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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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In tribute to
Nudji
50 candles
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12911 Flowers
left by spanky Aucun ĂȘtre au monde ne sait offrir plus d'amour qu'un chien, il vous aime sans condition et Ă©ternellement. Alors sachez qu'un petit ange gardien Ă quatre pattes veille sur vous de lĂ oĂč il est. left by colombine67 Une personne qui nâa jamais possĂ©dĂ© de chien a manquĂ© une partie merveilleuse de la vie left by colombine67 Quand lâamour a Ă©tĂ© vrai et profond LâĂȘtre aimĂ© disparu reste prĂ©sent dans le coeur de ceux qui lâaime. Lâamour vrai ne meurt jamais ⊠left by nina1997 Dans chaque pĂ©tale de fleurs đž đž đž j'ai dĂ©posĂ© des bisous đđđ rien que pour toi đđđđ§đ§đ§ left by goulou50 Je viens te faire un petit coucou en dĂ©posant dans ton jardin un bouquet de cĂąlins left by spanky Rien n'est plus doux, et rien ne donne Ă la peau une sensation plus DĂ©licate, plus RaffinĂ©e, plus Rare que la robe tiĂšde et vibrante de nos amours les chiens qui nous manques Ă©normĂ©ment. |
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left by colombine67 on 20/01/2016 La petite EspĂ©rance Câest la petite lumiĂšre qui brille au fond de ton cĆur et que nul au monde ne saurait Ă©teindre. Si ton cĆur est brisĂ©, malheureux, Ă©perdu, si ta vie est triste, monotone, sans saveur, si lâangoisse parfois et souvent te saisit, La petite espĂ©rance est lĂ au fond de ton cĆur, qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit aprĂšs lâhiver, elle est ta bonne Ă©toile qui scintille dans le ciel. Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages⊠Si tu te crois sans force, sans idĂ©e, sans espoir, tout au fond dâune impasse, dans le noir dâun tunnel, Si tu nâas plus le goĂ»t Ă rien, ni mĂȘme celui de vivre⊠La petite espĂ©rance est encore lĂ , au fond de ton cĆur, qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte dâeau pure qui jaillit de la source, le jeune bourgeon qui permet Ă lâarbre de reverdir, la clartĂ© du jour, lĂ -bas, au bout de la nuit. Merci dâĂȘtre toujours lĂ , ma petite espĂ©rance, tout au fond de mon cĆur Ma merveilleuse lampe magique oĂč je puise tous mes rĂȘves, toi qui ne connais pas le mot fin. Auteur Anonyme |
left by choupinou on 18/01/2016 Couplet 1 Encore une matinĂ©e Ă m'demander Comment j'vais combler tout ce vide que tu as laissĂ© Je sens que la journĂ©e promet d'ĂȘtre longue Et j'n'ai plus personne avec qui la passer Je n'peux plus porter cette solitude, tu me manques Je n'ai plus personne Ă qui me confier Je passe mon temps Ă regarder par la fenĂȘtre Et je n'te vois toujours pas rentrer PrĂ©-refrain Tout semble faux, j'en perds mes mots Que vais-je devenir ? Je garde espoir de te revoir Dans un proche avenir Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu me manques, tu me manques Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu me manques, tu me manques Ăa fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mĂ©moire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu me manques, tu me manques Couplet 2 Encore toute une nuit Ă rĂȘver de ton retour Mais l'rĂ©veil me replonge dans ce cauchemar Sans toi, je m'ennuie, je souris Quand j'repense aux discussions qu'on avait matins et soirs Je pense tellement Ă toi Parfois, j'ai l'impression d'entendre le son de ta voix Plus les annĂ©es passent et plus je rĂ©alise Ă quel point j'avais de la chance de t'avoir PrĂ©-refrain Tout semble faux, j'en perds mes mots Que vais-je devenir ? Je garde espoir de te revoir Dans un proche avenir Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu me manques, tu me manques Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu me manques, tu me manques Ăa fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mĂ©moire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu me manques, tu me manques Pont Je t'attendrai encore, encore et encore Tant que mon corps supportera ton absence Je t'attendrai encore, encore et encore J'attendrai que tu rentres Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu me manques, tu me manques Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu me manques, tu me manques Ăa fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mĂ©moire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu me manques, tu me manques A Mon NUDJI, |
left by colombine67 on 18/01/2016On raconte l'histoire d'un garagiste aux Ătats-Unis, dont la belle voiture est tombĂ©e en panne sur un grand boulevard. Homme de mĂ©tier, il descend de l'auto et soulĂšve le capot afin de trouver la cause de cette panne. AprĂšs une demi-heure de vains efforts, il constate la prĂ©sence d'un homme Ă cĂŽtĂ© de lui, homme qui lui propose de lâaider. Le garagiste repousse l'offre et continue Ă tripoter... mais rien ne marche... puis dĂ©sespĂ©rĂ©, convaincu que rien ne pouvait ĂȘtre fait, avec dĂ©sespoir, il abandonne le moteur dĂ©faillant entre les mains de l'Ă©tranger. Celui-ci touche quelques vis et modifie certains fils... subitement le moteur rĂ©calcitrant retrouve sa forme et dĂ©marre sans broncher ! BouleversĂ©, l'expert mĂ©canicien demande Ă l'homme si bien disposĂ© : « Mais mon cher ami, qui ĂȘtes-vous ? - Je m'appelle Henry Ford, rĂ©pond-t-il, c'est moi qui l'ai conçue. » Combien de fois nous tripotons seuls dans nos cĆurs et notre esprit en panne pensant nous connaĂźtre tellement bien, parfois aussi par orgueil, refusons-nous pas les mains bienveillantes dâamis, de parents ou de professionnels qui cherchent Ă nous aider ? Il est de ces moments oĂč il est nĂ©cessaire dâaccepter les mains tendues, vous ne savez jamais ce quâelles ont de puissant en eux. |
left by colombine67 on 17/01/2016Un prof avait l'habitude, en fin d'Ă©tudes, de donner un cordon violet sur lequel on pouvait lire "Qui je suis fait toute la diffĂ©rence" imprimĂ© en lettres dorĂ©es. Il disait Ă chaque Ă©tudiant Ă cette occasion pourquoi il l'apprĂ©ciait et pourquoi le cours Ă©tait diffĂ©rent grĂące Ă lui. Un jour, il a l'idĂ©e d'Ă©tudier l'effet de ce processus sur la communautĂ©, et envoie ses Ă©tudiants remettre des cordons Ă ceux qu'ils connaissent et qui "font la diffĂ©rence" Ă leurs yeux. Il leur donne 3 cordons en leur donnant cette instruction : "Remettez un cordon violet Ă la personne de votre choix en lui disant pourquoi elle fait la diffĂ©rence pour vous, et donnez-lui deux autres cordons pour qu'elle en remette un elle-mĂȘme et ainsi de suite. Faites-moi ensuite un compte-rendu des rĂ©sultats." L'un des Ă©tudiant s'en va et dĂ©cide de le remettre Ă son patron (il travaillait Ă mi-temps), un gars assez grincheux mais qu'il apprĂ©ciait. "Je vous admire beaucoup pour tout ce que vous faites, pour moi vous ĂȘtes un vĂ©ritable gĂ©nie crĂ©atif et un homme juste. Accepteriez-vous que j'accroche ce cordon violet Ă votre veste en tĂ©moignage de ma reconnaissance ?" Le patron, surpris, hĂ©sitant, rĂ©pond : "Eh bien, euh, oui, bien sĂ»r..." Le garçon continue : "Et accepteriez-vous de prendre les deux autres cordons violets pour les remettre Ă quelqu'un qui fait toute la diffĂ©rence pour vous, comme je viens de le faire ? C'est pour une enquĂȘte que nous menons Ă l'universitĂ©." EtonnĂ©, le patron rĂ©pondit : "D'accord". Et voilĂ notre homme qui rentre chez lui le soir, son cordon Ă la veste. Il dit bonsoir Ă son fils de 14 ans, et lui raconte : "Il m'est arrivĂ© un truc Ă©tonnant aujourd'hui. Un de mes employĂ©s m'a donnĂ© un cordon violet sur lequel il est Ă©crit, regarde : 'Qui je suis fait toute la diffĂ©rence'. Il m'en a donnĂ© un autre Ă remettre Ă quelqu'un qui compte beaucoup pour moi. La journĂ©e a Ă©tĂ© dure, mais en revenant je me suis dit qu'il y a une personne, un seule, Ă qui j'aie envie de le remettre. Tu vois, je t'engueule souvent parce que tu ne travailles pas assez, que tu ne penses qu'Ă sortir avec tes copains et que ta chambre est un parfait foutoir... mais ce soir je voulais te dire que tu es trĂšs important pour moi. Tu fais, avec ta mĂšre, toute la diffĂ©rence dans ma vie et j'aimerais que tu acceptes ce cordon violet en tĂ©moignage de mon amour. Je ne te le dis pas assez, mais tu es un garçon formidable !" Il avait Ă peine fini que son fils se met Ă pleurer, pleurer, son corps tout entier secouĂ© de sanglots. Son pĂšre le prend dans ses bras et lui dit "Ăa va, ça va... est-ce que j'ai dit quelque chose qui t'a blessĂ© ?" Sanglotant Ă chaudes larmes le fils rĂ©pliqua : "Non papa... mais,... j'avais dĂ©cidĂ© de me suicider demain. J'avais tout planifiĂ© parce que j'Ă©tais certain que tu ne m'aimais pas malgrĂ© tous mes efforts pour te plaire. Maintenant tout est changĂ©... Je t'aime papa !" N'attendons pas pour dire "je t'aime" Ă ceux que nous aimons vraiment ! Ces mots si simples font de grands miracles. Il n'y a jamais aucune raison assez valable pour ne pas le dire, mĂȘme si on est convaincu "qu'on ne sait pas le dire"... Si ! ON SAIT LE DIRE, il n'y a pas de bocage cĂ©rĂ©bral qui vous empĂȘche d'extĂ©rioriser ce mot. C'est juste que, chargĂ© d'Ă©motions, ne pas y arriver est souvent liĂ© Ă des blessures que nous ne voulons pas (re)vivre... D'autres affirment ne pas avoir besoin de le dire, car "ce sont les actes qui compte"... Mais comment font les gens de leur entourage pour savoir qu'ils sont aimĂ©s s'ils n'identifient pas les actions d'amour comme une ' expression' d'amour ? Car, nous le savons tous, nous avons tous une façon individuelle et personnelle de percevoir le monde qui nous entoure. Ce qui peut ĂȘtre 'Ă©vident' pour les uns ne l'est pas forcĂ©ment pour d'autres. D'oĂč l'importance de "dire" ! Pourtant, ces mots font tellement de bien Ă ceux qui les reçoivent, mais aussi Ă ceux qui les expriment ! Ces mots sont magiques car ce sont les plus puissants au monde ! Dites aujourd'hui "je t'aime" Ă une personne de votre entourage et observez ce qui se passe en suivant... Je vous souhaite une merveilleuse journĂ©e positive. Michel POULAERT |
left by poutounou on 16/01/2016Chez nos Anges Ă 4 ou 2 ou 1000 pattes, il nây a que des CĆurs pursâŠ. * LE COEUR PUR * Il se contentait d'ĂȘtre heureux Sans le paraĂźtre. Et, se moquant des grands, Il vivait comme un gueux, Fuyait les gens sĂ©rieux Et la gloire et l'argent. On l'aurait volontiers ArrĂȘtĂ©, enfermĂ©. Mais quel homme au coeur pur Ne traverse les murs Avec son chien bien sĂ»r ! |
left by colombine67 on 16/01/2016Il Ă©tait une fois un village qui avait parmi ses habitants un vieil homme trĂšs sage. Les villageois avaient confiance en cet homme pour leur fournir les rĂ©ponses Ă leurs questions et soucis. Un jour, un fermier vint trouver le sage et dit dâun ton alarmĂ© : « Vieil homme, aide-moi. Une chose horrible vient dâarriver. Mon bĆuf est mort et je nâai plus dâanimal pour mâaider Ă labourer mon champ ! Nâest-ce pas la pire chose qui puisse arriver ? » Le vieil homme sage rĂ©pondit « Peut-ĂȘtre bien que oui, peut-ĂȘtre bien que non ». Lâhomme furieux retourna au village et rapporta Ă ses voisins que le sage Ă©tait devenu fou. Bien sĂ»r que câĂ©tait la pire chose qui puisse arriver ! Ne pouvait-il comprendre ça ! Le lendemain, cependant un cheval jeune et vigoureux fut aperçu prĂšs de la ferme de lâhomme. Parce quâil nâavait plus de bĆuf sur lequel compter, il eut lâidĂ©e dâattraper le cheval pour remplacer son bĆuf et câest ce quâil fit. Comme le fermier Ă©tait heureux ! Labourer le champ nâavait jamais Ă©tĂ© aussi facile. Il retourna voir le sage pour sâexcuser. « Vous aviez raison vieux sage. Perdre mon bĆuf nâĂ©tait pas la pire des choses qui pouvait arriver. CâĂ©tait une bĂ©nĂ©diction cachĂ©e ! Je nâaurai jamais capturĂ© mon nouveau cheval si cela ne sâĂ©tait pas produit. Vous devez admettre cette fois que câest la meilleure chose qui puisse survenir ». Le sage rĂ©pondit une fois encore « Peut-ĂȘtre bien que oui, peut-ĂȘtre bien que non ». Ah, non ! Pas encore se dit le fermier. Câest sĂ»r, le vieux sage Ă©tait Ă prĂ©sent devenu complĂštement fou. Mais, de nouveau, lâhomme ne savait pas ce qui allait arriver. Quelques jours plus tard, le fis du fermier montait le cheval et fit une chute. Il se cassa la jambe et fut dans lâincapacitĂ© de faire la rĂ©colte. « Oh, non ! » pensa le fermier, « Maintenant nous allons mourir de faim ». Et de nouveau, le fermier se rendit chez le sage. Cette fois il lui dit « Comment saviez-vous que capturer mon cheval nâĂ©tait pas la pire des choses qui puisse mâarriver ? Vous aviez encore raison. Mon fils est blessĂ© et se trouve dans lâincapacitĂ© de mâaider pour la rĂ©colte. Cette fois je suis sĂ»r que câest la pire des choses qui puisse mâarriver. Et vous devez en convenir cette fois. » Mais tout comme il lâavait fait auparavant, le sage regarda le fermier et, avec compassion, lui rĂ©pondit : « Peut-ĂȘtre bien que oui, peut-ĂȘtre bien que non ». EnragĂ© que le vieil homme soit si ignorant, le fermier hors de lui retourna au village. Le jour suivant, des soldats arrivĂšrent pour enrĂŽler tous les hommes valides pour la guerre qui venait juste dâĂ©clater. Le fils du fermier fut le seul jeune homme dans le village Ă ne pas partir. Il vivrait alors que les autres mourraient sĂ»rement. La morale de cette histoire nous fournit une leçon puissante. La vĂ©ritĂ© est que nous ne savons jamais ce qui va se passer â nous pensons seulement le savoir, nous portons des jugements, nous pensons analyser et nous comparons avec dâautres situations passĂ©es qui ne sont probablement pas le reflet du futur. Nous crĂ©ons nous-mĂȘmes des scĂ©narios dans notre imagination sur les choses terribles qui pourraient arriver et ceux-ci nous mettent dans un Ă©tat interne qui correspond Ă ces scĂ©narios. Sâils sont nĂ©gatifs, nous le deviendrons, sâils sont positifs et optimistes, nous le serons aussi. La plupart du temps, aprĂšs coup, nous nous rendons comptes que nous nous sommes fait du souci pour rien et que nous avions tort. Si nous restons calmes, sereins et ouverts Ă toutes les possibilitĂ©s, nous pourrons raisonnablement ĂȘtre certains que, Ă©ventuellement, tout ira bien. Ne vous crĂ©ez pas de soucis qui nâexistent pas : ils nâexistent pas puisque câest dans lâavenir. Souvenez-vous : « Peut-ĂȘtre bien que oui, peut-ĂȘtre bien que non ». Un optimiste voit des opportunitĂ©s dans les difficultĂ©s. Votre serviteur dans lâoptimisme, Michel POULAERT. |
left by Biscuit on 16/01/2016"""On doit malheureusement se faire Ă l'idĂ©e que ces souvenirs font dĂ©sormais partie du passĂ©."""" Ton dĂ©part Nudji, laisse de la peine, et la rĂ©signation. S'il est vrai que tu fais partie du passĂ© par ton absence, sache comme tous tes compagnons qui t'ont reçu dans ce Paradis des Animaux, que vous serez toujours prĂ©sent dans nos pensĂ©es, et seule une personne matĂ©rialiste ne peut le comprendre. Durant votre vie parmi nous, vous nous avez marquĂ© profondĂ©ment par votre fidĂ©litĂ© sans faille et votre dĂ©vouement sans limite. Tu as pris ta place dans votre Paradis, tu vas recommencer ta nouvelle vie, en pensant Ă celle que tu viens de quitter, tu t'amuseras et un beau jour, tu arrĂȘteras subitement le jeu, tu pointeras les oreilles, tu humeras l'air, et ton regard se dirigera dans une certaine direction, et subitement tu quitteras avec rapiditĂ© ce jeu pour te blottir dans les bras d'un de tes proches qui arrivera dans son Paradis. A ce moment vous serez unis pour lâĂ©ternitĂ©. Toi qui n'est pas mort, mais simplement endormi pour un long sommeil, attends tous ceux que tu as aimĂ©s sur terre. , |
left by colombine67 on 15/01/2016Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'Ă©tait fourvoyĂ© par mĂ©garde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eĂ»t fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le rnĂątin Ă©tait de taille Ă se dĂ©fendre hardiment Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. "Il ne tiendra qu'Ă vous beau sire, D'ĂȘtre aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misĂ©rables, Cancres, hĂšres, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car quoi ? rien d'assurĂ© : point de franche lippĂ©e ; Tout Ă la pointe de l'Ă©pĂ©e. Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin." Le Loup reprit: "Que me faudra-t-il faire ? - Presque rien, dit le Chien : donner la chasse aux gens Portants bĂątons, et mendiants ; Flatter ceux du logis, Ă son maĂźtre complaire : Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons, Os de poulets, os de pigeons, Sans parler de mainte caresse." Le Loup dĂ©jĂ se forge une fĂ©licitĂ© Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant, il vit le col du Chien pelĂ©. "Qu'est-ce lĂ ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attachĂ© De ce que vous voyez est peut-ĂȘtre la cause. - AttachĂ© ? dit le Loup : vous ne courez donc pas OĂč vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrait pas mĂȘme Ă ce prix un trĂ©sor." Cela dit, maĂźtre Loup s'enfuit, et court encor. Jean de La Fontaine, Fables |
left by colombine67 on 14/01/2016 Le bonheur câest... : de savoir sâĂ©merveiller peu importe son Ăąge de rire de bon coeur en agrĂ©able compagnie de savoir dire « je tâaime » de se panifier des moments de tendresse de savoir relever des dĂ©fis, mĂȘme si cela me fait peur dâavoir assez de grandeur dâĂąme pour pardonner de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement de regarder un bon film et de laisser libre cours Ă ses sentiments de regarder ce que jâai accompli et non ce quâil me reste Ă faire dâĂȘtre maĂźtre de soi et non des autres de possĂ©der lâhumour nĂ©cessaire pour surmonter les difficultĂ©s de la vie de reconnaĂźtre que le nĂ©gatif existe, mais de dĂ©cider de ne pas lui ouvrir la porte. Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie, Nâoublie pas de le cultiver Pour quâIl reste longtemps. Anonyme |
left by colombine67 on 13/01/2016Dis pĂ©pĂ©, c'est quoi le bonheur ? Le bonheur mon enfant, c'est d'avoir des yeux, MĂȘme en vitrine, sous d'horribles lorgnons. Pouvoir observer, sur la fleur, un bourdon GorgĂ© de nectar, s'arracher vers les cieux. Le bonheur, mon petit, c'est d'ĂȘtre fascinĂ© Par une perle de rosĂ©e, courant sur le fil de la vierge, Dans une aube radieuse au soleil qui Ă©merge, Cordiale promesse d'une belle journĂ©e. Le bonheur, tu sais, c'est pouvoir admirer, Dans l'azur dorĂ© d'un printemps qui s'Ă©veille, Un magnifique rapace qui, de lĂ -haut, surveille Le lapereau Ă©tourdi qui a quittĂ© son terrier. Le bonheur, mon garçon, c'est pouvoir arpenter La garrigue provençale, ta main dans la mienne : Balade matinale, avant que ne survienne Le vent brĂ»lant, au zĂ©nith de juillet. Le bonheur, mon enfant, c'est quand la pluie est tombĂ©e Et fait que la terre craquelĂ©e et agonisante, Exhale soudain une odeur douce et enivrante, Pour remercier le ciel de la bienfaisante ondĂ©e. Le bonheur, vois-tu, c'est, quand finit l'Ă©tĂ©, Cueillir une pomme au sein du verger familial, L'essuyer sur sa blouse, d'un geste machinal, Puis mordre Ă belles dents, dans sa chair sucrĂ©e. Le bonheur, tu sais, il se trouve n'importe oĂč : Se coucher dans le prĂ©, Ă©couter chanter l'herbe, Le souffle du Mistral dans le chĂȘne superbe, Le murmure du ruisseau, polissant ses cailloux... Je te souhaite des choses pures, du bonheur ! Point n'est besoin d'honneurs et de richesses. Qu'un avenir utopique, et de folles promesses, Ne puissent jamais, ĂŽ jamais ! endurcir ton coeur. Pierre ClĂ©rico, 09/2000 |
left by poutounou on 12/01/2016Un joli petit poĂšme hivernalâŠâŠ * Hiver, vous n'ĂȘtes qu'un vilain ... * Hiver, vous n'ĂȘtes qu'un vilain, EtĂ© est plaisant et gentil, En tĂ©moin de Mai et d'Avril Qui l'accompagnent soir et matin. EtĂ© revĂȘt champs, bois et fleurs De sa livrĂ©e de verdure, Et de maintes autres couleurs, Par l'ordonnance de Nature. Mais vous, hiver, vous ĂȘtes plein De neige, vent, pluie et grĂ©sil : On doit vous bannir en exil. Sans vous flatter je parle plein, Hiver, vous n'ĂȘtes qu'un vilain ! * Charles d'OrlĂ©ans (1394-1465) |
left by viana67 on 12/01/2016Un au-revoir mais nullement un adieu ! Comment serait-il possible qu'une telle somme d'amour se solde par le nĂ©ant ?! Non, la belle histoire d'un amour inachevĂ© attend des retrouvailles qui se feront inĂ©vitablement un jour... Dans cette attente nous avons nos beaux souvenirs qui sont un petit rempart au manque de l'ĂȘtre aimĂ©. Merci d'avoir participĂ© Ă ce jour de peine avec vos pensĂ©es amicales ********* |
left by colombine67 on 12/01/2016Le bonheur est une plume La plus lĂ©gĂšre qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec prĂ©caution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, lĂ©gĂšre, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pĂ©nĂštre de sa paix. MĂȘme fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le rĂ©el, Alors que la pensĂ©e remodĂšle nos traits. La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La dĂ©couverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'ĂȘtre aimĂ©. Et malgrĂ© la nuit du monde, MalgrĂ© les destructions, Tenons notre lampe allumĂ©e, Pour que vive au dehors la lumiĂšre du bonheur. HĂ©lĂšne Ellenberger, Ferveur d'Automne |
left by Biscuit on 11/01/2016La perte de mon chien Il n'y a rien de plus dur C'est un cri du coeur C'est une profonde douleur C'est un sentiment indescriptible Une souffrance indĂ©lĂ©bile Un manque irremplaçable Un souvenir ineffaçable Un froid glacĂ© Une Ăąme dĂ©chirĂ©e Meurtri par une absence Plus rien n'a de sens Mais il faut continuer Continuer pour l'ĂȘtre aimĂ© Pour l'ĂȘtre tant pleurĂ© Pour lui dont le coeur s'est arrĂȘtĂ© Car quand arrivera le rendez-vous il doit ĂȘtre fier de vous on t'aime Nudji |
left by choupinou on 11/01/2016 Couplet 1 Encore une matinĂ©e Ă m'demander Comment j'vais combler tout ce vide que tu as laissĂ© Je sens que la journĂ©e promet d'ĂȘtre longue Et j'n'ai plus personne avec qui la passer Je n'peux plus porter cette solitude, tu me manques Je n'ai plus personne Ă qui me confier Je passe mon temps Ă regarder par la fenĂȘtre Et je n'te vois toujours pas rentrer PrĂ©-refrain Tout semble faux, j'en perds mes mots Que vais-je devenir ? Je garde espoir de te revoir Dans un proche avenir Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu vas me manquer, tu vas me manquer Ăa fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mĂ©moire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Couplet 2 Encore toute une nuit Ă rĂȘver de ton retour Mais l'rĂ©veil me replonge dans ce cauchemar Sans toi, je m'ennuie, je souris Quand j'repense aux discussions qu'on avait matins et soirs Je pense tellement Ă toi Parfois, j'ai l'impression d'entendre le son de ta voix Plus les annĂ©es passent et plus je rĂ©alise Ă quel point j'avais de la chance de t'avoir PrĂ©-refrain Tout semble faux, j'en perds mes mots Que vais-je devenir ? Je garde espoir de te revoir Dans un proche avenir Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu vas me manquer, tu vas me manquer Ăa fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mĂ©moire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Pont Je t'attendrai encore, encore et encore Tant que mon corps supportera ton absence Je t'attendrai encore, encore et encore J'attendrai que tu rentres Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu vas me manquer, tu vas me manquer Ăa fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mĂ©moire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer A MON NUDJI |
left by colombine67 on 11/01/2016Un jour, il y a de ça longtemps J'ai choisi de marcher dans la vie EntourĂ©e de rires d'enfants. Avec le zĂšle de mes vingt ans Je rĂȘvais de changer le monde Par le biais de l'enseignement. Le soir, en me couchant Je mijotais de sages leçons Et des nuits durant J'Ă©crivais... sur tableau noir Des mots syllabiques de lumiĂšre Des mots en "ou" des mots en "on" Des mots de mots Des mots savants Des mots de grandes chansons. Le lendemain, la tĂȘte remplie de nuages Je dĂ©coupais mes rĂȘves en belles images Et souvent, beaucoup trop souvent Ces images, de mes nuages, devenaient ORAGES. J'apprenais le mĂ©tier Ă mes dĂ©pens. Je dĂ©couvrais l'art des arts L'art de l'enseignement. Je devais apprendre, comme Rodin ou comme Michel-Ange Ă faire surgir la connaissance, au seuil de la conscience Telle une statue se pointe d'un marbre fragile Tel un penseur bronzĂ© Ă©merge d'un mĂ©tal froid. Ce qui d'abord m'avait paru facile Devenait pour moi lourde tĂąche, devoir pĂ©nible. Souventes fois... je me sentais abattue AbandonnĂ©e de mon courage Et je me taxais sans scrupules D' "incompĂ©tente" ... de "malhabile". J'aspirais toujours malgrĂ© tout Ă ... Capter soudainement la science du jour, en BLOC sans fissures Et offrir gĂ©nĂ©reusement, cet amas de notions et de doctrines En cadeau... Ă Pierre, Ă Bill, Ă la petite Catherine. Parfois encore, moi, l'institutrice mal assurĂ©e Je regrettais ma vocation De livres et de crayons. Je me disais : "C'est fou... Combien il me serait plus doux De compter des sous PlutĂŽt que de rĂ©pĂ©ter... sans cesse rĂ©pĂ©ter... Bijou, caillou, chou, genou... pou." DĂ©bordĂ©e, fatiguĂ©e, dĂ©senchantĂ©e Je rĂ©citais mes litanies... "Si mes Ă©lĂšves ne savent rien... c'est Ă cause de la tĂ©lĂ©. Si je n'ai pas le temps de respirer... c'est Ă cause des programmes surchargĂ©s. Si le p'tit StĂ©phane est si tannant... c'est Ă cause de ses parents. Si les enfants sont si agitĂ©s... c'est Ă cause de la rĂ©crĂ©. Si Patrick s'endort sur le plancher... c'est Ă cause de son dĂźner. Si Chantale m'envoie promener... c'est Ă cause de la sociĂ©tĂ©." Ă paradoxale profession La plus grande, la plus dure La plus noble, la pire, la meilleure Sans discussion. Profession de compassion, de dĂ©raison Plus que profession Mission et Ă la fois passion Instruction, Ă©ducation, application Frustration, co-opĂ©ration, tradition Rigodon ! Pardon ! je connaissais alors tant de confusion. Comme un violoniste en herbe Qui maudit son violon... Je songeais Ă l'abdication Ă faire Ă©cole buissonniĂšre Ă dĂ©chirer mon diplĂŽme d'hier Ou Ă Ă©crire un gros bouquin farceur IntitulĂ© : "Les tribulations d'une ex-professeur". Et puis... les annĂ©es ont passĂ©. Le calme s'est installĂ©, dans ma maison. Il faut croire Que les tenaces violonistes Arrivent Ă capter le silence entre les sons La mĂ©lodie qui efface les tensions. Aujourd'hui, je connais le secret de l'enseignement. Un secret qui se rĂ©sume en un seul et puissant mot : APPRENDRE. Alors, maintenant, Avec la jeune MarlĂšne Ou le sage Simon J'avance en cadence Vers de nouveaux horizons. J'ai appris Ă moins parler J'ai appris Ă mieux Ă©couter. Je ne veux plus m'Ă©poustoufler Ou m'endormir la tĂȘte sous l'oreiller. J'attends la dictĂ©e sans fautes Ou la parfaite lecture Ă voix haute Comme le semeur attend sa moisson AnimĂ©e de foi et de conviction. Je cherche sans cesse Les pousses de vie Les pousses de couleurs... Ces pousses intĂ©rieures... Qui façonneront notre demain Le monde extĂ©rieur Notre monde des humains. Eureka ! je trouve promesse et poĂ©sie Force, joie et symphonie. Aussi, je prends le temps De me donner du temps. Enfin, voici l'heure de l'Ă©valuation. Je souris ! ... OUI ! Je re-choisis ma profession. Je me fabrique un bulletin de vitalitĂ© DĂ©corĂ© de A, de B et de mots encourageants. Je le mĂ©rite ... j'ai tant travaillĂ©. Pour tout commentaire, j'Ă©crirai cette pensĂ©e... "ChĂšre enseignante... N'oublie pas de t'accueillir tendrement Comme tu accueilles dans ta classe Tous ces nombreux enfants... Pardonne-toi tes grandes idĂ©es Et en toute humilitĂ©... Reconnais tes maĂźtres Tous ces petits enfants". Lysette Brochu |
left by colombine67 on 10/01/2016 Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaĂźt pas. Elle leur dit : - " Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim. S'il vous plaĂźt, entrez et je vous donnerai quelque chose Ă manger. " - " Est-ce que l'homme de la maison est lĂ ? " ont-ils demandĂ©. - " Non, il est sorti ", leur rĂ©pondit-elle. - " Alors nous ne pouvons pas entrer " ont-ils rĂ©pondu. En soirĂ©e lorsque son mari arrive Ă la maison, elle lui dit ce qui s'Ă©tait passĂ©. - " Va leur dire que je suis Ă la maison et invite-les Ă entrer ! " dit-il Ă sa femme. La femme sort et invite les hommes Ă entrer dans la maison. - " Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison " ont-ils rĂ©pondu. - " Et pourquoi ? " a t-elle voulu savoir. Un des vieillards lui expliqua : - " Son nom est RICHESSE, dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre," lui c'est SUCCĂS et je suis AMOUR. Il a ajoutĂ© : - " Retourne Ă la maison et discute avec ton mari pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison. " La femme retourne Ă la maison et dit Ă son mari ce qui avait Ă©tĂ© dit. Son mari Ă©tait ravi. - " Comme c'est agrĂ©able ! " dit-il. Puisque c'est le cas, nous allons inviter RICHESSE." Sa femme n'Ă©tait pas d'accord : - " Pourquoi n'inviterions-nous pas SUCCĂS ? " Leur belle-fille, qui Ă©tait dans une autre piĂšce, entendit leur conversation. Elle sauta sur l'occasion pour faire sa propre suggestion : - " Ne serait-il pas mieux d'inviter AMOUR ? La maison sera alors remplie d'amour " ! - " Tenons compte du conseil de notre belle-fille, dit le mari Ă sa femme. Sors et propose Ă AMOUR d'ĂȘtre notre invitĂ©. " La femme sort et demande aux trois vieillards : - " Lequel d'entre vous est AMOUR ? S'il vous plaĂźt, entrez et sois notre invitĂ©. " AMOUR se lĂšve et commença Ă marcher vers la maison. Les deux autres se lĂšvent aussi et le suivent. EtonnĂ©e, la dame demande Ă RICHESSE et SUCCĂS : - " J'ai seulement invitĂ© AMOUR. Pourquoi venez-vous aussi ? " Les vieillards lui rĂ©pondirent ensemble : - " Si vous aviez invitĂ© RICHESSE ou SUCCĂS, les deux autres d'entre nous serions restĂ©s dehors. Mais puisque vous avez invitĂ© AMOUR, partout oĂč il va nous allons avec lui puisque partout oĂč il y a de l'amour, il y a aussi de la richesse et du succĂšs." !!! Anonyme |
left by ovanek on 09/01/2016đ đ đ 82 đ đ A chaque fois, que tu sens le vent caresser Ta joue douce comme un baiser suprĂȘme Sache que c'est moi qui t'embrasse tendrement Et qui souffle sur ton CĆurâŠPensĂ©e đ |
left by colombine67 on 09/01/2016 RĂ©flĂ©chis bien et essaie de rĂ©pondre Ă ces quatre questions : 1. Nomme les 3 personnes les plus riches du monde. 2. Nomme les 3 derniĂšres gagnantes de Miss Univers. 3. Nomme les 5 derniers gagnants des prix Nobel de la paix. 4. Nomme les 5 derniers gagnants de l'Oscar du meilleur acteur. Tu nây arrives pas ? Câest difficile, non ? Ne tâinquiĂšte pas, personne ne sâen rappelle. Les applaudissements passent. Les trophĂ©es prennent la poussiĂšre. Les gagnants sont oubliĂ©s ! Maintenant rĂ©ponds Ă ces questions : 1. Nomme 3 professeurs qui ont contribuĂ© Ă ta formation. 2. Nomme 3 amis qui tâont aidĂ©(e) dans les moments difficiles. 3. Pense Ă 5 personnes qui tâont fait te sentir spĂ©cial(e). 4. Nomme 5 personnes avec qui tu aimes passer du temps. Tu y arrives ? Câest plus facile, non ? Les personnes qui ont un sens dans ta vie ne sont pas âcotĂ©esâ au maximum, avec le plus dâargent, avec les plus grands prix... Ce sont celles qui se font du souci pour toi, qui prennent soin de toi, celles qui, en toutes circonstances, restent auprĂšs de toi. Penses-y un moment. La vie est trĂšs courte ! Toi, dans quelle liste es-tu ? Tu ne le sais pas... ? Laisses-moi te donner un coup de main. Tu nâes pas parmi les plus âcĂ©lĂšbresâ, mais parmi ceux Ă qui je me souviens dâenvoyer ce message⊠Anonyme |
left by poutounou on 08/01/2016A bas les pilules et vive la fontaine⊠* Le Petit Prince et le marchand * âBonjour, dit le Petit Prince. - Bonjour, dit le marchand. CâĂ©tait un marchand de pilules perfectionnĂ©es qui apaisent la soif. On en avale une par semaine et lâon nâĂ©prouve plus le besoin de boire. « Pourquoi vends-tu ça ? dit le Petit Prince - Câest une grosse Ă©conomie de temps, dit le marchand. Les experts ont fait des calculs. On Ă©pargne cinquante-trois minutes par semaine. - Et quâest-ce quâon fait de ces cinquante-trois minutes ? - On en fait ce que lâon veut⊠» « Moi, se dit le petit prince, si jâavais cinquante-trois minutes Ă dĂ©penser, je marcherais tout doucement vers une fontaine⊠» * Antoine de Saint ExupĂ©ry |
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