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In tribute to
Pilska
EPAGNEUL-BRETON
Born on :03/03/2003
left us on:20/10/2013
 

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In tribute to Pilska

Petite Pilska tu étais tout pour moi
je ne trouve pas les mots pour dire à quel point je me sens
désemparé par ton départ si soudain.
Je ne sais que dire d autre à part que je suis désespéré
que je t aime pour toujours et que jamais je ne t oublierai.
Bon vent fifille.




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3854 Flowers
left by  menines
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Bonne soirée amitié.
left by  Albina
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Pour toi joli petit ange avec toute ma tendresse!
left by  zenelle
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Un bouquet printanier pour fleurir ton jardin. Amitiés à ton adorable papa.
left by  jojo46
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Famille.TT.Bonne journée.
left by  rafia
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,Les larmes ! Dieu les aime sans doute dans certains yeux, car il les en remplit toujours ! Citation de Anne Barratin
left by  menines
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Un joli bouquet pour toi petit ange!
left by  myriam31
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Des bisous et beaucoup de câlins dans ce joli bouquet pour toi bel ange
left by  jojo46
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Famille TT.Bonne journée.
left by  zenelle
left by zenelle
Coucou bel ange c'est Gipsy qui viens te souhaiter une belle journée ainsi qu'une belle semaine!
left by  lili2248
left by lili2248
Un bouquet rempli de tendresse de câlins pour toi petit coeur bisous
left by  Albina
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Un joli bouquet pour fleurir ton jardin bel ange!
left by  menines
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Tendres pensées
left by  myriam31
left by myriam31
un bon dimanche à ta famille, accompagné de plein de bisous
left by  jojo46
left by jojo46
FamilleTT.Bon dimanche.
left by  zenelle
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Bon dimanche petit cœur avec plein de bisous et de câlins .profite bien du printemps!
left by  bobby
left by bobby
Excellent dimanche.Amities.
left by  rafia
left by rafia
Je vais veiller pour déposer deux bouquets. Je ne repars que tout à l'heure. Dans l'après midi. Avec mes respectueux hommages (Maël).
left by  rafia
left by rafia
Ne perds jamais espoir. Lorsque le soleil se couche, les étoiles apparaissent. Avec mon profond respect Maël S-M
left by  Albina
left by Albina
Des milliers de bisous et de câlins dans ce bouquet pour toi et un bon week-end à ta gentille famille
left by  menines
left by menines
Un petit bouquet pour vous souhaiter un bon weekend


601 messages

left by rafia on 06/03/2015  
Rien de plus
Rien de plus
Rien de moins
Rien du tout
Trois fois rien
J’existe encore
Et pour longtemps
Longtemps à attendre
À rêver
À rêver du rêve
Rêve sans trêve
Rêve d’espérance
Histoire de vivre
Vivre sans trêve
Chaque jour
Renaît l’espoir
Puis il disparaît
Et vient l’après
L’après-qui-dure
L’après-qui-s’installe
Dans le jeu de l’après
Règne la permanence
La permanence du doute
Et du doute naît la raison
De la raison naît le choix
Choix du possible
Ou de l’impossible
Et se dédouble le je
Pour ne pas se prendre au jeu
Le jeu du hasard
Le hasard qui nous surpasse
Et qui se confond avec le sort
Le sort, incarnat du bon et/ou du mauvais
(Maggy De Coster),

left by colombine67 on 05/03/2015  
*~*~*Salauds au coeur tendre par François Cavanna. *~*~*
Salauds au coeur tendre
Écoutez. Le tuer, j’ai pas le cœur.
Alors, je vous l’amène.
Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge,
c’est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C’est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j’irai le perdre dans les bois. Je l’attacherai à un arbre, pour ne pas qu’il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu’il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l’attacher et puis se sauver, pas l’entendre crier, c’est trop triste, on n’est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j’ai pas que ça à faire, on n’a pas encore fini les bagages.
Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d’autre ? Le bon ****** le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c’est qu’on a le cœur tendre, qu’on ne peut absolument pas supporter l’idée qu’une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque “ces gentils compagnons” se mettent à être malades et coûtent “les yeux de la tête” en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n’ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents.
Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s’empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d’argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l’idée), mais c’est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu’une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l’indifférence générale devant l’omniprésence de la misère animale. C’est le fait d’âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s’agit de gens à faibles ressources qui s’épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles.
Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d’aliments ont stimulé une frénésie d’achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La “rentabilité” exige qu’une femelle d’une race “vendeuse” ponde et ponde jusqu’à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n’est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c’est le chantage cynique de tout à l’heure : “Vous le prenez ou je vais le perdre”. C’est exactement le coup de l’otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : “Vous me la donnez la caisse ou je l’égorge.”
On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l’animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n’aime pas dire “amis des bêtes”), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d’un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d’inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s’occuper d’animaux alors qu’il y a tant de détresses humaines... Et quand l’apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l’euthanasie en masse par les services de l’hygiène publique, pas fâchés d’être débarrassés.
Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait “refuge” et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S.V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d’usage concernant les règles d’hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie “normale” était l’euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé.
Il faut que l’animal cesse d’être considéré comme un objet, un bien “meuble” qu’on achète, qu’on vend, qu’on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les “mauvais traitements”, d’ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d’un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d’un enfant. C’est le formidable et trop prévu nombre d’abandons liés aux départs en vacances qui m’a mordu au cul. Savez-vous qu’ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d’aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? “Avec la planche à voile sur le toit de la voiture” m’a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-m****s, volent haut dans l’air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados !
PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage.
S'il vous plaît, ayez du coeur !

left by colombine67 on 04/03/2015  
"Ce n'est qu'un chien de refuge..."
Par avance condamné...
"Ce n'est qu'un chien de refuge !"
Mérite-t-il d'être aimé?
Différent aux yeux des hommes
Des autres toutous "bien nés",
Voila comment on te nomme,
Pauvre chien abandonné...
Pourtant ton coeur est immense,
Comme immense est ta douceur.
Il te manque cette chance :
Gagner l'amour d'un grand coeur.
Parfois tu sembles lointain,
Tu évites les caresses,
Tu te terres dans un coin :
Crains-tu tant la main qui blesse ?
Car qui connaît ton histoire ?
T'a-t-on battu ? Rejeté ?
Tout au fond de ta mémoire,
Quels souvenirs ? Quels regrets ?
Sois confiant ! Un jour, la porte
S'ouvrira sur ton destin,
Afin qu'un maître t'emporte
Pour suivre un même chemin...
Qui dira "C'est d'un refuge
Qu'il est venu, mon bon chien !
C'était un chien de refuge...
Je l'aime, il me le rend bien !"

left by Annie on 03/03/2015  

BON ANNIVERSAIRE PILSKA !
Même si le temps n'a plus de prise au paradis ton papa n'a pu oublier que tu es née il y a 12 ans aujourd'hui pour lui donner des années de bonheur. Je t'envoie un panier de douceurs et j'en profite pour saluer amicalement ton papa.

left by colombine67 on 03/03/2015  
L'homme... m'achète
L'homme... me reproduit
L'homme... me mutile
L'homme... me bat
L'homme... me force à me battre
L'homme... m'abandonne
et maintenant
L'homme... m'a détruit
pourtant je voulais seulement être AIME

left by rafia on 03/03/2015  
L'Amitié est la richesse d'une vie
*********
L'amitié est une force dont nul ne peut
prétendre pouvoir se passer.
On a besoin d'amis, comme on a besoin de manger,
de boire ou de dormir.
L'amitié, c'est un peu la nourriture de l'âme :
elle ravitaille le coeur, elle sustente l'esprit,
elle nous comble de joie, d'espoir et de paix.
Elle est la richesse d'une vie.
Et le gage d'une certaine idée du bonheur
Barbara Abel.,

left by choupinou on 02/03/2015  
Là,
Derrière nos voix,
Est-ce que l'on voit nos coeurs
Et les tourments, à l'intérieur
Ou seulement la la, là,
Derrière nos voix,
Est-ce que l'on voit nos coeurs
Et les tourments, à l'intérieur
Ou seulement la la la,
Entendez-vous dans les mélodies,
Derrière les mots, derrière nos voix
Les sentiments, les pleurs, les envies
Qu'on ne peut pas dire, non non non
Entendez-vous l'amour caché là,
Derrière les mots, derrière les voix,
Et puis après quand l'amour s'en va
Love you're on my mind
You make me see
You make me blind
It is, so, so...
Là,
Derrière nos voix,
Est-ce que l'on voit nos coeurs
Et les tourments, à l'intérieur
Ou seulement la la la,
La révolté, la colère, parfois,
Derrière les mots, derrière les voix,
Sur une guitare tout seul et tout bas
Chanter tristement en levant les yeux vers l'au-dela
Il y a le rêve aussi de partir
Derrière les mots, derrière nos voix,
vers cette terre lointaine, qui m'attire
La mer, les étoiles,
Rêve à hélices ou, rêve à voiles
S'en aller, hé, hé
Là,
Derrière nos voix,
Est-ce que l'on voit nos coeurs
Et les tourments, à l'intérieur
Ou seulement oh oh oh
Là,
Derrière nos voix,
Est-ce que l'on voit nos coeurs
Et les tourments, à l'intérieur
Ou seulement la la la,
Est-ce que l'ont voit nos coeurs,
Et les tourments à l'intérieur
Derrière nos voix
Derrière les mots
Derrière nos voix
Est-ce qu'on entrevoit...
Laurent Voulzi et Alain Souchon (avec 2 ou 3 changements de ma part )

left by colombine67 on 02/03/2015  
DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIR….
Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classé deuxième catégorie.
Je suis un Rottweiler, et pour moi il n’y a pas de pitié, je dois payer de ma vie.
A l’aube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande qu’à jouer,
Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui m’a jugé.
Je n’ai pas connu mes parents ; tout petit j’étais chez un marchand qui m’a vendu
Comme mes sœurs et frères, dans les sous-sols d’une cité, que je n’ai jamais vue.
Dans un appartement je fus alors gardé, au milieu des enfants venant me taquiner,
S’amusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser.
Quelques mois sont passés, dans cette famille j’ai vécu des jours de grand bonheur,
Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures.
C’est au parc qu’on m’emmenait, je pouvais gambader et même aller jusqu’à l’étang,
J’étais heureux, j’en profitais pour me baigner, et revenais me secouer prés des enfants.
Je croisais quelques congénères, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien.
Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien,
Car j’entendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans,
Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obéir était nécessaire et prudent.
Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient d’un air bizarre, ou même interrogateur.
Ils me donnaient l’impression de se méfier de moi, cherchant à m’éviter, ils avaient peur.
J’avais remarqué, les mamans serraient de beaucoup plus prés, protégeant leurs enfants.
Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pétillaient en me voyant.
Et ce soir fatidique, du début de juillet, en rentrant au quartier, j’ai vu surgir trois ombres,
Et j’entendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva d’autres, je ne sais plus le nombre,
Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « s’il nous mord on le plombe »
Ils étaient là pour moi, en mission très spéciale, commençant ici pour finir… dans ma tombe.
Mon jeune maître du s’expliquer, je fus mis en laisse et muselé, puis enfermé dans une cage,
Pendant que ces messieurs de la police, constataient que j’étais illégal, ni papiers ni tatouage.
Alors à la fourrière on m’emmena, ou sans ménagement on me jeta dans un bien triste chenil,
Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvés aux environs ou au centre ville.
A partir de cet instant, j’étais condamné, victime innocente d’une loi aussi bête qu’injuste,
Un peu du même genre que celle que l’on voudrait prendre en ce moment pour les « putes ».
Il est vrai, j’étais « sans papiers », mais je n’en veux pas à ma famille, ils n’en ont jamais eu,
Vivant dans un ghetto depuis dix ans, j’étais le cadeau des enfants qu’ils ne reverront plus.
Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, même des drames,
Souvent rendus méchants par des Maîtres infâmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames.
Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je n’ai jamais mordu ni grogné, et je dois partir,
Laissant tous seuls ces enfants qui m’adorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir.
La société humaine ainsi a décidé, qu’être un Rottweiler en famille immigrée, sans papiers,
Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procès, ni pitié.
Soyez bien surs que s’ils osaient, ils ne se contenteraient pas d’euthanasier seulement le chien,
Mais pour l’instant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et c’est ce qui les retient.

left by rafia on 02/03/2015  
Savoir attendre
Sans vouloir tout comprendre
Savoir hurler
Sans pour autant se résigner,
Savoir pleurer
Sans pour cela désespérer.
Essayer d'avancer
Pour ne pas retomber,
Essayer d'oublier
Pour ne pas se noyer,
Essayer d'espérer
Pour ne pas se révolter.
Laisser couler son coeur
Comme s'ouvre une fleur,
Laisser sortir son âme
Comme s'élève une flamme,
Laisser renaître la vie
Comme pousse l'épi.
Regarder l'horizon
Pour une autre ascension,
Attendre un navire
Pour un autre avenir,
Guetter l'Espérance
Pour une autre naissance.
( Elisabeth Lafont )

left by colombine67 on 01/03/2015  
"Ses yeux ont rencontrés les miens lorsqu' elle a descendu le couloir regardant fixement et avec appréhension dans les niches. J'ai senti son besoin immédiatement et savais que je devais l'aider.
J'ai remué ma queue, non trop avec exubérance, ainsi elle n'a pas eu peur. Comme elle s'est arrêtée à ma niche, j'ai bloqué sa vue d'un petit accident que j'avais derrière moi dans ma cage.
Je n'ai pas voulu qu'elle ait su que je n'avais pas été marché aujourd'hui.
Parfois les gardiens de refuges surmenés sont trop occupés, et je n'ai pas voulu qu'elle ait pensé du mal d'eux.
Comme elle a lu ma carte de niche j'ai espéré qu'elle ne serait pas triste de mon passé. J'ai seulement l'avenir pour me réjouir et chercher à fabriquer une vie différente avec quelqu'un.
Elle est descendue sur ses genoux et m'a fait un peu de baisers. J'ai posé mon épaule et le côté de ma tête contre les barreaux pour la réconforter. Une main douce a caressé mon cou ; elle était désespérée elle avait grand besoin de compagnie. Une larme est tombée de sa joue et j'ai levé ma patte pour l'assurer que tout irait bien.
Bientôt ma porte de niche s'est ouverte et son sourire était si brillant que j'ai immédiatement sauté dans ses bras.
Je promettais de garder son coffre-fort. Je promettais de toujours être à ses côtés. Je promettais de faire tout ce que je pourrais pour ne voir que le sourire radieux et miroiter dans ses yeux.
J'étais si chanceux qu'elle soit descendue dans mon couloir. Tellement plus là-bas qui n'ont pas marché dans les couloirs. Tellement plus aurait pu être sauvé. Au moins je pourrais sauver celle-ci."

left by rafia on 01/03/2015  
Ta vie de chien ( Sylvie Vartan )
Le chien est un précieux réconfort lors d'une séparation à condition qu'il soit bien tenu à l'écart des conflits entre les personnes, mais hélas, ce n'est pas toujours le cas, bien au contraire.
On est tous les deux mon chien,
Moi ma peine, toi ton coussin,
C'est toujours la même scène
Quand les gens que j'aime,
Brillent par toute leur absence.
Encore tous les deux mon chien,
Tu somnoles dans ton coin,
Tu me couves d'un regard
Plein de tendresse en vigilance.
Ton maître et moi, tu sais bien
Qu'entre nous, c'est temps de chien.
Tu ne peux pas savoir pourquoi,
Tes balades au bois,
Tu les dois à l'un comme à l'autre.
Pour toi, les problèmes humains
Se règlent en léchant les mains.
Fidélité, tu connais !
T'es pas là pour compter les fautes.
Et moi j'ai besoin de ta vie de chien.
C'est un peu comme mon dernier refuge
D'avoir ta bonne tête à portée de ma main,
Et d'oublier ces gens qui me jugent.
Et moi j'ai besoin de tes bons yeux de chien,
Pour changer des regards qu'on me lance.
J'ai besoin de ta vie de chien,
Sitôt qu'elle revient s'installer, l'absence.
Tu sens à des petits riens,
Que je ne suis pas très bien,
Tu sais que ma vie et moi
Quand plus rien ne va,
On se regarde en chiens de faïence.
Mais si ton maître revient,
Obéis à ton instinct,
Montre lui toute ta joie,
Faut pas compliquer l'existence.
Et moi j'ai besoin de ta vie de chien.
C'est un peu comme mon dernier refuge
D'avoir ta bonne tête à portée de ma main,
Et d'oublier ces gens qui me jugent.
Et moi j'ai besoin de tes bons yeux de chien,
Pour changer des regards qu'on me lance.
J'ai besoin de ta vie de chien,
Sitôt qu'elle revient s'installer, l'absence.

left by colombine67 on 28/02/2015  
J'ai trouvé votre chien aujourd'hui.
Non, il n'a pas été adopté par quelqu'un. La plupart d’entre nous qui vivent par ici ont autant de chiens qu'ils le désirent, et ceux qui n'en n'ont pas le font par choix.
Je sais que vous espériez qu'il trouverait un bon foyer quand vous l'avez abandonné par ici, mais ce n'est pas le cas.
La première fois que je l'ai vu il était à des kilomètres de la plus proche maison, et il était seul, assoiffé, maigre et léchant une blessure à sa patte. Comme j’aurais espéré être vous quand je me suis tenu devant lui. Voir sa queue s’agiter, ses yeux s'éclairer alors qu’il aurait sauté dans vos bras, sachant que vous l'avez retrouvé et que vous ne l'avez pas oublié. Voir son pardon dans ses yeux pour toutes les souffrances qu’il a rencontré dans sa recherche sans fin pour vous
retrouver......mais ce n’était pas vous. Et malgré toute ma persuasion, ses yeux ne voient qu’un étranger. Il ne me fait pas confiance, il ne vient pas. Il s’est retourné et a continué son périple, celui qui doit le ramener vers vous.
Il ne comprend pas pourquoi vous ne le recherchez pas, il sait seulement que vous n'êtes pas là et qu’il doit vous
retrouver. Cela est plus important que la nourriture ou l'eau qu'un étranger pourrait lui donner. Le persuader ou le poursuivre n’aurait servi à rien, je ne connais même pas son nom. J'ai conduit jusqu'à la maison, rempli un seau d’eau et un bol avec de la nourriture et je suis retourné où je l'avais rencontré. Je ne pouvais voir aucun signe de lui, mais j’ai laissé mon offrande sous un arbre où il avait trouvé refuge du soleil et une chance de repos.
Vous voyez, il n'est pas dans le désert.
Lorsque vous l'avez domestiqué vous lui avez enlevé toute chance de survie. Son objectif lui demande de
voyager durant la journée, il ne sait pas que le soleil et la chaleur vont le tuer, il sait seulement qu'il doit vous trouver. J'ai attendu qu'il revienne vers l'arbre, espérant que mon cadeau bâtirait un élément de confiance qui me permettrait de le ramener à la maison, d'enlever sa blessure à la patte, lui donner une place fraiche pour se coucher, et l'aider à comprendre que la partie de sa vie avec vous était finie.
Il n'est pas revenu le matin, et le soir l'eau et la nourriture était encore là, intactes. Je suis devenu inquiet. Vous devez comprendre que beaucoup de personnes n'aideront pas votre chien. Certains le feront fuir, d'autres appelleront leur municipalité et le destin dont vous pensiez l’avoir préservé sera défait par des jours sans eau ni nourriture.
J’y suis retourné à la nuit, je ne l'ai pas vu. J'y suis allé très tôt le matin d'après rien n'y avait été touché. Si seulement vous étiez là pour l'appeler par son nom, votre voix est si familière pour lui. J'ai commencé mes recherches par la direction qu’il avait pris la veille, mes doutes obscurcissant mon espoir de le trouver. C’est des heures plus tard et à une bonne distance de notre première rencontre que j’ai retrouvé votre chien.
Sa soif s’est arrêtée, ce n’est plus un tourment. Sa faim a disparu, sa blessure ne l’embête plus. Votre chien a été libéré de ses tourments, voyez vous, votre chien est mort. Je me suis agenouillé à ses cotés, et je vous ai damné pour ne pas avoir été là hier pour que je puisse voir la lueur même pour un moment dans ses yeux maintenant libérés.
Et j'agonise, car je sais que s’il se réveillait maintenant et que j'étais vous ses yeux se mettraient à briller de reconnaissance et sa queue s’agiterait dans un signe de pardon.

left by rafia on 28/02/2015  
Le petit chien de Madeleine Reynaud
Je suis un petit chien
Mais j’ai déjà quinze ans.
Si je présente bien,
Mon âge, je le sens.
Mon cœur est fatigué,
J’ai des douleurs partout,
Ma vue a bien baissé,
Je n’entends plus du tout.
J’aimais bien la montagne
Quand j’étais casse cou.
Le vertige me gagne,
Je fatigue beaucoup.
Je vais plus doucement
Et je marche très peu.
Je dors bien plus longtemps,
J’ai caché tous mes jeux.
Quand une chienne passe,
Je redeviens fringant,
Je fais preuve d’audace,
Je me sens élégant.
Mais dès qu’elle est partie,
Je retrouve mon âge
Et mon dos s’arrondit :
Ce n’était qu’un mirage.
Mes maîtres m’aiment autant
Que quand j’étais petit.
Ils me disent souvent
Que j’ai changé leur vie.
La mienne aura été
Faite de grandes joies,
J’aurai été choyé,
J’aurai été un roi.
Quand il faudra partir,
Je ne gémirai pas.
Je voudrais m’endormir
Blotti entre leurs bras.

left by colombine67 on 27/02/2015  

LE VIEUX CHIEN et L’ENFANT !
Je les ai tant aimés, et ils m’ont tant donné,
Je revois leurs yeux quand ils me fixaient,
Je ne pourrai jamais vraiment les oublier.
J’entends encore leur cœur, contre le mien serré.
Pourtant ils sont partis, me laissant sur la route.
Là, ils ont mis en moi la grande peur du doute,
De n’avoir pas su faire les signes qu’il fallait,
Ou les gestes pour dire combien je les aimais.
Je n’ai jamais compté le nombre de caresses,
Les heures consacrées à capter la tendresse,
Complicités du jour, compagnie de la nuit,
Instants sacrés, qui me manquent aujourd’hui.
Le monde est cruel et l’humain n’est pas tendre,
Les Animaux sont là pour nous faire comprendre
Que l’Amour se rencontre mais ne s’achète pas,
Il se trouve souvent… en lui tendant les bras.
Des yeux qui vous implorent, une queue qui remue,
Un miaulement, un aboiement, sont un appel qui tue.
Ils voudraient bien vous dire « c’est moi qui te choisis »,
Mais hélas bien trop vite, déjà, vous êtes repartis.
Nous resterons ici, dans ces cages affolantes, carcérales,
Merci pour les bons soins grâce à la protection Animale,
Certains pour quelques temps et d’autres pour toujours,
Espoir sans avenir, quête éperdue d’un impossible Amour.
Puis tu es arrivé, charmant petit enfant, tu t’es mis à pleurer,
Tes doigts se sont serrés sur la grille que tu n’as pas lâchée.
La pluie de tes larmes, les sanglots de ta voix, déchirants
De sincérité, de joie, d’Amour mêlés, ont touché tes parents.
Oh ! Que tu étais fier ! Tenir en ta main la laisse du bonheur,
Te rendait bien plus fort, puissant, tout en ouvrant ton cœur.
Tu as gagné petit, tu as gagné pour toi, tu as gagné pour lui,
Maintenant tu es deux, il veillera sur toi qui fus son seul Ami.
Qui a dit que les vieux chiens ne s’adoptent jamais,
Il a plus de 10 ans, mais son cœur est prêt à t’aimer.
Son destin est entre tes mains, tu viens de lui sauver la vie,
Trois ans qu’il était là ; je suis content, son calvaire est fini.
Texte de Gilbert DUMAS

left by rafia on 27/02/2015  
Le Chien et le Chat
Un chien, vendu par son maître,
Brisa sa chaîne, et revint
Au logis qui le vit naître.
Jugez de ce qu'il devint
Lorsque, pour prix de son zèle,
Il fut, de cette maison,
Reconduit par le bâton
Vers sa demeure nouvelle.
Un vieux chat, son compagnon,
Voyant sa surprise extrême,
En passant lui dit ce mot :
- Tu croyais donc, pauvre sot,
Que c'est pour nous qu'on nous aime !
de Jean-Pierre Claris de Florian

left by colombine67 on 26/02/2015  
Les chiens ont besoin d’amour et d’amitié comme nous les humains. Ce n’est pas nouveau mais combien de sceptiques pensent encore que ce ne sont « que des chiens » et qu’ils sont dépourvus de sentiments ?
Il suffit simplement de regarder les chiffres alarmants sur le nombre de chiens abandonnés chaque année pour s’en rendre compte.
Que d’émotions en voyant Kyra, une chienne croisée Labrador de 1 an, qui enlace Delaware, âgée de 8 mois et croisée Pit Bull dans leur espace commun. Les deux jeunes chiennes s’apportent amour et amitié en attendant d’être adoptées :
Une belle preuve des sentiments profonds qu’éprouvent les chiens et de l’entraide dont ils font preuve dans des moments difficiles. Espérons que Kyra et Delaware soit adoptées ensembles afin qu’elles poursuivent cette belle relation d’amour et d’amitié.

left by rafia on 26/02/2015  
Je m'efforcerai...
En toute humilité je m'efforcerai
D'être aimant, véridique, honnête et pur,
De ne rien posséder dont je n'aie pas besoin,
De mériter mon salaire par mon travail,
D'être perpétuellement vigilant
Sur ce que je bois et je mange,
De toujours être intrépide,
De respecter les autres religions autant que la mienne
Et de chercher à toujours voir le bien chez mon prochain,
De suivre fidèlement le svadeshi (*)
Et d'être un frère pour tous mes frères.
(*) devoir de service envers l'entourage immédiat
Mahatma K. Gandhi, Lettres à l'Âshram,

left by colombine67 on 25/02/2015  
Schoep est un chien de 19 ans atteint d’arthrite, il a été sauvé par son maître à l’âge de 8 mois et depuis ils ne se quittent plus. En effet Shoep a subi des maltraitances avant d’être adopté et il a fallu 8 mois à John Unger pour gagner sa confiance tant il était nerveux.
Lorsqu’il s’est séparé de sa fiancée, John Unger a traversé une période très difficile et a même tenté de mettre fin à ses jours une nuit dans le lac Michigan. C’est grâce à la présence de son chien Shoep qu’il a renoncé au pire.
Shoep souffrant d’arthrite du au vieillissement, son maître a découvert que les eaux chaudes du lac supérieur l’aidait à se détendre et à s’endormir.
Ainsi, tous les soirs ils se baignent ensembles et Shoep s’endort dans les bras de son maître.
Sachant que ce sont probablement les derniers jours qu’ils passent ensemble, John Unger a demandé à la photographe Hannah Stonehouse Hudson de les photographier ensemble, se relaxant dans le lac.
La photo a été prise le 31 juillet 2012 et a été vue plus de deux millions de fois sur Facebook.
L’engouement est tel que la photographe a décidé de mettre en vente des tirages de la photo et d’en reverser une partie afin d’aider John Unger à payer les factures de vétérinaire et notamment une opération au laser onéreuse pour soigner Shoep.
Au delà de la photographie qui est magnifique, l’investissement de cet homme auprès de son chien de 19 ans est tout simplement remarquable.
Tous les soirs et jusqu’au dernier jour, il prendra soin de son chien et surtout, l’apaisera dans ses souffrances…
Merci de partager, cet homme et son chien méritent notre admiration ! Et vous, jusqu’où êtes vous prêt à aller pour apaiser les souffrances de votre chien ?

left by rafia on 25/02/2015  
L'amitié vraie
Dites, Ami//e…
Dans un voyage imaginaire
Au pays des rêves,
Me suivriez-vs ?
On pourrait se retrouver
Sous la voûte des cieux,
Penser sur la Voie Lactée,
Capturer une étoile filante,
Se reposer sur la lune…
Ou bien, couchés//ées
Dans l’herbe humide
D’une campagne provençale,
Admirer le regard perdu dans l’azur
La fuite incessante des nuages
Que ns aimons tant
Car ils ns racontent le bonheur d'antan.
Nous qui avons dans le cœur
Le même pays de naissance,
Le même enfance bordée de soleil,
La même déchirure des exilés//es,
Les mêmes souvenirs d’adolescence,
Notre rencontre était gravée
D’une croix d’or
Sur notre ligne de vie !
Alors, Ami//e…
Dans ce voyage imaginaire
Au pays des rêves,
Me suivrez-vs ?
Si vs venez…
Si vs prenez ma main…
Rêveuse, dans la blancheur
D’un nuage floconneux,
De la poudre d’étoiles
Au bout des doigts,
Je vs écrirai le plus beau poème,
Rien que pour vs,
Le poème de l'Amitié vraie
Sur le thème d'un malheur partagé.

left by poutounou on 24/02/2015  
Petit poème charmant pour toi, bel Ange…
*
La clé des champs
*
On a perdu la clé des champs !
Les arbres, libres, se promènent,
Le chêne marche en trébuchant,
Le sapin boit à la fontaine.
*
Les buissons jouent à chat perché,
Les vaches dans les airs s'envolent,
La rivière monte au clocher
Et les collines cabriolent.
*
J'ai retrouve la clé des champs
Volée par la pie qui jacasse.
Et ce soir au soleil couchant
J'aurai tout remis à sa place.
*
Jacques Charpentreau




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