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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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In tribute to
Nudji
34 candles
12827 Flowers
left by poutounou Un chien, un chat, un cheval, un cochon… Peu importe l’animal, ils ont tous un cœur gros comme ça et beaucoup d’ »humains » feraient bien d’en prendre de la graine. Bizzz à vos beaux loulous… !!! left by colombine67 Parfois, le meilleur médicament est un chien qui pense que son amour peut vous guérir. left by spanky Il y a des jours comme ça où on aimerait serrer nos Anges contre soi, leur murmurer des mots doux, leur faire des câlinous, il y a des jours comme ça… depuis qu’ils ne sont plus là. |
3745 messages
left by colombine67 on 28/11/2015 La seringue a tué le rire Plus d'une fois j'ai pensé atteindre la rive, chaque fois je suis retombé ; sur mon bras droit est tatouée une seringue. Mon esprit est marqué. Combien d'années ont passé depuis que j'ai, mon sac de couchage sous le bras, fermé la porte de ma maison, depuis que j'ai fumé ma première pipe de hachisch ? Quatre, cinq ? Je ne veux pas y penser ! Je veux oublier ! Quelques amis ont essayé de m'aider, puis sont repartis. Que pouvaient-ils faire ? Je ne vois pas la lourde porte de ma prison ni les barreaux à ma fenêtre. Quelque part dehors, dans Oslo qui se réveille après un long hiver, mon fils et ma femme m'attendent. Je rêve ! Des images défilent devant mes yeux, des souvenirs... Paris, l'Afrique, le hachisch, puis, en relief, une seringue, Istamboul, l'opium, Téhéran, l'héroïne... Tout est vague ! Une seringue à mort lente ! Ai-je vingt et un ans ou un siècle ? La seringue a tué le rire. La prison ne m'a pas changé. Souvent j'y ai séjourné, puis je suis reparti, de ville en ville, de pays en pays, pour fuir l'obsession. J'ai tenté avec violence de toucher la rive sans jamais y parvenir. Un jour je suis retourné à la maison, les bras percés, et lentement j'ai guéri. C'est très loin. Le brouillard se dispersait, je suis reparti, mes vieilles bottes aux pieds, retrouver les amis de la dernière heure. Les amis ? Non, la seringue ! J'ai renié mes amis. J'ai renié jusqu'à l'idée de l'amour. J'ai renié la vie. J'ai vécu frileux et caché, sans lever la tête, une seringue dans la poche. Des jours, des années ! Puis le soleil délicatement est venu sur mon couvre-lit à la clinique de Cery. Les semaines ont passé, j'ai refait mes premiers pas, le voile se levait mais des périodes sont restées obscures, puis j'ai pu rentrer chez moi quelques heures, avant de repartir. J'avais été expulsé ! La route, un cahier de vers dans la poche, un livre de Nerval, les nuits dans les villes étrangères... sans fin... Dans un parc d'Oslo, j'ai rencontré une jeune fille merveilleuse avec un enfant. La veille de notre mariage j'ai été arrêté une fois de plus pour possession illégale de stupéfiants. Les journées passent, les semaines aussi. Dehors on m'attend. Deux fois par semaine elle vient me voir dix minutes, un geôlier me conduit au parloir... Encore une fois je vais essayer, je ne suis pas seul, et je lui dirai : Voilà, cette fois j'y arriverai ! Combien d'années ont passé ? J'aimerais que cette lettre soit publiée. Si d'autres peuvent ainsi éviter cette voie, tout n'aura pas été inutile. Anonyme, Prison d'Oslo, le 31 mai 1970 |
left by Biscuit on 28/11/2015Dans un petit coin de mon coeur. Ton amitié vit comme une fleur. Son parfum de tendresse, Me réchauffe comme une caresse, Ses pétales colorés,telle la rosée, Rafraichissent ma vie, Ses racines malgré le temps qui fuit, Restent solides entre nos vies. Au cours de ce voyage, je pense à toi, Je laisse sur cette page un peu de moi. Avec toi je continuerai de partager, Ce qu'on appelle si joliment amitié... |
left by colombine67 on 27/11/2015Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. J'écoute quelquefois le soir Des nouvelles à la télévision. On y voit haine et désespoir, Détruire notre monde sans raison. On nous annonce au fil des jours Que femmes et enfants sont agressés Et qu'aussi certains vautours, Vont jusqu’à tuer pour dominer On a beau se parler d'amour, De partager son amitié. Qu'aussitôt dans le détour, La rose sort ses épines acérées. Pourquoi sommes-nous si violents ? Pourquoi sommes-nous insouciants ? Pourquoi sommes-nous si impatients ? Pourquoi sommes-nous intolérants ? Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. Roger Kemp |
left by colombine67 on 26/11/2015 As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ? Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admiré un coucher de soleil ? Tu devrais t'y arrêter. Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement. Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé ? Lorsque tu demandes "Comment ça va ?", est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ? Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends dans ton lit avec 100.000 choses à faire qui courent dans ta ête ? Tu devrais ralentir. As-tu déjà dis à ton enfant : "Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ? Déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour. La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être. Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais. La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée. Anonyme |
left by nikita on 25/11/2015NUDJI mon beau petit cœur Ça fait bien du temps que tu n’es plus là ! Et que j’essaye de vivre sans toi Je me souviens encore du jour ou tu es parti Ce jour ou ma vie a été anéantie Depuis que tu as quitté cette terre J'ai juste envie de te dire à quel point mon cœur se serre Dans ces moments là malgré mes petits bonheurs Je ne peux retenir mes larmes et mes pleurs Sais tu seulement que tu me manques à chaque instants Simplement te dire que je t 'aime tant Tu es présent dans mes moindres pensées Je sais que tu es là juste à mes cotés Et que si mes yeux ne te vois pas Mon cœur bat toujours pour toi pour toi mon beau NUDJI un envol de doux baisers qui sur ta jolie frimousse vont se déposer avec des douces pensées pour toi et ta maman à qui tu manques tant |
left by monkillou on 25/11/2015Nudji, * Avant de commencer mon message de remerciements, je voudrais tout d'abord m'excuser d'avoir loupé ta date de décès et vous/te demande PARDON à nouveau... TOI aussi, tu as été le soleil de la vie de ta maman comme l'ont été tous les fidèles compagnons qui partagent cette place avec TOI, Nudji. Déjà 2 ans et 5 jours que tu es quelque part là-bas à un endroit où un jour, j'ose espérer que nous nous croiserons à nouveau... Je te laisse sans oublier d'avoir une pensée aussi pour tes cousins et cousines partis avant et après TOI... Petites caresses dans tes belles bouclettes noires. ---------- On se demande parfois si la vie a un sens lorsque malheureusement, on doit se séparer d'un être cher... Et puis, on rencontre des gens virtuels qui donnent un sens à la vie. Merci de tout coeur à ta maîtresse pour s'être penchée sur la stèle de mon Dex dont c'est l'anniversaire de décès aujourd'hui. Vos poèmes et fleurs sont d'un grand réconfort. Avec toute ma sympathie. |
left by colombine67 on 25/11/2015Un petit garçon de 8 ans. Son père, un scientifique, cherche à résoudre les problèmes de l’humanité. Le petit entre, lui tire la manche et lui dit : « Papa, je veux t’aider ! » Son père le renvoie : « Non, mon fils, j’ai beaucoup de travail. » Mais le petit insiste. Il y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu’il lui remet avec de la colle : « Voilà, essaie de reconstruire le monde. » Croyant occuper ainsi son fils pour une dizaine de jours. Mais après deux heures, le fils a résolu le problème. « Comment as-tu pu faire cela ? » « Eh bien, Papa, j’ai vu que l’autre côté de la carte, il y avait la figure d’un homme. Le monde, je ne le connais pas. mais l’homme, si. Alors, j’ai retourné tous les petits papiers. Et j’ai d’abord reconstruit l’homme. Puis, j’ai retourné le papier, j’avais reconstruit le monde aussi. » Anonyme |
left by poutounou on 24/11/2015Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
left by colombine67 on 24/11/2015 Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant qui a raté un examen. Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt. Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire. Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui attendent de se revoir. Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion. Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident. Pour apprendre la valeur d'une milliseconde, demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux Jeux Olympiques. Le temps n'attend personne. Rassemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur. Partage les avec une personne de choix et ils deviendront encore plus précieux. Anonyme |
left by choupinou on 23/11/2015Pour un regard, un geste, un silence, un mot, une fleur, une prière,votre présence,en ce triste jour de l'anniversaire de mon NUDJI, Je n’ai qu’un mot à dire “Merci”mais qui veut dire beaucoup... Tendre pensée a vous et petits amours disparus ; Choupinou et mon Nunu d'amour |
left by colombine67 on 23/11/2015Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques Aimez-les tout de même ! Si vous faites le bien, les gens vous prêtent des motifs égoïstes ou calculateurs Faites le bien tout de même ! Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis Réussissez tout de même ! Le bien que vous faites sera oublié demain Faites le bien tout de même ! L'honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable Soyez honnête et franc tout de même ! Ce que vous avez mis des années à construire peut être détruit du jour au lendemain Construisez tout de même ! Les pauvres ont vraiment besoin de votre secours mais certains peuvent vous attaquer si vous les aidez Aidez-les tout de même ! Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même vous risquez d'y laisser des plumes Donnez ce que vous avez de mieux tout de même ! Texte placardé sur le mur de Shishu Bhavan, le foyer des enfants de Mère Teresa, à Calcutta |
left by colombine67 on 22/11/2015 Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine, Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine, Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer, Vous me dites enfin que je suis fatigué. Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m'en flatte. J'ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate, Je m'endors épuisé, je me réveille las, Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas. Ou quand je m'en soucie, je me ridiculise. La fatigue souvent n'est qu'une vantardise. On n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit ! Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ? Je ne vous parle pas des sombres lassitudes, Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude, N'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons... Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon... Lorsqu'on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre... Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ; Elle fait le front lourd, l'oeil morne, le dos rond. Et vous donne l'aspect d'un vivant moribond... Mais se sentir plier sous le poids formidable Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable, Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains, Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain, Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source, Aider une existence à continuer sa course, Et pour cela se battre à s'en user le coeur... Cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur. Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre, On va aider un être à vivre ou à survivre ; Et sûr qu'on est le port et la route et le quai, Où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ? Ceux qui font de leur vie une belle aventure, Marquant chaque victoire, en creux, sur la figure, Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus Parmi tant d'autres creux il passe inaperçu. La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste, C'est le prix d'une journée d'efforts et de luttes. C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit, Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit. C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie, C'est la preuve, Monsieur, qu'on marche avec la vie. Quand je rentre la nuit et que ma maison dort, J'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ; Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance, Et ma fatigue alors est une récompense. Et vous me conseillez d'aller me reposer ! Mais si j'acceptais là, ce que vous me proposez, Si j'abandonnais à votre douce intrigue... Mais je mourrais, Monsieur, tristement... de fatigue. Robert Lamoureux |
left by vaderetro on 22/11/2015Je suis la toujours présent Mon corps n'y est plus Mais mon âme est toujours avec toi Je trouve toujours une façon de m'annoncer,de donner signe que je suis près de toi Tu ne les voies pas toujours Je voie tout et ressens tout Chaque mot que tu prononces Je les entends,tes larmes et tes joies font partie de moi aussi Nous ne formons qu'un maintenant Que je suis devenue une lumière mon bonheur est de te voir sourire comme avant ne t'en fait pas ici tout est bien Tout est paix et amour Et je sais qu'un jour On se reverra |
left by Biscuit on 21/11/2015PARCE QUE… Pour tous les bêtes qui cherche un Maître…Et un ami. Parce que l’oiseau blessée A qui j’ai donné asile dans mes mains Et revenu souvent, chanter sous ma fenêtre, Et que le chien perdu, affamer de tendresse Et venu contre moi, confier sa tendresse, L’échant la main surprise, qui donna la caresse. Parce que le petit chat, jeté tel un jouet, Qui n’intéresser plus, les enfants trop gâtés Ma criée son immense peine, De découvrir les hommes laids. Je sens monter en moi, Cet élan de tendresse envers les animaux, Qui souffrent et qui sans cessent, Quémandeur du regret de tristesse. L’attention d’un ami, rencontré au hasard D’un coin gris de leurs vies… Pour vous qui lisez, il n’est pas trop tard, Pour aimer, adopter, soigner et rendre libre Un animal perdu, croisant votre chemin… Il attend de vous, tendez-lui la main, Vous lui dites « amitié », il vous répond « sans cesse » ! Un amour donner ? Voilà mille tendresses. Donnez, Vous recevrez un trésor de caresse |
left by colombine67 on 21/11/2015Si quelqu'un ne parvient pas à voir clair dans son être, son esprit est une vitre opaque qui le cache à lui-même ; il est aveugle à son âme : feu divin qui flamboie dans l'âtre de son corps ; il parle et agit obscurément. Mais s'il arrive à être lucide, il laisse filtrer la lumière, la vérité sur sa nature, qu'il saisit et offre aux autres sous la forme éclairante de paroles et d'actes sages. Laurent GRENIER |
left by poutounou on 20/11/2015C’est toujours l’automne mais nous nous rapprochons à grands pas de l’hiver et du froid. L’important c’est d’avoir chaud au cœur, le reste n’est que détail…. * Un village * Des murs crépis, de pauvres toits, Un pont, un chemin de halage, Et le moulin qui fait sa croix De haut en bas, sur le village. Les appentis et les maisons S'échouent ainsi que des choses mortes ; Le filet dort : et les poissons sèchent, Pendus au seuil des portes. Un chien sursaute en longs abois ; Des cris passent, lourds et funèbres ; Le menuisier coupe son bois, Presque à tâtons, dans les ténèbres. Une pauvresse aux longues mains Du bout de son bâton tâtonne De seuil en seuil, par les chemins ; Le soir se fait, et c'est l'automne. * Emile Verhaeren |
left by Galinette3 on 20/11/2015“À ceux que j’aime, et qui m’aiment” – Poème amérindien 🐶 Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j’ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! 🐶 Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m’avez apporté ! 🐶 Je vous remercie pour l’amour que chacun m’a démontré ! Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. 🐶 Nous ne serons séparés que pour quelques temps ! Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et et la vie continue ! Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai ! 🐶 Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là, Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai ! 🐶 Quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir, Absent de mon corps, présent avec Dieu ! 🐶 N’allez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! 🐶 Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la nuit ! 🐶 N’allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort. 🐶 |
left by ovanek on 20/11/2015💖 💖 💖 79 💖 💖 Quand je pense à toi Tu es la lumière qui éclaire mon chemin Tu es tout simplement mon soleil... *** Pensée....Phil *** 💖 💖 💖 80 💖 💖 Toi que je connaissais Si bien tu m'as laissé Jamais je ne t'oublierai Car tu es toujours dans mes pensées Je n'arrive pas à m'y faire Chaque jour c'est du manque Quand je pense à toi je me rappelle chaque jour Quand tu étais là Mais le principal pour moi C'est qu'un jour On se retrouvera Où que tu sois *** Pensée *** |
left by spanky on 20/11/2015Ma petite Maman Je vois des larmes sur tes joues, et celà me peine Car malgré mon départ Crois moi, de là haut, je te protège et je t'aime Un jour nous nous retrouverons Et avec mes grosses léchouillent, tes larmes sécherons En attendant ce jour, résistes Je t'ai connue battante Et tu ne veux certainement pas ma mamou Que ta souffrance m'attriste Je t'aime, ma Maman chérie. Ton Nudji d'Amour |
left by nikita on 20/11/2015NUDJI mon prince adoré Tu es parti,loin de ma vie Le ciel t'a emporté, Dans un autre monde,loin d'ici Tu es tellement loin de moi, Mais toujours là, Gravé dans mon cœur, Tu resteras mon plus grand bonheur Tu m'accompagneras, Partout où il faudra, Je surmonte tant d'épreuves sans toi Tu me manque tellement, Que je ne cesserai jamais, De penser à toi, Car tu es toujours en moi Ce poème est fait pour toi, Ce ne sont que des mots, Mais c'est ce que je ressens, En ce moment,et tout le temps Tu me manque énormément... je t'aime mon joli cœur d'amour et ceci pour toujours baisers sur ta frimousse d'amour qui me manque tout les jours je t'aime mon NUDJI adoré pour l'éternité <3<3<3<3<3<3<3 baisers doux sur ta frimousse d'ange NUDJI mon beau petit cœur avec des bisous et des pensées pour ta maman d'amour en ce triste jour anniversaire |
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