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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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In tribute to
Nudji
63 candles
12490 Flowers
left by choupinou J'aime le papillon qui voltige autour de moi parce qu'il me fait me souvenir que tu es là auprès de moi dansant dans le silence de la nature pour me donner ton amour, la gaité, je sais tu y veilles 🦋 left by colombine67 Les vieux chiens sont un peu comme ta paire de chaussures préférée. Ils sont éraflés et ridés mais ils s'adaptent confortablement à ta vie |
3645 messages
left by lili2248 on 09/10/2015Il y a tant de beaux mots dans la langue française…..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges… * Les mots qui font vivre * Il y a des mots qui font vivre Et ce sont des mots innocents Le mot chaleur et le mot confiance Amour, justice et le mot liberté Le mot enfant et le mot gentillesse Et certains noms de fleurs et Certains noms de fruits Le mot courage et le mot découvrir Et le mot frère et le mot camarade Et certains noms de pays, de villages Et certains noms de femmes et d'amis. * Paul Eluard ( 1895-1952) , |
left by Biscuit on 09/10/2015Une larme est en apparence une simple goutte d'eau, légérement salée, glissant doucement sur une joue rosée, et qui achève son chemin lorsqu'elle rencontre le sol. Mais si on prend le temps de s'approcher, de regarder vraiment ce qu'elle est , une larme a beaucoup de choses a dire. Une larme ne nait pas au coin de l'oeil sans raison. Parfois, c'est du à un rire, mais malheureusement, la plupart du temps, c'est à cause d'une peine, d'une tristesse, d'un mal-être enfoui au fond de soi, quelque chose qu'on ne veut pas montrer, pour ne pas inquièter, mais qui finit toujours par remonter. La gorge se noue, les mots ne sortent plus, les yeux nous piquent, on sent la larme se former, on voudrait la retenir, mais elle est plus forte que nous. Elle vient du fond de notre être, du fond de notre âme. Durant le chemin qu'elle parcourt a travers notre corps pour arriver jusqu'à notre oeil, elle se charge des souffrances qui nous hantent. Elle transporte tout ce qu'on n'a pas su dire, tout ce qui nous fait mal, afin de nous libérer pour un temps. Elle attriste notre visage, mais elle est le signe que quelque chose ne va pas. Elle attire sur nous l'attention qu'on souhaite éviter, mais lorsqu'elle est là, il est déjà trop tard. Elle perle au coin de l'iris, transparente, mais tellement significative de ce que l'on ressent. On voudrait la sécher, pour que personne ne la voit, mais elle ne vient jamais seule, et malgré nos efforts, elle finit toujours par glisser sur notre joue, laissant derière elle une trace. Trace du tourment qui est en nous. Tourment qu'on voudrait taire, qu'on ne veut peut etre pas s'avouer non plus, mais pourtant bien présent. Retenir une larme n'est pas possible, car elle finira toujours par venir, dans n'importe quelle situation. Laisser couler une larme permet de lacher prise, de se dévoiler aux autres. Il ne faut pas en avoir honte. Une larme est là pour nous soulager, elle évacue notre trop plein de douleur, et après, l'on se sent mieux. Maintenant, quand vous verrez une larme, penser a tout ce qu'elle contient, vous comprendrez beaucoup de chose. |
left by colombine67 on 09/10/2015Demain, dès l'aube... Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. VICTOR HUGO |
left by colombine67 on 08/10/2015Un soir que je regardais le ciel Elle me dit, un soir, en souriant : - Ami, pourquoi contemplez-vous sans cesse Le jour qui fuit, ou l'ombre qui s'abaisse, Ou l'astre d'or qui monte à l'orient ? Que font vos yeux là-haut ? je les réclame. Quittez le ciel; regardez dans mon âme ! Dans ce ciel vaste, ombre où vous vous plaisez, Où vos regards démesurés vont lire, Qu'apprendrez-vous qui vaille mon sourire ? Qu'apprendras-tu qui vaille nos baisers ? Oh! de mon coeur lève les chastes voiles. Si tu savais comme il est plein d'étoiles ! Que de soleils ! vois-tu, quand nous aimons, Tout est en nous un radieux spectacle. Le dévouement, rayonnant sur l'obstacle, Vaut bien Vénus qui brille sur les monts. Le vaste azur n'est rien, je te l'atteste ; Le ciel que j'ai dans l'âme est plus céleste ! C'est beau de voir un astre s'allumer. Le monde est plein de merveilleuses choses. Douce est l'aurore et douces sont les roses. Rien n'est si doux que le charme d'aimer ! La clarté vraie et la meilleure flamme, C'est le rayon qui va de l'âme à l'âme ! L'amour vaut mieux, au fond des antres frais, Que ces soleils qu'on ignore et qu'on nomme. Dieu mit, sachant ce qui convient à l'homme, Le ciel bien loin et la femme tout près. Il dit à ceux qui scrutent l'azur sombre : "Vivez ! aimez ! le reste, c'est mon ombre !" Aimons ! c'est tout. Et Dieu le veut ainsi. Laisse ton ciel que de froids rayons dorent ! Tu trouveras, dans deux yeux qui t'adorent, Plus de beauté, plus de lumière aussi ! Aimer, c'est voir, sentir, rêver, comprendre. L'esprit plus grand s'ajoute au coeur plus tendre. Viens, bien-aimé ! n'entends-tu pas toujours Dans nos transports une harmonie étrange ? Autour de nous la nature se change En une lyre et chante nos amours. Viens ! aimons-nous ! errons sur la pelouse Ne songe plus au ciel ! j'en suis jalouse ! - Ma bien-aimée ainsi tout bas parlait, Avec son front posé sur sa main blanche, Et l'oeil rêveur d'un ange qui se penche, Et sa voix grave, et cet air qui me plaît ; Belle et tranquille, et de me voir charmée, Ainsi tout bas parlait ma bien-aimée. Nos coeurs battaient ; l'extase m'étouffait ; Les fleurs du soir entr'ouvraient leurs corolles ... Qu'avez-vous fait, arbres, de nos paroles ? De nos soupirs, rochers, qu'avez-vous fait ? C'est un destin bien triste que le nôtre, Puisqu'un tel jour s'envole comme un autre ! O souvenirs ! trésor dans l'ombre accru ! Sombre horizon des anciennes pensées ! Chère lueur des choses éclipsées ! Rayonnement du passé disparu ! Comme du seuil et du dehors d'un temple, L'oeil de l'esprit en rêvant vous contemple ! Quand les beaux jours font place aux jours amers, De tout bonheur il faut quitter l'idée ; Quand l'espérance est tout à fait vidée, Laissons tomber la coupe au fond des mers. L'oubli ! l'oubli ! c'est l'onde où tout se noie ; C'est la mer sombre où l'on jette sa joie. VICTOR HUGO |
left by rafia on 07/10/2015DE LA PART DE MARYEM AVEC NOS REMERCIEMENTS. L'AMITIE DE MAMAN. ELLE VOUS EMBRASSE. Quant à moi, je vous présente, Chère Madame, mes respectueux hommages. . Maël S-M Parce que je considère nos westies comme des enfants...je leur dédie cette poésie qui touche mon coeur. Tout comme je considère que la vie de nos Amours/canins est vraiment éphémère. Si vs le permettez...je voudrais bien la partager avec vs...vs qui vivez le même chagrin. Si cela vs choque...SVP, ne validez pas. M E R C I. Avec toute ma bien sincère Amitié Maryem...votre amie. **************************************** À l'enfant qui n'est plus. Dors, cher enfant, dors, petit ange, Ferme doucement tes beaux yeux ; Trop pur pour ce monde de fange, Rejoins tes aïeux dans les cieux. Au seuil de ta vie éphémère Saisi du sommeil éternel, Tu n'as, dans cette coupe amère, Puisé que le lait maternel. Passé du lit qui t'a vu naître, À ce lit qu'on ne peut bercer, Dors ! heureux de ne pas connaître Les pleurs que tu nous fais verser ! Amable Tastu |
left by poutounou on 07/10/2015Prenons notre plus belle plume et écrivons tout ce qui nous passe par la tête….des mots doux à nos anges, par exemple. * J’écris * J'écris des mots bizarres J'écris des longues histoires J'écris juste pour rire Des choses qui ne veulent rien dire. Ecrire c'est jouer. J'écris le soleil J'écris les étoiles J'invente des merveilles Et des bateaux à voiles. Ecrire c'est rêver. J'écris pour toi. J'écris pour moi J'écris pour ceux qui liront Et pour ceux qui ne liront pas. Ecrire c'est aimer. J'écris pour ceux d'ici Ou pour ceux qui sont loin Pour les gens d'aujourd'hui Et pour ceux de demain. Ecrire c'est vivre. * Geneviève Rousseau |
left by Biscuit on 07/10/2015"Nous préparons notre avenir mais rarement notre voyage pour l'éternité. Ce qui est tout a fait compréhensible me direz-vous. Nous y réfléchissons bien sûr mais intérieurement nous pensons, Que le plus tard sera le mieux et pourtant, Nous savons qu'un moment donné cet instant arrivera. Nous ne pourrons y échapper car celui-ci sera furtif et imprévu. Pourquoi écrire sur ce sujet et bien... En peu de temps j'ai eu près de moi des personnes proches Qui sont parties pour ce voyage inédit. Ceci est loin d'être facile car cette situation comporte de la souffrance. Leurs yeux se sont fermés ,pour l'éternité et une autre destination. Elles sont hors de notre portée et, Ce qui est douloureux c'est de ne pas savoir où elles sont. Et paradoxalement nous avons des témoignages qui nous disent, Qu'elles sont juste de l'autre côté de la route Alors vous me direz, c'est facile à dire mais difficile à imaginer. Nous savons que notre voyage terrestre est temporaire. Que nous sommes ici bas pour une raison bien précise. Nous sommes là pour grandir et évoluer. Nous ne pouvons imaginer justement que ce voyage s'arrêtera complètement sans rien après. C'est impossible et ceci n'aurait aucun sens. Je vais vous dire comment je vois ce voyage intemporel. Je sais que je les retrouverai comme tous ceux que j'ai aimé inconditionnellement. Pour moi c'est une destination vers l'amour empreinte de douceur et de tendresse infinie. Evidemment quand une personne proche quitte le plan terrestre. La souffrance est immense car nous ne la verrons plus. Son absence physique nous manquera beaucoup. Et pourtant notre énergie Divine la rejoindra à travers les rêves que nous ferons. La musique que nous écouterons nous la rappellera. Elle sera là d'une autre façon. Ce que les yeux ne voient pas, le coeur peut le ressentir. Elles nous rejoindrons à travers notre âme. C'est ainsi que nous commencerons notre voyage. Tout simplement en imaginant que nos proches sont juste de l'autre côté de la route. Avant de partir faire ce voyage pour l'éternité. Faisons de celui-ci, un voyage extraordinaire. Qu'il soit fait d'amour et des plus beaux sentiments qui existent. Et le moment venu nous serons prêts pour ce voyage vers l'éternité. Mais le plus tard possible... ************* Douces pensées pour Nudji |
left by goulou50 on 07/10/2015Dis-moi, mon Ange… Dis-moi, quand il pleut de là-haut, Ce sont des larmes de joie qui coulent. Parce que tu t’amuses là-haut Entouré de tous tes amis. Dis-moi, quand souffle le vent, C’est toi qui viens sécher mes larmes, Et me dire que tu m’aimes fort, Aussi fort que je t’aime, mon Cœur. Dis-moi, quand apparaît le soleil, Que ses chauds rayons me caressent la peau C’est ton Amour qui me réchauffe En dedans, en dehors, partout… Dis-moi tout ça, mon bel Ange, La nuit quand tu viens me voir dans mes rêves. Et je ne serai plus triste, Mon chagrin s’envolera. |
left by colombine67 on 07/10/2015Il était une fois un génie de la lampe peu commun. On le sait tous, les génies offrent de réaliser trois vœux à celui ou celle qui le libère de la lampe d'où ils sont prisonniers. Or, le génie de cette histoire est différent, il n'exhausse qu'un seul vœu et celui qui le formule doit absolument contribuer à sa réalisation! C'est ainsi qu'un jour, par le plus grand des hasards, mais au moment où il en avait le plus besoin, un génie apparut à un explorateur qui venait de faire briller une vieille lampe qu'il avait acquise lors d'une de ses expéditions. Le génie dit alors : -Pour m'avoir libéré de la lampe, je t'offre d'exhausser un vœu. -Ne suis-je pas supposé avoir droit à trois, rétorqua l'explorateur un peu déçu? -Tu as raison, normalement tu aurais droit à trois souhaits, mais toi je t'aime bien alors tu n'auras qu'un seul souhait. Devant l'air perplexe de l'explorateur, le génie ajouta: -Vois-tu, j'ai constaté que les humains réfléchissaient davantage et prenaient de meilleures décisions lorsqu'ils n'avaient droit qu'à un seul souhait et j'aimerais que tu prennes le temps de savoir ce qu'il te faut vraiment pour être heureux. D'abord très déçu de n'avoir droit qu'à un seul souhait, l'explorateur se mit à réfléchir. Il réfléchit longuement à ce qui le rendrait heureux. Il rêva de trésors inestimables, de voyages, de découvertes, de notoriété, de paix intérieure, de grandes passions, d'accomplissements, etc. mais il n'avait droit qu'à un seul souhait et se voyait incapable d'arrêter son choix sur une seule chose. Les jours passèrent et chaque fois la liste de ses désirs s'allongeait alors qu'il devait la restreindre à un seul souhait ... Puis l'explorateur se rappela le proverbe oriental suivant: Donner un poisson à quelqu'un c'est le nourrir pour un jour, lui apprendre à pêcher c'est le nourrir pour la vie. Il savait maintenant ce qu'il demanderait au génie de la lampe! Excité par sa trouvaille, il couru trouver le génie et commença par le remercier de ne lui avoir accordé qu'un seul vœu. "Jamais je n'aurais pensé au souhait que j'ai en tête maintenant si plusieurs souhaits m'avaient été offerts", expliqua-t-il au génie. -Je suis content que tu apprécies mon geste, retourna le génie. Puis-je maintenant connaître ton souhait? -Oui, lança l'explorateur avec enthousiasme. J'aimerais connaître le chemin du bonheur. Le génie dû réfléchir, ce genre de souhait n'était pas habituel... Il demanda à l'explorateur de bien vouloir patienter quelques jours afin qu'il puisse rassembler le nécessaire. Encore une fois un peu déçu, l'explorateur accepta, que pouvait-il faire d'autre? Un premier jour passa, l'explorateur avait été excité toute la journée à l'idée d'enfin connaître le chemin du bonheur. Deux, trois puis quatre jours passèrent sans que le génie ne se manifeste. N'en pouvant plus d'attendre, l'explorateur commença à réfléchir sur son souhait et se demanda ce qui lui était Essentiel pour être heureux. Il se demanda quels étaient les moments de sa vie où il avait été le plus heureux. Il en trouva un, deux, trois, plusieurs. Il découvrit ensuite que ces moments, pourtant différents, avaient en commun le fait de lui avoir fait vivre des émotions semblables. Voilà les ingrédients de mon bonheur se dit-il enthousiasmé par sa découverte. D'autres questions lui virent à l'esprit. Quelles seraient les trois plus petites choses que je pourrais faire dès maintenant ou d'ici à la tombé du jour, pour revivre, ne serait-ce qu'en partie, ces émotions qui m'ont rendu si heureux dans le passé? Plus il s'interrogeait, plus les idées se bousculaient! Voyant le pouvoir des questions qu'ils s'étaient posées, il prit un crayon et écrivit toutes les questions utiles qui lui passèrent par la tête. Si j'apprenais qu'il ne me restait que très peu de temps à vivre, où investirais-je davantage de ce temps précieux? Où investirais-je moins de ce temps précieux? Que pourrais-je pardonner et ainsi me soulager d'un poids devenu inutile? Que pourrais-je me pardonner et ainsi me soulager d'un poids devenu inutile? Que pourrais-je faire pour rire de bon cœur aujourd'hui? Quelle(s) activités, passe-temps, etc. auxquelles je prenais beaucoup de plaisir à pratiquer, pourrais-je reprendre? Puis, un matin, l'explorateur se leva, regarda sa liste de questions - il avait pris l'habitude de se concentrer sur une question aidante par jour - et remarqua une note manuscrite au bas de la page, une note signée par le génie de la lampe! On pouvait y lire : Le chemin du bonheur : Prendre le temps de s'y arrêter régulièrement. |
left by rafia on 06/10/2015DE LA PART DE MARYEM💌 Un petit ange-canin part,👼 Un petit ange-canin vient,👼 Et pour un ange-canin qui part, 👼 Une étoile devient.🌠 Et brille🌠🌠🌠🌠 tout aussi bien, En Occident qu'en Orient. Là-haut, bercée par les nuages,💨 Sa maison est là, à présent. C'est la fin du voyage Il faut vivre ici, maintenant. Mais l'absence fait si mal... Un petit ange-canin gémissant 👼 Veut retrouver sa tendre maman. Pr lui ce Paradis lointain N'est pas un pays de Cocagne. Alors il pleure longuement. Ses sanglots déchirants, Sont portés pr les vents Lorsqu'il appelle sa maman. Alors, miracle de l'Amitié Son désespoir fait pitié, Un autre petit ange- canin 👼 Veut le consoler, mais en vain. Mais il en vient,👼 Un autre 👼et un autre encore.👼 Quelle belle miséricorde, Cette entraide au Paradis-Canin.👼👼👼👼 C'est plus fort que chez les humains. Ils sont ts là,👼👼👼👼👼👼 pr lui,👼 maintenant, Autour de lui👼, en lui disant Que toujours il sera présent, Ds le coeur❤ de sa maman Bien évidemment.... La nouvelle venue👼 est apaisée Par cette démonstration de l'Amitié, Et c'est presque en souriant Qu'il s'endort maintenant, En murmurant "maman"..... Chère madame, Permettez-moi de vs offrir...cette prose, sans aucune prétention... écrite avec mon coeur...pr vs remercier de votre générosité, Bien amicalement; Maryem, votre amie. |
left by ovanek on 06/10/2015💖 💖 💖 75 💖 💖 Ton amour sera ma loi, ensemble on tracera notre voie le ciel tu l’auras au bout de ta truffe et c’est mon rêve à moi, que je veux réaliser une fois pour te revoir toi.... mon chien où que tu sois, prie les cieux pour qu’ils entendent notre voix enfin nous serons réunies au de la de la foi.... Pensée........Phil 💖 |
left by choupinou on 06/10/2015Le vieux et son chien S'il était le plus laid De tous les chiens du monde, Je l'aimerais encore A cause de ses yeux. Si j'étais le plus vieux De tous les vieux du monde, L'amour luirait encore Dans le fond de ses yeux. Et nous serions tous deux, Lui si laid, moi si vieux, Un peu moins seuls au monde, A cause de ses yeux. Pierre MENANTEAU |
left by colombine67 on 06/10/2015La vie n'est pas d'échapper à la tempête mais de danser dans la pluie. C'était un matin occupé, environ 8h30, quand un homme d'un certain âge dans les 80 est arrivé pour faire enlever les points de suture de son pouce. Il dit qu'il était pressé car il avait un rendez-vous à 9h00. J'ai pris ses signes vitaux et lui dit de s'asseoir sachant que ça prendrait plus d'une heure avant que quelqu'un puisse s'occuper de lui. Je le voyais regarder sa montre et j'ai décidé puisque je n'étais pas occupé avec un autre patient, d'évaluer sa blessure. En l'examinant, j'ai vu que ça cicatrisait bien, alors j'ai parlé à un des docteurs, j'ai pris les choses nécessaires pour enlever ses points et soulager sa blessure. Pendant que je m'occupais de sa blessure, je lui ai demandé s'il avait un rendez-vous avec un autre médecin ce matin, parce qu'il était pressé. L'homme me dit non, qu'il devait aller dans une maison de santé pour déjeuner avec sa femme. Je me suis informé de sa santé. Il m'a dit qu'elle était là depuis quelque temps et qu'elle était victime de la maladie d'Alzheimer. Comme nous parlions, j'ai demandé si elle serait contrariée s’il était en retard. Il a répondu qu'elle ne savait plus qui il était, qu'elle ne le reconnaissait plus depuis 5 ans. J'étais surprise et je lui ai demandé : « Et vous y allez encore tous les matins, même si elle ne sait pas qui vous êtes ? » Il souriait en me tapotant la main et dit : « Elle ne me reconnaît pas, mais je sais encore qui elle est. » J'ai dû retenir mes larmes quand il a quitté, j'avais la chair de poule sur le bras, et je pensais que c'était le genre d'amour que je veux dans ma vie. Le vrai amour, ni physique ni romantique. Le vrai amour est l'acceptation de tout ce qui est, a été, sera et ne sera pas. Auteur inconnu |
left by Biscuit on 06/10/2015J'ai beau me dire que c'est la vie, que fatigué, tu es parti, j'ai beau me dire que c'est comme çà, qu'au terme de ton voyage tu étais las! J'ai beau me dire que tu fus heureux, que tu avais de quoi faire des envieux, oui j'ai beau me dire tout celà, la réalité, elle, est bien là! Sous notre toit tu n'es plus là, dans notre espace il ne manque que toi, ta place, même si le vide s'en est accaparé, dans nos coeurs,Nudji,elle restera à jamais., |
left by colombine67 on 05/10/2015J'ai vu aujourd'hui dans un autobus, une très jolie jeune fille, avec une chevelure blonde. Je l'ai trouvée chanceuse, elle semblait si gaie. J'ai regrettée de n'être pas si jolie, quand soudainement elle s'est levée pour descendre. Je l'ai vue boiter tout au long de l'allée s'appuyant sur une béquille, elle n'avait qu'une jambe. En passant, elle m'a souri. Mon Dieu excusez-moi de me plaindre, j'ai deux jambes, le monde est à moi. Je suis entrée dans une boutique pour acheter des bonbons, le garçon qui m'a servi était très gentil. J'ai conversé avec lui, que je sois en retard n'était pas important. Quand je l'ai quitté, il m'a dit : " Je vous remercie madame vous avez été des plus gentille, ça fait du bien de parler à des gens comme vous, vous voyez, je suis aveugle". Mon Dieu, excusez-moi de me plaindre, j'ai deux yeux, le monde est à moi. Plus tard, marchant dans la rue, j'ai vue une jeune fille avec des yeux bleus, elle regardait les autres jouer. Il semble qu'elle ne savait pas quoi faire. Je lui ai demandé : "Pourquoi ne jouez-vous pas avec les autres ? Comme elle ne me répondait pas, j'ai compris qu'elle était sourde. Oh Dieu, pardonnez-moi si je me plains, j'ai deux oreilles, le monde est à moi. J'ai deux jambes pour m'amener où je veux, Jai deux yeux pour voir les coucher de soleil, J'ai deux oreilles pour entendre le chant des oiseaux. Mon Dieu, pardonnez-moi si je me plains, vous êtes là et le monde est à moi. Nous avons tellement de raisons de nous plaindre mais nous en avons beaucoup d'autres de ne pas le faire. Auteur inconnu |
left by colombine67 on 04/10/2015Un vieil homme était sur le point de mourir. Avant de quitter notre monde pour l’au-delà, Il a décidé de donner une dernière leçon aux membres de sa famille Qui étaient réunis à son chevet. Il leur a dit ceci : « Quand j’était jeune et libre, et doté d’une imagination sans limites, Je rêvais de changer le monde. Devenu plus sage avec les années, J’ai compris que le monde ne changerait pas, Alors j’ai réduit quelque peu mes visées Et j’ai décidé de transformer seulement mon pays. « Mais lui aussi semble immuable. « En Approchant de la vieillesse, dans une suprême et désespérée tentative, J’ai décidé de ne penser qu’à changer ma famille, ceux dont j’étais le plus proche. Hélas ! Vous n’avez rien voulu entendre, vous non plus ! « Et maintenant, étendu sur mon lit de mort, je comprends soudain : « Si seulement je m’étais changé moi-même, Alors à mon exemple, vous auriez également changé. Et, grâce à vos actions, vous auriez inspiré d’autres personnes à Trouver la force et le courage d’améliorer notre pays et, qui sait ? Peut-être même de changer le monde ! » « N’essayez pas de changer le monde, commencez par vous même. Beaucoup de gens essaient de changer les gens qui sont dans leur entourage. Il s’agit en fait d’une tâche quasi impossible. Si seulement ces personnes essayaient de se transformer elles-mêmes, Elles comprendraient à quel point cette transformation est difficile. Le premier changement doit toujours venir de soi, et à notre exemple, Les autres changeront également. Si vous voulez que votre vie soit une magnifique histoire, Réalisez que vous en êtes l’auteur et que vous avez l’opportunité chaque jour D’en écrire une nouvelle page. « Avant d’essayer de vouloir conquérir le monde, commencez donc par faire conquête de vous-même. » |
left by poutounou on 03/10/2015Il y a tant de beaux mots dans la langue française…..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges… * Les mots qui font vivre * Il y a des mots qui font vivre Et ce sont des mots innocents Le mot chaleur et le mot confiance Amour, justice et le mot liberté Le mot enfant et le mot gentillesse Et certains noms de fleurs et Certains noms de fruits Le mot courage et le mot découvrir Et le mot frère et le mot camarade Et certains noms de pays, de villages Et certains noms de femmes et d'amis. * Paul Eluard ( 1895-1952) |
left by colombine67 on 03/10/2015Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et/ou se disputerait avec quelqu'un. Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous. Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou. Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière. Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit : "Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera. Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique. Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent. Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur coeur. Montre à tes amis combien tu les aimes". Auteur inconnu |
left by colombine67 on 02/10/2015Ne vous laissez jamais atteindre par les jugements des autres. Votre valeur est bien plus grande que vous ne l'imaginez ! Une jeune femme, Bernadette, a une promotion dans son travail. Les commentaires commencent et vont bon train. "Elle a eu le poste parce qu'elle est mignonne. Elle a dû taper dans l'oeil de la hiérarchie." " Avec le peu d'expérience qu'elle a, elle ne mérite vraiment pas ce poste." "Savez-vous qu’un jour, elle s'est trompée..." etc. Bernadette rend visite à son père antiquaire pendant le week-end. Elle lui raconte sa promotion, son stress, les moqueries des autres, et tous ses doutes après toutes ces attaques sournoises. "Mais pourquoi te laisses-tu atteindre par ces collègues ?" demande le père "Ils connaissent bien le travail, ont plus d'ancienneté que moi..." "Ecoute ma chérie, j'ai un service à te demander, et qui va te changer un peu les idées. Pourrais-tu aller au marché demain matin vendre cette théière en faïence ? Je viens de la récupérer dans une vente et j'aimerais m'en débarrasser. Mets-la en vente à 90 euros minimum s'il te plaît." "90 euros, ce n'est pas excessif, comme prix ?" "Ecoute, compte tenu du prix que je l'ai payée, il me faut cela. Ca te fera un petit exercice de vente." Le lendemain Bernadette passe sa matinée à essayer de vendre la théière, mais rien à faire. Quelques personnes s'y intéressent, mais aucune ne se décide pour l’achat. Elle raconte cela à son père, qui lui dit : "Maintenant prend cette théière et visite 5 de mes confrères de la rue Notre-Dame, mais cette fois-ci, demande leur seulement ce qu'ils seraient prêts à payer, mais tu ne vends pas la théière. Aussitôt dit aussitôt fait. Le premier antiquaire lui propose 400 euros, d'autres plus et l'un va même jusqu'à 1000 euros !!! Bernadette n'en revient pas. Elle raconte cela à son père qui lui demande : "Pourquoi n'arrivais-tu pas à la vendre 90 euros ce matin ?" "Parce que je me suis adressé à une clientèle de gens qui ne connaissaient pas le "Staffordshire", et ignoraient sa vraie valeur" "Et selon toi, pourquoi mes confrères antiquaires t'ont proposé autant pour la théière ?" "Parce qu'ils sont des professionnels. Ils ont vu tout de suite que ce pot date de 1760 et qu’il a une grande valeur." "Bien maintenant pense à tes collègues. Pourquoi leur confies-tu le droit de juger ta propre valeur ? Sont-ils des experts ?" "Non" "Vois-tu ma chérie, ne te laisse jamais atteindre par les jugements de ceux qui ne sont pas des experts. Ecoute seulement les jugements des professionnels ou des experts en nature humaine. Et tu verras que ta valeur est bien plus grande que tu ne l'imagines." Auteur inconnu |
left by spanky on 01/10/2015Tu me manques... J'aimerais pouvoir te toucher Ou même encore te caresser; Mais la distance est bien trop grande Donc il ne me reste qu'à attendre. J'arrive à sentir ton odeur En imaginant ta douceur, Et je vois ton si beau visage Qui apparaît dans les nuages. Je veux me blottir dans tes pattes Et que tu ne me lâches pas, Pour ne plus jamais te quitter Et puis enfin tout oublier. Ma vie sans toi n'est plus la même Car, encore et toujours, je t'aime. Tu me manques tellement. |
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