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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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In tribute to
Nudji
54 candles
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left by Cupidon Tendres pensĂ©es en ce triste jour anniversaire. Nous les reverrons tous de l'autre cĂŽtĂ©, j'en suis certaine... left by nina1997 Des bisous pour toi magnifique Nudjiâ€ïž en ce triste jour d'anniversaire. Mes amitiĂ©s Ă ta maman đ· đ· đ· đ· left by colombine67 Mieux que tout lâor du monde, mieux que les diamants, que les perles et tout choix de matiĂšre⊠Câest lâamour dâun chien et la joie quâil nous apporte ! left by poutounou Aujourd'hui ta maman de coeur est trĂšs triste... Prends bien soin d'elle de ton beau nuage tout lĂ -haut, Nunu...!!! left by choupinou bisous , bisous , bisous, mon p'tit bĂ©bĂ© d'Amour, mon Nunu, je t'aime đ©đŸâšđđȘđđ„°đđđȘđȘđȘđȘđȘ left by choupinou toute ma tendresse mon petit coeur, en ce jour anniversaire, en ce jour difficile du souvenir, qui m'est si dur; tendres cĂąlinsđđ„âšmon merveilleux Nunu, mon bĂ©bĂ© d'Amour chĂ©ri que j'aime si fort đđ© left by choupinou toute ma tendresse mon petit coeur, en ce jour anniversaire, en ce jour difficile du souvenir, qui m'est si dur; tendres cĂąlinsđđ„âšmon merveilleux Nunu, mon bĂ©bĂ© d'Amour chĂ©ri que j'aime si fort đđ© |
3712 messages
left by colombine67 on 15/11/2015 Vieillir, se l'avouer Ă soi mĂȘme et le dire tout haut, non pas pour voir protester les amis, mais pour y conformer ses goĂ»ts et s'interdire ce que la veille encore on se croyait permis. Avec sincĂ©ritĂ©, dĂšs que l'aube se lĂšve, se bien persuader qu'on est plus vieux d'un jour ; Ă chaque cheveu blanc, se sĂ©parer d'un rĂȘve et lui dire tout bas un adieu sans retour. Aux appĂ©tits grossiers, imposer d'Ăąpres jeunes, et nourrir son esprit d'un solide savoir, devenir bon, devenir doux, aimer les fleurs, aimer les jeunes, comme on aima l'espoir. Se rĂ©signer Ă vivre un peu sur le rivage, tandis qu'il vogueront sur les flots hasardeux, craindre d'ĂȘtre importun sans devenir sauvage, se laisser ignorer tout en restant prĂšs d'eux. Vaquer sans bruit aux soins que tout dĂ©part rĂ©clame, prier et faire un peu de bien autour de soi, sans nĂ©gliger son corps, parer surtout son Ăąme, chauffant l'un aux tisons, l'autre Ă l'antique Foi. Puis un beau soir, discrĂštement, souffler la flamme de sa lampe et mourir parce que c'est la loi. Jean FabiĂ© |
left by colombine67 on 14/11/2015 Un jour viendra oĂč mon corps recouvert d'un drap blanc, soigneusement tirĂ© aux quatre coins du lit, restera immobile sur un lit d'hĂŽpital parmi la rumeur des vivants et les affres des mourants. Ă un moment donnĂ©, un mĂ©decin constatera que mon cerveau a cessĂ© de fonctionner et, qu'Ă tous Ă©gards, la vie m'a quittĂ©. Quand cela arrivera, n'essayez pas de me maintenir artificiellement en vie au moyen d'un appareil. Et ne parlez pas de mon "LIT DE MORT". Dites plutĂŽt "LIT DE VIE" et laissez emporter mon corps pour qu'il serve Ă donner Ă d'autres une vie plus riche... Qu'on donne mes yeux Ă celui qui n'a jamais vu le lever du soleil, le visage d'un bĂ©bĂ© ou l'amour dans le regard d'une femme... Qu'on donne mon coeur Ă celui dont le coeur n'a Ă©tĂ© qu'une cause permanente de souffrance... Qu'on donne mon sang Ă l'adolescent qu'on a sorti des dĂ©bris de sa voiture afin qu'il vive assez longtemps pour voir jouer ses petits enfants... Qu'on donne mes reins Ă celui qui doit recourir de semaine en semaine au rein artificiel... Qu'on prenne mes os, mes muscles, tous les nerfs et les tissus de mon corps et qu'on trouve le moyen, grĂące Ă eux, de faire marcher un enfant paralysĂ©... Qu'on explore tous les recoins de mon cerveau. Qu'on en prenne la matiĂšre s'il le faut, afin qu'un jour un jeune garçon privĂ© de la parole soit capable de crier sa joie et qu'une petite fille sourde puisse entendre la pluie battre contre les vitres... Qu'on brĂ»le ce qui restera de moi et qu'on rĂ©pande mes cendres Ă tous vents pour aider les fleurs Ă pousser. S'il faut mettre quelque chose en terre, que ce soit mes fautes, mes faiblesses et tous mes prĂ©jugĂ©s Ă l'encontre de mes semblables. Si par hasard vous dĂ©sirez conserver mon souvenir, faites-le en aidant d'un mot ou d'un geste quelqu'un qui en aura besoin. Si vous faites tout ce que je vous ai demandĂ©, "JE VIVRAI ĂTERNELLEMENT". Merci de votre comprĂ©hension ! Un donneur d'organes anonyme... |
left by Biscuit on 14/11/2015Message d'une petite Ătoile,Nudji « Si vous sentez de temps Ă autre des souffrances, si des questions vous viennent auxquelles vous n'obtenez aucune rĂ©ponse, cherchez en vous. ProfondĂ©ment enfouie, se cache une Ă©tincelle qui ne demande qu'Ă grandir et briller, briller, laissez la vous consumer totalement, seulement alors nous pourrons nous rejoindre. Pour autant, ne levez pas la tĂȘte au ciel pour tenter de m'apercevoir. Mais regardez seulement en vous, c'est ici que je me cache ». |
left by colombine67 on 13/11/2015La voici, la maladie, dans ces membres sans vie. Elle s'attarde un peu dans le corps de l'enfant, Creusant la souffrance et la peur. Elle nous garde, comme un voilier dans la tourmente, un arbre sous la bourrasque, attendant que l'orage passe ; presque heureux d'avoir pu garder, jusque dans la dĂ©tresse du quotidien, l'espĂ©rance fragile ; Tels des rescapĂ©s... La maladie a tout pris, et que resterait-il, S'il n'y avait cet espoir tenace que l'adversitĂ© n'aura pas terni ? Oui, si c'Ă©tait cela, le Bonheur : Vivre, mĂȘme dans l'urgence... Vivre, mĂȘme quand le corps nous trahit, Au delĂ de nos Ă©goĂŻsmes et de nos peurs, Au delĂ de la souffrance et de la mort... L'espĂ©rance renaĂźt, jour aprĂšs jour, pas Ă pas, au long chemin de l'existence... StĂ©phane Bardy |
left by rafia on 13/11/2015Amitié Je connais un petit ange Lequel n'a jamais mouillé Sa blanche robe à la fange Dont notre monde est souillé. C'est lui qui donne le change Au pauvre coeur dépouillé Que l'amour, vautour étrange, D'un bec cruel a fouillé. Cet ange, qui vous ressemble, Sous son aile nous rassemble C'est la divine Amitié. Son regard est doux et calme ; Il m'offre sa chaste palme. En voulez-vous la moitié ? Louis-Honoré Fréchette. |
left by Galinette3 on 12/11/2015âJe suis juste de lâautre cĂŽtĂ© du cheminâ đ¶ La mort nâest rien, je suis seulement passĂ©, dans la piĂšce Ă cĂŽtĂ©. Je suis moi. Vous ĂȘtes vous. Ce que jâĂ©tais pour vous, je le suis toujours. đ¶ Donnez-moi le nom que vous mâavez toujours donnĂ©, parlez-moi comme vous lâavez toujours fait. Nâemployez pas un ton diffĂ©rent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez Ă rire de ce qui nous faisait rire ensemble. đ¶ Priez, souriez, pensez Ă moi, priez pour moi. đ¶ Que mon nom soit prononcĂ© Ă la maison comme il lâa toujours Ă©tĂ©, sans emphase dâaucune sorte, sans une trace dâombre. đ¶ La vie signifie tout ce quâelle a toujours Ă©tĂ©. Le fil nâest pas coupĂ©. Pourquoi serais-je hors de vos pensĂ©es, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de lâautre cĂŽtĂ© du chemin. đ¶ Vous voyez, tout est bien đ¶ Henry Scott-Holland |
left by poutounou on 12/11/2015PoĂšme de notre ou nos anges pour nous⊠* Jâaimerais ĂȘtre lâange de ton sommeil, Te protĂ©ger jusquâau rĂ©veil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cĆur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rĂȘves les plus enfouis. Je garderai prĂ©cieusement la clĂ© Des plus profondes de tes pensĂ©es. Je dissiperai le brouillard Qui dĂ©truit tous les espoirs. Et lorsque tu te rĂ©veilleras Tu te souviendras de tout lâamour que jâai pour toi. |
left by colombine67 on 12/11/2015Quand j'ai mal, je pense ĂȘtre seule Ă souffrir je me dis que je n'ai pas de chance Que seul les malheurs la vie veut m'offrir que je ne suis rien, que je suis dĂ©chĂ©ance Je me dis que personne ne m'aime que je compte vraiment pour rien que je mĂ©rite tous mes problĂšmes que je ne ferai jamais rien de bien Pourtant en observant les autres je vois des choses si terribles parfois je ne sais pas comment ils font le choix de continuer avec autant de tracas Alors je m'amuse Ă faire une liste de ce que j'ai de bien, de ce que j'ai de mal de ce que j'imagine, de ce qui vraiment existe et je compte les points au final Si j'ai plus de mal que de bien je m'arrange pour Ă©galiser la balance je m'assure de mon soutien et j'avance remplie d'espĂ©rance Ce que j'ai de mauvais, je le mets de cĂŽtĂ© c'est un sujet Ă travailler ce que j'ai de bien, je le fais fructifier c'est un sujet Ă dĂ©velopper Si malgrĂ© tout j'ai encore mal je me dis que je continuerai vaille que vaille que je suis quelqu'un de phĂ©nomĂ©nale et que je gagnerai bataille aprĂšs bataille Marie, Mur des lamentations |
left by ovanek on 11/11/2015đ đ đ 78 đ đ ***** Il n'y a qu'un voile ***** Qu'un voile qui nous sĂ©pare Il y a un souffle qui nous unis, celui des Ăąmes Si doux, si fin, si persistant "Je suis lĂ , au-delĂ du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix "Il n'y a que ce voile qui nous sĂ©pare et tu me sens parfois" Une odeur, un geste, une musique, un endroit Et je suis lĂ , auprĂšs de toi Tu m'entends rire, discourir de ce qui Ă©tait DĂ©sormais, c'est un trĂ©sor au fond de toi Il n'y qu'un voile si fin pourtant si infranchissable ImpĂ©nĂ©trable car nul ne sait ce qui est au-delĂ Nul ne doit savoir On n'en revient pas C'est l'Ă©blouissant interdit Mais pour les cĆurs la frontiĂšre n'existe pas L'amour brĂ»le ce voile si tenu et retrouve le feu de l'Ă©ternel L'amour ne craint l'Ă©blouissement mais s'en nourrit constamment ***** PensĂ©e ***** đ |
left by colombine67 on 11/11/2015Quelque soit la maladie, lâAmour est la rĂ©ponse. Quelque soit la douleur, lâAmour est la rĂ©ponse. Quelque soit la peur, lâAmour est la rĂ©ponse. LâAmour est toujours la rĂ©ponse, car lâAmour est tout ce qui est. Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le dâAmour. Adolescent, jeune, vieux, toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le dâAmour. Ne pense pas "je souffrirai", ne pense pas "je me tromperai". Va simplement, allĂšgrement, Ă la recherche de lâAmour. Cherche Ă aimer comme tu peux, Ă aimer tout ce que tu peux. Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le dâAmour. Et quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie. Ne pense pas "il en a assez" ; ne pense pas "il en a dĂ©jĂ trop". Toujours, quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie. Nâoublie pas de donner ton Amour et nâarrĂȘte jamais. Alors tu seras aimĂ©. Anonyme |
left by choupinou on 10/11/2015toi,mon ange je t'ai vu descendre un jour j'ai cru te voir mon ange je me suis approchĂ©e et je me suis dis que surement j'avais des visions !!! mais non,tu Ă©tais bien un ange, venu du ciel,pour qui?Pourquoi?Et quand? je n'ai eu que deux rĂ©ponses !!! - tout de suite ... - et pour qui ... - et pourquoi personne ne le sauras, cela restera entre nous deux... je me glisse dans le vent , comme les feuilles de l'automne.... moi qui peux te fait pleurer, je viens te donner du rĂȘve, je veux que tu sois heureuse(eux) je peux te raconter ma belle histoire celle de la haut ou je suis bien, gaie,comme triste je veux te donner tout mon amour,tout ce que tu peux recevoir... aujourd'hui,je l'ai vu descendre, tout doucement ,puis les ailes dĂ©ployĂ©es ,il est reparti,vers les cieux, me laissant une plume blanche,sur le plancher.... |
left by colombine67 on 10/11/2015A Toi qui souffres Qui est au bord du gouffre A Toi qui ne sens plus rien Si ce n'est ce vide ou ce trop plein A Toi qui es si seul Et que personne ne remarque A Toi qui voudrais hurler Pour que quelqu'un t'entende A Toi qui pleures Toutes les larmes de ton coeur A Toi qui voudrais exister Au regard des autres J'aimerais Te dire : Fais Silence - Ecarte ta Raison - Descends dans ton Coeur : Là une petite flamme vit, palpite, prisonniÚre de sombres pensées. Une petite flamme qui ne demande qu'à s'épanouir à la Vie. Ecoute-La - Sens-La - Vois-La - Touche-La - Goûte-La Laisse ton Corps, Temple de ton Ame, l'accueillir. Et les chaßnes qui L'entravent tomberont. OUI, la VIE est en Toi TU es TOI - AIME TOI |
left by colombine67 on 09/11/2015Solitude, sais-tu pourquoi je tâaime ? Solitude, sais-tu pourquoi je tâattends ? Solitude, sais-tu pourquoi je tâespĂšre ? Solitude, sais-tu pourquoi je tâai apprise ? En toi, je trouve le refuge face au regard Ă©tranger, En toi, je trouve le silence face Ă lâinexplicable, En toi, je trouve la paix face Ă lâĂ©puisement, En toi, je trouve celle que je suis devenue. Avec toi, jâai parcouru des chemins inconnus, Avec toi, jâai parcouru lâespoir et la dĂ©sespĂ©rance, Avec toi, jâai parcouru la vie et la souffrance, Avec toi, jâai appris Ă tout rĂ©apprendre. Alors, Solitude, quand ma main tu lĂącheras, Et quâune main nouvelle viendra se tendre, Alors, Solitude, souvent mon cĆur reviendra, Car pour aimer, il faut savoir attendre. Elisabeth Lafont |
left by poutounou on 08/11/2015Le plus beau cadeau * Faire le plus beau cadeau Ă quelqu'un : Ce n'est pas l'aider, Ce n'est pas combler ses dĂ©sirs, Ce n'est pas lui apporter la sĂ©curitĂ©, Ce n'est pas l'Aimer. NON. * C'est lui donner sa libertĂ©, C'est l'accompagner QUELS QUE SOIENT ses choix, C'est lui montrer sa propre lumiĂšre, C'est croire en lui, Câest toujours rester dans la vĂ©ritĂ©, ET SURTOUT, C'est ĂȘtre Ă son Ă©coute et lui donner l'occasion de s'Aimer... |
left by Biscuit on 08/11/2015â S'il vous plaĂźt ne dite plus que la mort n'est rien. S'il vous plaĂźt ne dite plus que cela passera avec le temps. S'il vous plait ne donnez plus de conseils... A ceux, Ă celles qui perdent un ĂȘtre cher... Parti toujours trop vite, trop tĂŽt.... Laissez les pleurer de l'Ă©tĂ©, Ă l'automne, de l'hiver au printemps... Laissez les pleurer aussi longtemps qu'ils en Ă©prouve le besoin... Laissez les parler, ne faites que les Ă©couter. Il n'y a pas de temps limite pour faire son deuil. â tu es gravĂ© dans mon coeur , petit ange . Veille sur nous de la -haut |
left by bouffie on 08/11/2015Quelques mots en hommage à nos merveilleux petits anges qui illuminent, telles des étoiles filantes, nos vies sur cette pauvre terre. Le destin m'a donné la chance de te rencontrer La douleur de te perdre Mais jamais il ne m'enlÚvera le bonheur de ton souvenir Mon ùme restera pour toujours Emplie de toi et de ta tendre et chaleureuse présence. Je t'aime mon chien, petit Etre d'amour pur amitié |
left by colombine67 on 08/11/2015Comment puis-je attendre demain Tout en souffrant jusquâĂ la limite Que jâespĂšre que Dieu me tendra la main Me libĂ©rant du mal qui mâhabite De devoir ainsi me demander Quand surviendra la prochaine crise Rend difficile pour moi dâespĂ©rer Pouvoir vivre sans cette hantise Mais je sais que je ne suis pas seul Et quâautour on a besoin de moi Il faudra donc faire face aux Ă©cueils Et chercher Ă conserver la foi Pourra-t-on enfin mâaider un jour Voir le miracle se rĂ©aliser De pouvoir effacer pour toujours La douleur qui ne cesse dâaccabler Mais je mâaccroche encore Ă la vie Ma raison ne peut abandonner Je nâai pas fini mon rĂŽle ici Il me reste beaucoup Ă donner MalgrĂ© ce que jâai Ă endurer Le sort me rĂ©serve du bonheur Et je prends le temps de savourer MĂȘme s'il ne dure que quelques heures Je dois compter sur le courage Dont tout mon ĂȘtre est habitĂ© Pour taire en moi toute cette rage Que le destin a su Ă©veiller Je trouve la force Ă chaque jour Pour mon fils, mes parents, mes amis De puiser dans mon coeur de lâamour Et me coucher en disant merci Claude |
left by Galinette3 on 08/11/2015âComme un voilierâ â William Blake đ¶ Je suis debout au bord de la plage Un voilier passe dans la brise du matin et part vers lâocĂ©an. Il est la beautĂ©, il est la vie. Je le regarde jusquâĂ ce quâil disparaisse Ă lâhorizon. đ¶ Quelquâun Ă mon cĂŽtĂ© dit : âIl est parti !â Parti ? Vers oĂč ? Parti de mon regard. Câest tout⊠đ¶ Son mĂąt est toujours aussi haut, Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, Pas en lui. đ¶ Et juste au moment oĂč quelquâun prĂšs de moi dit : âil est parti !â Il en est dâautres qui, le voyant poindre Ă lâhorizon et venir vers eux, Sâexclament avec joie : âLe voilĂ !â⊠đ¶ Câest ça la mort. đ¶ A nos chers anges qui sont partis au paradis des chiens du pont de l'arc en ciel |
left by rafia on 07/11/2015La tombe dit Ă la rose La tombe dit Ă la rose : â Des pleurs dont lâaube tâarrose Que fais-tu, fleur des amours ? La rose dit Ă la tombe : â Que fais-tu de ce qui tombe Dans ton gouffre ouvert toujours ?La rose dit : â Tombeau sombre, De ces pleurs je fais dans lâombre Un parfum dâambre et de miel. La tombe dit : â Fleur plaintive, De chaque Ăąme qui mâarrive Je fais un ange du ciel !Par Victor Hugo, , |
left by colombine67 on 06/11/2015Ne te laisse pas tromper par moi. Ne te laisse pas tromper par le visage que je porte, car je porte un masque, mille masques, masques que j'ai peur d'enlever, et je ne suis aucun d'entre eux. Faire semblant est un art qui est une seconde nature pour moi, mais ne sois pas dupe, pour l'amour de Dieu, ne sois pas dupe. Je te donne l'impression que je suis sĂ»r, que tout est bien et sans problĂšme avec moi, aussi bien Ă l'intĂ©rieur qu'Ă l'extĂ©rieur, que je suis la confiance mĂȘme et que je plane au-dessus de tout, que l'eau est calme et que je suis bien aux commandes et que j'ai besoin de personne, mais ne me crois pas. A la surface, je suis lisse et sans faille, mais ce n'est que mon masque, toujours diffĂ©rent et toujours cachĂ©. En dessous, il n'y a aucune complaisance. En dessous rĂ©sident la confusion, la peur et la solitude. Mais je les cache. Je ne veux pas que quiconque le sache. Je panique Ă l'idĂ©e que ma faiblesse soit exposĂ©e. C'est pourquoi, je crĂ©e avec frĂ©nĂ©sie un masque pour me cacher derriĂšre, une façade nonchalante et sophistiquĂ©e, pour m'aider Ă faire semblant, pour me protĂ©ger des regards qui savent. Mais ce regard est prĂ©cisĂ©ment mon salut, mon seul espoir, et je le sais. S'il est suivi par l'acceptation, et s'il est suivi par l'amour. C'est la seule chose qui puisse me libĂ©rer de moi-mĂȘme, des murs de la prison que j'ai Ă©rigĂ©s moi-mĂȘme, des barriĂšres que j'ai dressĂ©es avec tant d'efforts. C'est la seule chose qui puisse m'assurer de ce que je ne peux m'assurer par moi-mĂȘme, que j'ai vraiment une valeur. Mais je ne te le dis pas. Je n'ose pas, j'ai peur de le faire. J'ai peur que ton regard ne soit pas suivi d'acceptation, ne soit pas suivi d'amour. J'ai peur que tu penses moins de moi, que tu ries et tes rires me tueraient. J'ai peur, qu'au fond, je ne sois rien, que tu le voies et me rejettes. Donc, je joue mon jeu, un jeu dĂ©sespĂ©rĂ© Ă faire semblant, portant sans assurance une façade et un enfant tremblotant Ă l'intĂ©rieur. C'est ainsi que dĂ©bute la belle, mais irrĂ©elle parade des masques, et ma vie devient une façade. Je bavarde avec toi de maniĂšre suave de sujets Ă©phĂ©mĂšres. Je te dis tout de rien, et rien de ce qui est tout, de ce qui pleure Ă l'intĂ©rieur de moi. Alors, quand je passe Ă travers mon scĂ©nario ne te laisse pas berner par cette sĂ©rĂ©nade. S'il te plaĂźt, essaye d'Ă©couter attentivement et Ă©coute ce que je ne te dis pas, ce que j'aimerais ĂȘtre capable de te dire, ce que j'ai besoin de te dire pour survivre, mais ce que je ne peux dire. Je n'aime pas me cacher. Je n'aime pas jouer les jeux superficiels. Je veux arrĂȘter de jouer. Je veux ĂȘtre authentique, spontanĂ© et moi-mĂȘme, mais tu dois m'aider. Tu dois me tendre la main mĂȘme si c'est la derniĂšre chose que je semble vouloir. Tu es la seule personne qui puisse effacer de mes yeux le regard vide d'un mort vivant. Tu es la seule personne qui puisse m'inviter Ă la vie. Chaque fois que tu es aimable, doux et encourageant, chaque fois que tu essaies de comprendre parce que tu portes attention, mon coeur commence Ă avoir des ailes qui poussent - de trĂšs petites ailes, de trĂšs faibles ailes, mais des ailes ! Avec ton pouvoir de toucher et de me faire sentir, tu peux m'insuffler la vie. Je veux que tu le saches. Je veux que tu saches combien tu es une personne importante pour moi, comment tu peux ĂȘtre un crĂ©ateur - un crĂ©ateur fidĂšle Ă Dieu - de la personne que je suis si tu le choisis. Toi seul peux briser le mur derriĂšre lequel je tremble, toi seul peux enlever mon masque, toi seul peux me libĂ©rer de mon monde ombragĂ© par la panique, de ma prison solitaire, si tu le choisis. S'il te plaĂźt, choisis-le. Ne passe pas Ă cĂŽtĂ© de moi. Ăa ne sera pas facile pour toi. Plusieurs annĂ©es Ă croire que je ne vaux rien ont Ă©rigĂ© des murs trĂšs solides. Plus tu approches de moi plus je peux combattre aveuglĂ©ment. C'est irrationnel, mais en dĂ©pit de ce que les livres disent sur l'homme, je suis souvent irrationnel. Je lutte prĂ©cisĂ©ment contre la chose dont j'ai besoin. Mais on dit que l'amour est plus fort que les murs et c'est lĂ que rĂ©side mon espoir. S'il te plaĂźt, essaye d'enfoncer les murs avec une main ferme, mais douce, car un enfant, c'est trĂšs sensible. Qui suis-je, tu te demandes peut-ĂȘtre ? Je suis quelqu'un que tu connais trĂšs bien. Car je suis chaque homme que tu rencontres et je suis chaque femme que tu rencontres. Charles C. Finn |
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