In tribute to

ourson
1998 / 2010


In tribute to

ourson
1998 / 2010

Please login to use private mails, adress book and favorite
Private mail
Please login to use private mails, adress book and favorite
Adress book
The page of ourson  was seen  1 652 712  times.
1 652 712 views
Please login to use private mails, adress book and favorite
Favorite
+ info
 

Please login to use private mails, adress book and favorite
In tribute to
ourson
PEKINOIS
Born on :09/02/1998
left us on:02/02/2010
 
 

Log in to post a message, a flower or light a candle
Your username        Your password       


In tribute to ourson

Notre cher Ourson nous a quittés cette nuit. Son départ nous laisse le cœur lourd, mais nous continuerons à chérir son souvenir pour toujours. Il s'en est allé vers un monde meilleur, rejoignant Rusti au paradis des Pékinois. Son maître et sa maîtresse sont profondément attristés par cette perte.




123 candles

111523 Flowers
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  ourson
left by ourson
🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌈🌈🌈🌈🐶🌈🌹🌹🌹🌹🌹🌹
left by  spanky
left by spanky
Les blessures qui ne se voient pas,nous font du mal bien plus que toutes les autres,on les enferme au fond de soit,mais est-ce que toute une vie on les supporte? ces blessures là qui ne se voient pas.
left by  poutounou
left by poutounou
Le temps, la patience adoucissent les plus cruelles blessures. On peut tout supporter. Oui, par Amour, on peut supporter l’absence, le vide, le manque de câlins avec vous, doux cœurs… !!!
left by  valetheo
left by valetheo
left by  Binouche
left by Binouche
Dans le silence de chaque mot il y a tant de paroles et d'amour que tout ce que nos coeurs trouvent beau, grandit chaque jour. pour toi bel ange.
left by  Binouche
left by Binouche
Dans le silence de chaque mot il y a tant de paroles et d'amour que tout ce que nos coeurs trouvent beau, grandit chaque jour. pour toi bel ange.
left by  Binouche
left by Binouche
Dans le silence de chaque mot il y a tant de paroles et d'amour que tout ce que nos coeurs trouvent beau, grandit chaque jour. pour toi bel ange.
left by  Binouche
left by Binouche
Dans le silence de chaque mot il y a tant de paroles et d'amour que tout ce que nos coeurs trouvent beau, grandit chaque jour. pour toi bel ange.
left by  athos
left by athos
left by  athos
left by athos
left by  athos
left by athos


3092 messages

left by colombine67 on 11/07/2016  
Alise ou le chien qui ne devait pas mourir…..
Alise la Setter Gordon et la vieille dame vivaient une relation quasi fusionnelle depuis des années, et l’une vivait mal sans l’autre. La vieille dame disait bien que sa chienne ne serait pas éternelle, elle savait qu’un jour il lui faudrait la perdre, mais elle ne l’acceptait pas, c’était au-dessus de ses forces.
Alise devenait de plus en plus l’objet de toutes ses attentions.
Tout le soin que la vieille dame prenait d’elle, devrait c’est sûr, garantir une plus longue et meilleure vieillesse à sa chienne. Alors la vie était réglée autour du vieil animal, et les emplois du temps et déplacements aménagés pour son confort.
Alise en venait à exercer une sorte de tyrannie passive sur la vieille dame. Comment même penser à refuser quoique ce soit à une vieille chienne si douce et si près de sa fin, il aurait fallu n’avoir pas de cœur.
La vieille dame n’en manquait pas, de cœur, et qui faiblissait d’ailleurs. De visites en visites, chez le médecin pour l’une et le vétérinaire pour l’autre, on voyait s’allonger la liste des médicaments de chacune.
A chaque malaise d’Alise, la vieille dame affolée répondait par une attention anxieuse et redoublée ; elle guettait chaque hoquet, chaque essoufflement, chaque perte d’appétit comme un signe menaçant d’une fin redoutée, haïe, insupportable.
Cela dura des années, car l’espérance de vie d’un Gordon était déjà dépassée depuis longtemps, mais Alise, diminuée, fatiguée, ne quittait pas sa maîtresse.
La vieille dame tomba malade, gravement, il fallut l’hospitaliser. Un drame pour elle, de devoir laisser sa chienne aux bons soins de son mari ; non pas qu’il fût mauvais homme, loin de là, mais Alise allait sûrement tellement s’ennuyer.
Les choses se passaient plutôt bien entre Alise et son maître, et la vieille chienne semblait attendre vaillamment sa maîtresse.
Mais les hospitalisations se sont succédées, la vieille dame ne se remettait pas et son état nécessita une lourde et délicate opération à cœur ouvert.
Séparée de sa vieille chienne adorée, se demandait-elle si elle la reverrait jamais vivante ? Elle parlait assez peu de cette séparation douloureuse, elle voulait juste rentrer chez elle au plus vite près d’Alise, mais son état de santé ne le permettait pas.
Alise avait maintenant 15 ans ½ de plus en plus fatiguée, vacillante, s’amaigrissant, elle tenait bon cependant.
La vieille dame put enfin rentrer chez elle pour de bon, après maintes hospitalisations de plusieurs semaines chacune, où les séparations étaient devenues de plus en plus angoissantes pour elle.
Extrêmement affaiblie, sapée par toutes les épreuves de la maladie et de l’opération, la vieille dame devait encore affronter le lent dépérissement d’Alise.
La chienne avait maintenant 16 ans, elle ne marchait plus qu’avec difficultés. Elle dormait de longues heures durant, et quand péniblement elle se relevait et non sans aide sortait dans le jardin, squelettique, il lui arrivait encore de sautiller maladroitement, comme secouée par une étrange joie.
De ce moment là, on ne sut plus laquelle tenait l’autre en vie. Jusqu’ici, il avait semblé que la vieille dame voulant tellement garder sa chienne, celle-ci en avait trouvé la force de continuer à vivre.
Voilà que maintenant, c’est comme si Alise ne se permettait pas de mourir, pour ne pas précipiter dans la mort avec elle, sa maîtresse bien trop diminuée par la maladie.
Leur entourage en craignait de les voir basculer ensemble. La vieille dame s’épuisait à continuer de prendre soin de sa vieille chienne de plus en plus dépendante, incontinente, confuse parfois maintenant au point de se perdre dans le jardin.
Mais quel ancien tourment faisait craindre tant la mort de son vieux chien, à la vieille dame malade ? Quelle ancienne douleur, quelle ancienne blessure non cicatrisée lui rendait-elle impossible l’idée qu’Alise devrait la quitter ?
Car enfin, la pauvre bête, épuisée, sourde, raidie par les ans, dédaignant de plus en plus tous les petits plats sans cesse renouvelés dont elle était si gourmande, n’en pouvait visiblement plus de s’éterniser.
La vieille dame semblait aveugle à cette grande souffrance de l’animal qui pourtant aurait dû susciter sa compassion ; il lui fallait trop ne pas voir, ne pas entendre, ne pas penser qu’Alise pouvait souffrir.
Fermée à cette réalité trop insupportable, elle se tenait un discours menteur qui laissait son entourage effaré devant un tel déni, désemparé, incapable de mieux défendre le droit à la mort de la vieille chienne, aux yeux de sa maîtresse.
Alise se mit à ne plus pouvoir boire, puis à ne plus vouloir s’alimenter du tout, deux jours durant.
La vieille dame m’appela pour lui porter secours.
Arrivée sur place je trouvais la vieille chienne exténuée par une matinée passée à errer nerveusement dans la maison et le jardin, obligeant sa maîtresse à la soutenir tant bien que mal, à la relever à chaque chute.
À mon approche Alise s’apaisa, s’effondra, je crus qu’enfin trop épuisée, elle allait s’éteindre. Doucement je me tins près d’elle, puis encore plus près, bientôt je pus la caresser, puis la tenir dans mes bras, lui parler tout bas.
Prendre tout contre moi l’animal décharné me fut d’abord difficile, j’ai dû apprivoiser ma propre peur de la mort, pour venir frôler, puis enfin contenir celle des Deux qui ne pouvaient se quitter.
Alise semblait se laisser aller, je ne sais si elle m’entendait lui dire qu’elle avait gagné le droit de partir, le droit d’aller rejoindre la paix, la lumière…
Ma tête contre la sienne, combien de temps sommes-nous restées ? Je guettais sa respiration, croyant parfois ne plus la percevoir. J’aspirais pour Alise à une fin comme celle-ci, un départ tranquille, dans un souffle qui s’arrêterait…Une fin toute en douceur qui stopperait la violence que la vieille dame et sa chienne mettaient à ne pas pouvoir se séparer.
La vieille dame et son mari m’avaient laissée seule depuis longtemps avec Alise. Espéraient-ils follement que se produise quelque miracle, souhaitaient-ils secrètement que leur chienne meure simplement dans mes bras, alors qu’eux même n’auraient pu le supporter ?
Un peu médusée, je vis le vieil animal comme se réveiller, puis se redresser, faire effort pour parvenir enfin à se relever ; moi qui croyais son dernier souffle arrivé…
Maintenant taraudée par un mal de tête qui enflait de plus en plus, je ne pus qu’accompagner Alise dans ce qui allait devenir une folle errance dans le jardin.
Sous un soleil éclatant de milieu de journée, je suivis la vieille chienne qui de sa démarche plus qu’incertaine, divaguait plus qu’elle n’allait. Plusieurs fois elle trébucha, s’écroula. Je croyais chaque fois qu’elle ne se relèverait pas, que c’était la fin. Elle parvenait pourtant à se redresser, et je continuais de la suivre, anxieuse, un peu désarçonnée, devant ce comportement que je cherchais à m’expliquer. Puis j’ai accepté de seulement l’accompagner, sans vouloir quoi que ce soit et pas même comprendre, comme plus tôt dans l’après-midi, quand penchée sur elle, je n’avais fait qu’être là, rien qu’être là près d’elle.
Alors je fus sûre soudain que l’on ne pouvait pas mourir sous une telle lumière, dans une telle clarté.
Ce soleil éclatant qui faisait jaillir la vie, empêchait de mourir. Je vis enfin qu’Alise dans cette errance cherchait à gagner l’ombre ou une pénombre, comme une cache.
Doucement j’essayai de la faire retourner dans la maison ; j’y parvins péniblement, et là je demandai à ce que l’on fermât un peu les volets. Il me semblait de plus en plus qu’il faudrait aider Alise à mourir.
Cette décision ne m’appartenait pas, mais je devais offrir à ces Trois qui ne savaient que faire, la force qu’ils n’avaient pas d’affronter la mort légitime.
Qui étais-je pour décider que cet animal devait mourir maintenant et pas plus tard ? que savais-je de ses souffrances ? laquelle d’abord était la plus grande, celle de son pauvre corps trop vieux, ou celle de son âme de chien immensément fidèle, qui ne pouvait pas trahir sa vieille maîtresse qui lui exigeait de ne pas la laisser seule ?
Je pris néanmoins le parti d’essayer de convaincre ses maîtres, de soulager Alise du poids de cette vie de douleurs.
D’ailleurs celle-ci de plus en plus agitée semblait se débattre, ne sachant plus où se mettre, ni que faire de sa peau de misères.
La vieille dame affligée semblait céder, admettre l’indignité de son désir de vouloir retenir encore son Alise. Puis l’instant d’après, affolée à l’idée de cet irrémédiable, aveuglée de douleur, elle approcha avec un plat de je ne sais quoi, le mis sous le nez du pauvre animal mourant, dans l’espoir fou qu’il susciterait son appétit.
Mise au centre de ce tableau surréaliste, je décidai non sans mal de soutenir davantage l’animal que la maîtresse.
Il leur fallait ma force et mon assurance, que le vétérinaire soulagerait et rendrait douce la fin de leur animal, dont la vie d’ailleurs ne serait abrégée que de quelques heures, tellement maintenant sa fin était proche.
Je les ai accompagnés tous les trois jusqu’au bout ; j’ai tenu la vieille dame tout contre sa chienne quand le vétérinaire a fait glisser dans les veines le liquide qui endort et celui qui fait mourir sans souffrance.
Alise s’est laissée faire sans se défendre comme presque déjà partie. La vieille dame a laissé faire aussi, elle avait capitulé ; son mari, lui, s’est tenu éloigné n’ayant pu affronter de près, la mort de l’une et l’immense douleur de l’autre. Alise avait 16 1/2 ans.
Il me restait encore à terminer mon travail, c’est à dire à les aider tous deux à accepter l’insupportable. Il me semblait qu’il ne fallait pas les séparer brutalement du vieil animal.
Tous deux souhaitaient une crémation pour Alise. Je proposai qu’ils puissent garder la vieille chienne près d’eux pour la nuit, pour la voir morte mais apaisée enfin, délivrée de son manteau de vieillesse douloureuse.
Pour qu’ils entament un vrai deuil, il me fallait les aider à regarder en face la fin de la vie. La force de ma présence pouvait leur permettre d’accompagner leur Alise jusqu’à l’acte de crémation. La vieille dame ne s’y est pas dérobée. Je l’ai soutenue jusque dans cette dernière et douloureuse démarche d’immense respect pour sa vieille chienne.
Cette ultime épreuve vécue de la crémation lui laissera à jamais l’irremplaçable réconfort de ne s’être pas détournée, de n’avoir jamais abandonné son animal chéri, en l’accompagnant même jusqu’après la mort du corps.
Je garde d’Alise, le souvenir ému d’un chien pathétique qui ne voulait pas faillir.
Danièle MIRAT

left by colombine67 on 10/07/2016  
Témoignage d'un chien abandonné.
"Je ne sais pas où tu m’emmènes, mais je sais que tu es en colère contre moi. Tout à l’heure tu m’as fais monter dans la voiture, et tu m’as ordonné sèchement de me coucher à côté du siège passager. La voiture est pleine de poils je ne le fais pas exprès tu sais, mais tu ne m’as pas brossé depuis longtemps. Je sais qu’hier, j’ai été un VILAIN CHIEN.
J’ai pourtant essayé de vous faire comprendre, à toi et à ELLE, que j’avais une grosse envie que c’était pour la grosse commission. Mais tu m’as dit de me taire et de filer dans mon coin. Je te promets que j’ai essayé, aussi longtemps ,que j’ai pu, de retenir la commission lorsqu’ ELLE et toi, vous êtes partis.
Jai tourné en rond et puis c’est parti. Je sais que j’ai fait CA au milieu de la cuisinevje m’en suis beaucoup voulu tu sais, je me suis mordu les pattes, j’ai beaucoup pleuré Et puis je ne sais pas ce qui ma pris, j’ai ressenti beaucoup de colère pour toi et pour ELLE, tous ces moments où je me suis senti délaissé, et de trop entre vous deux, me sont revenus
et j’ai fais toutes ces bêtises,
j’ai mordu les coussins et arraché un peu de papier peint. J’ai eu peur lorsque tu es rentré, j’ai vu de la colère dans tes yeux, et j’ai su que la punition allait être terrible. C’était si bien au début toi et moi seuls contre les imbéciles tu m’emmenais partout avec toi et j’avais le droit de venir t’embêter avec ma baballe pleine de bave et me coucher sur tes pieds pour mâchouiller tes pantoufles, on faisait de longues balades dans la forêt, et au retour j’avais droit à pleins de câlins et puis ELLE est arrivée.
Au début, je ne la gênais pas trop et je pouvais encore circuler librement dans l’appartement, comme je l’avais toujours fait avec toi. Et puis elle a commencé à se plaindre : tu me donnais trop d’affection, je mangeais trop je perdais mes poils, j’étais sale, je sentais mauvais… et puis elle était allergique (hahaha)
Hier lorsque vous êtes rentrés elle t’a dit c’est lui ou moi et tu m’as lancé un regard triste mais résigné. Nous nous sommes arrêtés. Tu m’as emmené dans la forêt où nous venions souvent, avant, tu as noué ma laisse autour du tronc d’arbre et tu es parti dans ta grosse voiture pleine de mes poils. C’est une blague ? un nouveau jeu ? une punition ? tu vas revenir ?
Je me souviens du premier regard que tu m’as lancé à travers la grille de ma cage. Tu t’es arrêté et agenouillé devant moi et je suis venu mordiller ton doigt. Tu as dit à la dame du refuge que tu vivais seul et que tu aurais largement le temps de t’occuper de moi. Moi je t’aimais déjà, au premier regard. La grande cage s’est ouverte et j’ai sauté dans tes bras. J’étais tout chiot à l’époque ça fait déjà deux ans !
Et que de bonheur depuis !! Jusqu’à ce jour. Il y a longtemps que tu es parti maintenant. Je m’ennuie, j’ai peur et j’ai commencé à ronger ma laisse mais elle est en acier et je me suis fait mal aux dents. Mon collier me sert car je n’ai pas assez de mou pour ne serait ce que m’allonger. Et puis j’ai faim, j’ai soif. Deux jours que je suis là j’ai arrêté de compter les minutes et de japper, à force de pleurer je n’ai plus de voix et tu n’es pas revenu. Le collier a entamé ma peau à force de tirer dessus et cela me fait très mal. Jai très peur
Est-ce donc si terrible de faire la commission à l’intérieur ?Je ne sais plus depuis combien de temps je suis là à force de tirer sur la laisse j’ai réussi à pouvoir m’allonger un peu mais jai très mal au cou et cela me brûle beaucoup les mouches commencent à me tourner autour. Je ne me sens plus très bien, je n’ai même plus soif, même plus faim et je crois que j’aimerais rester seulement là , allongé et attendre que tout s’arrête autour de moi.
Juste un murmure qui se rapproche je distingue quelques voix serait ce toi mon amour d’humain qui revient me chercher ? Suis-je assez puni ? Je me suis réveillé à l’hôpital pour chiens. Une dame très gentille ma dit que désormais j’allai dépendre du refuge SPA. Ça je connais. J’y ai passé les premiers mois de ma vie. La dame est très gentille. Je viens de passer deux longues semaines à la clinique vétérinaire et j’ai quinze points de suture au cou. Le collier en acier avait entamé ma chair, et les mouches avaient commencé à pondre dans la plaie. Je suis un miraculé me dit la dame très gentille.
Elle me dit que je suis beau et que je ne devrais pas tarder à trouver de nouveaux maîtres. Mais ce ne sont pas de nouveaux que je veux ! Pourquoi ne vient- il pas me chercher ? je ne comprend pas. Ma compagne de cellule est une adorable border collie de quatorze ans.
Elle se nomme Mitsy. La directrice du refuge la chargée de me mettre au courant en ce qui concerne la vie au pensionnat, les horaires de promenade, de repas, le règlement intérieur. Mitsy est là depuis qu’elle a neuf ans. A la mort de sa maîtresse, elle a été amené au refuge, car aucun des cinq enfants (que Mitsy a pourtant vu grandir) n’a voulu assumer un vieux chien malade et à demi aveugle. Mais elle ne leur garde pas rancune. Et puis depuis qu’elle est là, Mitsy est devenue en quelques sortes la mascotte du refuge. Elle rentre, elle sort à sa guise, si bien qu’en général, la journée je me retrouve tout seul.
Dans la cage de droite, il y Snoop, un vieux briard, que l’enfermement a rendu aigri et qui passe ses journées à grogner. A force de s’en prendre à ses compagnons de cellule, les humains ont été obligé de l’isoler. Et puis à droite, il y a Roots Trois ans déjà qu’il traîne ses pattes au refuge, et pourtant il ne perd pas espoir de repartir un jour. Quand un humain arrive, il fait le beau, il jappe il frétille, il amuse la galerie. Au début j’ai pris des cours avec Lui et je faisais le singe dans ma cage espérant attirer l’attention sur moi, mais les visiteurs vite écoeurés détournaient la tête de mon pelage, terni et de ma longue balafre boursouflée, longue dune dizaine de centimètres, entravant mon cou.
Petit à petit mon espoir est mort. Les gens me regardaient et s’en allaient. A chaque fois que je ressentais quelque espoir, une main caressante, un regard appuyé, les gens me donnaient quelques mots affectueux puis continuaient leur promenade. Je me sentais mourir à petit feu. D’abord ce fut ma jeunesse.
Elle me quitta.
Je me désintéressais des balles et des pouics pouics en tout genres. Et puis un jour, je me désintéressai même de ma gamelle. Jamais plus je ne connaîtrai la chaleur d’un panier garni d’une douce couverture pour mes papattes, où de juteux restes de repas glissés avec amour dans ma gamelle. Je fus résigné à attendre la fin couché sur ma paillasse, à l’autre bout de la cage, bien loin des manifestations d’intérêt du genre bipède.
J’étais devenu maigre à faire peur, mes pattes ne me portaient plus. Bien qu’âgé de quatre ans, j’en paraissais 10 de plus. Ils vinrent. Deux bipèdes. Ils se tenaient par la main, expliquant à la dame du refuge qu’ils avaient mûrement réfléchi, qu’ils avaient décidé d’adopter un chien de la SPA plutôt que de prendre un chiot chez un éleveur. Ils s’en remettaient au choix de la directrice, même si celui ci se portait sur un pas très beau, plus très neuf leur seul envie était de faire trois heureux. Ils s’arrêtèrent devant ma cage. On se regarda longuement, et je voyais bien que LUI comptait mes côtes, très apparentes sous mon pelage, et qu’ ELLE détaillait ma longue cicatrice inesthétique.
- ORLY a été trouvé attaché à un arbre, dans la forêt, parce que son maître n’a pas eu le courage de s’en débarrasser au refuge. Il est resté cinq jours dans les bois, sans boire sans manger, couché dans ses excréments. La plaie que vous lui voyez au cou, c’est le collier qui a entamé sa peau. Sachez bien que la cicatrice s’estompera mais ne disparaîtra pas complètement. Ce n’est pas une bête de concours. Mais il est avec nous depuis un an et la vie au refuge lui pèse. Je crois qu’il a décidé de se laisser mourir, malgré toute notre affection.
ELLE s’approcha doucement de moi. Je grognai. Après tout pourquoi leur accorder la moindre importance. Ils me cajoleraient, puis me laisseraient tomber comme tous les autres avant eux. ELLE passa une main douce dans mes poils et sur mon museau, me toucha les oreilles et je vis que ses yeux brillaient. LUI se tenait à quelques pas derrière elle. La directrice dansait d’un pied sur l’autre pleine d’un secret espoir.. ELLE était si douce, et en cet instant je me sentais si bien, que je vins me blottir contre elle et posait ma grande tête sur ses genoux. Et puis je fermai les yeux. J’attendis la sentence.
Une voix très émue au loin, hors de mon rêve C’est possible de l’emmener aujourdhui ? La directrice battit des mains, joyeuse. Bien sûr ! je vais vous expliquer pour les papiers, et les démarches. Elle voulut refermer la cage mais ELLE me prit par le collier et me dit doucement de venir avec elle .
Je la regardais, impuissant, n’y croyant pas vraiment. Je passai devant Roots et tous les autres qui me jappaient des félicitations et des cris de joie. Mitsy, confortablement installée dans un vieux fauteuil en cuir passé, me fit un clin d’oeil en me voyant arriver dans le bureau des adoptions. Mon nouveau maître , tout en me caressant longuement, me promit que tout ce que j’avais vécu là était terminé et que j’allais avoir droit à une vie de rêve, bien méritée, un bon panier bien moelleux, des restes de repas bien juteux et à l’avenir un jardin où je pourrai creuser à volonté. Je partis avec eux, allongé sur le siège arrière de la voiture, avec un dernier regard sur le refuge, où attendent encore des centaines de mes compagnons à quatre pattes, et ne pensait qu’à ma nouvelle vie.

left by colombine67 on 09/07/2016  
Si je suis le (la) premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !

left by poutounou on 07/07/2016  
Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide à poursuivre notre chemin malgré les durs moments de la vie...
*
L'habitude
*
La tranquille habitude aux mains silencieuses
Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ;
Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres
Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ;
*
Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre,
Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent,
Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent
Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ;
*
Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces,
Les insensibles mains de la lente Habitude,
Resserrent un peu plus l'étrange quiétude
Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ;
*
Et du même toucher dont elle endort la peine,
Du même frôlement délicat qui repasse
Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface,
Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine,
*
Les gestes, le sourire et le visage même
Dont la présence était divine et meurtrière ;
Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ;
La source des regrets devient voilée et blême.
*
A chaque heure apaisant la souffrance amollie,
Otant de leur éclat aux voluptés perdues,
Elle rapproche ainsi de ses mains assidues,
Le passé du présent, et les réconcilie ;
*
La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ;
La blessure adoucie et calme se referme ;
Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme,
Se sentent lentement changés en cicatrices ;
*
Et celui qui chérit sa sombre inquiétude.
Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute,
Plus que tous les tourments et les cris vous redoute,
Silencieuses mains de la lente Habitude.
*
Auguste ANGELLIER (1848-1911)

left by colombine67 on 04/07/2016  
Pas étonnant que le chien soit le meilleur ami de l'homme. Sa loyauté, son intelligence, son dévouement et son affection sont incroyablement gratifiants. Il n'y a rien de mieux qu'une longue marche avec son compagnon, voir la joie de son chien lorsqu'on l'emmène jouer au parc, ou simplement se reposer à la maison en compagnie l'un de l'autre. Et bien sûr, pour tout l'amour que vous exprimez à un chien, il vous le rend dix fois.
Des études récentes ont montré que ceux d'entre nous qui ont un animal de compagnie sont généralement en meilleure santé et plus heureux que ceux qui n'en ont pas. Mais pourquoi le chien est-il un animal de compagnie idéal ?
Promener son chien régulièrement entretient la forme physique.
Promener son chien augmente l'interaction sociale : beaucoup de personnes se lient d'amitié avec les propriétaires de chiens qu'ils rencontrent régulièrement.
La marche à pied aide à oublier le stress et les tensions de la vie quotidienne et offre un moment précieux à l'extérieur : l'occasion de laisser tout derrière soi et de passer du temps avec un compagnon fidèle.
Les chiens nous donnent un sens du bien-être émotionnel grâce à l'amour inconditionnel qu'ils nous portent.
Les propriétaires de chiens ont généralement un système immunitaire plus solide, ce qui les aide à se tenir à l'écart des maladies.
Le fait de posséder un chien aide les gens à se remettre d'un traumatisme personnel, tel que le deuil.
Les propriétaires de chiens ont généralement une pression artérielle moins élevée que les autres.
Les propriétaires de chiens se remettent souvent plus rapidement des maladies et présentent un taux de survie plus élevé après un infarctus.
Les enfants possédant des chiens manquent moins souvent l'école pour cause de maladie.
Par ailleurs, plus encore que tous ces avantages non négligeables, les chiens représentent tout simplement une grande source d'amusement. Ils peuvent vous faire rire, en particulier lorsque vous avez passé une très mauvaise journée, et ils sont toujours là pour vous réconforter par un câlin lorsque vous en avez besoin. Rien ne peut mieux vous remonter le moral que de voir votre chien tenir sa laisse avec espoir, sa queue battant fortement, les yeux brillants d'excitation pour sa première promenade de la journée.

left by poutounou on 03/07/2016  
Il y a des jours comme ça…
*
Il y a des jours comme ça,
Des jours où ça ne va pas.
Des jours où on aimerait
Serrer notre Ange contre soi.
Lui murmurer des mots doux,
Lui faire des câlinous tout partout
Il y a des jours comme ça…
Depuis qu’il n’est plus là.

left by colombine67 on 03/07/2016  
Un chien reste aux côtés de son maître, que celui-ci soit riche ou pauvre, en bonne santé ou malade, pourvu qu'il soit auprès de lui.
Il dormira sur le sol froid quand les vents glacials souffleront et que la neige tombera avec force.
Il embrassera la main qui n'a pas de nourriture à lui offrir, léchera les plaies et les blessures causées par la rudesse de ce monde.
Il veillera sur le sommeil d'un pauvre comme si ce dernier était un prince.
Quand les ami(es) font défaut, le chien LUI reste fidèle. Lorsque la richesse s'envole et que la réputation s'effrite, son amour demeure aussi immuable que la trajectoire du soleil à travers le ciel.
Si le sort fait de son maître un proscrit en ce monde, sans ami(es) ni maison, il ne demande pas de plus grand privilège que celui de l'accompagner pour le protéger et se battre contre ses ennemis.
Et quand vient le dernier moment, que la mort étreint son maître et que le corps de celui-ci est abandonné dans la terre froide, peu importe si tous les amis poursuivent leur route, on trouvera le noble chien là, sur la tombe, la tête entre ses pattes, les yeux tristes mais vigilants, fidèle et loyal jusque dans la mort !!!!

left by colombine67 on 02/07/2016  
TEXTE LONG MAIS A LIRE !
Journal d'un chien (âme sensible s'abstenir)
Le journal d'un chien:
Semaine 1: Ca fait aujourd'hui une semaine que je suis né,quel bonheur d'être arrivé dans ce monde!
Mois 01: Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire.
Mois 02: Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait.
Mois 04: J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer.
Mois 05: Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que j'ai fait "pipi" à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas!
Mois 12: Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent être fiers de moi !
Mois 13: Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mâchoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils étaient furieux et ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe.
Mois 15: Plus rien n'est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens très seul, ma famille ne m'aime plus. Ils oublient parfois que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter.
Mois 16: Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Écoutez, attendez !" Vous... vous m'oubliez. J'ai courru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié.
Mois 17: J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre.
Mois 18: L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m'a abîmé l'oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci.
Mois 19: Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j'étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé. J'ai perdu mon œil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre.
Mois 20: Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrières ne réagissent plus et je me suis difficilement tiré vers un peu d'herbe au bord de la route.
Mois 21: Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent "ne t'approche pas". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m'a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t'ont laissé"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances". La gentille dame s'est mise à pleurer et a approuvé.
Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la remerciant de m'aider à trouver enfin le repos.
Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me voulait.
Voici une chose réelle qui vas encore se produire cette année, se texte est assez dur, faites un copier collé et le mettez le sur votre forum, et a ces gens là, je dit merci! ( moi je l'est fait)
La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer. Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés.
S'il vous plais faites un copier coller de cette article sur votre forum, si vous ne le faite pas c'est que vous n'avez pas de cœur,je sais que ce texte est dur, mais faite un effort, car eux en font tous les jours au près DE TOI

left by colombine67 on 01/07/2016  
Hier auprès de son maître, aujourd'hui seul et perdu.
Hier protégé et soigné, aujourd'hui en danger.
Hier aimé, aujourd'hui oublié et délaissé...
Un animal ne pleure pas ... il souffre en silence !

left by myriam31 on 30/06/2016  
A toi qui prés de moi tous les jours
jamais tu n'as économisé ton amour
je t'aimerais toujours
tu me suivais comme mon ombre
mais tu n'avais plus la force de marcher
dans tes yeux se profilait l'ombre
du regret de nous quitter
tu es parti tout doucement
tu es parti en me regardant
tu nous manques tellement
pour tout cet amour donné
pour tous ces moments passés
à jamais je t'aimerais
tous les jours je pense à toi
dans mon cœur tu resteras.

left by colombine67 on 30/06/2016  
DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIR….
Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classé deuxième catégorie.
Je suis un Rottweiler, et pour moi il n’y a pas de pitié, je dois payer de ma vie.
A l’aube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande qu’à jouer,
Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui m’a jugé.
Je n’ai pas connu mes parents ; tout petit j’étais chez un marchand qui m’a vendu
Comme mes sœurs et frères, dans les sous-sols d’une cité, que je n’ai jamais vue.
Dans un appartement je fus alors gardé, au milieu des enfants venant me taquiner,
S’amusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser.
Quelques mois sont passés, dans cette famille j’ai vécu des jours de grand bonheur,
Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures.
C’est au parc qu’on m’emmenait, je pouvais gambader et même aller jusqu’à l’étang,
J’étais heureux, j’en profitais pour me baigner, et revenais me secouer prés des enfants.
Je croisais quelques congénères, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien.
Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien,
Car j’entendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans,
Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obéir était nécessaire et prudent.
Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient d’un air bizarre, ou même interrogateur.
Ils me donnaient l’impression de se méfier de moi, cherchant à m’éviter, ils avaient peur.
J’avais remarqué, les mamans serraient de beaucoup plus prés, protégeant leurs enfants.
Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pétillaient en me voyant.
Et ce soir fatidique, du début de juillet, en rentrant au quartier, j’ai vu surgir trois ombres,
Et j’entendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva d’autres, je ne sais plus le nombre,
Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « s’il nous mord on le plombe »
Ils étaient là pour moi, en mission très spéciale, commençant ici pour finir… dans ma tombe.
Mon jeune maître du s’expliquer, je fus mis en laisse et muselé, puis enfermé dans une cage,
Pendant que ces messieurs de la police, constataient que j’étais illégal, ni papiers ni tatouage.
Alors à la fourrière on m’emmena, ou sans ménagement on me jeta dans un bien triste chenil,
Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvés aux environs ou au centre ville.
A partir de cet instant, j’étais condamné, victime innocente d’une loi aussi bête qu’injuste,
Un peu du même genre que celle que l’on voudrait prendre en ce moment pour les « putes ».
Il est vrai, j’étais « sans papiers », mais je n’en veux pas à ma famille, ils n’en ont jamais eu,
Vivant dans un ghetto depuis dix ans, j’étais le cadeau des enfants qu’ils ne reverront plus.
Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, même des drames,
Souvent rendus méchants par des Maîtres infâmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames.
Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je n’ai jamais mordu ni grogné, et je dois partir,
Laissant tous seuls ces enfants qui m’adorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir.
La société humaine ainsi a décidé, qu’être un Rottweiler en famille immigrée, sans papiers,
Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procès, ni pitié.
Soyez bien surs que s’ils osaient, ils ne se contenteraient pas d’euthanasier seulement le chien,
Mais pour l’instant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et c’est ce qui les retient.
Texte de : Gilbert DUMAS

left by poutounou on 29/06/2016  
Un joli bouquet de roses de toutes les couleurs pour chaque Ange du Paradis blanc….
*
LA ROSE
*
Rose !!! J'aime tellement ton parfum, le matin
Quand tu te lèves, mouillée dans ta robe de satin
Toute belle tu t'es épanouie dans ton jardin
J'ai du plaisir à te voir et du mal à croire
Comme tu es belle, quand je te regarde
J'ai cultivé un jardin et me suis fait un bouquet
De roses pour moi, une blanche pour l'amitié
Une jaune pour le sourire, une rose pour la tendresse
Une rouge pour l'amour.
Mais ma plus belle rose c'est toi mon amour
*
- Candy -

left by colombine67 on 29/06/2016  
Certains sont dans un jardin
Parfois au bout d'une chaîne
Et servent de gardiens
Certains sont là pour faire bien
Et les voir en manque d'amour fait de la peine
Lorsque l'on vit tous les jours avec son chien
Il devient notre double autant que notre gamin
Notre psy autant que notre frangin
Notre bouillote autant que notre copain
Nos oreilles autant que notre ange-gardien
Et le voir tous les jours épanoui et sain
Fait notre bonheur au quotidien

left by colombine67 on 28/06/2016  
Le BÂTARD et le CLOCHARD.
Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans,
Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps.
Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère,
Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère.
Tous les jours, tous les deux, on fait la manche,
Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche.
C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger,
Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer.
Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir,
Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir.
Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens,
Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants.
Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse,
Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse,
Condamnés que nous sommes à vivre de la quête,
Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête.
Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons,
D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion.
Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux
De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous.
Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple,
Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple,
Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite,
Prêts à se battre ou se haïr… pour réussir plus vite.
Alors, gens de bonnes manières, responsables civils,
Qui faites les beaux jours des villages et des villes,
N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard »,
Ce vilain chien, son seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard».

left by colombine67 on 27/06/2016  
Le chien apporte une véritable dimension affective dans sa relation avec l’homme, de l’enfance au grand âge. Les bénéfices de la présence d’un chien sur l’être humain ne sont plus à démontrer. Chez l’enfant, on note une influence sur son développement mental et psychologique, et chez l’adulte et la personne âgée, sur le plan psychologique et physiologique.
Pour les enfants
Pour l’enfant, le chien, ou le chiot, est non seulement un compagnon de jeu, mais également un ami et un confident. Il apporte un sentiment de sécurité et de réconfort. Avec un chien à ses côtés, votre enfant comprendra mieux ce que signifient l’obéissance, l’autonomie et, de manière générale, tout ce qui concourt à son épanouissement social. Il appréhendera également la douleur.
Un modèle d’éducation pour votre enfant
Pour les adultes
Chez l’adulte, les bienfaits de la compagnie d’un chien sont multiples, notamment pour sa santé au quotidien: exercice physique, baisse de la tension et du rythme cardiaque. Il a été démontré que les problèmes de santé mineurs chez les propriétaires de chiens sont réduits de moitié. Un simple exemple: promener son chien chaque jour réduirait le nombre de fractures du col du fémur chez la personne âgée.
Pour les personnes âgées
Les établissements médicalisés pour personnes âgées sont de plus en plus nombreux à laisser entrer les animaux de compagnie dans leurs murs. Et pas seulement pour les bienfaits de leur compagnie. Certains chiens sont formés pour faciliter l’accompagnement des personnes en fauteuil roulant et participent à des programmes thérapeutiques comme, par exemple, dans le traitement de la maladie d’Alzheimer. Il s’avère en effet que la présence d’un chien participe à l’éveil du patient et déclenche ainsi des réactions positives.

left by colombine67 on 26/06/2016  
Chien…
Tu es si noble!
Ta médecine nous enseigne
À aller jusqu’au bout de nous-mêmes
Avec fidélité, patience et sincérité.
Tous les Indiens du Sud-Ouest et des Plaines avaient des chiens. Ces nobles animaux lançaient le cri d’alarme devant un danger imminent. Ils aidaient aussi à la chasse et gardaient leurs maîtres au chaud pendant les longues soirées d’hiver. Puisqu’il existe plusieurs espèces de chiens, les premiers chiens des Indiens étaient habituellement à demi sauvages. Toutefois, l’état sauvage ne les détournait pas de la fidélité innée à leurs maîtres.
Tout au long de l’histoire, on a considéré le Chien comme le serviteur de l’humanité. Les porteurs de la médecine du Chien se dévouent habituellement de quelque façon au service des autres ou à celui de l’humanité. Ce sont des bénévoles, des philanthropes, des infirmières, des conseillers, des prêtres ou des soldats.
Le Chien, c’est le soldat de service, gardien vigilant des loges de la tribu contre les attaques surprises. La médecine du Chien allie la tendre délicatesse du meilleur ami à l’énergie protectrice mi-sauvage, liée aux exigences territoriales. Comme Anubis, le chien-chacal qui protège l’Égypte, le chien monte la garde. À travers l’histoire, le Chien a été à la fois gardien des enfers, des secrets anciens, des trésors cachés et des bébés – pendant que les mères préparaient les repas ou travaillaient aux champs. Fidèle à sa nature, cet animal mérite la confiance qu’on lui accorde.
En étudiant la médecine du Chien, vous découvrirez peut-être de doux souvenirs personnels reliés à un chien que vous avez aimé. Cela vous poussera peut-être à mieux examiner le message que ce fidèle gardien veut transmettre : approfondissez votre sens du service aux autres. L’espèce canine est vraiment orientée vers le service ; la fidélité de ces animaux passe outre aux mauvais traitements reçus. Même quand le Chien a été victime de cris ou de coups, il continue à aimer la personne qui l’a maltraité, non pas par stupidité mais plutôt par compréhension : une compréhension profonde et compatissante des défauts des humains. II semble bien qu’au coeur de tout chien réside un esprit de tolérance qui ne cherche qu’à servir.
Par ailleurs, il peut se trouver des chiens chez qui les mauvais traitements ont étouffé toute trace de fidélité. Ils tremblent et se lamentent au moindre signe de désapprobation, mais ce n’est pas là leur nature véritable. Quelques espèces de chiens ont même été entraînés à être brutaux et méchants. Dans un esprit de service, ces espèces ont répondu aux désirs agressifs de leurs maîtres. Ils sont victimes d’une altération de leur mémoire génétique où le service prend un tout autre sens parce qu’il est relié à l’approbation de leurs maîtres.
La médecine du Chien nous demande de considérer combien aisément notre besoin d’approbation peut dénaturer l’esprit de notre fidélité. Si vous avez tiré la carte du Chien, plusieurs questions se posent selon la situation qui vous a poussé à tirer les cartes.
1) Récemment, ai-je oublié que je devais d’abord respecter ma vérité personnelle ?
2) Est-il possible que les commérages et l’opinion des autres aient diminué ma fidélité à un certain ami ou à un certain groupe ?
3) Ai-je rejeté ou ignoré quelqu’un qui tente d’être un ami fidèle ?
4) Ai-je été fidèle et sincère face à mes buts ?
À L’ENVERS :
En position contraire, le Chien vous rappelle peut-être que vous êtes devenu trop critique,voire même méchant et que c’est dû aux gens que vous fréquentez. L’aspect contraire de cette médecine peut aussi vouloir dire qu’il est temps de cesser de trembler de peur et qu’il vaut mieux maintenant vous attaquer à tout ce qui mine votre confiance. La clé du succès, c’est de vous rendre compte que l’ennemi est à l’intérieur de vous : il s’agit de formes-pensées qui vous disent que vous n’êtes pas digne de fidélité – soit envers vous-même, soit envers les autres. Vous voudrez peut-être examiner les schémas d’infidélité dans votre vie. Par exemple, rapportez-vous les potins ? Évitez-vous de prendre la parole pour faire taire ou rectifier les propos de quelqu’un qui propage des rumeurs ? Faites-vous des farces qui abaissent les autres ? Refusez-vous de rendre des services ? Ces comportements sont caractéristiques de la peur, particulièrement d’une peur commune aux humains de la famille des bipèdes : la peur de ne pas faire partie du groupe ou de ne pas être approuvé.
Réappropriez-vous le pouvoir d’être fidèle à vous-même et à vos vérités. Devenez comme le Chien – votre meilleur ami. 

left by poutounou on 25/06/2016  
Rupture
*
J’effacerai le temps
J’effacerai les jours
Mais je sais qu’au retour
J’irai me questionnant
*
Voilà
J’ai les mains vides
Vides sont mes mains
Vides
Parfois je les regarde, stupide
Et les feuilles tombent dans l’air limpide
Encore une fois
*
J’effacerai les places
J’effacerai les traces
Me faisant un espace
Dont tu seras absent
*
Encore une fois
Voilà
J’ai les mains vides
Et du creux de mes paumes arides
S’échappent fuyant entre mes doigts
Les restes d’un espoir pesant
*
J’effacerai les peines
J’effacerai les joies
Notre route bifurqua
Et chacun eut la sienne
*
Voilà j’ai les mains vides
Vides sont mes mains
Vides
Et les feuilles tombent dans l’air limpide
Encore une fois…

left by colombine67 on 25/06/2016  
A tous ceux qui n'aiment pas nos chiens...
A ceux qui gobent les infos bêtement
A ceux qui englués dans la propagande médiatique des journaux, télévision, radios ou autres.
A ceux qui ne supportent pas les rottweilers, staffs, ou autres assimilés molosses juste à cause de leur "gueule"
A ceux qui dans la rue, hurlent, nous insultent et nous menacent
A ceux qui promènent leurs "roquets" ou brave chien de famille sans laisse (en ville, partout, à la campagne)
Aux mères de famille qui attrapent leurs enfants en criant ou en traversant la rue brutalement (risquant la vie de leur gamin sur la route).
A nos proches qui refusent de nous voir à cause de nos chiens
Aux voisins qui paniquent, harcèlent, empoisonnent, provoquent nos chiens et nous insultent.
A vous...qui avez peur de l'image atroce que le gouvernement vous montre, dans le but de VOUS faire peur...
A vous que nous ne pouvons même pas juger d'avoir peur, à cause des images chocs, de la violence orchestrée et mise en scène, des photos, des cas rares de morsures (souvent causées par des chiens maltraités ou détenus enfermés dans d'horribles conditions) ou des rares idiots qui utilisent leurs molosses à de mauvaises fins...
A vous français à qui l'on rabâche sciemment que nos chiens sont dangereux...
On ne vous en veut pas...vous les gens...d'être victimes de la propagande...on ne vous en veut pas de penser que nos chiens sont ce que les médias choisissent de vous montrer.
Depuis plus de 10 ans...on vous abreuve des pires horreurs sur NOS chiens...
Nous ne pouvons même pas vous en vouloir...
Mais ne nous en voulez pas, à votre tour...d'aimer nos chiens.
Ne nous en voulez pas de nous sentir persécutés.
Lisez l'histoire qui va suivre plus bas...
Ne serait-ce que 5 min, mettez VOUS à NOTRE place.
Depuis 99, la France a organisé l'éradication de nos chiens...lentement, sournoisement.Quelques balbutiements politiques...à coups de faits divers qui brutalement sont soit disant devenus quotidiens et le mythe du sauvage pitbull tueur d'enfant a terrorisé les foyers, angoissé les mères de famille, et engendré des envies de meurtres de la part de nos voisins, fourrières et refuges ou des envies de justice pour la sécurité nationale.Aujourd'hui...détenir un chien catégorisé...est bien plus difficile que de s'acheter une arme et d'aller tirer sur une classe entière d'enfants innocents dans une école ou de tuer un camarade de lycée pour une histoire d'ados.Aujourd'hui, promener son rott, son staff, son dogue ou même son gros chien...relève de la délinquance, et met en péril la sécurité publique, alors que pénétrer dans une maternité et voler un enfant est aussi facile que de s'acheter une baguette de pain dans une boulangerie.A l'heure actuelle...nous, propriétaires, maîtres, simples gens comme vous...père, mère de famille, jeune ou moins jeunes, devons nous plier à des lois et des contraintes de plus en plus sévères.Alors que nos chiens sont ceux qui auraient le plus besoin de se dépenser, de jouer de courir, de faire du sport...ou JUSTE d'avoir le DROIT de ramasser une balle qu'on leur lance...ce simple geste si anodin...que vous tous faites avec votre chien nous est interdit par la loi.Le simple fait de lancer un bâton à nos chiens est proscrit.Un "petit chien", ou des races plus « paresseuses » n'ont pas autant besoin de se dépenser que nos chiens...et pourtant, eux ont le droit de divaguer, de ne pas être tenus en laisse, d'aboyer, de grogner en toute impunité, de ne pas êtré éduqués...Sans que personne ne trouve cela inquiétant.Mais pourtant, laisser gambader nos chiens, les laisser courir, attraper un frisbee, une balle...est interdit à un molosse. Sans compter que les transports en communs, les lieux publics, la foule, les loisirs, les hôtels et autres lieux ne tolèrent pas nos chiens. Pire encore, les locations, le simple droit au logement nous est interdit dans certains cas. Même certains vétérinaires refusent une simple consultation à nos chiens, que ce soit pour des soins d'urgence ou des blessures graves...ou pour juste un vaccin...La plupart des pensions refusent nos chiens...beaucoup de clubs d'éducation canine aussi refusent nos chiens.Le seul droit...la muselière, la laisse et des formalités à n'en plus finir et pour certains, la mort immédiate car nés sans papiers (LOF)
Nos autres droits :
Déclaration en mairie (on est fiché...les pédophiles le sont-ils eux ?????)
Nos chiens sont enregistrés en mairie ou auprès de la Police tels de dangereux criminels,
assurés responsabilité civile (payant),
doivent passer une visite comportementale chez un vétérinaire (150€)...
être munis d'un passeport (payant); et vaccinés contre la rage (alors que la rage n'est plus obligatoire depuis des années)
et nous propriétaires devons nous même passer une formation d'une journée (en moyenne entre 50 et 200€)...formation nous donnant un certificat d'aptitude à la détention de chiens de catégorie 1 ou 2
Suite à cela...après ces diverses formalités contraignantes et coûteuses, nous devons nous soumettre au bon vouloir du maire de notre lieu de résidence, afin que celui-ci daigne nous délivrer ce fameux « permis de détention de chien dangereux »...
En France, au 21ème siècle, nous devons demander au maire de notre commune la PERMISSION de sortir nos chiens.Nous devons obtenir l'accord de notre maire pour que nos chiens aient juste le DROIT de poser leurs pattes sur un trottoir...nous devons demander à notre commune l'autorisation pour que nos chiens aient le droit de subvenir à leurs besoins naturels en dehors de leur domicile.
Est-cela « Liberté, Égalité, Fraternité » ?
Non. Ce racisme canin, cette éradication ciblée, basés sur des concepts de races sans aucune cohérence, ni même basés sur des statistiques de morsures tournent à l'extermination.
Alors que, rappelons-le, depuis 1984 en France, sur 40 cas de morsures mortelles recensées, 17 ont été causées par des Bergers Allemands ; et pourtant ce cher Berger n'est pas considéré comme dangereux...Pensez vous, s'en prendre à l'icône de 30 millions d'amis ce serait un sacrilège !!!!
Pour nous propriétaires de molosses, qui plus est catégorisés, ce n'est pas le pays de la liberté et de l'égalité...et encore moins celle de la fraternité. Si vous arrivez à « comprendre » que l'on se sente persécuté, nous aurons au moins réussi – peut-être – à vous faire comprendre notre quotidien.
A nous qui subissons les chiens des autres, non éduqués, non tenus en laisse...
A nous qui subissons les menaces, les pressions, les interdictions, les insultes.
A nos chiens qui subissent la muselière et la laisse pour les plus chanceux.
Aux malchanceux qui sont euthanasiés parce qu'on en veut plus, parce qu'ils coûtent chers de les mettre en règle, parce qu'un propriétaire n'en veut pas pour signer un bail, parce que l'entourage fait pression, parce que la fourrière les condamne, les refuges leur refusent la chance d'être présentés à l'adoption au même titre que les autres...à ceux qui sont abandonnés sauvagement, dont on se débarrasse parfois de façon brutale et lâche...
à ces chiens qui sont nés dans la mauvaise « peau »,
à ceux qui ont une « gueule » de méchant, une gueule de pas beau...
à ceux qui sont ce que l'homme a créé...et que l'homme veut détruire...
Profitez de vos derniers moments de vie sur notre terre...avant l'extermination.
A nos détracteurs qui vont se frotter les mains...de savoir que la délation, la simple dénonciation sans témoin, vous suffiront pour vous venger de votre voisin ou d'un promeneur qui a le malheur de posséder un chien de catégorie ou un chien qui ne vous plaît pas: réjouissez vous.
Un simple appel à votre mairie, au commissariat et vous voilà devenu le justicier de la République. A vous qui pouvez dénoncer n'importe quelle personne possédant un molosse, vous avez le pouvoir de ruiner une vie.
J'espère que vous comprendrez nos combats. Parce qu'on souhaiterait simplement avoir un chien comme les autres...mais qu'il est JUSTE un peu différent physiquement.
A tous les courageux détenteurs de ces chiens, qui se battent encore pour les garder, qui subissent sans cesse la peur des autres, les pressions...l'angoisse permanente de la promenade où personne ne se montrera tolérant...
A tous les gens qui comme moi, savent très bien que si jamais leur chien a le malheur d'être un chien comme les autres, qui joue, aboie, jappe, gambade ou se bagarre. (oui des chiens qui se bagarrent ça arrive...au parc ou ailleurs, pour une broutille...sauf que les AUTRES ont le droit, ce sera sans conséquence pénale, ce n'est pas grave, ça arrive...)
A tous les possesseurs de molosses, qui la peur au ventre vont promener leurs chiens, catégorisés ou pas...qui savent que si jamais il se passe le moindre petit accrochage avec un autre chien non tenu en laisse (même si le nôtre est attaché) savent qu'ils seront jugés coupables. La peur au ventre de se dire que si UNE PERSONNE a décidé de vous en vouloir, pour rien...la possibilité de vous ruiner lui est offerte.
Vive la France, Vive les gens...Vive les chiens.
Liberté muselée.
Égalité catégorisée.
Fraternité euthanasiée

left by colombine67 on 24/06/2016  
Le 21 juin 2016, la délégation de la Fondation a été recue pendant plus d'une heure par la diplomatie chinoise à Paris afin d'évoquer la consommation de chiens et de chats en Chine en général et le festival de Yulin en particulier. L'occasion pour la Fondation de remettre à l'ambassade les 154 000 signatures contre ce festival de l'horreur. Les diplomates, très ouverts, ont pris l'engagement de poursuivre les échanges tout au long de l'année avec la FBB afin de lui permettre d'amplifier son action sur le terrain.
La Chine est le plus gros consommateur de viande de chiens et de chats d’Asie. C'est justement cette viande qui constitue la principale attraction d'un festival qui doit se dérouler aux alentours du 21 juin, dans la province autonome du Guangxi dans le sud-ouest de la Chine.
Chaque année en effet, la ville de Yulin célèbre l'arrivée du solstice d'été en torturant et massacrant des milliers de chiens et de chats... Pour être mangés !
Le festival devient un immense marché immonde à ciel ouvert : jusqu'à 10 000 chiens et 4 000 chats y sont torturés, massacrés, dépecés, vendus en morceaux ou mangés sur place !
Les animaux sacrifiés sont la plupart du temps des chiens errants, abandonnés ou volés. Transportés dans des conditions effroyables jusqu'au lieu du festival, ils sont ensuite exposés vivants, comprimés dans des cages de fer pendant les jours qui précèdent l'évènement. Les chiens et les chats sont attrapés par les marchands au moyen d'une lance qui leur enserre le cou puis tués sur place à coup de bâtons, saignés puis dépecés. De l'avis des amateurs, plus la bête souffre, plus la viande sera goûteuse..." rapporte Paris Match.
Deux millions de Chinois s'opposent à ces atrocités et 31 députés ont proposé au gouvernement d’interdire cette consommation et les traditions barbares qui s’y rapportent.
Signez notre pétition en ligne , participez aux actions et partagez-la massivement…
Merci à vous tous !
voici le lien: http://www.fondationbrigittebardot.fr/agir/petitions/yulin

left by colombine67 on 23/06/2016  
J'ai vu au fond de tes yeux et de ton regard,
Un amour que l'on ne lit nul part,
J'ai bu des mots que tu ne sais pas,
Que tu voudrais dire mais tu ne peux pas,
Souvent j'y ai vu la tendresse,
Mais aussi la tristesse,
Pour un reproche que tu ne méritais pas,
Ou simplement que tu ne comprenais pas,
Mais que tu respecteras,
J'y ai vu surtout l'amour,
Que tu me donnes jour après jour,
Un amour qui ne demande rien,
Rien qu'une caresse de la main,
Je sais bien que tu n'es qu'un chien,
Mais ton amour vaut bien celui d'un humain,
Tu offres sans demander,
Même ta vie s'il le fallait,
Alors moi j'ose dire que je t'aime,
Que je t'aime autant qu'un humain,
Même si l'on dit que tu n'es qu'un chien,
Hélas un jour tu partiras,
La mort, ce jour là, t'emportera,
Alors rien que d'y penser,
Mon cour commence à regretter,
De n'avoir pu t'expliquer,
Toutes ces choses que mon cour t'exprimait,
Mais que j'espère, dans mes yeux, ce jour là,
Tu liras,
Tous ces mots qui bouillonnent dans mon âme,
Jusqu'à se que la tienne prenne flamme,
Que je puisse respirer ton esprit aisé,
En te laissant cette seule pensée :
« Que moi pauvre humain,
Je serais te faire comprendre, l'amour d'un homme pour son chien"




The photo album contains 140 pictures
Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Top of page