
Comme succèdent à l'été, l'automne et puis l'hiver
Et le printemps revient et puis tout recommence
Après la vie, la mort et puis la renaissance
Pour gagner par degrés la Divine Lumière.

left by colombine67 on 12/06/2016  
Ma vie est un calvaire au bout de cette chaîne,
Rivé à ce mur gris, me tenant prisonnier,
J'aboie en gémissant, je crie au monde ma peine,
Car je suis la sonnette vivant chez un fermier.
Passants qui me voyez, de moi ayez pitié
Si vers vous, menaçant, je vous hurle ma haine,
J'aurais besoin d'amour ou d'un peu d'amitié,
Pour ma souffrance sur terre et pour mon cou qui saigne.
Et partout de la pub, on dépense des millions
Pour vendre dans des boîtes des repas composés
Alors que la misère et les faibles pensions
Laissent à certains pauvres humains à peine de quoi manger.
J'ai beau être une bête, moi, j'observe les hommes,
Les scandales, les dépenses et l'argent gaspillé.
Des réceptions royales, des gabegies énormes,
Ce siècle devient fou, mon Dieu, ayez pitié !
Pour moi, n'en parlons pas, je survis et c'est tout.
Des restes de repas, une maigre pitance,
Pas de boîtes machin, chose, ronron ou canigou,
Pour moi, pas de caresses, de joies ou de dépenses.
Je sais et je connais de la gente canine
Qui se goinfre de mets que voudraient des enfants,
Et moi aussi, amis, je crie souvent famine,
Je suis un pauvre chien, un chien de paysan.
Ah ! Si j'étais chasseur, un complice de crime
Je serais bien nourri, adulé et aimé,
Pour traquer d'autres bêtes, d'autres pauvres victimes
De ces fous sanguinaires qui ne pensent qu'à tuer.
Mais ne suis qu'une sonnette, peu coûteuse alarme,
Nous sommes des esclaves pour des hommes sans coeur,
Nous aboyons sans cesse, vaine plainte sans larme,
Nous aurions tant voulu connaître le bonheur.
Vous passez dans des rues de villes ou de villages,
Nous sommes de pauvres vies asservies et sans joie,
Nous tirons sur nos chaînes, poussant des cris de rage,
Ayez pitié de nous, ayez pitié de moi.
Quel douloureux calvaire au bout de cette chaîne,
Aimez bien votre chien, car nous sommes pleins d'amour
J'aboie en gémissant, je crie au monde ma peine,
Devrai-je donc souffrir jusqu'à mon dernier jour ?

left by colombine67 on 11/06/2016  
Baltique par Renaud
Ils ont peut-être eu peur que je pisse
Sur le marbre du bénitier
Ou pire que je m'accroupisse
Devant l'autel immaculé
Peur que je ne lève la patte
Quelque part dans les allées
Où siège cette foule ingrate
Qui nous parle d'humanité
Ils ont considéré peut-être
Que c'est un amour pas très catholique
Que celui d'un chien pour son maître
Alors, ils m'ont privé de cantiques
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Me voilà devant la chapelle
Sous cette pluie qui m'indiffère
Tenu en laisse par un fidèle
Allergique aux lieus de prières
Les gens parlent à côté de moi
Tu as de la chance toi au moins
La souffrance ne t'atteint pas
L'émotion c'est pour les humains
Et dire que ça se veut chrétien
Et ça ne comprend même pas
Que l'amour dans le cœur d'un chien
C'est le plus grand amour qu'il soit
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Je pourrais vivre dans la rue
Etre bourré de coups de pieds
Manger beaucoup moins que mon dû
Dormir sur le pavé mouillé
En échange d'une caresse
De temps en temps d'un bout de pain
Je donne toute ma tendresse
Pour l'éternité ou plus loin
Prévenez-moi lorsque quelqu'un
Aimera un homme comme moi
Comme j'ai aimé cet humain
Que je pleure tout autant que toi
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens

left by colombine67 on 10/06/2016  
Les chiens sont des créatures incroyables. Ils nous apprennent le sens de la gratitude, l’amour et la compassion. Ils nous apprennent aussi comment être présent et heureux. Mais pas seulement cela. Pour les chiens, la vie est vécue dans le ici et maintenant et on peut tous apprendre quelque chose de cela.
1. Les chiens se préoccupent uniquement de leur relation avec nous. Tout est amour et sans égo. Chaque jour peut être le dernier alors ne le gaspillez pas en vous préoccupant de futilités. Faites que la journée ait un sens pour vous en faisant des choses qui vous tiennent à cœur. Laissez vos intentions et vos actions être guidées par votre cœur et non par votre égo.
2. Les chiens se préoccupent uniquement de leur marche de maintenant. Ils ne se soucient pas de celle de demain. On existe uniquement dans le présent. Demain est une histoire et hier est un souvenir. En tant qu’humains on attache beaucoup d’importance à réparer nos erreurs (ce qui nous garde dans le passé) et à contrôler tout ce que demain peut nous apporter (alors qu’on ne peut pas prédire ce qui va réellement arriver). C’est notre instinct de survie qui nous pousse à prévoir le danger mais n’en faites pas une habitude de vie. Laissez le moment présent guider vos choix.
3. Que leur lit soit moins cher que celui du chien des voisins ne fait aucune différence pour eux Ils veulent juste passer du temps avec leurs voisins. L’amour est tout ce qui compte pour eux. Le donner et le partager les satisfait pleinement.
4. Les chiens n’ont aucune conception de la planification du temps Ils ne vont jamais prioriser une tache qui prend du temps. Vivre et profiter de la vie est ce qui leur importe le plus. Vous n’allez vivre le moment présent qu’une seule fois alors profitez-en au maximum car il ne reviendra jamais. On ne peut pas contrôler le temps on peut juste contrôler ce qu’on fait pendant ce temps.
5. Les chiens ne savent pas cacher leur amour jusqu’à ce qu’on leur montre qu’on les aime. Plus il y a d’amour, mieux c’est. C’est la philosophie de ces merveilleuses créatures. Alors donnez tout l’amour que vous pouvez, vous en recevrez toujours en retour.
6. Même quand ils sont maltraités et négligés, les chiens vont montrer de l’amour avec une simple caresse. Etre vulnérable est une qualité qui attire plus d’amour. Tout le monde cherche l’amour et être vulnérable nous permet de le recevoir.
7. Les chiens sont les meilleurs partenaires dans les moments de tristesse Ils adorent vous câliner et vous lécher le visage lorsque vous pleurez. C’est normal d’être triste. Donnez-vous en le droit. Cela vous permettra d’ouvrir votre cœur et sentir l’amour des gens qui vous entourent
8. les chiens ressentent le deuil mais ils l’acceptent. Les chiens acceptent ce qu’ils ont perdu et montrent de l’appréciation pour ce que cela leur a apporté. Cela nous apprend à ne pas nous attrister du passé et de n’en garder que l’amour et les bons souvenirs.
9. les chiens savent prendre soin d’eux Dès qu’ils en ont besoin, ils vont se recroqueviller et rester en retrait. Sans jugement, ils savent ce qu’est la compassion pour soi et ce qui est bon pour eux.

left by poutounou on 09/06/2016  
Je t'offre un jardin
*
Un jardin mi-clos...
Où, de bonne heure,
Mille et une fleurs
Fraîchement éveillées,
Pointent leur petit nez,
Étirent leurs pétales assoiffés
Et s'enivrent de rosée...
A ta santé!
*
Un jardin-party...
Où les bourdons gavés,
Aux pistils bien adossés,
Cuvent avant de s'envoler.
Où les papillons excités
S'amusent à te maquiller
De leurs ailes poudrées.
*
Un jardin rangé...
Où les oiseaux alignés
Cessent soudain de chanter
Pour t'entendre marcher.
Où les fleurs endimanchées
Ne rêvent que de caresser
La plante de tes pieds.
*
Francis Pelletier

left by colombine67 on 09/06/2016  
Avertissement : Le texte suivant a été traduit du canin.
- Wouaf ! SPH bonjour !
- Wouaf ! Oui, bonjour, je suis bien à la Société Protectrice des Humains ?
- Tout à fait, que puis-je pour vous ?
- Voilà. C’est un peu délicat, j’ai honte… mais je ne supporte plus ma maîtresse alors je voulais connaître les modalités pour la mettre dans votre refuge.
- Ah. Pour quelles raisons souhaitez-vous l’abandonner ?
- Je n’en peux plus.
Déjà, elle parle tout le temps. Matin, midi, soir. C’est plus fort qu’elle. Je n’ose pas imaginer ce que doivent penser les voisins. Elle parle à tout ce qui passe dans la rue, avec une nette préférence pour le facteur, qui semble avoir peur d’elle. J’ai tout essayé : la punition, la correction, le collier électrique, même l’opération des cordes vocales. Depuis cette dernière, c’est pire. Elle ne parle plus, elle chante du Hélène Segara.
- En effet, ça ne doit pas être facile. Mais ce n’est pas une raison suffisante pour l’abandonner, si ?
- Mais ce n’est pas tout malheureusement !
Elle mange tout ce qu’elle trouve. Elle a pourtant des biscuits et des céréales d’excellente qualité dans le placard, mais non, il faut qu’elle se jette sur tout ce qui est comestible. Saucisson, fromage, glaces. La dernière fois elle s’est sauvée, je l’ai retrouvée deux jours plus tard dans le local poubelle de Mc Do.
- Hmmm… Elle a bien été sevrée ?
- Je ne sais pas, je l’ai adoptée déjà adulte. Je soupçonne ses anciens chiens de l’avoir trop gâtée. Vous savez ce qu’elle m’a fait pas plus tard que ce matin ?
- Non, mais je sens que vous allez me le dire.
- Elle a refusé de se lever tant que je ne lui avais pas sauté dessus et léché tout le visage.
- Et ?
- Et elle met de la crème de nuit à l’argile verte. Je ne sais pas si vous connaissez les vertus de l’argile verte, mais  ensuite j’ai dû boire deux litres pour étancher ma soif. Autant vous dire que j’ai passé la journée à lever la patte.
- Lever la patte ? Mais vous êtes une femelle, d’après votre voix !
Non, je suis un mâle. Castré. Elle avait peur que je lui fasse un bébé dans le dos.
- Vous savez, c’est typiquement le genre d’humain qu’on va avoir du mal à faire adopter. Vous êtes sûr que vous ne voulez pas la garder ? Parce que sincèrement, ici, elle risque de finir sa vie dans une cage.
- Je sais, j’ai bien réfléchi. J’ai d’abord pensé qu’elle serait plus heureuse si je lui rendais sa liberté. Je l’ai donc emmenée sur une aire d’autoroute, une nuit et je suis parti sans me retourner. Le lendemain, la police la ramenait en me disant qu’elle avait reniflé le cul de tous les chauffeurs routiers.
- Bien. Je vois que votre décision est irrévocable. La SPH accueillera donc votre humaine et la proposera à l’adoption. Y a-t-il d’autres choses à savoir sur elle ?
- Plein. Elle vole la nourriture dans les mains des enfants ; elle saute sur les gens pour leur faire la fête, ; il faut la faire toiletter plusieurs fois par mois car son poil pousse très vite ; elle ne supporte pas de rester seule, il faut lui laisser la télé allumée, de préférence sur Secret Story ; elle dévore Voici et Closer chaque semaine ; elle est propre mais pendant ses chaleurs elle peut se faire pipi dessus quand le voisin est torse nu ; elle ne rapporte la balle que si on la trempe d’abord dans le coca.
Mais elle est gentille, sinon.
- D’accord, j’ai tout noté. Il ne nous manque plus que son nom pour valider l’inscription.
- Elle s’appelle Ginie.
Tant qu’on y est, puisque moi aussi j’ai du mal à rester seul… vous n’auriez pas un humain sociable , joueur et affectueux, de préférence à poils blancs ?
- Ah si, justement, on en a rentré un il y a peu de temps. Vous pourrez le voir quand vous nous amènerez Ginie. Il est dans la cage 2820, son nom est écrit dessus. Dominique, mais je crois qu’il répond mieux au nom de DSK.
– Merci mon chien. Au revoir et à bientôt !

left by colombine67 on 08/06/2016  
"Prière du chien"
Seigneur,
je veille.
Si je n'étais pas là,
qui garderait leur maison ?
Qui leur serait fidèle ?
Il n'y a que vous et moi
pour comprendre
ce qu'est la fidélité.
Ils me disent "bon chien ! brave chien !"
Des mots....
Moi je prends leurs caresses
Et les vieux os qu'ils me jettent.
Et j'ai l'air content !
Ils croient tellement me faire plaisir !
Je prends aussi les coups de pieds
quand ils arrivent !
Tout cela n'a pas d'importance
Moi je veille !
Seigneur,
Ne permettez pas que je meure
avant que pour eux
Tout danger soit écarté !
Ainsi soit il.

left by goulou50 on 07/06/2016  
Je ferme les yeux et me laisse glisser
vers le silence.
Dans cet espace intérieur tout de douceur.
Une pensée je laisse éclore.
Comme une fleur qui apparaît
dans mon coeur.
De mon amour je l'arrose.
Elle brille comme une étoile.
Sur sa tige, deux feuilles pareilles
aux ailes d'un ange.
Par mon souffle, vers toi, elle s'envole.
Une fleur de lumière je t'offre,
à toi mon petit chien ,

left by colombine67 on 07/06/2016  
Je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Tu es toi.
Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné.
Parle-moi comme tu l'as toujours fait.
N'emploie pas un ton différent.
Ne prend pas un ton solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Prie. Souris. Pense à moi.
Prie pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été ;
sans emphase d'aucune sorte et sans trace d'ombre.
La vie signifie ce qu'elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée, simplement parce que je suis
hors de ta vue ?
Je t'attends.
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
Tu vois... Tout est bien !

left by rafia on 06/06/2016  
Comment...ne pas penser à EUX ??? Nos trésors/canins qui ns ont quittés.
Au lever du soleil
Et à son coucher,
Nous pensons à eux
Dans le souffle du vent
Et le froid de l’hiver,
Nous pensons à eux
A l’ouverture des bourgeons
Et dans la chaleur de l’été,
Nous pensons à eux.
Dans le bruissement des feuilles
Et la beauté de l’automne,
Nous pensons à eux.
Au début de l’année
Et à sa fin,
Nous pensons à eux,
Quand nous sommes las
Et avons besoin de force,
Nous pensons à eux.
Quand nous sommes perdus
Et malheureux dans notre cœur,
Nous pensons à eux.
Quand nous vivons une joie
Que nous aimerions tant partager,
Nous pensons à eux.
Tant que nous vivons
Ils vivront aussi
Car quand nous pensons à eux,
Ils sont une partie de nous.
Avec toute mon amitié.
1000 mercis et bisous.
Maryem, votre amie

left by colombine67 on 06/06/2016  
Les plus beaux yeux de la terre
C'est toi qui les possède.
Ils sont si beaux, si clairs et si limpides.
Quand tu regardes au loin, devant toi, l'inconnu semble tellement attirant.
Tes yeux fixés au loin scrutent l'avenir en te demandant ce qui est là-bas.
Tu ne demandes qu'à aller voir ce qu'il en est.
Ta curiosité est intarissable,
C'est normal, je crois.
Avec de si beaux yeux, qui ne serait pas tenté d'en profiter ?
Une feuille qui vole au vent froid d'automne.
Les enfants qui s'amusent en jouant au ballon sur le chemin.
Les voitures qui passent.
Nanuk, la bouledogue du voisin.
Simon qui arrive du travail.
Mais, par-dessus tout, tes yeux sont attentifs.
Tes pupilles perçantes voient de loin toutes ces petites choses
qui, souvent, font rire les gens quand nous les heurtons.
Mais toi, quand ça arrive, tes yeux ne sourient pas, ils s'inquiètent.
Quand nous avançons et que tout se passe sans problèmes, une telle fierté y brille.
Autant d'obstacles, autant de défis pour tes yeux.
Rien ne peut les en détourner.
Le soir, quand nous sommes à la maison, tes yeux ne manquent aucune image
de ton émission préférée à la télévision.
Toutes les images s'y reflètent tellement tu y portes intérêt.
Quand je prends ta figure dans mes mains pour te dorloter.
Lorsque tu me regardes, je sens toujours l'Amour
qui se dégage de ces perles de tendresse.
Amour que tu me donnes sans condition.
OUI ! Je le sens cet amour que tu me donnes en me prêtant TES yeux.
Toi, mon chien, toi mon guide.
Toi, le meilleur ami de celui qui ne voit pas.
Tu sais, dans le fond,
"Les plus beaux yeux de la terre", c'est moi qui les ai
Simplement parce que je t'ai... TOI.
Merci d'être mon chien, mon guide !
Merci d'être mon AMI !

left by poutounou on 05/06/2016  
Qu’il est beau ce petit poème ! Mais je crois que de la pluie, on en a eu assez ces derniers temps…
*
Goutte de pluie
*
Je suis une goutte de pluie
Je regarde tout au-dessous de moi
Oh quelle beauté
Du rouge, du rose, du jaune
Je me pose une question
Quelles sont toutes ces jolies couleurs ?
Ma compagne, une autre goutte de pluie me dit:
Tu es nouvelle ici ?
Je lui répondis dans l'affirmative, oui !
Mon amie toutes ces jolies couleurs que tu vois
Ce sont les roses de notre amie.
*
Livette Laroche

left by colombine67 on 04/06/2016  
Je les ai tant aimés, et ils m’ont tant donné,
Je revois leurs yeux quand ils me fixaient,
Je ne pourrai jamais vraiment les oublier.
J’entends encore leur cœur, contre le mien serré.
Pourtant ils sont partis, me laissant sur la route.
Là, ils ont mis en moi la grande peur du doute,
De n’avoir pas su faire les signes qu’il fallait,
Ou les gestes pour dire combien je les aimais.
Je n’ai jamais compté le nombre de caresses,
Les heures consacrées à capter la tendresse,
Complicités du jour, compagnie de la nuit,
Instants sacrés, qui me manquent aujourd’hui.
Le monde est cruel et l’humain n’est pas tendre,
Les Animaux sont là pour nous faire comprendre
Que l’Amour se rencontre mais ne s’achète pas,
Il se trouve souvent… en lui tendant les bras.
Des yeux qui vous implorent, une queue qui remue,
Un miaulement, un aboiement, sont un appel qui tue.
Ils voudraient bien vous dire « c’est moi qui te choisis »,
Mais hélas bien trop vite, déjà, vous êtes repartis.
Nous resterons ici, dans ces cages affolantes, carcérales,
Merci pour les bons soins grâce à la protection Animale,
Certains pour quelques temps et d’autres pour toujours,
Espoir sans avenir, quête éperdue d’un impossible Amour.
Puis tu es arrivé, charmant petit enfant, tu t’es mis à pleurer,
Tes doigts se sont serrés sur la grille que tu n’as pas lâchée.
La pluie de tes larmes, les sanglots de ta voix, déchirants
De sincérité, de joie, d’Amour mêlés, ont touché tes parents.
Oh ! Que tu étais fier ! Tenir en ta main la laisse du bonheur,
Te rendait bien plus fort, puissant, tout en ouvrant ton cœur.
Tu as gagné petit, tu as gagné pour toi, tu as gagné pour lui,
Maintenant tu es deux, il veillera sur toi qui fus son seul Ami.
Qui a dit que les vieux chiens ne s’adoptent jamais,
Il a plus de 10 ans, mais son cœur est prêt à t’aimer.
Son destin est entre tes mains, tu viens de lui sauver la vie,
Trois ans qu’il était là ; je suis content, son calvaire est fini.
Gilbert Dumas

left by colombine67 on 03/06/2016  
Toi, mon vieux compagnon,
Mon confident, mon frère,
Pour toi mon affection
N'est pas une chimère
Car je t'aime vraiment
D'un amour tendre et fort.
Lorsque j'ai un tourment
Tu es mon réconfort.
Comme un ange gardien
Tu restes à mon côté,
Si je te tends la main
Tu viens me la baiser.
Aveugle est ton amour,
Tu n'as pas de mépris,
Et ton cœur est bien lourd
Lorsque je suis parti.
Tu es bien plus fidèle,
Bien plus qu'un être humain,
Et tu es moins cruel
Mon compagnon, mon chien.
© jack Harris

left by colombine67 on 02/06/2016  
Je suis le box 58
Au fond de l'allée à droite.
Né dans une ruelle brûlante
D'un misérable village d'une cruelle Espagne
Je suis le chien errant dont on se débarrasse.
Un matin, des hommes sont venus
Armés de bâtons, c'est après nous qu'ils en avaient
Pardon ma Mère d'avoir si vite couru
Pardon mes Frères de vous avoir abandonnés
Sans me retourner
Pendant que l'on vous exterminait
Car tant de haine les anime
Seul pendant une année, j'ai erré
La faim, la soif me tenant, toujours sur mes gardes
J'ai rusé, je me suis bien battu
Mais les monstres m'ont capturé au lasso
Et jeté dans cet humide cachot
Dont le toit cassé
Laisse passer la pluie
Lorsqu'il gèle le sol est glacé
Lorsque le soleil est au plus haut
Il m'écrase de sa chaleur
Qu'aucune ombre n'apaise
Comme mon box est le dernier du refuge,
Il n'y a pas de vis-à-vis
Rien n'arrête le vent
Qui me transperce par tous les temps
Et point d'endroit pour me mettre à l'abri
Lorsque vient la distribution du repas
Bien souvent on m'oublie
Ni eau, ni pain pour moi.
Au début, j'ai pleuré tous les jours, toutes les nuits
A présent, depuis tant d'années
Je me suis résigné
Oublié de tous
Je n'attends plus rien du genre humain
Qui m'a enjôlé pour mieux me punir
D'avoir voulu être un chien d'Espagne
Fier et libre
Et les années ont passé
Lentement, interminablement.................
Je me suis habitué à ne jamais plus courir
Je regarde les murs de ma prison
Qui sont mon seul horizon
S'il y a encore un peu de pitié
Qu'on me fasse mourir
Pour abréger cette lente agonie
Je suis si seul et sans espoir.......
Mais un jour, deux petites mains
Se sont posées sur mes barreaux
J'ai à peine levé la tête
Pour regarder cette enfant
Blonde, rose qui m'observe en silence
Et me fixe intensément
Puis elle appelle .... Prudent, je ne bouge pas
Elle appelle de nouveau
Deux grands viennent voir
Ce qui suscite tant d'émoi
La petite voudrait bien de moi
Mais les parents rechignent
Il est bien laid et si vieux
Alors l'enfant pleure
Elle veut celui-là, en me montrant du doigt
Celui du box 58, au fond de l'allée à droite.
On palabre, on discute près de moi
Quel triste sort m'attend ?
Qu'ont-ils donc encore inventé
Pour me tourmenter ?
Je tends le dos................ J'attends..................
On me met un collier
On me tire avec une laisse
On me pousse, on me porte
Point de coups ? Point encore.................
Pourtant rien.
On m'installe dans une jolie maison
Ce panier confortable est pour moi
La bonne gamelle et l'eau fraîche aussi
Le jardin est si beau............
Tout cela serait-il possible ?
C'était il y a quelques jours
J'ai donné un peu de confiance
J'ai reçu tellement d'amour
Maintenant, moi j'ai une Princesse
Qui m'interpelle sans cesse
J'entends ses petits pieds nus
Qui claquent sur le sol
Elle passe ses bras autour de mon cou
Et me murmure des mots doux
Ainsi donc c'était vrai
Qu'un jour il y aurait
Quelqu'un pour m'aimer
Quelqu'un pour qui je compterais
Qui m'accorderait de l'importance
Sans rien demander en retour
Une part d'amour pour moi
Rien que pour moi.....
Alors, vous qui le Dimanche
Visitez les Refuges
D'Espagne ou d'ailleurs
N'oubliez jamais le même que moi
Qui vous attend
Dans le Box 58
Au fond de l'allée à droite...........................

left by poutounou on 01/06/2016  
Qu'est ce qu'on est bien quand on rêve.....
*
Extrait du « Grand Sommeil » d'Etienne Daho
*
Je ne peux plus me réveiller, rien à faire
Sans moi le monde peut bien tourner à l'envers
Engourdi par le sommeil et prisonnier de mon lit
J'aimerais que cette nuit dure toute la vie
*
Lorsque je rêve tu es tout près de moi
C'est la seule façon de rester avec toi
C'est la raison pour laquelle je n'veux plus quitter mon lit
Pour qu'enfin toutes les nuits durent toute la vie.

left by colombine67 on 01/06/2016  
C'est le cœur brisé que je lance ces mots comme une bouteille a la mer. Hier une partie de moi s'est envolée avec toi, et je ne sais trouver la force de me relever, le vide que tu laisses n'a d’égal que la peine qui hante mon corps..
tu es parti mon chien.... Tu es parti sans prévenir, d'un coup et tu ne m'a pas laissé le temps de te dire au revoir...
j'ai pourtant cru jusqu'au bout que tu allais revenir... J'y crois encore... je t'attend mon chien, je regarde autour de moi ayant l'impression que tu vas surgir d'un coté ou de l'autre mais tu n'es plus la...tu n'es plus la mon chien et le silence qui s’étend a ta place commence a me faire réaliser que je t'ai vraiment perdu...
mon chien....
J’étais en confiance auprès de toi, tu étais mon ami, mon partenaire,mon confident, mon protecteur,ma moitié canine, mon chien....
je ne t’oublierai jamais, et je n’oublierai jamais tout ce que l'on a vécu tout les deux, ces nuits ou toi et moi on s’échappait dans les forets, ce temps ou je n'avait plus peur de rien parce que j’étais avec toi mon chien, et que tu étais le meilleur des chien que j'aurai pu avoir...
mais je n’oublierai jamais la journée d'hier, ou la mort est venue te prendre sous mes yeux...
quand je suis rentrée des courses tu es venu m’accueillir comme toujours, mais d'un coup des que je suis sortie de la voiture tu t'es écroule, tu convulsais, j'ai mis 2 secondes a arriver prés de toi mon chien, tu ne convulsais déjà plus, et tu as hurlé comme le font les loups mais sans bouger le moindre cil
j'ai tout de suite compris que c’était très grave, la voiture était encore démarrée mon chien,
on t'as dépose a l’intérieur et on a foncé chez le veto qui est a moins de 2 min
j'ai bien cru voir dans mes yeux déjà pleins de larmes que tu ne respirais plus que tu étais parti
j'ai tout tenté mon chien, je t'ai insufflé de l'air et fais un massage cardiaque pour tenter de te faire revenir mon chien
le vétérinaire était prêt mais déjà moins de 3 minutes que tu étais tombé et ta langue était bleue
mon chien
j'ai hurlé au vétérinaire, supplié qu'il te ramène et il a tout fait
mais il n'a pas pu ta ramener mon chien, tu étais parti trop loin déjà
un infarctus extrêmement massif, très rare
tu ne m'avait donné aucun indice qui pouvait me préparer a ton départ, je ne suis pas prête a vivre sans toi mon chien
Ce silence... mon chien ce silence que tu laisse me glace le sang
toi et moi c’était a la vie a la mort, et ce n'est pas parce que tu es parti que tu n'est plus la, tu vivras toujours en moi mon chien
mais ma vie ne sera plus jamais la même
je t'ai perdu et cette fois j'aurai beau hurler ton nom jusqu'au bout de la nuit, tu ne reviendras pas
je t'aime mon chien et je t'aimerai toujours parce que le destin m'a arraché ton corps mais personne ne pourras jamais me voler tout l'amour que j'ai pour toi
tu seras toujours mon chien, et la plaie qui transperce mon corps sera toujours la




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