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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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In tribute to
Nudji
51 candles
12804 Flowers
left by poutounou J'ai besoin pour toi de ce temps et de mille fois plus que ce temps : de tout le temps qu'il peut y avoir au monde, celui de penser Ă toi, de respirer en toi, de vivre pour toi... !!! left by colombine67 Mon rayon de soleil ne vient pas du Ciel, mais de l'amour dans les yeux de mon chien left by choupinou tendrement mon petit ange adorĂ© đđđđđđâšâšâšâšâšâšđȘđȘđȘđȘđȘđȘđŸđŸđŸđŸđŸđŸđșđșđșđșđșđșmon petit coeur d'amour tant chĂ©rie left by poutounou Câest agaçant de ne pas se rappeler ce dont on ne parvient pas Ă se souvenir et rien n'est plus Ă©nervant que de se souvenir de ce qu'on voudrait parvenir Ă oublier, votre dĂ©part par exemple... left by colombine67 S'il arrive qu'un jour nous ne puissions ĂȘtre ensembles, garde-moi dans ton coeur, j'y resterai pour toujours |
3737 messages
left by bouffie on 08/11/2015Quelques mots en hommage à nos merveilleux petits anges qui illuminent, telles des étoiles filantes, nos vies sur cette pauvre terre. Le destin m'a donné la chance de te rencontrer La douleur de te perdre Mais jamais il ne m'enlÚvera le bonheur de ton souvenir Mon ùme restera pour toujours Emplie de toi et de ta tendre et chaleureuse présence. Je t'aime mon chien, petit Etre d'amour pur amitié |
left by colombine67 on 08/11/2015Comment puis-je attendre demain Tout en souffrant jusquâĂ la limite Que jâespĂšre que Dieu me tendra la main Me libĂ©rant du mal qui mâhabite De devoir ainsi me demander Quand surviendra la prochaine crise Rend difficile pour moi dâespĂ©rer Pouvoir vivre sans cette hantise Mais je sais que je ne suis pas seul Et quâautour on a besoin de moi Il faudra donc faire face aux Ă©cueils Et chercher Ă conserver la foi Pourra-t-on enfin mâaider un jour Voir le miracle se rĂ©aliser De pouvoir effacer pour toujours La douleur qui ne cesse dâaccabler Mais je mâaccroche encore Ă la vie Ma raison ne peut abandonner Je nâai pas fini mon rĂŽle ici Il me reste beaucoup Ă donner MalgrĂ© ce que jâai Ă endurer Le sort me rĂ©serve du bonheur Et je prends le temps de savourer MĂȘme s'il ne dure que quelques heures Je dois compter sur le courage Dont tout mon ĂȘtre est habitĂ© Pour taire en moi toute cette rage Que le destin a su Ă©veiller Je trouve la force Ă chaque jour Pour mon fils, mes parents, mes amis De puiser dans mon coeur de lâamour Et me coucher en disant merci Claude |
left by Galinette3 on 08/11/2015âComme un voilierâ â William Blake đ¶ Je suis debout au bord de la plage Un voilier passe dans la brise du matin et part vers lâocĂ©an. Il est la beautĂ©, il est la vie. Je le regarde jusquâĂ ce quâil disparaisse Ă lâhorizon. đ¶ Quelquâun Ă mon cĂŽtĂ© dit : âIl est parti !â Parti ? Vers oĂč ? Parti de mon regard. Câest tout⊠đ¶ Son mĂąt est toujours aussi haut, Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, Pas en lui. đ¶ Et juste au moment oĂč quelquâun prĂšs de moi dit : âil est parti !â Il en est dâautres qui, le voyant poindre Ă lâhorizon et venir vers eux, Sâexclament avec joie : âLe voilĂ !â⊠đ¶ Câest ça la mort. đ¶ A nos chers anges qui sont partis au paradis des chiens du pont de l'arc en ciel |
left by rafia on 07/11/2015La tombe dit Ă la rose La tombe dit Ă la rose : â Des pleurs dont lâaube tâarrose Que fais-tu, fleur des amours ? La rose dit Ă la tombe : â Que fais-tu de ce qui tombe Dans ton gouffre ouvert toujours ?La rose dit : â Tombeau sombre, De ces pleurs je fais dans lâombre Un parfum dâambre et de miel. La tombe dit : â Fleur plaintive, De chaque Ăąme qui mâarrive Je fais un ange du ciel !Par Victor Hugo, , |
left by colombine67 on 06/11/2015Ne te laisse pas tromper par moi. Ne te laisse pas tromper par le visage que je porte, car je porte un masque, mille masques, masques que j'ai peur d'enlever, et je ne suis aucun d'entre eux. Faire semblant est un art qui est une seconde nature pour moi, mais ne sois pas dupe, pour l'amour de Dieu, ne sois pas dupe. Je te donne l'impression que je suis sĂ»r, que tout est bien et sans problĂšme avec moi, aussi bien Ă l'intĂ©rieur qu'Ă l'extĂ©rieur, que je suis la confiance mĂȘme et que je plane au-dessus de tout, que l'eau est calme et que je suis bien aux commandes et que j'ai besoin de personne, mais ne me crois pas. A la surface, je suis lisse et sans faille, mais ce n'est que mon masque, toujours diffĂ©rent et toujours cachĂ©. En dessous, il n'y a aucune complaisance. En dessous rĂ©sident la confusion, la peur et la solitude. Mais je les cache. Je ne veux pas que quiconque le sache. Je panique Ă l'idĂ©e que ma faiblesse soit exposĂ©e. C'est pourquoi, je crĂ©e avec frĂ©nĂ©sie un masque pour me cacher derriĂšre, une façade nonchalante et sophistiquĂ©e, pour m'aider Ă faire semblant, pour me protĂ©ger des regards qui savent. Mais ce regard est prĂ©cisĂ©ment mon salut, mon seul espoir, et je le sais. S'il est suivi par l'acceptation, et s'il est suivi par l'amour. C'est la seule chose qui puisse me libĂ©rer de moi-mĂȘme, des murs de la prison que j'ai Ă©rigĂ©s moi-mĂȘme, des barriĂšres que j'ai dressĂ©es avec tant d'efforts. C'est la seule chose qui puisse m'assurer de ce que je ne peux m'assurer par moi-mĂȘme, que j'ai vraiment une valeur. Mais je ne te le dis pas. Je n'ose pas, j'ai peur de le faire. J'ai peur que ton regard ne soit pas suivi d'acceptation, ne soit pas suivi d'amour. J'ai peur que tu penses moins de moi, que tu ries et tes rires me tueraient. J'ai peur, qu'au fond, je ne sois rien, que tu le voies et me rejettes. Donc, je joue mon jeu, un jeu dĂ©sespĂ©rĂ© Ă faire semblant, portant sans assurance une façade et un enfant tremblotant Ă l'intĂ©rieur. C'est ainsi que dĂ©bute la belle, mais irrĂ©elle parade des masques, et ma vie devient une façade. Je bavarde avec toi de maniĂšre suave de sujets Ă©phĂ©mĂšres. Je te dis tout de rien, et rien de ce qui est tout, de ce qui pleure Ă l'intĂ©rieur de moi. Alors, quand je passe Ă travers mon scĂ©nario ne te laisse pas berner par cette sĂ©rĂ©nade. S'il te plaĂźt, essaye d'Ă©couter attentivement et Ă©coute ce que je ne te dis pas, ce que j'aimerais ĂȘtre capable de te dire, ce que j'ai besoin de te dire pour survivre, mais ce que je ne peux dire. Je n'aime pas me cacher. Je n'aime pas jouer les jeux superficiels. Je veux arrĂȘter de jouer. Je veux ĂȘtre authentique, spontanĂ© et moi-mĂȘme, mais tu dois m'aider. Tu dois me tendre la main mĂȘme si c'est la derniĂšre chose que je semble vouloir. Tu es la seule personne qui puisse effacer de mes yeux le regard vide d'un mort vivant. Tu es la seule personne qui puisse m'inviter Ă la vie. Chaque fois que tu es aimable, doux et encourageant, chaque fois que tu essaies de comprendre parce que tu portes attention, mon coeur commence Ă avoir des ailes qui poussent - de trĂšs petites ailes, de trĂšs faibles ailes, mais des ailes ! Avec ton pouvoir de toucher et de me faire sentir, tu peux m'insuffler la vie. Je veux que tu le saches. Je veux que tu saches combien tu es une personne importante pour moi, comment tu peux ĂȘtre un crĂ©ateur - un crĂ©ateur fidĂšle Ă Dieu - de la personne que je suis si tu le choisis. Toi seul peux briser le mur derriĂšre lequel je tremble, toi seul peux enlever mon masque, toi seul peux me libĂ©rer de mon monde ombragĂ© par la panique, de ma prison solitaire, si tu le choisis. S'il te plaĂźt, choisis-le. Ne passe pas Ă cĂŽtĂ© de moi. Ăa ne sera pas facile pour toi. Plusieurs annĂ©es Ă croire que je ne vaux rien ont Ă©rigĂ© des murs trĂšs solides. Plus tu approches de moi plus je peux combattre aveuglĂ©ment. C'est irrationnel, mais en dĂ©pit de ce que les livres disent sur l'homme, je suis souvent irrationnel. Je lutte prĂ©cisĂ©ment contre la chose dont j'ai besoin. Mais on dit que l'amour est plus fort que les murs et c'est lĂ que rĂ©side mon espoir. S'il te plaĂźt, essaye d'enfoncer les murs avec une main ferme, mais douce, car un enfant, c'est trĂšs sensible. Qui suis-je, tu te demandes peut-ĂȘtre ? Je suis quelqu'un que tu connais trĂšs bien. Car je suis chaque homme que tu rencontres et je suis chaque femme que tu rencontres. Charles C. Finn |
left by rafia on 05/11/2015Les yeux.. Bleus ou noirs, tous aimĂ©s, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu lâaurore ; Ils dorment au fond des tombeaux Et le soleil se lĂšve encore. Les nuits plus douces que les jours Ont enchantĂ© des yeux sans nombre ; Les Ă©toiles brillent toujoursđ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ Et les yeux se sont remplis dâombre. Oh ! quâils aient perdu le regard, Non, non, cela nâest pas possible ! Ils se sont tournĂ©s quelque part Vers ce quâon nomme lâinvisible ; Et comme les astres penchants, Nous quittent, mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il nâest pas vrai quâelles meurent : Bleus ou noirs, tous aimĂ©s, tous beaux, Ouverts Ă quelque immense aurore, De lâautre cĂŽtĂ© des tombeaux Les yeux quâon ferme voient encore. Par Sully Prudhomme, |
left by colombine67 on 05/11/2015Quand lui n'achĂšve pas son travail, je me dis, il est paresseux. Quand moi, je n'achĂšve pas mon travail, c'est que je suis trop occupĂ©, trop surchargĂ©. Quand lui parle de quelqu'un, c'est de la mĂ©disance. Quand je le fais, c'est de la critique constructive. Quand lui tient Ă son point de vue, c'est un entĂȘtĂ©. Quand moi je tiens Ă mon point de vue, c'est de la fermetĂ©. Quand lui prend du temps pour faire quelque chose, il est lent. Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose, je suis soigneux. Quand lui est aimable, il doit avoir une idĂ©e derriĂšre la tĂȘte. Quand moi je suis aimable, je suis vertueux. Quand lui est rapide pour faire quelque chose, il bĂącle. Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose, je suis habile. Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise, il s'occupe de ce qui ne le regarde pas. Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise, je prends des initiatives. Quand lui dĂ©fend ses droits, c'est un mauvais esprit. Quand moi je dĂ©fends mes droits, je montre du caractĂšre. Pierre Descouvemont |
left by poutounou on 04/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagĂ© pour donner une formation sur la planification efficace de son temps Ă un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-amĂ©ricaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journĂ©e de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matiĂšre". Debout, devant ce groupe d'Ă©lite (qui Ă©tait prĂȘt Ă noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons rĂ©aliser une expĂ©rience". De dessous la table qui le sĂ©parait de ses Ă©lĂšves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa dĂ©licatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux Ă peu prĂšs gros comme des balles de tennis et les plaça dĂ©licatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses Ă©lĂšves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous rĂ©pondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un rĂ©cipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa lĂ©gĂšrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrĂšrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva Ă nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants Ă©lĂšves commençaient Ă comprendre son manĂšge. L'un d'eux rĂ©pondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " rĂ©pondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudiĂšre de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hĂ©siter et en choeur, les brillants Ă©lĂšves rĂ©pondirent : "Non !". "Bien !" rĂ©pondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux Ă©lĂšves, il prit le pichet d'eau qui Ă©tait sur la table et remplit le pot jusqu'Ă ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vĂ©ritĂ© nous dĂ©montre cette expĂ©rience ?". Pas fou, le plus audacieux des Ă©lĂšves, songeant au sujet de ce cours, rĂ©pondit : "Cela dĂ©montre que mĂȘme lorsque l'on croit que notre agenda est complĂštement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses Ă faire". "Non" rĂ©pondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vĂ©ritĂ© que nous dĂ©montre cette expĂ©rience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'Ă©vidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santĂ© ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "RĂ©aliser vos rĂȘves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "DĂ©fendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas rĂ©ussir... sa vie. Si l'on donne prioritĂ© aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps prĂ©cieux Ă consacrer aux Ă©lĂ©ments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser Ă vous-mĂȘme la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
left by colombine67 on 04/11/2015 Quand je te demande de m'Ă©couter et que tu commences Ă me donner des conseils, je n'ai pas de rĂ©ponse Ă ma demande. Quand je te demande de m'Ă©couter et que tu commences Ă me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela, je ne me sens pas respectĂ©. Quand je te demande de m'Ă©couter et que tu commences Ă vouloir faire quelque chose pour rĂ©soudre mon problĂšme, je ne me sens pas aidĂ©, aussi Ă©trange que cela puisse paraĂźtre. Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'Ă©coutes. Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose : je te demande simplement de m'Ă©couter. Les conseils sont bon marchĂ©. Pour deux euros, j'aurai dans le mĂȘme journal le courrier du cĆur et mon horoscope. Je veux agir par moi-mĂȘme, je ne suis pas impuissant, peut-ĂȘtre un peu dĂ©couragĂ© ou hĂ©sitant, mais non impotent. Quand tu fais quelque chose pour moi, que je peux et ai besoin de faire moi-mĂȘme, je me sens dĂ©valorisĂ© et je ne progresse pas. Mais quand tu acceptes comme un simple fait que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalitĂ©), je peux arrĂȘter de chercher Ă te convaincre, et je peux essayer de commencer Ă comprendre ce qu'il y a derriĂšre mes sentiments apparemment irrationnels. Lorsque je vois clair, les rĂ©ponses deviennent Ă©videntes et je n'ai pas besoin de conseil. Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles quand nous comprenons ce qu'il y a derriĂšre. Peut-ĂȘtre est-ce pour cela que la priĂšre marche, parfois, car Dieu ne parle pas. Il ne donne pas de conseils Ă ceux qui n'en demandent pas. Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma libertĂ©. Alors, s'il te plaĂźt, Ă©coute-moi. Et quand tu voudras que je t'Ă©coute, demande-le-moi et je t'Ă©couterai. Auteur anonyme indien |
left by rafia on 04/11/2015Si je pouvais ĂȘtre certaine qu'un Paradis existe bien ??? DĂ©dicace Ă TOUS : Amours-Canins.....fĂ©lins...et autres. Dont mes cinq AMOURS/WESTIES. Sur l'Ă©chelle du Ciel, je voudrais monter... Pas tout en haut, mais un peu quand mĂȘme, Pas bien longtemps, mais juste assez, Pour m'assurer que vs ĂȘtes bien arrivĂ©s Je voudrais tendre le cou, Pour voir si votre nouvelle vie vs plait..??? Me persuader que vs ĂȘtes bien entourĂ©s, Mais surtout que la vie est meilleure ici..... J'observerais tous ces ĂȘtres innocents partis d'en bas, Bien trop tĂŽt, M'Ă©merveillerais de leurs ailes qui ont poussĂ©, Depuis qu'ils sont lĂ -haut. Je voudrais monter sur cette Ă©chelle, Contre mon coeur, vs serrer une derniĂšre fois, Que vs me disiez, dans un battement d'aile, "Continue Maman.... ns veillons.... Ns sommes tjrs aussi prĂšs de toi" Avec toute ma bien sincĂšre AmitiĂ©. Maryem, votre amie |
left by Biscuit on 03/11/2015l'animal, il ne vous abandonne jamais que vous soyez beau ou laid roi reine ou simple valet il sera toujours a vos cotés quand vos amis seront partis quand vous vous sentirez trahi le coeur vide plein de depit avec cette envie que tout soit fini il posera sa tete sur vos genoux il sera là tout prÚs de vous avec son regard plein de douceur qui vous rechauffe le coeur en lui vous pourez avoir confiance il ne divulguera pas vos confidences il gardera vos plus lourds secrets et ne vous trahira jamais cet etre plus sincÚre que certain humain n'est autre qu'un chien mais chien ou chat ou autre peut importe avec tout se qu'il nous apporte partagera nos joies,nos soucis et nous aimera toute sa vie |
left by nikita on 03/11/2015Mon NUDJI doux trĂ©sor Le vent souffle calmement sur les rivages Mon cĆur sâenvole vers toi au grĂ© des nuages Tu manques tant Ă mes bras devenus orphelins Je voudrais tant me rĂ©veiller prĂšs de toi chaque matin La distance qui nous sĂ©pare nâest quâune route Un pont que je parcours vers toi sans doute Mais tu manques tant Ă mon petit cĆur avec toi c'Ă©tait le bonheur Aujourdâhui tu me manques tant mon NUDJI tant aimĂ© que je suis triste Ă pleurer Je pense Ă toi sans cesse Avec toute ma tendresse bisous de tendresse sur ta belle truffe d'amour mon joli prince |
left by choupinou on 03/11/2015LE TEMPS VIENDRA OĂ NOUS SERONT RĂUNIS Il est parfois difficile dans ma solitude, de me souvenir que quelqu'un m'aime, quelque part. Quelqu'un qui m'aime pour ce que je suis et non pour ce qu'il souhaite que je sois ou pour ce qu'il souhaite faire de moi. Quelqu'un qui m'aime, juste pour moi. Comme c'est parfois difficile d'accepter d'ĂȘtre si loin d'un de l'autre et de se voir si peu! Mais je sais que lorsque le temps viendra pour nous d'ĂȘtre rĂ©unis rien ni personne ne nous en empĂȘchera. Toi, mon amour, tu vis toujours dans mes rĂȘves, mes espoirs, mes actions. Mais plus que tout, tu vis dans mon coeur, et ça, mon amour, c'est la chose qu'aucune distance -- aussi grande soit-elle -- ne pourra jamais faire disparaĂźtre. (Patty Holleman), |
left by colombine67 on 03/11/2015Tu ne peux pas retenir le temps. Il passe. Il coule entre tes doigts comme l'eau de la fontaine. Il glisse dans ta main comme le sable de la mer. Tu ne peux rattraper le passé. Il n'est plus. Il s'en est allé comme le couchant d'hier. Il est disparu comme un souvenir perdu. Tu ne peux emprisonner le futur. Il n'est pas encore. Il viendra à son heure comme le levant de demain. Il te rejoindra comme la vague qui s'approche du rivage. Mais tu peux toujours cueillir le présent comme un beau présent de Dieu. Ce présent est comme un grand arbre : il plonge ses profondes racines dans ton passé tout plein de souvenir et d'expérience, comme une sagesse accumulée. Et il lance ses longues branches vers ton futur tout plein de promesse et d'espérance, comme un projet emballant. Le présent est fait de ton passé qui n'est plus et de ton futur qui n'est pas encore. Prends le temps qui t'est donné à chaque instant qui passe. Cueille-le précieusement comme l'eau du ruisseau qui t'est toujours disponible. Ne gaspille pas ton temps, c'est un cadeau de Dieu. Ne passe pas ton temps à courir aprÚs le temps. Prends ton temps. Ne dis pas : je n'ai pas le temps. Dis plutÎt : j'ai tout mon temps. Ne sois pas avare de ton temps. Donne de ton temps aux autres comme Dieu te le donne à toi. Ne cours pas tout le temps, prends ton temps. Et laisse au temps le temps de faire son temps. Alors, tu gagneras du temps. Et tu découvriras que c'est beau et bon le temps, que c'est plein de Dieu dedans. Jules Beaulac |
left by colombine67 on 02/11/2015Savoir attendre Sans vouloir tout comprendre, Savoir hurler Sans pour autant se rĂ©signer, Savoir pleurer Sans pour cela dĂ©sespĂ©rer. Essayer dâavancer Pour ne pas retomber, Essayer dâoublier Pour ne pas se noyer, Essayer dâespĂ©rer Pour ne pas se rĂ©volter. Laisser couler son cĆur Comme sâouvre une fleur, Laisser sortir son Ăąme Comme sâĂ©lĂšve une flamme, Laisser renaĂźtre la vie Comme pousse lâĂ©pi. Regarder lâhorizon Pour une autre ascension, Attendre un navire Pour un nouvel avenir, Guetter lâEspĂ©rance Pour une autre naissance. Elisabeth Lafont |
left by colombine67 on 01/11/2015 Nos absents nous accompagnent de Yves Duteil OĂč sâen vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusquâen terre et puis aprĂšs ? Nous fleurissons leur mĂ©moire, nous leur parlons comme sâils Ă©taient encore lĂ , quelque part, inaccessibles mais prĂ©sents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une rĂ©ponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les Ă©voquer pour quâils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisquâils nous regardent avec nos propres yeux. Câest une Ă©trange et intime conviction que lâon ne peut partager quâavec ceux que lâon aime, dans la confiance de nâĂȘtre pas raillĂ©, mais au contraire confortĂ©. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une prĂ©sence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprĂšs de nous, derriĂšre nos paupiĂšres closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance Ă les retenir, Ă les aider, Ă les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment dâĂȘtre guidĂ©s par eux, de leur confĂ©rer un rĂŽle quâils nâont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, Ă la façon dâune boussole. Peut-ĂȘtre ont-il besoin, eux aussi, de nos pensĂ©es, de nos lumiĂšres pour Ă©clairer leur route ? Le chagrin nâest que le revers de lâamour. Mais câest encore de lâamour. Quâil serait « triste de nâĂȘtre plus tristes sans eux⊠». Au PanthĂ©on de nos cĆurs, nos absents ont toujours raison. Si lâon devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiĂ©tude bienveillante de ceux qui nous ont quittĂ©s mais qui veillent sur nous tendrement. Câest une image apaisante pour sâendormir, pour sâorienter ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu dâinfini dans cet amour-lĂ . Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur⊠Est-ce quâils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimĂ©s. Et si un jour ils nâexistent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimĂ© de son vivant, câest savoir quâil existe quelque part un « aprĂšs », un moyen de poursuivre la route ensemble. Lâabsence nâest pas quâun vide. Câest aussi de lâamour qui nous accompagne. Servir encore, ĂȘtre utile Ă quelquâun⊠Un beau destin pour nos absents. |
left by rafia on 31/10/2015Quelques lignes, sans prĂ©tention, afin d'honorer, en nostalgique jour de TOUSSAINT, la mĂ©moire de nos anges canins, fĂ©lins et...autres, adorĂ©s. Petits anges, Si loin de nos coeurs Vs devez avoir peur. Peur d'ĂȘtre oubliĂ©s Et de n'ĂȘtre plus jamais aimĂ©s. Mais comment chasser de notre coeur Vos facĂ©ties, ces tendres bonheurs Que vs ns avez donnĂ©s, Tout au long de votre courte vie Et Ă chacun de nos cĂąlins ??? Petits anges partis Mais restant Ă jamais dans nos vies, Chaque jours dĂ©comptĂ©s Ns aident Ă ns rapprocher. Faut-il y croire ??? Ou bien est-ce une lĂ©gende ??? Alors, si loin de vs, La vie devient floue..... Pr ns rassurer, Faites-ns un petit signe, pr apaiser notre peine. Le temps passe vite, mais l'amour que ns avons pour vs Restera Ă jamais gravĂ©, Dans nos coeur et dans nos pensĂ©es Pour mes Amours/Westies, mais aussi pour tous les Anges leurs AMIS/AMIES, et leur chĂšre famille. Avec toute mon amitiĂ©. Maryem, votre amie..qui ne vs oublie pas. |
left by poutounou on 31/10/2015Pour la Toussaint et la fĂȘte des morts, un tendre poĂšme sur une « belle dame », fidĂšle Ă son amour comme nous le sommes Ă nos angesâŠ. * Une ombre qui passe⊠* Toute de noir vĂȘtue et sa canne Ă la main, Elle avance Ă pas lents dans la petite allĂ©e En serrant sur son coeur cette fleur d'azalĂ©e Qu'elle va dĂ©poser juste au bout du chemin. * Qui pourrait maintenant dire quel est son Ăąge? Elle vient chaque jour retrouver un moment Celui dont le dĂ©part a causĂ© son tourment. La douleur a creusĂ© les traits de son visage. * Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas, dans le calme apaisant du petit cimetiĂšre, Qu'elle adresse au seigneur une ardente priĂšre Pour aller au plus tĂŽt le rejoindre lĂ -bas. * Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite : C'est le jour de l'annĂ©e oĂč chacun se souvient Qu'un ĂȘtre cher repose en la tombe qu'il vient Couvrir de belles fleurs, comme pour une fĂȘte. * PrĂ©sence inopportune oĂč sombre sa douleur, Elle ne peut ce soir, comme Ă son habitude, partager un instant de tendre solitude Avec celui qui fut sa source de bonheur. * Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe, En essuyant un pleur du revers de la main. Elle sera fidĂšle au rendez-vous demain, Lorsque les visiteurs auront quittĂ© la place. |
left by nikita on 31/10/2015Ma jolie maman d'amour <3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3 Toi que j'ai tant aimĂ© ! Jamais, je ne t'oublierai. Par malheur, j'ai dĂ» te quitter. Je sais que tu es affligĂ©e. Mais ne sois, ni triste, ni prĂ©occupĂ©e, Je suis bel et bien arrivĂ©e ! Tu peux sĂ©cher tes larmes Je te fais le serment, Qu'Ă compter de maintenant, Et pour l'ĂternitĂ©, Jamais plus, je ne te quitterai. Ni cesserai de t'aimer ! Je suis partie. Quittant tes bras bien aimants, Malheureusement pour toi, aujourd'hui, C'est un jour plutĂŽt gris. Les nuages ont tout envahi. Le bleu du ciel s'est Ă©vanoui. Il pleut dans ton cĆur, De grosses larmes de douleur. Ma petite maman chĂ©rie Je t' en prie, En toute sincĂ©ritĂ©, je te le dis : Ne sois ni triste, ni accablĂ©. Sois heureuse en pensant Ă moi !!! Ici, il n'y a plus de douleur, Plus de cri, plus de larme, plus de peur. Inlassablement, le vent fredonne tes paroles et tes mots Et l'Ă©cho,jusqu'Ă moi porte ta voix Si douce, si chĂšre,si familiĂšre Remplie d'Amour et de comprĂ©hension. Oui, je t'entends me parler Je suis ici, je suis lĂ , je suis prĂ©sent. Je n'ai rien oubliĂ© !!! Je suis avec toi tout le temps. Plus personne ne peut nous sĂ©parer. Et pour l'ĂternitĂ©,je continuerai Ă t'aimer Tu continueras de vivre dans mes pensĂ©es. Dans mon cĆur, ton souvenir restera gravĂ©. Tu resteras Celle que j'ai toujours aimĂ©. Comme si le temps jamais ne nous avait sĂ©parĂ© Je revois toujours et encore ces moments merveilleux, Qu'ensemble nous avons partagĂ©. Nous avions du Bonheur plein les yeux. Mon Amour pour toi Ă©tait illimitĂ© Je t'aime ma maman adorĂ©e bisous remplis de tendresse sur ta belle frimousse mon joli NUDJI Ă partager avec ta maman Ă qui tu manques tant |
left by colombine67 on 31/10/2015 Il Ă©tait une fois un vieil homme assis Ă l'entrĂ©e d'une ville du Moyen-Orient. Un jeune homme s'approcha et lui dit : - Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieil homme lui rĂ©pondit par une question : - Comment Ă©taient les gens dans la ville d'oĂč tu viens ? - EgoĂŻstes et mĂ©chants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'Ă©tais bien content de partir, dit le jeune homme. Le vieillard rĂ©pondit: - Tu trouveras les mĂȘmes gens ici. Un peu plus tard, un autre jeune homme s'approcha et lui posa exactement la mĂȘme question. - Je viens d'arriver dans la rĂ©gion ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieille homme rĂ©pondit de mĂȘme : - Dis-moi, mon garçon, comment Ă©taient les gens dans la ville d'oĂč tu viens ? - Ils Ă©taient bons et accueillants, honnĂȘtes; j'y avais de bons amis; j'ai eu beaucoup de mal Ă la quitter, rĂ©pondit le jeune homme. - Tu trouveras les mĂȘmes ici, rĂ©pondit le vieil homme. Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de lĂ avait entendu les deux conversations. DĂšs que le deuxiĂšme jeune homme se fut Ă©loignĂ©, il s'adressa au vieillard sur un ton de reproche : - Comment peux-tu donner deux rĂ©ponses complĂštement diffĂ©rentes Ă la mĂȘme question posĂ©e par deux personnes ? - Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, rĂ©pondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur. Anonyme |
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