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In tribute to
CHIHUAHUAFifi
Born on :14/03/1998
left us on:19/05/2010
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In tribute to
Fifi
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3510 Flowers
left by Touky Bonnes Fêtes de Pâques avec des bisous Chanel. Bonnes Fêtes de Pâques à ta maman (de la part de Jacky 50 dont j'ai supprimé la fleur par erreur) |
1117 messages
left by choupinou on 22/11/2022Perles de tristesse pour toi qui dors sous le froid dehors, j'ai apporté des fleurs au douces couleurs et du jasmin, pour moi tu vis encore et la terre qui couvre ton corps, je la réchauffe avec mes mains toi qui dors sous le froid dehors, je reste debout et calme, pour moi tu vis encore... et la terre qui couvre qui couvre ton petit corps, je l'arrose avec mes larmes poésie de L.B ************************************************************************************* Perles de tristesse pour toi mon coeur qui dors dans cette petite boite, Je t'apporte comme tous les matins, mes bisous de velours , je caresse d'une main tremblante ta petite urne, je te parle doucement et je sais que tu m'entends, je regarde ta photo sur ce mur, elle est figées , oui je recommence du bout des doigts de toucher ce qui reste de toi, une boite ronde, froide, ou un petit corps en cendre repose en paix, alors je repars doucement sur la pointe des pieds, et je m'éloigne de de belle endroit que j'ai confectionné pour toi, ou des petits anges t'accompagnent, des peluches, des petits coeurs, ou quelques fois une petite bougie brûle, elle est rempli de chaleur, de tendresse et surtout d'amour pour un merveilleux petit trésor précieux, elle scintille pour toi comme le battement de mon coeur, qui bat a jamais pour toi écrit de choupinou Merci du fond de mon coeur pour mon petit NUJI et pour moi, merci de ce grand réconfort |
left by choupinou on 18/11/2022a toi que j'aime J'ai pansé mes maux, en, faisant silence, Chut...... Ecoute le silence du coeur, le vent dans les rameaux, balayant feuilles et mots, L'oiseau danse avec lui, et t'annonce mon amour de son doux chant, J'aimerai que tu sois là, tout près, mais je te garde au chaud dans mon coeur, en écoutant ta voix qui monte vers moi, entendre ta chanson murmure mélancolique et pouvoir te dire regarde je suis là , suit moi dans les étoiles, je ne suis pas si loin.... ton fidèle amie a quatre pattes, qui t'aime Fifi |
left by poutounou on 26/10/2022Cette jolie petite histoire m’a fait verser une larme…Un simple geste d’Amour qui ne coûte rien qu’un peu d’encre et fait tant de bien… !!! Nos Anges aussi nous font plein de « wouf » tous les jours et on les garde précieusement dans notre cœur… * En avril dernier, Mary et Roberto Westbrook ont dû dire adieu à Moe, leur fidèle beagle âgé de 13 ans. Mais pour Luke, un garçonnet de 3 ans et demi, la perte de son compagnon de jeu a été plus difficile à comprendre… La famille a donc décidé d’écrire des lettres au chien en les envoyant au « Paradis des chiens » afin de prendre de ses nouvelles. * « On ne pouvait pas leurrer notre fils : nous allions régulièrement mettre les lettres dans notre boîte aux lettres », indique Mary Westbrook à la presse. « Le soir, quand notre fils dormait, j’allais rechercher le courrier avant que le facteur ne l’emporte. » * « Je te « wouf » Luke ! » Mais un jour, Mary a oublié de récupérer la lettre. « Je pensais que la lettre allait être jetée par le facteur ou qu’on allait se moquer de nous », dit-elle. Elle ne s’attendait certainement pas à trouver une réponse à ce courrier dans sa boîte aux lettres le lendemain. * Signée de la patte de Moe, la carte disait : * « Je suis au paradis des chiens. Je joue toute la journée et je suis heureux. Merci d’être mon ami. Je te « wouf » Luke ! » * Le garçonnet était aux anges après avoir reçu ce mot. Ses parents sont émus. « La gentillesse de cet inconnu m’a bouleversée », ajoute la mère du petit bonhomme. * « C’est juste de l’amour » * Après avoir raconté cette magnifique histoire aux médias locaux, The Virginian-Pilot a réussi à retrouver l’auteur de cette lettre touchante. Il s’agit en fait d’une employée de la poste, Zina Owens. * La jeune femme, âgée de 25 ans, dit n’avoir écouté que son cœur : « Il y avait un enfant qui avait perdu son chien, et chaque fois que l’on perd quelqu’un ou quelque chose qu’on aime, cela fait mal. Cette lettre m’a touchée, je voulais y répondre. C’est juste de l’amour. » |
left by poutounou on 16/10/2022Qui nous surveille ??? Notre Ange peut-être !!! * Quelqu'un * De l'autre côté du miroir Quelqu'un nous épie Quelqu'un compte nos fils d'argent un à un. Quelqu'un regarde se serrer l'épervier des rides Quelqu'un nous garde Quelqu'un nous emporte Quelqu'un ouvre et ferme des portes à l'envers. Quelqu'un nous oublie Quelqu'un vend de l'espoir Quelqu'un au visage blanc ou doré de l'autre côté du miroir sur le tain de la nuit. Quelqu'un, quelqu'un, quelqu'un mais qui ? * Armand Lanoux ("La tulipe orageuse " Seghers 1959) |
left by poutounou on 02/10/2022On ne dit pas assez souvent « je t’aime » ! On devrait le dire sans cesse, le matin, l’après-midi, le soir, la nuit…à son compagnon ou sa compagne, à ses amis (es), à son chien bien sûr ou, tout simplement, à ceux que nous aimons… !!! * Je t’aime * Aucun jour je ne me suis dit Que tu pouvais être mortel. Tu ressembles au Paradis, À tout ce qu'on croit éternel ! Mais, ce soir, j'ai senti, dans l'air Humide d'un parc triste et blême, La terreuse odeur des asters Et du languissant chrysanthème... Quoi ! tu peux mourir ! et je t'aime ! * Poème de l'amour Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles |
left by poutounou on 21/09/2022Petit poème rigolo ! Attention aux puces, doux Ange, elles sont malignes !!! * Une puce prit le chien Pour aller de la ville Au hameau voisin. A la station du marronnier Elle descendit. “Vos papiers!” dit l’âne Coiffé d’un képi. “Je n’en ai pas!” “Alors que faites vous ici?” “Je suis infirmière Et je fais des piqûres A domicile!” * Paul Clausard |
left by poutounou on 18/09/2022Il pleut dans mon cœur… * Il pleut dans mon cœur Parce que tu n’es plus ici Plus à mes côtés Que tu es parti gambader dans d’autres prairies * Il pleut dans mon cœur Parce que je ne peux plus Me blottir tout contre toi Quand dans ma vie ça ne va pas * Il pleut dans mon cœur Parce que je n’ai plus ta chaleur Et j’ai perdu ton odeur Je la cherche partout… * Mais il fait grand soleil dans mon cœur Quand tu viens me voir dans mes rêves, Quand je laisse les souvenirs envahir Mon âme toute entière… * Il ne pleut plus dans mon cœur… Tu es venu cette nuit Et tu as emporté avec toi Tout mon chagrin, mon désarroi… |
left by poutounou on 14/09/2022Coucou… * Coucou mon Grand Amour Coucou mon bel Ange Coucou ma jolie truffe Coucou les papattes avec les coussinets Coucou « p’tit cul, beaux yeux » Coucou ton odeur Coucou tes « wouaf, wouaf » Coucou mon cœur gros comme ça Coucou mon voyou de mille sous Coucou, comme je t’aime Coucou, comme tu me manques Coucou, je rêve souvent de toi Coucou, je te serre tout fort contre moi Coucou, tu me fais plein de léchouilles, Coucou, je rigole… Coucou, je vais mieux Coucou, je voulais juste te faire UN « petit coucou » |
left by poutounou on 11/09/2022Oui mon Ange, tu es devenu mon « refuge préféré »… !!! * Mon refuge préféré * Ma vie est comme cette maison, En ruines, abandonnée, négligée, Elle respire le chaos, l’amertume, Elle aspire à l’abandon, au vide. * Ma vie est comme ce vaste monde, Opportunités et ressources infinies, Gâchée, pillée, éventrée et défigurée, Elle se déroule lasse et imperturbable. * Ma vie est comme ces multiples doutes, Qui m’assaillent, me tourmentent encore, Acceptations, désirs et éternels dilemmes, Elle s’accommode de ces maints regrets. * Ma vie est comme cet havre de paix, Si souvent parfaite, si tant généreuse, Qu’elle me semble factice et alarmante, Au point de redouter tant de maux à venir. * Ma vie est comme ces labyrinthes secrets, À la croisée de mille chemins traversants, À la lisière de tant de belles rencontres, Quel chemin suivre ? Quel destin choisir ? * Ma vie est comme ce tendre souvenir, Rejouant cent fois cette même séquence, Quand tu m’as serré fort dans tes pattes, Cet instant où tu es devenu… mon refuge préféré. * Nashmia Noormohamed, 2016 |
left by poutounou on 04/09/2022Je t’appelle et te parle avant de m’endormir, mon bel Ange * Au-delà des soupirs * Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence Sans cesse je remue de précieux souvenirs. Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. * Mes plus tendres pensées vont vers toi dès l’aurore, Je t’appelle et te parle avant de m’endormir, Et bien étrangement ta « voix » me berce encore Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. * Isabelle Callis-Sabot |
left by poutounou on 31/08/2022N’importe quoi ! Mais ça fait énormément de bien de rire un peu…et de dire n’importe quoi aussi !!! * Il était des petits Anges… * Il était des petits Anges, Pirouette, cacahouète. Il était des petits Anges, Qui habitaient de beaux nuages, Qui habitaient de beaux nuages. * Leurs nuages étaient en coton, Pirouette, cacahouète. Leurs nuages étaient en coton, Leurs escaliers en soie dorée, Leurs escaliers en soie dorée. * Le fleuriste y est monté, Pirouette, cacahouète. Le fleuriste y est monté, Et s’est cassé le bout du nez, Et s’est cassé le bout du nez. * Les Anges l’ont raccommodé, Pirouette, cacahouète. Les Anges l’ont raccommodé, Avec du joli fil doré, Avec du joli fil doré. * Mon histoire est terminée, Pirouette, cacahouète. Mon histoire est terminée, Toutous, toutounes, applaudissez, Toutous, toutounes, applaudissez. |
left by poutounou on 28/08/2022Ou deviens ange parmi les anges, tout là-haut, derrière les nuages… * Prière indienne * Si un jour tu as perdu ton équilibre, que tu es dans le doute, trouve une forêt, cherche un tapis d’herbe ou de mousse, allonge-toi dessus, ferme les yeux, vide tes pensées, respire l’odeur de la terre, écoute la vie, adapte ta respiration aux battements de ton cœur, ressens les moindres recoins de ton corps et relâche un à un les muscles et les nerfs raidis par le temps. * Deviens oiseau au son du vent, deviens arbre parmi les arbres, deviens le vent qui bruisse dans le feuillage, deviens le cerf qui t’observe et que tu n’avais pas vu, deviens fleur, deviens ruisseau, écoute le chant des ancêtres… |
left by poutounou on 17/08/2022« Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre... » Avec tout l'amour que nous leur donnons et que nous rendent nos Anges, nous existons et nous vivons pleinement...!!! * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent (extrait) * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; Ce sont ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front. Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime. Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime. Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche, C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche. Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins. Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains. Car de son vague ennui le néant les enivre, Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. * Victor Hugo ("Les Châtiments" - 1844) |
left by spanky on 12/08/2022Une fois la nuit tombée, Quand le sommeil nous a emporté, Lorsqu'enfin tout est calme et léger, Loin du tumulte de la journée, Nos anges, doucement viennent nous frôler. Tout près de nous délicatement, ils vont se poser. Sur notre front, une léchouille doucement ils vont déposer. A notre oreille un "je t'aime" ils vont nous murmurer. De leurs ailes, ils vont nous envelopper, Et peut-être même...dans un tourbillon de bonheur ils vont nous emporter. Puis au matin revenu, à nouveau, ils vont nous quitter. Non sans nous avoir une dernière fois léchouillés. Mais de doux rêves ils nous auront laissé. Et le soir même, ils l'ont promis, ils vont repasser. |
left by poutounou on 07/08/2022La vie est faite de "charmantes fleurs" mais aussi d'épines et de cailloux... * La Mort et la Vie * Si la mort est le but, pourquoi donc sur les routes Est-il dans les buissons de si charmantes fleurs ? Et lorsqu'au vent d'automne elles s'envolent toutes, Pourquoi les voir partir d'un oeil momifié de pleurs ? * Si la vie est le but, pourquoi donc sur les routes Tant de pierres dans l'herbe et d'épines aux fleurs, Que, pendant le voyage, hélas ! nous devons toutes Tacher de notre sang et mouiller de nos pleurs ? * Louise-Angélique BERTIN (1805-1863) |
left by poutounou on 27/07/2022Et l’ombre est belle comme s’il s’y mirait un Ange… * Dans un parfum de roses blanches * Dans un parfum de roses blanches Elle est assise et songe ; Et l'ombre est belle comme s'il s'y mirait un ange. * Le soir descend, le bosquet dort ; Entre ses feuilles et ses branches, Sur le paradis bleu s'ouvre un paradis d'or. * Sur le rivage expire un dernier flot lointain. Une voix qui chantait, tout à l'heure, murmure. Un murmure s'exhale en haleine, et s'éteint. * Dans le silence il tombe des pétales..... * Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) |
left by choupinou on 26/07/2022Il y a les messages, il y a des fleurs, il y a des poème, il y a toute cette amitié. Il y a des photos, il y a un sourire, il y a au coin de l'oeil, une larme... Il y a surtout surtout, ce qui ne se voit pas, ce qu'ils ont laissés derrière eux, chagrins, désespoir, tristesse, ce vide, l'absence.. Il y a aussi l'amour, la joie, tous ce bonheur donnait ces traces infimes, le souvenir de ce qu'ils ont été. C'est sans doute ce qu'il y a de plus précieux, ce qui reste en nous de ceux que nous avons connus, choyés, aimés et qui ne sont plus..... MERCI infiniment pour l'affection et votre sympathie témoignées, lors de l'anniversaire de décès d'OSCAR et de MISS sa bien aimée; Vous avez été d'un grand réconfort, dans ces tristes moments, que nous rappellent leur départ, Merci de votre soutien, merci de votre gentillesse, merci pour eux deux Cordialement choupinou allias Babeth |
left by poutounou on 24/07/2022Très bel écrit de Grand Corps Malade sur les « absents ». Pas mal : « on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses »… !!! * Nos absents * C'est pas vraiment des fantômes Mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence Qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque tangible Car l'amour qu'on leur donnait est orphelin et cherche une cible * Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire Mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord Car la mort a ses raisons que notre raison ignore * Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste À plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent On apprivoise la douleur et la présence de nos absents * Nos absents sont toujours là, à l'esprit, dans nos souvenirs Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était * On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur * Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire * Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant Il faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux * Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers * Moi, les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses * C'est pas vraiment des fantômes Mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence Qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque infini Qu'inspirent des textes premier degré * Faut dire que la mort manque d'ironie * Grand corps malade |
left by poutounou on 10/07/2022“Etoile de l’amour, ne descends pas des cieux !” Reste à côté de nos Anges qui nous protègent…!!! * A l'étoile du berger * Pâle Etoile du soir, messagère lointaine, Dont le front sort brillant des voiles du couchant, De ton palais d'azur, au sein du firmament, Que regardes-tu dans la plaine ? * Que cherches-tu sur la terre endormie ? Mais déjà sur les Monts, je te vois t'abaisser ; Tu fuis en souriant, mélancolique amie Etoile qui descend sur la verte colline, Et ton tremblant regard est près de s'effacer. * Triste larme d'argent du manteau de la nuit Toi que regarde au loin le pâtre qui chemine, Tandis que pas à pas son long troupeau le suit. * Etoile où t'en vas-tu dans cette nuit immense ? Cherches-tu sur la rive un lit dans les roseaux ? Où t'en vas-tu si belle, à l'heure du silence Tomber comme une perle, au sein profond des eaux ? * Ah ! si tu dois mourir, bel astre, et si ma tête Va dans la vaste mer plonger ses blonds cheveux, Avant de nous quitter, un seul instant arrête : Etoile de l'amour, ne descends pas des cieux ! * Alfred de Musset |
left by poutounou on 06/07/2022Et si nos anges descendaient nous faire un petit coucou ! * L'ange de l'étoile du matin * L'ange de l'étoile du matin Descendit en son jardin Et s'approchant d'Elle : * " Viens, lui dit-il, je te montrerai Les beaux vallons et les bois secrets Où vivent encore, en d'autres rêves, Les esprits subtils De la terre. " * Elle étendit le bras, et rit, Regardant entre ses cils L'ange en flamme dans le soleil, Et le suivit en silence. * Et l'ange, tandis qu'ils allaient Vers les ombreux bosquets, L'enlaçait, et posait Dans ses clairs cheveux plus longs que ses ailes, Des fleurs qu'il cueillait Aux branches au-dessus d'Elle. * Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) |
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