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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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In tribute to
Nudji
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left by poutounou On dit que le temps cicatrise les blessures. Il ne faut pas beaucoup aimer ceux qui sont partis pour les effacer de votre mĂ©moire. Dans notre Ăąme Ă tout jamais⊠left by nina1997 Tu verras que seul ce qui t'apporte de la peine t'apporte aussi de la joie. Quand tu es triste regarde Ă nouveau dans ton cĆur et tu verras que tu pleures ce qui te rendait heureux. K.Gibran left by nina1997 Tu verras que seul ce qui t'apporte de la peine t'apporte aussi de la joie. Quand tu es triste regarde Ă nouveau dans ton cĆur et tu verras que tu pleures ce qui te rendait heureux. K.Gibran left by colombine67 âCelui qui dit que le bonheur ne sâachĂšte pas a oubliĂ© quâil y a les petits chiots.â left by poutounou Câest beau ce quâĂ©crit votre maman de cĆur : « Un frisson pour toi par absence ; un pour chaque chagrin qui me tue ». Câest vrai : chaque chagrin laisse des traces indĂ©lĂ©biles⊠Bizzz⊠!!! left by Otosan đ Des petites papouilles âĄ, un cĂąlin â€ïž et plein de gros bisous đ Bonne soirĂ©e Ă vous. AmitiĂ©s đ« left by poutounou Coucou petit Nudji ! Tu diras Ă ta maman de coeur que c'est avec joie que j'ai dĂ©posĂ© quelques bougies chez vous pendant son absence... Bizzz...!!! left by prixy Les blessures demeurent intactes dans notre coeur malgrĂ© le temps qui passe. Un plein de bisous pour Toi. Merci pour le joli message.Amicalement |
3734 messages
left by spanky on 24/04/2024Saint François d'Assise et le loup --------- Il Ă©tait une fois un gros loup noir qui terrorisait la ville...» Non, non, il ne sâagit pas dâun conte de Charles Perrault, mais bien de la lĂ©gende du loup de Gubbio, telle quâelle est racontĂ©e dans le chant XXI des Fioretti di San Francesco. Ce texte, rĂ©digĂ© Ă lâorigine en latin, probablement par Ugolino da Montegiorgio entre 1327 et 1340 puis traduit en lanÂgue vulgaire quelque temps plus tard, raconte les diffĂ©rents Ă©pisodes de la vie de saint François dâAssise, dĂ©clarĂ© par le Vatican saint patron de lâItalie en 1939, saint patron des Ă©cologistes en 1979 et gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ© comme le protecteur des animaux. ----- La scĂšne se passe aux environs de lâan 1220. Alors quâil sĂ©journe Ă Gubbio, saint François apprend quâun loup, Ă©norme et fĂ©roce, erre dans la campagne environnante, dĂ©vorant non seulement les animaux mais sâattaquant aussi aux hommes. Les habitants sont effraÂyĂ©s car la terrible bĂȘte sâaventure souvent jusquâaux abords de la commune. Ils nâont plus le courage de quitter la ville et lorsquâils doivent se rendre dans les champs, ils sâarment de pied en cape. Mais rien nây fait et il arrive toujours quâun malheureux finisse entre les crocs de lâanimal. Saint François dĂ©cide alors de partir Ă la rencontre du monstre. Ă son approÂche, celui-ci sâapprĂȘte Ă bondir, la gueule bĂ©ante, mais lâhomme de Dieu fait un signe de croix et lui dit : « Viens ici, frĂšre loup, je tâordonne au nom de JĂ©sus-Christ de ne faire aucun mal, ni Ă moi ni Ă personne.» Le loup obtempĂšre sur-le-champ et sâallonge aux pieds du saint. Lâhomme continue de parler Ă lâanimal qui, touchĂ© par tant de grĂące et de bontĂ©, remue la queue et baisse les yeux en signe dâassentiment. Puis saint François promet Ă la bĂȘte quâelle ne souffrira plus jamais de la faim, car il sait que seule cette raison la pousse Ă commettre ses mĂ©faits. Ă une condition : quâelle renonce Ă sâattaquer aux crĂ©atures de Dieu, hommes ou bĂȘtes. Et saint François de lui demander un signe pour sceller sa promesse. Ă ces mots, le loup soulĂšve la patte et la pose dĂ©licatement dans la main de lâhomme. ----- Un geste quâil fera une seconde fois lorsque saint François prĂȘchera la cause de lâanimal devant la population rassemblĂ©e, avant de leur faire promettre de le nourrir jusquâĂ la fin de sa vie. ----- Ă compter de ce jour, on vit le loup entrer et sortir librement de toutes les maisons de Gubbio, oĂč jamais il ne commit le moindre mal ni ne reçut de coups. Il mourut de vieillesse deux annĂ©es plus tard et sa disparition causa un profond chagrin aux habitants, car chaque fois quâils le voyaient dĂ©ambuler dans les rues, ils se souvenaient du message dâamour et de paix du saint homme. ---------- |
left by poutounou on 24/04/2024Tu es tout ça, adorable Ange !!! * MON ANGE ADORà * Tu es mon oxygÚne, Tu es la joie que je promÚne, La force qui brise mes chaßnes, L'indispensable qui coule dans mes veines. * Tu es l'objet de mon existence, L'ange pur de l'innocence, Mon étoile de bienveillance, Plus qu'un espoir et plus qu'une chance. * Tu es ma mélodie, La douceur de mes nuits, Les couleurs de ma vie, Le bonheur à l'infini. * - Elodie - |
left by ovanek on 23/04/2024Dans les moments de tranquillitĂ© oĂč mon humain est assis Ă cĂŽtĂ© de moi Leur prĂ©sence remplit la piĂšce de chaleur Je me retrouve souvent Ă les regarder Souhaitant qu'ils puissent se voir Ă travers mes yeux đ”â„âȘđžâȘâ„âȘđžâȘâ„âȘâąđâ„(â âżâ )â„đâ„âȘđžâȘâ„âȘđžâȘâ„âȘđ¶ Si seulement ils pouvaient saisir la profondeur de leur signification La façon dont leur sourire illumine mon monde Et leur toucher apporte du rĂ©confort Ă mon Ăąme đ”â„âȘđžâȘâ„âȘđžâȘâ„âȘâąđâ„(â âżâ )â„đâ„âȘđžâȘâ„âȘđžâȘâ„âȘđ¶ Si seulement ils savaient comment leur simple prĂ©sence suffit pour apaiser mes soucis et faire remuer ma queue de joie Si je pouvais leur offrir une chose dans la vie đ”â„âȘđžâȘâ„âȘđžâȘâ„âȘâąđâ„(â âżâ )â„đâ„âȘđžâȘâ„âȘđžâȘâ„âȘđ¶ Ce serait la capacitĂ© de se percevoir comme moi Comme quelqu'un de vraiment spĂ©cial đâ„(â âżâ )â„đChĂ©ri et irremplaçable dans ma vie... |
left by spanky on 22/04/2024Ne vous sentez pas impatient Si je ne dors pas dans mon nouveau panier. J'ai dormi sur un sol rocher hier. Ne soyez pas terrifiĂ© si j'avale avidement ma nourriture, Hier j'ai dĂ» le faire pour survivre. Ne vous Ă©nervez pas si je fais pipi par terre, Hier sa n'avait pas d'importance Ne sois pas triste si j'ai peur de ta main aimante, J'en ai mangĂ© hier. Soyez patient avec moi c'est votre monde mais pas encore le mien, Si je te fais confiance, je peux te donner mon cĆur. S'il vous plaĂźt n'oubliez jamais que j'Ă©tais un chien de Chen Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'un peu de temps. |
left by poutounou on 21/04/2024Au nom dâun malaise * Au nom dâun malaise, La peine mâa assaillie, Et sâen est allĂ©e la vie. Au nom dâun malaise, Jâai vĂ©cu sans amis, Et ils sont tous partis, Peine Ă vivre, Vivre Ă peine, Au nom dâun malaise⊠* Nashmia Noormohamed, 1999 |
left by spanky on 20/04/2024Mon chien a Ă©tĂ© diagnostiquĂ© avec un cancer il y a 3 ans. J'ai su dĂšs le dĂ©but que ses jours Ă©taient comptĂ©s... Les mĂ©decins lui ont donnĂ© un maximum de 12-18 mois de vie avec un traitement... Alors nous avons commencĂ© cette bataille contre le temps... Ces 3 derniĂšres annĂ©es, tout Ă©tait autour d'elle. Des sĂ©ances de chimiothĂ©rapie interminables, prendre soin d'elle, la douleur anticipĂ©e de la perdre... le stress et la peur constante... Et l'espoir... pour juste un peu plus de temps... J'ai passĂ© tout mon temps avec elle... J'ai mĂȘme abandonnĂ© mon travail Ă la fin pour pouvoir prendre soin d'elle. Personne ne m'a comprise, ils me prenaient pour une folle. Alors je me suis isolĂ©e et c'Ă©tait juste nous deux. HonnĂȘtement ce fut les moments les plus prĂ©cieux de ma vie. J'ai tout donnĂ© de moi, elle Ă©tait ma famille, ma meilleure amie, ma partenaire, ma maison.... Elle est dĂ©cĂ©dĂ©e il y a 2 semaines... Je ressens ce que j'imaginais que j'allais ressentir... Je savais que ça allait ĂȘtre l'enfer ... Je suis toute seule.... avec la douleur... et tout mon cĆur pour Elle... ---- TĂ©moignage de Ginebra Raki ---- |
left by colombine67 on 20/04/2024Certains trésors ont tant de valeur que nous les plaçons dans des chambres fortes à la banque, dans des musées et dans des coffres-forts. Les trésors les plus précieux, on leur met une laisse et on les emmÚne en promenade |
left by ovanek on 20/04/2024Mon Cher Humain Bien que mes pattes ne dansent plus sur vos sols Et mes aboiements ludiques rĂ©sonnent dans les rivages de la mĂ©moire Sache que dans ton cĆur je resterai Ă jamais Un compagnon loyal, Ă chaque Ă©tape đâ«Â°ââ±âżâ«đ *Žš`đâ«Â°ââ±âżâ«đ*Žš`đâ«Â°ââ±âżâ«đ Ă travers les champs de rĂȘves et le ciel Ă©toilĂ© Dans les vents murmurĂ©s et les hauts Ă©clairĂ©s Je serai l'Ă©clat de chaque Ă©toile du soir Veille sur toi de loin đâ«Â°ââ±âżâ«đ *Žš`đâ«Â°ââ±âżâ«đ*Žš`đâ«Â°ââ±âżâ«đ Notre temps ensemble Ă©tait un cadeau prĂ©cieux Rempli d'amour, de rires, notre esprit se remonte Bien que sĂ©parĂ©s maintenant, notre lien reste fort Dans ton cĆur, lĂ oĂč j'appartiendrai Ă jamais đâ«Â°ââ±âżâ«đ *Žš`đâ«Â°ââ±âżâ«đ*Žš`đâ«Â°ââ±âżâ«đ Alors sĂšche ces larmes, et souviens-toi de moi avec joie Car dans ton amour, je serai toujours prĂšs Jusqu'Ă ce qu'on se revoie, de l'autre cĂŽtĂ© du pont arc en ciel Accrochez-vous Ă nos souvenirs, notre serment Ă©ternel Avec Tout Mon Amourâ«Â°ââ±âżâ«đ đâ«Â°ââ±âżâ«Ton BĂ©bĂ© Ă Fourrure |
left by spanky on 18/04/2024Il sâappelait Jules ----- Il Ă©tait assis, devant moi, les yeux mi-clos. Et il restera ainsi le temps qu'il faudra. N'est-ce pas lui, vieux philosophe, qui a dit "Il faut laisser le temps au temps"? Il me regarde, moi sa meilleure amie, il me jauge. Il est protecteur, il est la Sagesse. Il est le Sphinx. Il Ă©tait douĂ© d'un caractĂšre enjouĂ© et d'une infinie patience. Les enfants Ă©taient ses compagnons de jeu prĂ©fĂ©rĂ©s. Il savait dĂ©velopper des trĂ©sors de douceur et de gentillesse. Adulte, il redevenait enfant. Il essayait de s'emparer de tous les jouets qui traĂźnent dans la maison ou dans le jardin. Le poupon en peluche qui crie "Ăa me chatouille" quand on le touche est un ravissement pour lui. Vous lui donniez lui un petit enfant Ă garder et il se fait nounou. Il sâappelait Jules et c'Ă©tait mon meilleur ami. Tout le monde le connaissait dans le quartier, tout le monde connaissait sa trogne de vieux forban. A la maison il avait la jouissance exclusive d'un fauteuil Voltaire qu'il utilisait frĂ©quemment avant de squatter les genoux de quelqu'un ou un lit du premier Ă©tage. Il sâappelait Jules et c'Ă©tait un boxer d'amour. Un boxer ça bave, ça ronfle, ça pĂšte. Oui cela arrive, j'en conviens. Mais Jules n'Ă©tait pas le boxer standard, encore moins le canis vulgaris. Jules a bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une ascendance aristocratique qui l'a dotĂ© d'un port de tĂȘte princier sur un corps d'athlĂšte Ă©lancĂ© tout en Ă©tant musculeux. En ce qui concerne les flatulences, il est vrai que Jules, sans doute victime d'une aĂ©rophagie insidieuse se laissait parfois aller Ă des manifestations involontaires encore que regrettables. Il sâappelait Jules et c'Ă©tait beaucoup plus qu'un chien... -------- |
left by ovanek on 18/04/2024â„đ (â`*ÂŽâ) `*.ž.* ž.âą*š) đž.âą*š) (ž.âąÂŽâ„â„ž.âą*š) ăă(ž.âąÂŽâ„đâ„ž.âą*š) đâ„ž.âą*š) Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ... Tes ailes reposent sur moi ââ žž.âą*š*âąâą.đ žžâŸââ žž.âą*š*âąâą.žđžâŸâž.âą*š*â ââ Tous mes songes viennent de toi Doux comme le regard d'une ombre... Alphonse de Lamartine |
left by choupinou on 17/04/2024Pour ma maman, ma gardienne, message d'en haut, de ton aimĂ© Ecoute le piaillement de l'oiseau, il te le dĂ©livre, Regarde le papillon qui l'accompagne, je suis lĂ Pas besoin de regarder le ciel, je je suis pas loin je suis beaucoup plus proche. je peux voler, je peux ĂȘtre ou tu veux, si prĂšs ou si loin... Je suis Ă cĂŽtĂ© de toi dans chaque larme pour ne pas pleurer seul. C'est moi Je suis dans chaque sourire pour voir la joie de tes yeux C'est moi, je suis avec toi quand tu dors et dans tes rĂȘves parfois que, tu puisses me voir Je suis ton silence, Ă t'Ă©couter sans rien dire, je suis lĂ Ce n'est pas une illusion, c'est bien un signe, ses frissons, ces petits bruits, ce souffle dans ton coup, la chaleur sur tes cuisses, je suis avec toi sur le canapĂ©... Oui comme avant, trĂšs proche, ne regarde pas loin, pas besoin.. si tu Ă©coutes tu sauras, il suffit d'apprendre, Ă vivre sans voir Prends un instant, Ă©coute le bruit de ton coeur je suis lĂ , mais pas que, je continue de vivre mais d'une autre façon auprĂšs de toi.... |
left by poutounou on 17/04/2024Amis * Sans se consumer se posent nos mains sur lâĂ©paule du Temps Se lĂšvent sur son visage le jour les souvenirs essaim de papillons MalgrĂ© les rides importunes avec nos rires dâantan pour tout bagage dans la mĂ©moire rebelle lâon voyage Nos voix aussi sont les mĂȘmes LâariditĂ© de lâĂąge ne les a pas taries Elles coulent toujours dans cette oasis de lâamitiĂ© oĂč vieillir est un mirage * Kamal Zerdoumi |
left by spanky on 16/04/2024Il y a de cela bien, bien longtemps .. le chien vivait seul dans les bois et non dans les maisons comme maintenant. Un beau jour, il en eut assez de vivre ainsi et se mit Ă la recherche d'un compagnon. Il se promena longtemps sans rencontrer personne. ----- Puis un jour, entre deux arbres, il aperçoit un liĂšvre qui s'enfuit. HĂ©, petit liĂšvre, crie le chien, ne te sauve pas, Ă©coute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, dit le liĂšvre, pourquoi pas ? Essayons ! Il choisissent un joli petit coin dans la forĂȘt et s'y installent. La nuit venue, ils se couchent. Le petit liĂšvre s'endort tout de suite, mais le chien reste Ă©veillĂ©, il y a des feuilles qui tombent, des branches qui craquent, des oiseaux de nuit qui passent .. et chaque fois, le chien aboie. Le petit liĂšvre ne peut pas dormir, il se fĂąche et dit au chien : Cesseras-tu d'aboyer Ă la fin ? Si jamais le loup t'entend, il viendra nous dĂ©vorer tous les deux ! Le chien cesse d'aboyer et rĂ©flĂ©chit : Il n'est pas fameux mon compagnon, il est peureux . Le loup vaudrait peut-ĂȘtre mieux puisqu'il fait peur au liĂšvre .. ----- Et le chien s'en va Ă la recherche du loup. Il le cherche longtemps et, enfin, il l'aperçoit qui sort d'un taillis. HĂ©, loup gris, museau pointu, crie le chien, Ă©coute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, dit le loup, pourquoi pas ? Essayons ! Le soir venu, ils s'installent pour dormir. Mais au beau milieu de la nuit, le chien, rĂ©veillĂ© par un bruit, se met Ă aboyer. EffrayĂ© le loup se rĂ©veille Ă son tour : Tais-toi donc, dit-il au chien, si jamais l'ours t'entend, il viendra nous dĂ©vorer tous les deux ! Le chien cesse d'aboyer et rĂ©flĂ©chit : Il n'est pas fameux mon compagnon, il n'est pas beaucoup plus courageux que le liĂšvre .. Il a peur de l'ours qui est certainement plus fort que lui. ----- Et le chien, laissant lĂ le loup, s'en va Ă la recherche de l'ours. Il le cherche longtemps, parmi les arbres, les taillis, les rochers, .. Et voici que, soudain, il se trouve nez Ă nez avec lui. C'est un grand ours brun qui n'a pas l'air commode. HĂ©, ours brun, ours griffu, Ă©coute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, pourquoi pas ? Essayons ! Ils se promĂšnent toute la journĂ©e et, le soir venu, ils se couchent. A peine l'ours s'est-il endormi que le chien se met Ă aboyer. RĂ©veillĂ© en sursaut, l'ours tremble de frayeur. Mais tais-toi donc ! dit-il furieux. Si jamais l'homme t'entend, il viendra nous tuer ! Eh bien, pense le chien, celui-lĂ ne vaut pas mieux que les autres. Il a peur de l'homme. ----- Et laissant lĂ l'ours qui s'est rendormi, il part Ă la recherche de l'homme. Mais il a beau chercher dans la forĂȘt entiĂšre, il n'en trouve pas. Il sort alors de la forĂȘt et sâassoit pour se reposer. Alors, il voit l'homme qui s'avance vers lui, c'est un bĂ»cheron qui s'en vient couper du bois. Quand le bĂ»cheron est tout prĂšs, le chien lui dit : Ecoute-moi, homme, toi qui fait peur Ă l'ours qui fait peur au loup qui fait peur au liĂšvre, ne veux-tu pas me prendre comme compagnon ? Et pourquoi pas ? dit l'homme. Viens avec moi, nous verrons .. Et Ă la fin de la journĂ©e, l'homme emmĂšne le chien dans sa maison. Le soir venu, l'homme se couche et s'endort. Au milieu de la nuit, le chien se met Ă aboyer. L'homme ne bouge pas. Le chien aboie plus fort. Alors l'homme se rĂ©veille et lui crie : HĂ©, brave chien ! Mange si tu as faim, bois si tu as soif, mais laisse-moi dormir tranquille, s'il te plaĂźt ! L'homme n'a donc peur de rien, pense le chien, et il se tait. Et depuis ce temps-lĂ , le chien est restĂ© le compagnon de l'homme ! ----- |
left by ovanek on 15/04/2024Pas besoin de regarder le ciel Je ne suis pas si loin Je suis beaucoup plus proche Je peux voler, je peux ĂȘtre oĂč tu veux si prĂšs ou si loin Je suis Ă cĂŽtĂ© de toi dans chaque larme Pour ne pas pleurer seul đŠââââââââđ€âââââââââđŠ C'est moi Je suis dans chaque sourire, pour voir la joie de tes yeux C'est moi, je suis avec toi quand tu dors Au cas oĂč tu rĂȘves et que tu puisses me voir Je suis dans ton silence, Ă t'Ă©couter sans rien dire C'est moi Je suis lĂ quand tu as la chair de poule đŠââââââââđ€âââââââââđŠ C'est moi Ce n'est pas une illusion, c'est ma voix Ce sont mes bras, mes baisers C'est moi, c'est ma façon de te dire que je suis đŠââââââââđ€âââââââââđŠ C'est ma façon de ressentir Ne regarde pas loin, pas besoin Il suffit d'apprendre Ă vivre sans voir... ⎚) . ž.âąÂŽâ ž.âą*Žš) (.ž.âąÂŽ (ž.âą`â...(ââĄâŸ) BELLE JOURNEEâÒââżââŽÎœâŻÂŽââÒ ~â |
left by choupinou on 15/04/2024âUne Ăąme pure est comme une belle perle. Tant qu'elle est cachĂ©e dans un coquillage, au fond de la mer, personne ne songe Ă l'admirer. Mais si vous la montrez au soleil, cette perle brille et attire les regards.â De le curĂ© d'Ars C'est toi mon coeur ma petite Ă©toile cachĂ© le jour et qui te dĂ©voile la nuit faisant palpiter mon coeur, et mes yeux de mille pĂ©pites lorqu'ils te contemple, levĂ© tout la haut vers toi, et qui laisse une trace comme un petit pincement... ton choupinou |
left by spanky on 14/04/2024 « Cracker Jack », de Dolly Parton (1974) ----- En 1980, Henri DĂšs crĂ©e cette chanson au sujet dâun adorable chien qui, malheureusement pour lui, est trĂšs sale. Câest dâailleurs presque parfois Ă se demander sâil ne parle pas plutĂŽt dâun cochon. Cependant, cette comptine est dâautant plus touchante quâHenri DĂšs est accompagnĂ© dâenfants au chant. Elle lâest aussi quand on dĂ©couvre que, malgrĂ© son hygiĂšne et son comportement qui laisse Ă dĂ©sirer, il lâaime quand mĂȘme, son chien. ----- Paroles de la chanson « Chanson pour mon chien » J'ai un chien gentil mais sale Qui a des poils mouillĂ©s partout (J'ai un chien gentil mais sale) (Qui a des poils mouillĂ©s partout) Qui a des poils mouillĂ©s partout ---- Et c'est pas tout ---- Quand il mange dans son assiette Il s'en met plein le menton (Quand il mange dans son assiette) (Il s'en met plein le menton) Il s'en met plein le menton Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime (Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime) ---- Quand je le promĂšne au lac Il patauge dans la boue (Quand je le promĂšne au lac) (Il patauge dans la boue) Il patauge dans la boue Et c'est pas tout ---- Il va renifler les crottes Et ça ne sent pas trĂšs bon (Il va renifler les crottes) (Et ça ne sent pas trĂšs bon) Et ça ne sent pas trĂšs bon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime (Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime ) ---- Quand il boit dans sa gamelle Ăa dĂ©gouline partout (Quand il boit dans sa gamelle) (Ăa dĂ©gouline partout) Ăa dĂ©gouline partout Et c'est pas tout ---- Il en met plein la moquette De la cuisine au salon (Il en met plein la moquette) (De la cuisine au salon) De la cuisine au salon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime (Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime) ---- Quand il vient me faire la fĂȘte Il me lĂšche dans le cou (Quand il vient me faire la fĂȘte) (Il me lĂšche dans le cou) Il me lĂšche dans le cou Et c'est pas tout ---- Il bave sur ma chemise Et puis sur mon pantalon (Il bave sur ma chemise) (Et puis sur mon pantalon) Et puis sur mon pantalon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime (Mais je l'aime quand mĂȘme, je l'aime) ----- |
left by poutounou on 14/04/2024Sois le bienvenu « Rire du printemps » ! * Le printemps * Te voilĂ , rire du Printemps ! Les thyrses des lilas fleurissent. Les amantes qui te chĂ©rissent DĂ©livrent leurs cheveux flottants. * Sous les rayons dâor Ă©clatants Les anciens lierres se flĂ©trissent. Te voilĂ , rire du Printemps ! Les thyrses de lilas fleurissent. * Couchons-nous au bord des Ă©tangs, Que nos maux amers se guĂ©rissent ! Mille espoirs fabuleux nourrissent Nos coeurs gonflĂ©s et palpitants. Te voilĂ , rire du Printemps ! * ThĂ©odore de Banville |
left by ovanek on 13/04/2024CĂŽte Ă cĂŽte nous avons marchĂ© Ensemble le chagrin et moi Porter ma vie reste Sous un ciel assombri àłđâąâ§àčâĄđżàčâ§âąàł đ J'ai demandĂ© quand il partirait Si le soleil brillerait Ă nouveau J'ai demandĂ© si ça allait guĂ©rir Si ça pouvait arrĂȘter la douleur àłđâąâ§àčâĄđżàčâ§âąàł đ Le chagrin a pris son temps pour parler Je me suis souvent demandĂ© pourquoi Plusieurs fois, nous nous sommes assis ensemble Et tout ce que j'ai fait c'est pleurer àłđâąâ§àčâĄđżàčâ§âąàł đ Le chagrin ne m'a jamais quittĂ© et puis un jour ça a dit : Je ne vais nulle part... Alors apprends Ă vivre avec moi Ă la place Puis je me suis liĂ© d'amitiĂ© avec le chagrin Puis il a commencĂ© Ă parler J'attendais avec impatience ses histoires Quand cĂŽte Ă cĂŽte on marchait Ensemble, nous avons partagĂ© des souvenirs Que j'avais enfermĂ© Le chagrin fait maintenant partie de moi Et j'accepte qu'il reste ici... àłđâąâ§àčâĄđżàčâ§âąàł đ J. Boyle ââ.đđżââââââââââ đBON WEEKEND đđż ââââââââââââââââ đ AMITIE đđż ââââââââââââââââ |
left by spanky on 12/04/2024Il observait sans cesse tous tes faits et gestes, lorsque, assis au coin de la cheminĂ©e, tu mĂ©ditais sur les annĂ©es passĂ©es ... --- Tes yeux remplis des choses que tu ne pouvais dire, mais que son instinct savait si bien traduire. Doucement, il te lĂ©chait les mains, dans ses yeux, quelque chose ... dâhumain. --- Penchant lentement la tĂȘte : â je suis lĂ mon maĂźtre ! Son regard semblait te dire : â Nous avons de beaux souvenirs. --- Que de fois as-tu pensĂ© ne plus lutter, disparaĂźtre, et tout arrĂȘter. Mais son bon et doux regard rempli dâamour te donnait la force de continuer ton parcours. --- Sans toi, sa vie Ă©tait finie. Placement ou euthanasie ? Ă cette pensĂ©e ton cĆur se serrait. --- Quelle trahison, lui ton fidĂšle compagnon qui te voua une si grande adoration. Consolateur de toutes tes douleurs, chaque jour, il sut sĂ©cher tes pleurs. --- Dans ton cĆur, sa grande fidĂ©litĂ© a fait de lui un ami pour lâĂ©ternitĂ©. Ensemble, vous irez au bout du chemin comme deux vrais copains, jusquâĂ la fin ... --- " Le viel homme et son chien " Harmonia Messidor ------ |
left by colombine67 on 12/04/2024 Le BĂTARD et le CLOCHARD. Je suis un beau « bĂątard » qui fĂȘte ses deux ans, Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps. Je nâai pas choisi, tout petit il mâa pris Ă ma mĂšre, Et depuis, je suis lĂ , le compagnon de sa misĂšre. Tous les jours, tous les deux, on fait la manche, Du matin du lundi, jusquâau soir du Dimanche. Câest pour quelques Euros, car il faut bien manger, Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut lâavouer. Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir, Nous venons tard le matin, et repartons tĂŽt le soir. Elle est longue lâattente, aux pieds de tous ces gens, Qui jettent un dur regard, Ă ces gueux, ces mendiants. Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse, Baissant les yeux, honteux, devant tant de dĂ©tresse, CondamnĂ©s que nous sommes Ă vivre de la quĂȘte, Nous savons que pour nous ce nâest jamais la fĂȘte. Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons, Dâun Amour sain, dâun Amour pur, de la passion. Nous ne possĂ©dons rien, et ne sommes pas jaloux De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous. Il est un homme, je suis un chien, drĂŽle de couple, Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple, Que pour ceux qui pensent au succĂšs, et Ă la rĂ©ussite, PrĂȘts Ă se battre ou se haĂŻr⊠pour rĂ©ussir plus vite. Alors, gens de bonnes maniĂšres, responsables civils, Qui faites les beaux jours des villages et des villes, Nâenlevez jamais Ă cet homme, nommĂ© « Le Clochard », Ce vilain chien, son seul Ami, bien quâil fĂ»t un «bĂątard». |
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